Chapitre III Sommaire. — Mon âge. — Pourquoi les
femmes
ont tort de cacher le leur. — Un mot d’une marcha
e me ferais un devoir de le dire. Je n’ai jamais compris pourquoi les
femmes
cachaient soigneusement leur âge. Il me semble, a
à déclarer franchement son nombre d’années. Une des propriétés de la
femme
est d’être toujours en contradiction avec l’âge q
a prise, souviens-toi qu’on aime les biches franches, cela repose des
femmes
du monde. IV Mon amour pour la vérité m’a a
’en faudrait pour faire pendre un homme. Heureusement que je suis une
femme
. D’ailleurs, elles n’en diront jamais sur moi-mêm
milieu de gens qui la voient pour la première fois, elle pose pour la
femme
distinguée. Une faute. Ce qui détruira les biches
t enchantées lorsque les commis de confection les confondent avec les
femmes
du monde. On aura beau faire, il y a toujours che
avec les femmes du monde. On aura beau faire, il y a toujours chez la
femme
un fond d’honnêteté et un besoin de respect qui n
quoi cela tient-il ? A l’amour-propre probablement. VIII Aucune
femme
ne vient au monde vertueuse pourtant, elle le dev
isane était un produit de la civilisation. C’est une erreur. C’est la
femme
honnête qui est un produit de la civilisation.
maîtresse de piano qui est son secrétaire. Le premier besoin de toute
femme
qui met une « robe donnée » est d’apprendre le pi
nvoie pas le professeur. C’est que le professeur est généralement une
femme
instruite qui écrit des lettres poétiques et fait
’autres distractions. Finette, aux yeux de ses amants, passe pour une
femme
à double face : la femme qui parle et la femme qu
ette, aux yeux de ses amants, passe pour une femme à double face : la
femme
qui parle et la femme qui écrit. J’en ai vu qui p
amants, passe pour une femme à double face : la femme qui parle et la
femme
qui écrit. J’en ai vu qui pleuraient d’attendriss
r même. XII J’écris mes lettres moi-même. Outre que je suis une
femme
qui a de la « littérature », je n’aime pas à raco
De la baronne de B…. Bien des gens connaissent la baronne. C’est une
femme
qui frise la trentaine et qu’on a dotée d’un surn
ainsi. Quand elle avait seize ans, tout le monde disait : — Voilà une
femme
qui a dû être bien jolie. Non pas qu’elle paraiss
lie. Non pas qu’elle paraisse vieille, mais elle est de cette race de
femmes
qui ont l’air d’avoir été jolies avant leur naiss
nt actuellement, on est forcé d’avouer qu’elles sont laides. Genre de
femmes
que je me permettrai d’appeler : les beautés de l
vénement une réflexion qu’on ne doit point passer sous silence. — Ces
femmes
, disait-elle, pour faire parler d’elles, sont cap
Chapitre XII Sommaire. — La maladresse des hommes vis-à-vis des
femmes
. — Le Manuel des amoureux, leçons dont le besoin
— Moyen de réussir auprès d’elle. — Les grises et les blanches. — La
femme
grise bas-bleu. — Le mépris qu’il faut avoir pour
e ses cheveux. — Un malin — Une de ses manières de se présenter à une
femme
. — Pourquoi mademoiselle S*** ne rit jamais. I
exe masculin, — ont pour cause leur grande inexpérience vis-à-vis des
femmes
. Aucun d’eux ne sait s’y prendre ; ils sont malhe
s : Faire la cour ? R. Faire la cour signifie peindre sa flamme à une
femme
qui a su captiver votre cœur, entourer l’objet ai
re, ses habitudes, ses goûts. La blonde diffère énormément des autres
femmes
. Quelques poëtes affirment qu’elle est la seule j
uleur tant vantée. Mademoiselle Marquet du Vaudeville, une des jolies
femmes
de Paris, est blende à rendre jalouse une Alleman
ourd’hui ! VIII Or la blonde est d’un tempérament à nulle autre
femme
pareille. Elle est douce, poétique et généralemen
a neige, ça demande à être battu. » Qui expliquera jamais le cœur des
femmes
? Personne. Pas même moi, qui suis de la confréri
unes. Passons à l’autre leçon. XIV La brune. Toutes les jolies
femmes
sont brunes. Excepté celles qui sont blondes. Clé
es yeux noirs encadrés dans des cheveux d’ébéne ! Le type de la jolie
femme
, selon moi, c’est l’Andalouse. Ses grands yeux bl
rester son amant, c’est de se métamorphoser en poëte. Chez toutes les
femmes
- de quelle couleur qu’elle soit — entre l’allure
aut avoir pour la garder, la différence est immense. La fiancée et la
femme
font deux en matière de mariage légitime. L’envié
orique ardent, et vous aurez la rousse. XXIII Toutes les jolies
femmes
sont rousses. Excepté celles qui sont blondes et
se. Ce qu’il y a de charmant dans cette classe nuancée, c’est que les
femmes
qui la composent sont ou bien ou mal. Connaissez-
Les tout jeunes gens qui ont encore la faiblesse d’aimer les vieilles
femmes
deviennent de plus en plus rares. Je n’en connais
emmes deviennent de plus en plus rares. Je n’en connais même plus. La
femme
dont les cheveux sont gris ou blancs est générale
et pas de prétentions. Comme moi, par exemple. XXVII Lorsque la
femme
à cheveux gris ne travaille pas dans la littératu
arrivera jamais tant qu’il y aura des perruques en ce monde. Bien des
femmes
ont déjà le chignon faux, pourquoi les bandeaux n
e les hommes soient moins maladroits dans leurs façons d’assiéger les
femmes
. Je le souhaite sans l’espérer. XXX Dans le
e aux éclats. Et elle lui indiqua le moyen qu’il cherchait. Quand une
femme
rit, elle devient d’une bonté inépuisable. XXX
chapitre 9 du livre de l’ecclésiastique (v. 3.). Ne regardez pas une
femme
volage dans ses désirs, de peur que vous ne tombi
e vous devienne un sujet de chute. (v. 8.) Détournez vos yeux d’une
femme
parée, et ne regardez point une beauté étrangère.
uté étrangère. (v. 9.) Plusieurs se sont perdus par la beauté d’une
femme
: car c’est par là que la concupiscence s’embrase
ncore : (c : 25, v. 28.) Ne faites point attention à la beauté d’une
femme
, et ne la considérez point parce qu’elle est agré
, et ne la considérez point parce qu’elle est agréable. (v. 33.) La
femme
a été le principe du péché, et c’est par elle que
érent, lorsqu’il a dit : (Matth. c. 5, v. 28.) Quiconque regarde une
femme
avec un mauvais désir pour elle, a déjà commis l’
ue et dans le même chapitre 9 (v. 4.) : Ne vous trouvez pas avec une
femme
qui danse, et ne l’écoutez pas, de peur que vous
s charmes. (v. 11.) Plusieurs ayant été surpris par la beauté d’une
femme
étrangère, ont été rejetés de Dieu ; car l’entret
une femme étrangère, ont été rejetés de Dieu ; car l’entretien de ces
femmes
brûle comme un feu. Dans le chapitre 42 du même
ne encore cet avis : (vv. 12 et 13.) Ne demeurez point au milieu des
femmes
; car comme le ver s’engendre dans les vêtemens,
s’engendre dans les vêtemens, ainsi l’iniquité de l’homme vient de la
femme
; c’est-à-dire comme le ver se forme dans les vê
t ajoute (v. 14.) : Un homme qui vous fait du mal, vaut mieux qu’une
femme
qui vous fait du bien, et qui devient un sujet de
flige est moins à craindre que les manières douces et agréables d’une
femme
, même vertueuse et bienfaisante. Pourquoi ? Parce
, et être par là une occasion d’acquérir des mérites ; au lieu qu’une
femme
qui gagne et attire par ses bonnes manières et pa
cclésiastique : (c. 9, vv. 12 et 13.) Ne vous asseyez jamais avec la
femme
d’un autre ; ne soyez point à table avec elle, ap
s dans tous les endroits qui viennent d’être rapportés, à l’égard des
femmes
, sont également nécessaires aux femmes par rappor
’être rapportés, à l’égard des femmes, sont également nécessaires aux
femmes
par rapport aux hommes, et leur sont par conséque
sonnages se sont trouvés, leur ont été funestes. La vue de Bethsabée,
femme
d’Urie, fit tomber David dans l’adultère. (Liv. 2
16.) Enfin, on voit dans l’histoire des Rois, (L. 3, c. 11.) que les
femmes
étrangères que Salomon aima passionnément, corrom
je n’avais aucune notion de la nature intellectuelle et morale de la
femme
. J’avais perdu ma mère dès mes premières années,
rendre ce que vous ignoriez ; mon père l’aurait pu, il avait adoré sa
femme
, il ne s’était jamais consolé de sa perte. Il n’a
le joug d’une piété austère qui imputait à crime toute pensée dont la
femme
est l’objet. Il résulta de cette contrainte que j
isions en nous-mêmes par le dévoûment, par le sacrifice au besoin. Ma
femme
était une enfant élevée comme moi dans l’ignoranc
s peut-être, parce que, même à présent, je ne suis pas certain que ma
femme
l’eût comprise. Elle était, je vous l’ai dit, une
mon cœur. Ainsi, non seulement j’étais ridicule et insupportable à ma
femme
, mais elle en avait aimé un autre qu’elle regrett
uvre père avait souhaité ce mariage pour moi, parce que la mère de ma
femme
avait été la meilleure amie de ma mère. Cette per
La jalousie me dévorait. Je ne voulus rien laisser paraître, mais ma
femme
vit bien, à mon attitude et à l’altération de mes
que la lettre fût partie ou non, peu m’importait, je n’aimais plus ma
femme
, je la trouvais foncièrement égoïste et cruelle,
. Il ne se plaignait pas ; il m’exhortait au contraire à distraire ma
femme
; mais ces absences le tuaient et je vis qu’il dé
e vis qu’il dépérissait rapidement. Alors je restai près de lui et ma
femme
sortit seule. Ce n’étaient que des promenades dan
sourire d’adorable tendresse, je le vois, je le verrai toujours ! Ma
femme
partagea ma douleur et la calma autant qu’il étai
achai, moi, à la tombe à peine refroidie de mon père, je conduisis ma
femme
chez ses parents. Ils avaient beaucoup aimé les m
et je me cachais pour ne pas attrister ma famille par ma présence. Ma
femme
ne s’en plaignait pas. Au contraire, je la voyais
ux contraste avec notre deuil ; je craignais aussi la fatigue pour ma
femme
dont la santé se rétablissait à souhait. Je la su
voulus point me mêler à la chasse, je suivais la calèche où était ma
femme
, mais à distance, car j’avais, disait-elle, une f
senti. Je me promettais de le dégoûter de ses assiduités auprès de ma
femme
quand nous serions seuls. Mais il fut tué sur le
j’arrivai à temps pour arrêter la voiture et l’empêcher de verser. Ma
femme
ne paraissait pas très effrayée pour son compte,
rès, on le vit mort, dans les bras des piqueurs qui l’emportaient. Ma
femme
poussa des cris perçants. L’aimait-elle encore ?
