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1 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
quin vient avec sa Maitresse ; il l’assure de son amour ; il lui fait entendre ensuite que le Sultan est fort embarrassé, qu’il
. Le Sultan, désespéré, reste seul. Une Musique agréable se sait entendre . Un Magicien descend du Ciel, dans un char. Le Su
. Le Magicien sait signe au Sultan de se relever, & lui sait entendre qu’il vient lui donner du secours. On apporte par
ene VI. Foule de Peuple de tout âge & de toute condition. On entend une Musique éclatante. Plusieurs petits Génies de
Scene VII. Arlequin paraît avec un autre Magicien ; il lui fait entendre qu’il voudrait avoir l’argent qui est dans les co
azzis ; mais, comme pour l’avoir, il a donné tout son argent, il fait entendre qu’il meurt de faim. Un Pauvre vient lui demander
emens du Sultan. Des Courtisans, qui se promènent dans la salle, font entendre que le Sultan, accablé de douleur, est tombé mala
raît, & touche le lit, qui se change en un Trône superbe. Il fait entendre au Sultan, qu’il va réparer ses pertes. Les faux
; il s’en élève des tourbillons de flammes : un bruit affreux se fait entendre . Le Palais semble être tout en feu. Le Parquet s’
tan, Plusieurs Courtisans vêtus de noir & en longs manteaux, font entendre que le Sultan est mort de douleur. Scene XXI
r s’obscurcit ; un bruit affreux & une musique délicieuse se font entendre alternativement ; la foudre tombe par éclats ; le
ir de dessous le Théâtre un mortier d’une énorme grandeur, & fait entendre que, pour de l’argent, on entrera dans le mortier
e cette dernière ressource n’a pas rempli les coffres du Sultan, fait entendre qu’il est des gens riches, qu’on peut mettre à co
re & les engloutit au bruit des fanfares, qui se font tout-à-coup entendre . Scene derniere Le Palais du Sultan dev
st un puissant Génie, par tout l’éclat qui l’environne : mais il fait entendre en même temps, qu’il n’a paru céder au Magicien,
2 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre II. De la Danse théâtrale des Grecs »
La Pythie déclara par un Oracle, qu’un bon Danseur devait se faire entendre par le seul secours des gestes, comme un excellen
s Arts agréables, et sur les gens qui les exercent. Le moyen de faire entendre à un homme insensible, qu’il doit être ému, ou à
ix qui crie dans le désert. Tout le monde est sourd, ou parce qu’il n’ entend pas ; ou ce qui est pis encore, parce ce qu’il ne
l n’entend pas ; ou ce qui est pis encore, parce ce qu’il ne veut pas entendre . Les Grecs qui avaient la vue déliée et l’oreille
pas entendre. Les Grecs qui avaient la vue déliée et l’oreille fine, entendirent l’Oracle, et en conséquence, ils regardèrent touj
3 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
repaissent de Châteaux en Espagne. Un moment, ne me jugez pas sans m’ entendre  ; je vais vous déduire mes raisons. Je rapportera
en d’inconséquences, d’absurdités, de platitudes, tranchons le mot, n’ entend -on pas dans ces nouveautés éphémères, fautes qui
tenté de croire que sa langue est montée dans son cerveau. Lorsqu’on entend un si grand nombre de personnages, Grecs, Romains
r les Poèmes immortels qui font tant d’honneur au Théâtre Français. J’ entends de ma petite chambre, située auprès du Boulevard,
n quelque chose, je pense qu’il vaudrait mieux se priver du plaisir d’ entendre réciter les vers de ces grands Hommes, afin de re
spondent à l’action ; ainsi que cela se pratique à l’Opéra, où l’on n’ entend pas facilement les paroles. Je crois que l’on pou
x Critiques) n’est-il pas absurde de vouloir nous priver du plaisir d’ entendre chanter les divines ariettes de l’Opéra-comique,
ien les charmans effets de leur art. Mais n’est-il pas prouvé qu’on n’ entend presque jamais les paroles chantées ? La cause en
c’est, dit-il, peine perdue de prononcer des paroles qu’on ne saurait entendre . Suis-je donc si ridicule de vouloir que ces même
t supposés ressentir ? Les Auditeurs auront-ils un plaisir moins vif, entendront -ils moins des airs charmans, & seront-ils moi
ions de leurs personnages, & qui s’époumonent pour mieux se faire entendre . Je me doute qu’on m’objectera que les représenta
des Actrices & des Danseuses qui paraissent gantées sur la Scène, entendent peu leurs intérêts, puisqu’il n’y a rien qui flat
nt plus l’affront d’être rayés du Tableau ! Les criailleries que l’on entend tous les jours entre maris & femmes dans les
4 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211
s Philosophes & bien d’autres parlent aussi des concerts que l’on entendoit dans les Isles inhabitées & dans les Forests,
du flageolet, parcourut toutes les rues, & tous les enfans qui l’ entendirent , se mirent à le suivre comme par enchantement ; i
stote, que dans l’une des sept Isles d’Eloüs, qui étoit inhabitée, on entendoit souvent un concert très-harmonieux ; ce qui fit c
s magnus dit qu’en bien des endroits peu habitez du Septentrion, l’on entendit souvent des concerts. Pline & Solin assurent
souvent des concerts. Pline & Solin assurent qu’au mont Atlas on entendoit aussi des bruits d’instrumens, comme de tambours
lence de la nuit est troublé par le bruit de leurs jeux, & qu’ils entendent les cordes mélodieuses des instrumens, aussi-bien
prise fut troublée par des prodiges extraordinaires : entre autres on entendoit les nuits des voix qui sortoient de dessus les tr
e la nature, & ordonna de les recommencer le lendemain, quoiqu’on entendît encore les mêmes voix de ces esprits souterrains
reneurs de venir faire leur remontrance à l’Empereur, & lui faire entendre que cette entreprise étoit apparemment désagréabl
its accoutumez aux fables croiroient volontiers que les voix que l’on entendit la nuit sur le canal, sont celles des Gnomes, qui
ls disent que l’agitation de ces arbres causée par les vents, faisoit entendre une espece de mélodie : c’est pourquoi il étoit d
5 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
elle tenait à la main. Lorsque la dame eut achevé sa lecture, ma mère entendit ces mots : — Et maintenant nous allons avoir le p
re entendit ces mots : — Et maintenant nous allons avoir le plaisir d’ entendre notre petite amie, Loïe Fuller, réciter une poési
être aussi folle ? Jamais elle n’arrivera à réciter cela. Elle ne l’a entendu dire qu’une fois. Et à travers une sorte de broui
appris ça ? — Je ne sais plus maman. Elle me dit alors que j’avais dù entendre lire cette chose par mon frère. Et je me Pétais r
ot. Je n’avais alors besoin, avec ma mémoire sûre et toute fraîche, d’ entendre un poème qu’une fois, pour le réciter, de bout en
Tandis que j’écrivais ceci, quelques jours avant sa fin, je pouvais l’ entendre remuer ou parler, car elle était dans la chambre
6 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — IV » p. 136
géants, qui sont toujours de pauvres hères et toujours ridicules. On entend mieux les voix, quand on ne voit point les corps.
