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1 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
illants, mais toujours malins et fantasques, qui habitent le fond des eaux . Les chaumières de Franconie et de Souabe, situé
circonstancié et le plus minutieux ; les annales de ces citoyens des eaux sont tour à tour grotesques, tragiques et élégiaq
e, de l’attraction dont on ne peut triompher. L’éclat fascinateur des eaux profondes, et le rayon lointain du sable qui fris
u’ils peuvent en avoir. Quant aux malheureux qui se noient dans leurs eaux , ils ne les lâchent jamais ; peut-être nos lecteu
il Ondin au nez crochu et à la barbe rousse, levant la tête hors de l’ eau , mesurait des aunes de ruban pour les leur jeter,
après l’autre ; les âmes des noyés se hâtèrent de remonter hors de l’ eau sous la forme de bulles d’air. L’Ondin se courrou
, qui essayait de le détourner, il se hasarda, et pénétra au fond des eaux . — « Si les choses vont bien, dit-elle au batelie
telier, resté sur la rive, vit jaillir un filet de sang de la nappe d’ eau , preuve évidente que l’audacieux n’avait pas été
u’il n’a rien de mieux à faire que de jeter son filet dans les belles eaux de la rivière voisine. Il s’assied, charmé de la
du festin de noce, il voit s’élever lentement, doucement, du sein des eaux , encadrée dans une conque immense et chatoyante d
sse, et lentement, gracieusement, elle tombe et disparaît au sein des eaux brillantes, faisant signe à Mattéo de la suivre.
érésa, il est sombre, préoccupé, distrait : la vision de la fille des eaux le harcèle et le poursuit. Quel peut être le suje
cabane en s’entrouvrant donne passage à l’Ondine. La légère fille des eaux circule, pareille à ces demoiselles ailées dont l
des mortels ; cette douce et murmurante harmonie, c’est le bruit des eaux qui tombent en cascade, et le frémissement des so
elle on voit s’élever tout à coup les formes gracieuses de la fée des eaux . C’est elle que Mat‌téo revoit, elle qui, lorsque
e se lève derrière les montagnes, et baigne son disque blanc dans les eaux du lac. La danse cesse, tous les villageois se re
fait avancer lentement la chaloupe, et Giannina, le regard fixé sur l’ eau limpide, aperçoit vaguement sous les ondes des êt
cre ; elle tend les bras à ces images décevantes, et au moment où les eaux l’engloutissent, Ondine elle-même sort doucement
rie, et vous languissez comme elle ! » Conseils inutiles ! la fée des eaux , heureuse de son destin, veut le subir tout entie
ffeuillent ; toute sa beauté pâlit et languit. Mais la souveraine des eaux souffrira-t-elle que sa propre fille périsse ains
septentrional. Coleridge, Tieck et Goethe admiraient cette goutte des eaux de la Baltique, perle magique qui, sous un autre
2 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194
, chap. 36. Solin dit aussi qu’en Sicile il y a une fontaine dont les eaux se meuvent au son de la flute, & bouillonnent
’avoir fait avec un bon joueur de flute, en faisant mettre un sceau d’ eau de fontaine dans une grande terrine, exposée au S
e terrine, exposée au Soleil pendant deux ou trois heures, afin que l’ eau soit bien reposée : alors le fluteur s’assit aupr
endrement qu’il est possible, pour trouver le ton qui peut émouvoir l’ eau , ce qu’il fit en un quart-d’heure ; & la voya
p; la voyant émue, il prit l’essort sur sa flute, en fit danser cette eau aussi long-tems qu’il voulut, comme si cette eau
en fit danser cette eau aussi long-tems qu’il voulut, comme si cette eau avoit été poussée par de petits tuyaux, pour la f
poussée par de petits tuyaux, pour la faire rejaillir. Mais comme les eaux des fontaines sont de differente nature, le ton q
de flute des Operas de Lully, qui émeuvent la nature ; & quand l’ eau est bien agitée, elle danse au son des Menuets, d
3 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182
Les Divinités de l’Enfer. Les Divinités de la Mer. Les Divinités des eaux . Sylphes et Sylphydes. Héros et Héroïnes. Les Jeu
ierres précieuses ; les entre-colonnes sont ornées de fontaines ; les eaux des unes sont jaillissantes et celles des autres
ette conque marine, est environnée de Tritons, qui fôlatrent dans les eaux , en jouant avec leurs trompes, tandis que les roc
restres, ceux de la gauche sont bientôt occupés par les Divinités des eaux  ; de leurs urnes sortent avec abondance des sourc
