Lettre i. sur les
fêtes
nationales. Vous me parlez, dans votre lettre,
. sur les fêtes nationales. Vous me parlez, dans votre lettre, de
fêtes
publiques ; vous êtes bien bon, Monsieur, d’honor
ns ordre, sans caractère, sans goût, sans imagination. Ces prétendues
fêtes
n’offroient que de grossières caricatures, et pro
louvre ornées de magots. J’aurois quelques questions à faire sur les
fêtes
en général. Je demanderois dabord si les fêtes pu
stions à faire sur les fêtes en général. Je demanderois dabord si les
fêtes
publiques doivent être exécutées par le peuple ou
is acteur et spectateur ? Si l’on s’est formé une idée bien juste des
fêtes
nationales ? si elles ne doivent pas, sous l’enve
de l’immoralité, de la perversité, de la licence et de l’égoïsme, des
fêtes
morales seroient goutées, ou plutôt si elles ne p
elles de Nicolet, gouteroient peu les chefs-d’œuvre de Corneille. Les
fêtes
publiques ont eu jusqu’ici différens objets, tant
it plus profondément sentir sa misère ; mais je n’ai pas encore vu de
fêtes
en France, où la moralité fut unie au plaisir, où
et le bon goût fussent joints à la gaieté : le résultat de toutes les
fêtes
est, beaucoup de gens ivres, beaucoup de bourses
sir qui doit tourner au profit des mœurs, du goût et de l’esprit. Les
fêtes
, telles qu’on les donne au peuple, ne sont ni bon
, ne sont ni bonnes ni utiles ; elles sont ruineuses pour l’état. Les
fêtes
qui conviennent à un grand peuple, doivent plus c
ation, au goût et au génie, qu’au revenu public. Colbert donnoit des
fêtes
qui, en attirant des spectateurs de toutes les pa
mais l’orgueil national étoit seul satisfait. Robespierre donnoit des
fêtes
qui ruinoient le trésor public, faisoient fuir le
, l’esprit et le goût, n’a pu imagnier, depuis cent ans, un projet de
fête
digne d’elle. On doit attrtibuer cette pénurie à
u’ils auraient dû mépriser. Ne pourroit-on pas, à là paix, donner une
fête
qui interessat toutes les nations ? les Ambassade
t-ils pas être invités à remplir les personnages intéressans de cette
fête
auguste ? Si, à cet époque, un homme oublié, res
, à cet époque, un homme oublié, respiroit encore, il traceroit cette
fête
mémorable et unique, qui enchaînerait à la France
me connoissez assez pour être persuadé que mes idées sur cette grande
fête
, ne rouleroient point sur un feu d’artifice et un
s jettées au hazard et sans suite, on ne manquera pas de dire que des
fêtes
de ce genre, seraient très dispendieuses ; je rép
aisir, le concours des étrangers. Le temps propre à donner une grande
fête
n’est point arrivé. Celui qu’on avoit choisi pour
rassasier le peuple, n’étoit rien moins que propice ; d’ailleurs ces
fêtes
n’offroient par leur mesquinerie, que l’emblème d
reviendrai sur cet objet dans un autre moment, et je prouverai qu’une
fête
, (comme je l’entends), est, ou doit être un poème
donner un corps à mes idées, en mettant au jour le plan d’une grande
fête
; mais il faut attendre un grand événement. Daill
Lettre ii. sur le même sujet. Oui, Monsieur, je l’ai vue cette
fête
des victoires, qui n’étoit point celle du goût et
te. Je me contenterai d’observer que le local étoit trop grand, et la
fête
trop petite ; que le temps, pour la concevoir et
et l’exécuter, étoit trop court, et la dépense trop mince ; que cette
fête
allégorique qui devoit retracer majestueusement t
incohérentes, nullement propres à inspirer l’enthousiasme. Lorsqu’une
fête
, de quelque genre qu’elle soit, ne parle ni à l’œ
les yeux et révoltent le bon goût. Au reste les accessoires de cette
fête
affichoient l’inconséquence et la misère ; les dr
urdonnement affreux qui retentissoient à mes oreilles ; je quittai la
fête
, car lorsque le parterre à de l’humeur, les plus
rterre à de l’humeur, les plus excellentes pièces sont siffilées. Les
fêtes
, en général, sont filles du génie et de la paix.
erai, cependant, que si les artistes n’ont pas brillé dans toutes nos
fêtes
, avec l’éclat et la splendeur que leurs talens le
u centre de la place, et qui étoit le point principal et unique de la
fête
, étoit écrasé et à peine apperçu. Il eut fallu en
toit sur ce pâté, ou cette éminence, que le directoire se donnoit une
fête
. Je dis se donnait, car, assurément la fête n’éto
directoire se donnoit une fête. Je dis se donnait, car, assurément la
fête
n’étoit point pour le peuple, qui méritoit, au mo
e présente que des caricatures ou monstrueuses ou grimacières. Le mot
fête
annonce quelque chose de grand et de magnifique.
l’éveil de la curiosité, parce qu’il fait espérer du merveilleux. Une
fête
, je le repete, est ou doit être un poème. Elle n’
on exposition, son nœud et son dénouement. D’après ces principes, une
fête
telle que je la conçois, doit avoir des parties d
e génie, et de chant en chant, on arrive au dénouement : hé bien, une
fête
est un poëme héroïque ; elle doit réunir le même
éneration chez les Juifs ou les Hébreux, pour la célébration de leurs
fêtes
, suivant la loi qu’ils en avoient reçue de Dieu :
t fait en leur faveur. Depuis ce tems-là ils instituerent quantité de
fêtes
pieuses où la danse étoit admise, entre autres ce
it tous les ans, sous des feuillées dressées dans la campagne : cette
fête
étoit en grande vénération parmi eux, comme il pa
ablira non seulement Jérusalem, mais qu’il lui remettra ses anciennes
fêtes
, ses chants, ses cérémonies, & ses danses. Le
érémonies, & ses danses. Les Juifs célébroient entre autres trois
fêtes
dans l’année, où la danse Sacrée faisoit le princ
it donnez, dont ils lui offroient les prémices dès le lendemain de la
fête
de Pâques. La seconde, à la fin de Juillet, après
de Lancenie, c’est-à-dire de dédicace ou restauration, qui étoit une
fête
célébre chez les Juifs ; elle fut instituée par J
nt du Temple de Jérusalem, suivant Joseph, Liv. 12, qui dit que cette
fête
fut célébrée pendant huit jours comme une réjouis
publics, & autres plaisirs honnêtes, pour l’accomplissement d’une
fête
si solemnelle. Les Juifs l’ont célébrée tous les
x publics chez les Grecs, ceux qui menoient le branle de la danse aux
fêtes
de cérémonies. L’Histoire des Ordres Monastiques
ers Chrétiens s’assembloient dans les hameaux les Dimanches & les
Fêtes
, pour danser en rond en chantant des Pseaumes, de
eunesse chez toutes les Nations, pour perfectionner la vie civile. La
fête
des Agapes ou festins de charité, fut encore inst
Carthage, au grand regret des pauvres Chrétiens qui regardoient cette
fête
comme une consolation dans leurs miseres : l’on n
s zélez avoient coutume de s’assembler la nuit, la veille des grandes
fêtes
, au-devant des Eglises, pour danser en rond au ch
hant des Hymnes & des Cantiques du Saint dont l’on solemnisoit la
fête
, & particulierement aux quatre fêtes solemnel
aint dont l’on solemnisoit la fête, & particulierement aux quatre
fêtes
solemnelles de l’année : mais dans la suite des t
oyera les calendes dudit mois de Janvier, à cause du nouvel an, ou la
fête
du premier Mai à cause du renouvellement du Print
la défense des danses Baladoires qui se faisoient par les peuples les
Fêtes
& Dimanches dans les places publiques, aussi-
l’on voyoit encore vers le milieu du siecle précedent à Limoges, à la
fête
de S. Martial Apôtre du Limousin, le peuple danse
anéanti en France les danses qui se faisoient les Dimanches & les
Fêtes
devant les Eglises ; joint à l’Arrest de la Cour
e ici pour faire voir l’attention de nos Rois pour la suppression des
fêtes
& des danses Baladoires en France. ARREST d
des grands jours le 14 Décembre 1665, les danses publiques appellées
fêtes
baladoires, & autres semblables, demeureront
s permettre, ni souffrir que les Foires & Marchez soient tenus ès
Fêtes
solemnelles. A Paris l’an 1667. Extrait des Regis
Cour des grands jours le 14 Décembre 1665, les danses publiques &
fêtes
appelées baladoires introduites par quelques Seig
dans l’étendue du ressort desdits grands Jours ès jours du Dimanche,
Fêtes
du Patron, & autres Fêtes annuelles & sol
dits grands Jours ès jours du Dimanche, Fêtes du Patron, & autres
Fêtes
annuelles & solemnelles : & comme la qual
nuelles & solemnelles : & comme la qualité des jours desdites
Fêtes
annuelles & solemnelles n’auroit été reglé pa
x Ordonnances, seront & demeureront les danses publiques appelées
Fêtes
Baladoires & autres semblables, supprimées :
ermettre, ni de souffrir que les Foires & Marchez soient tenus ès
Fêtes
Solemnelles de Pâques, Pentecôte, de tous les Sai
la Vierge, de l’Ascension, Circoncision, Epiphanie, Dimanches, &
Fête
du Patron, à peine de cent livres d’amende, tant
age qui subsiste en Espagne & en Portugal, toutes les veilles des
Fêtes
de la Vierge ; les filles s’assemblent le soir de
Lettre v. sur le mème sujet. De toutes les
fêtes
, Monsieur, qui se sont données à Paris pendant le
le, que celle qui fut donnée à St. Cloud le 18. Brumaire, an 8. Cette
fête
étoit allégorique, et elle fera époque dans notre
oque dans notre histoire. On la nomma l’impromtu de la sagesse. Cette
fête
unique dans son espèce, ne coûta rien au trésor p
oleil. Personne n’y fut invité ; personne n’eût de billets ; et cette
fête
donnée aux Demosthènes et aux Cicérons modernes,
e majestueusement et se perd dans les nues. Il n’est point, de bonne
fête
sans lendemain ; c’est l’antique proverbe des Par
Mars en donna un à Paris qui n’étoit que le dénouement heureux de la
fête
de la veille. Elle est assez connue par ses détai
e vous en faire la description. Ce qui est à remarquer, c’est que, la
fête
entièrement terminée, l’horison commença à s’écla
ngtems elle avait cessé de régner. Cet événement fut célébré par des
fêtes
brillantes, dont la partie intéressante fut confi
ions et les artifices furent toujours en France le fond principal des
fêtes
que l’on y donna. Il est temps de s’appercevoir q
t les échafauds multipliés absorbent toutes les autres parties de ces
fêtes
, où les talens et les arts devroient se montrer a
ttoit des entraves à son imagination. Cependant il a déployé dans ces
fêtes
, du goût, de l’intelligence, de la variété ; et e
t entièrement abolir la coutume irréligieuse qui s’est introduite aux
fêtes
des saints, que les peuples, au lieu d’assister à
a, et surtout des femmes qui font en sorte qu’on vienne aux jours de
fêtes
, non dans des vues droites et saintes qu’on doit
ulte à celui de Dieu et des saints. » Il en donne pour preuves qu’aux
fêtes
solennelles des apôtres et des autres saints, « o
généralement tout ce qui n’est qu’une profanation des saints jours de
fêtes
. » Le concile de Reims, tenu en 1583, au titre d
, tenu l’année 1583, fait le même réglement sur la sanctification des
fêtes
par rapport à la fuite des danses, que celui du c
neries et des excès de bouche qu’on doit éviter, surtout les jours de
fêtes
, comme en étant une profanation manifeste : Comm
ilée, tenu en 1596, porte en termes formels : « Le temps des jours de
fêtes
doit être employé à écouter les prédications, et
