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1 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
Chapitre III Sommaire. — Mon âge. — Pourquoi les femmes ont tort de cacher le leur. — Un mot d’une marcha
e me ferais un devoir de le dire. Je n’ai jamais compris pourquoi les femmes cachaient soigneusement leur âge. Il me semble, a
à déclarer franchement son nombre d’années. Une des propriétés de la femme est d’être toujours en contradiction avec l’âge q
a prise, souviens-toi qu’on aime les biches franches, cela repose des femmes du monde. IV Mon amour pour la vérité m’a a
’en faudrait pour faire pendre un homme. Heureusement que je suis une femme . D’ailleurs, elles n’en diront jamais sur moi-mêm
milieu de gens qui la voient pour la première fois, elle pose pour la femme distinguée. Une faute. Ce qui détruira les biches
t enchantées lorsque les commis de confection les confondent avec les femmes du monde. On aura beau faire, il y a toujours che
avec les femmes du monde. On aura beau faire, il y a toujours chez la femme un fond d’honnêteté et un besoin de respect qui n
quoi cela tient-il ? A l’amour-propre probablement. VIII Aucune femme ne vient au monde vertueuse pourtant, elle le dev
isane était un produit de la civilisation. C’est une erreur. C’est la femme honnête qui est un produit de la civilisation.
maîtresse de piano qui est son secrétaire. Le premier besoin de toute femme qui met une « robe donnée » est d’apprendre le pi
nvoie pas le professeur. C’est que le professeur est généralement une femme instruite qui écrit des lettres poétiques et fait
’autres distractions. Finette, aux yeux de ses amants, passe pour une femme à double face : la femme qui parle et la femme qu
ette, aux yeux de ses amants, passe pour une femme à double face : la femme qui parle et la femme qui écrit. J’en ai vu qui p
amants, passe pour une femme à double face : la femme qui parle et la femme qui écrit. J’en ai vu qui pleuraient d’attendriss
r même. XII J’écris mes lettres moi-même. Outre que je suis une femme qui a de la « littérature », je n’aime pas à raco
De la baronne de B…. Bien des gens connaissent la baronne. C’est une femme qui frise la trentaine et qu’on a dotée d’un surn
ainsi. Quand elle avait seize ans, tout le monde disait : — Voilà une femme qui a dû être bien jolie. Non pas qu’elle paraiss
lie. Non pas qu’elle paraisse vieille, mais elle est de cette race de femmes qui ont l’air d’avoir été jolies avant leur naiss
nt actuellement, on est forcé d’avouer qu’elles sont laides. Genre de femmes que je me permettrai d’appeler : les beautés de l
vénement une réflexion qu’on ne doit point passer sous silence. — Ces femmes , disait-elle, pour faire parler d’elles, sont cap
2 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
Chapitre XII Sommaire. — La maladresse des hommes vis-à-vis des femmes . — Le Manuel des amoureux, leçons dont le besoin
 — Moyen de réussir auprès d’elle. — Les grises et les blanches. — La femme grise bas-bleu. — Le mépris qu’il faut avoir pour
e ses cheveux. — Un malin — Une de ses manières de se présenter à une femme . — Pourquoi mademoiselle S*** ne rit jamais. I
exe masculin, — ont pour cause leur grande inexpérience vis-à-vis des femmes . Aucun d’eux ne sait s’y prendre ; ils sont malhe
s : Faire la cour ? R. Faire la cour signifie peindre sa flamme à une femme qui a su captiver votre cœur, entourer l’objet ai
re, ses habitudes, ses goûts. La blonde diffère énormément des autres femmes . Quelques poëtes affirment qu’elle est la seule j
uleur tant vantée. Mademoiselle Marquet du Vaudeville, une des jolies femmes de Paris, est blende à rendre jalouse une Alleman
ourd’hui ! VIII Or la blonde est d’un tempérament à nulle autre femme pareille. Elle est douce, poétique et généralemen
a neige, ça demande à être battu. » Qui expliquera jamais le cœur des femmes  ? Personne. Pas même moi, qui suis de la confréri
unes. Passons à l’autre leçon. XIV La brune. Toutes les jolies femmes sont brunes. Excepté celles qui sont blondes. Clé
es yeux noirs encadrés dans des cheveux d’ébéne ! Le type de la jolie femme , selon moi, c’est l’Andalouse. Ses grands yeux bl
rester son amant, c’est de se métamorphoser en poëte. Chez toutes les femmes - de quelle couleur qu’elle soit — entre l’allure
aut avoir pour la garder, la différence est immense. La fiancée et la femme font deux en matière de mariage légitime. L’envié
orique ardent, et vous aurez la rousse. XXIII Toutes les jolies femmes sont rousses. Excepté celles qui sont blondes et
se. Ce qu’il y a de charmant dans cette classe nuancée, c’est que les femmes qui la composent sont ou bien ou mal. Connaissez-
Les tout jeunes gens qui ont encore la faiblesse d’aimer les vieilles femmes deviennent de plus en plus rares. Je n’en connais
emmes deviennent de plus en plus rares. Je n’en connais même plus. La femme dont les cheveux sont gris ou blancs est générale
et pas de prétentions. Comme moi, par exemple. XXVII Lorsque la femme à cheveux gris ne travaille pas dans la littératu
arrivera jamais tant qu’il y aura des perruques en ce monde. Bien des femmes ont déjà le chignon faux, pourquoi les bandeaux n
e les hommes soient moins maladroits dans leurs façons d’assiéger les femmes . Je le souhaite sans l’espérer. XXX Dans le
e aux éclats. Et elle lui indiqua le moyen qu’il cherchait. Quand une femme rit, elle devient d’une bonté inépuisable. XXX
3 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
chapitre 9 du livre de l’ecclésiastique (v. 3.). Ne regardez pas une femme volage dans ses désirs, de peur que vous ne tombi
e vous devienne un sujet de chute. (v. 8.) Détournez vos yeux d’une femme parée, et ne regardez point une beauté étrangère.
uté étrangère. (v. 9.) Plusieurs se sont perdus par la beauté d’une femme  : car c’est par là que la concupiscence s’embrase
ncore : (c : 25, v. 28.) Ne faites point attention à la beauté d’une femme , et ne la considérez point parce qu’elle est agré
, et ne la considérez point parce qu’elle est agréable. (v. 33.) La femme a été le principe du péché, et c’est par elle que
érent, lorsqu’il a dit : (Matth. c. 5, v. 28.) Quiconque regarde une femme avec un mauvais désir pour elle, a déjà commis l’
ue et dans le même chapitre 9 (v. 4.) : Ne vous trouvez pas avec une femme qui danse, et ne l’écoutez pas, de peur que vous
s charmes. (v. 11.) Plusieurs ayant été surpris par la beauté d’une femme étrangère, ont été rejetés de Dieu ; car l’entret
une femme étrangère, ont été rejetés de Dieu ; car l’entretien de ces femmes brûle comme un feu. Dans le chapitre 42 du même
ne encore cet avis : (vv. 12 et 13.) Ne demeurez point au milieu des femmes  ; car comme le ver s’engendre dans les vêtemens,
s’engendre dans les vêtemens, ainsi l’iniquité de l’homme vient de la femme  ; c’est-à-dire comme le ver se forme dans les vê
t ajoute (v. 14.) : Un homme qui vous fait du mal, vaut mieux qu’une femme qui vous fait du bien, et qui devient un sujet de
flige est moins à craindre que les manières douces et agréables d’une femme , même vertueuse et bienfaisante. Pourquoi ? Parce
, et être par là une occasion d’acquérir des mérites ; au lieu qu’une femme qui gagne et attire par ses bonnes manières et pa
cclésiastique : (c. 9, vv. 12 et 13.) Ne vous asseyez jamais avec la femme d’un autre ; ne soyez point à table avec elle, ap
s dans tous les endroits qui viennent d’être rapportés, à l’égard des femmes , sont également nécessaires aux femmes par rappor
’être rapportés, à l’égard des femmes, sont également nécessaires aux femmes par rapport aux hommes, et leur sont par conséque
sonnages se sont trouvés, leur ont été funestes. La vue de Bethsabée, femme d’Urie, fit tomber David dans l’adultère. (Liv. 2
 16.) Enfin, on voit dans l’histoire des Rois, (L. 3, c. 11.) que les femmes étrangères que Salomon aima passionnément, corrom
4 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
je n’avais aucune notion de la nature intellectuelle et morale de la femme . J’avais perdu ma mère dès mes premières années,
rendre ce que vous ignoriez ; mon père l’aurait pu, il avait adoré sa femme , il ne s’était jamais consolé de sa perte. Il n’a
le joug d’une piété austère qui imputait à crime toute pensée dont la femme est l’objet. Il résulta de cette contrainte que j
isions en nous-mêmes par le dévoûment, par le sacrifice au besoin. Ma femme était une enfant élevée comme moi dans l’ignoranc
s peut-être, parce que, même à présent, je ne suis pas certain que ma femme l’eût comprise. Elle était, je vous l’ai dit, une
mon cœur. Ainsi, non seulement j’étais ridicule et insupportable à ma femme , mais elle en avait aimé un autre qu’elle regrett
uvre père avait souhaité ce mariage pour moi, parce que la mère de ma femme avait été la meilleure amie de ma mère. Cette per
La jalousie me dévorait. Je ne voulus rien laisser paraître, mais ma femme vit bien, à mon attitude et à l’altération de mes
que la lettre fût partie ou non, peu m’importait, je n’aimais plus ma femme , je la trouvais foncièrement égoïste et cruelle,
. Il ne se plaignait pas ; il m’exhortait au contraire à distraire ma femme  ; mais ces absences le tuaient et je vis qu’il dé
e vis qu’il dépérissait rapidement. Alors je restai près de lui et ma femme sortit seule. Ce n’étaient que des promenades dan
sourire d’adorable tendresse, je le vois, je le verrai toujours ! Ma femme partagea ma douleur et la calma autant qu’il étai
achai, moi, à la tombe à peine refroidie de mon père, je conduisis ma femme chez ses parents. Ils avaient beaucoup aimé les m
et je me cachais pour ne pas attrister ma famille par ma présence. Ma femme ne s’en plaignait pas. Au contraire, je la voyais
ux contraste avec notre deuil ; je craignais aussi la fatigue pour ma femme dont la santé se rétablissait à souhait. Je la su
voulus point me mêler à la chasse, je suivais la calèche où était ma femme , mais à distance, car j’avais, disait-elle, une f
senti. Je me promettais de le dégoûter de ses assiduités auprès de ma femme quand nous serions seuls. Mais il fut tué sur le
j’arrivai à temps pour arrêter la voiture et l’empêcher de verser. Ma femme ne paraissait pas très effrayée pour son compte,
rès, on le vit mort, dans les bras des piqueurs qui l’emportaient. Ma femme poussa des cris perçants. L’aimait-elle encore ?
