ment… je n’ai pas vu la reine Victoria. — Un jour, à Nice, on vint me
demander
de danser devant la reine Victoria. Elle venait d
mois d’hiver. On peut imaginer si je me trouvais flattée d’une telle
demande
. Je répondis, bien entendu, par l’affirmative et
eine que j’avais arrêtée !… Simplicité princière. — A La Haye, on me
demanda
de donner une séance pour le grandduc et la grand
s l’escalier de l’hôtel une dame, à l’expression très douce et qui me
demanda
: — Vous êtes miss Loïe Fuller ? Vos danses m’ont
i et se mit à me parler. Lorsque nous arrivâmes à destination, je lui
demandai
si elle ne voulait pas me dire son nom. — Victori
nslow et d’autres personnes de sa suite. Elle m’envoya chercher et me
demanda
de lui montrer une de mes robes. Je lui apportai
ême que ce que vous faites avec qui compte. Je me souviens qu’elle me
demanda
de lui signer une photographie. Et lorsque je fus
lle du fond. Le propriétaire revint bientôt vers notre groupe et nous
demanda
si nous ne voulions pas l’aider à recevoir le roi
s amis, à voix distincte et en français : — Quel beau sauvage ! Je me
demande
s’ils sont tous taillés sur ce modèle-là en Afriq
ns amis… Je dansais à Marseille à cette époque. Il vint au théâtre et
demanda
à me voir, après la représentation. — Que pouvons
échange de la grande joie que votre danse vient de nous procurer ? me
demanda-t
-il. Je réfléchis une minute : — Je serais très c
it prêt pour recevoir le souverain. — Quand commencera la cérémonie ?
demandai
-je au roi, dès qu’il fut arrivé. — Nous dirons no
les gens de sa suite regardaient le ciel, tout autour d’eux, et je me
demandai
pourquoi. Voyant ma surprise le roi me dit qu’ils
gnifiquement marquée sur ses traits. Tandis que nous causions, je lui
demandai
la permission de lui poser quelques questions ind
tes. Après qu’il eut consenti en souriant de son joli sourire, je lui
demandai
s’il était marié. Il répondit affirmativement. Il
anche n’a ni charme, ni beauté. Ceci me surprenait beaucoup et je lui
demandai
si c’était parce qu’elles n’avaient jamais vu de
Empire. Je pense que ce serait trop exiger de Son Excellence que lui
demander
d’oublier ma faute. Si j’avais su que ma défectio
où il lui plairait. Jamais je n’aurais cru possible, en effet, de lui
demander
de venir à l’Hippodrome. Une de ses dames d’honne
danses valent vraiment la peine d’être vues. Si je plais, la Reine me
demandera
peut-être de venir danser un jour devant elle. »
. Nous sommes ici toute une bande — deux loges pleines — et nous vous
demandons
de vous joindre à nous après la représentation. V
s je n’oublierai sa mine tandis qu’il me faisait des excuses. Sans me
demander
à présent de me joindre à « sa bande » il disparu
des grands hôtels de la ville, on refusa de me recevoir. Sans trop me
demander
ce que cela voulait dire j’allai ailleurs. Mais j
je n’arrivais pas à comprendre, je retournai à l’hôtel en question et
demandai
à parler au directeur. En me voyant il fut stupéf
ïc Fuller ! Je lui donnai l’assurance que j’étais bien Loïe Fuller et
demandai
pourquoi il n’avait pas voulu me recevoir dans so
le nom de l’hôtel que me désignait l’électricien. Je le priai donc de
demander
à quelle époque j’étais descendue chez la bonne h
e je me trouvais à Bucarest. Je fus donc plus perplexe que jamais, et
demandai
à l’électricien de continuer son enquête et de fa
uvris que Loïe Fuller y était venue également avant moi. Ce que je me
demande
souvent c’est quelles « imitations », dans la vie
revenir, et, comme ils voulaient aussi envoyer leurs enfants me voir,
demandaient
si je ne donnerais pas de matinée. J’étais en tra
, et je suis très contente que vous soyez venue me voir. Puis elle me
demanda
si je pouvais obtenir tous mes effets d’éclairage
embla qu’un voile de tristesse couvrait soudain la peinture, et je me
demandai
si la Princesse ne regretterait jamais sa transpl
us parlâmes de danse. — Avez-vous jamais dansé devant ma grand-mère ?
demanda
la Princesse. — Non, jamais. A Nice, une fois, j’
etté, car une autre occasion ne s’est plus présentée. La Princesse me
demanda
encore si le Roi et la Reine d’Angleterre m’avaie
e. — Eh bien, il faut que vous dansiez pour eux un jour. Puis elle me
demanda
si j’avais dansé devant son cousin l’Empereur d’A
de me douter dans quelles circonstances la chose devait se passer. Je
demandai
à la Princesse Marie, si elle s’était jamais inté
ongtemps nous parlâmes de ces danses, la Princesse et moi, et elle me
demanda
: — Pourrions-nous réaliser des tableaux de ce ge
éresser plus que ce qu’elle avait vu au théâtre. Puis la Princesse me
demanda
mille autres choses encore, et nous étions tellem
Cour. Quand je vis la foule que cela représentait tout de même, je me
demandai
comment on pourrait placer tout le monde. Nous av
per était prêt depuis déjà longtemps et la séance finit là. Le roi me
demanda
, il m’en souvient, si je pouvais danser « Home, s
se, qui était la seule personne que je connusse en Roumanie, pour lui
demander
de me venir en aide. J’allai chez elle à neuf heu
d’art autour de soi, on se serait cru dans un minuscule musée. Je lui
demandai
ce qu’elle aimait le mieux parmi les choses qui é
incesse Marie, c’est-à-dire que l’on voulût bien faire tout ce que je
demanderais
. On me versa, contre un chèque, l’argent dont j’a
ent, et je reconnus en l’un d’eux mon exilé de la Jamaïque. Mais cela
demande
une explication. En 1890, je fus engagée par un a
iver et alors que j’étais à peine âgée de six semaines !… Un jour, je
demandai
à ma mère et à M. Morris d’inviter le nouveau ven
tard, lorsque je débutai aux Folies-Bergère et qu’un monsieur élégant
demanda
à me parler, avec son ami le ministre des Finance
pliquait son air de tristesse lors de notre première rencontre, il me
demanda
: — A quoi puis-je vous être bon ? Vous semblez a
nières de parler : celle qu’il employait pour les choses banales, les
demandes
quelconques, les ordres à donner, et celle qu’il
it la coquetterie presque féminine. A déjeuner, un jour, quelqu’un me
demanda
si j’aimais beaucoup M. Dumas, et je répondis en
l’âge avant de savoir qu’on ne monte pas une côte au galop. Alors je
demandai
: — Qu’est-ce qui les pousse à courir de la sorte
me souviens qu’il y avait là un M. Singer, un vieil ami de Dumas, qui
demanda
s’il était « indiscret », et qui se leva pour pre
semble que l’on ne doit pas y faire beaucoup de façon ; néanmoins il
demande
autant d’application que les autres pas, & c’
le bras gauche pour le conduire avec la justesse & la douceur que
demande
cette action. Il se fait aussi des Piroüettez qui
ue les danses de Ville qui ne sont que gracieuses par elles-mêmes, ne
demandent
que des mouvemens doux & remplis de beaucoup
pas pour cela dispensé d’être appuyé sur des preuves. Notez que je ne
demande
pas ici, qu’elle est celle des deux nations qui e
and ils auront affirmé qu’en Italie on aime mieux la musique, je leur
demanderai
encore dans quel pays on l’aime de la meilleure f
derai encore dans quel pays on l’aime de la meilleure façon ? je leur
demanderai
de plus, pourquoi ils quittent presque tous le pa
oi ils quittent presque tous le pays où ils sont tant aimés ; je leur
demanderai
enfin si leur désintéressement leur fait chercher
mot. On me le présenta comme le bras droit de l’administrateur. Je me
demandai
comment il arriverait à se tirer d’affaire sans p
dis pas une seule parole franchir le seuil de ses lèvres. A table, je
demandai
à Mme Claretie, tout bas et en anglais : — Serait
pour moi elle en commandait pour elle, mais en ayant soin de ne point
demander
, deux factures. Je n’avais jamais ni gants, ni vo
de Tiffany. Mais le bouquet, ce fut lorsqu’un élève des Beaux-Arts me
demanda
si je ne pouvais pas lui rendre soixante-dix fran
e un monsieur de Londres, que je tenais en trop haute estime pour lui
demander
quoi que ce fût, et qui me réclamait dix livres s
tableau. Mme Claretie me présenta à la dame âgée. C’était sa mère. Je
demandai
à la vieille dame comment elle se portait. — Oh !