e, tenu en 1609, défendant comme les conciles précédens, aux jours de
fêtes
, tous les divertissemens capables de porter à l’i
de peur que Dieu ne se plaigne de la manière dont nous célébrons les
fêtes
, comme il se plaignoit autrefois des Juifs au suj
st en abomination, je ne puis plus souffrir vos sabbats et vos autres
fêtes
où il n’y a qu’iniquité et fainéantise… (v. 14) E
cile de Bordeaux, tenu ensuite en 1624, parlant de la célébration des
fêtes
, commence par remarquer que le cœur de l’homme es
différens excès. Après quoi il ajoute : « Afin donc que les jours de
fêtes
établis pour vaquer à la contemplation des choses
s contre les danses, sous prétexte qu’il ne s’y agit que des jours de
fêtes
et de dimanches, et du temps des saints offices ;
donc ces conciles insistent particulièrement sur la circonstance des
fêtes
, c’est parce que ces misérables divertissemens n’
Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les
Fêtes
publiques Toutes les actions publiques des Anci
ns avaient quelque Analogie avec leurs superstitions. Leurs premières
Fêtes
n’eurent pour objet que leurs Dieux, et les Danse
it les idées primitives dans les airs qu’elle composa, et chacune des
Fêtes
qu’on célébrait, devint un spectacle animé, dont
de rameaux naissants. Se montrer sans cette marque distinctive de la
Fête
, aurait paru une sorte d’infamie : les Sénateurs
nateurs mettaient une espèce d’honneur à en avoir les premiers. Cette
Fête
commencée dès l’Aurore et continuée tout le jour,
bère lui-même en rougit, et il fit rendre un Décret pour abolir cette
Fête
, mais les racines de la corruption étaient déjà t
rofondes. Après les premiers moments de la promulgation de la Loi, la
Fête
et les Danses du premier jour de Mai furent renou
devant des maisons des Gens en Place, sont un reste de cette ancienne
Fête
. Ce n’est pas la seule occasion où l’orgueil a us
nfortune générale, que les législateurs doivent s’amuser à donner des
fêtes
qui n’amusent personne. Ce n’est pas, dis-je, dan
la vue est si affligeante, il est aisé de se persuader que toutes les
fêtes
immorales et insignifiantes que l’on donnoit au p
s souverains, qui avoient le plus de bon sens, regardoient toutes ces
fêtes
comme des épigrammes, d’autant plus sanglantes, q
et leur misère présente. Je reviens à mon sujet. Le but de toutes les
fêtes
qui fûrent données en France, depuis la mort de L
socier à ces compositions monotones. Aussi, le résultat de toutes ces
fêtes
maladroitement combinées, n’offrit que du bruit e
bler sept à huit cens mille âmes dans le même emplacement ; une telle
fête
n’offriroit que désordre et confusion ; des accid
qu’en divisant cette masse énorme, et en donnant au peuple autant de
fêtes
particulières, qu’il y a de faubourgs et de secti
différentes. Lorsque le gouvernement s’occupera de donner une grande
fête
, pour célébrer un événement qui fixera le bonheur
ties de l’Europe en payent les frais en s’amusant ; il faut que cette
fête
soit grande, parce que c’est une grande nation en
espèce. Je veux dire que, deux jours avant celui destiné à donner la
fête
, il n’y aura pas un clou à mettre, un coup de pin
nsi que l’artifice, est réservé pour la veille, ou le jour même de la
fête
. Pour venir au devant de toutes les objections, s
dirai que le peuple après avoir vû tous les grands préparatifs de la
fête
, jouiroit encore du spectacle le plus pompeux et
laine à l’imagination. C’est là où je placerai le dénouement de cette
fête
auguste. Le Champ de Mars présenteroit à l’œil t
n ensemble vraiment miraculeux, un spectacle unique et ravissant, une
fête
absolument neuve, où tout brilleroit sans se heur
à les remplir, en même temps d’une joie pure dans la célébration des
Fêtes
qu’elle avait établies, pour leur rappeler les bi
ment à l’esprit des premiers Chrétiens, comme un moyen d’animer leurs
Fêtes
, d’embellir leurs cérémonies, de rendre leur Cult
déserts. Ils se rassemblaient dans les hameaux, les Dimanches et les
Fêtes
; et ils y dansaient pieusement, en chantant les
ses sacrées à l’honneur du Dieu des Chrétiens. Chaque Mystère, chaque
fête
avait ses Hymnes, son Office et ses Danses. Les P
e Latine, que parce qu’ils commençaient et menaient la Danse dans les
Fêtes
solennelles. Les Chrétiens d’ailleurs les plus zé
ous vous livrez à la danse ; si votre penchant vous entraîne dans ces
Fêtes
que vous paraissez aimer avec fureur ; dansez : j
arité30. Comme la dissolution et la débauche se glissèrent dans cette
Fête
établie, pour réunir par des liens de paix et les
tus Martyrum ; Chori sanctarum Virginum, etc. 30. On la nommait la
fête
des Agapes. 31. Préface du Traité des Ballets. É
Chapitre II. Des
Fêtes
du même genre dans les autres Cours de l’Europe
que le génie et l’art mettaient en état d’imaginer et de conduire ces
Fêtes
continuelles, qu’on avait véritablement envie de
e leur temps, influent peu cependant sur l’avenir des Artistes. [Voir
Fête
(Beaux-Arts)] Ce Durand, Courtisan sans talents d
Ministre sans goût, avait imaginé et conduit le plus grand nombre des
Fêtes
de la Cour de Louis XIII. Les Français qui avaien
t sur elle ; et il est flatteur encore pour nous aujourd’hui, que les
Fêtes
les plus magnifiques et les plus galantes qu’on a
ngleterre, et par des présents magnifiques qu’elles lui firent. [Voir
Fête
(Beaux-Arts)] Qu’on compare cette Fête remplie d’
ues qu’elles lui firent. [Voir Fête (Beaux-Arts)] Qu’on compare cette
Fête
remplie d’esprit et de variété avec l’assemblage
auvais goût des gens en place. 114. Cette partie était imitée de la
fête
de Bergonce de Botta. 115. En opposition à cet a
s danses sont particulièrement défendues les jours de Dimanches et de
Fêtes
, pendant le service divin, qu’elles soient innoce
aux temporels, obligent de les suspendre les jours de dimanches et de
fêtes
pour vaquer plus librement à Dieu ; combien est-o
qu’on doit s’appliquer à retirer de la célébration du dimanche et des
fêtes
, c’est de réveiller et d’enflammer davantage en s
la charité. Une des intentions que l’Eglise a eues en instituant les
fêtes
en l’honneur des saints, a été qu’en nous réjouis
runt. Comment donc prétend-on honorer les saints aux jours de leurs
fêtes
par des danses et des excès de boisson, et d’autr
arce qu’on s’y livre plus pleinement à lui ? N’est-ce pas changer les
fêtes
de la Religion en des fêtes toutes profanes et to
einement à lui ? N’est-ce pas changer les fêtes de la Religion en des
fêtes
toutes profanes et toutes païennes ? Et cette pro
ailleurs profession d’une grande piété ? Les jours de dimanches et de
fêtes
étant consacrés à Dieu, comme une église, un aute
de mal à travailler à la terre les jours entiers des dimanches et des
fêtes
, qu’à y danser : Meliùs totâ die foderent, quàm
éfendue en tout temps, l’est encore plus les jours de dimanches et de
fêtes
. Et comme ce qu’il dit sur les spectacles est éga
ns de Dieu, et en particulier celui qui regarde la sanctification des
fêtes
, sont trop oubliés ; et bientôt le jour du Seigne
t réfute, disoit en permettant d’aller à la comédie les jours même de
fêtes
, qu’elle ne commence qu’après l’office, le savant
our défendre les danses publiques les saints jours de dimanches et de
fêtes
, et surtout les fêtes patronales. Nous avons déjà
s publiques les saints jours de dimanches et de fêtes, et surtout les
fêtes
patronales. Nous avons déjà vu ce qu’en rapporte
ui défendent les danses publiques les saints jours de dimanches et de
fêtes
, il ne reste plus qu’à désirer que tous ceux entr
dre naturel. (Voici comme il parle dans la chapitre 10 qui traite des
fêtes
, des reliques, etc. art. 8. pag. 348. Il s’agit à
la vérité, dans cet article, des danses aux jours de dimanches et de
fêtes
, mais j’ai déjà observé, qu’outre la profanation
oit recommander par rapport à elles pour les jours de dimanches et de
fêtes
, ce seroit de n’y pas donner trop de temps en ces
s Fidèles, dit-il, doivent consacrer au Seigneur les dimanches et les
fêtes
, et assister au service divin : c’est pourquoi il
« Défendons à tous juges de permettre qu’aux jours de dimanches et de
fêtes
annuelles et solennelles, aucunes foires et march
r des foires et des marchés, et des danses publiques les dimanches et
fêtes
, d’ouvrir les jeux de paumes et les cabarets ; et
emporelle réunies à pourvoir à la sanctification des dimanches et des
fêtes
, en défendant en ces jours-là les danses publique
ont imitez, en faisant entrer les danses dans la célébration de leurs
Fêtes
& dans leurs Sacrifices. Les Juifs, à en juge
mme Dieu des Festins, desquels le Bal faisoit l’accomplissement de la
fête
chez les Grecs Diodore l’attribue aussi à Terpsic
à ce que dit Hérodote, Livre second, les Bacchanales, qui étoient des
Fêtes
où les Danses Lascives prirent leur origine. Les
bourg de laquelle ils s’établirent, les cérémonies prophanes de cette
Fête
. Tite-Live nous apprend qu’on la célebroit la nui
u tems des désordres qui se commettoient dans la célébration de cette
fête
, l’abolit sous peine de mort l’an 668 de la Fonda
fais voir que les Romains, pour se dédommager des suppressions de ces
fêtes
, inventerent sous l’empire de Néron, des Mascarad
des honneurs divins, & pour les délasser de leurs travaux par des
fêtes
innocentes après les sémailles & la moisson :
te & des chalumeaux, qui firent depuis partie de la cérémonie des
fêtes
célébrées en l’honneur de ces Dieux. Je rapelle c
l’Eglise ne s’est récriée, que parce qu’elles occupoient les jours de
Fêtes
la populace dans les places publiques, à passer u
sur le même sujet. Je ne cesse, Monsieur, de vous bercer dans les
fêtes
; lorsqu’elles vous endormiront, vous me le ferez
le ferez savoir. La musique, en tout genre, est partie intégrale des
fêtes
; n’ayant pour souverain juge que l’oreille, elle
ous font éprouver bientôt le dégoût. Les artistes ont oublié, dans la
fête
des victoires, que c’étoit à ces deux sens qu’ils
sses et la majesté imposante de l’architecture. Il en est de même des
fêtes
, si le sujet en est pauvre et décousu, s’il n’off
xemple, cette petite butte, ou pâté, qui étoit le point central de la
fête
des victoires, est une imagination d’une insigne
re, à qui dieu fasse paix et miséricorde, ne monta pas, le jour d’une
fête
auguste et majestueuse, sur un petit plateau. Il
islateur des Juifs, et celui des Français, L. R. L. P. Je reviens aux
fêtes
. Pour donner celle des victoires, il étoit inutil
t au goût, à l’imagination et à l’invention, que le plan d’une grande
fête
. Ce genre de spectacle offre au génie un champ va
les recevait en grand Roi. On lui annonça un jour, pendant une de ces
Fêtes
, la prise d’Amiens par l’armée Espagnole. Ce coup
côté de la belle Gabrielle, qui, comme lui, portait les habits de la
Fête
, et qui fondait en larmes, il lui dit : Ma Maître
Français ont le plus dansé, et qu’ils se sont le mieux battus. [Voir
Fêtes
de la Cour de France] 97. Mém. de Sully. Liv.
