mbre de ses superstitions. La Danse fut donc établie pour honorer les
Dieux
dont Orphée instituait le culte ; et comme elle f
en fut ainsi chez les Romains, qui adoptèrent successivement tous les
Dieux
des Grecs. Les Brigands qui avaient suivi Romulus
instituées dans les suites, à Rome et dans l’Italie, pour honorer les
Dieux
, dérivèrent de cette première. Chacune des Divini
Gaulois, les Allemands, les Anglais, les Espagnols qui avaient leurs
Dieux
particuliers, tous les Peuples enfin du Monde con
n beau visage, Elle s’élève dans les Cieux, Afin d’y charmer tous les
Dieux
, Jugeant cette grande victoire Seule convenable à
; Ensuite de laquelle Danse, Phosphore, Amant de ses attraits,39 Des
Dieux
, en ayant ordre exprès, Conduit cette Beauté divi
La suivent agréablement Dans les routes du Firmament, Durant que les
Dieux
Maritimes, De leurs voix douces et sublimes, Font
De leurs voix douces et sublimes, Font un concert mélodieux Digne des
Dieux
, ou demi-Dieux. Mais, pour contenter davantage
hétesses, qui étoient établis dans les Temples pour le culte de leurs
Dieux
& de leurs Idoles, dont ils tiroient souvent
, des Princes, & des peuples qui les alloient consulter comme des
Dieux
, pour sçavoir l’avenir. Ces Philosophes & bie
ille de Thémese par les habitans, en revenant du siége de Troie : les
Dieux
leur envoyerent pour punition une maladie épidémi
la riviere : alors César dit à son armée, allons où les prodiges des
Dieux
nous appellent ; cette résolution, dit Suétone, l
solitaires qu’ils n’habitent point, soient privez de la présence des
Dieux
Champêtres. Ces sortes d’habitans, dit Lucrece to
ns Philosophes ont prétendu que le mot d’Oracle veut dire langage des
Dieux
, & qu’il y en avoit qui s’expliquoient quelqu
icéron qui vivoit l’an 706 de Rome, a fait un Traité de la nature des
Dieux
, & qu’il dit avec Plutarque & d’autres fa
la Danse des Anciens considérée comme exercice. On représentait les
Dieux
occupés, après la défaite des Titans, à des danse
it qu’en pitié tous les autres hommes, fixèrent leurs regards sur les
Dieux
, et ils les imitèrent. La Danse armée fut dès lor
n faisant entendre qu’il ne croit pas que cet hymen soit agréable aux
Dieux
: sur ses refus réitérés la Reine par un signe de
Ninias paraît alors dans le même dessein de faire des sacrifices aux
Dieux
. Il s’approche du mausolée de Ninus et aussitôt c
andeau Royal, et l’épée de son père, et on lui ordonne de la part des
Dieux
d’entrer dans le tombeau, et d’immoler comme une
e pomme et sans les ordres qu’il reçut de Jupiter par le Messager des
Dieux
. Lorsque Pâris a fixé son choix, et donné la pomm
es plus lumineux descendent les cieux ; et l’on voit bientôt tous les
Dieux
de l’Olympe ; par un mouvement contraire le char
ympe et la boivent. Les Déesses satisfaites des décrets du maître des
Dieux
, applaudissent au bonheur des deux époux. Les Div
is la pomme d’or. Ce Berger en lit l’inscription ; et le Messager des
Dieux
lui fait entendre, que Jupiter le laisse Maître d
sée du ciel par Jupiter. parce qu’elle brouilloit continuellement les
Dieux
ensemble. (1). Ici Paris doit conserver dans sa
e ; le sommeil le surprend. Le sol rendu fécond par l’influence de ce
dieu
charmant, produit autour de lui un tapis émaillé
s caresses à l’Amour, comme si elles pressentoient à leur tour que ce
dieu
est leur frère. Un instant de réflexion ramène le
; elle frémit sur le danger qui menace ses filles et leur fait de ce
dieu
la peinture la plus terrible. L’Amour qui est sor
de ce qui vient d’arriver, ne regardent le fils de Vénus que comme un
dieu
bienfaisant. Dans le même instant, la cabane se t
ur formés de myrthe et de jasmin. A cette métamorphose à la quelle le
dieu
de Paphos n’a point de part, il reconnoît la prés
soupire ; plongée dans ses réflexions elle n’écoute que son cœur. Le
dieu
