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1 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
n où un billet vint me la rappeler. J’avais négligé de demander à mon directeur la permission de paraître à cette soirée, ne pens
tions existant entre la direction du Madison et moi. L’associé de mon directeur m’avait demandé, comme une véritable faveur, de v
le soir même au théâtre allemand au bénéfice d’une actrice malade. Le directeur y consentit. Au théâtre allemand on avait engagé
oment ce fut pour moi une véritable hantise : danser à Paris. Puis le directeur du théâtre allemand me proposa une tournée à l’ét
écision. Quelques jours après eut lieu le fameux bal que l’associé du directeur de Madison Square Theater m’avait prié d’ouvrir.
is où j’avais été ? Un seul journal devait parler de la soirée et mon directeur supposait probablement qu’il ne me tomberait jama
u’il fut mis en prison. « Tout le monde blâme l’article », me dit mon directeur , lorsque je lui fis reproche de m’avoir entraînée
e m’en offrir cinq cents. Je n’en décidai pas moins de signer avec le directeur du théâtre allemand de New-York un contrat qui m’
n premier pas dans un nouveau monde. Nous abondâmes en Allemagne. Mon directeur vint à notre rencontre et nous emmena à Berlin. M
otre vie. Mais j’étais désemparée et sans courage. Après un mois, mon directeur allemand m’informa qu’il ne désirait pas continue
de amie, et qui lui fit les plus sanglants reproches à mon sujet. Le directeur quitta Berlin avec sa troupe, après avoir ramassé
pour nous aider. Un agent théâtral, alors inconnu, et qui est devenu directeur de théâtre depuis, M. Marten Stein, vint me voir
2 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
iai mon agent, M. Marten Stein de se rendre auprès de M. Gailhard, le directeur de l’Académie nationale de musique et de chorégra
ies-Bergère, car je savais que mon agent, de son côté, avait écrit au directeur de ce grand music-hall. En route j’expliquai à Ma
l’avis qu’il m’avait précédemment exposé et que j’allais demander au directeur des Folies-Bergère de m’engager. Qu’on imagine ma
s dans le théâtre. Je dis l’objet do ma visite. Je demandai à voir le directeur . On me répondit que je pourrais être reçue seulem
uffisance. Après la représentation, lorsque nous fûmes en présence du directeur  — c’était alors M. Marchand — je ne lui cachai ri
core mes danses. Mais mon impresario m’engagea tellement à montrer au directeur ce que mes danses étaient, comparées surtout à ce
on, et pour éclairage je n’avais que la rampe. Lorsque j’eus fini, le directeur me fit venir dans son cabinet et me proposa de m’
s tard. Après que j’eus dansé deux fois sous le nom de ma doublure le directeur des Folies-Bergère m’emmena au Figaro. Je pensai
ais pas débuter sans ma dernière danse, mais, devant la menace de mon directeur de déchirer notre contrat si je persistais, je fi
ndre la musique qui préludait pour le n° 5. Le rideau, sur l’ordre du directeur , qui était dans le manteau d’arlequin, se releva,
succès, j’étais à bout, complètement à bout de forces. Je regardai le directeur . Je demandai : — Et la dernière ? — Oh ! nous n’e
3 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIII. » pp. 73-76
ment protégés par le feu Prince de Conti et de Soubise, furent nommés directeurs en 1770. Ils étoient musiciens et agréables compo
ce, et généralement pour tout ce qui portoit l’empreinte du beau. Ces directeurs , prévenus sans doute à l’avance de leurs nominati
mécontentemens et des cabales sourdes et intestines. Le choix de ces directeurs n’a pas toujours été heureux. Dans la maladie inv
étérée qui travailloit ce grand corps, on crut devoir lui donner pour directeur un médecin. Mais il n’en est par de cette grande
s cesse ce corps vicieux et mal constitué. Le Sr. de Vismes fut nommé directeur de l’opéra. Il étoit Commis-principal à la ferme