asse, comme on peut le croire, fut interrompue. Nous rentrâmes, et ma
femme
se mit au lit. Vous savez le reste. Elle ne se re
s sans me reconnaître. Ainsi, en moins d’un mois, j’avais perdu père,
femme
et enfant. J’étais seul au monde. Je courus m’enf
détournés. Quelques-uns m’ont dit, après une courte expérience : « La
femme
est un enfant qu’il faut toujours amuser pour qu’
cultivée et plus développée que celle de la pauvre enfant qui fut ma
femme
, n’avait pas reçu la notion de la douceur et de l
oir les artisans de cette joyeuse harmonie. C’étaient un homme et une
femme
qui passaient. L’homme jouait de l’accordéon tout
de l’accordéon tout en marchant à petits pas. Il était aveugle et la
femme
le conduisait. La musique était si gaie, si diffé
us avertir que le déjeuner était servi. Je demandai à l’homme et à la
femme
s’ils avaient mangé. Quand je découvris qu’ils ét
e. — La plus belle chose qui existe sur la terre, me dit-il, c’est la
femme
. Je lui demandai alors qui était la personne qui
l’accompagnait. Il prit un ton pénétré pour me répondre : — C’est ma
femme
, ma chère femme. Je regardai alors, avec plus d’a
Il prit un ton pénétré pour me répondre : — C’est ma femme, ma chère
femme
. Je regardai alors, avec plus d’attention, l’être
ugies, je demandai à l’aveugle mélomane : — Et elle vous plaît, votre
femme
? — Certes. — Vous la trouvez jolie ? — Très jol
. — Vous la trouvez jolie ? — Très jolie. — Plus jolie que les autres
femmes
? Comme il avait peuplé sa nuit de beauté, mon op
beauté, mon optimiste répliqua : — Je ne dis pas cela, car toutes les
femmes
sont belles. Mais elle est meilleure, oui, meille
e dame, est-ce que sa bonté n’est pas peinte sur tout son visage ? La
femme
, les yeux bas, regardait toujours son tablier ble
ai ma chère compagne d’aujourd’hui et que je l’épousai. C’était, — la
femme
me le dit elle-même, à mi-voix, — une cuisinière
ets pour un grand concert. J’étais dans la salle et les observais. La
femme
était émerveillée de voir tant de gens élégants à
is jamais. L’homme, que j’avais vu souffrant, devait être mort, et la
femme
, la pauvre vieille, si laide, au tablier bleu, n’
avec les yeux de l’imagination, l’aveugle le voyait. *** Un jour, la
femme
de ménage qui venait chez nous, chaque matin, à P
t inexacte ! Voici ce que j’avais appris sur le compte de cette brave
femme
. Trois ans plus tôt, une de ses voisines, une ouv
rents, et personne ne voulait s’occuper d’elle. La malheureuse petite
femme
de ménage, pourvue d’un mari ivrogne et de six en
plus intelligents. Or, toujours, en tous temps, j’avais vu ma petite
femme
de ménage joyeuse. Je me demandais de quelle gaît
anglots : — Je pleure… je pleure… parce qu’elle… est morte… la pauvre
femme
. C’était sa voisine, la paralytique, qu’elle plai
Sommaire. — Pourquoi on aime notre monde. — L’indépendance de la
femme
. — Pourquoi elles deviennent biches ou se marient
indépendance a toujours été le premier besoin de l’homme, comme de la
femme
, du reste. II La plupart de celles qui romp
pour respirer. Le besoin d’être libre est tellement développé chez la
femme
, qu’elle se jette dans les bras du premier venu,
son. Les moralistes ont cherché bien loin la cause de la débauche des
femmes
. Elles aiment l’air, voilà tout. VI Mais tr
hanté, beaucoup dessiné, on ne le dira jamais assez. Elles deviennent
femmes
de ménage, ouvreuses de loge ou balayeuses. VI
égaré au bal de l’Opéra qui oserait refuser cinquante centimes à une
femme
? Surtout pour les employer comme elle prétend le
inquante centimes demandés une cinquantaine de fois dans la nuit, les
femmes
se font par chaque bal une petite rente de quinze
au vestiaire. L’espoir de Carpentras, heureux de rendre service à des
femmes
à tournure gracieuse, n’hésite pas à faire ce qu’
e récompense pleine de charmes. On rembourse le provincial. Comme les
femmes
remboursent les hommes. Nota. — Le tour ne réuss
jarretières au besoin. XV Mais c’est dans la vie privée que les
femmes
sont vraiment fortes. Une de mes amies, que je ne
c. 15.) remarque que cet ennemi de la république fit entrer plusieurs
femmes
dans sa conjuration, espérant qu’elles engageroie
s’ils ne le vouloient pas, il les feroit mourir par elles. Entre ces
femmes
, Salluste nomme en particulier Sempronia, qui éto
re ces femmes, Salluste nomme en particulier Sempronia, qui étoit une
femme
distinguée par sa naissance et par sa beauté, qui
en même temps, qu’elle savoit mieux chanter et danser qu’une honnête
femme
ne devoit le savoir : Litteris græcis et latinis
re que quelques personnes arrivées depuis peu en France, ayant vu des
femmes
danser, en furent si effrayées, qu’elles prirent
nt — il est mort tragiquement depuis, écrasé par une voiture, — et sa
femme
, non moins savante que lui. Ils n’étaient jamais
x au regard si droit, était égalé en simplicité par le mari et par la
femme
. Le mari, châtain, long et sec, la femme, petite
licité par le mari et par la femme. Le mari, châtain, long et sec, la
femme
, petite et blonde, avaient tous deux, au même deg
ous nomma très simplement M. et Mme Carrière ; le grand peintre et sa
femme
. Carrière et sa femme sont aussi dépourvus d’oste
ent M. et Mme Carrière ; le grand peintre et sa femme. Carrière et sa
femme
sont aussi dépourvus d’ostentation que Rodin lui-
ari, de même que Berthelot a été conduit à sa dernière demeure, et la
femme
continue l’action commune. Je donnerais beaucoup,
me Loïe Fuller, que j’admire depuis tant d’années, est, pour moi, une
femme
de génie, avec toutes les ressources du talent, é
me nous laissa passer, et, tout en la remerciant, je me disais qu’une
femme
ne devrait pas conduire des chevaux aussi vifs qu
des pieds à la tête. J’étais en train de me rhabiller, lorsqu’une des
femmes
de l’établissement vint me dire : — Voulez-vous,
archiduchesses qu’elles peuvent me voir ce soir au théâtre. La pauvre
femme
m’avoua alors qu’on lui avait défendu de nommer l
i s’il était marié. Il répondit affirmativement. Il avait même quatre
femmes
. Comme je paraissais surprise de le voir voyager
voyager sans elles, surtout dans un pays où il y avait tant de jolies
femmes
, il me regarda longuement à son tour et répondit
femmes, il me regarda longuement à son tour et répondit : — Pour mes
femmes
, une femme blanche n’a ni charme, ni beauté. Ceci
me regarda longuement à son tour et répondit : — Pour mes femmes, une
femme
blanche n’a ni charme, ni beauté. Ceci me surpren
p et je lui demandai si c’était parce qu’elles n’avaient jamais vu de
femmes
blanches. — Oh ! me répondit-il, en aucun cas el
— Oh ! me répondit-il, en aucun cas elles ne seraient jalouses d’une
femme
blanche. Il leur paraît absolument impossible qu’
uses d’une femme blanche. Il leur paraît absolument impossible qu’une
femme
pâle puisse jouer un rôle quelconque dans ma vie.
le quelconque dans ma vie. — Et vous, en êtes-vous aussi sûr ? Si une
femme
blanche, à la longue chevelure blonde, apparaissa
velure blonde, apparaissait tout d’un coup dans votre pays, parmi vos
femmes
noires, ne la prendrait-on pas pour un ange ? — O
atrice elle-même, en lui disant la cause de mon défaut de parole. Une
femme
de cœur, même si elle est impératrice, ne peut co
traits estimables, des actions héroïques, des vertus éclatantes, des
femmes
illustres, dont on conservait en Grèce la mémoire
, et il triompha bientôt des précautions du mari et de la vertu de la
femme
. Quel changement dans les mœurs ? Si la Danse aut
e autrefois fut pendant quelque temps la sauvegarde de la sagesse des
femmes
, ne devrait-on pas dire aujourd’hui ? Maris qui p
éblouis ; Un certain OUVRIER d’ARMÉE, De très illustre renommée ; La
Femme
, d’aspect assez beau, Du Capitaine du Château, Et
t Longueval. GENTILHOMMES DU PAYS : Le Roi et le Marquis de Villeroy.