ympathisai avec elle et le lui dis. Puis soudain, j’eus l’idée de lui
demander
son âge. — Quatre-vingt-quinze ans, me dit-elle.
lâmes de ses petits-enfants et de ses arrière-petits-enfants ; je lui
demandai
si le bonheur d’être entourée de tant d’affection
bien fait, mais il faut tout de même que je m’occupe. Mme Claretie me
demanda
si je connaissais Alexandre Dumas. Je lui raconta
appuyé fortement sur les mots subventionné et stupide. M. Claretie me
demanda
qui était ce jeune homme. Je n’avais pas très bie
es à la main, très aimable aussi et précise en ses indications et ses
demandes
, se mêlait à Jean-Baptiste demi nu, à Hérode en m
u’au moment où l’on vint nous avertir que le déjeuner était servi. Je
demandai
à l’homme et à la femme s’ils avaient mangé. Quan
, une longue conversation. L’homme avait toujours été aveugle. Je lui
demandai
s’il pouvait percevoir la différence des couleurs
t en évaluer jusqu’au prix. Je mis alors une rose dans sa main et lui
demandai
ce que c’était. Il n’hésita pas un instant et me
elle chose qui existe sur la terre, me dit-il, c’est la femme. Je lui
demandai
alors qui était la personne qui l’accompagnait. I
a malheureuse me jetait entre deux paupières éraillées et rougies, je
demandai
à l’aveugle mélomane : — Et elle vous plaît, votr
age ? La femme, les yeux bas, regardait toujours son tablier bleu. Je
demandai
alors à l’aveugle comment il avait vécu jusqu’alo
ils se marièrent sans retard. — Mais comment parvenez-vous à vivre ?
demandai
-je. — Ah ! ce n’est pas toujours aisé de joindre
ux. Je m’arrêtai, pour causer avec le vieux. — Vivez-vous seul ? lui
demandai
-je. — Oh non, me répondit-il avec certitude, car
Je sens quand les pommes de terre sont bien pelées. — Et les fruits,
demandai
-je, et la salade ? — Oh ! ça, nous n’en avons pas
s, en tous temps, j’avais vu ma petite femme de ménage joyeuse. Je me
demandais
de quelle gaîté elle témoignerait quand enfin la
e rangeais à l’avis qu’il m’avait précédemment exposé et que j’allais
demander
au directeur des Folies-Bergère de m’engager. Qu’
e n’entrai pas moins dans le théâtre. Je dis l’objet do ma visite. Je
demandai
à voir le directeur. On me répondit que je pourra
f d’orchestre, — M. Henri Hambourg, — Marten Stein, ma mère et moi. —
Demandez
à M. Marchand, dis-je à Marten Stein, pourquoi il
it la langue de Shakespeare. Marten Stein, à présent, transmettait ma
demande
. — J’ai engagé cette danseuse, répondit M. Marcha
ntine, et que je ne pouvais pas me laisser devancer par lui. — Mais,
demandai
-je, y a-t-il encore d’autres danseuses de ce genr
s à bout, complètement à bout de forces. Je regardai le directeur. Je
demandai
: — Et la dernière ? — Oh ! nous n’en avons pas b
rmann, à Neuilly. De loin, j’entendais une fanfare de chasse et je me
demandais
, non sans étonnement, dans quelle partie de Neuil
de plus en plus, et d’un air mystérieux. Je ne pus m’empêcher de lui
demander
d’où partaient les sons que j’entendais et s’il y
et je l’ai comprise. Mais je n’étais pas émue du tout alors, et je me
demandais
quel était cet étrange bonhomme qui me paraissait
tit vieux nous quitta. — Pourquoi veut-il que je voie sa collection ?
demandai
-je à Rachel Boyer. — Pourquoi ? répondit Rachel B
s surfaces toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. — Est-ce du marbre ?
demandai
-je, pour dire quelque chose, tant je me sentais t
homme de cœur et comme un critique d’art. En nous disant adieu, il me
demanda
de revenir. Un jour, le conservateur du musée de
e, tems de Courante, pas de Sissonne, Contretems & autres pas qui
demandent
du contraste ou de l’opposition, pour lors c’est
amp; que l’on puisse parvenir à cette précision de grace que la danse
demande
.
ble, ce petit homme agité, blanc et blond, puis, tranquillement, sans
demander
son reste, prit la porte et sortit. Cette attitud
ent le prix d’une bouteille de vin rouge, très ordinaire, qu’il avait
demandée
. — Voulez-vous que je vous dise, hurla-t-il, vos
ut. Des yeux, il chercha le pont, mais sans y réussir. Il se décida à
demander
sa route. Tout le monde marchait d’un pas si accé
voulez, ce n’est pas aux domestiques à courir après vous pour vous le
demander
. Ils ont autre chose à faire. Et par le plus pro
préoccupa pendant quelques jours. Enfin, à la veille de débarquer, il
demanda
à nouveau à l’Américain quel jour ils déjeuneraie
Le jour du déjeuner arriva et M. Boosey fut exact au rendez-vous. Il
demanda
M. X…, et on lui donna une table. Une heure et de
pale venue pour me donner une sérénade. A la fin de mon séjour, on me
demanda
de prendre part à une représentation de charité.
is on ne peut plus embarrassée de mon butin. En revenant à l’hôtel je
demandai
au gérant de mettre tous ces bijoux en lieu sûr.