que l’on vit de belles figures mimer les êtres ou l’action, et qu’on entendît de beaux chants, sans qu’ils fussent visibles. Wa
e. Les beaux mimes faisant voir l’action, les voix invisibles faisant entendre les sentiments et les âmes, quel spectacle ce pou
7 (1908) Quinze ans de ma vie « Préface » pp. -
ù se mire un ciel pâle, un peu grasse, placide, souriante, fine. Je l’ entendis causer : la difficulté avec laquelle elle parle l
dans les âmes les plus hautes des artistes et des savants. Je lui ai entendu dire les choses les plus fines, les plus aiguës s
de tant de dons naturels, elle aurait pu faire une savante. Je lui ai entendu tenir un langage très « compréhensif » sur divers
8 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
ue un grand rôle dans mon Ballet. Elle me sert beaucoup pour me faire entendre , et rend ma catastrophe vraiment terrible et trag
ur lui ordonner d’accomplir la cérémonie. Oroés la refuse, en faisant entendre qu’il ne croit pas que cet hymen soit agréable au
x Dieux : sur ses refus réitérés la Reine par un signe de mépris fait entendre quelle sera obéie par d’Autres. Elle conduit Nini
n est ensanglanté. Des gémissements qui partent du Mausolée, et qu’il entend , le pénètrent d’horreur. Il tombe entre les bras
9 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144
à la danse l’ame et l’action qu’elle doit avoir pour intéresser. Je n’ entends point au reste par le mot d’action, celle qui ne
alement partout. Peu de prétentions à en montrer, une négligence bien entendue à la dérober quelque fois, ne la rend que plus pi
ue chose à reprendre. Que les maîtres de ballets se persuadent que j’ entends par gestes les mouvemens expressifs des bras, sou
ne bouche qui sourit et un poing fermé qui menace le ciel ; ici, vous entendez sortir d’une bouche qui semble rire aux éclats, d
e est celui du sentiment ; il séduit universellement, parce qu’il est entendu universellement de toutes les nations. Tel violon
sensation. C’est qu’il a un langage, me repondra l’amateur que vous n’ entendez point ; c’est une conversation qui n’est pas à la
d’Italie arrive-t-il à Paris, tout le monde le court et personne ne l’ entend  ; cependant on crie au miracle. Les oreilles n’on
s le mépris ou elle étoit il n’y a pas un siècle. Ce ne seroit pas m’ entendre que de penser que je cherche à abolir les mouveme
d’accord avec les yeux, la physionomie et les gestes, ils me fassent entendre le sentiment de la nature. Je veux encore que les
10 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 31 juillet. Notes de vacances sur quelques souvenirs de la saison. »
hapeau. C’est que le fameux intermède musical des Troyens, je l’avais entendu à l’Opéra la veille de mon départ. Entendu et vu,
al des Troyens, je l’avais entendu à l’Opéra la veille de mon départ. Entendu et vu, quoique cette constatation sonne étrangeme
cien très conscient, appela son interlude : Symphonie descriptive. Il entendait donc que sa musique se suffise à elle-même. Que d
11 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289
a Danse l’ame & l’action qu’elle doit avoir pour intéresser. Je n’ entends point au reste par le mot d’action celle qui ne c
alement par-tout. Peu de prétention à en montrer, une négligence bien entendue à la dérober quelquefois ne la rend que plus piqu
ours quelque chose à reprendre. Que mes confreres se persuadent que j’ entends par gestes les mouvements expressifs des bras sou
opre est celui du sentiment ; il séduit généralement, parce qu’il est entendu généralement de toutes les Nations. Tel Violon es
nsation ; c’est qu’il a un langage, me répondra l’Amateur, que vous n’ entendez point. Cette conversation n’est pas à la portée d
talie arrive-t-il à Paris, tout le monde le court & personne ne l’ entend  ; cependant on crie au miracle. Les oreilles n’on
urité où elle étoit il n’y a pas plus d’un siecle. Ce ne seroit pas m’ entendre que de penser que je cherche à abolir les mouveme
d’accord avec les yeux, la physionomie & les pas, ils me fassent entendre le cri de la nature. Je veux encore que les pas s
12 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Supériorité et avantages de la Danse en action »
resque des traits du premier, je devine que le souvenir de ce qu’il a entendu le console de ne plus entendre. Je découvre des é
je devine que le souvenir de ce qu’il a entendu le console de ne plus entendre . Je découvre des étincelles de génie à travers l’
13 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XII. » pp. 115-121
s ai dit que le langage des gestes et des signes y étoit parfaitement entendu , parce qu’il existoit sous le règne d’Auguste des
’âme et des agitations diverses qu’elle éprouve. Le geste, comme je l’ entends , est un second organe que la nature à donné à l’h
un second organe que la nature à donné à l’homme ; mais il ne se fait entendre que lorsque l’ame lui ordonne de pailer. J’ose di
se faisoient lire ce qu’Apulée a écrit sur leur art, s’ils pouvoient entendre et concevoir les longues énumérations des qualité
14 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
nse, déjà échauffés par des chansons lubriques qu’ils ont chantées ou entendues , et par les discours très-indécens qu’une infinit
y est plein d’iniquité, Saint Paul dit : (Eph. c. 5, v. 4.) Qu’on n’ entende parmi vous ni paroles déshonnêtes, ni folie, ni b
olie, ni bouffonnerie, ce qui ne convient pas à votre état  ; et on n’ entend dans vos noces que des discours bouffons et désho
de ce que ceux qui la reprennent sont regardés comme trop austères. N’ entendez -vous pas saint Paul qui dit : (1. Cor. c. 10. v. 