FEMME
DU CAPITAINE DU CHÂTEAU : Le Duc de Roquelaure. O
eumartin et le Sieur Coquet. GOUVERNEURS DE LA PROVINCE : Le Roi ; sa
Femme
: Madame ; son Frère : le Marquis de Villeroy ; s
s est placé un bassin orné de jets et de nappes d’eau. Une partie des
femmes
du Sérail sont grouppées sur la terrasse ; d’autr
ses pieds ; les esclaves se retirent : il reste seul au milieu de ses
femmes
. Zélis vole dans ses bras, lui présente un bosque
où le voile de Zulmire est enlevé, est marqué par l’action variée des
femmes
du Sérail, on voit la douleur impérieuse des unes
celles qui espèrent encore. Le Sophi au comble du bonheur ordonne aux
femmes
de son Sérail de rendre hommage à Zulmire ; elles
par des raisons d’etat, ne peut voir sans intérêt le désespoir d’une
femme
qu’il à tendrement aimée. Zélis, accompagnée de F
lémence. Zélis frappée de tant de vertus presse contre son sein cette
femme
généreuse. Zulmire la relève et l’embrasse et lui
uques, les Bostangis ; après eux les Ambassadeurs et leur suite : les
femmes
du Sérail précedent l’Em-pereur. La jeune Reine,
nt OCTAVE, Toujours et si leste et si brave ; Où l’admirable AURÉLIA,
Femme
habile, si Femme y a, Et qu’estimait la REINE-MÈR
rs et si leste et si brave ; Où l’admirable AURÉLIA, Femme habile, si
Femme
y a, Et qu’estimait la REINE-MÈRE, Comme une gran
19 juin. « Les
Femmes
de bonne humeur ». Je n’avais pas encore vu Les
juin. « Les Femmes de bonne humeur ». Je n’avais pas encore vu Les
Femmes
de bonne humeur ; aussi le plaisir que j’ai goûté
encore « sabotaient » inconsciemment le Sacre, heureux de danser Les
Femmes
de bonne humeur ; ils s’y amusent avec nous. Tous
mmé Belton paroît inquiet et préoccupé. Il est suivi par Eliza, jeune
femme
Indienne d’une rare beauté. Ses vives caresses, s
e de le quitter et de le suivre à l’instant. Scène v. La jeune
femme
fait ses efforts pour l’appaiser ; elle court che
es actions ; enfin on apperçoit à l’étonnement douloureux de la jeune
femme
, qu’il lui déclare qu’il faut se séparer. Trois n
is ; il en instruit ses confrères ; tous reculent d’horreur. La jeune
femme
est bientôt instruite par leurs propos du projet
apprennent ce dont il s’agit ; ils ajoutent qu’ils ont payé la jeune
femme
pour la soustraire à la violence de Belton et qu’
oît avec ses deux enfans dans ses bras ; il tombe à genoux ; la jeune
femme
vole à ses enfans ; ils paroîssent implorer la gr
glacé. On croit voir un peuple de poupées et de pantins en cire. Une
femme
, passe encore ; mais il me souvient avec horreur
e Lapon gras, fessu, aux larges cuisses, au ventre mou qui faisait la
femme
, bien pis l’almée.
ayeur redouble ; ses cris qu’on suppose, rappellent auprès d’elle ses
femmes
. Elle voudrait leur dire ce qu’elle a vu ; elle m
son accablement continuant toujours, elle se retire soutenue par ses
femmes
. 26Dans le second acte la décoration représente
; on fait des libations. Sémiramis paraît ensuite accompagnée de ses
femmes
avec une guirlande dans le dessein d’apaiser les
échevelée, la mort peinte sur son visage, et se traînant à peine. Des
femmes
accourent et la soutiennent. Ninias s’apercevant
Provençale. — Marguerite la huguenote et l’Indépendance belge. — Les
femmes
célèbres. — Les portraits de mesdames de Sévigné,
ma famille. L’habitué , avec intérêt. Pauvre garçon ! L’ami. Les
femmes
célèbres sont-elles déjà venues ? L’habitué. Pa
sant, arrivent dans la salle des portraits. L’ami. Quelles sont ces
femmes
? Les célèbres danseuses dont nous venons de parl
e. Alice. Tu l’es ! je vois ça… Eh bien ! mon petit, faut amener ta
femme
ici, ça la formera.. L’habitué. Quant à cela, l
habitantes. — Tu vois bien là-bas cette demoiselle qui a l’air d’une
femme
chic, c’est Rosalba-Cancan, une charmante fille q
. — Enfin celle qui arrive en faisant sa tête, c’est Ernestine. autre
femme
dans l’aisance. — Elle a été longue à faire fortu
ves d’Apelles, déguisés en amours, zéphirs, lutteurs et gladiateurs.
Femmes
, esclaves d’Apelles, déguisées en Graces et en Ny
autres en lutteurs et en gladiateurs, grouppés connue l’antique : les
femmes
qui lui servent de modèles, paroissent sous la fo
ipaux officiers ; Campaspe marche à sa droite ; elle est voilée ; ses
femmes
la suivent. Ephestion, favori de ce Prince, march
udit à son génie. Il lui demande s’il n’a point quelques portraits de
femmes
à lui montrer. Le peintre lui présente celui de V
dre voulant lui donner une nouvelle marque de sa bonté, ordonne à ses
femmes
de se réunir à Campaspe, et d’exécuter avec elle
ortent une lance, un casque, un bouclier et des trophées d’armes. Les
femmes
qui servent de modèles à Apelles, tiennent tout c
est svelte, elle a une jambe en l’air et elle est dans l’action d’une
femme
qui vole dans les bras de son amant. Zéphir qui l
uils d’orchestre. Sa lorgnette ne le quitte pas, il la braque sur les
femmes
, comme s’il était à l’Opéra, connaît leurs noms,
n parfum de bonne compagnie qui n’est pas désagréable, il appelle les
femmes
« belle dame », les compare aux roses du printemp
qui, cependant, s’habille comme un jeune homme. Il est marié, mais sa
femme
est vieille et tient les livres. D’ailleurs il ne
tout. Son refrain est : la vie est si courte ! Il met volontiers les
femmes
dans leurs meubles ; ou lui vend le mobilier à qu
que je semblais hypnotiser. A l’issue de la représentation, la jeune
femme
, que je connaissais particulièrement, dit à la pe
oïe Fuller. Soudain, un paravent se replia laissant passer une petite
femme
à l’aspect fatigué, et qui n’avait rien d’immatér
, son regard disait clairement : — Je ne me laisse pas tromper. Cette
femme
raconte des histoires !… J’aurais dû danser pour
des premiers journaux de New-York avait amené un soir, au théâtre, sa
femme
et sa fille pour me voir dans mon rôle de prédile
mpai point ma petite admiratrice. Aujourd’hui, c’est une belle jeune
femme
; mais c’est toujours pour moi une bonne et fidèl
neuf ans. Je vous dis qu’à dix-huit ans je vous demanderais d’être ma
femme
. — Oui, je m’en souviens. — Eh bien ! j’ai dix-hu
y rendis avec de nombreux amis : nous étions douze, parmi lesquels la
femme
du consul général des Etats-Unis, Mme Mason, qui
ion d’un théâtre futur, quelque chose comme le théâtre féministe. Les
femmes
, de plus en plus, prennent la place des hommes, s
a littérature d’imagination ou d’observation appartiendra bientôt aux
femmes
de lettres, et en dépit du brave homme déclarant
aux femmes de lettres, et en dépit du brave homme déclarant que « les
femmes
docteurs ne sont pas de son goût », les doctoress
inuent à passer leurs thèses, et brillamment. Attendez-vous à voir la
femme
grandir en influence et en pouvoir, et si, au dir
me siècle fut le « siècle des Ouvriers », le vingtième sera celui des
Femmes
. C’était au théâtre des Arts, boulevard des Batig
plus de lumière ?… Bien… C’est cela… Merci ! Sur la scène, une autre
femme
, en chapeau de ville, un cahier de notes à la mai
atiques (défiez-vous, au théâtre, de ceux qui parlent trop), ces deux
femmes
menaient la répétition comme une amazone experte
M. Florent Schmitt elle joint les prodiges des effets lumineux. Cette
femme
, qui influa si profondément sur les modes, sur le
ues1. Après elle, rien en danseuses n’étoit supportable. Une grande
femme
, nommée Carville, ne dansoit qu’avec les bras. La
ux d’Echyle ; ce sont de bons diables qui n’éffarouchent pas même les
femmes
. Je ne vous parlerai pas, Madame, de deux autre
Au reste la danse alors offroit bien plus de talens en hommes qu’en
femmes
. C’est tout le contraire aujourd’hui. Le beau sex
, il lutte de force, de vigueur et de talent avec les hommes ; et les
femmes
mettent dans la balance du jugement un poids cons
bileté pour faire manœuvrer ce monde de machinistes, de figurants, de
femmes
et de régisseurs, dans un si petit espace et avec
tromperait pas son amant pour un mobilier en bois de rose. C’est une
femme
qui a des principes. Clémentine l’appelle la femm
de rose. C’est une femme qui a des principes. Clémentine l’appelle la
femme
honnête des Délassements. IX Henriette tien
isait-elle, j’ai besoin qu’on parle de moi, et puis toutes les jolies
femmes
doivent avoir dans leurs vie à se reprocher au mo
ère détestable Elle a l’allure d’une enfant et l’esprit d’une vieille
femme
. Mélanie soutient qu’elle a soixante-dix ans quan
ré aux Bataves ;. on trouvoit encore dans ces magasins des masques de
femmes
tout, aussi volumineux, mais non pas si laids ; i
il n’est fait aucune mention dans les écrits des anciens des noms des
femmes
dont les talens avoient embelli la scène ; ils ne
ériode d’indécence. Il est à présumer que quelque loi interdisoit aux
femmes
l’exercice du théâtre ; la nouvelle Rome, semble
r l’ancienne. Ce sont de jeunes imparfaits, qui chantent les rôles de
femmes
, et de jeunes garçons qui remplissent les fonctio
es objets les plus intéressants et les plus dignes de plaire : si les
femmes
font les délices de la société, elles font encore
et qui laisse découvrir derrière elle un paysage et un lointain. Les
femmes
du sérail sont placées sur de riches sophas et su
s cet instant les Eunuques et les Muets tombent à genoux ; toutes les
femmes
s’inclinent, et les Nains lui offrent dans des co
les esclaves de disparoitre. Le Grand-Seigneur seul au milieu de ses
femmes
, semble indéterminé sur le choix qu’il doit faire
air indécis que donne la multiplicité des objets aimables. Toutes ces
femmes
s’efforcent de captiver son cœur, mais Zaïre et Z
an s’appercevant de l’impression que son choix vient de faire sur les
femmes
du Sérail, et voulant ajouter au triomphe de Zaïr
aisit de ce même poignard, et lève le bras pour en frapper Zaïde. Les
femmes
du Sérail se partagent alors, elles accourent à l
s libres quelles s’élancent l’une sur l’autre avec fureur. Toutes les
femmes
effrayées volent entre elles pour arrêter leurs c
n groupe posé sur un trône élevé sur des gradins ; il est composé des
femmes
du Sérail et du Grand-Seigneur ; Zaïre et Zaïde s
neur se décide, celui où il emmene la Sultane favorite, le combat des
femmes
, le groupe qu’elles forment à l’arrivée du Sultan
