n où un billet vint me la rappeler. J’avais négligé de demander à mon
directeur
la permission de paraître à cette soirée, ne pens
tions existant entre la direction du Madison et moi. L’associé de mon
directeur
m’avait demandé, comme une véritable faveur, de v
le soir même au théâtre allemand au bénéfice d’une actrice malade. Le
directeur
y consentit. Au théâtre allemand on avait engagé
oment ce fut pour moi une véritable hantise : danser à Paris. Puis le
directeur
du théâtre allemand me proposa une tournée à l’ét
écision. Quelques jours après eut lieu le fameux bal que l’associé du
directeur
de Madison Square Theater m’avait prié d’ouvrir.
is où j’avais été ? Un seul journal devait parler de la soirée et mon
directeur
supposait probablement qu’il ne me tomberait jama
u’il fut mis en prison. « Tout le monde blâme l’article », me dit mon
directeur
, lorsque je lui fis reproche de m’avoir entraînée
e m’en offrir cinq cents. Je n’en décidai pas moins de signer avec le
directeur
du théâtre allemand de New-York un contrat qui m’
n premier pas dans un nouveau monde. Nous abondâmes en Allemagne. Mon
directeur
vint à notre rencontre et nous emmena à Berlin. M
otre vie. Mais j’étais désemparée et sans courage. Après un mois, mon
directeur
allemand m’informa qu’il ne désirait pas continue
de amie, et qui lui fit les plus sanglants reproches à mon sujet. Le
directeur
quitta Berlin avec sa troupe, après avoir ramassé
pour nous aider. Un agent théâtral, alors inconnu, et qui est devenu
directeur
de théâtre depuis, M. Marten Stein, vint me voir
iai mon agent, M. Marten Stein de se rendre auprès de M. Gailhard, le
directeur
de l’Académie nationale de musique et de chorégra
ies-Bergère, car je savais que mon agent, de son côté, avait écrit au
directeur
de ce grand music-hall. En route j’expliquai à Ma
l’avis qu’il m’avait précédemment exposé et que j’allais demander au
directeur
des Folies-Bergère de m’engager. Qu’on imagine ma
s dans le théâtre. Je dis l’objet do ma visite. Je demandai à voir le
directeur
. On me répondit que je pourrais être reçue seulem
uffisance. Après la représentation, lorsque nous fûmes en présence du
directeur
— c’était alors M. Marchand — je ne lui cachai ri
core mes danses. Mais mon impresario m’engagea tellement à montrer au
directeur
ce que mes danses étaient, comparées surtout à ce
on, et pour éclairage je n’avais que la rampe. Lorsque j’eus fini, le
directeur
me fit venir dans son cabinet et me proposa de m’
s tard. Après que j’eus dansé deux fois sous le nom de ma doublure le
directeur
des Folies-Bergère m’emmena au Figaro. Je pensai
ais pas débuter sans ma dernière danse, mais, devant la menace de mon
directeur
de déchirer notre contrat si je persistais, je fi
ndre la musique qui préludait pour le n° 5. Le rideau, sur l’ordre du
directeur
, qui était dans le manteau d’arlequin, se releva,
succès, j’étais à bout, complètement à bout de forces. Je regardai le
directeur
. Je demandai : — Et la dernière ? — Oh ! nous n’e
ment protégés par le feu Prince de Conti et de Soubise, furent nommés
directeurs
en 1770. Ils étoient musiciens et agréables compo
ce, et généralement pour tout ce qui portoit l’empreinte du beau. Ces
directeurs
, prévenus sans doute à l’avance de leurs nominati
mécontentemens et des cabales sourdes et intestines. Le choix de ces
directeurs
n’a pas toujours été heureux. Dans la maladie inv
étérée qui travailloit ce grand corps, on crut devoir lui donner pour
directeur
un médecin. Mais il n’en est par de cette grande
s cesse ce corps vicieux et mal constitué. Le Sr. de Vismes fut nommé
directeur
de l’opéra. Il étoit Commis-principal à la ferme
tenoient que 3000 liv. de retraite. C’est bien le cas de dire, que ce
directeur
fut payé et recompensé en raison inverse de ce qu
ù nous avions donné triomphalement Quack, docteur médecin, et que les
directeurs