tenoient que 3000 liv. de retraite. C’est bien le cas de dire, que ce directeur fut payé et recompensé en raison inverse de ce qu
4 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
ù nous avions donné triomphalement Quack, docteur médecin, et que les directeurs de New-York ignoraient si complètement, fit un ar
e d’actrice ou de chanteuse, je les avais eus tous plus ou moins pour directeurs . Je n’étais pourtant guère préparée à la réceptio
ne pouvait me nuire davantage que d’essayer de devenir danseuse. Un directeur alla jusqu’à me dire que deux ans d’absence de Ne
que j’étais jeune aujourd’hui. » N’y tenant plus, je dis ma pensée au directeur . — Du diable, répondit-il, ce n’est pas l’âge qui
du monde qui est devant lui. Mais je reviens à mes tribulations. Un directeur , qui, autrefois, avait fait de son mieux pour m’e
airait la scène complètement vide. Dans la salle également sombre, le directeur , installé dans un fauteuil d’orchestre, nous rega
edonnai un air et me mis à danser très doucement dans la pénombre. Le directeur se rapprocha, se rapprocha encore, puis finit par
me laissai tomber, — masse palpitante de soie légère, — aux pieds du directeur . Puis je me relevai et attendis, dans la plus gra
uelques semaines en province avant de revenir à New-York. Mon nouveau directeur m’offrit, pour cette tournée, un engagement de ci
lle part mon nom n’était mentionné. J’allai au théâtre et rappelai au directeur que j’avais accepté le cachet trop modeste qu’il
et consultai mes amies. Elles me conseillèrent d’aller voir un autre directeur et si j’obtenais un engagement, de quitter tout s
et j’étais tout en larmes lorsque j’y arrivai. Je demandai à voir le directeur et lui racontai mon histoire. Il m’offrit cent ci
ris que mes six semaines de voyage avaient été mises à profit par mon directeur et une des choristes pour préparer cette jolie ch
t de là. Le lendemain, lorsque j’allai signer mon nouveau contrat, le directeur me reçut assez froidement. Il ne voulait plus sig
5 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
us fait, pour la première fois, mon apparition aux Folies-Bergère, un directeur russe, d’accord en cela avec mon directeur parisi
ion aux Folies-Bergère, un directeur russe, d’accord en cela avec mon directeur parisien, M. Marchand, demanda à m’engager, et je
te suivrai demain matin. Mais je ne voulus pas la quitter ainsi. Le directeur des Folies-Bergère, qui avait servi d’intermédiai
irecteur des Folies-Bergère, qui avait servi d’intermédiaire entre le directeur russe et moi, était venu à la gare pour me dire a
écouvrirent que je n’étais plus là, il y eut un autre beau tapage. Le directeur russe télégraphia à Paris, et je ne pus garder mo
achets et souvent nous eûmes à peine de quoi manger. Sans la femme du directeur , qui, parfois, nous envoyait des vivres dans un p
ar un enchaînement de circonstances et je ne veux blâmer personne. Le directeur du théâtre m’avait donné cet appartement et l’ava
6 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
ne façon ou d’une autre il faut que je la voie. Je vais aller chez le directeur de son théâtre. — Mais il ne voudra pas te recevo
ies, et, après une demi-heure de marche, nous arrivons au théâtre. Le directeur n’était pas encore là. Nous nous assîmes pour l’a
s le lointain mes pauvres billets, sur lesquels je comptais tant : Ce directeur ne viendrait-il jamais ? Ah ! enfin, un grand bru
n seul trait, tout à la ronde : — Messieurs, je voudrais bien voir le directeur de ce théâtre, s’il vous plaît ? Quand je m’arrêt
r des places pour vous et pour votre mère. — Oh ! merci, monsieur. Le directeur tira une carte de sa poche, y traça quelques mots
ur voir jouer Sarah Bernhardt !… Je regardai la carte, je regardai le directeur . Il souriait. Je souris. Il tendit la main, je te
n’y avait que des artistes américains. Dans les loges, il y avait les directeurs de tous les théâtres de New-York et leurs femmes.