gement subit, cette opposition de sentimens, cet amour que toutes les
femmes
témoignent pour elles-mêmes, et qu’elles exprimen
es Janissaires et des Bostangis dans la partie du Sérail destinée aux
femmes
du Grand-Seigneur, et ils objecteront encore qu’i
nement, n’entroient point dans la partie du Sérail ou se tiennent les
femmes
; qu’ils ne paroissoient que dans le jardin, et q
qui laisse découvrir derriere elle un paysage & un lointain. Les
femmes
du Serrail sont placées sur de riches sofas &
et instant les Eunuques & les Muets tombent à genoux ; toutes les
femmes
s’inclinent, & les Nains lui offrent dans des
les esclaves de disparoître. Le Grand Seigneur seul au milieu de ses
femmes
semble indéterminé sur le choix qu’il doit faire
air indécis que donne la multiplicité des objets aimables. Toutes ces
femmes
s’efforcent de captiver son cœur, mais Zaïre &
rcevant de l’impression que son choix vient de faire sur l’esprit des
femmes
du Serrail, & voulant ajouter au triomphe de
it de ce même poignard, & leve le bras pour en frapper Zaïde. Les
femmes
du Serrail se partagent alors, elles accourent à
eine sont-elles libres qu’elles se reprennent avec fureur. Toutes les
femmes
effrayées volent entr’elles pour arrêter leurs co
grouppe posé sur un trône élevé sur des gradins ; il est composé des
femmes
du Serrail & du Grand Seigneur ; Zaïre &
neur se décide, celui où il emmene la Sultane favorite, le combat des
femmes
, le grouppe qu’elles forment à l’arrivée du Sulta
ement subit, cette opposition de sentiments, cet amour que toutes les
femmes
témoignent pour elles-mêmes & qu’elles exprim
anissaires & des Bostangis dans la partie du Serrail destinée aux
Femmes
du Grand Seigneur, & ils objecteront encore q
ement, n’entroient point dans la partie du Serrail où se tiennent les
Femmes
; qu’ils ne paroissoient que dans le jardin, &
éclarée au bon goût. Comment résistera-t-il à ces phalanges de jolies
femmes
, qui proscrivant, la décence même, tantôt Grecque
n’offroient à l’œil aucune ombre vigoureusement prononcée, les jolies
femmes
disoient que c’étoit le seul artiste, qui fut dig
t, tous les moyens propres à satisfaire la variété de ses manies. Les
femmes
le nommèrent à l’unanimité le peintre des Graces
ence des arts ne peut être attribuée, en général, qu’aux caprices des
femmes
, parce que se sont elles, qui régnant despotiquem
, sont, pour ainsi dire, le diapason du ton des sociétés. Lorsque les
femmes
, fatiguées de la folie du jour, proscriront des m
: Combien n’en trouveront-ils pas de précieux dans toutes les jolies
femmes
, lorsqu’elles se délivreront des attirails monstr
aux. Ils immortaliseront la beauté simple et touchante d’un essaim de
femmes
charmantes, elles embelliront la capitale par leu
liront la capitale par leurs grâces, et donneront le ton à toutes les
femmes
de l’Europe. Voilà, Madame, ce que les amateurs
r patrie. Ce changement seroit bientôt opéré, Madame, si toutes les
femmes
vous ressembloient. Ce sont elles qui créent les
vons en Amérique une grande actrice du nom de Madjeska. C’est une des
femmes
les plus intéressantes que je connaisse. Elle est
uel grand penseur il est. Dans toute son œuvre, il est secondé par sa
femme
. Elle aussi est un grand penseur et une femme d’u
, il est secondé par sa femme. Elle aussi est un grand penseur et une
femme
d’une remarquable activité. Elle est l’un des mem
et s’occupe aussi d’autres œuvres, ce qui ne l’empêche pas d’être une
femme
des plus simples et une maîtresse de maison des p
ous suivit, d’abord parce que c’était nous, et aussi parce que jamais
femme
n’eut plus drôle de façon que moi ce jour-là, et
x de la mer rouge, elle prit un tambour à la main, et que toutes les
femmes
marchèrent après elle avec des tambours, formant
quelle tenant un tambour à la main, étoit suivie d’un grand nombre de
femmes
, qui ayant aussi des tambours, formoient des chœu
ela le récit de l’Ecriture : (v. 20.) Marie, conduisant le chœur des
femmes
, répétoit après celui des hommes : Chantons une h
livrer à la licence d’une joie folle et criminelle, et ces chœurs de
femmes
qui répétoient avec une harmonie majestueuse les
ces danses avec la marche si pleine de religion de Marie, que tant de
femmes
ne suivirent alors que pour glorifier Dieu à son
oir les différences entre les danses qu’ils combattent, et celles des
femmes
israélites et de David. Le but de ces danses dont
ne sainte modestie et une gravité convenable. Ainsi s’en allèrent les
femmes
d’Israël après Marie avec des tambours et autres
lorsque ces choses se faisoient, les hommes n’étoient point avec les
femmes
… Or, maintenant faisons comparaison de ces danses
centes sont les mieux reçues. Là, les hommes n’étoient point avec les
femmes
, il n’y avoit point d’embrassemens, de baisers, d
ourd’hui. Rita Sangalli. — A Boston. — Par dessus la rampe ! — La
femme
. — L’artiste. — Son hôtel. — Armes parlantes. — U
de cette espèce de lanterne chinoise aux reflets multicolores est la
femme
la plus froide et la plus sérieuse du monde. Elle
uves d’énergie morale. A un moment de sa carrière, la gracieuse jeune
femme
s’était faite impresaria. Pendant son séjour en A
it son art et sa fille. Aussi, malgré une assez vive opposition de sa
femme
, ne songea-t-il pas un instant à enrayer une voca
st tout ? — C’est tout. Sur quoi je me pris à penser : Il en est des
femmes
comme des nations… Heureuses celles qui n’ont pas
ta mère est une idiote ! Hélas ! plus malheureuse qu’idiote, la brave
femme
! car elle n’eut pas le temps de prendre sa part
qu’un demandait : — Connaissez-vous quelque chose de plus bête qu’une
femme
qui se donne pour cinq misérables louis ? — Oui,
d et le wallon, — et que sa vie est remplie par les occupations d’une
femme
de goût et d’une femme d’esprit. Je sais, enfin,
e sa vie est remplie par les occupations d’une femme de goût et d’une
femme
d’esprit. Je sais, enfin, qu’elle a pris pour dev
a nature toute la magie que le son met au service du génie humain. La
femme
en est l’âme. Elle devient le rythme incarné, la
au son des instruments, les corps admirables de ses éphèbes et de ses
femmes
? Et si dans les sculptures qui nous ont transmis
valeur de cet art. Encouragées par leur intelligente approbation, des
femmes
exquises réjouirent leurs yeux par d’harmonieux s
rent anéantis avec l’Empire. On a vu ailleurs que Domitien répudia sa
Femme
, fit assassiner Pâris qui l’avait déshonorée, et
de l’Empire, par la sagesse qu’il sut opposer aux dérèglements de sa
femme
. Ses Amis (car Marc-Antonin quoique sur le trône,
agasin ou du bureau, artistes infimes et émérites, concierges dont la
femme
a fait le ménage de bon nombre de locataires — et
uis trois heures d’horloge. On en pourrait bien faire assurément Deux
femmes
de cœur, mères de famille, Préparant la soupe et
en somme. Mais non ! Pipelet trouve bien trop laid Le sort obscur des
femmes
qui tricotent, Dignes des bourgeois épais qui rad
aucoup. Le père veilla, lui, toute la nuit. Il ne dit pas un mot à sa
femme
, qui, le matin, s’évanouit en le voyant endosser
xécuté pendant plus de dix ans sans Danseuses. On faisait habiller en
femmes
deux ou quatre Danseurs qui figuraient sous cette
phe de l’Amour 138 fut le premier ouvrage en Musique où quatre vraies
femmes
dansantes furent introduites, et on vanta alors c
Lully. 138. En 1681, dix grands Opéras avaient été représentés sans
femmes
dansantes. 139. Voyez Issé et Le Carnaval et la
s de qualité Etant près de Sa Majesté. L’Autrice de ce bel Ouvrage,
Femme
spirituelle et sage, S’appelle Madame Touzé, Nom
Homme de grand jugement. Créquy, cette belle Personne, Qui quoi que
Femme
est si mignonne, Qu’en son visage triomphant On v
bien son rang, Et qui vient d’un fort noble Sang. Ces Belles, tant
Femmes
que Filles, Représentaient quinze Familles Toutes
pouvanté, Iphise et Electre paroissant s’écrier : c’est ma mère ! des
femmes
grouppées dans les attitudes de la douleur, qui e
ectacle d’horreur les Officiers volent au secours de leur Roi, et les
femmes
se grouppent autour de Cassandre. Scène viii.
corps d’Agamemnon qui n’existe plus : les Officiers l’emportent ; les
femmes
du Palais enlévent Cassandre. Electre et Iphise s
Princesses paroissent ; elles sont couvertes de Deuil, ainsi que les
femmes
de leur suite. Electre et Iphise expriment la sit
fureur, puis elle retombe dans sa première tristesse ; Iphise et les
femmes
font de vains efforts pour la consoler. Scène
d’elle-même, fait peu d’attention aux menaces de la Reine. Une de ses
femmes
lui annonce l’arrivée de deux étrangers qui veule
troisième victime de la fureur d’Egisthe, prie sa sœur et engage ses
femmes
à veiller à la conservation d’un objet si cher à
is de sa famille. Scène v. Oreste, qui voit ses sœurs et leurs
femmes
en deuil, demande à Electre la cause d’un apparei
e l’arrêtent. Scène vi. Dans ce moment, la jeune Iphise et les
femmes
accourent succéssivement ; elles annoncent en tre
garde de son frère à l’amitié de Pylade, et aux soins vigilans de ses
femmes
. Scène vii. Egisthe entre ; les plaintes a
cent autour du tombeau. Après cette marche triste et silencieuse, des
femmes
dansent un hymne autour de l’autel ; elles dépose
ps. Cependant frappé d’une terreur soudaine, il se retourne, voit une
femme
expirante, et ses sœurs en larmes ; il marche à p
it encore auprès d’elle la nourrice qui avait remplacé sa mère. Cette
femme
me raconta que Gab lui faisait faire le cheval, t
e et n’en sort jamais, si ce n’est avec le directeur du théâtre ou sa
femme
, et avec sa mère qui ne la quitte pas. — Est-ce q
teurs, d’écrivains, d’ambassadeurs, et, aux matinées, il y a foule de
femmes
du monde et d’enfants. Toutes les chaises et les
douter qu’elle a du succès. Voulez-vous un exemple ? Dernièrement, ma
femme
l’a conduite dans une grande maison pour acheter
tourbillon de poudre, la valse n’est qu’une étreinte, le culte de la
femme
vient de revivre. L’âme de la danse devait naître
on désir de magicienne et la « Pantomime du rêve » évolue. « Joliment
femme
elle a choisi les plus douces et les plus claires
Juges des enfers . Les Euménides. Démons et spectres. Caron .