de New-York ignoraient si complètement, fit un ar
e d’actrice ou de chanteuse, je les avais eus tous plus ou moins pour
directeurs
. Je n’étais pourtant guère préparée à la réceptio
ne pouvait me nuire davantage que d’essayer de devenir danseuse. Un
directeur
alla jusqu’à me dire que deux ans d’absence de Ne
que j’étais jeune aujourd’hui. » N’y tenant plus, je dis ma pensée au
directeur
. — Du diable, répondit-il, ce n’est pas l’âge qui
du monde qui est devant lui. Mais je reviens à mes tribulations. Un
directeur
, qui, autrefois, avait fait de son mieux pour m’e
airait la scène complètement vide. Dans la salle également sombre, le
directeur
, installé dans un fauteuil d’orchestre, nous rega
edonnai un air et me mis à danser très doucement dans la pénombre. Le
directeur
se rapprocha, se rapprocha encore, puis finit par
me laissai tomber, — masse palpitante de soie légère, — aux pieds du
directeur
. Puis je me relevai et attendis, dans la plus gra
uelques semaines en province avant de revenir à New-York. Mon nouveau
directeur
m’offrit, pour cette tournée, un engagement de ci
lle part mon nom n’était mentionné. J’allai au théâtre et rappelai au
directeur
que j’avais accepté le cachet trop modeste qu’il
et consultai mes amies. Elles me conseillèrent d’aller voir un autre
directeur
et si j’obtenais un engagement, de quitter tout s
et j’étais tout en larmes lorsque j’y arrivai. Je demandai à voir le
directeur
et lui racontai mon histoire. Il m’offrit cent ci
ris que mes six semaines de voyage avaient été mises à profit par mon
directeur
et une des choristes pour préparer cette jolie ch
t de là. Le lendemain, lorsque j’allai signer mon nouveau contrat, le
directeur
me reçut assez froidement. Il ne voulait plus sig
us fait, pour la première fois, mon apparition aux Folies-Bergère, un
directeur
russe, d’accord en cela avec mon directeur parisi
ion aux Folies-Bergère, un directeur russe, d’accord en cela avec mon
directeur
parisien, M. Marchand, demanda à m’engager, et je
te suivrai demain matin. Mais je ne voulus pas la quitter ainsi. Le
directeur
des Folies-Bergère, qui avait servi d’intermédiai
irecteur des Folies-Bergère, qui avait servi d’intermédiaire entre le
directeur
russe et moi, était venu à la gare pour me dire a
écouvrirent que je n’étais plus là, il y eut un autre beau tapage. Le
directeur
russe télégraphia à Paris, et je ne pus garder mo
achets et souvent nous eûmes à peine de quoi manger. Sans la femme du
directeur
, qui, parfois, nous envoyait des vivres dans un p
ar un enchaînement de circonstances et je ne veux blâmer personne. Le
directeur
du théâtre m’avait donné cet appartement et l’ava
ne façon ou d’une autre il faut que je la voie. Je vais aller chez le
directeur
de son théâtre. — Mais il ne voudra pas te recevo
ies, et, après une demi-heure de marche, nous arrivons au théâtre. Le
directeur
n’était pas encore là. Nous nous assîmes pour l’a
s le lointain mes pauvres billets, sur lesquels je comptais tant : Ce
directeur
ne viendrait-il jamais ? Ah ! enfin, un grand bru
n seul trait, tout à la ronde : — Messieurs, je voudrais bien voir le
directeur
de ce théâtre, s’il vous plaît ? Quand je m’arrêt
r des places pour vous et pour votre mère. — Oh ! merci, monsieur. Le
directeur
tira une carte de sa poche, y traça quelques mots
ur voir jouer Sarah Bernhardt !… Je regardai la carte, je regardai le
directeur
. Il souriait. Je souris. Il tendit la main, je te
n’y avait que des artistes américains. Dans les loges, il y avait les
directeurs
de tous les théâtres de New-York et leurs femmes.
e, en m’inondant de belles paroles. Le lendemain matin l’entreprenant
directeur
du théâtre où je dansais, annonça, dans tous les
Jusqu’en 1830, l’institution avait été régie par la maison du roi. Le
directeur
des Beaux-Arts, le vicomte Sosthène de La Rochefo
aute fortune, l’ancien boutiquier étala un luxe indiscret de parvenu.