e, en m’inondant de belles paroles. Le lendemain matin l’entreprenant directeur du théâtre où je dansais, annonça, dans tous les
7 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
Jusqu’en 1830, l’institution avait été régie par la maison du roi. Le directeur des Beaux-Arts, le vicomte Sosthène de La Rochefo
aute fortune, l’ancien boutiquier étala un luxe indiscret de parvenu. Directeur de la Revue de Paris, il allait à la chasse aux c
giée. L’aristocratie recula devant cette marée montante à laquelle le directeur ouvrait les écluses. Elle reflua vers le Théâtre-
é qu’un tout petit détail. Ils ne s’étaient pas demandé si le nouveau directeur de l’Académie royale de Musique comprenait quelqu
d’ingénieux à-propos pour toutes ces dépenses justement exigées d’un directeur d’Opéra35 ». Scribe d’ailleurs était le plus bour
sa volonté. Si la musique et la poésie restaient lettre close pour ce directeur d’Opéra, il était, par contre, dans son élément,
il avait inventé une excellente drogue contre la toux, de même, comme directeur de l’Opéra, il inventa un remède contre la musiqu
première représentation, une véritable conférence avait lieu entre le directeur et le chef de claque. « Nous passions en revue to
type le plus complet de ces écumeurs de tréteaux fut Charles Maurice, directeur et rédacteur en chef du Courrier des Théâtres. Ce
Cartouche du feuilleton. Son journal était un coupe-gorge. Malheur au directeur qui se refusait à payer la rançon exigée par le b
cajolés par des légions de houris, d’almées et de bayadères. Enfin ce directeur aux ressources infinies attira l’attention publiq
ppelle Véron et lui signifie qu’il a décidé l’interdiction du bal. Le directeur expose alors au ministre que la jeune fille mise
ttaques, le jugement de ses contemporains fut en général favorable au directeur , même si l’on fait abstraction des louanges de la
alogues, et non moins mélancoliques, lorsqu’il annonce la retraite du directeur qui a fait de l’Opéra « le plus brillant et le pl
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
derrière les Folies-Bergère et n’en sort jamais, si ce n’est avec le directeur du théâtre ou sa femme, et avec sa mère qui ne la
fois qu’elle est venue, elle était descendue au Grand-Hôtel, mais le directeur lui a donné l’appartement dont je vous ai parlé.
çais, mais elle sourit sans cesse et dit « bongjour ». A ce moment le directeur , M. Marchand, qui s’était approché du bureau et q
e et incessante évolution. Tout cela bouge trop tout le temps. » Mon directeur tira alors le journal de sa poche et lut ce passa
à cause de son succès. La mère de Gab après avoir répondu au salut du directeur , qui prenait congé, demanda encore à la buraliste
9 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
eint. On les compte. Ce sont quelques privilégiés, amis ou parents du directeur , un ou deux journalistes de la très-petite presse
x-là ont parfaitement le droit d’y venir. Ce sont MM. Alphonse Royer, directeur de l’Opéra ; Hippolyte Cogniard, Henry Murger, Ma
neur. Vous changez les rôles à votre guise… Qu’est-ce qui est donc le directeur ici ? Tout le monde, il paraît… Rose. Le costum
(Il se lève et s’en va.) oscar, à l’auteur. En voilà un théâtre ! le directeur qui va chercher ses pensionnaires chez le commiss
10 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
-Comiques aux autres théâtres. — L’air qu’on y respire. — M. Sari, le directeur . — Son caractère. — Ce qu’il est arrivé à faire d
ienne semble s’être réfugiée là. On y rit du matin au soir. Depuis le directeur jusqu’au garçon de théâtre, tout le monde fait de
ieté perpétuelle, c’est Sari qui l’introduit. Il est non-seulement le directeur de son théâtre, mais il en représente la joie. Ho
11 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
petite, très petite troupe, dans un théâtre à côté. J’obtins d’un des directeurs une singulière réponse : si je pouvais garantir q
ieu de dix et deux fois par jour, en matinée et en soirée. Bientôt le directeur , M. Quinson, me dit : — Si vos acteurs ont une au
 ». Tandis que la nouvelle pièce suivait sa carrière au boulevard, le directeur du Palais des Beaux-Arts de Monte-Carlo m’offrit
12 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
ui signer une photographie. Et lorsque je fus de retour à l’hôtel, le directeur du Kurhaus me remit une délicieuse petite montre,
lle. » Je montai dans ma loge. Je finissais de m’habiller lorsque le directeur se précipita chez moi en criant : — Il est quatre
voir la Loïe Fuller, mais qu’elle devait repartir à quatre heures. Le directeur qui croyait que la Reine venait voir l’Hippodrome
qu’on ne se fût pas adressé directement à moi, au lieu de prévenir le directeur . Le même soir une de mes amies vint m’aviser qu’e
ir vu, ne fût-ce qu’un moment, la Loïe Fuller et ses danses. Quant au directeur , il est demeuré convaincu que la Reine était venu
13 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
oposait de faire hommage à madame Montessu, laquelle, protégée par le directeur d’alors, M. Lubert, faisait la pluie et le beau t
ers accidents lui firent prendre l’ouvrage en grippe. Elle demanda au directeur l’autorisation de se faire remplacer dans le rôle
rrit, et le papa Taglioni s’en vint plus d’une fois pleurer auprès du directeur sur la mesquinerie de son enfer. — C’est affreux 
ortes du théâtre, et on les ferma. Elle refusa de venir en aide à son directeur dans l’embarras, à son ami, à son séide de 1827.