Femmes
de la Thrace. Bergers et Bergères. Bacchantes.
rche la solitude pour s’abandonner entièrement à sa douleur. Quelques
femmes
attirées par les charmes de l’harmonie l’engagent
lupté dont elles lui retracent l’image, il les fuit avec dédain : Ces
femmes
irritées le quittent en exprimant leur dépit, et
ir sa sollitude par ces agréables métamorphoses. Scène III. Les
femmes
irritées paroissent à la tête des bacchantes : el
, on ne sait guère ce qu’on aime quand on aime une actrice. Est-ce la
femme
ou le rôle ? Est-ce Ophélia, Desdémone, Phèdre, M
udoir. Maintenant si l’on veut savoir la vérité, la voilà. Les seules
femmes
du monde qui ne peuvent pas avoir d’intrigue, ce
rices. La vie de l’actrice n’est pas murée comme celle de toute autre
femme
. Libres de toute hypocrisie, pourquoi se donnerai
u jour ? S’il est une carrière prosaïque et cerclée d’ennuis pour une
femme
, c’est la carrière du théâtre. Quel esclave, je v
grande, la plus célèbre, la plus riche, la plus enviée, n’est pas une
femme
, c’est un esclave. Aussi fait-elle payer son escl
s mouvemens, mesurés de façons diverses, en assemblées d’hommes et de
femmes
, au son de choses vaines et profanes, et non à au
plus de force aux jeunes personnes de l’autre sexe. Quant aux jeunes
femmes
et filles, ajoutent-ils, ce que la parole de Dieu
e étant le comble du mal dans les danses, c’est que les hommes et les
femmes
s’y trouvent ensemble pour s’y donner réciproquem
oquement du plaisir. « Car, disent-ils, en pareilles circonstances la
femme
est un objet de concupiscence pour l’homme, et l’
femme est un objet de concupiscence pour l’homme, et l’homme pour la
femme
, la matière de l’inflammation est dans tous les d
ient. Non pas toutefois qu’il ne soit jamais permis aux hommes et aux
femmes
de se trouver ensemble ; mais seulement en de sai
et en de telles assemblées, il y a des privautés entre l’homme et la
femme
, tout est perdu… En quelque part que nous découvr
» chapitre X. Et en effet, si la seule rencontre de l’homme avec la
femme
peut par le moyen des regards « allumer le feu de
era se permettre de regarder avec plaisir de nombreuses assemblées de
femmes
et de filles qui dansent, et espérer de n’en rece
inte du pied releuee, se tourner vis à vis, du costé où doit estre la
femme
, afin de faire la mesme reuerence de l’autre pied
u la teste auec le corps faut baiser la main pour prendre celle de la
femme
, & se couurant, commencer gayement en obserua
non en auant, comme plusieurs font, qui par ce moyen incommodent vne
femme
: mais à costé, en l’air, pour le porter d’vn mes
iceluy, il ne faut que passer vne demy capriole en tournant deuant la
femme
, ou du moins en faire le temps pour finir vne reu
resence de quelques personnes qualifiees, sinon se tournant deuant la
femme
, elle se doit commencer du pied gauche, du quel s
t, le desgager doucement, en baisant la main pour prendre celle de la
femme
, & se couurant, se remettre à fin de commence
cadance.) Il faut partir par vn temps ou deux, en tournant deuant la
femme
, selon que la Musique obligera, à fin de finir ce
& des pas assemblez, qu’il fera en se retirant en presence de la
femme
, ce qu’estant obserué, on laissera ceux du bransl
la teste auec le corps, pour baiser la main & prendre celle de la
femme
, il l’amenera au bas bout, vis à vis de la compag
e reuerence, comme on luy a enseigné à la Courante, puis reprenant la
femme
par la main, la conduira iusques au milieu de la
personne qualifiee il refera la mesme reuerence, sinon qu’il saluë la
femme
seulement : Puis prenant son chemin vers la main
l lui destinait le rôle principal. C’était la Chatte métamorphosée en
femme
, tirée par Coralli et Duveyrier d’un vaudeville d
ce que lui offrait, avec, en plus, toute la magie des attraits de la
femme
, le ballet renouvelé par Fanny Elssler. Très éloi
ême temps qu’ils fixent les caractères généraux de son talent. Jamais
femme
de théâtre n’a trouvé, pour la décrire, un écriva
our, le désir avec toutes ses coquetteries, l’homme qui attaque et la
femme
qui se défend mollement forment le sujet de toute
a puissance d’expression, lorsqu’elle créa la Chatte métamorphosée en
femme
, le 16 octobre 1837. Il y avait longtemps qu’on
core, si par hasard sa main rencontre sa blanche fourrure d’hermine ;
femme
, elle se souvient de ses frayeurs d’enfant, et sa
me qu’au moyen d’un bonnet magique la chatte pourrait être changée en
femme
. Il consentit à la métamorphose et ce fut la prin
qu’à ce que le jeune homme plaçât mieux ses affections et préférât la
femme
à la bête. Tout ce manège avait été rendu avec un
ier parla peu de Fanny Elssler à propos de la Chatte métamorphosée en
femme
, c’est qu’il travaillait au même moment à un port
ndeurs de l’hermaphrodite antique ; comme elle est une très charmante
femme
, elle serait le plus charmant garçon du monde. «
à la même époque le portrait des deux mêmes personnages. C’était une
femme
du monde, Mme de Mirbel, la miniaturiste attitrée
Depuis lors il avait de nouveau traité un peu trop cavalièrement les
femmes
de théâtre en donnant le nom de Déjazet à une jum
atteur que tous les applaudissements du monde ; car il s’adresse à la
femme
et non pas à l’actrice, et l’on est toujours plus
L’on peut dire hardiment que Mlle Fanny Elssler est la plus belle des
femmes
qui sont maintenant au théâtre ; d’autres ont peu
dépens d’autre chose. On ne dit pas, en la voyant, comme de certaines
femmes
: « Dieu ! les beaux yeux ! ou les beaux bras ! »
lque défaut caché, la taille plate ou le genou mal tourné ; une belle
femme
surprise n’a point une pudeur si féroce : Mlle El
ec. « Ses bras admirablement tournés sont moins ronds que des bras de
femme
ordinaire, plus potelés que des bras de jeune fil
une athlète. Aussi, Mlle Elssler plaît-elle à tout le monde, même aux
femmes
qui ne peuvent souffrir aucune danseuse. « La rep
la Volière qui n’avait réussi qu’à moitié. La Chatte métamorphosée en
femme
avait disparu de l’affiche. L’administration étai
ng, il fut obligé de sortir… De l’orchestre et de l’amphithéâtre, les
femmes
se sauvaient, tant pour échapper aux éclaboussure
lle Elssler a pu s’en convaincre par elle-même), où, même à une jolie
femme
, il n’est pas permis d’être enfant. » Lorsque Fa
de maintien, tout ce qui me passera par la tête, je veux devenir une
femme
littéraire, j’ai envie d’être de l’Académie. Je n
d’avoir failli et leur permettent de continuer leur petit commerce de
femme
abandonnée. — La société est mal faite, disent-il
r la morale. XI Ils ont plutôt l’air de jeunes gens à qui les «
femmes
» en ont fait voir, ce qui pourrait bien être vra
ours leurs fautes. Pendant ce Dialogue mêlé de Danse et de Chant, une
Femme
maltraitée par des Avocats, des Procureurs et des
on air de pauvreté, ils la méprisèrent. Alors plusieurs quadrilles de
Femmes
jeunes et belles parurent. La Vérité s’approcha d
qu’elle occupe dans la société. J’avais entendu dire qu’elle était la
femme
qui avait le plus d’influence à la Cour d’Autrich
ouffle de notre Ouest lointain. Bonne, énergique et gaie, c’était une
femme
franche, cordiale et sincère, et je me sentis aus
e buffet était des plus appétissants. L’ambassadeur d’Angleterre, sa
femme
et sa fille arrivèrent les premiers. Il y eut un
l’aimai ! Pour moi c’était la plus belle chose du monde. J’oubliai la
femme
et toutes ses fautes, ses sottes inventions, ses
yeux fixés sur son vaisseau, de vouloir y monter avec sa sœur et ses
femmes
, pour en examiner l’intérieur. La Reine, vivement
ors elle prend la noble résolution de se dévouer ; elle ordonne à ses
femmes
de lui ôter son manteau royal, son diadême, et de
tracent sur ses traits, elle se frappe et tombe dans les bras de ses
femmes
. Hercule et Ismène, qui paroîssent, n’ont pu arrê
vie, et il la lui montre entourée de sa sœur, de ses enfans et de ses
femmes
; Admète s’approche de ce tableau avec effroi, et
assurément, Un plaisant divertissement. Plus de six mille Hommes, que
Femmes
, Dont étaient plusieurs belles Dames Dignes de re
rivalité formidable des attractions ? On vient d’applaudir une jeune
femme
en maillot pailleté qui, suspendue au trapèze par
» ! C’est encore à l’Olympia que j’ai vu Mme Yurieva. C’est une jeune
femme
grande et belle qui exécuta le fameux adage du Cy
ans toutes les folies. Il avait un goût effréné pour le jeu, pour les
femmes
, pour tous les raffinements de la sensualité et p
multueuse de son existence, qu’il eut l’idée bizarre de se marier. Sa
femme
regretta bientôt la plus déplorable des erreurs,
0 thalers, en dépensaient de 300 à 400 en un seul souper offert à des
femmes
de théâtre ou à des filles de joie. Gentz n’est p
t des aspirations plus hautes. Il continuait de correspondre avec une
femme
qu’il avait connue dans sa jeunesse au cours d’un
it possible la continuation des relations amicales, lorsque l’aimable
femme
l’eut un peu sévèrement remis à sa place. Bien as
place. Bien assez de bonnes fortunes le consolèrent des rigueurs des
femmes
vertueuses ou trop fières. Son journal mentionne
ari de Rahel, loin d’être choqué de ces lettres qui détaillaient à sa
femme
les joies et les souffrances d’un sexagénaire amo
s ce billet que les formules compliquées d’une galanterie sénile. Une
femme
pouvait y percevoir le murmure discret d’une pass
100 qu’un galant de son âge aurait le sort qu’Agnès, dans l’Ecole des
Femmes
, inflige à Arnolphe ? Gentz, quoiqu’il connût son
erie sans bornes. Le prince ajoutait que d’ailleurs il aurait été une
femme
des plus séduisantes et qu’à un âge avancé il aur
je vous déclare que, si vous voulez maintenant encore vous changer en
femme
, je serai demain votre amoureux. » Et Gentz de ré
suis très reconnaissant de ce compliment ; il me démontre que si une
femme
ou une jeune fille était assez folle pour me perm
e Gentz, une complète absence de pruderie et de préjugés chez une des
femmes
du monde les plus considérées du Berlin de 1830.