aire, vous faites tout pour votre propre honte et votre confusion ! N’ entendez -vous pas aussi le prophète-roi qui dit : (ps. 2,
pu et si aveugle ? Je ne puis m’empêcher d’ajouter à ce qu’on vient d’ entendre de saint Jean Chrysostôme, ce qu’on écrit contre
15 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
t-il à nouveau parler devant tous ces gens ? Et, à ma stupéfaction, j’ entendis , comme si c’était celle d’une autre, ma voix qui
elle m’absorbait dans sa personnalité. Je ne vis pas les décors, je n’ entendis pas la pièce : je ne vis, je n’entendis qu’Elle.
e ne vis pas les décors, je n’entendis pas la pièce : je ne vis, je n’ entendis qu’Elle. Il y eut des applaudissements frénétique
ques mots harmonieux en anglais. De loin je regardais mon idole. Je l’ entendais dire, dans ma langue maternelle, qu’elle était he
que fois que je prenais la peine de montrer quelque chose à Sarah, on entendait l’électricien dire : — Mais je peux faire ça… C’e
scurité, et une de mes amies, qui s’était placée auprès de Sarah pour entendre ce qu’elle disait d’admiratif, fut pétrifiée par
entendre ce qu’elle disait d’admiratif, fut pétrifiée par ce qu’elle entendit . En s’en allant Sarah me remercia comme elle reme
16 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
Lettre XVI. O n doit entendre par Coriphées, Monsieur, ceux qui sont à la tête
soit des gestes ; peines inutiles ; les statues ont des oreilles et n’ entendent point ; des yeux, et ne voyent rien : j’arrivai e
portant des torches allumées pour le conduire au lieu du massacre il entend les cris plaintifs et les accens douloureux des m
ouve ; si à son départ, le jour paroit, et qu’au lever de l’aurore on entende des cris confus et effrayans poussés par les remo
nsée ne pas appercevoir) forment le dernier groupe de cette action. J’ entendrai dire à la plupart des maîtres de ballets, si tout
Mais c’est assez parler, c’est assez écrire pour des hommes qui ne m’ entendront peut-être pas. Il faut leur laisser leur routine
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VIII. Suites du Vice primitif »
a prodigieuse fécondité des Arts, on n’a chanté, on n’a dansé, on n’a entendu , on n’a vu constamment que les mêmes choses et de
fut pour Lully. Le Public était enchanté de la représentation, et il entendait dire que les Poèmes de Quinault étaient mauvais.
18 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
r nous ne pûmes rien en apercevoir et nous ne découvrîmes point qu’il entendait la langue de Shakespeare. Marten Stein, à présent
ue le public désigna plus tard du nom de danse blanche. Pour finir, j’ entendais danser, éclairée par-dessous, la lumière arrivant
rième danse, les bravos furent si assourdissants qu’on ne pouvait pas entendre la musique qui préludait pour le n° 5. Le rideau,
oin. Celles que vous venez de danser ont suffi à enlever le public. N’ entendez -vous pas les acclamations ? Un instant plus tard
19 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
été, je me fis conduire au boulevard Inkermann, à Neuilly. De loin, j’ entendais une fanfare de chasse et je me demandais, non san
x. Je ne pus m’empêcher de lui demander d’où partaient les sons que j’ entendais et s’il y avait une chasse à courre dans son jard
elle est sacrée. Je ne puis vous dire combien j’ai été surprise de l’ entendre vous inviter. Il est bien rare, en effet, qu’il p
s pas plus avancée qu’avant. Je n’avais aucun souvenir d’avoir jamais entendu prononcer ce nom. Et je le dis en toute simplicit
20 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26
our obtenir une pareille fortune, pour avoir, moi aussi, le plaisir d’ entendre sonner « ma » pendule, de la remonter, d’écouter
revins à moi : d’un bond, je fus à la cheminée, j’ôtai le globe pour entendre marcher le balancier de plus près. J’aurais donné
ule, qu’un matin je me surpris me livrant au petit travail suivant. J’ entendis le bruit sec qui annonce la sonnerie. Je fermai l
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 30 janvier 1667 »
e gogailles75. Là, par le mouvement des Eaux Qui en divers Tuyaux, On entendit une belle Orgue Qui fait à toute autres la morgue
22 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
ique, où on exécuta des compositions imitées de celles que Baïf avait entendues à Venise. Ces sortes de Concerts firent quelque s
profita ; elle se laissa entraîner à ces Concerts et consentit à les entendre . Henri III même alla chez Baïf ; mais les Courtis
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 5 août : Le Ballet de la curiosité accompagnant la tragédie de collège Adraste — Lettres en vers et en prose au Roi de La Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre de juillet-août 1670 »
s moins aimable, Que la pièce était remarquable, Car Beauchamp, qui l’ entend fort bien, En cela n’avait omis rien, Tous ceux q
24 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pour un répertoire. »
fureur l’année passée. Si, pour voir danser, il faut absolument avoir entendu chanter pendant deux heures et demie, pourquoi n’
de, pour la création d’un répertoire de danse. Et nous pourrons alors entendre et même voir Namouna sans bouger de l’Opéra.