s’approche de plus près ; il agite ses ailes, et
tre ornée le sein de cette plume fatale, passe autour du col du petit
dieu
un ruban et le mène en laisse en jouant avec lui
le marque son embarras, elle regarde l’amour, et par le pouvoir de ce
dieu
, sa couronne se multiplie : chacune des Graces en
ne foule de petits Amours s’empresse à la couronner. A cet aspect, le
dieu
de Cythère vole aux Graces, il les prend par la m
ne la voyoit que la nuit, excita pendant quelque tems la colère de ce
dieu
, et qu’il l’abandonna quelques instans ; on n’ign
e sa divinité ; il veut lui plaire comme mortel ; j’ajouterai, que ce
dieu
ayant formé le projet d’epouser Psyché et de lui
rillant, qui soutenu par des nuages, s’élève et traverse les airs. Le
dieu
de Cythère, satisfait d’avoir dérobé Psyché aux t
tous les sentimens que l’influence secrète de l’amour lui inspire. Ce
dieu
paroît, et se place derrière elle ; les traits ai
avec précipitation : mais l’Amour a disparu ; le jour baisse ; et ce
dieu
ordonne à la cour brillante de Psyché de s’éloign
objet cher à son cœur. Cette furie se refuse aux vœux empressés de ce
dieu
; il la menace, mais peu éffrayée de son courroux
e entière, L’admirable & plaisant MOLIÈRE, Le MOME des Terrestres
DIEUX
, Comme l’autre est MOLIÈRE aux CIEUX, Illec avec
du 26 septembre 1671 La Belle PSICHE, qui tout charme,156 Justes
Dieux
! quel sujet d’allarme ! A presques passé, tout d
desserre, On vit, Lundi, ce que les yeux Ne peuvent voir que chez les
Dieux
, Ou chez LOUIS, qui les égale Dedans la pompe d’u
it dressé pour MOLIÈRE, Le MOME cher et glorieux Du bas Olympe de nos
Dieux
. Lui-même donc, avec sa Troupe, Laquelle avait
es Grecs, et les Romains avaient instituées à l’honneur de leurs faux
dieux
, et qu’on exécutait ou dans les temples, comme le
et les Romains, la partie la plus considérable du culte de leurs faux
dieux
. Celle que les prêtres d’Egypte inventèrent pour
es d’Egypte. La danse fut donc établie dans la Grèce pour honorer les
dieux
, dont Orphée instituait le culte ; et comme elle
nommées sacrées. Il en fut ainsi chez les Romains, qui adoptèrent les
dieux
des Grecs. Numa, roi pacifique, crut pouvoir adou
age à Rome et dans l’Italie, dérivèrent de cette première. Chacun des
dieux
que Rome adopta dans les suites eut des temples,
soin de les rendre très solennelles dans la célébration des fêtes du
dieu
qu’ils en croyaient l’inventeur. Elles étaient d’
s par les bacchantes pour honorer Bacchus, dont on venait de faire un
dieu
, étaient célébrées dans l’ivresse et pendant les
Elle fut, dit-on, inventée par Minerve, pour célébrer la victoire des
dieux
et la défaite des Titans. C’était une danse grave
iens Danse des Saliens. Numa Pompilius l’institua en l’honneur du
dieu
Mars. Ce roi choisit parmi la plus illustre noble
les qui furent instituées dans les suites pour célébrer les fêtes des
dieux
. (B) [voir Traité historique, Ire partie, livre I
rs superstitions. Leurs premières Fêtes n’eurent pour objet que leurs
Dieux
, et les Danses qu’ils formèrent pour les honorer,
Les Spartiates seuls étaient nus. 36. Cartari, Traité des images des
Dieux
.
oulait débiter : Mars, Apollon et Jupiter, La Lune, Vénus et Mercure,
Dieux
de différente nature, Jouèrent chacun leur Rollet
et les beaux pas, Les grâces et les gentillesses, Pourraient charmer
Dieux
et Déesses. Ô Que par Elles, quelque jour, Fleuri
n admire, Ce redoutable, et charmant Sire : Qui, sans contrefaire ces
Dieux
, Est, par ma foi, bien plus Dieu qu’eux. Ailleu
. La jeune Hébé parut de l’autre, portant le Nectar qu’elle verse aux
Dieux
. Elle était accompagnée des bergers d’Arcadie cha
ns. Ce Spectacle disparut, et il se forma un grand Ballet composé des
Dieux
de la Mer et de tous les Fleuves de Lombardie. Il
. Vulcain . Adonis . Les Graces. Nymphes. Faunes. Guerriers.
