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1 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
ment… je n’ai pas vu la reine Victoria. — Un jour, à Nice, on vint me demander de danser devant la reine Victoria. Elle venait d
mois d’hiver. On peut imaginer si je me trouvais flattée d’une telle demande . Je répondis, bien entendu, par l’affirmative et
eine que j’avais arrêtée !… Simplicité princière. — A La Haye, on me demanda de donner une séance pour le grandduc et la grand
s l’escalier de l’hôtel une dame, à l’expression très douce et qui me demanda  : — Vous êtes miss Loïe Fuller ? Vos danses m’ont
i et se mit à me parler. Lorsque nous arrivâmes à destination, je lui demandai si elle ne voulait pas me dire son nom. — Victori
nslow et d’autres personnes de sa suite. Elle m’envoya chercher et me demanda de lui montrer une de mes robes. Je lui apportai
ême que ce que vous faites avec qui compte. Je me souviens qu’elle me demanda de lui signer une photographie. Et lorsque je fus
lle du fond. Le propriétaire revint bientôt vers notre groupe et nous demanda si nous ne voulions pas l’aider à recevoir le roi
s amis, à voix distincte et en français : — Quel beau sauvage ! Je me demande s’ils sont tous taillés sur ce modèle-là en Afriq
ns amis… Je dansais à Marseille à cette époque. Il vint au théâtre et demanda à me voir, après la représentation. — Que pouvons
échange de la grande joie que votre danse vient de nous procurer ? me demanda-t -il. Je réfléchis une minute : — Je serais très c
it prêt pour recevoir le souverain. — Quand commencera la cérémonie ? demandai -je au roi, dès qu’il fut arrivé. — Nous dirons no
les gens de sa suite regardaient le ciel, tout autour d’eux, et je me demandai pourquoi. Voyant ma surprise le roi me dit qu’ils
gnifiquement marquée sur ses traits. Tandis que nous causions, je lui demandai la permission de lui poser quelques questions ind
tes. Après qu’il eut consenti en souriant de son joli sourire, je lui demandai s’il était marié. Il répondit affirmativement. Il
anche n’a ni charme, ni beauté. Ceci me surprenait beaucoup et je lui demandai si c’était parce qu’elles n’avaient jamais vu de
Empire. Je pense que ce serait trop exiger de Son Excellence que lui demander d’oublier ma faute. Si j’avais su que ma défectio
où il lui plairait. Jamais je n’aurais cru possible, en effet, de lui demander de venir à l’Hippodrome. Une de ses dames d’honne
danses valent vraiment la peine d’être vues. Si je plais, la Reine me demandera peut-être de venir danser un jour devant elle. »
2 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
. Nous sommes ici toute une bande — deux loges pleines — et nous vous demandons de vous joindre à nous après la représentation. V
s je n’oublierai sa mine tandis qu’il me faisait des excuses. Sans me demander à présent de me joindre à « sa bande » il disparu
des grands hôtels de la ville, on refusa de me recevoir. Sans trop me demander ce que cela voulait dire j’allai ailleurs. Mais j
je n’arrivais pas à comprendre, je retournai à l’hôtel en question et demandai à parler au directeur. En me voyant il fut stupéf
ïc Fuller ! Je lui donnai l’assurance que j’étais bien Loïe Fuller et demandai pourquoi il n’avait pas voulu me recevoir dans so
le nom de l’hôtel que me désignait l’électricien. Je le priai donc de demander à quelle époque j’étais descendue chez la bonne h
e je me trouvais à Bucarest. Je fus donc plus perplexe que jamais, et demandai à l’électricien de continuer son enquête et de fa
uvris que Loïe Fuller y était venue également avant moi. Ce que je me demande souvent c’est quelles « imitations », dans la vie
3 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
revenir, et, comme ils voulaient aussi envoyer leurs enfants me voir, demandaient si je ne donnerais pas de matinée. J’étais en tra
, et je suis très contente que vous soyez venue me voir. Puis elle me demanda si je pouvais obtenir tous mes effets d’éclairage
embla qu’un voile de tristesse couvrait soudain la peinture, et je me demandai si la Princesse ne regretterait jamais sa transpl
us parlâmes de danse. — Avez-vous jamais dansé devant ma grand-mère ? demanda la Princesse. — Non, jamais. A Nice, une fois, j’
etté, car une autre occasion ne s’est plus présentée. La Princesse me demanda encore si le Roi et la Reine d’Angleterre m’avaie
e. — Eh bien, il faut que vous dansiez pour eux un jour. Puis elle me demanda si j’avais dansé devant son cousin l’Empereur d’A
de me douter dans quelles circonstances la chose devait se passer. Je demandai à la Princesse Marie, si elle s’était jamais inté
ongtemps nous parlâmes de ces danses, la Princesse et moi, et elle me demanda  : — Pourrions-nous réaliser des tableaux de ce ge
éresser plus que ce qu’elle avait vu au théâtre. Puis la Princesse me demanda mille autres choses encore, et nous étions tellem
Cour. Quand je vis la foule que cela représentait tout de même, je me demandai comment on pourrait placer tout le monde. Nous av
per était prêt depuis déjà longtemps et la séance finit là. Le roi me demanda , il m’en souvient, si je pouvais danser « Home, s
se, qui était la seule personne que je connusse en Roumanie, pour lui demander de me venir en aide. J’allai chez elle à neuf heu
d’art autour de soi, on se serait cru dans un minuscule musée. Je lui demandai ce qu’elle aimait le mieux parmi les choses qui é
incesse Marie, c’est-à-dire que l’on voulût bien faire tout ce que je demanderais . On me versa, contre un chèque, l’argent dont j’a
4 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
ent, et je reconnus en l’un d’eux mon exilé de la Jamaïque. Mais cela demande une explication. En 1890, je fus engagée par un a
iver et alors que j’étais à peine âgée de six semaines !… Un jour, je demandai à ma mère et à M. Morris d’inviter le nouveau ven
tard, lorsque je débutai aux Folies-Bergère et qu’un monsieur élégant demanda à me parler, avec son ami le ministre des Finance
pliquait son air de tristesse lors de notre première rencontre, il me demanda  : — A quoi puis-je vous être bon ? Vous semblez a
nières de parler : celle qu’il employait pour les choses banales, les demandes quelconques, les ordres à donner, et celle qu’il
it la coquetterie presque féminine. A déjeuner, un jour, quelqu’un me demanda si j’aimais beaucoup M. Dumas, et je répondis en
l’âge avant de savoir qu’on ne monte pas une côte au galop. Alors je demandai  : — Qu’est-ce qui les pousse à courir de la sorte
me souviens qu’il y avait là un M. Singer, un vieil ami de Dumas, qui demanda s’il était « indiscret », et qui se leva pour pre
5 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XII. De la maniere de faire les bras avec les Pirouettez. » pp. 243-246
semble que l’on ne doit pas y faire beaucoup de façon ; néanmoins il demande autant d’application que les autres pas, & c’
le bras gauche pour le conduire avec la justesse & la douceur que demande cette action. Il se fait aussi des Piroüettez qui
ue les danses de Ville qui ne sont que gracieuses par elles-mêmes, ne demandent que des mouvemens doux & remplis de beaucoup
6 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7
pas pour cela dispensé d’être appuyé sur des preuves. Notez que je ne demande pas ici, qu’elle est celle des deux nations qui e
and ils auront affirmé qu’en Italie on aime mieux la musique, je leur demanderai encore dans quel pays on l’aime de la meilleure f
derai encore dans quel pays on l’aime de la meilleure façon ? je leur demanderai de plus, pourquoi ils quittent presque tous le pa
oi ils quittent presque tous le pays où ils sont tant aimés ; je leur demanderai enfin si leur désintéressement leur fait chercher
7 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
mot. On me le présenta comme le bras droit de l’administrateur. Je me demandai comment il arriverait à se tirer d’affaire sans p
dis pas une seule parole franchir le seuil de ses lèvres. A table, je demandai à Mme Claretie, tout bas et en anglais : — Serait
pour moi elle en commandait pour elle, mais en ayant soin de ne point demander , deux factures. Je n’avais jamais ni gants, ni vo
de Tiffany. Mais le bouquet, ce fut lorsqu’un élève des Beaux-Arts me demanda si je ne pouvais pas lui rendre soixante-dix fran
e un monsieur de Londres, que je tenais en trop haute estime pour lui demander quoi que ce fût, et qui me réclamait dix livres s
tableau. Mme Claretie me présenta à la dame âgée. C’était sa mère. Je demandai à la vieille dame comment elle se portait. — Oh !