Directeur
de la Revue de Paris, il allait à la chasse aux c
giée. L’aristocratie recula devant cette marée montante à laquelle le
directeur
ouvrait les écluses. Elle reflua vers le Théâtre-
é qu’un tout petit détail. Ils ne s’étaient pas demandé si le nouveau
directeur
de l’Académie royale de Musique comprenait quelqu
d’ingénieux à-propos pour toutes ces dépenses justement exigées d’un
directeur
d’Opéra35 ». Scribe d’ailleurs était le plus bour
sa volonté. Si la musique et la poésie restaient lettre close pour ce
directeur
d’Opéra, il était, par contre, dans son élément,
il avait inventé une excellente drogue contre la toux, de même, comme
directeur
de l’Opéra, il inventa un remède contre la musiqu
première représentation, une véritable conférence avait lieu entre le
directeur
et le chef de claque. « Nous passions en revue to
type le plus complet de ces écumeurs de tréteaux fut Charles Maurice,
directeur
et rédacteur en chef du Courrier des Théâtres. Ce
Cartouche du feuilleton. Son journal était un coupe-gorge. Malheur au
directeur
qui se refusait à payer la rançon exigée par le b
cajolés par des légions de houris, d’almées et de bayadères. Enfin ce
directeur
aux ressources infinies attira l’attention publiq
ppelle Véron et lui signifie qu’il a décidé l’interdiction du bal. Le
directeur
expose alors au ministre que la jeune fille mise
ttaques, le jugement de ses contemporains fut en général favorable au
directeur
, même si l’on fait abstraction des louanges de la
alogues, et non moins mélancoliques, lorsqu’il annonce la retraite du
directeur
qui a fait de l’Opéra « le plus brillant et le pl
derrière les Folies-Bergère et n’en sort jamais, si ce n’est avec le
directeur
du théâtre ou sa femme, et avec sa mère qui ne la
fois qu’elle est venue, elle était descendue au Grand-Hôtel, mais le
directeur
lui a donné l’appartement dont je vous ai parlé.
çais, mais elle sourit sans cesse et dit « bongjour ». A ce moment le
directeur
, M. Marchand, qui s’était approché du bureau et q
e et incessante évolution. Tout cela bouge trop tout le temps. » Mon
directeur
tira alors le journal de sa poche et lut ce passa
à cause de son succès. La mère de Gab après avoir répondu au salut du
directeur
, qui prenait congé, demanda encore à la buraliste
eint. On les compte. Ce sont quelques privilégiés, amis ou parents du
directeur
, un ou deux journalistes de la très-petite presse
x-là ont parfaitement le droit d’y venir. Ce sont MM. Alphonse Royer,
directeur
de l’Opéra ; Hippolyte Cogniard, Henry Murger, Ma
neur. Vous changez les rôles à votre guise… Qu’est-ce qui est donc le
directeur
ici ? Tout le monde, il paraît… Rose. Le costum
(Il se lève et s’en va.) oscar, à l’auteur. En voilà un théâtre ! le
directeur
qui va chercher ses pensionnaires chez le commiss
-Comiques aux autres théâtres. — L’air qu’on y respire. — M. Sari, le
directeur
. — Son caractère. — Ce qu’il est arrivé à faire d
ienne semble s’être réfugiée là. On y rit du matin au soir. Depuis le
directeur
jusqu’au garçon de théâtre, tout le monde fait de
ieté perpétuelle, c’est Sari qui l’introduit. Il est non-seulement le
directeur
de son théâtre, mais il en représente la joie. Ho
petite, très petite troupe, dans un théâtre à côté. J’obtins d’un des
directeurs
une singulière réponse : si je pouvais garantir q
ieu de dix et deux fois par jour, en matinée et en soirée. Bientôt le
directeur
, M. Quinson, me dit : — Si vos acteurs ont une au
». Tandis que la nouvelle pièce suivait sa carrière au boulevard, le
directeur
du Palais des Beaux-Arts de Monte-Carlo m’offrit
ui signer une photographie. Et lorsque je fus de retour à l’hôtel, le
directeur
du Kurhaus me remit une délicieuse petite montre,
lle. » Je montai dans ma loge. Je finissais de m’habiller lorsque le
directeur
se précipita chez moi en criant : — Il est quatre
voir la Loïe Fuller, mais qu’elle devait repartir à quatre heures. Le
directeur
qui croyait que la Reine venait voir l’Hippodrome
qu’on ne se fût pas adressé directement à moi, au lieu de prévenir le
directeur
. Le même soir une de mes amies vint m’aviser qu’e
ir vu, ne fût-ce qu’un moment, la Loïe Fuller et ses danses. Quant au
directeur
, il est demeuré convaincu que la Reine était venu
oposait de faire hommage à madame Montessu, laquelle, protégée par le
directeur
d’alors, M. Lubert, faisait la pluie et le beau t
ers accidents lui firent prendre l’ouvrage en grippe. Elle demanda au
directeur
l’autorisation de se faire remplacer dans le rôle
rrit, et le papa Taglioni s’en vint plus d’une fois pleurer auprès du
directeur
sur la mesquinerie de son enfer. — C’est affreux
ortes du théâtre, et on les ferma. Elle refusa de venir en aide à son
directeur
dans l’embarras, à son ami, à son séide de 1827.