Dieux
de l’Olympe. Première partie. La décorati
nveloppés dans des filets fabriqués par Vulcain même. Il veut que les
Dieux
soient témoins de sa vengeance. En effet l’Olympe
iens, les Grecs et les Romains instituèrent à l’honneur de leurs faux
Dieux
, à celles qu’on pratiquait dans la primitive Égli
s, Et ses rares diversités. J’en puis rendre ce témoignage, Grâce aux
Dieux
, je vis cet Ouvrage, Ouvrage fin et délicat, Dont
IADEME, Puisque c’est aux soins glorieux De ce plus puissant Fils des
Dieux
, Qu’on doit notre Heur, & notre Joie, Et ces
us la Scène, En des Atours fort gracieux, Avec ses Nymphes, & les
Dieux
Tant des Eaux, que des Jardinages, Qui, pour Vale
r, Epoux de Psiché, Dont il est, tendrement, touché. Lors, tous ces
Dieux
, & leurs Escortes, Qui sont de nombreuses Coh
des Personnages, Les Machines dans les nuages, Les Héros, Déesses et
Dieux
, L’Air, la Mer, l’Enfer et les Cieux, Du Soleil,
onorable De son art plus qu’industrieux, En sait faire aussi pour les
Dieux
. En ce Ballet que nul n’égale, Dont la dépense
mpagnie, Qui les prit (jugeant de leur mieux) Pour des Déesses et des
Dieux
. Monsieur, avec sa belle Suite, Par les Grâce m
u courage des hommes. Néanmoins Homere, pour nous prouver combien les
Dieux
aimoient la Danse, dit que Vulcain forgea des Aut
eurs occupations sérieuses. Il dit encore que c’est pour cela que les
Dieux
mêmes instituerent des jours de fêtes, afin que l
près le gain des batailles. D’ailleurs il semble, dit Lucien, que les
Dieux
ont voulu distinguer toutes choses en deux, en la
imbole de la paix. Socrate, le plus sage de son tems, au jugement des
Dieux
mêmes, n’a pas seulement loué la Danse, comme une
oleil qui les découvroit, Vulcain qui leur dressoit des embuches, les
Dieux
qui accouroient au spectacle, Venus toute confuse
prendre la Musique & les exercices, à chanter les hymnes de leurs
Dieux
& les louanges des héros, pour les former de
sont en lui. Ils ne savent ce qu’ils font, mais ils le font comme des
dieux
. ÉRYXIMAQUE Je l’ai observé depuis longtemps : to
ère, mi-solennelle ! — Elles entrent comme des âmes ! SOCRATE Par les
dieux
, les claires danseuses !… Quelle vive et gracieus
toutes gâtées ? ÉRYXIMAQUE De la morsure de Socrate me préservent les
dieux
! PHÈDRE Regardez-moi plutôt ces bras et ces jamb
it !… Il se dissipe en jeunes filles, les tuniques s’envolent, et les
dieux
semblent changer d’idée !… ÉRYXIMAQUE La divine p
. Elles s’inclinent pour accueillir. ÉRYXIMAQUE Athikté ! Athikté ! Ô
dieux
!… l’Athikté la palpitante ! SOCRATE Elle n’est r
ébauche… Une simple marche, et déesse la voici ; et nous, presque des
dieux
!… Une simple marche, l’enchaînement le plus simp
a palpitation du désir, exterminer toutes espérances, ruiner tous les
dieux
qui étaient dans notre sang. Les Vertus et les pl
econdes forces, et le trésor le plus caché dans sa structure ! PHÈDRE
Dieux
! Elle peut mourir… Éryximaque, va !… ÉRYXIMAQUE
il arrive un très petit moment avant la guérison, du même pas que les
Dieux
. SOCRATE Il faut cependant aller voir. PHÈDRE Com
eigneurs la Danse, Et les concerts mélodieux Me semblèrent dignes des
Dieux
. Outre la beauté des spectacles, L’harmonie y f
rême, Qui montre qu’un simple FIAT Suffit à notre POTENTAT, Comme aux
DIEUX
dont il est l’IMAGE, Plus digne d’encens et d’hom
nt pour le ramener à des sentimens plus doux, elle lui représente les
Dieux
irrités de ses sacrifices ; que le sang humain do
ur demander vengeance. Thoas, ébranlé promet à Isménie d’appaiser les
Dieux
par des sacrifices moins barbares ; mais Oreste e
er son cœur ; elle embrasse ses genoux elle le menace du courroux des
Dieux
; mais il reste inflexible et se retire avec sa s
de la délivrer des fonctions qui déshonorent son culte, offensent les
Dieux
et font horreur à l’humanité. Les Prêtresses exéc