en de plus grands divertissements encore que les autres, et dans des
Fêtes
préparées, avec beaucoup de magnificence… l’Arsen
Sur les
fêtes
modernes Branle Branle de Saint-Elme, (Hi
les fêtes modernes Branle Branle de Saint-Elme, (Hist. mod.)
fête
qui se célébrait autrefois à Marseille la veille
de trophées et attributs convenables à la fontaine et à l’objet de la
fête
. Dans l’intérieur de cette fontaine était placée
ais peuples aussi n’ont été si tendrement attachés à leur roi. (B)
Fête
(Beaux-Arts) Fête, (Beaux-Arts) solennité ou
t été si tendrement attachés à leur roi. (B) Fête (Beaux-Arts)
Fête
, (Beaux-Arts) solennité ou réjouissance, et quelq
e mot a été nécessaire à toutes les nations : elles ont toutes eu des
fêtes
. On lit dans tous les historiens, que les Juifs,
les : elles indiquent seulement l’antiquité de la chose que notre mot
fête
nous désigne. Nous passerons rapidement sur les f
se que notre mot fête nous désigne. Nous passerons rapidement sur les
fêtes
de solennité et de réjouissance des Juifs, des Pa
rt], etc. et les articles précédents : Fête-Dieu [Article de Mallet],
Fête
des Anes [Article de Mallet], Fête des Fous [Arti
s : Fête-Dieu [Article de Mallet], Fête des Anes [Article de Mallet],
Fête
des Fous [Article de Jaucourt], Fête des Innocent
te des Anes [Article de Mallet], Fête des Fous [Article de Jaucourt],
Fête
des Innocents [Article de Mallet], et Fêtes des H
ous [Article de Jaucourt], Fête des Innocents [Article de Mallet], et
Fêtes
des Hébreux [Article de Mallet], Fêtes des Païens
ocents [Article de Mallet], et Fêtes des Hébreux [Article de Mallet],
Fêtes
des Païens [Article de Mallet], Fêtes des Mahomét
es Hébreux [Article de Mallet], Fêtes des Païens [Article de Mallet],
Fêtes
des Mahométans [non signé], Fêtes des Chinois [Ar
tes des Païens [Article de Mallet], Fêtes des Mahométans [non signé],
Fêtes
des Chinois [Article de Mallet], Fêtes des Chréti
es des Mahométans [non signé], Fêtes des Chinois [Article de Mallet],
Fêtes
des Chrétiens [Article de Faiguet]. Il ne sera po
hrétiens [Article de Faiguet]. Il ne sera point question non plus des
fêtes
de notre sainte religion, dont les plus considéra
. Les bornes qui me sont prescrites m’empêcheront aussi de parler des
fêtes
des siècles trop reculés : les triomphes d’Alexan
our. Je prends pour époque en ce genre des premiers jets du génie, la
fête
de Bergonce de Botta, gentilhomme de Lombardie ;
ne et les Egipans, qui venaient célébrer une noce si illustre ; et la
fête
fut ainsi terminée d’une manière aussi gaie qu’in
rrousels réguliers, des opéras, des grands ballets à machines, et des
fêtes
ingénieuses avec lesquelles on a célébré en Europ
sur ce développement que les cours d’Italie imitèrent tour-à-tour la
fête
de Bergonce de Botta ; et Catherine de Médicis en
ts qu’elle avait vu renaître à Florence, y porta aussi le goût de ces
fêtes
brillantes, qui depuis y fut poussé jusqu’à la pl
t la plus glorieuse perfection. On ne parlera ici que d’une seule des
fêtes
de cette reine, qui avait toujours des desseins,
administration, donna le bal deux fois le jour, festins sur festins,
fête
sur fête. Voici celle où je trouve le plus de var
ration, donna le bal deux fois le jour, festins sur festins, fête sur
fête
. Voici celle où je trouve le plus de variété, de
a pompe, à la magnificence, gagnait les esprits de l’Europe depuis la
fête
ingénieuse de Bergonce de Botta. Les tableaux mer
uve un exemple qui fera connaître l’état des mœurs du temps, dans une
fête
publique préparée avec toute la dépense possible,
ses ouvrages sur cette matière. C’est à Lisbonne que fut célébrée la
fête
qu’il va décrire. « Le 31 Janvier (1610)2, après
la richesse des habits ne faisaient pas le moindre ornement de cette
fête
, quelques-uns ayant pour plus de deux cents mille
partie, livre II, chap. 1, « Des ballets ambulatoires »] Les trois
fêtes
qu’on a mis sous les yeux des lecteurs, doivent l
uffisante sur cette matière, on croit qu’une relation succincte d’une
fête
plus générale, qui fit dans son temps l’admiratio
érité. [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 2, « Des
Fêtes
du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
elui de son siècle, avait imaginé et conduit le plus grand nombre des
fêtes
de la cour de Louis XIII. Quelques Français qui a
t sur elle ; et il est flatteur encore pour nous aujourd’hui, que les
fêtes
les plus magnifiques et les plus galantes qu’on a
ous les cas de réjouissance générale. On a démêlé sans peine dans les
fêtes
de Londres, que les préparatifs des spectacles qu
été l’instrument secret des avantages glorieux qui les causent. Voyez
Fêtes
de la Cour, de la Ville, des Princes de France, e
oyaux, Illuminations [Article non rédigé], etc. Feu d’Artifice.(B)
Fêtes
de la Cour de France Fêtes de la Cour de Fran
on rédigé], etc. Feu d’Artifice.(B) Fêtes de la Cour de France
Fêtes
de la Cour de France. Les tournois et les carrous
e Fêtes de la Cour de France. Les tournois et les carrousels, ces
fêtes
guerrières et magnifiques, avaient produit à la c
el l’adresse, les ressources, la politique de la reine : elle imagina
fêtes
sur fêtes pour lui faire perdre de vue sans cesse
se, les ressources, la politique de la reine : elle imagina fêtes sur
fêtes
pour lui faire perdre de vue sans cesse le seul o
e je me propose ici, je crois devoir choisir parmi le grand nombre de
fêtes
qui furent imaginées durant ce règne, celles qu’o
phes ». [voir Traité historique, IIe partie, livre II, chap. 2, « Des
Fêtes
de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’anné
sonnes, sans qu’aucun en fût offensé ». La partie éclatante de cette
fête
, qui a été saisie par l’historien que j’ai copié,
nt le ton de celui-ci. Henri IV aimait les plaisirs, la danse, et les
fêtes
. Malgré l’agitation de son administration pénible
eut l’intendance des ballets, des bals, des mascarades, de toutes les
fêtes
, en un mot, d’un roi aussi aimable que grand, et
stres. [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 1, « Des
Fêtes
dont la Danse a été le fond à la Cour de France,
rs chargé en France des négociations de sa cour, de donner au roi une
fête
de ce genre. La nouvelle s’en répandit, et les co
nards. [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 1, « Des
Fêtes
dont la Danse a été le fond à la Cour de France,
ront toujours un amusement instructif ; soit qu’à force de donner des
fêtes
à la cour, l’imagination s’y fût peu-à-peu échauf
i la grossièreté, ni l’enflure, qui furent le caractère de toutes les
fêtes
d’éclat du règne précédent. Le cardinal Mazarin a
terie. On trouve les traces de ce qu’on vient de dire dans toutes les
fêtes
qui furent données sous ses yeux. Benserade fut c
e son discernement a su lui suggérer le choix qu’il fallait faire. La
fête
brillante que ce ministre donna dans son palais a
de Flore. [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 3, «
Fêtes
de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année
me en spectacle aux Romains. On ne s’attachera point à rapporter les
fêtes
si connues de ce règne éclatant ; on sait dans le
e talent de la représentation, eut la bonté constante dans toutes les
fêtes
superbes, qui charmèrent sa cour et qui étonnèren
jouissons! Voyez les mémoires du temps, et les diverses relations des
fêtes
de Louis XIV, surtout de celle de 1668. La minori
de celle de 1668. La minorité de Louis XV fournit peu d’occasions de
fêtes
: mais la cérémonie auguste de son sacre à Reims,
vue dans tout son éclat, sous le règne florissant de Louis XIV. Voyez
Fêtes
des Princes de la Cour de France, etc. Elle s’es
hal de Richelieu. Une salle de théâtre une fois élevée le suppose. La
fête
du moment n’était qu’un prétexte respectable, pou
de goût et de génie détermina d’abord l’illustre ordonnateur de cette
fête
, à rassembler, par un enchaînement théâtral, tous
ments, ne furent pas les seuls plaisirs qui animèrent le cours de ces
fêtes
. Le théâtre du manège fournit encore à M. le duc
es, et il fit représenter deux grands ballets nouveaux, relatifs à la
fête
auguste qu’on célébrait, avec toute la dépense, l
ux ouvrages étaient susceptibles. L’Année galante fit l’ouverture des
fêtes
et du théâtre ; les Fêtes de l’hymen et de l’amou
tibles. L’Année galante fit l’ouverture des fêtes et du théâtre ; les
Fêtes
de l’hymen et de l’amour furent choisies pour en
point aux ouvrages choisis pour annoncer par de nobles allégories les
fêtes
qu’on voulait célébrer ; on prit tous ceux qu’on
’année 1747. Les machines nouvelles qui, pendant le long cours de ces
fêtes
magnifiques, parurent les plus dignes de louange,
ue par M. de Blamont surintendant de celle du Roi, auteur célèbre des
Fêtes
grecques et romaines : 3°. les cataractes du Nil
uguste de l’univers. Cette machine formait le nœud du second acte des
Fêtes
de l’Hymen et de l’Amour, opéra de MM. de Cahusac
de l’Amour, opéra de MM. de Cahusac et Rameau, qui fit la clôture des
fêtes
de cette année. Elles furent suspendues dans l’at
itraves, corniches, et plusieurs groupes de figures allégoriques à la
fête
. Tous les ornements en fleurs étaient peints en c
ées à l’infini, offraient une allégorie ingénieuse et saillante de la
fête
qu’on célébrait, et de l’abondance des biens qui
deux parties des jardins qui y répondent, aurait servi de clôture aux
fêtes
surprenantes de ce jour tant désiré. L’attente de
nues lièrent sans doute les mains zélées des ordonnateurs. Sans autre
fête
qu’un grand feu d’artifice, ils laissèrent la cou
n prince avait fait passer dans les cœurs de tous les Français. Voyez
Fêtes
de la Ville de Paris. Les douceurs de la paix et
igneur le duc de Berry ; on en avait chargé les auteurs du ballet des
Fêtes
de l’hymen et de l’amour, qui avaient fait la clô
t des Fêtes de l’hymen et de l’amour, qui avaient fait la clôture des
fêtes
du mariage : ainsi les talents modernes furent ap
encouragés par mille attentions, récompensés avec libéralité. (B)
Fêtes
de la Ville de Paris Fêtes de la Ville de Par
s, récompensés avec libéralité. (B) Fêtes de la Ville de Paris
Fêtes
de la Ville de Paris. On a vu dans tous les temps
elque heureuse circonstance que leurs magistrats ont célébrée par des
fêtes
. Notre objet nous borne à ne parler que de celles
ire. Le Roi, toute la famille royale lui firent espérer d’honorer ses
fêtes
de leur présence ; il crut devoir ne leur offrir
s, pendant le cours de ses brillantes prévôtés. Il pensa qu’une belle
fête
ne pouvait être placée sur un terrain trop beau,
es en arcades et pilastres, avec des figures relatives au sujet de la
fête
. Il formait un salon à huit pans, du milieu desqu
que le Roi parut sur son balcon ; il se fit entendre tant que dura la
fête
, et ne fut interrompu que par les acclamations ré
amides et des gerbes de feu, des soleils, etc. Une joute commença la
fête
. Il y avait deux troupes de jouteurs, l’une à la
transparent, paraissait comme au centre de cette brillante et galante
fête
, et semblait sortir du sein des feux et des eaux.