ent en Europe, de sorte que je n’ai jamais rendu les bijoux. Et je me
demande
parfois ce que doivent penser mes amies de quelqu
, bien entendu, ni lui, ni ses rubis ! Je crois que dorénavant, on me
demanderait
en vain de me charger d’un paquet pour le passer
amp; cette jambe reste en l’air pour faire tel pas que votre danse le
demande
; mais afin de vous en donner la démonstration da
iberté sans paroître gêné dans tous les divers mouvemens que la danse
demande
, sur-tout avec cette grace, & justesse que ce
quiconque se présente ; La fille opulente, le premier Monsieur qui la
demande
en mariage. III Cela est tellement vrai, su
iens d’avoir. L’air moral ne doit pas m’aller du tout. J’en suis à me
demander
pourquoi je viens d’être aussi sentencieuse. Et à
me elle prétend les employer. Eh bien, grâce à ces cinquante centimes
demandés
une cinquantaine de fois dans la nuit, les femmes
e à des femmes à tournure gracieuse, n’hésite pas à faire ce qu’elles
demandent
: il rapporte le numéro. — Gardez-le-moi, lui dit
Comprends-tu cela ? Chassée… forcée à mon âge de mendier un asile, de
demander
peut-être mon pain ! Si encore je pouvais me reme
e vins a paris Peu après mes débuts au Madison Square Theater on me
demanda
de danser à une représentation de charité au théâ
a représentation où un billet vint me la rappeler. J’avais négligé de
demander
à mon directeur la permission de paraître à cette
re la direction du Madison et moi. L’associé de mon directeur m’avait
demandé
, comme une véritable faveur, de venir à un bal do
. Enchantée à l’idée de lui être agréable, j’acceptai. Lorsque je lui
demandai
la date de la fête, il me dit de ne pas m’en préo
is la voiture qui m’avait amenée, et tandis que nous rentrions, je me
demandais
ce que Don’t think club pouvait bien vouloir dire
une enfant du pays. Peu après mon début aux Folies-Bergère, une dame
demanda
à me voir. C’était la comtesse Wolska, Polonaise
s deux hommes ne se parlaient pas. Enfin je m’en rendis compte, et je
demandai
toute surprise : — Est-il possible que deux des p
en revanche, s’unissent pour fatiguer les yeux et le cerveau. Je lui
demandai
s’il croyait que les couleurs dont nous nous ento
davantage. Mais comme je n’avais vraiment pas de temps libre, je lui
demandai
de vouloir bien s’occuper des accessoires du dîne
ept heures, et le chef se décida à payer en mon lieu et place. On lui
demanda
300 francs. Le prix lui parut exorbitant, et il n
ue vous faites un autre pas comme de Bourrée, ou tels que la Danse le
demande
; cette petite action, quand elle est faite à pro
à danser avec tout le bon goût, & la delicatesse que cet exercice
demande
, à quoi je me flatte d’avoir réussi. Mais si par
ant : — Alors, il faut que je me dépêche. — Comment t’y prendras-tu ?
demanda
ma mère. Je m’arrêtai un moment pour réfléchir. —
en furent. Tous étaient agités, pressés et avaient l’air anxieux. Que
demandaient
-ils ? Allaient-ils emporter tous les billets ? Et
que peut-être vous me laisserez tout de même… la voir si… je vous le
demande
. — Où est votre mère ? — Là, dehors. Et je désign
de la bonne aubaine, si reconnaissant, le brave homme ! Sarah m’avait
demandé
de venir déjeuner chez elle, le jour où il lui mo
e. Lui non plus ne comprenait pas le français. Pâle, décomposé, il me
demanda
de traduire ce que disait Sarah. Mais elle ne me
t, cette fois en anglais : « Horrible ! horrible ! » — Que dit-elle ?
demanda-t
-il en faisant autour de son oreille un cornet de
là me procurer une heureuse surprise. Elle consentit, quand je le lui
demandai
, à poser de nouveau, et je regrettai que le petit
Belle au Bois dormant. J’envoyai quelqu’un auprès de Sarah pour lui
demander
lequel de mes éclairages elle désirait. Et voici
us n’avez jamais vu. Il regarde toutes vos affiches et chaque fois il
demande
des explications : il n’a que trois ans et demi.
ta dans mes bras. — Oh ! dit-elle, embrassez la belle fée pour moi et
demandez
-lui si je peux revenir la voir danser. Ce fut les
ance. Le père prit des informations à mon sujet, et m’écrivit pour me
demander
s’il pouvait m’amener sa fille, jeune personne de
n’en fusse pas réellement un ; et, lorsqu’elle me fut présentée, elle
demanda
: — Mais pourquoi Jack met-il des robes de fille
Fuller, j’avais alors neuf ans. Je vous dis qu’à dix-huit ans je vous
demanderais
d’être ma femme. — Oui, je m’en souviens. — Eh bi
s, il suffit de l’opposer au premier pas. Mais comme cette opposition
demande
une démonstration, pour la rendre plus sensible ;
es mouvemens des bras avec la grace & la précision que cet Art le
demande
.
et, il lui fallait une musique très douce et un éclairage vague. Nous
demandâmes
à l’électricien du théâtre de mettre des lampes v
s yeux. C’était à Londres, quelques mois auparavant. Une amie m’avait
demandé
de venir dîner avec quelques officiers que l’on f
s, qui penserez cela ? — Croyez-vous que j’aurai le temps de penser ?
demanda-t
-il. Et disant cela il souriait. Ils étaient essen
ris à les connaître par la suite. Je quittai la table en oubliant de
demander
leurs noms à mes voisins, et lorsque j’y pensai,
u’il m’affirma sèchement qu’il ne pouvait faire plus pour moi. Je lui
demandai
alors s’il croyait que j’allais continuer à danse
is remise à pleurer et j’étais tout en larmes lorsque j’y arrivai. Je
demandai
à voir le directeur et lui racontai mon histoire.
tout de suite et signer le contrat dès le lendemain. En rentrant, je
demandai
s’il n’était rien venu pour moi du Casino. Rien !