ieu si souvent profané par le sang des mortels, invoque le Maître des
Dieux
; la foudre gronde, frappe le temple et il dispar
saient de la Musique, pour pouvoir chanter dignement les louanges des
Dieux
et les actions vertueuses des Héros. On les exerç
merveilles Pour les yeux et pour les oreilles, Il me parut digne des
Dieux
, Et jamais on ne dansa mieux ; Outre la parfaite
primoient dans l’esprit des Peuples des sentimens de respect pour les
Dieux
. On peut juger du pouvoir qu’elles avoient sur l’
depuis partie de la cérémonie des fêtes célébrées en l’honneur de ces
Dieux
. Je rapelle chez les Lacédémoniens l’invention de
use que pour élever les bras vers le ciel ; mais dans cet instant, le
dieu
du Tonnére Lance ses foudres ; les portes du tomb
le choeur chantant articuloit quel horreur ! quel crime affreux ! ah
dieux
! etc. Oreste revenu à lui-même et jouissant d’un
sa mère, il reculoit épouvanté de son crime. Son expression disoit ah
dieux
! quel crime ! Electre par son action lui repondo
que les autres animaux n’ont pas. Don précieux, faveur singulière des
Dieux
! c’est par ce sens qu’ils nous meuvent avec une
ésespoir, se flatte que le sacrifice, qu’il va offrir, lui rendra les
dieux
favorables ; il entre dans le temple ; mais ses v
amans, ils veulent tenter une seconde fois de fléchir le courroux des
dieux
. Ils marchent vers le temple ; mais des gouffres
perte d’Euridice ; il invoque l’Amour et l’appelle à son secours. Ce
dieu
sensible à la prière du chantre de la Thrace, a r
La terre s’entr’ouvre, l’Amour lui ordonne de le suivre. Guidé par ce
dieu
et éclairé par son flambeau, il disparoît avec lu
ne chose divine & mistérieuse, qui se pratiquoit en l’honneur des
Dieux
& par les Dieux mêmes, à qui ils en attribuoi
; mistérieuse, qui se pratiquoit en l’honneur des Dieux & par les
Dieux
mêmes, à qui ils en attribuoient l’origine. Ces d
nserent d’abord aux chansons, dont la plûpart étoient des prieres aux
Dieux
pour leur demander du secours dans nos besoins, d
p; peu après être enlevée au Ciel par Phosphore & les Heures. Les
Dieux
Marins & les Déesses Marines se pressent de l
antant les avantages du Tabac, & le bonheur des peuples à qui les
Dieux
avoient-donné cette plante. La premiere Entrée fu
s son troisiéme Tableau, & Cartari dans son Traité des Images des
Dieux
, que les Anciens ont regardé Comus, comme la Divi
Et rends les airs que j’en tire, Aussi legers que tes pas. * Venez
Dieux
, venez Déesses, Danses Sacrées.La Danse au pied
loit imiter, Admirable Pantomime, Que la surprise unanime Au rang des
Dieux
fit monter. * Pas d’un amant & d’une aman
Achille Traça le Dieu de Lemnos. * Le Carnaval.Mais pressons les
Dieux
propices D’amener ces jours si chers, Où ton cult
e tous admirée, Qui représentait Citérée, Et pour régner sur tous les
Dieux
, S’élevait de la Mer aux Cieux, Étant indisposée,
osséder ce qu’elle chérit. On entoure Euthyme, on le regarde comme un
dieu
tutélaire, qui vient d’assurer à cette contrée la
amans pour les conduire au temple de l’hymen : c’est à l’autel de ce
dieu
que l’innocence et le courage doivent être unis p
Parnasse, aussi respecté des Poètes que le Styx était redoutable aux
Dieux
de la Mythologie ; ou plutôt j’en jure par le Rep
compagner de leur musique guerrière les hymnes qu’ils adressoient aux
dieux
protecteurs de leur pays. Le calme bien rétabli,
fleurissent, Sachant l’arrivée en ces Lieux Des FILLES du Premier des
DIEUX
, Comme d’Elles ils croient naître, Ils viennent l
régale habituellement de champagne et de jolies figurantes. Il est le
dieu
du matérialisme et son regard, qui insulte l’espr
ssoires furent également réformés. Les vieilleries mythologiques, les
Dieux
avec leurs attributs invariables, les Amours avec
e mérite suffit, étaient rares. En général, on s’inclinait devant ces
dieux
puissants. On les redoutait ; on les flagornait.