s, partirent, et une dernière salve de canon termina cette magnifique
fête
. Tout l’artifice était de la composition de M. El
u parut en 1745 avoir hérité du secret de ce magistrat célèbre. Voyez
Fêtes
de la Cour de France. Bal de la ville de Paris, d
is encore par des positions et des attributs relatifs à l’objet de la
fête
. Au fond de cette cour changée en salle de bal, o
soir, que le bal commença, jusqu’à huit heures du matin. Toute cette
fête
se passa avec tout l’amusement, l’ordre et la tra
pour prévenir les accidents. Toutes les dispositions de cette grande
fête
ont été conservées dans leur état parfait pendant
berté de les voir. Les grands effets que produisit cette merveilleuse
fête
, sur plus de 600000 spectateurs, sont restés grav
les deux mariages de Monseigneur le Dauphin, ont été célébrés par des
fêtes
, des illuminations, des bals, des feux d’artifice
dans les fastes de l’Europe, est l’action généreuse qui tint lieu de
fête
à la naissance de monseigneur le duc de Bourgogne
ue le projet fut proposé à la ville, les préparatifs de la plus belle
fête
étaient au point de l’exécution. C’est à l’hôtel
ne foule d’hommes nés pour l’aimer, le servir, et le défendre. (B)
Fêtes
des grandes Villes du Royaume de France Fêtes
le défendre. (B) Fêtes des grandes Villes du Royaume de France
Fêtes
des grandes Villes du Royaume de France. C’est ic
ational, qui fait le caractère distinctif de ses citoyens. A côté des
fêtes
brillantes, qui ont illustré cette ville opulente
bon esprit la fécondité des talents et des arts. Telles seraient les
fêtes
de Toulouse, de Rennes, de Rouen, de Dijon, de Me
Espagne accompagnées de plusieurs trophées et attributs relatifs à la
fête
. Ce bâtiment, dont le portique ou arcade faisait
e, que des réjouissances et des acclamations de joie ; ce n’était que
fêtes
continuelles dans la plupart des maisons. Le prem
imable, dont le goût sait embellir les efforts de la richesse. (B)
Fêtes
des Princes de France Fêtes des Princes de Fr
ir les efforts de la richesse. (B) Fêtes des Princes de France
Fêtes
des Princes de France. Nos princes, dans les circ
Bourbons sont animés, qui produisit lors du sacre du Roi en 1725, ces
fêtes
éclatantes à Villers-Cotterêts, et à Chantilly, d
l’avenue, et formaient une architecture rustique plus convenable à la
fête
, que le marbre et les lambris dorés. Cette union
esgu et la Frenaye, et tira lui-même une loterie qui, en terminant la
fête
, surpassa toute la magnificence qu’elle avait éta
our contenter tous les curieux. Ce serait ici le lieu de parler de la
fête
de Chantilly, donnée dans le même temps ; et de c
terminera donc celui-ci, déjà peut-être trop long, par le récit d’une
fête
d’un genre aussi neuf qu’élégant, dont on n’a par
et ce chœur comique, finit d’une manière plaisante cette partie de la
fête
. La reine et la cour arrivèrent dans la grande al
ultiplier, comme la multitude des plaisirs dont on avait joui dans la
fête
. Croirait-on que tous ces apprêts, l’idée, la con
ts, l’idée, la conduite, l’enchaînement des diverses parties de cette
fête
, furent l’ouvrage de trois jours? C’est un fait c
sans louèrent beaucoup l’invention, la conduite, l’exécution de cette
fête
ingénieuse, et toute la cour s’intrigua pour en d
musique de S. M. composa toutes les symphonies et les chants de cette
fête
. Il était déjà depuis longtemps en possession de
ifférents articles de l’Encyclopédie qui y ont quelque rapport. Voyez
Fêtes
, Fêtes de la Ville de Paris, etc. Les Chinois on
ts articles de l’Encyclopédie qui y ont quelque rapport. Voyez Fêtes,
Fêtes
de la Ville de Paris, etc. Les Chinois ont pouss
-aider et à s’unir ensemble ? On vit à Paris, le 24 Janvier 1730, une
fête
aussi belle que toutes celles qu’on y avait donné
et aux principes que je propose plus haut sur leur composition. Voyez
Fêtes
de la Cour. La naissance de Monseigneur le Dauphi
la Cour. La naissance de Monseigneur le Dauphin fut le sujet de cette
fête
. MM. de Santa-Crux et de Barenechea, ambassadeurs
it d’emplacement à la scène principale ; il fut comme le centre de la
fête
et du spectacle. Le 24 Janvier 1730, à 6 heures d
nistres étrangers, et les seigneurs et dames de la cour, invités à la
fête
, furent arrivés à l’hôtel de Bouillon. On vit par
ur a été donné du lieu où elles furent inventées pendant le cours des
fêtes
que l’électeur de Bavière donna à Suresnes [1713]
ts, du Père Ménestrier, Jésuite. 3. Cette partie était imitée de la
fête
de Bergonce de Botta. 4. En opposition à cet anc
s ingénieuse ; et celles qu’ils instituèrent dans les suites, pour la
fête
d’Apis, furent les plus solennelles. Les Prêtres
et le deuil, jusqu’à l’apparition du nouvel Apis. Dans ce moment, les
fêtes
, les festins, les danses recommençaient, comme si
liques duraient ainsi pendant sept jours. C’est en se rappelant cette
fête
, que le Peuple de Dieu imagina dans le désert, la
mément à la Physique connue des Égyptiens. 19. On avait institué une
Fête
particulière pour célébrer ce grand événement : e
particulière pour célébrer ce grand événement : elle était nommée, la
Fête
Pamilie.
Chapitre II. Des
Fêtes
de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’anné
uis 1560 jusqu’en l’année 1610 Les Tournois, et les Carrousels, ces
Fêtes
guerrières et magnifiques avaient causé à la cour
uel l’adresse, les ressources, la politique de la Reine. Elle imagina
Fêtes
sur Fêtes, pour lui faire perdre de vue sans cess
sse, les ressources, la politique de la Reine. Elle imagina Fêtes sur
Fêtes
, pour lui faire perdre de vue sans cesse le seul
je me propose ici, je crois devoir choisir, parmi le grand nombre de
Fêtes
qui furent imaginées durant ce règne, celles qu’o
r d’un Historien92 contemporain les détails que je vais écrire. [Voir
Fêtes
de la Cour de France] « Le Lundi dix-huit Septem
rsonnes sans qu’aucun en fût offensé. » La partie éclatante de cette
fête
qui a été saisie par l’Historien que j’ai copié,
e pour les courtisans, et une contagion funeste pour le Peuple. [Voir
Fête
(Beaux-Arts)] 91. Depuis 1559 qui fut l’époque
Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les
Fêtes
des Particuliers Nous n’aurions qu’une idée bie
’il connaît qui est le seul nécessaire à l’homme. Cependant outre les
Fêtes
publiques, qui mettaient quelque variété dans cet
Famille dans les premiers temps fournit elle-même les Acteurs de ces
Fêtes
particulières. Le luxe ensuite fit imaginer de jo
traits légers, ce badinage élégant, qui sont l’âme aujourd’hui de nos
Fêtes
de tous les jours, furent constamment inconnus au
nt d’une action plus compliquée qu’on retraçait tous les ans dans les
Fêtes
Hyménées, qu’un trait héroïque d’amour avait fait
hènes les plus illustres devaient célébrer sur les bords de la Mer la
fête
de Cérès, de laquelle les Lois avaient exclu tous
donnait l’amour, le firent recevoir sans examen et sans obstacle. La
Fête
commence. Un saint zèle dicte les Chants, et anim
s Magistrats pour exciter la vertu par des exemples, instituèrent les
Fêtes
hyménées, dans lesquelles on retraçait tous les a
riages, étaient à peu près les mêmes que celles qui terminaient cette
Fête
solennelle. On ne doit point les confondre avec c
Danse sacrée, c’est la danse que le peuple Juif pratiquait dans les
fêtes
solennelles établies par la loi, ou dans des occa
danses qu’on pratiquait dans les premiers temps de l’église dans les
fêtes
solennelles, et en un mot toutes les danses qui d
uité reculée de leur origine. Les Juifs instituèrent depuis plusieurs
fêtes
solennelles, dont la danse faisait une partie pri
la danse, qu’on y exécutait avec la plus grande pompe dans toutes les
fêtes
solennelles. [voir Traité historique, Ire partie,
ls exécutaient dans leurs marches pendant les sacrifices, et dans les
fêtes
solennelles. Voyez Danse des Saliens. Toutes les
nels, cherchait à les remplir d’une joie pure dans la célébration des
fêtes
qu’elle avait établies, pour leur rappeler les bi
serts : là ils se rassemblaient dans les hameaux les dimanches et les
fêtes
, et ils y dansaient pieusement en chantant les pr
ur consommer le mystère de la rédemption, etc. Chaque mystère, chaque
fête
avait ses hymnes et ses danses ; les prêtres, les
ssemblaient la nuit devant la porte des églises la veille des grandes
fêtes
; et la pleins d’un zèle saint, ils dansaient en
ent en chantant les cantiques, les psaumes, et les hymnes du jour. La
fête
des agapes ou festins de charité, instituée dans
de la cène de Jésus-Christ, avait ses danses comme les autres. Cette
fête
avait été établie, afin de cimenter entre les Chr
et de charité. Malgré les abus qui s’étaient déjà glissés dans cette
fête
du temps de saint Paul, elle subsistait encore lo
de nos mystères et de nos plus grands saints. Toutes les veilles des
fêtes
de la Vierge, les jeunes filles s’assemblent deva
donna dans les suites l’idée de celles que l’allégresse publique, les
fêtes
des particuliers, les mariages des rois, les vict
ent grand soin de les rendre très solennelles dans la célébration des
fêtes
du dieu qu’ils en croyaient l’inventeur. Elles ét
’est aux bacchanales que les danses lascives durent leur origine. Les
fêtes
instituées par les bacchantes pour honorer Bacchu
parés de rameaux naissants : être sans cette marque distinctive de la
fête
, aurait été une espèce d’infamie. Il y avait une
e en usage encore de nos jours, on ne me prend point sans vert. Cette
fête
commencée dès l’aurore et continuée pendant tout
ans une débauche si honteuse, que Tibère lui-même en rougit, et cette
fête
fut solennellement abolie. Mais elle avait fait d
toutes celles qui furent instituées dans les suites pour célébrer les
fêtes
des dieux. (B) [voir Traité historique, Ire parti
nt au Théâtre, que la Danse a formé le fond d’un grand Spectacle. Des
Fêtes
consacrées par la piété, autorisées par l’usage,
s les espèces étaient répandus sur des échafauds. On étala dans cette
Fête
, des richesses immenses. L’image seule du nouveau
nouveau Saint fut enrichie de plus d’un million de pierreries. [Voir
Fête
(Beaux-Arts)] La Béatification d’Ignace de Loyola
des habits ne faisaient pas le moindre ornement du ballet et de cette
Fête
, quelques-uns ayant pour plus de deux cent mille
es-uns ayant pour plus de deux cent mille écus de pierreries. » [Voir
Fête
(Beaux-Arts)] 88. Chorus erat Citharistorum e