plaudissent au bonheur des deux époux. Les Divinités de la terre, des eaux et de l’air se réunissent aux Jeux, aux Ris et au
4 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 janvier : Les Amours de Jupiter et de Sémélé — La Muse de la Cour à son Éminence Monseigneur le Prince Orsini d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, dixième semaine, lettre du 18 janvier 1666 »
furent à son gré superbes et divines Dans ses Vols, ses Rochers, ses Eaux et ses Palais. Les Acteurs s’étaient mis en fra
5 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 30 janvier 1667 »
ERSAILLES, L’on fut encor faire gogailles75. Là, par le mouvement des Eaux Qui en divers Tuyaux, On entendit une belle Orgue
6 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
ras les voyageurs dans la ronde fatale, et tu les précipiteras dans l’ eau glaciale du lac tout haletants et tout ruisselant
us craignons pour toi une fluxion de poitrine ou un bain glacé dans l’ eau du lac. La toile se relève et laisse voir une de
urs racines noueuses vont plonger comme des serpents altérés dans une eau dormante et noire sur laquelle s’étalent visqueus
que descendent les hordes de daims et de cerfs pour se désaltérer à l’ eau de l’étang. Ce parfum faible et doux n’est pas ce
sa part, et elles sont dix, elles sont vingt, elles sont trente. À l’ eau , Hilarion ! Tu es fatigué, tes pieds traînent ; u
es mains d’ombres poussent ce gros corps massif du haut de la rive. L’ eau clapote, bouillonne ; deux ou trois cercles s’éte
 ; Albrecht pâlit, sa respiration devient courte, il va tomber dans l’ eau perfide ! quand une cloche lointaine se met à son
sent mystérieusement sur les notes argentées de la musique et sur les eaux du lac les plus transparentes qu’ait jamais peint
7 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — Avril (2ème moitié) : La Grotte de Versailles ou L’Églogue de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 28 avril 1668 »
este, Dans cet Éden presque céleste, Où l’Air, le Ciel, la Terre et l’ Eau , Lorsqu’on y fait royal Cadeau, Montrent, pour le
8 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 6 septembre : Le Gentilhomme de Beauce — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 13 septembre 1670 »
Vases d’or, de Porcelaines, Et, bref, d’argentines Fontaines, Dont l’ eau tombaient, sans aucun bruit, Dans un Bassin, expr
9 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
représente le Soleil. Flore doit remplir la deuxième, Les Nymphes des eaux , la troisième. La quatrième, le Printemps, Avec l
10 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 24 janvier 1671 »
des Atours fort gracieux, Avec ses Nymphes, & les Dieux Tant des Eaux , que des Jardinages, Qui, pour Valets de Pied, &a
ts de Pied, & Pages, Ont des Dryades, des Sylvains, Des Fleuves d’ Eau douce, & Marins, Et le reste de leur Séquelle
11 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
Claudin. — Causerie intime. — Rigolo, terme espagnol. — Les fêtes à l’ eau de Cologne. — Le soleil. — Transformation des Rus
sanglots dans la voix, j’agrémente mes salons de fleurs. Je mets de l’ eau de Cologne partout, j’ai des gants et je succombe
al ? — Samedi prochain. — Les mardis et les samedis grandes fêtes à l’ eau de Cologne… Vous avez vu comme c’était bien compo
12 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre V. Des Ballets Allégoriques »
es chants à se répandre sur les Astres, le Ciel, l’Air, la Terre et l’ Eau , afin qu’en leur donnant mille beautés différente
13 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
chambres. Là, nombreux, rangés le long des murs, des seaux remplis d’ eau lui apparurent. — Encore des crachoirs ? s’écria
lectrique de sa chambre. Un garçon apparut, qui lui apporta un broc d’ eau glacée. Croyant à une mauvaise plaisanterie, Mort
senta. Le sommelier expliqua à Mortier qu’une sonnerie réclamait de l’ eau glacée et trois sonneries, des boissons. On avait
nglais. Et le sommelier fit ce qu’avait fait, avant lui, le porteur d’ eau glacée : flegmatique, il s’en fut. Pierre Mortier
r pousser les hideux mélanges qu’ils fabriquent, ils ingurgitent de l’ eau glacée et mâchonnent sans arrêt des olives comme
14 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
ètre. De cet entonnoir s’élevoit à la hauteur de douze pieds un jet d’ eau , et du pourtour de cet entonnoir sortoient huit a