t un bouquet de cent sous qui me coûte dix-huit mille francs ! *** Le
directeur
prit sa revanche. L’engagement de MarieTaglioni e
el ! La tête avait été confectionnée… Elle ressemblait à l’infortuné
directeur
… Tout à coup on frappe à la porte de la loge infe
rice attendue A ses pieds retrouve sa cour. Fanny Elssler Le
directeur
Véron à Londres. — M. de Gentz. — Le Fils de l’Ho
sentirent à signer leur engagement que le jour fixé pour le départ du
directeur
. *** Il s’agissait de leur trouver une pièce de d
oquèrent des bacchanales de transports et d’applaudissements, et tout
directeur
qui put faire exécuter à son théâtre le fandango,
r à la fois la mesure de son talent de cantatrice et de ballerine. Un
directeur
le mit à même de réaliser ce projet : Anténor Jol
ier ouvrage monté par Véron. Peu de jours avant la première, l’adroit
directeur
cédait son fauteuil à son collaborateur Duponchel
, il l’avait modernisée avec beaucoup de bonheur. Chose curieuse : ce
directeur
d’Opéra n’était pas ennemi de la musique. Quoiqu’
argement usé. Sa probité lui coûta cher. Pour ses débuts, le nouveau
directeur
n’eut pas à se louer du ballet, ni du corps de ba
’intervention de Véron évita une rupture. Fanny récompensa son ancien
directeur
en lui cédant sa cuisinière, celle qui devait dev
première scène française le règne du grand art. En réalité le nouveau
directeur
n’était pas disposé à dédaigner un mode de specta
s. A ce moment elle fut atteinte par une débâcle financière. Laporte,
directeur
du King’s Theatre, faisait faillite, selon l’habi
, directeur du King’s Theatre, faisait faillite, selon l’habitude des
directeurs
des grandes scènes de Londres. Un certain nombre
passer son congé en France. Elle conclut un arrangement avec Solomé,
directeur
du Grand-Théâtre de Bordeaux et se proposa de con
recette fabuleuse. Dans l’élan de sa joie et de sa reconnaissance, le
directeur
Solomé offrit aux deux sœurs une fête champêtre a
longues semaines de sa rivale, fit sentir plus durement que jamais au
directeur
son insupportable tyrannie. Elle dansait rarement
, laissant Duponchel se tirer d’affaire avec des doublures. Ce fut au
directeur
que l’opinion publique attribua tous les torts. L
A. Blasis mon Père, ci-devant membre du Conservatoire de Naples, et
directeur
de la Section philharmonique de la Société du Mus
cette qualité, le guide de son esprit, l’instituteur de ses mœurs, le
directeur
en chef de toute sa conduite. La grande réputatio
e écrite sous le Consulat, lorsque Fourcroy exerçait les fonctions de
Directeur
de l’Instruction publique. Les deux ballets auxqu
eté Générale de la Convention Nationale arrête que le Citoyen Gardel,
directeur
du grand Opéra, se rendra sur-le-champ au lieu or
r sa sœur, que peut-être elle donnera un concert. Elle a su mettre le
directeur
dans sa manche, les autres, au contraire, s’en so
moiselle Antier. — Mademoiselle Souris. — Les Filles de magasin. — Le
directeur
Thuret — Un équipage sous enveloppe. — Une mère i
té de celle-ci s’arrêtait à la porte de ce lieu d’immunité. Thuret, —
directeur
de l’Académie, de 1733 à 1744, — imagina de faire
ruinables, sacrifie quelque chose, et demande de s’essayer gratis. Le
directeur
fait valoir alors les prérogatives singulières do
trefois : — Elle sera lingère ou fleuriste, demoiselle de comptoir ou
directrice
des postes, professeur de volapuck ou maîtresse d
Tresfontaine, des Thuret, des Rebel et des Franc-cœur ; ces différens
directeurs
se succédèrent avec rapidité. Attachés aux vieill
olante, de la graine d’étoiles ou de premiers sujets, l’espérance des