rémonie, qui se font à l’occasion des réjouissances publiques, ou des
fêtes
particulieres, si ce n’est à Bacchus pour celébre
si ancien que celui des festins, dont le bal termine ordinairement la
fête
: comme il est dit dans l’Exode, que le peuple s’
us grands Héros se faisoient un honneur de bien danser en public, aux
fêtes
solemnelles, entre autres Bacchus, Osiris, Cadmus
les Chefs du Concile par délibération convinrent de donner au Roi une
fête
galante, & digne de la magnificence d’une ass
ine de Médicis. Outre que cette Reine avoit beaucoup de goût pour les
fêtes
de réjouissance, elle sçavoit encore s’en servir
jour, & en spectacles ; elle leur donna entre autres une superbe
fête
, dans une petite Isle située sur le bord de la Ri
s dans le milieu d’un beau Bois de Futaye, pour la célébrité de cette
fête
: la Reine y fit couper & étayer des arbres,
tout ce qui convenoit pour le service ; desorte qu’il sembloit que la
fête
étoit ordonnée par quelque Divinité champêtre, &a
es des Provinces voisines, qui étoient venus à Bayonne au bruit de la
fête
, y danserent à la maniere de leur pays : les Poit
, &c. Mais par malheur, avant la fin du bal, le Ciel jaloux d’une
fête
si complette, envoya un orage si soudain & si
ent endommagées. Le Lecteur pourra juger, par la description de cette
fête
, du goût de Catherine de Médicis, pour engager le
’intelligence avec elle, pour favoriser ses desseins, dans toutes les
fêtes
qu’elle imaginoit. C’est un usage en France, qu’à
ions des réjouissances publiques, l’Hôtel de Ville de Paris donne une
fête
qui consiste en festins, en bals, & en grands
en voir la bonté que ce Roy avoit pour son peuple. J’ai vu en 1664 la
fête
qu’on leur donna à l’Hôtel de Ville en pareille o
IV. Comme mon pere étoit Capitaine de son Quartier, il fut prié de la
fête
, & m’y mena : j’y dansai une Entrée à la Suis
icence de l’assemblée ne laissa pas de le rendre très-éclatant. Cette
fête
est une époque immortelle à l’honneur de l’Hôtel
plaisir ; mais l’Assemblée en devenant plus nombreuse, prit un air de
Fête
, dont les égards, la bienséance et l’orgueil s’ét
ans la nature, que les Bals de cérémonie une fois trouvés fussent les
Fêtes
de tous les temps. Ils se multiplièrent en Grèce,
e de dignité. La décence, l’honnêteté, la convenance de ces sortes de
Fêtes
étaient au reste, dans ce temps, si solennellemen
is qui avait des desseins et qui n’eut jamais de scrupules, égaya ces
Fêtes
, et leur donna même une tournure d’esprit qui y r
t intérêt de distraire de l’objet principal qui l’avoir amenée. [Voir
Fête
(Beaux-Arts)] Les Ducs de Savoie et de Lorraine,
n administration donna le Bal deux fois le jour, Festins sur Festins,
Fête
sur Fête. Voici celle où je trouve le plus de var
tration donna le Bal deux fois le jour, Festins sur Festins, Fête sur
Fête
. Voici celle où je trouve le plus de variété, de
, qui étaient alors le fond unique de ces pompeuses Assemblées. [Voir
Fête
(Beaux-Arts)] Ces sortes d’embellissements aux Ba
La Rosière de Salency. Ballet pastoral. Avant-propos. La
fête
de la Rose, n’est point une fiction. Depuis douze
alency, à une demi-lieue de Noyon. On attribue l’institution de cette
fête
à St. Médard, seigneur de ce village, qui vivoit
r le Marquis de Segur, seigneur de Romainville, y vient d’établir une
fête
annuelle, à l’imitation de la Rose de Salency, po
er au prix de la vertu, se charge de l’habillement de l’épouse. Cette
fête
a eu son commencement le 21. Juin jour de Dimanch
aison. L’idée du bonheur, dont sa cousine va jouir, les apprêts de la
fête
, tout l’engage à se livrer aux jeux des paysans ;
artent dans cette confiance, et sont remplacées par les garçons de la
fête
. Scène V. A l’aspect du Bailli, Julie court
x vertus de Julie. Le Seigneur pardonne au Bailli ; il ordonne que la
fête
commence ; il veut couronner l’innocence et jouir
donne la bourse et la bague ; on l’unit à ce qu’elle aime ; et cette
fête
, champêtre est terminée par des danses analogues
Chapitre III.
Fêtes
de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année
le la plus instructive de la multitude, fait qu’à force de donner des
Fêtes
à la Cour, l’imagination s’y fut peu à peu échauf
ni la grossièreté, ni l’enflure qui furent le caractère de toutes les
Fêtes
d’éclat du Règne précédent. Le Cardinal Mazarin a
cle aux Romains, À venir prodiguer sa voix sur un théâtre, etc. [Voir
Fêtes
de la Cour de France] Je ne m’étendrai point sur
tc. [Voir Fêtes de la Cour de France] Je ne m’étendrai point sur les
Fêtes
trop connues de ce Règne éclatant. On sait, dans
te, en répondant à l’injure de Benserade par une autre. [Voir Ballet,
Fêtes
de la Cour de France] Les Poètes, les gens de Let
danse des festins, pour les réjouissances publiques. De la danse des
Fêtes
Saturnales. De la danse des Fêtes Baccanales. De
issances publiques. De la danse des Fêtes Saturnales. De la danse des
Fêtes
Baccanales. De la danse des Orgies. De la danse P
t divers ballets ; ce qui fut la fin de cette belle Moralité. » [Voir
Fête
(Beaux-Arts)] Quel monstre qu’une pareille compo
la manière dont le dénouement est tourné vers l’objet principal de la
Fête
; mais quelle barbarie dans le dessein ! quelle b
verain qui sait bien choisir, pour imaginer, arranger et conduire une
Fête
d’éclat, diminue quelquefois de moitié sa dépense
alem. L’usage en a passé dans la Loi de grace ; l’on a dansé dans les
Fêtes
des Agapes & dans l’Eglise Grecque & Lati
Portugal, dans les Eglises & aux Processions les jours de grandes
Fêtes
& de réjouissances publiques ordonnées par le
ner aussi l’Histoire de la Danse prophane, de la Danse Théâtrale, des
Fêtes
Baladoires, & généralement de tous les différ
s Danses : ce culte journalier devenait encore plus éclatant dans les
Fêtes
solennelles. Celles de Diane, avant la réforme de
vue l’un et l’autre étaler ses charmes dans les Danses de deux de ces
Fêtes
. Les soins de Lycurgue changèrent cette Instituti
e était dansée à l’honneur de Saturne. 43. « Y ayant, dit Amyot, ès
fêtes
solennelles et publiques toujours trois Danses :
me que Lycurgue avait introduite, que les filles, à certains jours de
Fête
, allassent par la Ville toutes nues, et lui en de
tte règle aussi scrupuleusement que tous les autres ; ce n’est qu’une
fête
, un mariage, un couronnement, etc. qui ne doit av
s séparées de ces poèmes. Ainsi on dit : l’entrée de Tibulle dans les
Fêtes
grecques et romaines est fort ingénieuse, c’est u
des Sylphes. Cet ouvrage qui fut représenté à la cour, fit partie des
fêtes
qui y furent données après la victoire de Fonteno
e des fêtes qui y furent données après la victoire de Fontenoy. Voyez
Fêtes
de la Cour. MM. Rebel et Francœur qui en ont fait
a que celle-là qui prouve le talent, et qui mérite des éloges. (B)
Fête
Fête, est le nom à l’opéra de presque tous le
le-là qui prouve le talent, et qui mérite des éloges. (B) Fête
Fête
, est le nom à l’opéra de presque tous les diverti
Fête, est le nom à l’opéra de presque tous les divertissements. La
fête
que Neptune donne à Thétis ; dans le premier acte
ds défauts de l’opéra de Thétis, est d’avoir deux actes de suite sans
fêtes
; il était peut-être moins sensible autrefois, ma
rappant de nos jours, parce que le goût du public est décidé pour les
fêtes
. L’art d’amener les fêtes, de les animer, de les
e que le goût du public est décidé pour les fêtes. L’art d’amener les
fêtes
, de les animer, de les faire servir à l’action pr
principale, est fort rare : cependant, sans cet art, les plus belles
fêtes
ne sont qu’un ornement postiche. Voyez Ballet, Co
Divertissement. Il semble qu’on se serve plus communément du terme de
fête
pour les divertissements des tragédies en musique
lesquels tout le monde prononce condamnation ? Dans un sermon sur la
fête
du grand saint Cyprien, en parlant du désordre qu
rlant du désordre qui avoit long-temps régné, de passer la nuit de la
fête
de ce Saint à chanter et à danser, il dit que « c
aux corps ? Saint Augustin avoit eu la douleur de voir à Hypone, aux
fêtes
des martyrs, ces profanes divertissemens, qu’il a
excès de bouche et de danses aient eu lieu pour la célébration d’une
fête
: « et il en conclut que cette manière de célébre
ion d’une fête : « et il en conclut que cette manière de célébrer les
fêtes
, n’est digne que des fêtes des idolâtres », et es
conclut que cette manière de célébrer les fêtes, n’est digne que des
fêtes
des idolâtres », et est par conséquent indigne de
de détruire, exhortant son peuple à ne plus célébrer, à l’avenir, les
fêtes
des martyrs par des chansons, des danses et des e
is, où il y a des danses et des instrumens pour y exciter, là, est la
fête
du diable, et les saints anges sont dans la trist
art.1. des actes, p.69) où il est parlé de la manière de célébrer les
fêtes
des saints, les danses y sont expressément défend
semblables, il nomme « ceux qui ont coutume de profaner les jours de
fêtes
par des œuvres serviles, par des danses, et autre
e trois ans à ceux qui auront dansé devant les églises, ou un jour de
fête
, après avoir promis de ne le plus faire. (act. pa
s’agit dans le canon des danses faites devant l’église, ou un jour de
fête
; mais nous avons vu avec quelle force saint Char
constance particulière d’avoir dansé devant une église, ou un jour de
fête
, exige qu’on impose, pour être allé dans cette da
plette, que je crois aux choeurs des anciens à l’institution de leurs
fêtes
et de leurs jeux ; mais que je ne crois nullement
et de temps variés à l’infini, et que je ne vois autre chose dans les
fêtes
de l’antiquité fabuleuse, que des marches, des co
a donc été employé a contre-sens, et la dénomination qui convient aux
fêtes
, aux jeux et aux cérémonies de l’antiquité est ce
plus grand intérêt, et qu’il ne soit borné qu’à la représentation des
fêtes
villageoises, des fêtes marines, des camps, des f
u’il ne soit borné qu’à la représentation des fêtes villageoises, des
fêtes
marines, des camps, des foires et de tous les tab
cène dans un village quelconque d’une province de l’Espagne. C’est la
fête
de ce village ; le Bailli et sa femme, son fils,
res plaisans. Que l’on suppose tout ce que peut offrir de riant cette
fête
, jeux de toutes les espèces, escrime, prix distri
que d’amour et de tendresse pour leur petit-fils qui étale dans cette
fête
les graces naîves et touchantes de son âge : Tell
château du seigneur, et qui est située sur la place où se donnoit la