de cet entonnoir sortoient huit autres jets, qui en tombant dans les eaux brillantes du bassin formoient une espèce de cloc
ement rapide, et continu. Ils étoient composés de gaze argentée, et l’ eau étoit imitée de manière à faire illusion. C’est v
le ne l’étoit, si j’ose le dire, qu’à la superficie ; semblable à ces eaux brillantes et limpides qui dans les beaux jours d
15 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre V. Des Bals Masqués »
une Nantouillet ne se sauva qu’en se plongeant dans une cuve pleine d’ eau , qu’un heureux hasard lui fit rencontrer. Mais le
16 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre I. Renaissance des Arts »
ns les entrailles de la Terre. La Grèce est pour jamais privée de ses eaux fécondes, il s’est frayé une Route nouvelle vers
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 10 mai 1664 »
es ces délices Par des Feux, par des artifices Allumés sur de claires eaux , Si radieux et si nouveaux, Que si les bruits son
18 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211
amp; que les Nymphes sont composées des parties les plus déliées de l’ eau  ; les Salamandres sont formées par l’action du fe
amp; Diodore, des effets merveilleux ; & de la fontaine appelée l’ Eau du Soleil, qui se trouva près de ce Temple, dont
ne appelée l’Eau du Soleil, qui se trouva près de ce Temple, dont les eaux sont tiédes le matin, froides à midi, & toujo
19 (1908) Quinze ans de ma vie « Préface » pp. -
Je vis une dame américaine aux traits menus, aux yeux bleus comme les eaux où se mire un ciel pâle, un peu grasse, placide,
20 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
lennelles, car ce beau Char triomphant, devait être tiré par-dessus l’ eau , par d’autres bateaux déguisés en Chevaux Marins,
at. Il les trouble et les calme. Une branche de Corail sortant de l’ eau était gravée sur la Médaille que Madame de l’Arch
21 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
x, une cheminée abondamment fournie de bois de chauffage. On y a de l’ eau chaude et de l’eau froide à volonté. Elles sont,
ndamment fournie de bois de chauffage. On y a de l’eau chaude et de l’ eau froide à volonté. Elles sont, en outre, flanquée
hôtel des Ventes pour trente mille écus de brillants de la plus belle eau . Ce qui prouve, avec le proverbe, que : Les peti
22 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
llez messieurs, continua-t-il, il n’appartient qu’à Dieu de changer l’ eau en vin. Feu M. Turgot aurait fait l’équivalent d
23 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
Ce jour-là une épaisse couche de glace recouvrait les carreaux, et l’ eau gelait dans les cruches à deux mètres du fameux p
24 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre V. Sur le même sujet. » pp. 30-34
nt leur industrie, leurs connoissances et leurs talens. Ce sont leurs eaux salutaires qui développèrent la pensée, firent ge
25 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
ance formeroit une cour assez spacieuse pour y construire une pièce d’ eau de trois toises en tous sens et de six pieds de p
pieds de profondeur ce qui produiroit un total de 1944 pieds cubes d’ eau . Par le moyen des conduits, qui y aboutiroient, e
us et fourniroit encore abondamment, au moyen des pompes foulantes, l’ eau nécessaire aux deux réservoirs placés dans les en
s qui détruisent communément tous les théâtres, une grande quantité d’ eau  ; je la conduirois aisément partout où il en faud
ompes, ainsi que l’inspection des réservoirs dont on renouvelleroit l’ eau au moins tous les mois. Je proposerois encore une
26 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
olennelle ; car ce beau char triomphant devait être tiré par-dessus l’ eau par d’autres bateaux déguisés en chevaux marins,
dat ; Il les trouble et les calme. Une branche de corail sortant de l’ eau , était gravée sur la médaille que madame de l’Arc
r des figures singulières ; les autres tombant comme épuisés dans les eaux , y reprenaient une nouvelle force, et y formaient
brillante et galante fête, et semblait sortir du sein des feux et des eaux . On ne s’aperçut point de la fuite du jour ; la n
mps un combat de plusieurs dragons commença sur la Seine, et le feu d’ eau couvrit presque toute la surface de la rivière. A