asse, comme on peut le croire, fut interrompue. Nous rentrâmes, et ma femme se mit au lit. Vous savez le reste. Elle ne se re
s sans me reconnaître. Ainsi, en moins d’un mois, j’avais perdu père, femme et enfant. J’étais seul au monde. Je courus m’enf
détournés. Quelques-uns m’ont dit, après une courte expérience : « La femme est un enfant qu’il faut toujours amuser pour qu’
cultivée et plus développée que celle de la pauvre enfant qui fut ma femme , n’avait pas reçu la notion de la douceur et de l
5 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
oir les artisans de cette joyeuse harmonie. C’étaient un homme et une femme qui passaient. L’homme jouait de l’accordéon tout
de l’accordéon tout en marchant à petits pas. Il était aveugle et la femme le conduisait. La musique était si gaie, si diffé
us avertir que le déjeuner était servi. Je demandai à l’homme et à la femme s’ils avaient mangé. Quand je découvris qu’ils ét
e. — La plus belle chose qui existe sur la terre, me dit-il, c’est la femme . Je lui demandai alors qui était la personne qui
l’accompagnait. Il prit un ton pénétré pour me répondre : — C’est ma femme , ma chère femme. Je regardai alors, avec plus d’a
Il prit un ton pénétré pour me répondre : — C’est ma femme, ma chère femme . Je regardai alors, avec plus d’attention, l’être
ugies, je demandai à l’aveugle mélomane : — Et elle vous plaît, votre femme  ? — Certes. — Vous la trouvez jolie ? — Très jol
. — Vous la trouvez jolie ? — Très jolie. — Plus jolie que les autres femmes  ? Comme il avait peuplé sa nuit de beauté, mon op
beauté, mon optimiste répliqua : — Je ne dis pas cela, car toutes les femmes sont belles. Mais elle est meilleure, oui, meille
e dame, est-ce que sa bonté n’est pas peinte sur tout son visage ? La femme , les yeux bas, regardait toujours son tablier ble
ai ma chère compagne d’aujourd’hui et que je l’épousai. C’était, — la femme me le dit elle-même, à mi-voix, — une cuisinière
ets pour un grand concert. J’étais dans la salle et les observais. La femme était émerveillée de voir tant de gens élégants à
is jamais. L’homme, que j’avais vu souffrant, devait être mort, et la femme , la pauvre vieille, si laide, au tablier bleu, n’
avec les yeux de l’imagination, l’aveugle le voyait. *** Un jour, la femme de ménage qui venait chez nous, chaque matin, à P
t inexacte ! Voici ce que j’avais appris sur le compte de cette brave femme . Trois ans plus tôt, une de ses voisines, une ouv
rents, et personne ne voulait s’occuper d’elle. La malheureuse petite femme de ménage, pourvue d’un mari ivrogne et de six en
plus intelligents. Or, toujours, en tous temps, j’avais vu ma petite femme de ménage joyeuse. Je me demandais de quelle gaît
anglots : — Je pleure… je pleure… parce qu’elle… est morte… la pauvre femme . C’était sa voisine, la paralytique, qu’elle plai
6 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
Sommaire. — Pourquoi on aime notre monde. — L’indépendance de la femme . — Pourquoi elles deviennent biches ou se marient
indépendance a toujours été le premier besoin de l’homme, comme de la femme , du reste. II La plupart de celles qui romp
pour respirer. Le besoin d’être libre est tellement développé chez la femme , qu’elle se jette dans les bras du premier venu,
son. Les moralistes ont cherché bien loin la cause de la débauche des femmes . Elles aiment l’air, voilà tout. VI Mais tr
hanté, beaucoup dessiné, on ne le dira jamais assez. Elles deviennent femmes de ménage, ouvreuses de loge ou balayeuses. VI
égaré au bal de l’Opéra qui oserait refuser cinquante centimes à une femme  ? Surtout pour les employer comme elle prétend le
inquante centimes demandés une cinquantaine de fois dans la nuit, les femmes se font par chaque bal une petite rente de quinze
au vestiaire. L’espoir de Carpentras, heureux de rendre service à des femmes à tournure gracieuse, n’hésite pas à faire ce qu’
e récompense pleine de charmes. On rembourse le provincial. Comme les femmes remboursent les hommes. Nota. — Le tour ne réuss
jarretières au besoin. XV Mais c’est dans la vie privée que les femmes sont vraiment fortes. Une de mes amies, que je ne
7 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
c. 15.) remarque que cet ennemi de la république fit entrer plusieurs femmes dans sa conjuration, espérant qu’elles engageroie
s’ils ne le vouloient pas, il les feroit mourir par elles. Entre ces femmes , Salluste nomme en particulier Sempronia, qui éto
re ces femmes, Salluste nomme en particulier Sempronia, qui étoit une femme distinguée par sa naissance et par sa beauté, qui
en même temps, qu’elle savoit mieux chanter et danser qu’une honnête femme ne devoit le savoir : Litteris græcis et latinis
re que quelques personnes arrivées depuis peu en France, ayant vu des femmes danser, en furent si effrayées, qu’elles prirent
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
nt — il est mort tragiquement depuis, écrasé par une voiture, — et sa femme , non moins savante que lui. Ils n’étaient jamais
x au regard si droit, était égalé en simplicité par le mari et par la femme . Le mari, châtain, long et sec, la femme, petite
licité par le mari et par la femme. Le mari, châtain, long et sec, la femme , petite et blonde, avaient tous deux, au même deg
ous nomma très simplement M. et Mme Carrière ; le grand peintre et sa femme . Carrière et sa femme sont aussi dépourvus d’oste
ent M. et Mme Carrière ; le grand peintre et sa femme. Carrière et sa femme sont aussi dépourvus d’ostentation que Rodin lui-
ari, de même que Berthelot a été conduit à sa dernière demeure, et la femme continue l’action commune. Je donnerais beaucoup,
me Loïe Fuller, que j’admire depuis tant d’années, est, pour moi, une femme de génie, avec toutes les ressources du talent, é
9 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
me nous laissa passer, et, tout en la remerciant, je me disais qu’une femme ne devrait pas conduire des chevaux aussi vifs qu
des pieds à la tête. J’étais en train de me rhabiller, lorsqu’une des femmes de l’établissement vint me dire : — Voulez-vous,
archiduchesses qu’elles peuvent me voir ce soir au théâtre. La pauvre femme m’avoua alors qu’on lui avait défendu de nommer l
i s’il était marié. Il répondit affirmativement. Il avait même quatre femmes . Comme je paraissais surprise de le voir voyager
voyager sans elles, surtout dans un pays où il y avait tant de jolies femmes , il me regarda longuement à son tour et répondit 
femmes, il me regarda longuement à son tour et répondit : — Pour mes femmes , une femme blanche n’a ni charme, ni beauté. Ceci
me regarda longuement à son tour et répondit : — Pour mes femmes, une femme blanche n’a ni charme, ni beauté. Ceci me surpren
p et je lui demandai si c’était parce qu’elles n’avaient jamais vu de femmes blanches. — Oh ! me répondit-il, en aucun cas el
— Oh ! me répondit-il, en aucun cas elles ne seraient jalouses d’une femme blanche. Il leur paraît absolument impossible qu’
uses d’une femme blanche. Il leur paraît absolument impossible qu’une femme pâle puisse jouer un rôle quelconque dans ma vie.
le quelconque dans ma vie. — Et vous, en êtes-vous aussi sûr ? Si une femme blanche, à la longue chevelure blonde, apparaissa
velure blonde, apparaissait tout d’un coup dans votre pays, parmi vos femmes noires, ne la prendrait-on pas pour un ange ? — O
atrice elle-même, en lui disant la cause de mon défaut de parole. Une femme de cœur, même si elle est impératrice, ne peut co
10 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »
traits estimables, des actions héroïques, des vertus éclatantes, des femmes illustres, dont on conservait en Grèce la mémoire
, et il triompha bientôt des précautions du mari et de la vertu de la femme . Quel changement dans les mœurs ? Si la Danse aut
e autrefois fut pendant quelque temps la sauvegarde de la sagesse des femmes , ne devrait-on pas dire aujourd’hui ? Maris qui p
11 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 25 septembre : Ballet dansé par le roi à Villers-Cotterêts — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 4 octobre 1665 »
éblouis ; Un certain OUVRIER d’ARMÉE, De très illustre renommée ; La Femme , d’aspect assez beau, Du Capitaine du Château, Et
t Longueval. GENTILHOMMES DU PAYS : Le Roi et le Marquis de Villeroy. FEMME DU CAPITAINE DU CHÂTEAU : Le Duc de Roquelaure. O
eumartin et le Sieur Coquet. GOUVERNEURS DE LA PROVINCE : Le Roi ; sa Femme  : Madame ; son Frère : le Marquis de Villeroy ; s
12 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
s est placé un bassin orné de jets et de nappes d’eau. Une partie des femmes du Sérail sont grouppées sur la terrasse ; d’autr
ses pieds ; les esclaves se retirent : il reste seul au milieu de ses femmes . Zélis vole dans ses bras, lui présente un bosque
où le voile de Zulmire est enlevé, est marqué par l’action variée des femmes du Sérail, on voit la douleur impérieuse des unes
celles qui espèrent encore. Le Sophi au comble du bonheur ordonne aux femmes de son Sérail de rendre hommage à Zulmire ; elles
par des raisons d’etat, ne peut voir sans intérêt le désespoir d’une femme qu’il à tendrement aimée. Zélis, accompagnée de F
lémence. Zélis frappée de tant de vertus presse contre son sein cette femme généreuse. Zulmire la relève et l’embrasse et lui
uques, les Bostangis ; après eux les Ambassadeurs et leur suite : les femmes du Sérail précedent l’Em-pereur. La jeune Reine,
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — Début septembre (le 2 ?) : Remèdes à tous maux — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 15 septembre 1668 »
nt OCTAVE, Toujours et si leste et si brave ; Où l’admirable AURÉLIA, Femme habile, si Femme y a, Et qu’estimait la REINE-MÈR
rs et si leste et si brave ; Où l’admirable AURÉLIA, Femme habile, si Femme y a, Et qu’estimait la REINE-MÈRE, Comme une gran
14 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 juin. « Les Femmes de bonne humeur ». »
19 juin. « Les Femmes de bonne humeur ». Je n’avais pas encore vu Les
juin. « Les Femmes de bonne humeur ». Je n’avais pas encore vu Les Femmes de bonne humeur ; aussi le plaisir que j’ai goûté
encore « sabotaient » inconsciemment le Sacre, heureux de danser Les Femmes de bonne humeur ; ils s’y amusent avec nous. Tous
15 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233
mmé Belton paroît inquiet et préoccupé. Il est suivi par Eliza, jeune femme Indienne d’une rare beauté. Ses vives caresses, s
e de le quitter et de le suivre à l’instant. Scène v. La jeune femme fait ses efforts pour l’appaiser ; elle court che
es actions ; enfin on apperçoit à l’étonnement douloureux de la jeune femme , qu’il lui déclare qu’il faut se séparer. Trois n
is ; il en instruit ses confrères ; tous reculent d’horreur. La jeune femme est bientôt instruite par leurs propos du projet
apprennent ce dont il s’agit ; ils ajoutent qu’ils ont payé la jeune femme pour la soustraire à la violence de Belton et qu’
oît avec ses deux enfans dans ses bras ; il tombe à genoux ; la jeune femme vole à ses enfans ; ils paroîssent implorer la gr
16 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — II »
glacé. On croit voir un peuple de poupées et de pantins en cire. Une femme , passe encore ; mais il me souvient avec horreur
e Lapon gras, fessu, aux larges cuisses, au ventre mou qui faisait la femme , bien pis l’almée.