fête
; on le suit en foule, on s’y rassemble pour se d
au seigneur et à son épouse. Les femmes des Miquelets arrivent, et la
fête
courte et variée qui suit, essuye les larmes, rét
tout parle enfin en faveur de la gloire, qui embellit elle-même cette
fête
. Du côté opposé, la Déesse des Plaisirs entourée
x, les Ris et les Plaisirs. Des Nymphes charmantes embellissent cette
fête
; l’Amour et la Volupté en règlent les danses, en
Cypris ; le son des haubois, des flûtes et des chalumeaux anime cette
fête
, danses vives et voluptueuses, courses légères, j
it des ballets allégoriques pour les mariages des Princes, pour leurs
fêtes
, pour leur naissance, pour leur convalescence ; o
des teins et du costume, il répandoit beaucoup de variété dans cette
fête
magique qui, à mon sens, est historique et allégo
ette union leur inspiroit ; Roger et Bradamante s’associoient à cette
fête
noble et peignoient dans un pas de deux en action
ent dans un pas de deux en action, leur amour et leur félicité. Cette
fête
préparatoire de l’union qui alloit se former étoi
aux Sybarites peuple voluptueux. On cite pour modèle de ces sortes de
fêtes
, le fameux Carrousel de Louis treize en 1662, mai
Chapitre I. Des
Fêtes
dont la Danse a été le fond à la Cour de France,
débarrasse, ce n’est qu’en lui substituant un défaut contraire. [Voir
Fêtes
de la Cour de France] Aussi ne cessa-t-on d’être
rs chargé en France des négociations de sa Cour, de donner au Roi une
fête
de ce genre. La nouvelle s’en répandit, et les Co
depuis longtemps dans un genre, que les Français avaient gâté. [Voir
Fêtes
de la Cour de France] Le Cardinal de Richelieu po
les pas d’un comique grossier qui occupaient les Courtisans dans les
Fêtes
d’éclat, devaient nécessairement lui déplaire ; m
des réjouissances publiques. C’est ainsi que l’on célèbre les grandes
Fêtes
. Une partie du jour s’emploie à louer Dieu, et l’
, et l’autre aux passe-temps honnêtes. Cet hiver doit être une longue
Fête
après de longs travaux. Non seulement le Roi et s
rgonzio di Botta], Gentilhomme de Lombardie, signala son goût par une
fête
éclatante qu’il prépara dans Tortone, pour Galeas
ne et les Egipans, qui venaient célébrer une Noce si illustre ; et la
Fête
fut ainsi terminée d’une manière aussi gaie qu’in
e des Carrousels, des Opéras, et des grands Ballets à machines. [Voir
Fête
(Beaux-Arts)] Le premier de ces Spectacles est ét
s prirent le ton qu’ils trouvèrent établi. L’un donna les plus belles
Fêtes
à Suresnes, l’autre à l’Hôtel de Brétonvilliers.
ayés de la somptuosité que tous ces Princes avaient répandue dans ces
Fêtes
superbes, n’osèrent plus se procurer dans leurs m
devient admirable sous la main vivifiante d’un homme de génie. [Voir
Fêtes
de la Ville de Paris] 106. Elle fut inventée pa
eur de Madame Chrétienne de France, duchesse de Savoie, à laquelle la
fête
était donnée. Au lever de la toile l’Amour déchir
t ce qu’on vient d’expliquer, les princes qui donnaient ces sortes de
fêtes
ajoutaient des présents magnifiques pour toutes l
is XIV [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 1, « Des
Fêtes
dont la Danse a été le fond à la Cour de France,
conduite. [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 3, «
Fêtes
de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année
t plus qu’en sous-ordre. Ce fut en 1671, qu’on représenta à Paris les
Fêtes
de Bacchus et de l’Amour, cette nouveauté plût ;
trées comiques ; c’est à lui qu’on doit ce genre, si c’en est un. Les
Fêtes
Vénitiennes ont ouvert une carrière nouvelle aux
plus fort de génie, décidera sans doute la question au préjudice des
Fêtes
Vénitiennes et des Fêtes de Thalie, peu goûtées d
dera sans doute la question au préjudice des Fêtes Vénitiennes et des
Fêtes
de Thalie, peu goûtées dans leurs dernières repri
est une des premières beautés : mais il faut attendre la reprise des
Fêtes
de l’Hymen et de l’Amour, pour décider si ce genr
danse, des actions courtes qui ne sauraient fatiguer l’attention, des
fêtes
galantes qui se succèdent avec rapidité, une foul
’Europe galante, les Eléments, les Amours des Dieux, et peut-être les
Fêtes
Grecques et Romaines. D’où vient donc la rareté d
une fort agréable invention. La danse de Terpsichore, du prologue des
Fêtes
Grecques et Romaines, doit être rangée aussi dans
lie dans le quinzième siècle ; l’on vit renaître les ballets dans une
fête
magnifique qu’un gentilhomme de Lombardie nommé B
ait le temps marqué pour la célébration de presque toutes les grandes
Fêtes
, plus que tout cela, peut-être le refroidissement
seconde autour des feux qu’on allumait dans les rues la veille de la
Fête
de Saint Jean. On trouvera dans la suite33, la de
ue du nom de divertissement ; on prodigua jadis ce titre à toutes les
fêtes
éclatantes qui se donnerent dans les différentes
s différentes Cours de l’Europe. L’examen que j’ai fait de toutes ces
fêtes
me persuade que l’on a eu tort de le leur accorde
’est à tort que l’on a donné ce nom à des Spectacles somptueux, à des
Fêtes
éclatantes qui réunissoient tout à la fois la mag
mêmes parties réunies en composent un digne des plus grands Rois. Ces
Fêtes
étoient d’autant plus agréables qu’elles étoient
ra prise dans la nature. Si je refuse le titre de Ballet à toutes ces
Fêtes
; si la plupart des Danses de l’Opéra, quelques a
es Fleurs ; l’Acte d’Eglé dans les Talents Lyriques ; le Prologue des
Fêtes
Grecques & Romaines ; l’Acte Turc de l’Europe
Les parents sont d’accord, les jeunes filles sont parées ; il y aura
fête
et gala sur la montagne, et déjà les danses comme
t confiante. Allons, que rien ne trouble ces noces heureuses ! que la
fête
recommence de plus belle ! Gurn est un méchant qu
nent à leur horrible joie tant qu’elle peut aller. « Telles sont les
fêtes
que se donnent les sorcières à certaines époques
me une trame d’or tissée par les fées du lac pour l’ornement de leurs
fêtes
. C’étaient de petits nuages humides où l’orangé,
s regards ! »Ainsi parle le poète, ainsi danse la fille de l’air ! La
fête
est grande dans la forêt enchantée ; les sylphide
ailes traversent l’espace comme autant de colombes amoureuses ; c’est
fête
partout, dans les arbres, sous les arbres, dans l
— elle meurt pleurante et pleurée ! Elle quitte à regret cette double
fête
de la terre et du ciel. Elle renonce, non pas san
tit récit que mademoiselle Taglioni racontait si bien, nous était une
fête
toujours nouvelle, la fête des yeux plus que des
Taglioni racontait si bien, nous était une fête toujours nouvelle, la
fête
des yeux plus que des sens, la fête heureuse et r
it une fête toujours nouvelle, la fête des yeux plus que des sens, la
fête
heureuse et riante, qui ne laisse après elle ni u
ertile. Bientôt la Grèce surpassa l’Égypte par la magnificence de ses
fêtes
, et par le nombre de ses superstitions. La Danse
’ils exécutaient dans leurs marches, dans les sacrifices, et dans les
fêtes
solennelles. Elle fut nommée la Danse des Saliens
terme. id. 16. et la securité, lises : de la sécurité. 136. 5. celle
fête
, lisés : cette fête. 140. 9. es les échafauds, li
a securité, lises : de la sécurité. 136. 5. celle fête, lisés : cette
fête
. 140. 9. es les échafauds, lisés : et les échafau
n’y fut qu’en sous-ordre. Ce fut en 1671 qu’on représenta à Paris les
Fêtes
de Bacchus et de l’Amour 137. Cette nouveauté plu
deux ou quatre Danseurs qui figuraient sous cette mascarade dans les
Fêtes
de ce Spectacle. Le Triomphe de l’Amour 138 fut l
aucun Spectacle qui puisse en avoir donné l’idée. Peut-être quelques
Fêtes
épisodiques qui m’ont frappé dans Quinault l’ont-
ent. Si, jusqu’au dernier divertissement, qui seul peut n’être qu’une
Fête
générale, il y a une entrée de Danse, qu’on puiss
aux principes fondamentaux de l’Art du Théâtre. [Voir Divertissement,
Fête
] Si quelque Danseur entre ou sort sans nécessité,
iqu’elle fût évidemment déplacée. Dans l’Acte des Jeux Olympiques des
Fêtes
Grecques et Romaines 147, lorsque l’action commen
particulièrement aux gens de la campagne les jours de dimanches et de
fêtes
, où, interrompant leurs travaux ordinaires, ils n
surtout ceux de la campagne, s’occupent les jours de dimanches et de
fêtes
? On nous dit que le mal de l’oisiveté est en ces
oit. Mais que feront donc ceux à qui l’on interdira, les dimanches et
fêtes
, les danses aussi bien que le travail ? D’abord,
verra qu’ils sauront bien trouver le moyen de passer les dimanches et
fêtes
sans s’ennuyer, et cependant sans faire ni se per
Les Juifs, dit-il, n’avoient de spectacles pour se réjouir que leurs
fêtes
, leurs sacrifices, leurs saintes cérémonies. Gens
ue du nom de divertissement ; on prodigua jadis ce titre à toutes les
fêtes
éclatantes, qui se donnèrent dans les différentes
s différentes cours de l’Europe. L’examen que j’ai fait de toutes ces
fêtes
, me persuade que l’on a eu tort de le leur accord
’est à tort que l’on a donné ce nom à des spectacles somptueux, à des
fêtes
éclatantes qui réunissoient tout à la fois la mag
êmes parties réunies en composent un, digne des plus grands Rois. Ces
fêtes
étoient d’autant plus agréables qu’elles étoient
e des Fleurs, l’acte d’Eglé dans les talens lyriques, le prologue des
fêtes
Grecques et Romaines, l’acte Turc de l’Europe gal
onomie & à l’art de la Guerre, plutôt qu’aux spectacles & aux
fêtes
publiques ; mais elle doit sa perfection aux dans
des réjouissances publiques : C’est ainsi que l’on célebre de grandes
Fêtes
; une partie du jour s’emploie à louer Dieu, &
l’autre aux passe-tems honnêtes. Cet hyver doit être comme une longue
fête
, après de longs travaux : non seulement le Roi &a
à l’invention des Balets ; mais encore la coutume introduite dans les
Fêtes
& dans les festins, où des Musiciens chantoie
emple d’honneur. La sortie d’Achille du Palais de Licomede. Téthis en
Fête
. La félicité des sens. Balet de nuit. Balet à che
dansé par le Roi. Pomone. Les peines & les plaisirs d’amour. Les
Fêtes
de l’Amour & de Bacchus. Cadmus. Alceste. Th
éduse. Venus & Adonis. Aricie. L’Europe galante, Balet. Issé. Les
Fêtes
galantes, Balet. Le Carnaval de Venise, Balet. Ma
e. Arion. Thalie, Balet. Les plaisirs de la Paix, Balet. Théonoé. Les
Fêtes
de l’Eté. Ariane. Le jugement de Paris. Les Ages,
Eté. Ariane. Le jugement de Paris. Les Ages, Balet. Hypermeneste. Les
Fêtes
Venitiennes. Les plaisirs de la Campagne, Balet.