de l’éperon. Quatre grands bateaux servant de magasin à l’artifice d’ eau , étaient amarrés près des arches du Pont-Neuf, au
onsidérable de gerbes à jeter à la main, et de soleils tournant sur l’ eau . La fin des cascades fut le signal de la grande g
chevaux, pour se rendre sur le port de Bordeaux, et y voir mettre à l’ eau un vaisseau percé pour 22 canons, du port d’envir
adame la Dauphine lui donna son nom, et sur le champ il fut lancé à l’ eau . Madame la Dauphine, après avoir admiré quelque t
de Garonne et Dordogne, se réunissent, et où commence la Gironde ; l’ eau était très calme, Madame la Dauphine alla sur la
charme des plaisirs champêtres était le sujet. On peut juger que les eaux admirables de tous ces jolis bosquets jouèrent pe
en la peine de tant dépenser en lumières, pour ne faire voir que de l’ eau . Un gascon qui passa d’un autre côté, dit : hé !
pieds, ayant chacun 82 pieds d’élévation au-dessus de la surface de l’ eau , et des deux grands bateaux sur lesquels tout l’é
es, des plantes et des arbustes, des cascades, des nappes et chutes d’ eau imitées par des gazes d’argent, des antres, des c
des antres, des cavernes, etc. Il y avait tout au pourtour, à fleur d’ eau , des sirènes, des tritons, des néréides, et autre
ne distance, au-dessus et au-dessous des rochers, on voyait à fleur d’ eau deux parterres de lumières qui occupaient chacun
c’était la rivière de Seine avec un coq. On voyait sur l’urne, d’où l’ eau du fleuve paraissait sortir en gaze d’argent, ces
eux monts régnaient six plates-bandes sur deux lignes aussi à fleur d’ eau , ornées et décorées dans le même goût des parterr
vit sortir une grande quantité de serpenteaux, de grenades, ballons d’ eau , et autres artifices qui plongeaient dans la rivi
27 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448
avec peu d’inflexions. Cela coule dans l’oreille comme le bruit d’une eau qui court dans l’herbe discrètement. Enfin il a,
28 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215
ne des parties du Sérail ; un péristile orné de cascades et de jets d’ eau , forme l’avant-scène. Le fond du théatre une colo
uronnés de guirlandes de Fleurs, et enrichis de groupes, et de jets d’ eau . Le morceau le plus éloigné qui termine la décora
ire à leur maître. Aux charmes d’une musique tendre et du murmure des eaux , succède un air fier et marqué, dansé par des mue
29 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434
es parties du Serrail ; un Péristile orné de cascades & de jets d’ eau forme l’avant-Scene. Le fond du Théatre offre une
s de guirlandes de fleurs, & enrichis de grouppes & de jets d’ eau . Le morceau le plus éloigné & qui termine la
à leur maître. Aux charmes d’une Musique tendre & du murmure des eaux , succede un air fier & marqué dansé par des M
30 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
d’une mère marâtre qui me battait, me nourrissait au pain noir et à l’ eau sale, qui me faisait travailler vingt-trois heure
31 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iii. sur le même sujet. » pp. 122-128
, de devises et d’emblêmes, les feux d’artifice en action, les feux d’ eau , le simulacre d’un combat naval ? etc. etc. que d
32 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
L’avanture du jeune Boreus aussi beau qu’Adonis, qui en puisant de l’ eau à une fontaine, disparut & fut enlevé par les
lémens. Les moyens de parvenir. Balet des Néréïdes, représenté dans l’ eau . Le triomphe d’amour sur la guerre. Le mariage fo
la prie de se répandre sur les Astres, sur le Ciel, sur l’air, sur l’ eau , sur la terre, & généralement sur toutes chos
33 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
sique de la chambre du Roi. Lorsque Louis XIV donnait des fêtes sur l’ eau , il disait, avant qu’on commençât le concert : je
34 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
ce qui faisait sa joie : c’était un bassin d’où jaillissait un jet d’ eau , autour duquel voltigeaient de nombreuses tourter
35 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
n tel espace. Le public, qui se trouvait de l’autre côté des pièces d’ eau , ne devait certainement pas l’entendre. La premiè
36 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108
à regagner le rivage. Scène II. Les Nayades sortent du sein des eaux et se frayent un passage à travers les roseaux. D
37 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