25 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre X. De la maniere d’ôter son chapeau, & de le remettre. » pp. 24-28
les mesures que l’on doit observer dans cette action, on ne doit pas entendre par ces differentes attitudes que l’on doive s’ar
’on doive s’arrêter à chaque tems, ce qui seroit ridicule. Pour moi j’ entends qu’il n’y ait aucun intervale, & que ces tems
26 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7
nion généralement adoptée. On sent bien qu’en parlant de nations je n’ entends que cette portion des peuples qui cultive les art
ctuellement à Rome et à Naples des jeunes gens, qui n’ont jamais rien entendu de Sacchini ni de Piccini. Les ouvrages s’y succè
27 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 17 août : Les Fâcheux — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 août 1661 »
e Je n’en dirai pas davantage, Sinon qu’au gré des Curieux, Un Ballet entendu des mieux, Qui par intervalles succède, Sert à la
28 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 8 février 1670 »
du Balustre, Qu'il passe tout ce qu’on a vu, De plus grand, de mieux entendu , De plus galant, plus magnifique, De plus mignon,
29 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
verent la vie à Jupiter, parce que Saturne qui dévoroit ses enfans, n’ entendit pas ses cris lors de sa naissance. On attribue en
ononcé, qu’il falloit qu’un bon Danseur ou qu’un bon Pantomime se fît entendre aux spectateurs par ses mouvemens, de même que si
à laquelle on avoit ajoûté des gestes & des postures, pour faire entendre ce qu’elle jouoit ; mais qu’elles étoient le plus
ce fameux Danseur représentoit les Travaux d’Hercule, encore qu’il n’ entendît rien de ce qu’on chantoit, il ne laissa pas de co
de, c’est, dit-il, que j’ai pour voisins des Barbares dont personne n’ entend la Langue, & votre Pantomime me servira de tr
angue, & votre Pantomime me servira de truchement pour leur faire entendre par gestes mes intentions. Il est à croire que ce
ne conspirassent contre lui, il les accoutuma insensiblement à faire entendre par des gestes, des mouvemens, & des figures,
pour les meilleurs Pantomimes de toute l’Italie. L’usage de se faire entendre par signes est devenu fort familier à la Cour du
30 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VI. » pp. 78-109
vé ? Je vois le Peuple dansant, se récrier à cette proposition ; je l’ entends qui me traite d’insensé : mettre des Tragédies &a
ait point parfaitement la Danse, ne peut composer que médiocrement. J’ entends par Danse le sérieux ; il est la base fondamental
genres mixtes & corrompus qui en dérivent, à ces Jargons que l’on entend à peine, & qui varient à proportion que l’on
s importante dans ceux qui varient & qui se forment en dansant. J’ entends par Tableau fixe tout ce qui fait grouppe dans l’
coration, & qui d’accord avec elle, forme une grande machine bien entendue . Mais comment, me direz-vous, observer cette dégr
teintes, & des parties brillantes de feu ; c’est une horreur bien entendue , qui doit régner dans le Tableau ; tour doit être
31 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — Juillet : Ballets des comédiens espagnols à Paris — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 24 juillet 1660 »
Donnant à leur Portier, tout Franc, La somme d’un bel écu blanc. Je n’ entendis point leurs paroles ; Mais tant Espagnols, qu’Esp
32 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
nd Ballet Chez le ROI joua son Rôlet, Et le lundi d’ensuite encore, S’ entend bien, le Ballet de Flore, Où la Cohue et le Conco
33 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
Chrysostôme que M. Bossuet a eu en vue dans la réponse qu’on vient d’ entendre , est de l’homélie 37 sur saint Matthieu. Le saint
s, qui ont inventé ces plaisirs, n’ont ni femmes, ni enfans ; faisant entendre par là que pour quiconque veut vivre honnêtement,
. Il parle néanmoins avec une toute autre douceur, lorsqu’il se fait entendre dans le cœur, et qu’il y fait sentir ce feu céles
’effusion d’une joie divine, un plaisir sublime, que le monde ne peut entendre , par le mépris de celui qui flatte les sens, un i
34 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
de la nouvelle Rosière, avec l’importance de la sottise ; il lui fait entendre que c’est à lui seul qu’elle doit l’honneur dont
e tout attendre de son équité. Cependant le temps s’est obscurci, on entend le tonnerre ; Julie ne veut pas que Colin s’expos
pare de leurs âmes ; leur délicatesse offensée ne leur permet point d’ entendre la justification de leur nièce. Ils agravent ses
nce l’arrêt du Bailli, et de leur bonheur… un bruit de chasse se fait entendre . Scène XII et dernière. C’est le Seigneur,
35 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Amours de Vénus, ou les Filets de Vulcain. Petit ballet en action. » pp. 169-175
ant et le plus voluptueux de cette fête qu’un bruit de guerre se fait entendre . Scène II. Un officier annonce à Mars qu’on
leurs jeux : il devient le divertissement de la troupe amoureuse. On entend un nouveau bruit de guerre ; c’est Mars. Vulcain
36 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXIII. Des agrémens que l’on peut faire dans le Menuet, & l’attention qu’il faut avoir pour le figurer également. » pp. 92-98
r cette premiere, si l’on n’a pas cette facile disposition ; qui fait entendre d’abord cette cadance ; c’est alors qu’il faut s’
os leçons, & même vous en faire instruire, afin que vous puissiez entendre & comprendre cette cadance, qui fait l’ame de
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettre en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 décembre 1666 »
s, Des POÈTES de talents divers La divertissent par leur Danse, Comme entendus en la Cadence. Son FILS ORPHÉE après survient,
du moins son parfait COPISTE, Savoir l’admirable BAPTISTE,64 Et l’on entend dessus ses Pas Les Accents tous remplis d’appas D
38 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
ous n’apprenons pas l’harmonie des mouvements. Que de fois avons-nous entendu dire : « Je ne peux pas supporter cette couleur. 