ympathisai avec elle et le lui dis. Puis soudain, j’eus l’idée de lui demander son âge. — Quatre-vingt-quinze ans, me dit-elle.
lâmes de ses petits-enfants et de ses arrière-petits-enfants ; je lui demandai si le bonheur d’être entourée de tant d’affection
bien fait, mais il faut tout de même que je m’occupe. Mme Claretie me demanda si je connaissais Alexandre Dumas. Je lui raconta
appuyé fortement sur les mots subventionné et stupide. M. Claretie me demanda qui était ce jeune homme. Je n’avais pas très bie
es à la main, très aimable aussi et précise en ses indications et ses demandes , se mêlait à Jean-Baptiste demi nu, à Hérode en m
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
u’au moment où l’on vint nous avertir que le déjeuner était servi. Je demandai à l’homme et à la femme s’ils avaient mangé. Quan
, une longue conversation. L’homme avait toujours été aveugle. Je lui demandai s’il pouvait percevoir la différence des couleurs
t en évaluer jusqu’au prix. Je mis alors une rose dans sa main et lui demandai ce que c’était. Il n’hésita pas un instant et me
elle chose qui existe sur la terre, me dit-il, c’est la femme. Je lui demandai alors qui était la personne qui l’accompagnait. I
a malheureuse me jetait entre deux paupières éraillées et rougies, je demandai à l’aveugle mélomane : — Et elle vous plaît, votr
age ? La femme, les yeux bas, regardait toujours son tablier bleu. Je demandai alors à l’aveugle comment il avait vécu jusqu’alo
ils se marièrent sans retard. — Mais comment parvenez-vous à vivre ? demandai -je. — Ah ! ce n’est pas toujours aisé de joindre
ux. Je m’arrêtai, pour causer avec le vieux. — Vivez-vous seul ? lui demandai -je. — Oh non, me répondit-il avec certitude, car
Je sens quand les pommes de terre sont bien pelées. — Et les fruits, demandai -je, et la salade ? — Oh ! ça, nous n’en avons pas
s, en tous temps, j’avais vu ma petite femme de ménage joyeuse. Je me demandais de quelle gaîté elle témoignerait quand enfin la
9 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
e rangeais à l’avis qu’il m’avait précédemment exposé et que j’allais demander au directeur des Folies-Bergère de m’engager. Qu’
e n’entrai pas moins dans le théâtre. Je dis l’objet do ma visite. Je demandai à voir le directeur. On me répondit que je pourra
f d’orchestre, — M. Henri Hambourg, — Marten Stein, ma mère et moi. —  Demandez à M. Marchand, dis-je à Marten Stein, pourquoi il
it la langue de Shakespeare. Marten Stein, à présent, transmettait ma demande . — J’ai engagé cette danseuse, répondit M. Marcha
ntine, et que je ne pouvais pas me laisser devancer par lui. — Mais, demandai -je, y a-t-il encore d’autres danseuses de ce genr
s à bout, complètement à bout de forces. Je regardai le directeur. Je demandai  : — Et la dernière ? — Oh ! nous n’en avons pas b
10 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
rmann, à Neuilly. De loin, j’entendais une fanfare de chasse et je me demandais , non sans étonnement, dans quelle partie de Neuil
de plus en plus, et d’un air mystérieux. Je ne pus m’empêcher de lui demander d’où partaient les sons que j’entendais et s’il y
et je l’ai comprise. Mais je n’étais pas émue du tout alors, et je me demandais quel était cet étrange bonhomme qui me paraissait
tit vieux nous quitta. — Pourquoi veut-il que je voie sa collection ? demandai -je à Rachel Boyer. — Pourquoi ? répondit Rachel B
s surfaces toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. — Est-ce du marbre ? demandai -je, pour dire quelque chose, tant je me sentais t
homme de cœur et comme un critique d’art. En nous disant adieu, il me demanda de revenir. Un jour, le conservateur du musée de
11 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre III. Des differens mouvemens des bras. » pp. 200-202
e, tems de Courante, pas de Sissonne, Contretems & autres pas qui demandent du contraste ou de l’opposition, pour lors c’est
amp; que l’on puisse parvenir à cette précision de grace que la danse demande .
12 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
ble, ce petit homme agité, blanc et blond, puis, tranquillement, sans demander son reste, prit la porte et sortit. Cette attitud
ent le prix d’une bouteille de vin rouge, très ordinaire, qu’il avait demandée . — Voulez-vous que je vous dise, hurla-t-il, vos
ut. Des yeux, il chercha le pont, mais sans y réussir. Il se décida à demander sa route. Tout le monde marchait d’un pas si accé
voulez, ce n’est pas aux domestiques à courir après vous pour vous le demander . Ils ont autre chose à faire. Et par le plus pro
préoccupa pendant quelques jours. Enfin, à la veille de débarquer, il demanda à nouveau à l’Américain quel jour ils déjeuneraie
Le jour du déjeuner arriva et M. Boosey fut exact au rendez-vous. Il demanda M. X…, et on lui donna une table. Une heure et de
pale venue pour me donner une sérénade. A la fin de mon séjour, on me demanda de prendre part à une représentation de charité.
is on ne peut plus embarrassée de mon butin. En revenant à l’hôtel je demandai au gérant de mettre tous ces bijoux en lieu sûr.