ntations sont des hymnes qui exaltent la gloire et la magnificence du
dieu
. Les auteurs et les artistes sont loués ou maltra
ie beauté. Dans le temple de l’Art, Véron élevait des autels aux faux
dieux
dont le culte, hélas ! n’est pas encore entièreme
sur ce marbre sacré, et s’engagent solemnellement et en présence des
Dieux
, de n’être point parjures à leurs serments ; Dana
soutenir cet excès d’outrage, et regardant Lincée comme celui que les
Dieux
ont conservé pour le punir de ses forfaits, il or
s que vous pleurez. Elles vivent. Vous les reverrez. J’en atteste les
Dieux
qui vous les ont conservées. J’en jure par l’Amou
s les plus extraordinaires, les prodiges éclatants, les descentes des
Dieux
, le cours des Fleuves, le mouvement des flots de
me disposition symétrique est maintenue dans les bonds de sa danse de
dieu
guerrier. Mais le jeu du bras, du poignet, des ja
, Un Air, de louanges tout plein Pour le MONARQUE et pour MADAME, Ces
Dieux
, empruntant lors la Gamme De deux modernes Amphio
es Jardins, les Déserts, Les Palais, les Cieux, les Enfers, Les mêmes
Dieux
, mêmes Déesses, Soit à blondes, ou brunes Tresses
séjour de la volupté et à obéir promptement aux ordres du maître des
dieux
. Enée rend dans son sommeil toutes les expression
la ville de Carthage, et un bûcher élevé pour faire un sacrifice aux
Dieux
. Scène I. Enée, accompagné des officiers Tro
a honte ; la confusion de Vénus, la rage de Mars, la joie maligne des
Dieux
, qui accourent en foule à ce spectacle. L’assembl
elle-ci était l’art d’imiter les mœurs, les passions, les actions des
Dieux
, des Héros, des hommes, par des mouvements et des
d’Artifice] Ces Feux furent suivis d’un Festin superbe, dont tous les
Dieux
de la Fable apportèrent les services, en dansant
grand personnage, grand de toute la tête plus que moi, beau comme un
dieu
antique, timide comme une jeune fille, mélancoliq
érita du beau talent de Dupré et de son sobriquet ; on le proclama le
dieu
de la danse ; il égala son maître en perfection,
es vices : c’est pourquoi nous voyons qu’Homere attaque hardiment les
Dieux
, de même que les Peintres les ont tournez en ridi
la terre, elles ayent été jusque dans le Ciel observer la majesté des
Dieux
, pour en faire part aux hommes, comme elles peign
iles Sculpteurs, qui pénétrez du mérite de leur art, consacrerent aux
Dieux
leurs ouvrages, croyant que les hommes en étoient
en méchant de se déclarer ennemi d’un art qui travaille à honorer les
Dieux
, à instruire les hommes, & à leur donner l’im
per, des simboles allégoriques, de l’yconologie, & des images des
Dieux
, n’ont point eu de meilleures raisons, pour prouv
rop petits. Moyse, qui en savoit plus que le défunt directoire, à qui
dieu
fasse paix et miséricorde, ne monta pas, le jour
u si clairement que ce sont bien plutôt les hommes qui fabriquent les
dieux
à leur image que les dieux qui créent les hommes
bien plutôt les hommes qui fabriquent les dieux à leur image que les
dieux
qui créent les hommes à la leur… Comment l’impér