lidor. Prothée, Balet. Les Elémens, Balet. La Provençale, Balet. Les
Fêtes
de Villercoterets, Balet. Balet de Chantilly. Ren
de Villercoterets, Balet. Balet de Chantilly. Renauld. Pirithoüs. Les
Fêtes
Grecques & Romaines. Mais outre ces Balets,
es, qui se jouent de place en place dans les Villes, à l’occasion des
Fêtes
publiques. A qui Appien Aléxandrin donne encore l
ILLE, où l’on fait flores, On travaille à de grands Apprêts, Pour une
Fête
magnifique, Que LOUIS, quoique si Bellique, Consa
e Gustave Claudin. — Causerie intime. — Rigolo, terme espagnol. — Les
fêtes
à l’eau de Cologne. — Le soleil. — Transformation
i reçoivent un cachet de deux francs par nuit pour « ornementer » ces
fêtes
. Markouski était sombre. — Les entrées de faveur
— joua ses danses les plus entraînantes. — C’est une des plus jolies
fêtes
que j’aie données, s’exclama Markouski dans un mo
nouveau bal ? — Samedi prochain. — Les mardis et les samedis grandes
fêtes
à l’eau de Cologne… Vous avez vu comme c’était bi
obinet, lettre en vers du 20 septembre 1665 […] Achevons. Pour la
Fête
entière, L’admirable & plaisant MOLIÈRE, Le M
belle Cour, De Chambord, vers nous, de retour, Se prépare à diverses
Fêtes
Qu'on doit, pour l’Hiver, tenir prêtes, Tant en m
de son diocèse en l’année 1661, (article 3, sur la sanctification des
fêtes
, n.° 4.) M. Vialart parle ainsi : « Désirant appo
abus et scandales qui se commettent fort souvent les dimanches et les
fêtes
, et autres jours de l’année, à l’occasion des dan
peine d’excommunication, toutes les danses publiques aux principales
fêtes
de l’année, (ces fêtes sont nommées tout de suite
n, toutes les danses publiques aux principales fêtes de l’année, (ces
fêtes
sont nommées tout de suite…) comme aussi de danse
s tout de suite…) comme aussi de danser publiquement les dimanches et
fêtes
commandées, durant le service divin, ou proche de
lus tard, elle soit encore publiée tous les ans, le dimanche avant la
fête
de tous les saints, et celui d’après pâques. Exho
on diocèse, pour empêcher la profanation des jours de dimanches et de
fêtes
, M. Vialart, après s’être plaint que ces saints j
ps des noces, dont la sainteté est si recommandable, et aux jours des
fêtes
de patrons, qui devroient être honorés par une dé
ennemis des saints que Dieu glorifie dans le ciel, en profanant leurs
fêtes
par les danses qui se font en ces jours-là plutôt
la première fois sur ce Théâtre le 31 Janvier 1765. À l’occasion des
Fêtes
pour le mariage de sa majesté Le Roi des Romainsa
’on avoit coutume de faire en Afrique dans les églises, les jours des
fêtes
des saints, et particulièrement des martyrs. Nous
s’étoit introduite parmi le peuple, de déshonorer par des danses, les
fêtes
des saints. Le concile ne pensoit donc point que
leurs ennemis. Cette injuste accusation étoit fondée sur ce qu’en ces
fêtes
publiques ils ne se livroient pas aux mêmes excès
et téméraires ; et que professant la vraie religion, ils célèbrent la
fête
de leur naissance ou de leurs triomphes, plutôt p
lique qu’en se déshonorant publiquement ? Et convient-il de faire aux
fêtes
des empereurs, des choses qu’on regarderoit comme
t la régularité de notre conduite, paroissons-nous vouloir abolir les
fêtes
et les réjouissances qui se font pour les empereu
s dans l’arrangement de leurs plaisirs, et dans l’ordonnance de leurs
Fêtes
, on a pu remarquer, que leurs Danses eurent toute
phonies, les habits, la composition entière répondaient toujours à la
Fête
qu’on célébrait, à l’événement, à la circonstance
Lucien assure que parmi les Egyptiens & les Grecs, il n’étoit ni
fête
ni cérémonie complette où la Danse ne fût admise.
es plus dominantes. Il ajoûte que les Législateurs introduisirent des
fêtes
, des festins, des spectacles, des feux de joie, &
ore que c’est pour cela que les Dieux mêmes instituerent des jours de
fêtes
, afin que les peuples pussent joindre des diverti
lle. Ces peuples avoient encore des danses particulieres en certaines
fêtes
, & d’autres solemnitez instituées par des Lég
ple : on appeloit aussi Dessauteur celui qui les revéloit. Toutes les
fêtes
de Bacchus commençoient par des danses & des
composées de postures lascives & indécentes, que l’on dansoit aux
fêtes
Saturnales & Baccanales, & telles que les
t une danse particuliere pour ce jour-là, au dire de Virgile : chaque
fête
avoit la sienne. Elles étoient accompagnées de fe
fleur ou quelque branche de verdure sur soi. Mais comme ces sortes de
fêtes
causerent quelque désordre dans Rome, elles furen
élons coups Le susdit Sexe aimant le doux, Et (dont il n’était pas en
fête
) Le jetait tout franc à la tête, Si qu’un Huissie
bienheureux Destin, Et leurs admirable DAUPHIN Vinrent à cette belle
Fête
, Étant, des pieds jusqu’à la Tête, Vêtus en Perse
présente un sallon du palais de Vénus. Scène I. Vénus donne une
fête
à Mars. L’Amour, les Graces et les Nymphes y répa
est dans le moment le plus intéressant et le plus voluptueux de cette
fête
qu’un bruit de guerre se fait entendre. Scène
lesse trés-imfirme m’a seule empêché d’être témoin de ces magnifiques
fêtes
, que vous embellissez si singulièrement. Vous fai
qu’au sujet même ; cependant, on y est insensiblement ramené par les
fêtes
que l’Amour institue, et par la présence de Vénus
t point abandonner l’heureux séjour de l’Arcadie sans y instituer des
fêtes
et des jeux qui perpétuent à jamais le jour fortu
du printems. Un ancien Roi d’Arcadie avoit ordonné qu’on célébrât une
fête
annuelle, mêlée de jeux et de danses, dans la que
es se rangent sur la colline. L’Amour et les Graces président à cette
fête
. Les jeux commencent ; on tire de l’arc ; on se
r et l’enjouement. Scène XI. Un prodige inattendu interrompt la
fête
: Vénus paroît sur un nuage doré porté par les Zé
visiblement parmi eux, de se mêler à leurs danses et d’embéllir leurs
fêtes
. Elles leur recommandent de célébrer tous les a
s danses, qui caractérisent l’expression naïve d’une joie pure. Cette
fête
Anacréontique est terminée par un grouppe général
e La Danse sacrée est celle que le Peuple Juif pratiquait dans les
fêtes
solennelles établies par la Loi, ou dans les occa
Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. Les
Fêtes
Saturnales chez les Romains, avoient tant de rapp
là que le bal masqué tire son origine. Tite-Live nous apprend que les
Fêtes
Saturnales furent célébrées à Rome pour la premie
tems tous les peuples vivoient dans une indépendance absolue : cette
fête
se célébroit encore sous le régne d’Auguste, dans
uguste, l’Empereur Tibere voulant réformer le luxe de Rome, & les
fêtes
licentieuses qu’on y célébroit de son tems, aboli
entes espèces de Ballets On peut juger du succès éclatant qu’eut la
Fête
magnifique de Bergonce Botta, et du bruit qu’elle
ées de la Danse des Anciens, et par les idées que fit naître la belle
fête
de Bergonce Botta, ce genre de Spectacle parut su
verne ses muscles, devenue tout entière une harmonie, alors c’est une
fête
absolue, c’est l’enivrante vision dionysiaque. Le
quises réjouirent leurs yeux par d’harmonieux spectacles. Ce sont ces
fêtes
qu’il nous faut envier à la génération de 1830. F
ivrance des Hébreux et après le passage de la Mer Rouge, institua des
fêtes
et des danses ; David dansa devant l’Arche sainte
joie, et surtout de danses : toute la nature semblait sourire à leurs
fêtes
publiques. Ils avaient trois sortes de danses : l
Robinet, lettre du 14 novembre 1671 […] Mais en cette
Fête
Royale, Le meilleur de tout le Régale, Fut certai
le Bois, De son Destin, suivant les Loix, Qui jusques-là, bornent ses
Fêtes
, À vaincre et massacrer des Bêtes. Mais un des
e pensant pas qu’il pût me refuser l’autorisation de participer à une
fête
de bienfaisance. Peu de temps auparavant s’était
lui être agréable, j’acceptai. Lorsque je lui demandai la date de la
fête
, il me dit de ne pas m’en préoccuper. C’est alors
yeux. Aucun journaliste, disait-on, n’avait été autorisé à venir à la
fête
. C’était un avocat, très petit de taille, mais d’
e plaisir. Je crois bien que la joye des Festins, que la vivacité des
Fêtes
lui ont donné la naissance ; mais il en est de mê
epresenter des Triomphes, des Sacrifices, des Enchantemens, & des
Fêtes
galantes qui exigeoient des Airs caracterisez pou
Theatre le plus grand nombre de beaux ouvrages, avoit mis au jour les
Fêtes
Venitiennes. Il y avoit dans ce Ballet une Scene
plus singulière est celle que les Dervis exécutent, pour célébrer la
fête
de Menelaüs [Mevlâna] leur Fondateur. La traditio
t donc dans les premiers temps une expression simple de joie dans les
Fêtes
publiques ou particulières et successivement les
Les Italiens eurent pour guides dans l’établissement de leur Opéra la
Fête