vement est produit par telle musique. Une polka ou une valse que nous entendons , nous enseigne le pas de la danse et nous en nuan
que l’on donne généralement à ce mot ; tâchons d’oublier ce que l’on entend par là aujourd’hui. Pour retrouver la forme primi
ns réel et le plus étendu du mot danse, tâchons d’oublier ce que l’on entend par chorégraphie de nos jours. Qu’est-ce que la d
39 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
ctuellement à Rome et à Naples des jeunes gens, qui n’ont jamais rien entendu de Sacchini ni de Piccini ; les ouvrages s’y succ
tôt aux acteurs, et aux maîtres des ballets. Les paroles y sont mieux entendues que chez nous, où l’on grave tout et où l’on ne p
40 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194
par l’usage de la voix ordinaire, ou mélodieuse, comme celle que l’on entendit dans les airs, lors de la naissance de Jésus-Chri
e la Musique naturelle. C’est ce que les Anciens ont voulu nous faire entendre , par ce qu’ils ont rapporté des Orphée, Amphion,
rce qu’elle a la faculté d’émouvoir l’ame la premiere fois que l’on l’ entend  ; j’en ai vû & fait plusieurs fois l’expérien
41 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
i tous ensemble, et se mirent à courir comme des possédés. Je pus les entendre longtemps encore, alors que déjà ils étaient très
ouvait de l’autre côté des pièces d’eau, ne devait certainement pas l’ entendre . La première danse s’achevait. Mes projecteurs, e
n’est pire sourd, dit un proverbe français, que celui qui ne veut pas entendre . Et le vicomte ne voulait rien percevoir de mes p
42 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
plus posément, et de manière à rendre les mots aisés à prononcer et à entendre . (S) Chant — avec Jean-Jacques Rousseau Ch
eur âme. Cette espèce de langage, qui est de tous les pays, est aussi entendu par tous les hommes, parce qu’il est celui de la
nfants viennent à exprimer leurs sensations par des mots, ils ne sont entendus que des gens d’une même langue, parce que les mot
er les différents tons de la voix. Les sons étaient dans l’homme : il entendit chanter ; il fut frappé par des bruits ; toutes s
e una granjaula che en un carro tirava un quartago. Voyez Danse. On a entendu de nos jours un chœur très harmonieux, qui peint
ultemus de M. Mondonville, doivent de même affecter tous ceux qui les entendent . Le plus ou le moins d’impression que produisent
heureuse ou malheureuse des organes de ceux qui voient et de ceux qui entendent . (B) Chantre Chantre, s. m. ecclésiastique
Rome en l’an 789, les chantres de sa chapelle qui le suivaient ayant entendu les chantres Romains, trouvèrent leur façon de ch
avoir, deux dessus, et la hautecontre qui leur sert de basse. On fait entendre de temps en temps séparément ce petit chœur, dont
cantatrice ou chanteur étrangers, c’est là qu’on est sûr de les bien entendre . Le nombre de bons instruments dont ce concert es
composition musicale de quelque espèce qu’elle soit, si on n’en a pas entendu l’exécution. C’est de cet ensemble que dépend pri
la haine menace : outre les craintes si naturelles aux amans, Armide entend encore un oracle fatal qui, en redoublant ses ter
e, et on se gardait bien de croire que ses vers pussent être bons. On entendait des chants qu’on trouvait beaux, le chanteur ajou
le réveil est causé par un coup de tonnerre. 5°. Je demande ce qu’on entend par des chants faciles ? La facilité n’est que re
43 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre V. Des Ballets Allégoriques »
iété des couleurs, il lui fut aisé de choisir la plus agréable. Junon entend les vœux de l’Amour, et les remplit. Iris vole pa
44 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Danses de Mlle Svirskaya. »
s du muscle non éduqué qui fait Mlle Svirskaya danser faux quand elle entend juste.
45 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 15 février : La Fête de Vénus — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
et Acteur qui n’a rien de fade, Et son grotesque Playdoyer, Où nous l’ entendons foudroyer Le DOCTEUR qui, par l’ÉMÉTIQUE, A fait
46 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
mprécations sans que personne s’en préoccupât puisque personne ne les entendait . Le soir de ce même jour, Mortier mit ses soulier
que les domestiques n’étaient point dans leur tort. Il ne voulut rien entendre et hurla, les yeux plus ressortis encore que d’ha
vous dise, hurla-t-il, vos Américains ?… Eh bien ! ce sont tous, vous entendez bien, tous des voleurs, des sauvages et des porcs
aperçu de la bonne opinion que les Américains ont d’eux-mêmes, que d’ entendre un Yankee lui dire : — Qu’est-ce que vous êtes ?
, qu’il allait s’acquitter et il partit. Je ne l’ai jamais revu, bien entendu , ni lui, ni ses rubis ! Je crois que dorénavant,
47 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VI. » pp. 40-55
evé ? Je vois le peuple dansant se récrier à cette proposition ; je l’ entends qui me traite d’insensé : mettre des tragédies et
ait point parfaitement la danse, ne peut composer que médiocrement. J’ entends par danse, le sérieux ; il est la base fondamenta
es genres mixtes et corrompus qui en dérivent, à ces jargons que l’on entend à peine et qui varient à proportion que l’on s’él
oins importante dans ceux qui varient et qui se forment en dansant. J’ entends par tableaux fixes tout ce qui fait groupe dans l
ties éteintes, des parties brillantes de feu ; c’est une horreur bien entendue qui doit règner dans le tombeau ; tout doit être
48 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
Il les animait du geste et de la voix : alors la symphonie se faisait entendre et la danse commençait. C’était une espèce de bra
e la force et la tempérance. Si l’on entrait dans les Temples, on n’y entendait que des Chants, on n’y voyait que des Danses : ce
49 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
à Néron, de ma prière. J’ai pour voisins des Barbares dont personne n’ entend la langue, et qui n’ont jamais pu apprendre la mi
nt jamais pu apprendre la mienne. Les gestes de cet homme leur feront entendre mes volontés. Thymèle, du temps de Domitien, fut
50 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
des symphonies expressives, et fort supérieures à celles qu’on avait entendues jusqu’alors. On était encore dans le silence que
athétique si touchant, ou une plaisanterie si agréable, qu’on croyait entendre les actions qu’on voyait. Les gestes seuls supplé
51 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
ant qu’à mon regret extrême, Son langage mignard et doux Ne fut, onc, entendu de nous. Pour le reste, c’est autre chose, Tout
, l’Hymen. Monseigneur le Prince, Alexandre ; Et c’était assez bien l’ entendre Que lui donner ce grand Nom-là, Chacun approuvant
52 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 octobre : Monsieur de Pourceaugnac — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 octobre 1669 »
ms ; On fut charmé des Dialogues, Où, comme dedans les Églogues, On s’ entendait sur les douceurs Que produit le beau Dieu des Cœu
53 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
je lui répondis : — Venez tant que vous voudrez, ma petite chérie ; j’ entends la fée qui murmure à mon oreille qu’elle veut dan
’éteignirent et, dans le silence soudain établi, on put distinctement entendre ces mots venant de la loge royale : — Chut ! tais
avait trompés. L’aînée des petites princesses s’écria de façon à être entendue par tout le monde : — Cette fois, c’est bien la L
54 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
l’entoure ou par le haut rang qu’elle occupe dans la société. J’avais entendu dire qu’elle était la femme qui avait le plus d’i
piration, je m’écriai à voix assez haute pour que tout le monde pût m’ entendre  : — J’ai oublié de vous dire combien notre artist
us tard, à Bruxelles, j’appris que ma danseuse disait à qui voulait l’ entendre qu’elle ne connaissait pas Loïe Fuller…