ent en Europe, de sorte que je n’ai jamais rendu les bijoux. Et je me demande parfois ce que doivent penser mes amies de quelqu
, bien entendu, ni lui, ni ses rubis ! Je crois que dorénavant, on me demanderait en vain de me charger d’un paquet pour le passer
13 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XLI. Des ouvertures de Jambes. » pp. 187-189
amp; cette jambe reste en l’air pour faire tel pas que votre danse le demande  ; mais afin de vous en donner la démonstration da
iberté sans paroître gêné dans tous les divers mouvemens que la danse demande , sur-tout avec cette grace, & justesse que ce
14 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
quiconque se présente ; La fille opulente, le premier Monsieur qui la demande en mariage. III Cela est tellement vrai, su
iens d’avoir. L’air moral ne doit pas m’aller du tout. J’en suis à me demander pourquoi je viens d’être aussi sentencieuse. Et à
me elle prétend les employer. Eh bien, grâce à ces cinquante centimes demandés une cinquantaine de fois dans la nuit, les femmes
e à des femmes à tournure gracieuse, n’hésite pas à faire ce qu’elles demandent  : il rapporte le numéro. — Gardez-le-moi, lui dit
Comprends-tu cela ? Chassée… forcée à mon âge de mendier un asile, de demander peut-être mon pain ! Si encore je pouvais me reme
15 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
e vins a paris Peu après mes débuts au Madison Square Theater on me demanda de danser à une représentation de charité au théâ
a représentation où un billet vint me la rappeler. J’avais négligé de demander à mon directeur la permission de paraître à cette
re la direction du Madison et moi. L’associé de mon directeur m’avait demandé , comme une véritable faveur, de venir à un bal do
. Enchantée à l’idée de lui être agréable, j’acceptai. Lorsque je lui demandai la date de la fête, il me dit de ne pas m’en préo
is la voiture qui m’avait amenée, et tandis que nous rentrions, je me demandais ce que Don’t think club pouvait bien vouloir dire
16 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
une enfant du pays. Peu après mon début aux Folies-Bergère, une dame demanda à me voir. C’était la comtesse Wolska, Polonaise
s deux hommes ne se parlaient pas. Enfin je m’en rendis compte, et je demandai toute surprise : — Est-il possible que deux des p
en revanche, s’unissent pour fatiguer les yeux et le cerveau. Je lui demandai s’il croyait que les couleurs dont nous nous ento
davantage. Mais comme je n’avais vraiment pas de temps libre, je lui demandai de vouloir bien s’occuper des accessoires du dîne
ept heures, et le chef se décida à payer en mon lieu et place. On lui demanda 300 francs. Le prix lui parut exorbitant, et il n
17 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XVIII. De la maniere de faire les bras avec les Saillies, ou pas échapez des deux pieds à la fois. » pp. 268-271
ue vous faites un autre pas comme de Bourrée, ou tels que la Danse le demande  ; cette petite action, quand elle est faite à pro
à danser avec tout le bon goût, & la delicatesse que cet exercice demande , à quoi je me flatte d’avoir réussi. Mais si par
18 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
ant : — Alors, il faut que je me dépêche. — Comment t’y prendras-tu ? demanda ma mère. Je m’arrêtai un moment pour réfléchir. —
en furent. Tous étaient agités, pressés et avaient l’air anxieux. Que demandaient -ils ? Allaient-ils emporter tous les billets ? Et
que peut-être vous me laisserez tout de même… la voir si… je vous le demande . — Où est votre mère ? — Là, dehors. Et je désign
de la bonne aubaine, si reconnaissant, le brave homme ! Sarah m’avait demandé de venir déjeuner chez elle, le jour où il lui mo
e. Lui non plus ne comprenait pas le français. Pâle, décomposé, il me demanda de traduire ce que disait Sarah. Mais elle ne me
t, cette fois en anglais : « Horrible ! horrible ! » — Que dit-elle ? demanda-t -il en faisant autour de son oreille un cornet de
là me procurer une heureuse surprise. Elle consentit, quand je le lui demandai , à poser de nouveau, et je regrettai que le petit
Belle au Bois dormant. J’envoyai quelqu’un auprès de Sarah pour lui demander lequel de mes éclairages elle désirait. Et voici
19 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
us n’avez jamais vu. Il regarde toutes vos affiches et chaque fois il demande des explications : il n’a que trois ans et demi.
ta dans mes bras. — Oh ! dit-elle, embrassez la belle fée pour moi et demandez -lui si je peux revenir la voir danser. Ce fut les
ance. Le père prit des informations à mon sujet, et m’écrivit pour me demander s’il pouvait m’amener sa fille, jeune personne de
n’en fusse pas réellement un ; et, lorsqu’elle me fut présentée, elle demanda  : — Mais pourquoi Jack met-il des robes de fille 
Fuller, j’avais alors neuf ans. Je vous dis qu’à dix-huit ans je vous demanderais d’être ma femme. — Oui, je m’en souviens. — Eh bi
20 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre VI. De l’opposition des bras aux pieds. » pp. 210-213
s, il suffit de l’opposer au premier pas. Mais comme cette opposition demande une démonstration, pour la rendre plus sensible ;
es mouvemens des bras avec la grace & la précision que cet Art le demande .
21 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
et, il lui fallait une musique très douce et un éclairage vague. Nous demandâmes à l’électricien du théâtre de mettre des lampes v
s yeux. C’était à Londres, quelques mois auparavant. Une amie m’avait demandé de venir dîner avec quelques officiers que l’on f
s, qui penserez cela ? — Croyez-vous que j’aurai le temps de penser ? demanda-t -il. Et disant cela il souriait. Ils étaient essen
ris à les connaître par la suite. Je quittai la table en oubliant de demander leurs noms à mes voisins, et lorsque j’y pensai,
u’il m’affirma sèchement qu’il ne pouvait faire plus pour moi. Je lui demandai alors s’il croyait que j’allais continuer à danse
is remise à pleurer et j’étais tout en larmes lorsque j’y arrivai. Je demandai à voir le directeur et lui racontai mon histoire.
tout de suite et signer le contrat dès le lendemain. En rentrant, je demandai s’il n’était rien venu pour moi du Casino. Rien !