directeurs
, des maîtres de danse. Peu de naïveté en général,
amoureux qui se résout en intérêt passionné et en enthousiasme. Deux
directeurs
avisés, habiles à jeter de la poudre aux yeux, ay
nde manifestation où l’on réclamerait la tête de Duponchel, l’affreux
directeur
qui… Une tête d’homme coupée — en carton — serait
que, si elles ne se tiennent pas tranquilles, je leur donnerai comme
directeur
un général qui les fera marcher militairement. »
onseil à un Panamiste, au moment où il va pénétrer dans le cabinet du
directeur
de l’Opéra : « Mon cher, n’entrez pas ; il est en
r s’établit professeur de chant à Berlin et devint, dans cette ville,
directeur
des chœurs à l’Opéra Royal. Berlioz eut affaire à
lssler mit l’auteur de la Damnation de Faust en un cruel embarras. Le
directeur
des chœurs contribua néanmoins de toutes ses forc
chi dans les tripots de Naples, devenu fermier des jeux du royaume et
directeur
du théâtre San Carlo, ce geôlier de Rossini qu’il
poser à l’attention de ses compatriotes et lui attirer les égards des
directeurs
de théâtres. Les deux mois passés à l’Opéra Royal
1831, les représentations du Kærnthner-Thor, Alphonse Royer, le futur
directeur
de l’Opéra, va jusqu’à dire qu’elle n’obtenait qu
ique, n’ont donné aucun résultat, si ce n’est de prouver que tous les
directeurs
faisaient banqueroute… Il a été prouvé que les pi
donner à sa destinée un cours inespéré et réalisa son rêve secret. Le
directeur
de l’Opéra de Paris, le docteur Véron, à qui, dès
la « rectification » suivante à une feuille du matin : « Monsieur le
directeur
, Dans un écho paru dans le numéro de votre journ
situation artistique autant que ma vie privée. « Agréez, monsieur le
directeur
, l’assurance de mes sentiments les plus distingué
résentation des Chasseurs noirs, ballet anglais à grand spectacle. Le
directeur
américain avait fixé le dédit à cinquante mille d
, aide de camp honoraire de S. M. le roi d’Italie, et M. Jules Comte,
directeur
des bâtiments civils. Les témoins du marié étai
Sur ce, le critique de Comœdia offre une cordiale poignée de main au
directeur
de la maison de danse et à son vaillant état-majo
Cambodge. C’était une estrade construite en face du Grand Palais. Le
directeur
de l’Exposition fit disposer derrière l’estrade,
nous avions le désir aigu d’échanger des propos. Juste à ce moment le
directeur
de l’hôtel s’approcha et se mit à causer avec nou
que de la semaine, il sied de citer à l’ordre du jour M. Paul Franck,
directeur
de l’Olympia, pour avoir bien mérité de la danse
tation. Une anecdote contée par Charles de Boigne nous montre l’actif
directeur
dans le feu de la préparation de la Tempête. A la
er l’art de la danse51. » L’important service médical que le médecin
directeur
fit fonctionner à l’Opéra eut en particulier pour
aujourd’hui. En même temps qu’il se parait, grâce aux libéralités du
directeur
, de toutes les splendeurs matérielles, il recevai
ans ces circonstances Vestris intervenait pour attendrir le sceptique
directeur
. « Voyez ses pleurs », disait-il en montrant le p
« Le talent de ma fille n’a besoin de la protection de personne. » Le
directeur
fit un signe à son fidèle Auguste, qui comprit, c
de ce nom, à côté de l’illustre comédien américain, Nat.-Goodwin. Le
directeur
d’un des premiers journaux de New-York avait amen
e et sa fille pour me voir dans mon rôle de prédilection. La fille du
directeur
voulut à toute force faire ma connaissance. Le pè
tional entendit parler de la fête et voulut y assister. J’invitai les
directeurs
de théâtres comme je l’avais fait à Vienne. Cette