ance » remarquable. Mlle Payne prétend être la girl de demain. Justes
dieux
! Elle aura lu l’Ève Future : elle paraphrase Vil
ès, Les bravos sans fin et les frais bouquets, Et les voix disant : «
Dieux
! qu’elles sont belles ! » Et pourquoi pas, donc
es sénateurs vénitiens, gardent des attitudes semblables à celles des
dieux
et des héros sculptés au flanc des vases ou des s
tait avec les scènes habituelles de ballet illustrant les amours d’un
dieu
et d’une mortelle parmi des bosquets et des porti
des hommes menacés de mourir de faim et leur faisait enseigner par le
dieu
Pan l’art des travaux champêtres et pastoraux. La
rgissent des entrailles de la terre et reprennent la lutte contre les
dieux
. À partir de ce moment l’intrigue languit et il f
or. En sortant de ce jardin, il découvrira le vieil Atlas sur qui les
Dieux
se reposent du poids immense du monde. L’Espagne
celui des chansons : leurs lois et leurs histoires, les louanges des
dieux
et des grands hommes, furent chantées avant que d
joie. Enfin il y avait encore des hymnes ou chansons en l’Honneur des
dieux
et des héros : telles étaient les jules de Cérès
la Grèce, les premiers chants connus furent des vers en l’honneur des
dieux
, chantés par les poètes eux-mêmes. Bientôt adopté
étachés, etc. En 1727 on y donna avec succès la cantate du Retour des
dieux
sur la terre, dont les paroles sont de M. Tanevot
remier acte de Phaéton sert à toutes les métamorphoses de Protée ; ce
dieu
se transforme successivement en lion, en arbre, e
de son ressort, et on ne peut le produire que par l’intervention des
dieux
de la fable et par le secours de la féerie ou de
dieux de la fable et par le secours de la féerie ou de la magie. Les
dieux
de la fable développent sur ce théâtre la puissan
bles. De la haine elles passoient avec rapidité à la tendresse, et ce
dieu
les unissoit aux paysans. Vous voyez, Monsieur, q
nus par la supériorité de leurs talens, les idoles des grands, et les
dieux
de la populace. Ces ombres m’apparûrent, je m’inc
. Elle éloigne ses enfans, elle évoque les élémens, les enfers et les
dieux
; elle change le sallon en une grotte épouvantabl
upplie Jupiter de lui accorder cette nouvelle victoire, Le Maître des
Dieux
est sensible à la prière de son fils ; la foudre
furent ses impressions, d’après sa 43e Lettre de Paris : « Tous les
dieux
de l’Olympe y figurent : Bacchus, Flore, Zéphire,
toute ma mythologie. Au temps de ma jeunesse, je connaissais tous mes
dieux
et déesses aussi bien que mes oncles et tantes. J
rait sur son Théâtre à tous les Arts la carrière la plus étendue. Les
Dieux
, les premiers Héros dont la Fable nous donne des
le cœur de ce roi, auparavant si sage, qu’elles lui firent suivre des
dieux
étrangers. Qui ne doit pas trembler à la vue de c
le plus magnifiquement qu’on pouvait : cette troupe représentait les
dieux
de la fable, les différentes nations, etc. et éta
de thermes ou cariatides, sur des piédestaux ; ils représentaient les
dieux
et déesses de la Victoire, avec leurs attributs.