22 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
et kawakami — Quel est l’auteur des pièces que joue Sada Yacco ? me demanda un jour un écrivain de mes amis. — Kawakami, son
ait toujours des espèces de billes faisant saillie dans la figure. Je demandai à Kawakami : — Ne trouvez-vous pas qu’il a une dr
nnaître son impression plus approfondie quant à notre race, et je lui demandai à quoi les Européens ressemblaient au point de vu
23 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
x faire exécuter chez moi. Qu’il soit honnête et intelligent, je n’en demande pas davantage pour faire avec lui un bail de dix-
viens de vous soumettre ont surgi rapidement dans mon esprit. Il m’a demandé s’il trouverait des facilités pour se loger et se
us êtes libre de suivre mon conseil ou de révoquer mon arrêt. Je vous demande de réfléchir et de m’aimer toujours comme je vous
24 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
st alors qu’arriva un monsieur qui, nous voyant tout interdites, nous demanda ce qui s’était passé. Je lui désignai l’homme à l
ent impossible de les séparer les uns des autres. Je me suis toujours demandé , si un jour ne viendrait pas où cette question d’
ent je fais. Je ne puis que répondre, comme Hippocrate, lorsqu’on lui demanda ce qu’était le temps : — Demandez-le-moi, je ne
qu’était le temps : — Demandez-le-moi, je ne le sais pas ; ne me le demandez pas, je le sais. C’est de l’intuition, de l’insti
ras et l’autre jambe. S’il y a accompagnement de musique, chaque note demande un mouvement correspondant, et le mouvement, cela
25 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
t plus conscience de ce qui se passait autour d’elle. J’allai, sur la demande du médecin, chercher une femme de confiance qu’il
nction pour laquelle je m’étais si généreusement offert. Puis elle me demanda mon nom et, comme je lui remettais ma carte, elle
l rencontra un autre danseur de ses amis, qui l’invita à dîner et lui demanda si j’étais quelque chose. M. Fiori se tourna vers
ble situation. De tendresse et d’indulgence, il ne fallait pas lui en demander  ; j’étais sa chose, et pourvu que je fusse toujou
y veille, et le diable sera bien fin s’il me la prend. » Quand je lui demandais l’explication de ces paroles mystérieuses, il me
onnaissance, car il me regarde et m’adresse un faible sourire. On lui demande s’il souffre, il répond que non, et demande qu’on
un faible sourire. On lui demande s’il souffre, il répond que non, et demande qu’on l’aide à se lever. Mais le médecin s’y oppo
ssé dans le foyer, voulait m’emmener malgré ma résistance, le médecin demanda au duc s’il trouvait quelque satisfaction à me vo
avait fait pour moi. Il n’écouta pas, et se tournant vers moi, il me demanda si j’allais encore le quitter. « Non, répondis-je
26 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 février. Affaires courantes. »
tes. Cependant que l’Opéra prépare une de ces soirées de danse tant demandées , nous continuons à nous prêter de bonne grâce à l
sont pas des excès de cabotinage ou des surcharges mimiques que nous demandons à l’étoile, mais un peu moins d’impersonnalité co
27 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXII. Des Piroüettez. » pp. 148-152
croisez le pied, ou bien la figure que la danse que vous apprenez le demande . Ainsi je suppose que vous deviez le faire du pie
les regles de l’Art. Mais comme ce pas est très-gracieux, & qu’il demande quelque reflexion pour le bien faire ; c’est ce q
28 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
fraîchisse mon luth au prélude de mes accents ! Style lyrique ! je te demande la permission de renoncer à l’instant même à ta f
plus temps de modifier mon ignorance, de rafraîchir ma mémoire et de demander au vieil Homère pourquoi il n’avait pas prévu l’e
ubriand, Victor Hugo, et Odry, l’Homère de la maréchaussée, pour leur demander compte de l’absence de la note sympathique qui ma
e marche triomphale ! Classement des spécialités. A cette demande  : qu’est-ce qu’une Lorette ? Voici la réponse : —
z les marchands de bric à brac de la cour des Fontaines, ou bien elle demande à un peintre un grand-père de fantaisie quand ell
nuit ceux ou celles qui ne dorment pas dans leurs meubles, et de leur demander s’ils ont des passeports ou s’ils ne confectionne
usement par les propriétaires des appartements à louer. Jamais on n’a demandé à une locataire les preuves de son état civil. J’
ble, il tire à part le garçon, et lui dit : Toutes les fois que je te demanderai tout haut du vin de Volnay tu nous donneras du Be
l’article vin. — Je ne pense pas, monsieur, dit le garçon… vous avez demandé trois fois du Volnay. — Oui, disent les dames, no
robe chiffonnée, ça m’offusque. Et en disant cela, la Lorette sonna, demanda un fer chaud, continua son opération, et passa au
ettres de l’alphabet. Elles écrivent J rai vous voir. Et si vous leur demandez pourquoi elles suppriment dans j’irai l’apostroph
clamation à la vue de votre couvert en étain. — Madame de B…, je vous demanderais un couteau. — Mon Dieu, c’est un fait exprès ! ce
à dévorer son dépit, — mais il ne dévore que ça. Au rôti, un monsieur demande une pomme-reinette. Ah… ah… ah… ah… est le cri gé
mis. — Voulez-vous me permettre de me compter au nombre de vos amis ? demande le rusé nez de carton. — Comment donc, monsieur !
e à chaque bal d’Opéra cinquante à soixante billets. Le nez de carton demande chaque soir à son portier si on n’est pas venu in
gchamps va trouver madame… elle lui apporte un bouquet-monstre et lui demande la permission de lui amener le soir quelques amis
bal. La maîtresse du logis, avertie enfin, prend la chose en riant et demande à madame de Longchamps où elle aura un orchestre.
arton a renoncé aux bals par souscription. Excentricités. Demander à la Lorette de modifier ses allures générales et
sa charte, son catéchisme, son évangile, pour lesquels il ne faut pas demander de réforme. La Lorette a ses joies, ses haines, s
e doute de sa métamorphose ; si un sergent de ville s’approche et lui demande l’exhibition de sa permission, elle lui rit au ne
place avec la gravité d’un député qui se retire de la tribune où il a demandé qu’on empêchât les tribunes d’éternuer. Il y a to
héréditaire. Suivons la répartition de ses capitaux. Bien des gens se demandent à quoi l’argent peut servir aux Lorettes ; et san
ur applaudir les auteurs. Mais les faits positifs nous manquent, nous demandons le dépôt aux renseignements. La caisse d’épargne.
29 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre IX. Des Reverences en général. » pp. 22-23
ences de plusieurs manieres suivant les differentes occasions qui les demande , je les expliquerai chacune en particulier, confo
30 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
e suis latine. Lorsque je la considère, je pense comme elle, et je me demande s’il existe une façon de comprendre que nous ne p
’elle désirait. Et le dialogue suivant s’établit : — Est-elle jolie ? demanda la mère de Gab. — Non, elle n’est pas jolie, répo
iver et c’est cela que je cherche sans cesse. » Son interlocuteur lui demanda encore s’il n’y avait pas un système établi ou de
de Gab après avoir répondu au salut du directeur, qui prenait congé, demanda encore à la buraliste : — Est-elle comme il faut 
e que vous êtes, mais telle que vous m’apparûtes ce jour-là. Et je me demande si son amitié, si solide et si sûre, n’est pas in
31 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
circonstances, en emprunte à la danse : elle peut donc à son tour en demander au chant ; j’usai de celte complaisance réciproqu
; ils exigeoient du mouvement, des gestes et de l’expression. C’étoit demander l’impossible ; comment faire mouvoir des statues 
ble de l’action et lui donneroient de la force et de l’énergie. Je ne demande point de vers ; je ne veux que des mots entrecoup
ts, et que l’art n’exige que de la gaieté et de l’enjouement. Je leur demanderai si le sujet de Médée est bien joyeux, si une femm
s objets qui l’environnent. Le Picq profita de la circonstance et fit demander à l’Empereur qu’il me permit de lui dédier mon ou
32 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