et kawakami — Quel est l’auteur des pièces que joue Sada Yacco ? me
demanda
un jour un écrivain de mes amis. — Kawakami, son
ait toujours des espèces de billes faisant saillie dans la figure. Je
demandai
à Kawakami : — Ne trouvez-vous pas qu’il a une dr
nnaître son impression plus approfondie quant à notre race, et je lui
demandai
à quoi les Européens ressemblaient au point de vu
x faire exécuter chez moi. Qu’il soit honnête et intelligent, je n’en
demande
pas davantage pour faire avec lui un bail de dix-
viens de vous soumettre ont surgi rapidement dans mon esprit. Il m’a
demandé
s’il trouverait des facilités pour se loger et se
us êtes libre de suivre mon conseil ou de révoquer mon arrêt. Je vous
demande
de réfléchir et de m’aimer toujours comme je vous
st alors qu’arriva un monsieur qui, nous voyant tout interdites, nous
demanda
ce qui s’était passé. Je lui désignai l’homme à l
ent impossible de les séparer les uns des autres. Je me suis toujours
demandé
, si un jour ne viendrait pas où cette question d’
ent je fais. Je ne puis que répondre, comme Hippocrate, lorsqu’on lui
demanda
ce qu’était le temps : — Demandez-le-moi, je ne
qu’était le temps : — Demandez-le-moi, je ne le sais pas ; ne me le
demandez
pas, je le sais. C’est de l’intuition, de l’insti
ras et l’autre jambe. S’il y a accompagnement de musique, chaque note
demande
un mouvement correspondant, et le mouvement, cela
t plus conscience de ce qui se passait autour d’elle. J’allai, sur la
demande
du médecin, chercher une femme de confiance qu’il
nction pour laquelle je m’étais si généreusement offert. Puis elle me
demanda
mon nom et, comme je lui remettais ma carte, elle
l rencontra un autre danseur de ses amis, qui l’invita à dîner et lui
demanda
si j’étais quelque chose. M. Fiori se tourna vers
ble situation. De tendresse et d’indulgence, il ne fallait pas lui en
demander
; j’étais sa chose, et pourvu que je fusse toujou
y veille, et le diable sera bien fin s’il me la prend. » Quand je lui
demandais
l’explication de ces paroles mystérieuses, il me
onnaissance, car il me regarde et m’adresse un faible sourire. On lui
demande
s’il souffre, il répond que non, et demande qu’on
un faible sourire. On lui demande s’il souffre, il répond que non, et
demande
qu’on l’aide à se lever. Mais le médecin s’y oppo
ssé dans le foyer, voulait m’emmener malgré ma résistance, le médecin
demanda
au duc s’il trouvait quelque satisfaction à me vo
avait fait pour moi. Il n’écouta pas, et se tournant vers moi, il me
demanda
si j’allais encore le quitter. « Non, répondis-je
tes. Cependant que l’Opéra prépare une de ces soirées de danse tant
demandées
, nous continuons à nous prêter de bonne grâce à l
sont pas des excès de cabotinage ou des surcharges mimiques que nous
demandons
à l’étoile, mais un peu moins d’impersonnalité co
croisez le pied, ou bien la figure que la danse que vous apprenez le
demande
. Ainsi je suppose que vous deviez le faire du pie
les regles de l’Art. Mais comme ce pas est très-gracieux, & qu’il
demande
quelque reflexion pour le bien faire ; c’est ce q
fraîchisse mon luth au prélude de mes accents ! Style lyrique ! je te
demande
la permission de renoncer à l’instant même à ta f
plus temps de modifier mon ignorance, de rafraîchir ma mémoire et de
demander
au vieil Homère pourquoi il n’avait pas prévu l’e
ubriand, Victor Hugo, et Odry, l’Homère de la maréchaussée, pour leur
demander
compte de l’absence de la note sympathique qui ma
e marche triomphale ! Classement des spécialités. A cette
demande
: qu’est-ce qu’une Lorette ? Voici la réponse : —
z les marchands de bric à brac de la cour des Fontaines, ou bien elle
demande
à un peintre un grand-père de fantaisie quand ell
nuit ceux ou celles qui ne dorment pas dans leurs meubles, et de leur
demander
s’ils ont des passeports ou s’ils ne confectionne
usement par les propriétaires des appartements à louer. Jamais on n’a
demandé
à une locataire les preuves de son état civil. J’
ble, il tire à part le garçon, et lui dit : Toutes les fois que je te
demanderai
tout haut du vin de Volnay tu nous donneras du Be
l’article vin. — Je ne pense pas, monsieur, dit le garçon… vous avez
demandé
trois fois du Volnay. — Oui, disent les dames, no
robe chiffonnée, ça m’offusque. Et en disant cela, la Lorette sonna,
demanda
un fer chaud, continua son opération, et passa au
ettres de l’alphabet. Elles écrivent J rai vous voir. Et si vous leur
demandez
pourquoi elles suppriment dans j’irai l’apostroph
clamation à la vue de votre couvert en étain. — Madame de B…, je vous
demanderais
un couteau. — Mon Dieu, c’est un fait exprès ! ce
à dévorer son dépit, — mais il ne dévore que ça. Au rôti, un monsieur
demande
une pomme-reinette. Ah… ah… ah… ah… est le cri gé
mis. — Voulez-vous me permettre de me compter au nombre de vos amis ?
demande
le rusé nez de carton. — Comment donc, monsieur !
e à chaque bal d’Opéra cinquante à soixante billets. Le nez de carton
demande
chaque soir à son portier si on n’est pas venu in
gchamps va trouver madame… elle lui apporte un bouquet-monstre et lui
demande
la permission de lui amener le soir quelques amis
bal. La maîtresse du logis, avertie enfin, prend la chose en riant et
demande
à madame de Longchamps où elle aura un orchestre.
arton a renoncé aux bals par souscription. Excentricités.
Demander
à la Lorette de modifier ses allures générales et
sa charte, son catéchisme, son évangile, pour lesquels il ne faut pas
demander
de réforme. La Lorette a ses joies, ses haines, s
e doute de sa métamorphose ; si un sergent de ville s’approche et lui
demande
l’exhibition de sa permission, elle lui rit au ne
place avec la gravité d’un député qui se retire de la tribune où il a
demandé
qu’on empêchât les tribunes d’éternuer. Il y a to
héréditaire. Suivons la répartition de ses capitaux. Bien des gens se
demandent
à quoi l’argent peut servir aux Lorettes ; et san
ur applaudir les auteurs. Mais les faits positifs nous manquent, nous
demandons
le dépôt aux renseignements. La caisse d’épargne.
ences de plusieurs manieres suivant les differentes occasions qui les
demande
, je les expliquerai chacune en particulier, confo
e suis latine. Lorsque je la considère, je pense comme elle, et je me
demande
s’il existe une façon de comprendre que nous ne p
’elle désirait. Et le dialogue suivant s’établit : — Est-elle jolie ?