tes qui ont chanté leurs victoires, quittent les monts fleuris et les eaux argentés qui en découlent. Orphée bientôt se trou
38 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
, au milieu des quels est placé un bassin orné de jets et de nappes d’ eau . Une partie des femmes du Sérail sont grouppées s
39 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
en murmurant dans des bassins rustiques ; des cygnes nagent sur leurs eaux transparentes : sur les côtés on voit les statues
détournant les yeux, elle considère deux cygnes qui folâtrent sur les eaux d’un bassin rustique ; elle apperçoit sur un autr
40 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
es au plus tard elle devait commencer. Je la trouvai les pieds dans l’ eau chaude, en train d’onduler très lentement ses che
41 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
entôt on la voit paraître vêtue en Duchesse. Un laquais, un porteur d’ eau , un décroteur se présentent ensuite : au moyen de
42 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
Mémoire, leur dit : Messieurs, il n’appartient qu’à Dieu de changer l’ eau en vin ; cherchez quelque autre fonds, qui ne soi
es sortes de vins, & l’autre de toutes sortes de liqueurs & d’ eaux rafraichissantes : les buffets étoient séparez pa
43 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
e toutes sortes de Vins, et l’autre de toutes sortes de Liqueurs et d’ Eau rafraîchissantes. Les Buffets étaient séparés par
44 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
avec sa corbeille de verdure appauvrie et gémissante, son petit jet d’ eau pleuraicheur et son encadrement formé par les arc
45 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
s prendra sur ses nerveuses épaules, il vous plongera dans les belles eaux des fleuves où il vous fera courir comme de svelt
r la frontière du suicide. Heureusement la Providence ou un porteur d’ eau arrive toujours à temps pour éteindre le charbon.
auve, les jujubes sont ses projectiles d’attaque. L’été, il fait de l’ eau de bluets contre les taches de rousseur. L’Arthur
ur pharmacien entretient le père et la mère de la Lorette de poudre d’ eau de Seltz. Cette poudre jouit du double avantage d
é, il y a des Lorettes qui ont dû jusqu’à 200 francs à leur porteur d’ eau . Arrivons au budget. Passons en revue chaque a
46 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
ez ; le jeune Nantouillet s’avisa de se jetter dans une cuve pleine d’ eau , qui le garantit de l’incendie. Les Parisiens, di
47 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
es, le crépitement de la pluie sur les feuilles, tous les bruits de l’ eau tranquille et de la mer furieuse, l’apaisement de
48 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
e, à des modulations plus simples, et plus naturelles. Le murmure des eaux , le mugissement de la mer, le bruit des feuillage
49 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIII. » pp. 122-133
des allées, de petites collines, des bancs placés par la nature, des eaux tombant de terreins inégaux. Tout cela ne peut s’
50 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
ue spectacle, s’écria la divine Fanny, en voyant le bateau fendre les eaux  ! Quelle poésie et quels nobles hommes ! » Le lie
haises dont l’une rembourrée, et d’une fontaine constamment pourvue d’ eau fraîche. Les tuyaux d’un calorifère à basse press
nt lorsqu’on promène un doigt mouillé sur le bord d’un verre rempli d’ eau . « C’est un crissement bizarre, qui se rapproche
51 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
alle que Philippe IV avait fait élever au milieu de la grande pièce d’ eau du Buen Retiro ? Mais qu’importe après tout si la
pas commode de se noyer dans une rivière qu’on arrose l’été avec de l’ eau de puits. — Bellaspada, pour comble de honte, voy
52 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
farfadets les bords des grands lacs, qui font courir à la surface des eaux et disparaître dans les brumes ces essaims légers
u monde, Un palais de cristal sous l’onde79, Sylphide de l’air et des eaux . *** Auber, l’harmonieux poète, Te guide, l’orc
53 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
re-Seigneur ne dansa pas aux noces de Cana, du-moins y convertit-il l’ eau en vin, pour témoigner sa reconnoissance à la mar