17 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
ayeur redouble ; ses cris qu’on suppose, rappellent auprès d’elle ses femmes . Elle voudrait leur dire ce qu’elle a vu ; elle m
son accablement continuant toujours, elle se retire soutenue par ses femmes . 26Dans le second acte la décoration représente
 ; on fait des libations. Sémiramis paraît ensuite accompagnée de ses femmes avec une guirlande dans le dessein d’apaiser les
échevelée, la mort peinte sur son visage, et se traînant à peine. Des femmes accourent et la soutiennent. Ninias s’apercevant
18 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
Provençale. — Marguerite la huguenote et l’Indépendance belge. — Les femmes célèbres. — Les portraits de mesdames de Sévigné,
ma famille. L’habitué , avec intérêt. Pauvre garçon ! L’ami. Les femmes célèbres sont-elles déjà venues ? L’habitué. Pa
sant, arrivent dans la salle des portraits. L’ami. Quelles sont ces femmes  ? Les célèbres danseuses dont nous venons de parl
e. Alice. Tu l’es ! je vois ça… Eh bien ! mon petit, faut amener ta femme ici, ça la formera.. L’habitué. Quant à cela, l
habitantes. — Tu vois bien là-bas cette demoiselle qui a l’air d’une femme chic, c’est Rosalba-Cancan, une charmante fille q
. — Enfin celle qui arrive en faisant sa tête, c’est Ernestine. autre femme dans l’aisance. — Elle a été longue à faire fortu
19 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189
ves d’Apelles, déguisés en amours, zéphirs, lutteurs et gladiateurs. Femmes , esclaves d’Apelles, déguisées en Graces et en Ny
autres en lutteurs et en gladiateurs, grouppés connue l’antique : les femmes qui lui servent de modèles, paroissent sous la fo
ipaux officiers ; Campaspe marche à sa droite ; elle est voilée ; ses femmes la suivent. Ephestion, favori de ce Prince, march
udit à son génie. Il lui demande s’il n’a point quelques portraits de femmes à lui montrer. Le peintre lui présente celui de V
dre voulant lui donner une nouvelle marque de sa bonté, ordonne à ses femmes de se réunir à Campaspe, et d’exécuter avec elle
ortent une lance, un casque, un bouclier et des trophées d’armes. Les femmes qui servent de modèles à Apelles, tiennent tout c
est svelte, elle a une jambe en l’air et elle est dans l’action d’une femme qui vole dans les bras de son amant. Zéphir qui l
20 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147
uils d’orchestre. Sa lorgnette ne le quitte pas, il la braque sur les femmes , comme s’il était à l’Opéra, connaît leurs noms,
n parfum de bonne compagnie qui n’est pas désagréable, il appelle les femmes « belle dame », les compare aux roses du printemp
qui, cependant, s’habille comme un jeune homme. Il est marié, mais sa femme est vieille et tient les livres. D’ailleurs il ne
tout. Son refrain est : la vie est si courte ! Il met volontiers les femmes dans leurs meubles ; ou lui vend le mobilier à qu
21 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
que je semblais hypnotiser. A l’issue de la représentation, la jeune femme , que je connaissais particulièrement, dit à la pe
oïe Fuller. Soudain, un paravent se replia laissant passer une petite femme à l’aspect fatigué, et qui n’avait rien d’immatér
, son regard disait clairement : — Je ne me laisse pas tromper. Cette femme raconte des histoires !… J’aurais dû danser pour
des premiers journaux de New-York avait amené un soir, au théâtre, sa femme et sa fille pour me voir dans mon rôle de prédile
mpai point ma petite admiratrice. Aujourd’hui, c’est une belle jeune femme  ; mais c’est toujours pour moi une bonne et fidèl
neuf ans. Je vous dis qu’à dix-huit ans je vous demanderais d’être ma femme . — Oui, je m’en souviens. — Eh bien ! j’ai dix-hu
22 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
y rendis avec de nombreux amis : nous étions douze, parmi lesquels la femme du consul général des Etats-Unis, Mme Mason, qui
ion d’un théâtre futur, quelque chose comme le théâtre féministe. Les femmes , de plus en plus, prennent la place des hommes, s
a littérature d’imagination ou d’observation appartiendra bientôt aux femmes de lettres, et en dépit du brave homme déclarant
aux femmes de lettres, et en dépit du brave homme déclarant que « les femmes docteurs ne sont pas de son goût », les doctoress
inuent à passer leurs thèses, et brillamment. Attendez-vous à voir la femme grandir en influence et en pouvoir, et si, au dir
me siècle fut le « siècle des Ouvriers », le vingtième sera celui des Femmes . C’était au théâtre des Arts, boulevard des Batig
plus de lumière ?… Bien… C’est cela… Merci ! Sur la scène, une autre femme , en chapeau de ville, un cahier de notes à la mai
atiques (défiez-vous, au théâtre, de ceux qui parlent trop), ces deux femmes menaient la répétition comme une amazone experte
M. Florent Schmitt elle joint les prodiges des effets lumineux. Cette femme , qui influa si profondément sur les modes, sur le
23 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIV. » pp. 77-82
ues1.   Après elle, rien en danseuses n’étoit supportable. Une grande femme , nommée Carville, ne dansoit qu’avec les bras. La
ux d’Echyle ; ce sont de bons diables qui n’éffarouchent pas même les femmes .   Je ne vous parlerai pas, Madame, de deux autre
  Au reste la danse alors offroit bien plus de talens en hommes qu’en femmes . C’est tout le contraire aujourd’hui. Le beau sex
, il lutte de force, de vigueur et de talent avec les hommes ; et les femmes mettent dans la balance du jugement un poids cons
24 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
bileté pour faire manœuvrer ce monde de machinistes, de figurants, de femmes et de régisseurs, dans un si petit espace et avec
tromperait pas son amant pour un mobilier en bois de rose. C’est une femme qui a des principes. Clémentine l’appelle la femm
de rose. C’est une femme qui a des principes. Clémentine l’appelle la femme honnête des Délassements. IX Henriette tien
isait-elle, j’ai besoin qu’on parle de moi, et puis toutes les jolies femmes doivent avoir dans leurs vie à se reprocher au mo
ère détestable Elle a l’allure d’une enfant et l’esprit d’une vieille femme . Mélanie soutient qu’elle a soixante-dix ans quan
25 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
ré aux Bataves ;. on trouvoit encore dans ces magasins des masques de femmes tout, aussi volumineux, mais non pas si laids ; i
il n’est fait aucune mention dans les écrits des anciens des noms des femmes dont les talens avoient embelli la scène ; ils ne
ériode d’indécence. Il est à présumer que quelque loi interdisoit aux femmes l’exercice du théâtre ; la nouvelle Rome, semble
r l’ancienne. Ce sont de jeunes imparfaits, qui chantent les rôles de femmes , et de jeunes garçons qui remplissent les fonctio
es objets les plus intéressants et les plus dignes de plaire : si les femmes font les délices de la société, elles font encore
26 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215
et qui laisse découvrir derrière elle un paysage et un lointain. Les femmes du sérail sont placées sur de riches sophas et su
s cet instant les Eunuques et les Muets tombent à genoux ; toutes les femmes s’inclinent, et les Nains lui offrent dans des co
les esclaves de disparoitre. Le Grand-Seigneur seul au milieu de ses femmes , semble indéterminé sur le choix qu’il doit faire
air indécis que donne la multiplicité des objets aimables. Toutes ces femmes s’efforcent de captiver son cœur, mais Zaïre et Z
an s’appercevant de l’impression que son choix vient de faire sur les femmes du Sérail, et voulant ajouter au triomphe de Zaïr
aisit de ce même poignard, et lève le bras pour en frapper Zaïde. Les femmes du Sérail se partagent alors, elles accourent à l
s libres quelles s’élancent l’une sur l’autre avec fureur. Toutes les femmes effrayées volent entre elles pour arrêter leurs c
n groupe posé sur un trône élevé sur des gradins ; il est composé des femmes du Sérail et du Grand-Seigneur ; Zaïre et Zaïde s
neur se décide, celui où il emmene la Sultane favorite, le combat des femmes , le groupe qu’elles forment à l’arrivée du Sultan
gement subit, cette opposition de sentimens, cet amour que toutes les femmes témoignent pour elles-mêmes, et qu’elles exprimen
es Janissaires et des Bostangis dans la partie du Sérail destinée aux femmes du Grand-Seigneur, et ils objecteront encore qu’i
nement, n’entroient point dans la partie du Sérail ou se tiennent les femmes  ; qu’ils ne paroissoient que dans le jardin, et q
27 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434
qui laisse découvrir derriere elle un paysage & un lointain. Les femmes du Serrail sont placées sur de riches sofas &
et instant les Eunuques & les Muets tombent à genoux ; toutes les femmes s’inclinent, & les Nains lui offrent dans des
les esclaves de disparoître. Le Grand Seigneur seul au milieu de ses femmes semble indéterminé sur le choix qu’il doit faire 
air indécis que donne la multiplicité des objets aimables. Toutes ces femmes s’efforcent de captiver son cœur, mais Zaïre &
rcevant de l’impression que son choix vient de faire sur l’esprit des femmes du Serrail, & voulant ajouter au triomphe de
it de ce même poignard, & leve le bras pour en frapper Zaïde. Les femmes du Serrail se partagent alors, elles accourent à
eine sont-elles libres qu’elles se reprennent avec fureur. Toutes les femmes effrayées volent entr’elles pour arrêter leurs co
grouppe posé sur un trône élevé sur des gradins ; il est composé des femmes du Serrail & du Grand Seigneur ; Zaïre &