savait que je venais de perdre plus de cent mille francs du fait d’un
directeur
viennois qui avait rompu son contrat avec ma trou
able qu’il a éprouvée au concert ? À l’intelligent courage d’un grand
directeur
comme celui de l’Opéra-Comique, nous croyons devo
ics furent permis trois fois la semaine dans la salle de l’Opéra. Les
Directeurs
firent faire une Machine106, avec laquelle on éle
Chapitre VIII. Objections : Plusieurs
directeurs
permettent la Danse. Une septième objection qu
lettre de rappel de Léon Pillet, qui avait succédé à Duponchel comme
directeur
de l’Opéra. Mais en même temps on lui offrait dix
s dédaignaient. La faillite était le mal chronique, irrémédiable, des
directeurs
. Fanny bouleversa, pour un moment, toutes les hab
atre avait pour résultat de vider complètement les autres salles. Les
directeurs
détournèrent ingénieusement à leur profit un engo
scrètement à pied, le retour n’en fut que plus difficile. Précédée du
directeur
du théâtre qui fendait péniblement le flot de la
n congrès. Ce furent ces représentants de la nation qui pressèrent le
directeur
du théâtre de la retenir pour plusieurs soirées.
. A Philadelphie, Fanny visita la prison de l’Etat de Pensylvanie. Le
directeur
lui exposa le régime appliqué à ses pensionnaires
faire appel à leur cœur et à leur raison. Cette méthode, affirmait le
directeur
, produisait d’excellents résultats et toute répre
s stances voluptueuses et souvent érotiques de Quinault ! Devenu seul
directeur
privilégié de l’Académie royale de musique, Lulli
qui, sans cela, ne lui confierait pas de rôles ; elle doit plaire au
directeur
, pour qu’il la mette en vue ; elle doit plaire, n
ient avec importance et mystère du but du voyage. Ils savaient que le
directeur
de l’Opéra se rendait à Londres pour étudier sur
n. » En même temps qu’il donnait cet alléchant portrait de Fanny, le
directeur
du Courrier des Théâtres essayait de faire vibrer
ne jurait que par la Tempête, on n’adorait que la Tempête ; depuis le
directeur
jusqu’au dernier figurant ou machiniste, le théât
ellement une partie aussi importante ne pouvait s’engager sans que le
directeur
eût pris de savantes dispositions de concert avec
était taglioniste. Quoiqu’elle restât dévouée à son fondateur devenu
directeur
de l’Opéra, qui ne pouvait approuver des attaques
style, on y tolérait d’étranges audaces. Augusta Maywood, fille d’un
directeur
de cirque américain, rappelait un peu trop ses or
bligations de tous ceux qui pouvaient prendre part à l’entreprise. Le
directeur
, le garde-magasin, le maître tailleur, le dessina
mille livres. Malgré les énormes bénéfices qu’avaient faits quelques
directeurs
, et notamment Lulli, en 1712, les dettes de l’Opé
incesse d’Élide ; il ne fut point accordé de dommages et intérêts aux
directeur
et syndics de l’Opéra. On ne tolérait d’autres ex
tion publique. La commune de Paris, en 1792, avait succédé à tous les
directeurs
de l’Opéra, dont les noms ne rappelaient, selon l
e ce qui fit qu’on lui attribua ce propos célèbre, tenu par un habile
directeur
: « A l’Opéra, il faut jeter l’argent par la port
le et foyer, le centre de toutes les lumières. C’est ce que M. Véron,
directeur
actuel, a su faire, tantôt par son empressement a
ui avoir été aussi favorables qu’on affecte de le répéter. Ce nouveau
directeur
de 1831 avait à lutter contre des abus dont nous
res est abolie. M. Véron ne s’est pas considéré comme étant seulement
directeur
de l’Opéra ; il a dû y chercher sa propre fortune
l’exécution du cahier des charges et des obligations qu’il impose au