55 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
rs les gestes sont insignifiants, et le langage qu’ils adoptent n’est entendu que par eux seuls ; cette multiplicité des gestes
s, et par le peuple. Ces gestes de convention, ce langage muet, étoit entendu de toutes les classes de citoyens ; les ombres qu
voudroit-il se soumettre à les fréquenter, à parler sans langue, et à entendre sans oreilles ? Fatigué d’un voyage de six cens l
56 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
récipite ; Créon, après s’être mystérieusement assuré de n’être point entendu , lui confie ses desseins, il trouve dans l’aine d
rojet qui s’accorde si bien avec les intérêts de son cœur. Créon, qui entend du bruit, quitte Creuse avec précipitation, et el
nation décidée ; elle leur sourit agréablement, comme pour leur faire entendre qu’ils doivent se rassurer ; que bien loin de vou
57 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
qui se trouvent dans chaque être particulier ? Dieu a autrefois fait entendre du ciel une voix par laquelle il a dit de Jésus-C
ssions, que ses passions excitoient en lui un bruit qui l’empêchoit d’ entendre la douce voix de la vérité. « Je prêtois pourtant
e, et j’aurois bien voulu me voir près de l’Epoux, et avoir la joie d’ entendre sa voix ; mais les fougues de mon orgueil, qui, e
em seculi.  » Aimons donc à aller, le plus souvent que nous pourrons, entendre dans la lecture de l’Evangile le grand et infaill
us souffrir la saine doctrine, et qu’ayant une extrême démangeaison d’ entendre ce qui les flatte, ils auront recours à une foule
ns puissent être. Vous répondez toujours clairement ; mais on ne vous entend pas toujours avec la même clarté. Chacun vous con
d’yeux ni d’oreilles, quiconque pourroit assister à des danses sans y entendre rien, et sans y rien voir des sottises qui s’y pa
le regardent, et qu’en effet il s’y dit des choses qu’on ne doit pas entendre , et qu’il s’y fait des choses qu’on ne doit pas v
58 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
ons plus de Corneille, de Rabin, de Voltaire et de Crébilion. On doit entendre par costume tout ce qui peut contribuer, par une
truit, et tout, pour ainsi dire, devient antipathique. On peut encore entendre par costume, le caractère, les moeurs, les usages
es ; car elles sont, pour ainsi dire, filles du goût et du costume. J’ entends par convenances l’accord et l’harmonie que toutes
vent avoir partiellement pour former un tout sage et un ensemble bien entendu . C’est cette convenance (trop négligée), qui assi
59 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
tez, nos sens & la raison nous disent assez que la Poésie ne fait entendre aucun événement, que la Peinture ne puisse faire
p; la Sculpture ; car celle-ci n’a rien que la Peinture ne doive bien entendre pour être parfaite : ce que la Sculpture a de plu
ez à quelqu’une de ces Langues, il n’y a qu’une nation qui les puisse entendre  ; & les Peintres ont un langage, lequel, s’il
s de dire, à l’imitation de celui que Dieu donna aux Apôtres, se fait entendre de tous les peuples de la terre. D’ailleurs la Pe
rts, parce qu’ils ont besoin de figures démonstratives pour être bien entendus . Ce n’est que par la perte de ces mêmes figures,
du raisonnement dans la Peinture, comme l’Auditeur dans la Poésie. On entend par le mot de raisonnement, ou la cause & la
& qui en tire des consequences. Si par le mot de raisonnement on entend la cause & la raison par laquelle l’ouvrage f
l’autre en vertu de leurs principes. Si par le mot de raisonnement on entend l’action de l’entendement qui infere une chose pa
i montre dans une corne d’abondance cinq petits enfans, pour donner à entendre que ceux qui naîtront de cette Princesse iront ju
ns du tableau, par les simboles qu’on y voit représentez, en un mot d’ entendre un langage d’esprit qui n’est fait que pour les y
pas véritable, poursuivra-t-on, que la Peinture parle & se fasse entendre par les choses mêmes, mais seulement par l’imitat
60 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — IX »
ingt premières cases de la table de Pythagore. Le rythme, tel qu’on l’ entend communément, est aussi loin du rythme à venir que
61 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
mystères de la cabale. — Tout à coup, au milieu du silence, il croit entendre un vague gémissement. La plainte semble partir d’
is celui-ci, puis celui-là, et, pendant ce jeu de scène, parvient à s’ entendre complètement avec la danseuse. — Enfin, la belle
pectacle va commencer. Le régisseur vient frapper les trois coups. On entend l’orchestre jouer l’ouverture, puis la toile du f
os sont pour sa rivale, — tous ceux des spectateurs imaginaires, bien entendu , car Florinde, c’est Fanny Elssler, et comment su
un personnage que je dois ménager ? » — Comme elle s’efforce de faire entendre raison à l’écolier, on frappe de nouveau à la por
es castagnettes d’ébène. La voilà qui s’élance, les castagnettes font entendre leur babil sonore ; elle semble secouer de ses ma
entrer chez la veuve, Cléofas sent une main se poser sur son bras, et entend une voix qui lui crie dans la langue du ballet :
l agite la sonnette, et la petite langue d’argent n’a pas plutôt fait entendre sa voix, qu’Asmodée, qui avait disparu, jaillit s
62 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
utilement en ce monde, sur l’autorité de Jésus-Christ ; et lorsqu’on entend cet oracle de sa bouche : Heureux ceux qui pleur
penser à chanter ainsi des hymnes à la gloire de Dieu ! Et ce qu’on y entend chanter, peut-il servir à autre chose qu’à le fai
on en seroit d’abord étonné ; mais si, en approchant de plus près, on entendoit ses paroles, et si on pouvoit lire dans le cœur q
énitence. Jésus-Christ explique ainsi lui-même ce qu’il a voulu faire entendre par l’exemple de ce que les enfans se disent les
que la charité et ne défend que la cupidité », comprenons que nous n’ entendons et ne lisons l’Ecriture avec fruit, qu’autant que
63 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63
sent un ballet en action, ou un Drame-ballet-Pantomime.   Ce que l’on entend actuellement par danse et ballet-pantomime, n’exi
t pas étonnant que les gestes qui accompagnoient le dialogue, fussent entendus de tout le monde, j’ai employé la pantomime de la
s, le ciel s’obscurcit, la terre tremble, un bruit souterrain se fait entendre  ; la tombe s’ouvre, l’ombre de Lybas se lève, fai
64 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Nostalgie d’étoile. »
de sa gloire intangible, se retourne vers son passé de danseuse pour entendre les applaudissements d’une salle qu’elle voit. C
65 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 février. Danses de Mlle Ellen Sinding et M. Iril Gadescow. »
théâtre n’a pas de troupe de chant et de danse régulière, mais j’y ai entendu avant la guerre interpréter très heureusement une
66 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « [Conclusion] »
t lui-même un traité de cet amusement. Par la danse, j’avoue que je n’ entends pas simplement cet art mécanique qui consiste à r
urs idées avec tant d’intelligence et de vérité que tout le monde les entendait sans peine. L’histoire nous a transmis les prodig
67 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
aviez parcouru comme moi les principales villes d’Italie, vous auriez entendu à Vénise de simples gondoliers chanter en ramant
usique, des décorations et des ballets : quant aux paroles, on ne les entend point et la plupart de nos chanteurs et de nos ch
68 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29
elui de l’Allemagne. J’ai voyagé 25 ans dans ce vaste empire ; j’y ai entendu d’excellente musique chez les souverains, à leurs
repondrai que ce n’est pas de la musique ; mais qu’en Allemagne on en entend d’excellente dans les mimes et sur les clochers.