demanda
la mère de Gab. — Non, elle n’est pas jolie, répo
iver et c’est cela que je cherche sans cesse. » Son interlocuteur lui
demanda
encore s’il n’y avait pas un système établi ou de
de Gab après avoir répondu au salut du directeur, qui prenait congé,
demanda
encore à la buraliste : — Est-elle comme il faut
e que vous êtes, mais telle que vous m’apparûtes ce jour-là. Et je me
demande
si son amitié, si solide et si sûre, n’est pas in
circonstances, en emprunte à la danse : elle peut donc à son tour en
demander
au chant ; j’usai de celte complaisance réciproqu
; ils exigeoient du mouvement, des gestes et de l’expression. C’étoit
demander
l’impossible ; comment faire mouvoir des statues
ble de l’action et lui donneroient de la force et de l’énergie. Je ne
demande
point de vers ; je ne veux que des mots entrecoup
ts, et que l’art n’exige que de la gaieté et de l’enjouement. Je leur
demanderai
si le sujet de Médée est bien joyeux, si une femm
s objets qui l’environnent. Le Picq profita de la circonstance et fit
demander
à l’Empereur qu’il me permit de lui dédier mon ou
autres vertus ; et le grand moyen d’obtenir cette grâce, c’est de la
demander
instamment à Dieu. C’est ce que reconnoît Salomon
a prière, et je lui dis de tout mon cœur : etc. Ce principe posé, je
demande
si les personnes qui vont aux danses, croient pou
nce : quelles prières seroient celles qu’elles feroient alors pour en
demander
la conservation, et quel effet auroient-elles dev
devant Dieu ? Ne seroit-ce pas plutôt l’insulter que le prier, de lui
demander
de ne pas périr dans des dangers auxquels on s’ex
e divertissement, ou qui ne s’y opposent que foiblement. Réponse. Je
demande
si l’autorité de ces confesseurs si indulgens, es
, parce qu’il désiroit de l’être. En effet, quand le roi Josaphat lui
demanda
s’il n’y avoit pas quelque prophète du Seigneur p
ncouragés, & l’on fera disparaître un abus tout-à-fait criant. Je
demande
qui l’on doit considérer le plus, ou de celui qui
s. C’est à-peu-près comme si le compère de Polichinel était obligé de
demander
la permission de ses marionnettes, lorsqu’il veut
rès s’être suspendue à ses bras, la danse trahit la musique. Elle lui
demande
ce grand cœur, passionné et tendre, dont elle ne
rades à qui je te prie de faire mes compliments ont dû voir que je ne
demandais
pas mieux que de revenir à Paris sous deux mois a
les occupent, et qui prouvent qu’ils peuvent les occuper encore. Je
demande
à vous, Citoyen Conseiller d’État, je demande au
es occuper encore. Je demande à vous, Citoyen Conseiller d’État, je
demande
au Gouvernement, ce que tous mes confrères ont da
âtres du Gouvernement français, ou si je n’en suis pas jugé digne, je
demande
une retraite honorable, et telle que peut la méri
que vous savez fixer et que vous rendez si précieux. Mais j’ose vous
demander
quelques jours pour rassembler mes idées vagues e
oie, succède à la tristesse. On entoure en tumulte le jeune Hymen. Il
demande
du silence. Toutes les bouches se ferment, et tou
ion et la joie. Il profite de ce moment. Il se découvre, se nomme, et
demande
pour récompense la jeune Athénienne qu’il aime. U
le corps sur le droit ou sur le gauche, selon que le pas qui suit le
demande
. Mais lorsque vous en avez plusieurs de suite, co
u’en sautant vous gagnez le terrain pour faire la Figure que la danse
demande
, il est gai c’est lors qu’il y en a plusieurs de
, quoi ! Maintenant, je jouerais des rôles à M. Mélingue, si on me le
demandait
. L’ami , bas à l’habitué. Quelle drôle de fill
a , le regardant. Monsieur n’habite pas Paris ? L’ami. Pourquoi me
demandez
-vous cela ? Alida. Pour rien. — Garçon, donnez-
uerite la huguenote, qui en est la reine. Ne fais pas la bêtise de me
demander
des détails sur sa vie privée, je ne dis jamais d
opreté de Flaman le dans les relations extérieures. Une chatte qui ne
demande
pas mieux que de chiper des confitures, mais qui
u comme on dit ! En entrant, un soir, au foyer, mademoiselle Mercédès
demande
: — Devinez où j’ai passé ma journée ?… Au Jardin
it nom, le moyen de ne pas être brune ! Le nez kalmouck. Des yeux qui
demandent
l’aumône à la porte d’un couvent de Carmes. Une b
est restée éloignée du théâtre pendant un laps assez prolongé. Ne me
demandez
pas la cause de cette absence. Je serais obligé d
arlant, je la suppose douée de goûts au moins bizarres. Quelqu’un lui
demandait
: — Lequel préférez-vous, de Delibes, de Métra, d
té le zundnadelgewehr ou la machine à vider les lapins. Quelqu’un lui
demandait
: — Vous êtes Allemande, n’est-ce pas ? — Oui, mo
t que, quand les jeunes filles vont aux vignes… — Et votre fille, lui
demandai
-je, elle n’a pas encore vendangé ? — Non, me répo
rie : « On dit même que ce bobo a un correspondant autre part. » On
demande
l’adresse exacte de ce correspondant. Mademoi
ette lacune a été comblée par une deuxième danseuse étoile. Nous nous
demandons
quel genre de satisfaction peut tirer l’artiste,
Le comte, frappé de cette lettre stoïque, offrit le moment de fièvre
demandé
et une paire de boucles d’oreilles estimées quatr
petite fille par la main. — Oh ! la jolie enfant ! A qui est-elle ?
demanda
mademoiselle Antier, — A moi, mademoiselle. — Il
t même aux Allemands, tous gens ruinables, sacrifie quelque chose, et
demande
de s’essayer gratis. Le directeur fait valoir alo
présent, proposa-t-elle, si nous renvoyions la petite ?… *** Vous me
demanderez
, peut-être : — Comment vivent ces demoiselles ? J
nscience, Vient d’épouser Rem publicam. Mademoiselle Grandpré fut «
demandée
» en même temps par l’amiral anglais Knowles et p
— Oh oui, dit le président, et elle a eu beaucoup de succès. Ma mère
demanda
des explications. Le président lui dit alors : —
ngtemps après, elle était encore toute pâle et tremblante, et elle me
demanda
pourquoi je ne l’avais pas prévenue de ce que j’a
e Mlle Zambelli ? Parfaite. Le rôle malencontreux de l’Ombre Affligée
demande
plus que du talent : du dévouement ; Mlle Schwarz
alent : du dévouement ; Mlle Schwarz a bien voulu se sacrifier ; nous
demandons
néanmoins que M. Aveline lui refasse un enchaînem
e position ; comme il est expliqué dans ma premiere Partie : ainsi il
demande
une opposition ; c’est pourquoi si vous avez le p
uiéme position, & au second vous vous jettez à la deuxiéme qui ne
demande
point d’opposition ; c’est pourquoi il suffit de
res ; car les œuvres sont des produits, des offres, qui supposent des
demandes
, des besoins. Voilà bien de la philosophie, pen
uire un univers que d’expliquer comment un homme tient sur ses pieds.