autres vertus ; et le grand moyen d’obtenir cette grâce, c’est de la demander instamment à Dieu. C’est ce que reconnoît Salomon
a prière, et je lui dis de tout mon cœur  : etc. Ce principe posé, je demande si les personnes qui vont aux danses, croient pou
nce : quelles prières seroient celles qu’elles feroient alors pour en demander la conservation, et quel effet auroient-elles dev
devant Dieu ? Ne seroit-ce pas plutôt l’insulter que le prier, de lui demander de ne pas périr dans des dangers auxquels on s’ex
33 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
e divertissement, ou qui ne s’y opposent que foiblement. Réponse. Je demande si l’autorité de ces confesseurs si indulgens, es
, parce qu’il désiroit de l’être. En effet, quand le roi Josaphat lui demanda s’il n’y avoit pas quelque prophète du Seigneur p
34 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Discours préliminaire, préface, avis au lecteur, ou tout ce qu'on voudra . » pp. -
ncouragés, & l’on fera disparaître un abus tout-à-fait criant. Je demande qui l’on doit considérer le plus, ou de celui qui
s. C’est à-peu-près comme si le compère de Polichinel était obligé de demander la permission de ses marionnettes, lorsqu’il veut
35 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — I » p. 134
rès s’être suspendue à ses bras, la danse trahit la musique. Elle lui demande ce grand cœur, passionné et tendre, dont elle ne
36 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
rades à qui je te prie de faire mes compliments ont dû voir que je ne demandais pas mieux que de revenir à Paris sous deux mois a
les occupent, et qui prouvent qu’ils peuvent les occuper encore. Je demande à vous, Citoyen Conseiller d’État, je demande au
es occuper encore. Je demande à vous, Citoyen Conseiller d’État, je demande au Gouvernement, ce que tous mes confrères ont da
âtres du Gouvernement français, ou si je n’en suis pas jugé digne, je demande une retraite honorable, et telle que peut la méri
37 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IX. » pp. 62-63
que vous savez fixer et que vous rendez si précieux. Mais j’ose vous demander quelques jours pour rassembler mes idées vagues e
38 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
oie, succède à la tristesse. On entoure en tumulte le jeune Hymen. Il demande du silence. Toutes les bouches se ferment, et tou
ion et la joie. Il profite de ce moment. Il se découvre, se nomme, et demande pour récompense la jeune Athénienne qu’il aime. U
39 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXXIX. Des Chassez de differentes façons. » pp. 175-182
le corps sur le droit ou sur le gauche, selon que le pas qui suit le demande . Mais lorsque vous en avez plusieurs de suite, co
u’en sautant vous gagnez le terrain pour faire la Figure que la danse demande , il est gai c’est lors qu’il y en a plusieurs de
40 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
, quoi ! Maintenant, je jouerais des rôles à M. Mélingue, si on me le demandait . L’ami , bas à l’habitué. Quelle drôle de fill
a , le regardant. Monsieur n’habite pas Paris ? L’ami. Pourquoi me demandez -vous cela ? Alida. Pour rien. — Garçon, donnez-
uerite la huguenote, qui en est la reine. Ne fais pas la bêtise de me demander des détails sur sa vie privée, je ne dis jamais d
41 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
opreté de Flaman le dans les relations extérieures. Une chatte qui ne demande pas mieux que de chiper des confitures, mais qui
u comme on dit ! En entrant, un soir, au foyer, mademoiselle Mercédès demande  : — Devinez où j’ai passé ma journée ?… Au Jardin
it nom, le moyen de ne pas être brune ! Le nez kalmouck. Des yeux qui demandent l’aumône à la porte d’un couvent de Carmes. Une b
est restée éloignée du théâtre pendant un laps assez prolongé. Ne me demandez pas la cause de cette absence. Je serais obligé d
arlant, je la suppose douée de goûts au moins bizarres. Quelqu’un lui demandait  : — Lequel préférez-vous, de Delibes, de Métra, d
té le zundnadelgewehr ou la machine à vider les lapins. Quelqu’un lui demandait  : — Vous êtes Allemande, n’est-ce pas ? — Oui, mo
t que, quand les jeunes filles vont aux vignes… — Et votre fille, lui demandai -je, elle n’a pas encore vendangé ? — Non, me répo
rie : « On dit même que ce bobo a un correspondant autre part. » On demande l’adresse exacte de ce correspondant. Mademoi
42 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 3 décembre. Danses du « Grand Mogol ». »
ette lacune a été comblée par une deuxième danseuse étoile. Nous nous demandons quel genre de satisfaction peut tirer l’artiste,
43 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
Le comte, frappé de cette lettre stoïque, offrit le moment de fièvre demandé et une paire de boucles d’oreilles estimées quatr
petite fille par la main. — Oh ! la jolie enfant ! A qui est-elle ? demanda mademoiselle Antier, — A moi, mademoiselle. — Il
t même aux Allemands, tous gens ruinables, sacrifie quelque chose, et demande de s’essayer gratis. Le directeur fait valoir alo
présent, proposa-t-elle, si nous renvoyions la petite ?… *** Vous me demanderez , peut-être : — Comment vivent ces demoiselles ? J
nscience, Vient d’épouser Rem publicam. Mademoiselle Grandpré fut «  demandée  » en même temps par l’amiral anglais Knowles et p
44 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
— Oh oui, dit le président, et elle a eu beaucoup de succès. Ma mère demanda des explications. Le président lui dit alors : — 
ngtemps après, elle était encore toute pâle et tremblante, et elle me demanda pourquoi je ne l’avais pas prévenue de ce que j’a
45 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 novembre. Échos du temps passé. Éloge de Rameau. »
e Mlle Zambelli ? Parfaite. Le rôle malencontreux de l’Ombre Affligée demande plus que du talent : du dévouement ; Mlle Schwarz
alent : du dévouement ; Mlle Schwarz a bien voulu se sacrifier ; nous demandons néanmoins que M. Aveline lui refasse un enchaînem
46 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XVI. De la maniere de faire les bras avec les Contre-tems de Gavote. » pp. 255-263
e position ; comme il est expliqué dans ma premiere Partie : ainsi il demande une opposition ; c’est pourquoi si vous avez le p
uiéme position, & au second vous vous jettez à la deuxiéme qui ne demande point d’opposition ; c’est pourquoi il suffit de
47 (1936) Philosophie de la danse
res ; car les œuvres sont des produits, des offres, qui supposent des demandes , des besoins.   Voilà bien de la philosophie, pen
uire un univers que d’expliquer comment un homme tient sur ses pieds. Demandez à Aristote, à Descartes, à Leibniz et à quelques
Les philosophes sont friands d’images : il n’est pas de métier qui en demande davantage, quoiqu’ils les dissimulent parfois sou
n jeu. Il commence par son commencement ordinaire. Et le voici qui se demande  : « Qu’est-ce donc que la Danse ? »   Qu’est-ce d
ameux embarras de saint Augustin. Saint Augustin confesse qu’il s’est demandé un jour ce que c’est que le Temps ; et il avoue q
moteur et mû sont enchaînées et dans un certain ordre, — qu’elles se demandent et se répondent les unes les autres, comme si ell
48 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
s disait un jour : « Les blondes, c’est comme les œufs à la neige, ça demande à être battu. » Qui expliquera jamais le cœur des
ise elle s’éviterait l’ennui de rougir quand un de ses soupirants lui demande une mèche de ses cheveux. XXIX Voilà mon Ma
rompit le silence la première. — Qu’y a-t-il pour votre service ? lui demanda-t -elle, fort intriguée de ce long mutisme. Sans rép
49 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
eur russe, d’accord en cela avec mon directeur parisien, M. Marchand, demanda à m’engager, et je signai avec lui pour Saint-Pét
ait certainement tombée si je n’avais été là pour la soutenir. Je lui demandai ce qu’elle avait. Elle n’en savait rien, mais dep
d, sa barbe de Christ et son sourire cauteleux. J’allai à lui, et lui demandai s’il parlait un peu l’anglais. Il n’en savait pas
50 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