neur se décide, celui où il emmene la Sultane favorite, le combat des femmes , le grouppe qu’elles forment à l’arrivée du Sulta
ement subit, cette opposition de sentiments, cet amour que toutes les femmes témoignent pour elles-mêmes & qu’elles exprim
anissaires & des Bostangis dans la partie du Serrail destinée aux Femmes du Grand Seigneur, & ils objecteront encore q
ement, n’entroient point dans la partie du Serrail où se tiennent les Femmes  ; qu’ils ne paroissoient que dans le jardin, &
28 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VII. Sur le même sujet. » pp. 40-55
éclarée au bon goût. Comment résistera-t-il à ces phalanges de jolies femmes , qui proscrivant, la décence même, tantôt Grecque
n’offroient à l’œil aucune ombre vigoureusement prononcée, les jolies femmes disoient que c’étoit le seul artiste, qui fut dig
t, tous les moyens propres à satisfaire la variété de ses manies. Les femmes le nommèrent à l’unanimité le peintre des Graces 
ence des arts ne peut être attribuée, en général, qu’aux caprices des femmes , parce que se sont elles, qui régnant despotiquem
, sont, pour ainsi dire, le diapason du ton des sociétés. Lorsque les femmes , fatiguées de la folie du jour, proscriront des m
 : Combien n’en trouveront-ils pas de précieux dans toutes les jolies femmes , lorsqu’elles se délivreront des attirails monstr
aux. Ils immortaliseront la beauté simple et touchante d’un essaim de femmes charmantes, elles embelliront la capitale par leu
liront la capitale par leurs grâces, et donneront le ton à toutes les femmes de l’Europe.   Voilà, Madame, ce que les amateurs
r patrie.   Ce changement seroit bientôt opéré, Madame, si toutes les femmes vous ressembloient. Ce sont elles qui créent les
29 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
vons en Amérique une grande actrice du nom de Madjeska. C’est une des femmes les plus intéressantes que je connaisse. Elle est
uel grand penseur il est. Dans toute son œuvre, il est secondé par sa femme . Elle aussi est un grand penseur et une femme d’u
, il est secondé par sa femme. Elle aussi est un grand penseur et une femme d’une remarquable activité. Elle est l’un des mem
et s’occupe aussi d’autres œuvres, ce qui ne l’empêche pas d’être une femme des plus simples et une maîtresse de maison des p
ous suivit, d’abord parce que c’était nous, et aussi parce que jamais femme n’eut plus drôle de façon que moi ce jour-là, et
30 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
x de la mer rouge, elle prit un tambour à la main, et que toutes les femmes marchèrent après elle avec des tambours, formant
quelle tenant un tambour à la main, étoit suivie d’un grand nombre de femmes , qui ayant aussi des tambours, formoient des chœu
ela le récit de l’Ecriture : (v. 20.) Marie, conduisant le chœur des femmes , répétoit après celui des hommes : Chantons une h
livrer à la licence d’une joie folle et criminelle, et ces chœurs de femmes qui répétoient avec une harmonie majestueuse les
ces danses avec la marche si pleine de religion de Marie, que tant de femmes ne suivirent alors que pour glorifier Dieu à son
oir les différences entre les danses qu’ils combattent, et celles des femmes israélites et de David. Le but de ces danses dont
ne sainte modestie et une gravité convenable. Ainsi s’en allèrent les femmes d’Israël après Marie avec des tambours et autres
lorsque ces choses se faisoient, les hommes n’étoient point avec les femmes … Or, maintenant faisons comparaison de ces danses
centes sont les mieux reçues. Là, les hommes n’étoient point avec les femmes , il n’y avoit point d’embrassemens, de baisers, d
31 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
ourd’hui. Rita Sangalli. — A Boston. — Par dessus la rampe ! — La femme . — L’artiste. — Son hôtel. — Armes parlantes. — U
de cette espèce de lanterne chinoise aux reflets multicolores est la femme la plus froide et la plus sérieuse du monde. Elle
uves d’énergie morale. A un moment de sa carrière, la gracieuse jeune femme s’était faite impresaria. Pendant son séjour en A
it son art et sa fille. Aussi, malgré une assez vive opposition de sa femme , ne songea-t-il pas un instant à enrayer une voca
st tout ? — C’est tout. Sur quoi je me pris à penser : Il en est des femmes comme des nations… Heureuses celles qui n’ont pas
ta mère est une idiote ! Hélas ! plus malheureuse qu’idiote, la brave femme  ! car elle n’eut pas le temps de prendre sa part
qu’un demandait : — Connaissez-vous quelque chose de plus bête qu’une femme qui se donne pour cinq misérables louis ? — Oui,
d et le wallon, — et que sa vie est remplie par les occupations d’une femme de goût et d’une femme d’esprit. Je sais, enfin,
e sa vie est remplie par les occupations d’une femme de goût et d’une femme d’esprit. Je sais, enfin, qu’elle a pris pour dev
32 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
a nature toute la magie que le son met au service du génie humain. La femme en est l’âme. Elle devient le rythme incarné, la
au son des instruments, les corps admirables de ses éphèbes et de ses femmes  ? Et si dans les sculptures qui nous ont transmis
valeur de cet art. Encouragées par leur intelligente approbation, des femmes exquises réjouirent leurs yeux par d’harmonieux s
33 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Influence constante du bon ou du mauvais Gouvernement sur les Arts. »
rent anéantis avec l’Empire. On a vu ailleurs que Domitien répudia sa Femme , fit assassiner Pâris qui l’avait déshonorée, et
de l’Empire, par la sagesse qu’il sut opposer aux dérèglements de sa femme . Ses Amis (car Marc-Antonin quoique sur le trône,
34 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
agasin ou du bureau, artistes infimes et émérites, concierges dont la femme a fait le ménage de bon nombre de locataires — et
uis trois heures d’horloge. On en pourrait bien faire assurément Deux femmes de cœur, mères de famille, Préparant la soupe et
en somme. Mais non ! Pipelet trouve bien trop laid Le sort obscur des femmes qui tricotent, Dignes des bourgeois épais qui rad
aucoup. Le père veilla, lui, toute la nuit. Il ne dit pas un mot à sa femme , qui, le matin, s’évanouit en le voyant endosser
35 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
xécuté pendant plus de dix ans sans Danseuses. On faisait habiller en femmes deux ou quatre Danseurs qui figuraient sous cette
phe de l’Amour 138 fut le premier ouvrage en Musique où quatre vraies femmes dansantes furent introduites, et on vanta alors c
Lully. 138. En 1681, dix grands Opéras avaient été représentés sans femmes dansantes. 139. Voyez Issé et Le Carnaval et la
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
s de qualité Etant près de Sa Majesté. L’Autrice de ce bel Ouvrage, Femme spirituelle et sage, S’appelle Madame Touzé, Nom
Homme de grand jugement. Créquy, cette belle Personne, Qui quoi que Femme est si mignonne, Qu’en son visage triomphant On v
bien son rang, Et qui vient d’un fort noble Sang. Ces Belles, tant Femmes que Filles, Représentaient quinze Familles Toutes
37 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
pouvanté, Iphise et Electre paroissant s’écrier : c’est ma mère ! des femmes grouppées dans les attitudes de la douleur, qui e
ectacle d’horreur les Officiers volent au secours de leur Roi, et les femmes se grouppent autour de Cassandre. Scène viii.
corps d’Agamemnon qui n’existe plus : les Officiers l’emportent ; les femmes du Palais enlévent Cassandre. Electre et Iphise s
Princesses paroissent ; elles sont couvertes de Deuil, ainsi que les femmes de leur suite. Electre et Iphise expriment la sit
fureur, puis elle retombe dans sa première tristesse ; Iphise et les femmes font de vains efforts pour la consoler. Scène
d’elle-même, fait peu d’attention aux menaces de la Reine. Une de ses femmes lui annonce l’arrivée de deux étrangers qui veule
troisième victime de la fureur d’Egisthe, prie sa sœur et engage ses femmes à veiller à la conservation d’un objet si cher à
is de sa famille. Scène v. Oreste, qui voit ses sœurs et leurs femmes en deuil, demande à Electre la cause d’un apparei
e l’arrêtent. Scène vi. Dans ce moment, la jeune Iphise et les femmes accourent succéssivement ; elles annoncent en tre
garde de son frère à l’amitié de Pylade, et aux soins vigilans de ses femmes . Scène vii. Egisthe entre ; les plaintes a
cent autour du tombeau. Après cette marche triste et silencieuse, des femmes dansent un hymne autour de l’autel ; elles dépose
ps. Cependant frappé d’une terreur soudaine, il se retourne, voit une femme expirante, et ses sœurs en larmes ; il marche à p
38 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
it encore auprès d’elle la nourrice qui avait remplacé sa mère. Cette femme me raconta que Gab lui faisait faire le cheval, t
e et n’en sort jamais, si ce n’est avec le directeur du théâtre ou sa femme , et avec sa mère qui ne la quitte pas. — Est-ce q
teurs, d’écrivains, d’ambassadeurs, et, aux matinées, il y a foule de femmes du monde et d’enfants. Toutes les chaises et les
douter qu’elle a du succès. Voulez-vous un exemple ? Dernièrement, ma femme l’a conduite dans une grande maison pour acheter
tourbillon de poudre, la valse n’est qu’une étreinte, le culte de la femme vient de revivre. L’âme de la danse devait naître
on désir de magicienne et la « Pantomime du rêve » évolue. « Joliment femme elle a choisi les plus douces et les plus claires
39 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
Juges des enfers . Les Euménides. Démons et spectres. Caron . Femmes de la Thrace. Bergers et Bergères. Bacchantes.