Demandez
à Aristote, à Descartes, à Leibniz et à quelques
Les philosophes sont friands d’images : il n’est pas de métier qui en
demande
davantage, quoiqu’ils les dissimulent parfois sou
n jeu. Il commence par son commencement ordinaire. Et le voici qui se
demande
: « Qu’est-ce donc que la Danse ? » Qu’est-ce d
ameux embarras de saint Augustin. Saint Augustin confesse qu’il s’est
demandé
un jour ce que c’est que le Temps ; et il avoue q
moteur et mû sont enchaînées et dans un certain ordre, — qu’elles se
demandent
et se répondent les unes les autres, comme si ell
s disait un jour : « Les blondes, c’est comme les œufs à la neige, ça
demande
à être battu. » Qui expliquera jamais le cœur des
ise elle s’éviterait l’ennui de rougir quand un de ses soupirants lui
demande
une mèche de ses cheveux. XXIX Voilà mon Ma
rompit le silence la première. — Qu’y a-t-il pour votre service ? lui
demanda-t
-elle, fort intriguée de ce long mutisme. Sans rép
eur russe, d’accord en cela avec mon directeur parisien, M. Marchand,
demanda
à m’engager, et je signai avec lui pour Saint-Pét
ait certainement tombée si je n’avais été là pour la soutenir. Je lui
demandai
ce qu’elle avait. Elle n’en savait rien, mais dep
d, sa barbe de Christ et son sourire cauteleux. J’allai à lui, et lui
demandai
s’il parlait un peu l’anglais. Il n’en savait pas
ore en disant : « Je suis le singe le mieux habillé de Paris. » je me
demande
si la princesse a jamais pu être laide ? Il y a u
nd succès. Une dame enfin pria mon amie de danser chez elle. L’étoile
demandait
très cher, mais, persuadée par moi, la dame conse
rendue chez tous les gens auxquels je l’avais présentée afin de leur
demander
de prendre des billets : Elle en aurait placé ain
té dans une prison. (serm. 251, n.° 7.) « Quel est cet adversaire »,
demande
le saint docteur ? Et il répond : « L’adversaire
turellement pour la vérité, puisqu’ils n’aiment point à être trompés,
demande
(Confess. l. 10, c. 23.) « pourquoi ils craignent
n.° 5, tom. i, p. 1309.) « Que nous marque le Seigneur en se cachant,
demande
le saint docteur, sinon que la vérité se cache à
roisième moyen d’en recevoir de Dieu la connoissance, c’est de la lui
demander
souvent. Nous pourrions employer pour cela très-u
’ai entrepris dans cette vue et dans cette intention. J’ai eu soin de
demander
à Dieu qu’il voulût bien bénir mon travail ; et j
ment elles ont commencé. Quelles sont les pompes du diable. Vous me
demandez
, Monsieur, quel crime a commis et quelle peine mé
nitence sincère, en état de recevoir l’absolution avant que de la lui
demander
. Les casuistes qui trouvent le moyen de rendre pr
ans les danseurs. Mais je m’engage insensiblement dans cette matière.
Demandez
à Dieu, Monsieur, qu’il me fasse oublier le monde
classiques français richement reliés. A quelques mois de là, Napoléon
demanda
à la jeune femme : — Eh bien ! avez-vous été cont
en singulières : elles se font prier pour accorder une chose qu’elles
demanderaient
si on ne la leur demandait pas. » Elle possède
prier pour accorder une chose qu’elles demanderaient si on ne la leur
demandait
pas. » Elle possède plusieurs petits proverbes
outes ses batteries devant elle. Il répondit à un de ses amis qui lui
demandait
si son hommage avait été accepté : Oui, cette jeu
nt allée faire un voyage à Londres : — Depuis quand est-elle partie ?
demanda
le docteur Véron au général. Celui-ci tira sa mon
stique qui déposa un énorme sac à ses pieds. — Qu’est-ce que cela ?
demanda
Pauline. Sur un signe de son maître, le moujik év
dans la boîte !… — Malheureux ! s’écria la jeune femme, je vous avais
demandé
la dent du bas, et vous m’apportez celle du haut
erpellé reconnut l’ancien tragédien, et quand celui-ci lui décocha sa
demande
habituelle : — Hé ! sacrebleu ! répliqua-t-il de
vry voulut s’asseoir sur un praticable placé au fond du théâtre. Elle
demanda
donc un tabouret, et, en rejetant ses jupons en a
t ! Quand M. Feydeau commença à écrire Monsieur de Saint-Bertrand, il
demanda
justement à mademoiselle Emma Livry de vouloir bi
eur, son succès sera dû à votre seule protection ; & pour vous la
demander
j’ai recours à cette bonté, qui, avec tant d’autr
rin, qu’ils entassent du fumier et qu’ils préparent leurs champs, ils
demandent
avec la plus morne outrecuidance à Newton formula
de nous l’observation scrupuleuse des Règles dramatiques, c’est nous
demander
l’impossible. [9] Au surplus nous ne pouvons pas
plaisent par le terrible ainsi que par l’agréable ; la variété qu’on
demande
dans les Spectacles exige que nous traitions alte
sont curieux comme des crinolines. — Comment vous êtes-vous perdue ?
demandent
-ils tous. Qu’est-ce que ça leur fait ?… On se per
i j’en avais une il me semble que je serais moins seule. III Je
demande
la permission de m’arrêter pour me livrer à l’écl
votre atelier, et vous m’avez aussi fait l’honneur non moindre de me
demander
mon opinion. Cette opinion, je tiens moi-même bea
s moi-même un sacré sentimental : ce fardeau d’humanité m’accable. Je
demande
à la danse la sensation esthétique seule, la plus
nt précédée, ne méritent pas qu’on les nomme. Elle débuta en 1704, et
demanda
sa retraite en 1730, elle fit le charme de ce spe
opéra en 1734, mais passionnée pour son art, elle y rentra en 1740 et
demanda
définitivement sa retraite en 1751. La Paix ne ré
onction sainte que toutes les personnes qui liront ce traité doivent
demander
, et que je dois aussi prier Dieu de leur accorder
en avant, aussi sont-elles plus respectueuses ; c’est pourquoi elles
demandent
aussi plus de circonspection, mais on en est reco
rien dans votre manière de vous réjouir qui puisse l’offenser. Et que
demande
saint Paul pour qu’on se réjouisse ainsi dans le
tout le monde. Et voit-on régner dans les danses cette modestie que
demande
le saint Apôtre ? Mais, dit-on, si on ne permet a
tout mal et n’en approuver aucun, quelque petit qu’il soit ? On nous
demande
à quoi, en interdisant les danses, nous voulons q
ur Petipa. Devenue jolie à force de volonté. Des épaules qui auraient
demandé
à être plus remplies. Une Fenella accomplie dans
onta a pris sa retraite voici tantôt deux ou trois ans. — Savez-vous,
demandait
mademoiselle Baratte, pourquoi Laure ne sort pas
n début, dans son désir de bien faire, il ne lui était pas échappé de
demander
à Dieu la grâce de réussir le lendemain ? Et comm
, comme le chien qui vous précède chez le maître de céans, et l’on se
demande
ce que sera l’avenir. C’est l’impression que l’on
m’accompagnaient. Nous partîmes. Dans la voiture qui nous ramenait je
demandai
à mes amis s’ils pouvaient décrire leurs impressi
et sans rien éprouver des mauvais effets qu’on leur attribue. Mais je
demande
: veille-t-on assez sur son cœur pour s’apercevoi
e pas, & ainsi du coude avec le poignet. Mais comme ces mouvemens
demandent
un éclaircissement net, & que les Figures dém
même espérance qui nous anime. D’ailleurs, nous savons que Dieu nous
demande
notre travail, et non le fruit de ce travail dont
dre éternellement malheureuse après la mort. Ce que dit Jésus-Christ,
demande
qu’on mène sur la terre une vie plus resserrée et
, et que la nature lui a donné tous les moyens adaptés à un genre qui
demande
de la gaieté, des graces naïves, de l’esprit, du
, et que la nature lui a donné tous les moyens adaptés à un genre qui
demande
de la gaieté, des grâces naïves, de l’esprit, du
n me passe cette expression) commencent à entrer en danse ; et on les
demande
souples et gracieux. Dans les deux premiers genre
Tout ce que la belle danse exige des Dupré, des Vestris, celle-ci le
demande