t un bouquet de cent sous qui me coûte dix-huit mille francs ! *** Le directeur prit sa revanche. L’engagement de MarieTaglioni e
el ! La tête avait été confectionnée… Elle ressemblait à l’infortuné directeur … Tout à coup on frappe à la porte de la loge infe
rice attendue A ses pieds retrouve sa cour. Fanny Elssler Le directeur Véron à Londres. — M. de Gentz. — Le Fils de l’Ho
sentirent à signer leur engagement que le jour fixé pour le départ du directeur . *** Il s’agissait de leur trouver une pièce de d
oquèrent des bacchanales de transports et d’applaudissements, et tout directeur qui put faire exécuter à son théâtre le fandango,
r à la fois la mesure de son talent de cantatrice et de ballerine. Un directeur le mit à même de réaliser ce projet : Anténor Jol
14 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
ier ouvrage monté par Véron. Peu de jours avant la première, l’adroit directeur cédait son fauteuil à son collaborateur Duponchel
, il l’avait modernisée avec beaucoup de bonheur. Chose curieuse : ce directeur d’Opéra n’était pas ennemi de la musique. Quoiqu’
argement usé. Sa probité lui coûta cher. Pour ses débuts, le nouveau directeur n’eut pas à se louer du ballet, ni du corps de ba
’intervention de Véron évita une rupture. Fanny récompensa son ancien directeur en lui cédant sa cuisinière, celle qui devait dev
première scène française le règne du grand art. En réalité le nouveau directeur n’était pas disposé à dédaigner un mode de specta
s. A ce moment elle fut atteinte par une débâcle financière. Laporte, directeur du King’s Theatre, faisait faillite, selon l’habi
, directeur du King’s Theatre, faisait faillite, selon l’habitude des directeurs des grandes scènes de Londres. Un certain nombre
passer son congé en France. Elle conclut un arrangement avec Solomé, directeur du Grand-Théâtre de Bordeaux et se proposa de con
recette fabuleuse. Dans l’élan de sa joie et de sa reconnaissance, le directeur Solomé offrit aux deux sœurs une fête champêtre a
longues semaines de sa rivale, fit sentir plus durement que jamais au directeur son insupportable tyrannie. Elle dansait rarement
, laissant Duponchel se tirer d’affaire avec des doublures. Ce fut au directeur que l’opinion publique attribua tous les torts. L
15 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Épître à Monsieur F. A. Blasis mon Père, » pp. 1-4
A. Blasis mon Père, ci-devant membre du Conservatoire de Naples, et directeur de la Section philharmonique de la Société du Mus
16 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »
cette qualité, le guide de son esprit, l’instituteur de ses mœurs, le directeur en chef de toute sa conduite. La grande réputatio
17 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
e écrite sous le Consulat, lorsque Fourcroy exerçait les fonctions de Directeur de l’Instruction publique. Les deux ballets auxqu
eté Générale de la Convention Nationale arrête que le Citoyen Gardel, directeur du grand Opéra, se rendra sur-le-champ au lieu or
r sa sœur, que peut-être elle donnera un concert. Elle a su mettre le directeur dans sa manche, les autres, au contraire, s’en so
18 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
moiselle Antier. — Mademoiselle Souris. — Les Filles de magasin. — Le directeur Thuret — Un équipage sous enveloppe. — Une mère i
té de celle-ci s’arrêtait à la porte de ce lieu d’immunité. Thuret, —  directeur de l’Académie, de 1733 à 1744, — imagina de faire
ruinables, sacrifie quelque chose, et demande de s’essayer gratis. Le directeur fait valoir alors les prérogatives singulières do
trefois : — Elle sera lingère ou fleuriste, demoiselle de comptoir ou directrice des postes, professeur de volapuck ou maîtresse d
19 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre X. » pp. 64-66
Tresfontaine, des Thuret, des Rebel et des Franc-cœur ; ces différens directeurs se succédèrent avec rapidité. Attachés aux vieill
20 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
olante, de la graine d’étoiles ou de premiers sujets, l’espérance des directeurs , des maîtres de danse. Peu de naïveté en général,
amoureux qui se résout en intérêt passionné et en enthousiasme. Deux directeurs avisés, habiles à jeter de la poudre aux yeux, ay