de Bergonce de Botta, et les belles compositions
ui pouvait donner un feu plus vif à l’ensemble de sa composition, des
Fêtes
aussi aimables que galantes, et des tableaux vari
lantes, et des tableaux variés à l’infini, des usages, des mœurs, des
Fêtes
des Anciens. [Voir Fête] Ce grand dessein fut bal
ariés à l’infini, des usages, des mœurs, des Fêtes des Anciens. [Voir
Fête
] Ce grand dessein fut balancé sans doute dans l’e
nce offensante qu’on lui oppose. Cette scène d’action est suivie d’un
fête
générale de trois quadrilles ; les Carthaginois,
ifférents. La musique doit l’être à son tour. Vers le milieu de cette
fête
, Didon, Enée, Jarbe et Ascagne s’y réunissent ; c
qui représente la halte de la chasse. Jarbe s’empresse à donner une
fête
à Didon. Ses Maures et ses Gétuliens, au son des
tour-à-tour ce que la volupté à de plus tendre ; insensiblement cette
fête
devient générale. Didon, Enée et Jarbe veulent en
ent dans la tirelire, comme je l’ai vû pratiquer dans ma jeunesse les
Fêtes
& Dimanches à la Place de Nesles, où l’on a b
omme un Supplément. Il dit entre autres que les Juifs célébrerent une
fête
de réjouissance publique, qui consistoit en festi
ble, les Magistrats de la Ville menerent Judith en pompe au bal où la
fête
étoit préparée ; elle y dansa la premiere comme l
; mais les Juifs pour célébrer sa mémoire, ont depuis continué cette
fête
tous les ans, jusqu’à la destruction de Jérusalem
alem. C’étoit un usage établi parmi les Juifs, de danser à toutes les
fêtes
de réjouissance & aux noces : les conviez se
écrire Se tait des Décorations Dans ses belles Narrations ; Mais, aux
Fêtes
du grand MONARQUE, Pour l’ordinaire l’on remarque
décoration représente le péristile du palais de Créon, orné pour une
fête
. Créon qui craint les prétentions de Médée au tr
’unir avec elle. Pour réussir dans ce projet, il donne à ce héros les
fêtes
les plus brillantes, afin de procurer plus d’occa
et l’agitation de son ame. Le départ précipité de Médée interrompt la
fête
; et termine la première partie de ce ballet.
magnificence et la générosité, peuvent y ajouter ; il leur donna des
fêtes
brillantes ; Hercule à l’exemple d’Apollon devien
La décoration représente un vaste péristile superbement orné pour une
fête
; les entre-colonnes forment des balustrades couv
bués ; des danses suivent, ces jeux : les Princes s’associent à cette
fête
et l’embellissent. Lycomède, toujours occupé de s
es années d’apprentissage Vienne en 1815. — La cour et la société. —
Fête
générale. — La musique ; les concerts ; les théât
trait de Fanny par Th. Gautier. — Fanny Elssler et Marie Taglioni aux
fêtes
du couronnement à Londres. — Fanny dans la Sylphi
Athéniennes se rassemblent sur le bord de la mer, pour y célébrer une
fête
en l’honneur de Cérés. Un jeune homme d’Athènes,
scure, mais éperduement amoureux de la belle Cryséïs, se mêle à cette
fête
; sa jeunesse, la beauté de la taille et celle de
e dans les Bals de cérémonie, et on s’amusait dans la célébration des
Fêtes
Saturnales sous mille déguisements différents. Le
Chinoises, des réjouissances Flamandes, de la Mariée du Village, des
Fêtes
du Vauxhall, des Recrues Prussiennes, du Bal paré
es le sont quelquefois à la peinture, lorsqu’on en abuse. Passons aux
Fêtes
, ou aux Jalousies du Serrail. Ce ballet et celui
Sérail, et le Grand-Seigneur permet alors aux Eunuques de donner une
fête
à Zaïre ; la danse devient générale. Dans un pas-
le quel il marque toujours une préférence décidée pour Zaïre. Cette
fête
est terminée par une contredanse noble. La derniè
attitudes et aux positions leurs graces et leur verité. Le ballet des
Fêtes
ou des Jalousies du Serail, diront peut-être les
èslors est excellent et produit son effet. Je crois, Monsieur, qu’une
fête
Turque ou Chinoise ne plairoit point à notre nati
Chinoises, des Réjouissances Flamandes, de la Mariée de Village, des
Fêtes
de Vauxhall, des Recrues Prussiennes, du Bal paré
es le sont quelquefois à la Peinture, lorsqu’on en abuse. Passons aux
Fêtes
ou aux Jalousies du Serrail ; ce Ballet & cel
rail, & le Grand Seigneur permet alors aux Eunuques de donner une
Fête
à Zaïre ; la Danse devient générale. Dans un pas
ns lequel il marque toujours une préférence décidée pour Zaïre. Cette
Fête
est terminée par une Contre-danse noble. La derni
des & aux positions leurs graces & leur vérité. Le Ballet des
Fêtes
ou des Jalousies du Serrail, diront peut-être les
llent & mérite les plus grands éloges. Je crois, Monsieur, qu’une
Fête
Turque ou Chinoise ne plaîroit point à notre Nati
corde, irritée de l’oubli que l’on fit d’elle, à venir troubler cette
fête
en y jettant la pomme fatale. Cette pomme fut pré
Ris et aux Plaisirs ; l’Amour, Vénus et les Graces embellissent cette
fête
; Thétis et Pélée y expriment leur félicité ; l’O
fureur. Scène v. et derniere. Ce spectacle se termine par une
fête
générale ; Vénus, Paris, l’Amour et les Graces ex
l’Antiquité, à signaler leur joye dans les plus grandes occasions de
Fêtes
& de réjouissances publiques. Il est vrai q
De nouvelles je suis à sec, Cela me clôt quasi le bec : Car de la
fête
de Versaille[s] Je ne puis rien dire qui vaille.
ai même à ce sujet, que dernièrement j’avois fait une chanson pour la
fête
d’un père de famille qui a cinq filles très-aimab
ms, un opéra. On en donne encore à Vénise dans trois théâtres pour la
fête
de l’Ascension. Il est bon de savoir qu’à Alexand
er, tel que Roland ou Armide, et un d’été, tel que les Elémens ou les
Fêtes
Vénitiennes. Vous voyez, Madame, que l’ordinaire
sur les modes de Philoxène et de Timothée, et tous les ans pendant la
fête
des Orgies, ils exécutaient sur des théâtres publ
iversaire de la Naissance du Cardinal de Savoie, fut l’occasion d’une
Fête
brillante qui occupa en 1634 la Cour de Turin. On
ent de l’exécution. Les Juifs instituèrent dans les suites, plusieurs
Fêtes
solennelles : la Danse en fit toujours une partie
t vrai, sont toujours fort suspectes. Il en est des Ballets comme des
Fêtes
en général ; rien de si beau, de si élégant sur l
tion. Elles peuvent avoir lieu dans un Ballet général qui termine une
Fête
; elles peuvent encore passer dans des pas d’exéc
res de la Musique de la chambre du Roi. Lorsque Louis XIV donnait des
fêtes
sur l’eau, il disait, avant qu’on commençât le co
sulté des actions qu’on leur a fait faire dans l’entrée d’Osiris, des
fêtes
de l’Hymen et de l’Amour, doit faire sentir quell
t vrai, sont toujours fort suspectes. Il en est des ballets comme des
fêtes
en général ; rien de si beau, de si séduisant sur
ion, elles peuvent avoir lieu dans un ballet général, qui termine une
fête
; elles peuvent encore passer dans des pas d’exéc
ntéressant aux jours d’un mortel qui fait le plus bel ornement de ses
fêtes
, paroît, et descend du Mont Rhodope : ce Dieu est
anses vives et voluptueuses. L’Amour et Bacchus prennent part à cette
fête
qui est l’ouvrage de leur bonté. Orphée et Euridi
eux amans expriment leur commun bonheur ; et Usbeck le partage. Cette
fête
variée termine la première partie de ce spectacle
acun exprime la gaieté suivant le costume de ces climats. Après cette
fête
variée à la quelle le Sophi ne dédaigne point de
ait fallu au Cardinal Riari un Léon X ; et à Baïf un Louis XIV. [Voir
Fête
de la Cour de France] Pour qu’un bel établissemen
us précieux de l’Italie. Ce Ministre étant chargé de la direction des
fêtes
destinées à signaler cette circonstance, n’épargn
es opéras de Quinault. Ce fut enfin lui qui composa toutes celles des
fêtes
, et des grands spectacles que l’on donna pour le
t et défraya pendant plus de deux mois, il machina son théatre. Cette
fête
extraordinaire étoit destinée à célèbrer le maria
les poëtes de l’antiquité ; ne sera-t-on pas étonné de voir dans les
fêtes
, et les spectacles pompeux de la cour, le costume
nt dans leurs rites religieux, et ensuite les introduisirent dans les
fêtes
et les divertissements publics. Peu à peu on dans
es, Bergonce de Botta (Voir la note 23 du chapitre premier), dans une
fête
magnifique, fit renaître les ballets, et il trouv
ux différentes parties de son action, les triomphes de ses héros, les
fêtes
générales introduites avec goût dans ses dénoueme
, l’éloignement de Roxane rétablit le calme et la félicité ; et cette
fête
pompeuse se termine par des danses nobles, dans l
eut avis, mais le danger ne l’empêcha pas d’y retourner à la première
fête
, doutant si Dieu ne lui avoit pas réservé cette o
nes et leurs humiliations durèrent un an entier, et ce ne fut qu’à la
fête
suivante, que le saint évêque, ayant reçu leurs s
œuvres serviles qui sont une profanation des jours de dimanches et de
fêtes
. Si ceux qui sont revêtus d’une autorité temporel
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