directeur
dans l’intérêt du Gouvernement, des artistes et d
e 15 juin 1731, — il y avait fête galante à l’hôtel de l’Académie. Le
directeur
Gruer traitait. Ce Gruer était un amphitryon d’Ep
ballerines se cabrèrent avec indignation… — Très bien, poursuivit le
directeur
tranquillement, mettons que je n’ai pas parlé. Et
uence à l’Opéra que, sur un refus de gratification que lui firent ses
directeurs
, Le Comte et Lebœuf, ceux-ci furent révoqués et e
qu’elle soit pour son prochain, ne le prend pas de plus haut avec ses
directeurs
. Ce que la Guimard veut, bon gré, mal gré, il fau
nnées, comme l’on mettait Freyschutz en scène, M. Emile Perrin, alors
directeur
de l’Opéra, remarqua un enfant de huit à dix ans
eux tableau de la Fonte des balles : — Qui es-tu, toi ? interrogea le
directeur
. — Moi, m’sieu, je suis un Stilb, répondit le gam
Pamélar IIe Voici ce qu’on raconte sous le couvert : Un soir, un
directeur
voit une de ses artistes arriver, éplorée, dans s
amens sont passés, d’ordinaire, par devant un jury intime composé des
directeurs
Ritt et Gailhard ; de MM. Mayer, administrateur g
i. — Mais, de quel droit, s’il vous plaît ? — Dame… du droit que tout
directeur
… — Cela est impossible, on ne peut pas me les avo
e et le Japon. Il félicité chaudement Kawakami d’avoir été le premier
directeur
qui ait eu le courage d’amener une troupe si loin
omprendre, je retournai à l’hôtel en question et demandai à parler au
directeur
. En me voyant il fut stupéfait. — Mais vous n’ête
la tête du ballet plus d’un demi-siècle sous quatre empereurs et huit
directeurs
; il créa 57 ballets, en reconstitua 17 ; il imag
effet révoltant que produisit sur le public l’impôt arbitraire que le
directeur
mit indistinctement sur toutes les places ; on ju
mois en mois ; plus 250 francs de feux par chaque représentation, le
directeur
s’obligeant à lui fournir l’occasion de danser ci
istration jusqu’au 1er juin 1840. Mlle Fanny Elssler écrivit alors au
directeur
: « Je me mettrai à la disposition de « l’adminis
ration de ces nouvelles concessions, l’actrice s’engageait à payer au
directeur
la somme de 60 000 fr. dans le cas où elle ne fer
lqu’un qui spécule ; un artiste n’est pas un facteur, ni un commis du
directeur
. « Je le demande à mon adversaire lui-même, dit-i
r septembre 1842 : « Comme on le sait, la condamnation obtenue par le
directeur
de l’Opéra contre Fanny Elssler prononce la prise
la bataille des Nations dans l’histoire des temps modernes. Lumsley,
directeur
de Her Majesty’s Theatre, avait eu l’idée, en 184
ique. Une leçon de Zambelli. — Divagation sur quelques monstres. Le
directeur
de l’Opéra m’a autorisé à visiter les classes de
e et dépouillé, leurs ambitions secrètes et leurs rêves familiers. Le
directeur
observe et laisse faire. À son tour, Djemil Anik
lion de ne plus y exercer mes talens ; ils ont été repoussés par les
directeurs
de l’opéra auxquels je les offrois mémo gratuitem
» Voici une lettre que madame Montessu adressait à Charles Maurice,
directeur
du Courrier des Théâtres ; on y verra que les art
or, celle-ci a de très beaux bijoux, et Pauline n’en a pas… Le galant
directeur
n’avait qu’une chose à faire : Il la fit. « J’en
e détail, n’ayant obtenu qu’un succès d’hilarité, avait été coupé. Le
directeur
fit annoncer sur l’affiche que, beaucoup d’Anglai
courut à la découverte, et tout l’Opéra ne découvrit rien. Camarades,
directeur
, mère et soupirants jetaient leur langue aux chat
Elle avait fait fabriquer une tête en carton qui avait les traits du
directeur
et qu’elle devait jeter sur la scène en criant :