. La jeune Hébé parut de l’autre, portant le nectar qu’elle verse aux
dieux
; elle était accompagnée des bergers d’Arcadie ch
ns. Ce spectacle disparut, et il se forma un grand ballet composé des
dieux
de la mer et de tous les fleuves de Lombardie. Il
de tous les charmes des fables anciennes ; enfin que la descente des
dieux
parmi nous embellirait la terre, et donnerait une
t du bruit. Ces feux furent suivis d’un festin superbe, dont tous les
dieux
de la fable apportèrent les services, en dansant
blie solennellement la prêtresse. Le superbe conquérant de l’Inde, le
dieu
des richesses, l’ambition, le caprice, cherchèren
ement [voir Débordement] de ce fleuve. Le vol rapide et surprenant du
dieu
qui partait du haut des cataractes, et se précipi
um nova Cybeles, cette nouvelle Cybèle enrichira l’olympe de nouveaux
dieux
. Sur les côtés de cet arc de triomphe, étaient de
illages d’or, couvert de vignes et de raisins. On voyait la statue du
dieu
en marbre blanc, qu’environnaient les satyres en
la tendresse ; elle s’oppose à leur départ ; elle insulte Rome et les
Dieux
; elle se précipite alternativement dans leurs br
*** On plaçait aux siècles antiques Sur les autels du corridor Les
dieux
pénates domestiques Faits de marbre, d’argile ou
sainte Que toute famille adora : Aujourd’hui l’artiste nous donne Le
dieu
pénate ou la madone Nés dans le ciel de l’Opéra81
Char, machine d’opéra, espèce de trône qui sert pour la descente des
dieux
, des magiciens, des génies, etc. Il est composé d
on de la lyre d’Apollon, dans un festin qui fut fait en l’honneur des
Dieux
; ce qui fut aussi cause que les Egyptiens le cho
les il dit que l’ancienneté a donné la conduicte & patronnage aux
Dieux
mesmes, bien contraire en cela, à la pluspart de
nt encore plus besoin qu’eux ? quel contre-sens que celui qu’offre le
dieu
Pan et une partie des Faunes et des Silvains de s
feu, et ceux qui sont à coté d’eux, ont un teint pâle et livide. Les
Dieux
marins, les Tritons, les Fleuves, les Ondins ont
ntaisie des princes du sang, des grands seigneurs et des prélats… Mon
dieu
, oui : des prélats. C’est ainsi qu’on put lire, u
es immortelles, Elles ne sont que trois, le nombre est incomplet : Le
dieu
vous choisirait pour former le ballet Et pour fig
ais vue ! Tous les Elémens y jouent un rôle ; on y voit en action les
Dieux
& Paillasse, Junon & Arlequin. Depuis que
iel son vol ambitieux, 60 Entretient dans ses vers commerce avec les
dieux
. Aux athlètes dans Pise elle ouvre la barrière, C
qu’au ciel son vol ambitieux, La Chaconne sans doute est la Danse des
dieux
. Aux lutteurs en Aulide2, elle ouvre la barrière,
abattement s’explique en des termes moins fiers. &c. Que pour ses
dieux
Enée ait un respect austère. Conservez à chacun s
, chap. 3. Socrate, le plus sage de tous les hommes, au jugement des
dieux
même, n’a pas seulement loué la Danse comme une c
e ressource certaine ; l’Europe galante, les Eléments, les Amours des
Dieux
, et peut-être les Fêtes Grecques et Romaines. D’o
e dans tous les mouvemens, qui à mérité au célèbre Dupré, le titre de
dieu
de la danse. En effet, cet excellent danseur avoi
; le charme a disparu, et je ne vois plus qu’une charge ridicule d’un
dieu
ou d’une déesse, à la place de la figure imposant
ambochades ? on ne peut-on être ému que par un spectacle continuel de
Dieux
et de héros introduits sur la scène ?
bambochades, ou ne peut-on être ému que par un Spectacle continuel de
Dieux
& de Héros introduits sur la Scene ?
p; ceux qui chantent à côté d’eux ont un teint pâle & livide. Les
Dieux
marins, les Tritons, les Fleuves, les Ondains ont
r la situation, se précipita étourdiment dans la trappe à la suite du
dieu
des enfers. Il n’y eut plus qu’un cri sur le théâ
plus allongés, de ces enjambées immenses qui ressemblent à celles des
dieux
d’Homère ; Fanny peut passer sous les jambes de s
ne voix de Niagara pour prêcher à ces gredins qu’il existe encore des
dieux
plus élevés que ceux dont on frappe l’effigie à l
essa de s’associer à un hommage rendu au compositeur qui avait été le
dieu
tutélaire de sa famille. Elle souscrivit pour une
salle envahie par un public qui se confond à toutes les places ; les
dieux
et les héros en habits bourgeois, ou bien affublé
enger comme le commun des martyrs ce serait à dégoûter du plaisir des
dieux
; la Lorette a donc perfectionné ce genre d’exerc
▲