venant se serrer contre sa mère qu’il ne connaît pas encore. Les deux
femmes
auraient pu se parler à mi-voix ; elles ne le fon
nt sa principale raison de vivre était approuvée, encouragée, par une
femme
dont le jugement était décisif à ses yeux. Sûr dé
. Elle a dû paraître timide et gauche, pense-t-il ; en présence d’une
femme
dont elle a entendu vanter l’intelligence merveil
ne venait point de l’âme, ce serait alors une preuve de plus que les
femmes
sont de redoutables créatures. « Jamais, fût-ce d
bras d’un amant, une explication qui serait valable pour beaucoup de
femmes
de sa profession. Il n’y avait pas chez elle de d
e raison essentielle qui explique pourquoi une liaison, dont d’autres
femmes
de son âge et, de plus, suivant la même carrière,
enus dont la source menaçait sans cesse de se tarir. Elle qui fut une
femme
pratique et qui montra plus tard une grande habil
e vérité : il est établi que le prince de Metternich comptait sur les
femmes
pour étouffer chez le duc de Reichstadt des rêves
urée du fils de l’Empereur aurait été causée par la fréquentation des
femmes
, il dit : « On a prétendu aussi qu’il avait noué
a-t-il pas de mal, ou y en a-t-il peu que les hommes dansent avec des
femmes
? Et voici sa réponse : « Il n’y a rien au contra
’elle brûle, un jeune homme pourra aussi danser avec une fille ou une
femme
sans brûler du feu de l’impureté. » Bellarmin rap
e vois pas comment ce n’en est pas un que des hommes dansent avec des
femmes
, la danse pouvant facilement porter à ces crimes.
omme ils sont appliqués à jeter dans le cœur des hommes à l’égard des
femmes
, et des filles à l’égard des hommes, les étincell
qu’elles avoient sur la tête comme des couronnes d’or, des cheveux de
femme
, et des dents comme des dents de lion : et voici
montrées à St. Jean comme ayant des couronnes d’or et des cheveux de
femme
, et étant semblables à des chevaux préparés au co
à une danse où il n’y a point d’instrumens, et que vous y voyiez des
femmes
, et des hommes encore plus efféminés que les femm
vous y voyiez des femmes, et des hommes encore plus efféminés que les
femmes
, faire en silence tous les différens tours qui se
chantent, ils dansent Ballets, Tantôt graves, tantôt follets ; Leurs
femmes
ne sont pas fort belles, Mais paraissent spiritue
à l’impureté et aux danses, qui portent à la débauche ; combien leurs
femmes
feroient-elles mieux d’employer ce jour-là à leur
sous la loi de grâce, sont obligés à une plus grande sainteté ! Une
femme
, est-il dit dans le Deutéronome, (c. 12, v. 5.)
12, v. 5.) ne prendra point un habit d’homme, ni un homme un habit de
femme
; car celui qui le fait est abominable devant Die
e scandales peuvent naître de ce changement d’habits de son sexe ! La
femme
, en changeant ainsi d’habits, se dépouille assez
épouille assez aisément de la pudeur et de la modestie naturelles aux
femmes
; et l’homme aussi, en prenant l’habit qui convie
gé, Monsieur, l’opéra, de modèle qu’il étoit, est devenu la copie des
femmes
de la ville. La première qui arbora l’étendard de
elle nature. Cette mise scandaleuse fut adoptée par toutes les jeunes
femmes
; celles d’un certain âge la critiquoient, les un
agnifique s’est métamorphosée en scène de scandale et d’impudeur. Les
femmes
de la ville changent de forme et de costume tous
t Egyptiennes : quelques semaines après elles adoptent le costume des
femmes
du sérail et l’abandonnent ensuite pour prendre c
a été remplacée pendant quelque tems par des perruques ridicules. Les
femmes
qui étoient brunes aujourd’hui, étoient blondes l
ez chercher les divertissemens des spectacles. De plus, vous avez une
femme
et des enfans ; si vous les aimez comme vous le d
mari qui veut mener une vie honnête et chaste, que la compagnie de sa
femme
? Quid enim, quæro, filiis jucundius ? Quid uxor
: On croiroit que les Romains, qui ont inventé ces plaisirs, n’ont ni
femmes
, ni enfans ; faisant entendre par là que pour qui
vivre honnêtement, il n’y a rien de plus doux que la compagnie de sa
femme
et de ses enfans, et qu’elle peut tenir lieu de b
Philoclète . Lycas . Junon. La Jalousie. Compagnons d’Hercule.
Femmes
de la suite de Déjanire. Peuples vaincus. Prêtr
L’espérance et le calme renaissent dans son cœur ; elle appelle ses
femmes
, elle demande Lycas, elle lui ordonne de porter à
nire enchantée de l’effet que produira ce présent, se retire avec ses
femmes
, en s’applaudissant d’une ruse innocente qui doit
poignard, s’en perce le sein et tombe expirante dans les bras de ses
femmes
. Hilias, effrayé de tant de malheurs, partage ses
« à quatre pattes » ; et même dans ce réjouissant galop de singe, la
femme
reste belle. C’est là le prologue. Elle revient s
son insolent nez d’argent et pousse un dernier hoquet. Ce débat de la
femme
avec les voix, ce dialogue des mouvements avec le
ne force musculaire peu commune, au souffle remarquablement réglé. La
femme
, fine, le corps comme forgé à l’enclume, sait se
plan ? Mais la surface du lécythe ionien dont ils font la frise. Ces
femmes
ne sont pas des danseuses en liberté, lancées dan
rondeurs, en faisant courir le long de ses flancs cette guirlande de
femmes
? Ces bas-reliefs mouvants ne seraient plus plaqu
dit qu’on l’a pris pour un tas de choses, mais jamais encore pour une
femme
: Dumas riait encore et il baisa ma main, ce dont
telle valeur, qu’allez-vous me donner en échangé ? Je répondis qu’une
femme
ne pouvait donner qu’une seule chose pour une pen
lions de la Dame aux Camélias et du Demi-Monde et de l’immoralité des
femmes
qui le composent. Il dit alors cette chose que je
a danse russe est exécutée avec la grandeur naïve et désinvolte de la
femme
de peuple russe, le pas norvégien est une « humor
province de l’Espagne. C’est la fête de ce village ; le Bailli et sa
femme
, son fils, sa brû et leur enfant dans un Age très
les personnages nobles de ce ballet. Le maître d’école du village, sa
femme
, la servante du Bailli et son vieux domestique en
vieux domestique et à la Duègne ; gravité du maître d’école et de sa
femme
; musique caractérisée ; danse bien adaptée à cet
avec des échelles en escaladant les fenêtres. Pendant cet assaut, les
femmes
des bandits qui sont restées sur la montagne, for
vant ensuite des échelles il monte avec précipitation, va chercher sa
femme
, lui confie son entant, les embrasse l’un et l’au
e en furieux pour porter du secours a son père et à sa mère. La jeune
femme
pâle, échevelée et mourante ne sait de quel coté
haîné le jeune homme ; ils trainent avec brutalité le vieillard et sa
femme
; le jeune enfant vole à son père ; il lui montre
omme comme un Lion furieux se débarrasse de ses chaînes, il vole à sa
femme
; le grand père et la grand mère y courent et se
on présente des fleurs et des fruits au seigneur et à son épouse. Les
femmes
des Miquelets arrivent, et la fête courte et vari
t fit paroitre par le pouvoir de son art tous les héros et toutes les
femmes
illustres qui dévoient naître de l’union de cette
que de faire attendre celle qui doit danser avec vous. 61. Homme et
Femme
prest a faire la premier Reverence avant de Dance
gauche aussi à côté d’elle 9. à la deuxiéme position. 63. Homme et
Femme
faisant la Reverence pour Dancer Ces deux Figur
tait vidée. Nous n’étions plus que six sur la scène : M. Marchand, sa
femme
, le second chef d’orchestre, — M. Henri Hambourg,
mandez à M. Marchand, dis-je à Marten Stein, pourquoi il a engagé une
femme
qui fait une imitation de mes danses alors que vo
gagement. — Non, déclarai-je, si j’entre chez vous, il faut que cette
femme
s’en aille. — Mais, dit-il, je l’ai engagée, elle
ntation. — La Révolte au Sérail. — Caprices et fantaisies d’une jolie
femme
. — Le mariage forcé. — Pauline Leroux. — Madame A
demoiselle Miller) dont j’ai parlé tout à l’heure. Gardel poussait sa
femme
. Milon protégeait sa belle-sœur. La lutte fut viv
richement reliés. A quelques mois de là, Napoléon demanda à la jeune
femme
: — Eh bien ! avez-vous été contente de Fontanes
ogique est persuasive. Elle s’écriait, il y a quelque temps : « — Les
femmes
sont, en vérité, bien singulières : elles se font
t –à prouver qu’il y a au monde quelque chose de plus agréable qu’une
femme
qui tourne sur l’ongle de l’orteil avec une jambe
r retraité, c’était le pouvoir souverain qu’exercent les pleurs d’une
femme
, alors qu’ils sont les stalactites des longs cils
ne fabriquait, d’abord, qu’un affreux petit monstre vert qui devenait
femme
peu à peu… Ce détail, n’ayant obtenu qu’un succès
us animées, et de donner une idée d’un conseil de guerre tenu par des
femmes
. Un rire général et des applaudissements unanimes
tiste. La dent était dans la boîte !… — Malheureux ! s’écria la jeune
femme
, je vous avais demandé la dent du bas, et vous m’
. Madame Alexis Dupont C’était la sœur de Lise Noblet et la
femme
du chanteur à la voix blanche que vous savez… Le
. Louise, — la brune, — est restée, pendant des années, la plus forte
femme
et la meilleure mime du corps de ballet. Elle est
a laisser. L’engouement pour cette nouveauté fut extrême. Toutes les
femmes
essayèrent de se vaporiser à l’aide de jupes de t
la Chambre des pairs pour avoir tiré sur Louis-Philippe… Et la pauvre
femme
, épouvantée à l’idée de voir un simulacre de tête
tait un air vif et original : — Qu’est-ce que cela ? demanda la jeune
femme
au général. — Madame, c’est la polka. — La polka.