54 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
et d’une mère, un seul de leurs enfans tomboit dans le feu ou dans l’ eau , et s’il y périssoit, tout le monde ne se réuniro
55 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
nissent ces demoiselles de l’Opéra ? Il y en a qui se jettent & l’ eau , comme mademoiselle Mazé, laquelle ne devint célè
56 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
de du repos, l’ennui la prit, un ennui sombre, implacable, mortel ! L’ eau du lac avait beau être de l’azur le plus pur et l
urmandes, ni coquettes… Pendant le dîner, elles n’avaient bu que de l’ eau … Au dessert, elles ne choisirent sur le plateau q
57 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »
s, les rivières des plaines se mêlent à leur cours, grossissent leurs eaux , ne font qu’un seul tout avec elles : ce n’est pl
58 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
; représente si bien toutes les choses qui sont sur la terre, sur les eaux , & dans les airs, que nous les croyons vérita
plume des Auteurs a rendue si célébre, seroit encore dans le fond des eaux , si le pinceau d’Appellès ne l’avoit fait connoît
59 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
reuses ; c’est fête partout, dans les arbres, sous les arbres, dans l’ eau limpide ; nul ne dirait que, tout à l’heure encor
60 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
erre Alors qu’un jeune bras la lance en tournoyant : Elle effleure9 l’ eau , glisse, et court en sautillant. Telle qu’une
la fable employer la figure ; De chasser les Tritons de l’empire des eaux  ; D’ôter à Pan sa flûte, aux Parques leurs ciseau
a magique et riante peinture. Maintenez les Tritons dans l’empire des eaux  ; Laissez à Pan sa flûte, aux Parques leurs cisea
61 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
s chants à se répandre sur les astres, le ciel, l’air, la terre, et l’ eau , afin qu’en leur donnant par la variété des coule
62 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
es pleurs », disait-il en montrant le plancher tout humide. C’était l’ eau que Louise avait répandue avec son petit arrosoir
63 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180
ui qui a combiné mal-adroitement, et qui se voit prêt à tomber dans l’ eau , pour n’avoir pas sauté deux pouces plus loin, ne
64 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361
qui a combiné mal-adroitement & qui se voit prêt à tomber dans l’ eau pour n’avoir pas sauté deux pouces plus loin, ne
65 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
la tempête, plusieurs Tritons et plusieurs Naïades folatrent dans les eaux  ; un vaisseau richement orné paroit sur la mer2.
66 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
tempête, plusieurs Tritons & plusieurs Naïades folâtrent dans les eaux  ; un vaisseau richement orné paroît sur la Mer.12
67 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
au Au-dessus d’un bain de siège, O Barège, Plein jusqu’au bord de ton eau . Et comme Io, pâle et nue Sous la nue, Fuyait un
68 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
détournant les yeux, elle considère deux cignes qui folâtrent sur les eaux d’un bassin rustique ; elle appercoit sur un autr
69 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
uit : le chaud, le froid ; l’abstinence et son contraire ; l’air et l’ eau  ; le repos et le mouvement. C’est tout. SOCRATE M
70 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
le corriger, du moins de l’atténuer, par toutes sortes de parfums, d’ eaux de senteur et d’onguents… A un bal des Tuileries,
71 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
ble, fuyant entre les mains comme les vagues, ses sœurs. La fille des eaux , Fleur-des-Champs, sortie d’une touffe de myosoti
72 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
ir par les vents, l’agitation des feuilles des arbres, le murmure des eaux , servirent de modèle pour régler les différents t
73 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
touchées, d’une jeunesse plus belle. Et tu frôlais gracieusement les eaux de l’éclair de tes pas légers, célestes. « … Et
74 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
présentes13. » Gentz essayait de réparer ses forces en recourant aux eaux thermales. Ischl et Gastein lui furent plus d’une
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