69 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VIII. » pp. 56-61
moindre analogie avec ceux qui composent le systême planétaire. J’ai entendu dire que tous les corps qui composent l’univers t
lérité. Tout cela tient au goût, à l’esprit et à un amour-propre bien entendu , qui dit perpétuellement à l’artiste, sois origin
70 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Plan du ballet] »
de la gesticulation. Il nous serait presque impossible de nous faire entendre sans la Musique, et plus elle est appropriée à ce
71 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 25 septembre : Ballet dansé par le roi à Villers-Cotterêts — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 4 octobre 1665 »
Sœur De ce célèbre GOUVERNEUR Montraient aussi dans cette Danse Qu’il entendait bien la cadence. Pour éclaircir ce que je dis, En
72 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iii. sur le même sujet. » pp. 122-128
ge favori, pour adopter un jargon étranger, que le goût et l’esprit n’ entendent pas. Au reste, Monsieur, on ne peut broder sur un
ivent avoir. Tous nos petits faiseurs, qui sont en si grand nombre, n’ entendent rien à tout cela. Ce n’est pas avec des phrases i
73 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
l. James est debout ! Ô bonheur ! Il a senti la lèvre amoureuse, il a entendu le bruit du baiser ! Son front brûle encore ! — M
he vient à passer, si le frôlement de l’aile jalouse vient à se faire entendre , si le regard triste et touché du lutin familier
le se cache dans les fleurs du jardin. — Alors un grand bruit se fait entendre  ; un coup de vent ouvre la fenêtre à demi brisée.
tes domaines, mon amour aérien, rends-moi le foyer d’où je pouvais t’ entendre et te voir, la terre modeste de la cendre que tu
nt de la flamme et de l’air. — Je te nommerai tout bas, personne ne m’ entendra . — Tout ce que je veux, c’est de le savoir là et
74 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
s mois plus tard mon amie me dit que ce soir-là je ne cessai de faire entendre une sorte de gémissement pareil à celui d’un anim
dans mon cabinet, je vais vous la jouer. Là, pour la première fois, j’ entendis cet air qui devait devenir si populaire : Loin du
cain. Il me reconnut et cria mon nom de façon que tout le monde pût l’ entendre , car on avait négligé de le mettre sur le program
is, il lui fit une ovation comme jamais être humain, je crois, n’en a entendu . On criait : « Bravo, bravo, bravo, le papillon !
75 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VI. Des Ballets Moraux »
es soutenue par le temps. Après une ouverture d’un beau caractère, on entendit un grand chœur de Chant et de Danse, qui était co
76 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IV. » pp. 25-31
es pays, de toutes les nations ; que leur langage est universellement entendu , et qu’ils font par-tout une égale sensation. Si
e mes sens au point de me montrer la nature, de la faire parler, de l’ entendre et de lui repondre ; quelle sera ma sensibilité,
77 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IV. Origine de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. »
es du Chant, et les autres de la Danse. C’est là ce langage universel entendu par toutes les Nations et par les animaux même ;
78 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
’un sentiment unanime. Je pense, dit un des plus célèbres, qu’on doit entendre dans tous les Psaumes, par les chœurs, dont ils f
79 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « appendix » pp. 257-258
ns, lisés : malgré ses talens. 87. 13. on n’entendoient, lisés : on n’ entendoit 92. 2. es incapables, lisés : et incapables. 103.
80 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
ent en révérences et à faire aller nos bras de-ci de-là avec des airs entendus , mais dès que nous eûmes fait connaissance nos re
e sympathie entre nous, bien que nous ne puissions pas arriver à nous entendre . Parmi les grands hommes que j’ai approchés, peu
81 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IV. » pp. 47-60
es Pays, de toutes les Nations ; que leur langage est universellement entendu , & qu’ils font par-tout une égale sensation.