nde manifestation où l’on réclamerait la tête de Duponchel, l’affreux directeur qui… Une tête d’homme coupée — en carton — serait
que, si elles ne se tiennent pas tranquilles, je leur donnerai comme directeur un général qui les fera marcher militairement. »
onseil à un Panamiste, au moment où il va pénétrer dans le cabinet du directeur de l’Opéra : « Mon cher, n’entrez pas ; il est en
21 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
r s’établit professeur de chant à Berlin et devint, dans cette ville, directeur des chœurs à l’Opéra Royal. Berlioz eut affaire à
lssler mit l’auteur de la Damnation de Faust en un cruel embarras. Le directeur des chœurs contribua néanmoins de toutes ses forc
chi dans les tripots de Naples, devenu fermier des jeux du royaume et directeur du théâtre San Carlo, ce geôlier de Rossini qu’il
poser à l’attention de ses compatriotes et lui attirer les égards des directeurs de théâtres. Les deux mois passés à l’Opéra Royal
1831, les représentations du Kærnthner-Thor, Alphonse Royer, le futur directeur de l’Opéra, va jusqu’à dire qu’elle n’obtenait qu
ique, n’ont donné aucun résultat, si ce n’est de prouver que tous les directeurs faisaient banqueroute… Il a été prouvé que les pi
donner à sa destinée un cours inespéré et réalisa son rêve secret. Le directeur de l’Opéra de Paris, le docteur Véron, à qui, dès
22 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
la « rectification » suivante à une feuille du matin : « Monsieur le directeur , Dans un écho paru dans le numéro de votre journ
situation artistique autant que ma vie privée. « Agréez, monsieur le directeur , l’assurance de mes sentiments les plus distingué
résentation des Chasseurs noirs, ballet anglais à grand spectacle. Le directeur américain avait fixé le dédit à cinquante mille d
, aide de camp honoraire de S. M. le roi d’Italie, et M. Jules Comte, directeur des bâtiments civils. Les témoins du marié étai
23 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 1er janvier 1923. Carte de visite. »
Sur ce, le critique de Comœdia offre une cordiale poignée de main au directeur de la maison de danse et à son vaillant état-majo
24 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
Cambodge. C’était une estrade construite en face du Grand Palais. Le directeur de l’Exposition fit disposer derrière l’estrade,
nous avions le désir aigu d’échanger des propos. Juste à ce moment le directeur de l’hôtel s’approcha et se mit à causer avec nou
25 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 janvier. Trois vedettes. »
que de la semaine, il sied de citer à l’ordre du jour M. Paul Franck, directeur de l’Olympia, pour avoir bien mérité de la danse 
26 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
tation. Une anecdote contée par Charles de Boigne nous montre l’actif directeur dans le feu de la préparation de la Tempête. A la
er l’art de la danse51. » L’important service médical que le médecin directeur fit fonctionner à l’Opéra eut en particulier pour
aujourd’hui. En même temps qu’il se parait, grâce aux libéralités du directeur , de toutes les splendeurs matérielles, il recevai
ans ces circonstances Vestris intervenait pour attendrir le sceptique directeur . « Voyez ses pleurs », disait-il en montrant le p
« Le talent de ma fille n’a besoin de la protection de personne. » Le directeur fit un signe à son fidèle Auguste, qui comprit, c
27 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
de ce nom, à côté de l’illustre comédien américain, Nat.-Goodwin. Le directeur d’un des premiers journaux de New-York avait amen
e et sa fille pour me voir dans mon rôle de prédilection. La fille du directeur voulut à toute force faire ma connaissance. Le pè
28 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
tional entendit parler de la fête et voulut y assister. J’invitai les directeurs de théâtres comme je l’avais fait à Vienne. Cette
savait que je venais de perdre plus de cent mille francs du fait d’un directeur viennois qui avait rompu son contrat avec ma trou
29 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 décembre « Le Festin de l’araignée ». »
able qu’il a éprouvée au concert ? À l’intelligent courage d’un grand directeur comme celui de l’Opéra-Comique, nous croyons devo