able boiteux, Fanny Elssler créa à l’Opéra la Chatte métamorphosée en
femme
, la Tarentule, la Gipsy, la Volière, — ce dernier
mour, le désir avec toutes ses coquetteries ; l’homme qui attaque, la
femme
qui se défend mollement forment le sujet de toute
le maître voulait quelque chose de plus qu’une élève. Il voulait une
femme
. Carlotta se sacrifia à son art, à son avenir. Il
ssaient à vue de nez. Il fallait, dit M. de Boigne, entendre la jeune
femme
raconter quelle vie de galères elle menait en com
es à l’aiguille dans lesquels elle excelle. On ne croirait pas qu’une
femme
, qui se sert si bien de ses pieds, se servît si a
mérite aux artistes lyriques. Sa grande ambition était de produire sa
femme
dans un rôle où elle pût donner à la fois la mesu
vrai, rentré à l’Opéra ; mais à la suite et comme appoint de la jeune
femme
. On lui avait bien promis qu’on lui donnerait peu
ous les grands arbres séculaires de la place de Gand, comme une jeune
femme
qui viendrait de danser une contredanse dans un s
e du Roi mort. Cette Pompe était suivie d’un grand nombre de vieilles
femmes
couvertes de longs manteaux noirs. Elles pleuraie
s pièces les plus délicieusement ordonnées du monde, je vis une jeune
femme
, grande, svelte, blonde et admirablement jolie. L
les meubles, la décoration, tout était tellement personnel à la jeune
femme
, que le palais disparaissait. J’oubliai où je me
savoir que vous étiez une princesse. — Mais, répondit-elle, c’est la
femme
que vous connaissez maintenant et non la princess
nger la Princesse. Il est vrai que je n’aurais point découvert quelle
femme
adorable elle est et de quelle qualité rare est s
livre n’est ni un scandale ni une œuvre impie. C’est une fantaisie de
femme
. Une coquetterie de danseuse qui a voulu prouver
tatue égyptienne de la haute époque ou encore à ces admirables jeunes
femmes
américaines, qui viennent sur nos tréteaux exécut
ntes, Napoléon s’était écrié : — Quelles horreurs ! D’où viennent ces
femmes
? Qu’on en ait d’autres ! Le ministre de la polic
ar on peut faire d’une marcheuse : Une rentière, Une grande dame, Une
femme
honnête, au besoin… Tout ce qu’on voudra, — tout,
et de deux chevaux, on les lui fait parvenir sous enveloppe. » Cette
femme
de sens entendait ne rien perdre sur le lavage.
rant à part lui : — J’en serai quitte pour me débarrasser de la brave
femme
à un moment donné. On soupa donc… à trois, — l’am
lies ! Plus de ces insolences de luxe qui font regretter aux honnêtes
femmes
que la vertu soit si mal payée ! Où ces belles in
s malheurs. Hélène, la plus belle et la plus dangereuse de toutes les
femmes
de la terre, fut enlevée d’abord par Thésée, et e
s’accoutumassent à mépriser l’opinion du vulgaire ; d’où vient que la
femme
de Léonidas nommée Gorgo, répondit, à quelques Da
couvre au mari jaloux de la Déesse, les pièges que celui-ci tend à sa
femme
volage, et à son redoutable Amant, le prompt effe
teurs dans une espèce de ravissement qui allait jusqu’à l’extase. Les
femmes
, dans ces moments, hors d’elles-mêmes, perdaient
sorcière n’a jamais été jeune, elle est née à soixante ans, l’âge des
femmes
de lettres ; elle apporte avec elle l’effroi et l
il découvre la légère Sylphide ; il prend ce bel oiseau ailé pour une
femme
de la terre ; il l’a vue recevoir un baiser, et i
et il s’en va pour avertir la fiancée. « Accourez, accourez tous, une
femme
est là, brillante et parée ; elle m’a vue, elle s
seule, mais suivie de toutes les vieilles du sabbat, et ces horribles
femmes
s’abandonnent à leur horrible joie tant qu’elle p
nt appartenir à un autre monde, tant ils sont grêles et fugitifs. Ces
femmes
sont vêtues de tristes haillons souillés de cendr
ant le pas du second acte ! Ce pas là était son chef-d’œuvre. Pas une
femme
ne le danse et ne le dansera, comme elle le dansa
là un décor simplifié avec goût. Mais nous avons vu Pulcinella et Les
femmes
de bonne humeur : à quoi bon cette piquette après
n prennent plus qu’il ne leur en faut pour marcher. On voit de jolies
femmes
en faire présent à leurs amans. Quelques-unes en
uvres, restent dans leur premier état. Pendant cette Scène, plusieurs
femmes
charmantes distribuent de ces robes à la dérobée.
ance. On les voit se promener, en s’examinant d’un œil satisfait. Des
femmes
font entrer dans le mortier quelques-uns de leurs
ou quelqu’héroïne, il faisoit faire alors un masque ressemblant à la
femme
qui en ce moment captivoit son coeur. Juvenal apo
’exprime ainsi : « Le pantomime est un monstre, qui n’est ni homme ni
femme
, dont toutes les manières sont plus lascives que
; et que le maître qui a su faire ressembler davantage un homme à une
femme
, est celui qui passe pour avoir fait le meilleur
Chapitre V marie taglioni Quatre
femmes
, toutes quatre danseuses, portèrent, avec un écla
’Empire. Elle avait une sœur, réputée pour sa beauté, qui, devenue la
femme
d’un gentilhomme italien, faisait dire : « Voir V
t ; mais que cette danseuse, cette grande révolutionnaire ait été une
femme
mal faite, bossue même, sans beauté, sans aucun d
ui manquât de décence et de pudeur. Il lui disait : « Il faut que les
femmes
et les jeunes filles puissent te voir danser sans
le se faisait une vertu ; pourvue d’appas médiocres par la nature, la
femme
disparaissait chez elle derrière la danseuse qui
nt, cette matière impondérable qui avait les apparences d’un corps de
femme
. Un admirateur anonyme analyse de la façon suivan
ification idéale, nous apparaît symbolisée par cette figure de conte,
femme
et libellule, qui plane dans le nuage diaphane de
claque. « Non, non, Taglioni ! s’écrie-t-il avec feu, non, Noblet !
femmes
aimables, voluptueuses, enivrantes ! On ne vous a
à la danseuse souveraine. Il lance cette apostrophe : « O Taglioni !
femme
charmante ! Psyché de la danse ! toi si heureuse
remolds, le repentir et la douleur ; (cris prononcés par un choeur de
femmes
) que dans cet instant, on voye les rideaux s’ouvr
ssant d’un instant de calme ouvroit les yeux, et, en apper cevant une
femme
voilée et mourante, secourue par Electre et entou
oilée et mourante, secourue par Electre et entourée par un ! foule de
femmes
empressées à la soutenir, s’approchoit d’elle en
ment. Je leur demanderai si le sujet de Médée est bien joyeux, si une
femme
jalouse et barbare qui empoisonne sa rivale, brûl
ire qu’elle se trompait. Elle me fit voir alors la photographie de la
femme
divorcée de l’un de mes frères, qui imite tout ce
ames, que n’embarrassent point les scrupules. Aussi je ne suis pas la
femme
, — on voudra bien me croire sur parole, — qui, da
gravité des Sénateurs, et déshonorait sans scrupule les plus honnêtes
femmes
de Rome. Dans un Bal Masqué que la Duchesse de Be
généré intérieurement et mérita, par la beauté que lui donnèrent deux
femmes
surtout, Marie Taglioni et Fanny Elssler, d’autre
. Des chameaux passaient sur la scène. Quelquefois on appliquait à la
femme
le nom de l’animal. Sous la monarchie de Juillet,
convenables ? Y a-t-il au monde quelque chose de plus agréable qu’une
femme
qui tourne sur l’ongle de son orteil avec une jam
Carlotta Grisi (c’est d’elle qu’il s’agit), devint son élève, puis sa
femme
. Cette union fut plutôt une association professio
sola certainement un peu le jour où, vaincu par sa laideur, il vit sa
femme
le quitter pour un poète aux traits olympiens, à
t un sujet supérieur, capable de régénérer la danse. Parmi ces jeunes
femmes
qui eurent pour des raisons diverses une heure de
rs un talent de deuxième ordre. De Boigne la note ainsi : « Charmante
femme
, charmante danseuse, qui a toujours frisé le succ
armin vivant et souriant. La gorge un peu haute, ainsi qu’il sied aux
femmes
de qualité. Les extrémités fines comme un article
ure qui file à travers les avenues du Vésinet, conduite par une jeune
femme
habillée avec goût. Le cheval a du sang. Le domes
sinet surélevé, pour caresser du fouet la croupe de sa bête, la jeune
femme
a des mouvements, des attitudes qui restent toujo
euille ? Mademoiselle Montaubry Si les blondes sont deux fois
femmes
, elle est femme deux fois et demie. C’est une cou
moiselle Montaubry Si les blondes sont deux fois femmes, elle est
femme
deux fois et demie. C’est une cousine de l’ex-tén
jeté-battu en jupon, un rond de jambe en maillot, un entrechat passé
femme
! Elle danse partout. Elle danse toujours. J’imag
ourra graver l’inscription suivante sur le fronton de l’Opéra : aux
femmes
fécondes la patrie reconnaissante. Mademois
r, leur sociabilité, et même leurs défauts. Et en vérité, lorsque les
femmes
applaudissaient Nourrit, Duprez, Levasseur, Baroi
e appartenait à la marquise Aguado, toujours entourée des plus jolies
femmes
de la colonie espagnole. La grande baignoire de g
ces physiques des figurantes : « Quelles horreurs ! D’où viennent ces
femmes
? Qu’on en ait d’autres ! » Dès le lendemain, le
aux, qui avait établi deux escaliers, un pour les hommes, un pour les
femmes
, et allongé d’un tiers les jupes du corps de ball
ion animée, et de donner une idée d’un conseil de guerre tenu par des
femmes
. Un rire général et des applaudissements unanimes
que avec le prince Adalbert de Prusse ; Sangalli, en 1886, devient la
femme
légitime du baron de Saint-Pierre, ancien diploma
les places d’habitude qu’ils occupent à nos spectacles, cet essaim de
femmes
à prétentions qui cherchent sans cesse le plaisir
pûmes goûter véritablement cette « chorégraphie de chambre » dont Les
Femmes
de Bonne Humeur et Le Spectre sont de bien attray
] L’homme doit avoir une manière de danser qui diffère de celle de la
femme
; les temps de vigueur, de force et l’exécution h