rche la solitude pour s’abandonner entièrement à sa douleur. Quelques femmes attirées par les charmes de l’harmonie l’engagent
lupté dont elles lui retracent l’image, il les fuit avec dédain : Ces femmes irritées le quittent en exprimant leur dépit, et
ir sa sollitude par ces agréables métamorphoses. Scène III. Les femmes irritées paroissent à la tête des bacchantes : el
40 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
, on ne sait guère ce qu’on aime quand on aime une actrice. Est-ce la femme ou le rôle ? Est-ce Ophélia, Desdémone, Phèdre, M
udoir. Maintenant si l’on veut savoir la vérité, la voilà. Les seules femmes du monde qui ne peuvent pas avoir d’intrigue, ce
rices. La vie de l’actrice n’est pas murée comme celle de toute autre femme . Libres de toute hypocrisie, pourquoi se donnerai
u jour ? S’il est une carrière prosaïque et cerclée d’ennuis pour une femme , c’est la carrière du théâtre. Quel esclave, je v
grande, la plus célèbre, la plus riche, la plus enviée, n’est pas une femme , c’est un esclave. Aussi fait-elle payer son escl
41 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
s mouvemens, mesurés de façons diverses, en assemblées d’hommes et de femmes , au son de choses vaines et profanes, et non à au
plus de force aux jeunes personnes de l’autre sexe. Quant aux jeunes femmes et filles, ajoutent-ils, ce que la parole de Dieu
e étant le comble du mal dans les danses, c’est que les hommes et les femmes s’y trouvent ensemble pour s’y donner réciproquem
oquement du plaisir. « Car, disent-ils, en pareilles circonstances la femme est un objet de concupiscence pour l’homme, et l’
femme est un objet de concupiscence pour l’homme, et l’homme pour la femme , la matière de l’inflammation est dans tous les d
ient. Non pas toutefois qu’il ne soit jamais permis aux hommes et aux femmes de se trouver ensemble ; mais seulement en de sai
et en de telles assemblées, il y a des privautés entre l’homme et la femme , tout est perdu… En quelque part que nous découvr
» chapitre X. Et en effet, si la seule rencontre de l’homme avec la femme peut par le moyen des regards « allumer le feu de
era se permettre de regarder avec plaisir de nombreuses assemblées de femmes et de filles qui dansent, et espérer de n’en rece
42 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les cavaliers. » pp. 25-51
inte du pied releuee, se tourner vis à vis, du costé où doit estre la femme , afin de faire la mesme reuerence de l’autre pied
u la teste auec le corps faut baiser la main pour prendre celle de la femme , & se couurant, commencer gayement en obserua
non en auant, comme plusieurs font, qui par ce moyen incommodent vne femme  : mais à costé, en l’air, pour le porter d’vn mes
iceluy, il ne faut que passer vne demy capriole en tournant deuant la femme , ou du moins en faire le temps pour finir vne reu
resence de quelques personnes qualifiees, sinon se tournant deuant la femme , elle se doit commencer du pied gauche, du quel s
t, le desgager doucement, en baisant la main pour prendre celle de la femme , & se couurant, se remettre à fin de commence
cadance.) Il faut partir par vn temps ou deux, en tournant deuant la femme , selon que la Musique obligera, à fin de finir ce
& des pas assemblez, qu’il fera en se retirant en presence de la femme , ce qu’estant obserué, on laissera ceux du bransl
la teste auec le corps, pour baiser la main & prendre celle de la femme , il l’amenera au bas bout, vis à vis de la compag
e reuerence, comme on luy a enseigné à la Courante, puis reprenant la femme par la main, la conduira iusques au milieu de la
personne qualifiee il refera la mesme reuerence, sinon qu’il saluë la femme seulement : Puis prenant son chemin vers la main
43 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
l lui destinait le rôle principal. C’était la Chatte métamorphosée en femme , tirée par Coralli et Duveyrier d’un vaudeville d
ce que lui offrait, avec, en plus, toute la magie des attraits de la femme , le ballet renouvelé par Fanny Elssler. Très éloi
ême temps qu’ils fixent les caractères généraux de son talent. Jamais femme de théâtre n’a trouvé, pour la décrire, un écriva
our, le désir avec toutes ses coquetteries, l’homme qui attaque et la femme qui se défend mollement forment le sujet de toute
a puissance d’expression, lorsqu’elle créa la Chatte métamorphosée en femme , le 16 octobre 1837. Il y avait longtemps qu’on
core, si par hasard sa main rencontre sa blanche fourrure d’hermine ; femme , elle se souvient de ses frayeurs d’enfant, et sa
me qu’au moyen d’un bonnet magique la chatte pourrait être changée en femme . Il consentit à la métamorphose et ce fut la prin
qu’à ce que le jeune homme plaçât mieux ses affections et préférât la femme à la bête. Tout ce manège avait été rendu avec un
ier parla peu de Fanny Elssler à propos de la Chatte métamorphosée en femme , c’est qu’il travaillait au même moment à un port
ndeurs de l’hermaphrodite antique ; comme elle est une très charmante femme , elle serait le plus charmant garçon du monde. « 
à la même époque le portrait des deux mêmes personnages. C’était une femme du monde, Mme de Mirbel, la miniaturiste attitrée
Depuis lors il avait de nouveau traité un peu trop cavalièrement les femmes de théâtre en donnant le nom de Déjazet à une jum
atteur que tous les applaudissements du monde ; car il s’adresse à la femme et non pas à l’actrice, et l’on est toujours plus
L’on peut dire hardiment que Mlle Fanny Elssler est la plus belle des femmes qui sont maintenant au théâtre ; d’autres ont peu
dépens d’autre chose. On ne dit pas, en la voyant, comme de certaines femmes  : « Dieu ! les beaux yeux ! ou les beaux bras ! »
lque défaut caché, la taille plate ou le genou mal tourné ; une belle femme surprise n’a point une pudeur si féroce : Mlle El
ec. « Ses bras admirablement tournés sont moins ronds que des bras de femme ordinaire, plus potelés que des bras de jeune fil
une athlète. Aussi, Mlle Elssler plaît-elle à tout le monde, même aux femmes qui ne peuvent souffrir aucune danseuse. « La rep
la Volière qui n’avait réussi qu’à moitié. La Chatte métamorphosée en femme avait disparu de l’affiche. L’administration étai
ng, il fut obligé de sortir… De l’orchestre et de l’amphithéâtre, les femmes se sauvaient, tant pour échapper aux éclaboussure
lle Elssler a pu s’en convaincre par elle-même), où, même à une jolie femme , il n’est pas permis d’être enfant. » Lorsque Fa
44 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
de maintien, tout ce qui me passera par la tête, je veux devenir une femme littéraire, j’ai envie d’être de l’Académie. Je n
d’avoir failli et leur permettent de continuer leur petit commerce de femme abandonnée. — La société est mal faite, disent-il
r la morale. XI Ils ont plutôt l’air de jeunes gens à qui les «  femmes  » en ont fait voir, ce qui pourrait bien être vra
45 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
ours leurs fautes. Pendant ce Dialogue mêlé de Danse et de Chant, une Femme maltraitée par des Avocats, des Procureurs et des
on air de pauvreté, ils la méprisèrent. Alors plusieurs quadrilles de Femmes jeunes et belles parurent. La Vérité s’approcha d
46 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
qu’elle occupe dans la société. J’avais entendu dire qu’elle était la femme qui avait le plus d’influence à la Cour d’Autrich
ouffle de notre Ouest lointain. Bonne, énergique et gaie, c’était une femme franche, cordiale et sincère, et je me sentis aus
e buffet était des plus appétissants. L’ambassadeur d’Angleterre, sa femme et sa fille arrivèrent les premiers. Il y eut un
l’aimai ! Pour moi c’était la plus belle chose du monde. J’oubliai la femme et toutes ses fautes, ses sottes inventions, ses
47 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
yeux fixés sur son vaisseau, de vouloir y monter avec sa sœur et ses femmes , pour en examiner l’intérieur. La Reine, vivement
ors elle prend la noble résolution de se dévouer ; elle ordonne à ses femmes de lui ôter son manteau royal, son diadême, et de
tracent sur ses traits, elle se frappe et tombe dans les bras de ses femmes . Hercule et Ismène, qui paroîssent, n’ont pu arrê
vie, et il la lui montre entourée de sa sœur, de ses enfans et de ses femmes  ; Admète s’approche de ce tableau avec effroi, et
48 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 7 août : Ballet de la Vérité, accompagnant la tragédie de collège Thésée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 août 1663 »
assurément, Un plaisant divertissement. Plus de six mille Hommes, que Femmes , Dont étaient plusieurs belles Dames Dignes de re
49 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 février. Les périls du music-hall. »
rivalité formidable des attractions ? On vient d’applaudir une jeune femme en maillot pailleté qui, suspendue au trapèze par
» ! C’est encore à l’Olympia que j’ai vu Mme Yurieva. C’est une jeune femme grande et belle qui exécuta le fameux adage du Cy
50 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
ans toutes les folies. Il avait un goût effréné pour le jeu, pour les femmes , pour tous les raffinements de la sensualité et p
multueuse de son existence, qu’il eut l’idée bizarre de se marier. Sa femme regretta bientôt la plus déplorable des erreurs,
0 thalers, en dépensaient de 300 à 400 en un seul souper offert à des femmes de théâtre ou à des filles de joie. Gentz n’est p
t des aspirations plus hautes. Il continuait de correspondre avec une femme qu’il avait connue dans sa jeunesse au cours d’un
it possible la continuation des relations amicales, lorsque l’aimable femme l’eut un peu sévèrement remis à sa place. Bien as
place. Bien assez de bonnes fortunes le consolèrent des rigueurs des femmes vertueuses ou trop fières. Son journal mentionne
ari de Rahel, loin d’être choqué de ces lettres qui détaillaient à sa femme les joies et les souffrances d’un sexagénaire amo
s ce billet que les formules compliquées d’une galanterie sénile. Une femme pouvait y percevoir le murmure discret d’une pass
100 qu’un galant de son âge aurait le sort qu’Agnès, dans l’Ecole des Femmes , inflige à Arnolphe ? Gentz, quoiqu’il connût son
erie sans bornes. Le prince ajoutait que d’ailleurs il aurait été une femme des plus séduisantes et qu’à un âge avancé il aur
je vous déclare que, si vous voulez maintenant encore vous changer en femme , je serai demain votre amoureux. » Et Gentz de ré
suis très reconnaissant de ce compliment ; il me démontre que si une femme ou une jeune fille était assez folle pour me perm
e Gentz, une complète absence de pruderie et de préjugés chez une des femmes du monde les plus considérées du Berlin de 1830.