30 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
ics furent permis trois fois la semaine dans la salle de l’Opéra. Les Directeurs firent faire une Machine106, avec laquelle on éle
31 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. Une septième objection qu
32 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
lettre de rappel de Léon Pillet, qui avait succédé à Duponchel comme directeur de l’Opéra. Mais en même temps on lui offrait dix
s dédaignaient. La faillite était le mal chronique, irrémédiable, des directeurs . Fanny bouleversa, pour un moment, toutes les hab
atre avait pour résultat de vider complètement les autres salles. Les directeurs détournèrent ingénieusement à leur profit un engo
scrètement à pied, le retour n’en fut que plus difficile. Précédée du directeur du théâtre qui fendait péniblement le flot de la
n congrès. Ce furent ces représentants de la nation qui pressèrent le directeur du théâtre de la retenir pour plusieurs soirées.
. A Philadelphie, Fanny visita la prison de l’Etat de Pensylvanie. Le directeur lui exposa le régime appliqué à ses pensionnaires
faire appel à leur cœur et à leur raison. Cette méthode, affirmait le directeur , produisait d’excellents résultats et toute répre
33 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
s stances voluptueuses et souvent érotiques de Quinault ! Devenu seul directeur privilégié de l’Académie royale de musique, Lulli
qui, sans cela, ne lui confierait pas de rôles ; elle doit plaire au directeur , pour qu’il la mette en vue ; elle doit plaire, n
34 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
ient avec importance et mystère du but du voyage. Ils savaient que le directeur de l’Opéra se rendait à Londres pour étudier sur
n. » En même temps qu’il donnait cet alléchant portrait de Fanny, le directeur du Courrier des Théâtres essayait de faire vibrer
ne jurait que par la Tempête, on n’adorait que la Tempête ; depuis le directeur jusqu’au dernier figurant ou machiniste, le théât
ellement une partie aussi importante ne pouvait s’engager sans que le directeur eût pris de savantes dispositions de concert avec
était taglioniste. Quoiqu’elle restât dévouée à son fondateur devenu directeur de l’Opéra, qui ne pouvait approuver des attaques
35 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
style, on y tolérait d’étranges audaces. Augusta Maywood, fille d’un directeur de cirque américain, rappelait un peu trop ses or
36 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
bligations de tous ceux qui pouvaient prendre part à l’entreprise. Le directeur , le garde-magasin, le maître tailleur, le dessina
mille livres. Malgré les énormes bénéfices qu’avaient faits quelques directeurs , et notamment Lulli, en 1712, les dettes de l’Opé
incesse d’Élide ; il ne fut point accordé de dommages et intérêts aux directeur et syndics de l’Opéra. On ne tolérait d’autres ex
tion publique. La commune de Paris, en 1792, avait succédé à tous les directeurs de l’Opéra, dont les noms ne rappelaient, selon l
e ce qui fit qu’on lui attribua ce propos célèbre, tenu par un habile directeur  : « A l’Opéra, il faut jeter l’argent par la port
le et foyer, le centre de toutes les lumières. C’est ce que M. Véron, directeur actuel, a su faire, tantôt par son empressement a
ui avoir été aussi favorables qu’on affecte de le répéter. Ce nouveau directeur de 1831 avait à lutter contre des abus dont nous
res est abolie. M. Véron ne s’est pas considéré comme étant seulement directeur de l’Opéra ; il a dû y chercher sa propre fortune
l’exécution du cahier des charges et des obligations qu’il impose au directeur dans l’intérêt du Gouvernement, des artistes et d
37 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
e 15 juin 1731, — il y avait fête galante à l’hôtel de l’Académie. Le directeur Gruer traitait. Ce Gruer était un amphitryon d’Ep
ballerines se cabrèrent avec indignation… — Très bien, poursuivit le directeur tranquillement, mettons que je n’ai pas parlé. Et
uence à l’Opéra que, sur un refus de gratification que lui firent ses directeurs , Le Comte et Lebœuf, ceux-ci furent révoqués et e