artage causa bientôt à Nourrit une inquiétude maladive. Il supplia le
directeur
de lui rendre sa liberté. Le 4 avril, il faisait
Baden, l’une au profit des pauvres, l’autre au profit d’un malheureux
directeur
de théâtre. « Ces deux sœurs exceptionnelles, dit
Toutes deux avaient répondu à l’appel que leur avait adressé Laporte,
directeur
du Her Majesty’s Theatre. Le duel, interrompu dep
dernière. Par modestie autant que par prudence, Fanny refusa. Mais le
directeur
la supplia si vivement qu’elle accepta finalement
ues jours auparavant, à une représentation au bénéfice de M. Laporte,
directeur
de Queen’s Theatre, Mlle Fanny Elssler avait voul
oir la foi, avec sa sœur, miss Élisabeth Duncan, qui est, en fait, la
directrice
de l’École du Grünewald. Intelligente et fine, ad
lossale rendaient difficiles les rapports entre Marie Taglioni et les
directeurs
de théâtre. Sûre de trouver partout un fructueux
eau tardait à se lever. Le public perdit patience et fit du bruit. Le
directeur
, Laporte, parut et annonça que Mlle Taglioni refu
à la cour de Louis XV, la charge d’intendant des menus chez l’ancien
directeur
de l’Opéra. Singulier homme que le comte de Voisi
e faut point aller au bal quand on est chrétien ; et je crois que les
directeurs
feroient leur devoir, s’ils exigeoient de ceux do
ir un homme du monde et d’un si rare génie, donner ici des leçons aux
directeurs
de conscience sur la manière dont ils doivent se
eux ou du solo auquel les spectateurs sont habitués et qu’exigent les
directeurs
de théâtre, mais il va en réduire l’importance et
sures de son ballet qui lui semblent laisser à désirer12. Parfois les
directeurs
exaspérés menacent de le faire mettre en prison p
Rome, Naples et Florence, I, 395. Une curieuse lettre de Viganò à la
Directrice
du théâtre Royal à Vienne du 30 décembre 1806, no
son gré, de celle du goût et du génie. Garrick était propriétaire et
directeur
du théatre royal de Daury-Lane. En se donnant un
nde que raconte Nestor Roqueplan, qui, ayant été, — de 1847 à 1854, —
directeur
de l’Opéra, était, mieux que personne, en mesure
sard, accouraient à la hâte. Mlle Fiori prit alors le bras d’un vieux
directeur
de ballets et me remercia, en me disant que j’éta
ou du moins sur le silence d’un grand nombre d’ecclésiastiques et de
directeurs
des ames. Il en est en effet plusieurs qui regard
avance, et qu’elle n’a rien à réclamer pour prix de ses services. Le
directeur
autorise verbalement l’actrice à dire à tous les
orette qui a vécu dans l’intimité de jeunes vaudevillistes les trouve
directeurs
, elle se place sous leur aile et se fait modestem
l’auteur. Il s’emporte contre « le plus méprisable des coquins », un
directeur
de théâtre, semblerait-il, qui faisait des misère
i avait charmé la captivité du prisonnier de Schœnbrunn, le Dr Véron,
directeur
de l’Opéra, voulut savoir à quoi s’en tenir. Il é
encore tous les quinze jours en présence des administrateurs, ou des
directeurs
, l’essai des pompes, ainsi que l’inspection des r
u’il avoit. Ajoutez à cela les désagrémens que tout auteur essuie des
directeurs
de l’opéra. On leur paroît sans goût, si l’on n’e
oit avoir. Ajoutez à cela les désagréments que tout Auteur essuie des
Directeurs
de l’Opéra. On leur paroît criminel si l’on n’est
et a le titre d’académie royale de Musique. Il est administré par des
directeurs
élus par les particuliers associés, et c’est un d
Cahuzac ; &c. ou Recueil des Opéras, tome 1. 23. Beauchamps,
directeur
de l’Académie royale de Danse, compositeur et sur
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