venant se serrer contre sa mère qu’il ne connaît pas encore. Les deux femmes auraient pu se parler à mi-voix ; elles ne le fon
nt sa principale raison de vivre était approuvée, encouragée, par une femme dont le jugement était décisif à ses yeux. Sûr dé
. Elle a dû paraître timide et gauche, pense-t-il ; en présence d’une femme dont elle a entendu vanter l’intelligence merveil
ne venait point de l’âme, ce serait alors une preuve de plus que les femmes sont de redoutables créatures. « Jamais, fût-ce d
bras d’un amant, une explication qui serait valable pour beaucoup de femmes de sa profession. Il n’y avait pas chez elle de d
e raison essentielle qui explique pourquoi une liaison, dont d’autres femmes de son âge et, de plus, suivant la même carrière,
enus dont la source menaçait sans cesse de se tarir. Elle qui fut une femme pratique et qui montra plus tard une grande habil
e vérité : il est établi que le prince de Metternich comptait sur les femmes pour étouffer chez le duc de Reichstadt des rêves
urée du fils de l’Empereur aurait été causée par la fréquentation des femmes , il dit : « On a prétendu aussi qu’il avait noué
51 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
a-t-il pas de mal, ou y en a-t-il peu que les hommes dansent avec des femmes  ? Et voici sa réponse : « Il n’y a rien au contra
’elle brûle, un jeune homme pourra aussi danser avec une fille ou une femme sans brûler du feu de l’impureté. » Bellarmin rap
e vois pas comment ce n’en est pas un que des hommes dansent avec des femmes , la danse pouvant facilement porter à ces crimes.
omme ils sont appliqués à jeter dans le cœur des hommes à l’égard des femmes , et des filles à l’égard des hommes, les étincell
qu’elles avoient sur la tête comme des couronnes d’or, des cheveux de femme , et des dents comme des dents de lion : et voici
montrées à St. Jean comme ayant des couronnes d’or et des cheveux de femme , et étant semblables à des chevaux préparés au co
à une danse où il n’y a point d’instrumens, et que vous y voyiez des femmes , et des hommes encore plus efféminés que les femm
vous y voyiez des femmes, et des hommes encore plus efféminés que les femmes , faire en silence tous les différens tours qui se
52 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — Juillet : Ballets des comédiens espagnols à Paris — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 24 juillet 1660 »
chantent, ils dansent Ballets, Tantôt graves, tantôt follets ; Leurs femmes ne sont pas fort belles, Mais paraissent spiritue
53 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
à l’impureté et aux danses, qui portent à la débauche ; combien leurs femmes feroient-elles mieux d’employer ce jour-là à leur
sous la loi de grâce, sont obligés à une plus grande sainteté ! Une femme , est-il dit dans le Deutéronome, (c. 12, v. 5.)
12, v. 5.) ne prendra point un habit d’homme, ni un homme un habit de femme  ; car celui qui le fait est abominable devant Die
e scandales peuvent naître de ce changement d’habits de son sexe ! La femme , en changeant ainsi d’habits, se dépouille assez
épouille assez aisément de la pudeur et de la modestie naturelles aux femmes  ; et l’homme aussi, en prenant l’habit qui convie
54 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
gé, Monsieur, l’opéra, de modèle qu’il étoit, est devenu la copie des femmes de la ville. La première qui arbora l’étendard de
elle nature. Cette mise scandaleuse fut adoptée par toutes les jeunes femmes  ; celles d’un certain âge la critiquoient, les un
agnifique s’est métamorphosée en scène de scandale et d’impudeur. Les femmes de la ville changent de forme et de costume tous
t Egyptiennes : quelques semaines après elles adoptent le costume des femmes du sérail et l’abandonnent ensuite pour prendre c
a été remplacée pendant quelque tems par des perruques ridicules. Les femmes qui étoient brunes aujourd’hui, étoient blondes l
55 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
ez chercher les divertissemens des spectacles. De plus, vous avez une femme et des enfans ; si vous les aimez comme vous le d
mari qui veut mener une vie honnête et chaste, que la compagnie de sa femme  ? Quid enim, quæro, filiis jucundius ? Quid uxor
: On croiroit que les Romains, qui ont inventé ces plaisirs, n’ont ni femmes , ni enfans ; faisant entendre par là que pour qui
vivre honnêtement, il n’y a rien de plus doux que la compagnie de sa femme et de ses enfans, et qu’elle peut tenir lieu de b
56 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Mort d’Hercule. Ballet tragique. » pp. 157-168
Philoclète . Lycas . Junon. La Jalousie. Compagnons d’Hercule. Femmes de la suite de Déjanire. Peuples vaincus. Prêtr
  L’espérance et le calme renaissent dans son cœur ; elle appelle ses femmes , elle demande Lycas, elle lui ordonne de porter à
nire enchantée de l’effet que produira ce présent, se retire avec ses femmes , en s’applaudissant d’une ruse innocente qui doit
poignard, s’en perce le sein et tombe expirante dans les bras de ses femmes . Hilias, effrayé de tant de malheurs, partage ses
57 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »
« à quatre pattes » ; et même dans ce réjouissant galop de singe, la femme reste belle. C’est là le prologue. Elle revient s
son insolent nez d’argent et pousse un dernier hoquet. Ce débat de la femme avec les voix, ce dialogue des mouvements avec le
ne force musculaire peu commune, au souffle remarquablement réglé. La femme , fine, le corps comme forgé à l’enclume, sait se
58 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 mai. Pétrouchka. L’Après-midi d’un faune. Soleil de nuit. »
plan ? Mais la surface du lécythe ionien dont ils font la frise. Ces femmes ne sont pas des danseuses en liberté, lancées dan
rondeurs, en faisant courir le long de ses flancs cette guirlande de femmes  ? Ces bas-reliefs mouvants ne seraient plus plaqu
59 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
dit qu’on l’a pris pour un tas de choses, mais jamais encore pour une femme  : Dumas riait encore et il baisa ma main, ce dont
telle valeur, qu’allez-vous me donner en échangé ? Je répondis qu’une femme ne pouvait donner qu’une seule chose pour une pen
lions de la Dame aux Camélias et du Demi-Monde et de l’immoralité des femmes qui le composent. Il dit alors cette chose que je
60 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Madame Balachova. »
a danse russe est exécutée avec la grandeur naïve et désinvolte de la femme de peuple russe, le pas norvégien est une « humor
61 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
province de l’Espagne. C’est la fête de ce village ; le Bailli et sa femme , son fils, sa brû et leur enfant dans un Age très
les personnages nobles de ce ballet. Le maître d’école du village, sa femme , la servante du Bailli et son vieux domestique en
vieux domestique et à la Duègne ; gravité du maître d’école et de sa femme  ; musique caractérisée ; danse bien adaptée à cet
avec des échelles en escaladant les fenêtres. Pendant cet assaut, les femmes des bandits qui sont restées sur la montagne, for
vant ensuite des échelles il monte avec précipitation, va chercher sa femme , lui confie son entant, les embrasse l’un et l’au
e en furieux pour porter du secours a son père et à sa mère. La jeune femme pâle, échevelée et mourante ne sait de quel coté
haîné le jeune homme ; ils trainent avec brutalité le vieillard et sa femme  ; le jeune enfant vole à son père ; il lui montre
omme comme un Lion furieux se débarrasse de ses chaînes, il vole à sa femme  ; le grand père et la grand mère y courent et se
on présente des fleurs et des fruits au seigneur et à son épouse. Les femmes des Miquelets arrivent, et la fête courte et vari
t fit paroitre par le pouvoir de son art tous les héros et toutes les femmes illustres qui dévoient naître de l’union de cette
62 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVIII. De la maniere de faire les Reverences avant de danser. » pp. 60-66
que de faire attendre celle qui doit danser avec vous. 61. Homme et Femme prest a faire la premier Reverence avant de Dance
gauche aussi à côté d’elle 9. à la deuxiéme position. 63. Homme et Femme faisant la Reverence pour Dancer Ces deux Figur
63 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
tait vidée. Nous n’étions plus que six sur la scène : M. Marchand, sa femme , le second chef d’orchestre, — M. Henri Hambourg,
mandez à M. Marchand, dis-je à Marten Stein, pourquoi il a engagé une femme qui fait une imitation de mes danses alors que vo
gagement. — Non, déclarai-je, si j’entre chez vous, il faut que cette femme s’en aille. — Mais, dit-il, je l’ai engagée, elle
64 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
ntation. — La Révolte au Sérail. — Caprices et fantaisies d’une jolie femme . — Le mariage forcé. — Pauline Leroux. — Madame A
demoiselle Miller) dont j’ai parlé tout à l’heure. Gardel poussait sa femme . Milon protégeait sa belle-sœur. La lutte fut viv
richement reliés. A quelques mois de là, Napoléon demanda à la jeune femme  : — Eh bien ! avez-vous été contente de Fontanes 
ogique est persuasive. Elle s’écriait, il y a quelque temps : « — Les femmes sont, en vérité, bien singulières : elles se font
t –à prouver qu’il y a au monde quelque chose de plus agréable qu’une femme qui tourne sur l’ongle de l’orteil avec une jambe
r retraité, c’était le pouvoir souverain qu’exercent les pleurs d’une femme , alors qu’ils sont les stalactites des longs cils
ne fabriquait, d’abord, qu’un affreux petit monstre vert qui devenait femme peu à peu… Ce détail, n’ayant obtenu qu’un succès
us animées, et de donner une idée d’un conseil de guerre tenu par des femmes . Un rire général et des applaudissements unanimes
tiste. La dent était dans la boîte !… — Malheureux ! s’écria la jeune femme , je vous avais demandé la dent du bas, et vous m’
. Madame Alexis Dupont C’était la sœur de Lise Noblet et la femme du chanteur à la voix blanche que vous savez… Le
. Louise, — la brune, — est restée, pendant des années, la plus forte femme et la meilleure mime du corps de ballet. Elle est
65 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
a laisser. L’engouement pour cette nouveauté fut extrême. Toutes les femmes essayèrent de se vaporiser à l’aide de jupes de t
la Chambre des pairs pour avoir tiré sur Louis-Philippe… Et la pauvre femme , épouvantée à l’idée de voir un simulacre de tête
tait un air vif et original : — Qu’est-ce que cela ? demanda la jeune femme au général. — Madame, c’est la polka. — La polka.