qu’elle soit pour son prochain, ne le prend pas de plus haut avec ses directeurs . Ce que la Guimard veut, bon gré, mal gré, il fau
38 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
nnées, comme l’on mettait Freyschutz en scène, M. Emile Perrin, alors directeur de l’Opéra, remarqua un enfant de huit à dix ans
eux tableau de la Fonte des balles : — Qui es-tu, toi ? interrogea le directeur . — Moi, m’sieu, je suis un Stilb, répondit le gam
Pamélar IIe Voici ce qu’on raconte sous le couvert : Un soir, un directeur voit une de ses artistes arriver, éplorée, dans s
amens sont passés, d’ordinaire, par devant un jury intime composé des directeurs Ritt et Gailhard ; de MM. Mayer, administrateur g
39 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147
i. — Mais, de quel droit, s’il vous plaît ? — Dame… du droit que tout directeur … — Cela est impossible, on ne peut pas me les avo
40 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
e et le Japon. Il félicité chaudement Kawakami d’avoir été le premier directeur qui ait eu le courage d’amener une troupe si loin
41 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
omprendre, je retournai à l’hôtel en question et demandai à parler au directeur . En me voyant il fut stupéfait. — Mais vous n’ête
42 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 avril 1922. Comme quoi la danse est un art — ce qui s’en suit —. Un centenaire français célébré en Russie. »
la tête du ballet plus d’un demi-siècle sous quatre empereurs et huit directeurs  ; il créa 57 ballets, en reconstitua 17 ; il imag
43 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29
effet révoltant que produisit sur le public l’impôt arbitraire que le directeur mit indistinctement sur toutes les places ; on ju
44 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
mois en mois ; plus 250 francs de feux par chaque représentation, le directeur s’obligeant à lui fournir l’occasion de danser ci
istration jusqu’au 1er juin 1840. Mlle Fanny Elssler écrivit alors au directeur  : « Je me mettrai à la disposition de « l’adminis
ration de ces nouvelles concessions, l’actrice s’engageait à payer au directeur la somme de 60 000 fr. dans le cas où elle ne fer
lqu’un qui spécule ; un artiste n’est pas un facteur, ni un commis du directeur . « Je le demande à mon adversaire lui-même, dit-i
r septembre 1842 : « Comme on le sait, la condamnation obtenue par le directeur de l’Opéra contre Fanny Elssler prononce la prise
la bataille des Nations dans l’histoire des temps modernes. Lumsley, directeur de Her Majesty’s Theatre, avait eu l’idée, en 184
45 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 novembre. L’école du critique. Une leçon de Zambelli. — Divagation sur quelques monstres. »
ique. Une leçon de Zambelli. — Divagation sur quelques monstres. Le directeur de l’Opéra m’a autorisé à visiter les classes de
46 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »
e et dépouillé, leurs ambitions secrètes et leurs rêves familiers. Le directeur observe et laisse faire. À son tour, Djemil Anik
47 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre première. À Voltaire. » pp. 2-7
lion de ne plus y exercer mes talens ; ils ont été repoussés par les directeurs de l’opéra auxquels je les offrois mémo gratuitem
48 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
 » Voici une lettre que madame Montessu adressait à Charles Maurice, directeur du Courrier des Théâtres ; on y verra que les art
or, celle-ci a de très beaux bijoux, et Pauline n’en a pas… Le galant directeur n’avait qu’une chose à faire : Il la fit. « J’en
e détail, n’ayant obtenu qu’un succès d’hilarité, avait été coupé. Le directeur fit annoncer sur l’affiche que, beaucoup d’Anglai
courut à la découverte, et tout l’Opéra ne découvrit rien. Camarades, directeur , mère et soupirants jetaient leur langue aux chat
49 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
Elle avait fait fabriquer une tête en carton qui avait les traits du directeur et qu’elle devait jeter sur la scène en criant :
artage causa bientôt à Nourrit une inquiétude maladive. Il supplia le directeur de lui rendre sa liberté. Le 4 avril, il faisait
Baden, l’une au profit des pauvres, l’autre au profit d’un malheureux directeur de théâtre. « Ces deux sœurs exceptionnelles, dit