ore en disant : « Je suis le singe le mieux habillé de Paris. » je me demande si la princesse a jamais pu être laide ? Il y a u
nd succès. Une dame enfin pria mon amie de danser chez elle. L’étoile demandait très cher, mais, persuadée par moi, la dame conse
rendue chez tous les gens auxquels je l’avais présentée afin de leur demander de prendre des billets : Elle en aurait placé ain
51 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
té dans une prison. (serm. 251, n.° 7.) « Quel est cet adversaire », demande le saint docteur ? Et il répond : « L’adversaire
turellement pour la vérité, puisqu’ils n’aiment point à être trompés, demande (Confess. l. 10, c. 23.) « pourquoi ils craignent
n.° 5, tom. i, p. 1309.) « Que nous marque le Seigneur en se cachant, demande le saint docteur, sinon que la vérité se cache à
roisième moyen d’en recevoir de Dieu la connoissance, c’est de la lui demander souvent. Nous pourrions employer pour cela très-u
’ai entrepris dans cette vue et dans cette intention. J’ai eu soin de demander à Dieu qu’il voulût bien bénir mon travail ; et j
ment elles ont commencé. Quelles sont les pompes du diable. Vous me demandez , Monsieur, quel crime a commis et quelle peine mé
nitence sincère, en état de recevoir l’absolution avant que de la lui demander . Les casuistes qui trouvent le moyen de rendre pr
ans les danseurs. Mais je m’engage insensiblement dans cette matière. Demandez à Dieu, Monsieur, qu’il me fasse oublier le monde
52 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
classiques français richement reliés. A quelques mois de là, Napoléon demanda à la jeune femme : — Eh bien ! avez-vous été cont
en singulières : elles se font prier pour accorder une chose qu’elles demanderaient si on ne la leur demandait pas. » Elle possède
prier pour accorder une chose qu’elles demanderaient si on ne la leur demandait pas. » Elle possède plusieurs petits proverbes
outes ses batteries devant elle. Il répondit à un de ses amis qui lui demandait si son hommage avait été accepté : Oui, cette jeu
nt allée faire un voyage à Londres : — Depuis quand est-elle partie ? demanda le docteur Véron au général. Celui-ci tira sa mon
stique qui déposa un énorme sac à ses pieds.  — Qu’est-ce que cela ? demanda Pauline. Sur un signe de son maître, le moujik év
dans la boîte !… — Malheureux ! s’écria la jeune femme, je vous avais demandé la dent du bas, et vous m’apportez celle du haut 
erpellé reconnut l’ancien tragédien, et quand celui-ci lui décocha sa demande habituelle : — Hé ! sacrebleu ! répliqua-t-il de
vry voulut s’asseoir sur un praticable placé au fond du théâtre. Elle demanda donc un tabouret, et, en rejetant ses jupons en a
t ! Quand M. Feydeau commença à écrire Monsieur de Saint-Bertrand, il demanda justement à mademoiselle Emma Livry de vouloir bi
53 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « A Monseigneur le duc de Rets, pair de France, et capitaine des gardes du corps. » pp. -
eur, son succès sera dû à votre seule protection ; & pour vous la demander j’ai recours à cette bonté, qui, avec tant d’autr
54 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — X » p. 139
rin, qu’ils entassent du fumier et qu’ils préparent leurs champs, ils demandent avec la plus morne outrecuidance à Newton formula
55 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Première partie] »
de nous l’observation scrupuleuse des Règles dramatiques, c’est nous demander l’impossible. [9] Au surplus nous ne pouvons pas
plaisent par le terrible ainsi que par l’agréable ; la variété qu’on demande dans les Spectacles exige que nous traitions alte
56 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26
sont curieux comme des crinolines. — Comment vous êtes-vous perdue ? demandent -ils tous. Qu’est-ce que ça leur fait ?… On se per
i j’en avais une il me semble que je serais moins seule. III Je demande la permission de m’arrêter pour me livrer à l’écl
57 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 juin. Lettre à Mlle ***, de l’Opéra. »
votre atelier, et vous m’avez aussi fait l’honneur non moindre de me demander mon opinion. Cette opinion, je tiens moi-même bea
s moi-même un sacré sentimental : ce fardeau d’humanité m’accable. Je demande à la danse la sensation esthétique seule, la plus
58 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIV. » pp. 77-82
nt précédée, ne méritent pas qu’on les nomme. Elle débuta en 1704, et demanda sa retraite en 1730, elle fit le charme de ce spe
opéra en 1734, mais passionnée pour son art, elle y rentra en 1740 et demanda définitivement sa retraite en 1751. La Paix ne ré
59 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
onction sainte que toutes les personnes qui liront ce traité doivent demander , et que je dois aussi prier Dieu de leur accorder
60 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XII. Des Reverences en arriere. » pp. 35-37
en avant, aussi sont-elles plus respectueuses ; c’est pourquoi elles demandent aussi plus de circonspection, mais on en est reco
61 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
rien dans votre manière de vous réjouir qui puisse l’offenser. Et que demande saint Paul pour qu’on se réjouisse ainsi dans le
tout le monde. Et voit-on régner dans les danses cette modestie que demande le saint Apôtre ? Mais, dit-on, si on ne permet a
tout mal et n’en approuver aucun, quelque petit qu’il soit ? On nous demande à quoi, en interdisant les danses, nous voulons q
62 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
ur Petipa. Devenue jolie à force de volonté. Des épaules qui auraient demandé à être plus remplies. Une Fenella accomplie dans
onta a pris sa retraite voici tantôt deux ou trois ans. — Savez-vous, demandait mademoiselle Baratte, pourquoi Laure ne sort pas
n début, dans son désir de bien faire, il ne lui était pas échappé de demander à Dieu la grâce de réussir le lendemain ? Et comm
63 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
, comme le chien qui vous précède chez le maître de céans, et l’on se demande ce que sera l’avenir. C’est l’impression que l’on
m’accompagnaient. Nous partîmes. Dans la voiture qui nous ramenait je demandai à mes amis s’ils pouvaient décrire leurs impressi
64 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre V. Objection : On n’a pas été tenté dans les Danses. » pp. 177-178
et sans rien éprouver des mauvais effets qu’on leur attribue. Mais je demande  : veille-t-on assez sur son cœur pour s’apercevoi
65 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre V. Du mouvement du Coude & de l’Epaule. » pp. 206-209
e pas, & ainsi du coude avec le poignet. Mais comme ces mouvemens demandent un éclaircissement net, & que les Figures dém
66 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
même espérance qui nous anime. D’ailleurs, nous savons que Dieu nous demande notre travail, et non le fruit de ce travail dont
dre éternellement malheureuse après la mort. Ce que dit Jésus-Christ, demande qu’on mène sur la terre une vie plus resserrée et
67 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii » pp. 96-101
, et que la nature lui a donné tous les moyens adaptés à un genre qui demande de la gaieté, des graces naïves, de l’esprit, du
, et que la nature lui a donné tous les moyens adaptés à un genre qui demande de la gaieté, des grâces naïves, de l’esprit, du
68 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
n me passe cette expression) commencent à entrer en danse ; et on les demande souples et gracieux. Dans les deux premiers genre
Tout ce que la belle danse exige des Dupré, des Vestris, celle-ci le demande à ses Danseurs, et ce n’est pas tout : l’art du g
rches, à mes études, aux efforts que je fais pour l’amuser, je ne lui demande pas davantage ; cette gloire me suffit. 42Mais j
69 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71
au nauffrage se cramponent à un morceau de liège. Les arts imitateurs demandent une certaine hardiesse, que le génie seul peut in
mon ésprit étonné, sous la forme des Géants ; je réfléchis, et je me demande si ce sont les règles qui ont opéré tous ces mira