able boiteux, Fanny Elssler créa à l’Opéra la Chatte métamorphosée en femme , la Tarentule, la Gipsy, la Volière, — ce dernier
mour, le désir avec toutes ses coquetteries ; l’homme qui attaque, la femme qui se défend mollement forment le sujet de toute
le maître voulait quelque chose de plus qu’une élève. Il voulait une femme . Carlotta se sacrifia à son art, à son avenir. Il
ssaient à vue de nez. Il fallait, dit M. de Boigne, entendre la jeune femme raconter quelle vie de galères elle menait en com
es à l’aiguille dans lesquels elle excelle. On ne croirait pas qu’une femme , qui se sert si bien de ses pieds, se servît si a
mérite aux artistes lyriques. Sa grande ambition était de produire sa femme dans un rôle où elle pût donner à la fois la mesu
vrai, rentré à l’Opéra ; mais à la suite et comme appoint de la jeune femme . On lui avait bien promis qu’on lui donnerait peu
ous les grands arbres séculaires de la place de Gand, comme une jeune femme qui viendrait de danser une contredanse dans un s
66 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VI. De la Danse des Funérailles. »
e du Roi mort. Cette Pompe était suivie d’un grand nombre de vieilles femmes couvertes de longs manteaux noirs. Elles pleuraie
67 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
s pièces les plus délicieusement ordonnées du monde, je vis une jeune femme , grande, svelte, blonde et admirablement jolie. L
les meubles, la décoration, tout était tellement personnel à la jeune femme , que le palais disparaissait. J’oubliai où je me
savoir que vous étiez une princesse. — Mais, répondit-elle, c’est la femme que vous connaissez maintenant et non la princess
nger la Princesse. Il est vrai que je n’aurais point découvert quelle femme adorable elle est et de quelle qualité rare est s
68 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre dernier. Au public » pp. 186-188
livre n’est ni un scandale ni une œuvre impie. C’est une fantaisie de femme . Une coquetterie de danseuse qui a voulu prouver
69 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Danses de Mlle Svirskaya. »
tatue égyptienne de la haute époque ou encore à ces admirables jeunes femmes américaines, qui viennent sur nos tréteaux exécut
70 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
ntes, Napoléon s’était écrié : — Quelles horreurs ! D’où viennent ces femmes  ? Qu’on en ait d’autres ! Le ministre de la polic
ar on peut faire d’une marcheuse : Une rentière, Une grande dame, Une femme honnête, au besoin… Tout ce qu’on voudra, — tout,
et de deux chevaux, on les lui fait parvenir sous enveloppe. » Cette femme de sens entendait ne rien perdre sur le lavage.
rant à part lui : — J’en serai quitte pour me débarrasser de la brave femme à un moment donné. On soupa donc… à trois, — l’am
lies ! Plus de ces insolences de luxe qui font regretter aux honnêtes femmes que la vertu soit si mal payée ! Où ces belles in
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
s malheurs. Hélène, la plus belle et la plus dangereuse de toutes les femmes de la terre, fut enlevée d’abord par Thésée, et e
s’accoutumassent à mépriser l’opinion du vulgaire ; d’où vient que la femme de Léonidas nommée Gorgo, répondit, à quelques Da
72 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
couvre au mari jaloux de la Déesse, les pièges que celui-ci tend à sa femme volage, et à son redoutable Amant, le prompt effe
teurs dans une espèce de ravissement qui allait jusqu’à l’extase. Les femmes , dans ces moments, hors d’elles-mêmes, perdaient
73 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
sorcière n’a jamais été jeune, elle est née à soixante ans, l’âge des femmes de lettres ; elle apporte avec elle l’effroi et l
il découvre la légère Sylphide ; il prend ce bel oiseau ailé pour une femme de la terre ; il l’a vue recevoir un baiser, et i
et il s’en va pour avertir la fiancée. « Accourez, accourez tous, une femme est là, brillante et parée ; elle m’a vue, elle s
seule, mais suivie de toutes les vieilles du sabbat, et ces horribles femmes s’abandonnent à leur horrible joie tant qu’elle p
nt appartenir à un autre monde, tant ils sont grêles et fugitifs. Ces femmes sont vêtues de tristes haillons souillés de cendr
ant le pas du second acte ! Ce pas là était son chef-d’œuvre. Pas une femme ne le danse et ne le dansera, comme elle le dansa
74 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Les Ballets Léonidoff. »
là un décor simplifié avec goût. Mais nous avons vu Pulcinella et Les femmes de bonne humeur : à quoi bon cette piquette après
75 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
n prennent plus qu’il ne leur en faut pour marcher. On voit de jolies femmes en faire présent à leurs amans. Quelques-unes en
uvres, restent dans leur premier état. Pendant cette Scène, plusieurs femmes charmantes distribuent de ces robes à la dérobée.
ance. On les voit se promener, en s’examinant d’un œil satisfait. Des femmes font entrer dans le mortier quelques-uns de leurs
76 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
ou quelqu’héroïne, il faisoit faire alors un masque ressemblant à la femme qui en ce moment captivoit son coeur. Juvenal apo
’exprime ainsi : « Le pantomime est un monstre, qui n’est ni homme ni femme , dont toutes les manières sont plus lascives que
; et que le maître qui a su faire ressembler davantage un homme à une femme , est celui qui passe pour avoir fait le meilleur
77 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
Chapitre V marie taglioni Quatre femmes , toutes quatre danseuses, portèrent, avec un écla
’Empire. Elle avait une sœur, réputée pour sa beauté, qui, devenue la femme d’un gentilhomme italien, faisait dire : « Voir V
t ; mais que cette danseuse, cette grande révolutionnaire ait été une femme mal faite, bossue même, sans beauté, sans aucun d
ui manquât de décence et de pudeur. Il lui disait : « Il faut que les femmes et les jeunes filles puissent te voir danser sans
le se faisait une vertu ; pourvue d’appas médiocres par la nature, la femme disparaissait chez elle derrière la danseuse qui
nt, cette matière impondérable qui avait les apparences d’un corps de femme . Un admirateur anonyme analyse de la façon suivan
ification idéale, nous apparaît symbolisée par cette figure de conte, femme et libellule, qui plane dans le nuage diaphane de
claque. « Non, non, Taglioni ! s’écrie-t-il avec feu, non, Noblet ! femmes aimables, voluptueuses, enivrantes ! On ne vous a
à la danseuse souveraine. Il lance cette apostrophe : « O Taglioni ! femme charmante ! Psyché de la danse ! toi si heureuse
78 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
remolds, le repentir et la douleur ; (cris prononcés par un choeur de femmes ) que dans cet instant, on voye les rideaux s’ouvr
ssant d’un instant de calme ouvroit les yeux, et, en apper cevant une femme voilée et mourante, secourue par Electre et entou
oilée et mourante, secourue par Electre et entourée par un ! foule de femmes empressées à la soutenir, s’approchoit d’elle en
ment. Je leur demanderai si le sujet de Médée est bien joyeux, si une femme jalouse et barbare qui empoisonne sa rivale, brûl
79 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
ire qu’elle se trompait. Elle me fit voir alors la photographie de la femme divorcée de l’un de mes frères, qui imite tout ce
ames, que n’embarrassent point les scrupules. Aussi je ne suis pas la femme , — on voudra bien me croire sur parole, — qui, da
80 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre V. Des Bals Masqués »
gravité des Sénateurs, et déshonorait sans scrupule les plus honnêtes femmes de Rome. Dans un Bal Masqué que la Duchesse de Be
81 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
généré intérieurement et mérita, par la beauté que lui donnèrent deux femmes surtout, Marie Taglioni et Fanny Elssler, d’autre
. Des chameaux passaient sur la scène. Quelquefois on appliquait à la femme le nom de l’animal. Sous la monarchie de Juillet,
convenables ? Y a-t-il au monde quelque chose de plus agréable qu’une femme qui tourne sur l’ongle de son orteil avec une jam
Carlotta Grisi (c’est d’elle qu’il s’agit), devint son élève, puis sa femme . Cette union fut plutôt une association professio
sola certainement un peu le jour où, vaincu par sa laideur, il vit sa femme le quitter pour un poète aux traits olympiens, à
t un sujet supérieur, capable de régénérer la danse. Parmi ces jeunes femmes qui eurent pour des raisons diverses une heure de
rs un talent de deuxième ordre. De Boigne la note ainsi : « Charmante femme , charmante danseuse, qui a toujours frisé le succ
82 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
armin vivant et souriant. La gorge un peu haute, ainsi qu’il sied aux femmes de qualité. Les extrémités fines comme un article
ure qui file à travers les avenues du Vésinet, conduite par une jeune femme habillée avec goût. Le cheval a du sang. Le domes
sinet surélevé, pour caresser du fouet la croupe de sa bête, la jeune femme a des mouvements, des attitudes qui restent toujo
euille ? Mademoiselle Montaubry Si les blondes sont deux fois femmes , elle est femme deux fois et demie. C’est une cou
moiselle Montaubry Si les blondes sont deux fois femmes, elle est femme deux fois et demie. C’est une cousine de l’ex-tén
jeté-battu en jupon, un rond de jambe en maillot, un entrechat passé femme  ! Elle danse partout. Elle danse toujours. J’imag
ourra graver l’inscription suivante sur le fronton de l’Opéra : aux femmes fécondes la patrie reconnaissante. Mademois
83 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
r, leur sociabilité, et même leurs défauts. Et en vérité, lorsque les femmes applaudissaient Nourrit, Duprez, Levasseur, Baroi
e appartenait à la marquise Aguado, toujours entourée des plus jolies femmes de la colonie espagnole. La grande baignoire de g
ces physiques des figurantes : « Quelles horreurs ! D’où viennent ces femmes  ? Qu’on en ait d’autres ! » Dès le lendemain, le
aux, qui avait établi deux escaliers, un pour les hommes, un pour les femmes , et allongé d’un tiers les jupes du corps de ball
ion animée, et de donner une idée d’un conseil de guerre tenu par des femmes . Un rire général et des applaudissements unanimes
que avec le prince Adalbert de Prusse ; Sangalli, en 1886, devient la femme légitime du baron de Saint-Pierre, ancien diploma
84 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre III. Objet de cet Ouvrage. »
les places d’habitude qu’ils occupent à nos spectacles, cet essaim de femmes à prétentions qui cherchent sans cesse le plaisir
85 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juillet. Les adieux des Ballets russes. »
pûmes goûter véritablement cette « chorégraphie de chambre » dont Les Femmes de Bonne Humeur et Le Spectre sont de bien attray