Toutes deux avaient répondu à l’appel que leur avait adressé Laporte, directeur du Her Majesty’s Theatre. Le duel, interrompu dep
dernière. Par modestie autant que par prudence, Fanny refusa. Mais le directeur la supplia si vivement qu’elle accepta finalement
ues jours auparavant, à une représentation au bénéfice de M. Laporte, directeur de Queen’s Theatre, Mlle Fanny Elssler avait voul
50 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
oir la foi, avec sa sœur, miss Élisabeth Duncan, qui est, en fait, la directrice de l’École du Grünewald. Intelligente et fine, ad
51 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
lossale rendaient difficiles les rapports entre Marie Taglioni et les directeurs de théâtre. Sûre de trouver partout un fructueux
eau tardait à se lever. Le public perdit patience et fit du bruit. Le directeur , Laporte, parut et annonça que Mlle Taglioni refu
à la cour de Louis XV, la charge d’intendant des menus chez l’ancien directeur de l’Opéra. Singulier homme que le comte de Voisi
52 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
e faut point aller au bal quand on est chrétien ; et je crois que les directeurs feroient leur devoir, s’ils exigeoient de ceux do
ir un homme du monde et d’un si rare génie, donner ici des leçons aux directeurs de conscience sur la manière dont ils doivent se
53 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
eux ou du solo auquel les spectateurs sont habitués et qu’exigent les directeurs de théâtre, mais il va en réduire l’importance et
sures de son ballet qui lui semblent laisser à désirer12. Parfois les directeurs exaspérés menacent de le faire mettre en prison p
Rome, Naples et Florence, I, 395. Une curieuse lettre de Viganò à la Directrice du théâtre Royal à Vienne du 30 décembre 1806, no
54 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
son gré, de celle du goût et du génie. Garrick était propriétaire et directeur du théatre royal de Daury-Lane. En se donnant un
55 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
nde que raconte Nestor Roqueplan, qui, ayant été, — de 1847 à 1854, —  directeur de l’Opéra, était, mieux que personne, en mesure
56 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
sard, accouraient à la hâte. Mlle Fiori prit alors le bras d’un vieux directeur de ballets et me remercia, en me disant que j’éta
57 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
ou du moins sur le silence d’un grand nombre d’ecclésiastiques et de directeurs des ames. Il en est en effet plusieurs qui regard
58 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
avance, et qu’elle n’a rien à réclamer pour prix de ses services. Le directeur autorise verbalement l’actrice à dire à tous les
orette qui a vécu dans l’intimité de jeunes vaudevillistes les trouve directeurs , elle se place sous leur aile et se fait modestem
59 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
l’auteur. Il s’emporte contre « le plus méprisable des coquins », un directeur de théâtre, semblerait-il, qui faisait des misère
i avait charmé la captivité du prisonnier de Schœnbrunn, le Dr Véron, directeur de l’Opéra, voulut savoir à quoi s’en tenir. Il é
60 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32
encore tous les quinze jours en présence des administrateurs, ou des directeurs , l’essai des pompes, ainsi que l’inspection des r
61 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96
u’il avoit. Ajoutez à cela les désagrémens que tout auteur essuie des directeurs de l’opéra. On leur paroît sans goût, si l’on n’e
62 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194
oit avoir. Ajoutez à cela les désagréments que tout Auteur essuie des Directeurs de l’Opéra. On leur paroît criminel si l’on n’est
63 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
et a le titre d’académie royale de Musique. Il est administré par des directeurs élus par les particuliers associés, et c’est un d
64 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
Cahuzac ; &c. ou Recueil des Opéras, tome 1. 23. Beauchamps, directeur de l’Académie royale de Danse, compositeur et sur
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