e mes sens au point de me montrer la nature, de la faire parler, de l’ entendre & de lui répondre ; quelle sera ma sensibilit
82 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »
le signification, et qu’on la fixe, s’il est possible. Communément on entend par enthousiasme, une espèce de fureur qui s’empa
ettaient réellement hors d’eux-mêmes ceux qui les voyaient ou qui les entendaient  : ajoutez à cette première idée l’enthousiasme fe
Observez que je parle ici de l’âme d’un homme de génie ; parce que j’ entends par le mot génie, l’aptitude naturelle à recevoir
écédentes. Ce n’est là peut-être qu’un des apanages de l’instinct ; j’ entends développer ici un des plus beaux privilégies de l
83 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
s éloquent ! Oui, s’il est prouvé que les gestes suffisent pour faire entendre ce qui se passe dans notre âme, la parole est inu
sonnages font-ils les gestes qu’ils doivent faire » ? Le Sujet est-il entendu  ? Exprime-t-il une action de la vie ? Reconnaîtra
harmonieux, qu’on oublie le plaisir d’aller voir des gens qui se font entendre sans parler, qui découvrent par leurs gestes les
ec la modestie qui me caractérise, que toutes les personnes qui l’ont entendue , en ont été ravies. Les endroits pathétiques ont
84 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
ettres, qui ferait de beaux traits de plume, sans qu’il fût en état d’ entendre ce qu’on lui donnerait à copier, ni d’écrire par
res ; mais ce fameux passage dit nettement que ces Danseurs faisaient entendre tout ce qu’ils voulaient représenter, par des ges
’exposition. Quand on a la faculté de parler, il est aisé de se faire entendre  ; et ces mêmes épisodes amenés avec art, ne refro
85 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre II. De la maniere de bien marcher. » pp. 4-8
ant de passer le pied devant, ou en arriere, & de côté ; ce qui s’ entend d’un pied comme de l’autre, quant à la maniere de
86 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
un d’eux soit flatté, Comme on les tient, en cas de danse, Des mieux entendus de la France, Chacun d’eux, en ce beau Talent, Pa
87 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
elle fait un geste ; soudain une musique tendre et mélodieuse se fait entendre derrière les bosquets. Les sultanes déploient à l
s conseils les plus horribles ; lui présente un poignard, et lui fait entendre que le même coup doit frapper l’inconstant et sa
88 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VII. Principes Physiques du vice de l’Exécution primitive de l’Opéra Français. »
nnaissance de l’art. Quinault ne fit qu’une faute qu’une modestie mal entendue lui suggéra, dont ses ennemis se prévalurent, qui
89 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
, ma mère et moi, une maison située au milieu d’un jardin. Un jour, j’ entendis une musique pleine d’entrain et qui venait de la
din, derrière la maison, pour que ma mère, qui était paralysée, pût l’ entendre . Ils consentirent de très bon cœur. Je les fis as
pondit-il. Je frotte une allumette et, par les craquements du bois, j’ entends si le feu a pris. — Comment nettoyez-vous vos lég
90 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
anseur, pirouetta, cabriola ; la belle resta muette. A… parut, il fit entendre l’amoureux langage de Lubin, et la déesse fut pri
urez pas : je vous prendrais au mot. — Ciel ! grand Dieu ! ai-je bien entendu  ? De grâce, parlez ! — Vous le voulez ? — Je vous
lée et agitée, ne lui donnait pas le bonheur. » Un matin, des voisins entendirent des gémissements étouffés sortir de son apparteme
— Hé ! sacrebleu ! répliqua-t-il de telle façon que toute la salle l’ entendit , vous devez pourtant bien les connaître, père Dum
ce Paris qu’on n’oublie jamais et qu’on regrette toujours. Elle avait entendu vanter les heureuses dispositions de la toute jeu
ans le Monde illustré, par M. Jules Lecomte. Le spirituel chroniqueur entend -il parler des cadeaux que l’on fait ou de ceux qu
de blanches draperies et de fleurs virginales, il me souvient d’avoir entendu un rat du dernier quadrille murmurer dans un gros
91 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
e moins, je vous demande un peu ce que ça peut faire à Duponchel ! On entend par vols, au théâtre, ces suspensions dans le vid
ademoiselle Taglioni, qui ne parla que cette fois, — au théâtre, bien entendu , — s’avança sur le bord de la rampe, et, d’une vo
billets de… loterie. — Départ pour l’Amérique. — Comment les Yankees entendent l’enthousiasme. En 1834, M. Véron fit un voyage
e Avec tes léopards enivrés de raisin, Haletante d’amour et joyeuse d’ entendre Ta cymbale argentine aux échos du ravin ; Catalan
Peletier s’évanouissaient à vue de nez. Il fallait, dit M. de Boigne, entendre la jeune femme raconter quelle vie de galères ell
tout Paris. Tout Paris, en effet, se précipita à la Renaissance pour entendre , pour applaudir madame Perrot dans les Zingari, o
e des Fées. Elle céda la place à Fanny Cerrito, en 1857. Il est bien entendu que, depuis plusieurs années, elle était séparée
92 (1936) Philosophie de la danse
moyen souverain d’expression et d’invention, il faut vous résigner à entendre quelques propositions que va, devant vous, risque
ntiels à la conservation de la vie. Nous voyons trop de choses ; nous entendons trop de choses dont nous ne faisons rien ni ne po
ipline sévère, à des exercices sans fin ? Je vous rappelle que vous n’ entendez rien. Vous ne faites que voir ces mains qui vont
ce ballet est réglé, déterminé… Observons, en passant, que si vous n’ entendez rien et si vous ignorez le morceau qui se joue, v
93 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
oles des deux païens que je viens de citer : « Je me souviens d’avoir entendu dire que quelques personnes arrivées depuis peu e
94 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
in se faisait généralement sentir. — Première leçon : Qu’est-ce qu’on entend par ces mots : faire la cour ? — Définition. — La
pourraient en dire autant ? MANUEL DES AMOUREUX D. Qu’est-ce que vous entendez par ces mots : Faire la cour ? R. Faire la cour s
95 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
e M. Vaucorbeil, et, de ce dernier, à MM. Ritt et Gailhard, jamais, —  entendez -vous, jamais, — l’Opéra ne nous a exhibé les SIX
osser, qu’il est urgent de les remplacer fréquemment. Chaque jour, on entend les habilleuses et les régisseurs crier : — Madem
96 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre II. Division de la Danse Théâtrale »
le. Dans l’enchantement d’Amadis par la fausse Oriane, il a été mieux entendu , et cette action épisodique paraîtra toujours, lo
97 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 décembre « Le Festin de l’araignée ». »
ainte autre n’a pas été utilisée du tout. Distinctement, parfois nous entendions danser, mais nous n’apercevions rien sur la scène
98 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXIX. Des Coupez de differentes manieres. » pp. 133-138
oi en touchant le parquet ou plancher très-legerement ; ce qui doit s’ entendre que ce pas est plus lent que si l’on portoit le p
99 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
, Avec ses nobles Combattants, Surprit fort tous les Assistants. On n’ entendait point de Musettes, Mais des Tambours et des tromp
100 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
la première danseuse en France qui l’ait passé au théâtre à six. J’ai entendu dans les commencements de grands murmures sur l’a
le geste est et sera toujours le langage de toutes les nations : on l’ entend dans tous les climats ; la nature, à quelques mod
les spectateurs, formaient de si grands éloignements, qu’on n’aurait entendu la voix ni distingué aucun des traits du visage,
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