à ses Danseurs, et ce n’est pas tout : l’art du g
rches, à mes études, aux efforts que je fais pour l’amuser, je ne lui
demande
pas davantage ; cette gloire me suffit. 42Mais j
au nauffrage se cramponent à un morceau de liège. Les arts imitateurs
demandent
une certaine hardiesse, que le génie seul peut in
mon ésprit étonné, sous la forme des Géants ; je réfléchis, et je me
demande
si ce sont les règles qui ont opéré tous ces mira
rer, il s’écrioit avec emphase : que de choses dans un menuet ! On le
demandoit
de tous les côtés. Les femmes de la cour, et cell
le plus de passion. Je lui racontai l’histoire du rondeau, et je lui
demandai
la permission de le lui danser. Il pensa étouffer
it toujours l’endroit où s’exécutaient ces Jeux et ces Spectacles qui
demandaient
quelque préparation… J’avais fait construire à ce
uier, puisque je n’ai d’autre désir que celui de vous amuser. Je vous
demande
franchise et sincérité. Lisez cette première lett
ait eu plus de temps à lui pour les compositions fréquentes qu’on lui
demandait
, il y aurait mis sans doute plus de correction. C
ment ; estimez-vous, encouragez-vous : donnez le ton au Public qui ne
demande
pas mieux que de le prendre. Son penchant le port
reprendre un autre, ou tel autre pas que la danse que vous dansez le
demande
; mais pour se mettre dans l’habitude de faire ai
de faire d’un pied ce que vous faites de l’autre. Ainsi, si l’on vous
demandoit
de combien de pas le fleuret est composé, vous po
nture une Poésie muette, & la Poésie une Peinture parlante. Elles
demandent
toutes deux un génie extraordinaire, qui les empo
de l’interrompre ; mais Démétrius l’ayant fait venir, & lui ayant
demandé
avec quelle confiance il osoit travailler au mili
spectateurs, la Peinture peut faire la même chose, quand le sujet le
demande
, & qu’il est comme nous le supposons, bien ex
leurs prix & leurs difficultez : mais l’exécution de la Peinture
demande
beaucoup plus d’étude & de tems que celle de
ieuse, dans le tours du vers, & dans la rime : quoique ces choses
demandent
de la réfléxion, de la lecture, & de la prati
une infinité de connoissances & une étude opiniâtrée. Le dessein
demande
un exercice qui produise une si grande justesse d
ent aux âges, aux séxes, & aux conditions différentes : cela seul
demande
des études & des réfléxions de beaucoup d’ann
que Paulus, après avoir subjugué le dernier Roi de Macédoine, envoya
demander
aux Athéniens un Philosophe excellent pour l’inst
aux talens extérieurs de la nature ; mais l’exécution de la Peinture
demande
beaucoup de réfléxion & d’intelligence : il s
n, celui-ci, après avoir considéré l’enfant pendant quelques minutes,
demanda
brutalement à la mère : — Que diable voulez-vous
ès. Ces divers accidents lui firent prendre l’ouvrage en grippe. Elle
demanda
au directeur l’autorisation de se faire remplacer
faut des vols, beaucoup de vols ! Un vol de plus ou de moins, je vous
demande
un peu ce que ça peut faire à Duponchel ! On ente
nt à les décrocher. Le sauvetage s’acheva dans la coulisse. Le public
demandait
des nouvelles des deux malheureuses et de leur sa
la musique exécutait un air vif et original : — Qu’est-ce que cela ?
demanda
la jeune femme au général. — Madame, c’est la pol
sait pas lui-même, qu’il faisait faire les tuyaux en question. — Où ?
demande
M. Véron d’une voix formidable. — Rue Nicolas-Fla
Pour tout autre parti, je refuse mon consentement. Puis, quand on lui
demandait
: — Et vous, qui épouserez-vous ? — Oh ! moi, rép
mprit tout le parti que son ambition pouvait tirer d’un talent qui ne
demandait
qu’à être développé. De son côté, Carlotta sentai
dans la vie et l’art le plus raffiné, le plus enveloppant ! Nous nous
demandions
comment on pourrait les remplacer ; nous doutions
e gratification exceptionnelle de cinq francs. Nombreuses étaient les
demandes
, nombreux les remplacements, car, à la moindre fa
roduit par l’ablation. “Malheureux, s’écrie l’espiègle, je vous avais
demandé
la dent du bas, et vous m’apportez celle du haut
ença le Mari de la danseuse, roman ou l’héroïne était brûlée vive, il
demanda
à Emma Livry de lui expliquer le langage chorégra
affirmait Roqueplan, — d’autres, plus éprises de réalités correctes,
demandent
au sacrement le décor de la considération : et c’
pour l’execution d’icelles tous Actes requis & necessaires, sans
demander
autre permission, & nonobstant clameur de Har
ces danses de « promenade » et de maintien. Cela n’a l’air de rien et
demande
cependant une science peu commune de l’attitude :
étrie, fille de l’Art, sera toujours bannie de la Danse en action. Je
demanderai
à tous ceux qui ont des préjugés d’habitude, s’il
u contraire que la régularité se trouve dans l’irrégularité même ; je
demande
des grouppes ingénieux, des situations fortes, ma
vait être à l’étranger. C’est alors qu’a été formée par M. Pillet une
demande
en résiliation des engagements et en paiement des
; un artiste n’est pas un facteur, ni un commis du directeur. « Je le
demande
à mon adversaire lui-même, dit-il en s’adressant
d’applaudir au talent, à la grâce de Fanny Elssler, on était venu lui
demander
si elle était la factrice ou le commis de M. Léon
. Elle n’avait pas l’intention de danser dans sa ville natale. On lui
demanda
si instamment de le faire qu’elle y consentit, ma
a déesse. Mais du jour où il l’a vue ses sentiments ont changé. Il se
demande
de quelle sphère est venu cet être incomparable,
instants, se reflétaient sur ton visage le ciel et l’abîme. » Prati
demande
ensuite à la mystérieuse créature comment elle a
terminé, les organisateurs furent pris de scrupules et crurent devoir
demander
au pape-roi l’autorisation d’offrir un diadème à
eurs fois dans l’étude de pièces nouvelles. Des artistes venaient lui
demander
conseil. Elle enseignait à la grande tragédienne
n Excellence, et restait inflexible même lorsque toute la société lui
demandait
d’accorder un petit quart d’heure de grâce au vie
ncien mari, Gilbert de Voisins. L’impertinent et incorrigible Gilbert
demanda
à sa voisine de table en montrant celle qui avait
aîtres étrangers, car il est humainement impossible qu’elles viennent
demander
des conseils à une collègue, surtout quand cette
l, le Corsaire, se fit l’organe de la pudeur effarouchée. « Pourquoi,
demandait
-il, la nomme-t-on encore Fanny Elssler ? Elle n’e
ameurs attendaient au pied de Castle-Garden, et la foule assemblée se
demandait
avec curiosité à quel haut personnage elles étaie
iers, l’a conduite sous une tente dressée en forme de pavillon et lui
demanda
si elle ne serait pas effrayée d’une salve d’arti
ne serait pas effrayée d’une salve d’artillerie. Mlle Fanny Elssler a
demandé
à mettre le feu à la première pièce. Aussitôt une
r devant le désir d’une dame ; je vais, mademoiselle, soumettre votre
demande
à ma société. » Il revint en disant que, pour cet
la connaissance du ministre de France, M. de Bacourt. Celui-ci ayant
demandé
du lait avec son thé, l’hôtelier s’excusa de ne p
à celle qui l’a signée : « Messieurs, « Il y a près d’un an que je
demandai
s’il n’avait été établi dans cette ville aucun fo
essources permanentes ont été affectées à ce but charitable, et on se
demande
naturellement pourquoi il n’a été fait dans cette
lement acquise en stocks des Etats-Unis et de l’Ohio. Elle pouvait se
demander
si elle avait été bien conseillée. Le temps était
produit de 1789. — Gavarni. — Ce que je lui dois. — Ce que le cancan
demande
. — Rigolhocher. — La tarentule des Italiens. — Me
mille. Je me souviens qu’un jour un gandin de la plus belle venue m’a
demandé
très-sérieusement comment se portait mon père, M.