défaut de faire danser les hommes de la même manière que dansent les
femmes
, de sorte que tous ses élèves sont maniérés et af
our peu et lui ne veut pas pour rien comme fait Guerra qui a donné sa
femme
par-dessus le marché et je vous assure que le par
agée au Théâtre Français d’ici pour jouer les mères nobles, la pauvre
femme
a eu bien des déboires ; Mademoiselle Damoreau qu
un pot de fer ! Mademoiselle Valérie Miro est aussi venue ; la pauvre
femme
a débuté, a eu assez de succès dans les Jeux de l
sauvage bravant les feux du soleil. Ainsi tu révélais à l’univers, ô
femme
, ce que l’univers a de plus secret, et parfois, d
jambe. Ce travail avait été exécuté par Mlle Félicie de Fauveau, une
femme
sculpteur, née à Florence de parents français, fo
ne joie trop pénétrante. En la voyant, vieillards, enfants, hommes et
femmes
, tous se mirent à pleurer dans le paroxysme d’une
ivilisé… Succombant sous une sensation trop vive pour une poitrine de
femme
, elle tomba à genoux devant la montagne de fleurs
uple, aussi vigoureuse que jamais. Le critique Herz déclara : « Trois
femmes
seulement ont produit sur nous une impression gra
« L’illustre danseuse, idolâtrée de toute l’Europe, était alors une
femme
d’environ soixante ans, mais produisait toujours
avait qu’un pas. « Comment ici ? en robe de soie noire ? une vieille
femme
comme moi ? » Elle se déroba un moment avec la pl
ée en année plus rares, jetés au feu les uns après les autres par une
femme
de sens rassis qui n’attachait plus aucun prix à
rême vieillesse. Au premier rang des intimes se place Betty Paoli, la
femme
poète, dont l’âme passionnée avait été meurtrie p
été la dame de compagnie de la princesse Marie-Anne de Schwarzenberg,
femme
du célèbre général. Le fils de celui-ci, le princ
bert demanda à sa voisine de table en montrant celle qui avait été sa
femme
: « Quelle est donc cette institutrice là-bas qui
mour-propre, et cette hardiesse familière aux demi-talens. Les jolies
femmes
toujours prêtes à se porter vers les extrêmes, im
vain par principes, insolent par succès, il se permettait envers des
femmes
titrées les propos les plus durs, et les plus imp
que de choses dans un menuet ! On le demandoit de tous les côtés. Les
femmes
de la cour, et celles des riches financiers ambit
nt froid et flégmatique, je lui portois souvent des fleurs. Après les
femmes
et la chasse, c’est ce qu’il aimoit avec le plus
éesse que la couronne de fleurs de la courtisane. — Bien qu’elle soit
femme
dans toute l’acception du mot, l’élégante sveltes
ée dans le bal, don Gil et Bellaspada, le prenant réellement pour une
femme
, s’acharnent tous deux à sa poursuite et lui prop
ose. Bien plus, sur un nouveau geste du diable, les masques des trois
femmes
tombent en même temps que leurs dominos, et elles
trouve embarrassée ? S’il en est ainsi, vous ne connaissez guère les
femmes
! Elles trouvent toujours moyen de se justifier,
stées ensemble, se racontent mutuellement leur histoire. — Elles sont
femmes
, c’est bien naturel. — Rapprochées par un commun
chapitre là ; elle sait par expérience comment on arrive au cœur des
femmes
; soyez tranquille. D’ailleurs, il ne s’agit que
Cléofas Zambulo peut donc désormais vivre tranquille, ayant une jolie
femme
et un bon diable à sa disposition. — Mais n’est-c
e, à se rouler dans un cachemire ; elle arrive à la contrefaçon de la
femme
d’agent de change ; seulement, on la reconnaît, q
n divan à six heures un quart. L’Arthur viveur ne comprend pas qu’une
femme
ait besoin de vivre quand il n’est pas là. L’Arth
choix. La Lorette écrit sur son livre de blanchissage : 2 chemises de
femme
marquées Julien. 2 camisoles, idem. En cas de br
est un ouvrage d’homme, mais il est féminin quand c’est un ouvrage de
femme
. Cette méthode grammaticale en vaudrait bien une
se de main en main : mais, on dirait que tous les convives, hommes et
femmes
, ont suivi un cours d’escrime appliquée à la pomm
ne peut plus payer restaurateur, glacier, ni musiciens. Mais elle est
femme
de tête, elle avise aux moyens de sortir d’embarr
n de sa permission, elle lui rit au nez et dit : « Je ne suis pas une
femme
; » mais quand l’agent de surveillance insiste, l
rriver à ne pas grever son budget de la dépense du loyer. La bonne ou
femme
de ménage de la Lorette. — Voici un moyen qui nou
otre député, ou votre garde national, vous vous mettez en quête d’une
femme
de ménage ou cordon-bleu, dont le nom de famille
née, à votre disposition un cabriolet à quatre roues ; La Lorette est
femme
à descendre perpendiculairement par la fenêtre, p
u plutôt savoir vieillir est un art que les Lorettes, mieux qu’aucune
femme
du monde, ont le secret de mettre à profit. Quand
ou matrimoniale. Votre marchand de bois vous envoie sa facture par sa
femme
, vous reconnaissez un débardeur Musard. Vous pren
préfet, vous me faites beaucoup d’honneur. » Sous le cachemire de la
femme
du financier, sous la tiretaine de la fermière, m
Lolo, les Lolo, les Lolo, Les Lorettes. Vivent les Lorettes ! Quelles
femmes
, parfois discrètes, Afin d’alléger leurs troussea
Gétuliens. L’Amour , sous la forme d’Ascagne. Junon . Vénus .
Femmes
de Didon . Carthaginois . Troyens . Gétulien
des danses guerrières, qui expriment la valeur et l’intrépidité. Les
femmes
de la suite de Didon se livrent à des danses plus
du départ de son amant, tombe sans connoissance dans les bras de ses
femmes
. Enée frappé du danger de la Reine, vole à ses ge
’imaginant nécessairement de le reconnaître, je sois ? — Elle est une
femme
qui danse, et qui cesserait divinement d’être fem
? — Elle est une femme qui danse, et qui cesserait divinement d’être
femme
, si le bond qu’elle a fait, elle y pouvait obéir
i l’a envoyée, la rappelle, et la rend toute haletante à sa nature de
femme
et à son ami… PHÈDRE Miracle !… Merveilleux homme
E Regardez-moi plutôt ces bras et ces jambes innombrables !… Quelques
femmes
font mille choses. Mille flambeaux, mille péristy
que je ne puis m’empêcher de voir selon ta pensée. Je contemple cette
femme
qui marche et qui me donne le sentiment de l’immo
stable… Un œil froid la regarderait aisément comme une démente, cette
femme
bizarrement déracinée, et qui s’arrache incessamm
mouvement »… On ne distingue plus ses actes d’avec ses membres… Cette
femme
qui était là est dévorée de figures innombrables…
branle à coups de bélier les murs qui sont entre les êtres. Hommes et
femmes
en cadence mènent le chant jusqu’au tumulte. Tout
t deux grands Chœurs de Musique, l’un composé d’hommes, et l’autre de
femmes
. Moïse se mit à la tête du premier ; Marie précéd
e siècle, son talent et sa beauté ; c’était l’Espagnole Maria Medina,
femme
de Vigano, le grand chorégraphe que ses contempor
ipsé une beauté fâcheusement célèbre, la danseuse Clotilde Mafleuroy,
femme
séparée de Boïeldieu. Dans un ballet qui fut donn
e prit de sa personne et de sa maison, elle laisse l’impression d’une
femme
qui aurait traversé le monde toujours fraîchement
e représente, dit Louis Speidel, ce pittoresque tableau de la robuste
femme
peinant sous la hotte d’où sort un délicieux mino
oupe italienne qui avait pour prima donna Isabelle Colbran, la future
femme
de Rossini, et pour ténor le fameux David. Barbaj
était, en dépit de son nom italien, d’origine française. Vigano et sa
femme
, la belle Maria Medina, avaient habité Paris et f
ssion de la force qui mène le monde, de l’amour, du désir. Elle resta
femme
, au lieu de devenir une poupée articulée, chef-d’
evée et extrêmement svelte, et l’autre est une perfection, soit comme
femme
, soit comme danseuse. Joies. » Les entrefilets de
niers sont emmenés, des vaincus gémissent ; sur le lieu du combat une
femme
grecque expire en couvrant son enfant des plis de
u jeune duc de Reichstadt, qui l’entendait venir de loin, elle, cette
femme
d’un pas si léger, il y avait Fanny Elssler, l’Al
y, de Saint-Cloud, de Meudon, de Fontainebleau et de Chambord : cette
femme
qui a été le premier sourire et le dernier, hélas
lles ne le touchaient. Un calembour courut le boulevard. « Est-ce une
femme
, se demandait-on, ou bien est-ce l’air ? » Un hom
it alors qu’il fallait voir se tordre véritablement les hommes et les
femmes
, tous s’avançant, se dressant, se penchant pour l
pieds de Mlle Elssler, disait-il, une admirable musique et une jolie
femme
, des chanteurs, des décorations, des danseurs, un
ustinien) déclare « qu’il condamne et bannit les danses publiques des
femmes
, comme entraînant après elles beaucoup de fautes,
laint, (can 35. Labbe, tom. 6, p. 112) « qu’il y en a, et surtout des
femmes
qui font en sorte qu’on vienne aux jours de fêtes
ature, et voici la division qui leur sert de règle. Dans les voix des
femmes
, le premier et le second dessus : ce dernier est
sition de notre musique vocale, que six sortes de voix, deux dans les
femmes
, et quatre dans les hommes. La connaissance de le
x procurée par l’art, ne pouvait pas manquer d’exciter l’ambition des
femmes
, qui se destinant au chant, n’avaient cependant q
coup plus extraordinaires et infiniment moins difficiles. Les voix de
femme
, si bien faites pour porter l’émotion jusqu’au fo
servir des castrati (qu’on a d’ailleurs employés de tous les temps en
femmes
sur les théâtres d’Italie), si elles n’avaient eu
et flatte même les bonnes oreilles françaises. Avec cet artifice les
femmes
se sont soutenues au théâtre, dont elles auraient
rechats. Planche XIV Fig. i, 2 et 3. Tailles d’homme et de
femme
pour les trois genres de danse. Fig. i. Danseur s
e. Je n’ai pu résister au plaisir de rappeler ma rencontre avec cette
femme
extraordinaire et charmante. Quelle rare aventure
▲