rer, il s’écrioit avec emphase : que de choses dans un menuet ! On le demandoit de tous les côtés. Les femmes de la cour, et cell
le plus de passion. Je lui racontai l’histoire du rondeau, et je lui demandai la permission de le lui danser. Il pensa étouffer
70 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre III. Suite du Précédent »
it toujours l’endroit où s’exécutaient ces Jeux et ces Spectacles qui demandaient quelque préparation… J’avais fait construire à ce
71 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre X. » pp. 64-66
uier, puisque je n’ai d’autre désir que celui de vous amuser. Je vous demande franchise et sincérité. Lisez cette première lett
72 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
ait eu plus de temps à lui pour les compositions fréquentes qu’on lui demandait , il y aurait mis sans doute plus de correction. C
ment ; estimez-vous, encouragez-vous : donnez le ton au Public qui ne demande pas mieux que de le prendre. Son penchant le port
73 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXVIII. Des pas de Bourée & des Fleurets. » pp. 122-132
reprendre un autre, ou tel autre pas que la danse que vous dansez le demande  ; mais pour se mettre dans l’habitude de faire ai
de faire d’un pied ce que vous faites de l’autre. Ainsi, si l’on vous demandoit de combien de pas le fleuret est composé, vous po
74 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
nture une Poésie muette, & la Poésie une Peinture parlante. Elles demandent toutes deux un génie extraordinaire, qui les empo
de l’interrompre ; mais Démétrius l’ayant fait venir, & lui ayant demandé avec quelle confiance il osoit travailler au mili
spectateurs, la Peinture peut faire la même chose, quand le sujet le demande , & qu’il est comme nous le supposons, bien ex
leurs prix & leurs difficultez : mais l’exécution de la Peinture demande beaucoup plus d’étude & de tems que celle de
ieuse, dans le tours du vers, & dans la rime : quoique ces choses demandent de la réfléxion, de la lecture, & de la prati
une infinité de connoissances & une étude opiniâtrée. Le dessein demande un exercice qui produise une si grande justesse d
ent aux âges, aux séxes, & aux conditions différentes : cela seul demande des études & des réfléxions de beaucoup d’ann
que Paulus, après avoir subjugué le dernier Roi de Macédoine, envoya demander aux Athéniens un Philosophe excellent pour l’inst
aux talens extérieurs de la nature ; mais l’exécution de la Peinture demande beaucoup de réfléxion & d’intelligence : il s
75 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
n, celui-ci, après avoir considéré l’enfant pendant quelques minutes, demanda brutalement à la mère : — Que diable voulez-vous
ès. Ces divers accidents lui firent prendre l’ouvrage en grippe. Elle demanda au directeur l’autorisation de se faire remplacer
faut des vols, beaucoup de vols ! Un vol de plus ou de moins, je vous demande un peu ce que ça peut faire à Duponchel ! On ente
nt à les décrocher. Le sauvetage s’acheva dans la coulisse. Le public demandait des nouvelles des deux malheureuses et de leur sa
la musique exécutait un air vif et original : — Qu’est-ce que cela ? demanda la jeune femme au général. — Madame, c’est la pol
sait pas lui-même, qu’il faisait faire les tuyaux en question. — Où ? demande M. Véron d’une voix formidable. — Rue Nicolas-Fla
Pour tout autre parti, je refuse mon consentement. Puis, quand on lui demandait  : — Et vous, qui épouserez-vous ? — Oh ! moi, rép
mprit tout le parti que son ambition pouvait tirer d’un talent qui ne demandait qu’à être développé. De son côté, Carlotta sentai
76 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
dans la vie et l’art le plus raffiné, le plus enveloppant ! Nous nous demandions comment on pourrait les remplacer ; nous doutions
e gratification exceptionnelle de cinq francs. Nombreuses étaient les demandes , nombreux les remplacements, car, à la moindre fa
roduit par l’ablation. “Malheureux, s’écrie l’espiègle, je vous avais demandé la dent du bas, et vous m’apportez celle du haut 
ença le Mari de la danseuse, roman ou l’héroïne était brûlée vive, il demanda à Emma Livry de lui expliquer le langage chorégra
affirmait Roqueplan, — d’autres, plus éprises de réalités correctes, demandent au sacrement le décor de la considération : et c’
77 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Privilege du roy. » pp. -
pour l’execution d’icelles tous Actes requis & necessaires, sans demander autre permission, & nonobstant clameur de Har
78 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 octobre. Le ballet de « Manon ». »
ces danses de « promenade » et de maintien. Cela n’a l’air de rien et demande cependant une science peu commune de l’attitude :
79 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE PREMIERE. » pp. 2-14
étrie, fille de l’Art, sera toujours bannie de la Danse en action. Je demanderai à tous ceux qui ont des préjugés d’habitude, s’il
u contraire que la régularité se trouve dans l’irrégularité même ; je demande des grouppes ingénieux, des situations fortes, ma
80 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
vait être à l’étranger. C’est alors qu’a été formée par M. Pillet une demande en résiliation des engagements et en paiement des
; un artiste n’est pas un facteur, ni un commis du directeur. « Je le demande à mon adversaire lui-même, dit-il en s’adressant
d’applaudir au talent, à la grâce de Fanny Elssler, on était venu lui demander si elle était la factrice ou le commis de M. Léon
. Elle n’avait pas l’intention de danser dans sa ville natale. On lui demanda si instamment de le faire qu’elle y consentit, ma
a déesse. Mais du jour où il l’a vue ses sentiments ont changé. Il se demande de quelle sphère est venu cet être incomparable,
instants, se reflétaient sur ton visage le ciel et l’abîme. » Prati demande ensuite à la mystérieuse créature comment elle a
terminé, les organisateurs furent pris de scrupules et crurent devoir demander au pape-roi l’autorisation d’offrir un diadème à
eurs fois dans l’étude de pièces nouvelles. Des artistes venaient lui demander conseil. Elle enseignait à la grande tragédienne
n Excellence, et restait inflexible même lorsque toute la société lui demandait d’accorder un petit quart d’heure de grâce au vie
ncien mari, Gilbert de Voisins. L’impertinent et incorrigible Gilbert demanda à sa voisine de table en montrant celle qui avait
81 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 1er janvier 1923. Carte de visite. »
aîtres étrangers, car il est humainement impossible qu’elles viennent demander des conseils à une collègue, surtout quand cette
82 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
l, le Corsaire, se fit l’organe de la pudeur effarouchée. « Pourquoi, demandait -il, la nomme-t-on encore Fanny Elssler ? Elle n’e
ameurs attendaient au pied de Castle-Garden, et la foule assemblée se demandait avec curiosité à quel haut personnage elles étaie
iers, l’a conduite sous une tente dressée en forme de pavillon et lui demanda si elle ne serait pas effrayée d’une salve d’arti
ne serait pas effrayée d’une salve d’artillerie. Mlle Fanny Elssler a demandé à mettre le feu à la première pièce. Aussitôt une
r devant le désir d’une dame ; je vais, mademoiselle, soumettre votre demande à ma société. » Il revint en disant que, pour cet
la connaissance du ministre de France, M. de Bacourt. Celui-ci ayant demandé du lait avec son thé, l’hôtelier s’excusa de ne p
à celle qui l’a signée : « Messieurs, « Il y a près d’un an que je demandai s’il n’avait été établi dans cette ville aucun fo
essources permanentes ont été affectées à ce but charitable, et on se demande naturellement pourquoi il n’a été fait dans cette
lement acquise en stocks des Etats-Unis et de l’Ohio. Elle pouvait se demander si elle avait été bien conseillée. Le temps était
83 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
produit de 1789. — Gavarni. — Ce que je lui dois. — Ce que le cancan demande . — Rigolhocher. — La tarentule des Italiens. — Me
mille. Je me souviens qu’un jour un gandin de la plus belle venue m’a demandé très-sérieusement comment se portait mon père, M.