rès loin, crier : « Vive l’art ! Vive la Loïe ! ». Je me suis souvent
demandé
si la police leur avait été aussi clémente au ret
Exposition coloniale, quelqu’un des hauts commissaires artistiques me
demanda
s’il ne me plairait pas de donner un soir une rep
que la symétrie doit toujours être bannie de la danse en action. Je
demanderai
à tous ceux qui ont des préjugés d’habitude, s’il
contraire, que la régularité se trouve dans l’irrégularité même ; je
demande
des grouppes ingénieux, des situations fortes, ma
sublime aujourd’hui ne l’est-il pas le lendemain dans le même rôle ?
demandez
lui raison de sa foiblesse, et du froid qui s’est
leviers, les charnières qui composent les ressorts de notre machine,
demandent
à être exercés dans tous les sens, pour ne rien p
rfums ; les autres, des Fleurs et des fruits. Zélis, Sultane favorite
demande
un miroir ; on le lui présente ; elle s’y regarde
résente un cabinet du Sophi. Il vient y attendre Zélis. Elle lui a
demandé
un entretien particulier qu’il n’a pu lui refuser
il y a rassemblés, qu’elles supposent dans ce beau génie ; je me suis
demandé
mille fois, pourquoi au Théâtre, la plus grande p
Cependant il ne faudrait jamais danser ce que l’on pourrait dire. Ne
demandons
à la pantomime que de fournir pour le spectacle d
e, & après qu’ils ont dansé, il va reconduire la Reine, & lui
demande
poliment qui elle souhaite qu’il prenne, & ap
Mais, en revanche, n’est-ce point au sommeil et aux songes, que nous
demandons
de dissoudre les ennuis et de suspendre les peine
n’ai rien dit de si cruel encore ! — Ô mes amis, je ne fais que vous
demander
ce que c’est que la danse ; et l’un et l’autre pa
reurs… Tout menace aussitôt de périr, et Socrate en personne me vient
demander
un remède, pour ce cas désespéré de clairvoyance
élucider maintenant… Mais j’ai quelque chose encore qu’il faut que je
demande
à Éryximaque. ÉRYXIMAQUE Ce que tu voudras, cher
s éclats de vigueur, me propose une extrême pensée : de même que nous
demandons
à notre âme bien des choses pour lesquelles elle
, pour laquelle le Dieu, et la sagesse, et la profondeur qui lui sont
demandés
, ne sont et ne peuvent être que des moments, des
u’elle n’est pas morte ? ÉRYXIMAQUE Regarde ce très petit sein qui ne
demande
qu’à vivre. Vois comme faiblement il palpite, sus
iré vers cet endroit, Oreste en est apperçu, le chef de la troupe lui
demande
ses armes et ordonne qu’on le charge de fers. Ore
ve, on l’assied, et son épouse, après avoir renvoyé les esclaves, lui
demande
quel est le sujet de la situation où elle le trou
e son culte ; enfin que tant de sang versé se réunit (peut-être) pour
demander
vengeance. Thoas, ébranlé promet à Isménie d’appa
emploi, leur patrie ; les deux Princes ne lui répondent que pour lui
demander
la mort. Ce courage héroïque offense le Tyran ; i
ée, estropiée. Elle s’adresse au Médecin et à l’Apothicaire pour leur
demander
quelque secours. Ils l’interrogent. Elle a la mal
le se prit de pitié pour un petit Savoyard de six ou sept ans qui lui
demandait
la charité ; comme elle avait du temps à perdre,
it cessé de dîner à table, de sortir avec elle. Au reste, personne ne
demandait
plus de ses nouvelles. Les courses qui allaient a
la jeunesse n’y comprenait plus rien, et que, d’une seule voix, elle
demande
autre chose… La Danseuse Et quoi ? Moi À peu près
tant le romantisme avait raison contre elle. Pourquoi ? Vous allez me
demander
pourquoi ? La Danseuse Oui. Moi Parce que la vie
son argent, il fait entendre qu’il meurt de faim. Un Pauvre vient lui
demander
l’aumône. Paillasse exprime sa misère, Le Mendian
IX. Les gens qu’a désigné le Magicien arrivent en corps. Il leur
demande
une somme considérable. Ils résistent, mais cèden
ées sur un bouquet de diamans, que sa cruauté réserve à Créuse ; elle
demande
au fer un instrument propre à assouvir sa rage ;
ait ses tendres adieux à Jason ; elle l’unit à Créuse, en feignant de
demander
au ciel de combler de faveurs une union si parfai
e… On venait de lui infliger une forte amende : — Pourquoi cela ? lui
demandai
-je. — Pour avoir, au lieu de ma signature, dessin
les du corps de ballet chargées de ce pas difficile et dangereux, les
demandes
étaient nombreuses et nombreux aussi les remplace
r mettre aux petits oignons… — Tu n’aimerais pas mieux aux carottes ?
demanda
l’autre. Les carottes, c’est si rafraîchissant !…
on lisait la lettre et l’on y répondait… Ces demoiselles d’à présent
demandent
bien encore s’il y a quelque chose pour elles… M
les extrémités de mademoiselle Hairiveau, il me prenait envie de lui
demander
: — C’est chez Pradier que vous vous êtes fournie
ir danser, il n’y en a qu’une seule de savoir le faire. * * * J’avais
demandé
récemment, en m’apitoyant sur la léthargie chorég
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