86 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre neuvième. Le maître » pp. 96-103
] L’homme doit avoir une manière de danser qui diffère de celle de la femme  ; les temps de vigueur, de force et l’exécution h
défaut de faire danser les hommes de la même manière que dansent les femmes , de sorte que tous ses élèves sont maniérés et af
87 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
our peu et lui ne veut pas pour rien comme fait Guerra qui a donné sa femme par-dessus le marché et je vous assure que le par
agée au Théâtre Français d’ici pour jouer les mères nobles, la pauvre femme a eu bien des déboires ; Mademoiselle Damoreau qu
un pot de fer ! Mademoiselle Valérie Miro est aussi venue ; la pauvre femme a débuté, a eu assez de succès dans les Jeux de l
88 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
sauvage bravant les feux du soleil. Ainsi tu révélais à l’univers, ô femme , ce que l’univers a de plus secret, et parfois, d
jambe. Ce travail avait été exécuté par Mlle Félicie de Fauveau, une femme sculpteur, née à Florence de parents français, fo
ne joie trop pénétrante. En la voyant, vieillards, enfants, hommes et femmes , tous se mirent à pleurer dans le paroxysme d’une
ivilisé… Succombant sous une sensation trop vive pour une poitrine de femme , elle tomba à genoux devant la montagne de fleurs
uple, aussi vigoureuse que jamais. Le critique Herz déclara : « Trois femmes seulement ont produit sur nous une impression gra
« L’illustre danseuse, idolâtrée de toute l’Europe, était alors une femme d’environ soixante ans, mais produisait toujours
avait qu’un pas. « Comment ici ? en robe de soie noire ? une vieille femme comme moi ? » Elle se déroba un moment avec la pl
ée en année plus rares, jetés au feu les uns après les autres par une femme de sens rassis qui n’attachait plus aucun prix à
rême vieillesse. Au premier rang des intimes se place Betty Paoli, la femme poète, dont l’âme passionnée avait été meurtrie p
été la dame de compagnie de la princesse Marie-Anne de Schwarzenberg, femme du célèbre général. Le fils de celui-ci, le princ
bert demanda à sa voisine de table en montrant celle qui avait été sa femme  : « Quelle est donc cette institutrice là-bas qui
89 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71
mour-propre, et cette hardiesse familière aux demi-talens. Les jolies femmes toujours prêtes à se porter vers les extrêmes, im
vain par principes, insolent par succès, il se permettait envers des femmes titrées les propos les plus durs, et les plus imp
que de choses dans un menuet ! On le demandoit de tous les côtés. Les femmes de la cour, et celles des riches financiers ambit
nt froid et flégmatique, je lui portois souvent des fleurs. Après les femmes et la chasse, c’est ce qu’il aimoit avec le plus
90 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
éesse que la couronne de fleurs de la courtisane. — Bien qu’elle soit femme dans toute l’acception du mot, l’élégante sveltes
ée dans le bal, don Gil et Bellaspada, le prenant réellement pour une femme , s’acharnent tous deux à sa poursuite et lui prop
ose. Bien plus, sur un nouveau geste du diable, les masques des trois femmes tombent en même temps que leurs dominos, et elles
trouve embarrassée ? S’il en est ainsi, vous ne connaissez guère les femmes  ! Elles trouvent toujours moyen de se justifier,
stées ensemble, se racontent mutuellement leur histoire. — Elles sont femmes , c’est bien naturel. — Rapprochées par un commun
chapitre là ; elle sait par expérience comment on arrive au cœur des femmes  ; soyez tranquille. D’ailleurs, il ne s’agit que
Cléofas Zambulo peut donc désormais vivre tranquille, ayant une jolie femme et un bon diable à sa disposition. — Mais n’est-c
91 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
e, à se rouler dans un cachemire ; elle arrive à la contrefaçon de la femme d’agent de change ; seulement, on la reconnaît, q
n divan à six heures un quart. L’Arthur viveur ne comprend pas qu’une femme ait besoin de vivre quand il n’est pas là. L’Arth
choix. La Lorette écrit sur son livre de blanchissage : 2 chemises de femme marquées Julien. 2 camisoles,  idem. En cas de br
est un ouvrage d’homme, mais il est féminin quand c’est un ouvrage de femme . Cette méthode grammaticale en vaudrait bien une
se de main en main : mais, on dirait que tous les convives, hommes et femmes , ont suivi un cours d’escrime appliquée à la pomm
ne peut plus payer restaurateur, glacier, ni musiciens. Mais elle est femme de tête, elle avise aux moyens de sortir d’embarr
n de sa permission, elle lui rit au nez et dit : « Je ne suis pas une femme  ; » mais quand l’agent de surveillance insiste, l
rriver à ne pas grever son budget de la dépense du loyer. La bonne ou femme de ménage de la Lorette. — Voici un moyen qui nou
otre député, ou votre garde national, vous vous mettez en quête d’une femme de ménage ou cordon-bleu, dont le nom de famille
née, à votre disposition un cabriolet à quatre roues ; La Lorette est femme à descendre perpendiculairement par la fenêtre, p
u plutôt savoir vieillir est un art que les Lorettes, mieux qu’aucune femme du monde, ont le secret de mettre à profit. Quand
ou matrimoniale. Votre marchand de bois vous envoie sa facture par sa femme , vous reconnaissez un débardeur Musard. Vous pren
préfet, vous me faites beaucoup d’honneur. » Sous le cachemire de la femme du financier, sous la tiretaine de la fermière, m
Lolo, les Lolo, les Lolo, Les Lorettes. Vivent les Lorettes ! Quelles femmes , parfois discrètes, Afin d’alléger leurs troussea
92 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
Gétuliens. L’Amour , sous la forme d’Ascagne. Junon . Vénus . Femmes de Didon . Carthaginois . Troyens . Gétulien
des danses guerrières, qui expriment la valeur et l’intrépidité. Les femmes de la suite de Didon se livrent à des danses plus
du départ de son amant, tombe sans connoissance dans les bras de ses femmes . Enée frappé du danger de la Reine, vole à ses ge
93 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
’imaginant nécessairement de le reconnaître, je sois ? — Elle est une femme qui danse, et qui cesserait divinement d’être fem
 ? — Elle est une femme qui danse, et qui cesserait divinement d’être femme , si le bond qu’elle a fait, elle y pouvait obéir
i l’a envoyée, la rappelle, et la rend toute haletante à sa nature de femme et à son ami… PHÈDRE Miracle !… Merveilleux homme
E Regardez-moi plutôt ces bras et ces jambes innombrables !… Quelques femmes font mille choses. Mille flambeaux, mille péristy
que je ne puis m’empêcher de voir selon ta pensée. Je contemple cette femme qui marche et qui me donne le sentiment de l’immo
stable… Un œil froid la regarderait aisément comme une démente, cette femme bizarrement déracinée, et qui s’arrache incessamm
mouvement »… On ne distingue plus ses actes d’avec ses membres… Cette femme qui était là est dévorée de figures innombrables…
branle à coups de bélier les murs qui sont entre les êtres. Hommes et femmes en cadence mènent le chant jusqu’au tumulte. Tout
94 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
t deux grands Chœurs de Musique, l’un composé d’hommes, et l’autre de femmes . Moïse se mit à la tête du premier ; Marie précéd
95 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
e siècle, son talent et sa beauté ; c’était l’Espagnole Maria Medina, femme de Vigano, le grand chorégraphe que ses contempor
ipsé une beauté fâcheusement célèbre, la danseuse Clotilde Mafleuroy, femme séparée de Boïeldieu. Dans un ballet qui fut donn
e prit de sa personne et de sa maison, elle laisse l’impression d’une femme qui aurait traversé le monde toujours fraîchement
e représente, dit Louis Speidel, ce pittoresque tableau de la robuste femme peinant sous la hotte d’où sort un délicieux mino
oupe italienne qui avait pour prima donna Isabelle Colbran, la future femme de Rossini, et pour ténor le fameux David. Barbaj
était, en dépit de son nom italien, d’origine française. Vigano et sa femme , la belle Maria Medina, avaient habité Paris et f
ssion de la force qui mène le monde, de l’amour, du désir. Elle resta femme , au lieu de devenir une poupée articulée, chef-d’
96 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
evée et extrêmement svelte, et l’autre est une perfection, soit comme femme , soit comme danseuse. Joies. » Les entrefilets de
niers sont emmenés, des vaincus gémissent ; sur le lieu du combat une femme grecque expire en couvrant son enfant des plis de
u jeune duc de Reichstadt, qui l’entendait venir de loin, elle, cette femme d’un pas si léger, il y avait Fanny Elssler, l’Al
y, de Saint-Cloud, de Meudon, de Fontainebleau et de Chambord : cette femme qui a été le premier sourire et le dernier, hélas
lles ne le touchaient. Un calembour courut le boulevard. « Est-ce une femme , se demandait-on, ou bien est-ce l’air ? » Un hom
it alors qu’il fallait voir se tordre véritablement les hommes et les femmes , tous s’avançant, se dressant, se penchant pour l
pieds de Mlle Elssler, disait-il, une admirable musique et une jolie femme , des chanteurs, des décorations, des danseurs, un
97 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IV. Jugement des Conciles contre les danses. » pp. 44-50
ustinien) déclare « qu’il condamne et bannit les danses publiques des femmes , comme entraînant après elles beaucoup de fautes,
laint, (can 35. Labbe, tom. 6, p. 112) « qu’il y en a, et surtout des femmes qui font en sorte qu’on vienne aux jours de fêtes
98 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
ature, et voici la division qui leur sert de règle. Dans les voix des femmes , le premier et le second dessus : ce dernier est
sition de notre musique vocale, que six sortes de voix, deux dans les femmes , et quatre dans les hommes. La connaissance de le
x procurée par l’art, ne pouvait pas manquer d’exciter l’ambition des femmes , qui se destinant au chant, n’avaient cependant q
coup plus extraordinaires et infiniment moins difficiles. Les voix de femme , si bien faites pour porter l’émotion jusqu’au fo
servir des castrati (qu’on a d’ailleurs employés de tous les temps en femmes sur les théâtres d’Italie), si elles n’avaient eu
et flatte même les bonnes oreilles françaises. Avec cet artifice les femmes se sont soutenues au théâtre, dont elles auraient
99 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Explication des planches » pp. 104-107
rechats. Planche XIV Fig. i, 2 et 3. Tailles d’homme et de femme pour les trois genres de danse. Fig. i. Danseur s
100 (1908) Quinze ans de ma vie « Préface » pp. -
e. Je n’ai pu résister au plaisir de rappeler ma rencontre avec cette femme extraordinaire et charmante. Quelle rare aventure
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