84 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
rès loin, crier : « Vive l’art ! Vive la Loïe ! ». Je me suis souvent demandé si la police leur avait été aussi clémente au ret
Exposition coloniale, quelqu’un des hauts commissaires artistiques me demanda s’il ne me plairait pas de donner un soir une rep
85 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre première. » pp. 2-8
que la symétrie doit toujours être bannie de la danse en action. Je demanderai à tous ceux qui ont des préjugés d’habitude, s’il
contraire, que la régularité se trouve dans l’irrégularité même ; je demande des grouppes ingénieux, des situations fortes, ma
86 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XI. » pp. 107-114
sublime aujourd’hui ne l’est-il pas le lendemain dans le même rôle ? demandez lui raison de sa foiblesse, et du froid qui s’est
leviers, les charnières qui composent les ressorts de notre machine, demandent à être exercés dans tous les sens, pour ne rien p
87 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
rfums ; les autres, des Fleurs et des fruits. Zélis, Sultane favorite demande un miroir ; on le lui présente ; elle s’y regarde
résente un cabinet du Sophi. Il vient y attendre Zélis. Elle lui a demandé un entretien particulier qu’il n’a pu lui refuser
88 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VII. Principes Physiques du vice de l’Exécution primitive de l’Opéra Français. »
il y a rassemblés, qu’elles supposent dans ce beau génie ; je me suis demandé mille fois, pourquoi au Théâtre, la plus grande p
89 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 22 janvier. Prose morose. »
Cependant il ne faudrait jamais danser ce que l’on pourrait dire. Ne demandons à la pantomime que de fournir pour le spectacle d
90 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVII. De la maniere de se conduire avec politesse dans les Bals reglez. » pp. 55-59
e, & après qu’ils ont dansé, il va reconduire la Reine, & lui demande poliment qui elle souhaite qu’il prenne, & ap
91 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
 Mais, en revanche, n’est-ce point au sommeil et aux songes, que nous demandons de dissoudre les ennuis et de suspendre les peine
n’ai rien dit de si cruel encore ! — Ô mes amis, je ne fais que vous demander ce que c’est que la danse ; et l’un et l’autre pa
reurs… Tout menace aussitôt de périr, et Socrate en personne me vient demander un remède, pour ce cas désespéré de clairvoyance
élucider maintenant… Mais j’ai quelque chose encore qu’il faut que je demande à Éryximaque. ÉRYXIMAQUE Ce que tu voudras, cher
s éclats de vigueur, me propose une extrême pensée : de même que nous demandons à notre âme bien des choses pour lesquelles elle
, pour laquelle le Dieu, et la sagesse, et la profondeur qui lui sont demandés , ne sont et ne peuvent être que des moments, des
u’elle n’est pas morte ? ÉRYXIMAQUE Regarde ce très petit sein qui ne demande qu’à vivre. Vois comme faiblement il palpite, sus
92 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
iré vers cet endroit, Oreste en est apperçu, le chef de la troupe lui demande ses armes et ordonne qu’on le charge de fers. Ore
ve, on l’assied, et son épouse, après avoir renvoyé les esclaves, lui demande quel est le sujet de la situation où elle le trou
e son culte ; enfin que tant de sang versé se réunit (peut-être) pour demander vengeance. Thoas, ébranlé promet à Isménie d’appa
emploi, leur patrie ; les deux Princes ne lui répondent que pour lui demander la mort. Ce courage héroïque offense le Tyran ; i
93 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
ée, estropiée. Elle s’adresse au Médecin et à l’Apothicaire pour leur demander quelque secours. Ils l’interrogent. Elle a la mal
94 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
le se prit de pitié pour un petit Savoyard de six ou sept ans qui lui demandait la charité ; comme elle avait du temps à perdre,
it cessé de dîner à table, de sortir avec elle. Au reste, personne ne demandait plus de ses nouvelles. Les courses qui allaient a
95 (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17
la jeunesse n’y comprenait plus rien, et que, d’une seule voix, elle demande autre chose… La Danseuse Et quoi ? Moi À peu près
tant le romantisme avait raison contre elle. Pourquoi ? Vous allez me demander pourquoi ? La Danseuse Oui. Moi Parce que la vie
96 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
son argent, il fait entendre qu’il meurt de faim. Un Pauvre vient lui demander l’aumône. Paillasse exprime sa misère, Le Mendian
IX. Les gens qu’a désigné le Magicien arrivent en corps. Il leur demande une somme considérable. Ils résistent, mais cèden
97 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
ées sur un bouquet de diamans, que sa cruauté réserve à Créuse ; elle demande au fer un instrument propre à assouvir sa rage ;
ait ses tendres adieux à Jason ; elle l’unit à Créuse, en feignant de demander au ciel de combler de faveurs une union si parfai
98 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
e… On venait de lui infliger une forte amende : — Pourquoi cela ? lui demandai -je. — Pour avoir, au lieu de ma signature, dessin
les du corps de ballet chargées de ce pas difficile et dangereux, les demandes étaient nombreuses et nombreux aussi les remplace
99 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
r mettre aux petits oignons… — Tu n’aimerais pas mieux aux carottes ? demanda l’autre. Les carottes, c’est si rafraîchissant !…
 on lisait la lettre et l’on y répondait… Ces demoiselles d’à présent demandent bien encore s’il y a quelque chose pour elles… M
 les extrémités de mademoiselle Hairiveau, il me prenait envie de lui demander  : — C’est chez Pradier que vous vous êtes fournie
100 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 novembre. Le débat de la musique et du silence. »
ir danser, il n’y en a qu’une seule de savoir le faire. * * * J’avais demandé récemment, en m’apitoyant sur la léthargie chorég
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