e du pantalon.) Chaîne anglaise. 1re. Deux cavaliers et deux
dames
de vis-à-vis font la chaîne anglaise ; pour cet e
t la chaîne anglaise ; pour cet effet, les deux cavaliers et les deux
dames
s’avancent pour changer de place, et se donnent e
main droite ; chaque cavalier, après avoir donné la main droite à la
dame
qui lui fait face, tourne derrière elle en lui qu
lui quittant la main, et va donner la main gauche en main gauche à sa
dame
qui passe à l’instant à la place de l’autre dame,
en main gauche à sa dame qui passe à l’instant à la place de l’autre
dame
, et vont tous deux se placer l’un à côté de l’aut
figure, et en huit mesures. Balancé. 2e. Chaque cavalier et sa
dame
se tournent l’un vers l’autre et balancent durant
atre mesures. Un tour de deux mains. 3e. Chaque cavalier et sa
dame
, aussitôt après avoir balancé, se donnent les deu
s se quittent les mains, le tout en quatre mesures. La chaîne des
dames
. 4e. Deux dames de vis-à-vis changent de place
ains, le tout en quatre mesures. La chaîne des dames. 4e. Deux
dames
de vis-à-vis changent de place et se donnent, en
aliers qui sont restés à leur place. Chaque cavalier, au moment où sa
dame
part pour faire la chaîne avec l’autre dame, doit
cavalier, au moment où sa dame part pour faire la chaîne avec l’autre
dame
, doit partir à droite en présentant la main gauch
l’autre dame, doit partir à droite en présentant la main gauche à la
dame
qui arrive à la place de la sienne, et tourner su
che pour rentrer à sa place, où étant arrivé, il quitte la main de sa
dame
. Ceci, qui s’exécute durant quatre mesures, se ré
s, se répète pour la chaîne entière, alors en huit mesures, et chaque
dame
se remet à sa place. La demi-queue du chat.
ce. La demi-queue du chat. 5e. Chacun des deux cavaliers et sa
dame
se donnent la main gauche en gauche, et partent o
des autres, durant quatre mesures. 6e. Les deux cavaliers et les deux
dames
font une demi-chaîne anglaise pour retourner à le
autres. Figure de la (dite de l’été.) 1re. Un cavalier et une
dame
de vis-à-vis vont en avant et en arrière ou en av
en avant deux durant quatre mesures. 2e. Le même cavalier et la même
dame
traversent ou changent de place en passant de dro
n passant de droite à droite en quatre mesures. 3e. Le cavalier et la
dame
vont chacun de côté à leur droite, et reviennent
ennent de suite à gauche durant quatre mesures. 4e. Le cavalier et la
dame
retournent ou retraversent chacun à leur place en
leur place en quatre mesures. 5e. Le cavalier fait un balancé avec sa
dame
, et la dame avec son cavalier. (Voyez la figure d
n quatre mesures. 5e. Le cavalier fait un balancé avec sa dame, et la
dame
avec son cavalier. (Voyez la figure du Pantalon a
er. (Voyez la figure du Pantalon au n°. 2.) 6e. Chaque cavalier et sa
dame
font un tour de main. (Voyez la figure du Pantalo
a introduit le balancé, mais qui n’existe que pour le cavalier et la
dame
de ceux qui ont figuré ; alors ils commencent le
qui ont figuré ; alors ils commencent le balancé en même tems que la
dame
de l’un et le cavalier de l’autre commencent le t
main. Figure de la (dite de la poule.) 1re. Un cavalier et une
dame
de vis-à-vis traversent et se donnent la main dro
côté au milieu de la danse, en quatre mesures. 3e. Le cavalier et la
dame
qui se tiennent la main gauche, donnent la main d
nent la main gauche, donnent la main droite en main droite, l’un à sa
dame
et l’autre à son cavalier, balancent tous les qua
queue du chat. (Voy. à la figure du Pantalon.) 5e. Un cavalier et une
dame
de vis-à-vis vont en avant et arrière en quatre m
ont en avant et arrière en quatre mesures. 6e. Le même cavalier et la
dame
font le dos-à-dos ; pour cet effet, ils s’avancen
utres. Figure de la (dite de la trénis.) 1re. Un cavalier et sa
dame
se donnent la main, et vont en avant et en arrièr
t et en arrière deux fois ; à la seconde, ils se quittent la main, la
dame
va se placer à la gauche du cavalier de vis-à-vis
ière, et en huit mesures. 2e. Le cavalier traverse au milieu des deux
dames
qui sont alors sur la même ligne et qui traversen
on.) 4e. Chacun des deux cavaliers fait un tour de deux mains avec sa
dame
. (Voyez la figure du Pantalon.) Contre-partie pou
. Figure de la (dite de la pastourelle.) 1re. Un cavalier et sa
dame
se donnent la main, vont en avant deux fois, comm
se donnent la main, vont en avant deux fois, comme à la Trénis, et la
dame
va également se placer à la gauche du cavalier de
mesures. 2e. Le cavalier de vis-à-vis qui se trouve alors entre deux
dames
, donne la main à chacune d’elles, et vont tous tr
uit mesures. 4e. Le même cavalier et celui de vis-à-vis avec les deux
dames
qui sont placées à ses côtés s’avancent, se donne
chacun la leur et où ils se séparent, chaque cavalier ayant alors sa
dame
placé à côté de lui, en quatre mesures. 5e. Les q
de la (dite final.) 1re. Deux cavaliers vis-à-vis, et chacun leur
dame
, font un chassé croisé ; le cavalier fait un chas
é croisé ; le cavalier fait un chassé à droite en passant derrière sa
dame
qui fait en même tems un chassé à gauche en passa
demi-balancé sur place, en quatre mesures. 2e. Les mêmes cavaliers et
dames
déchassent, le cavalier à sa gauche en repassant
et dames déchassent, le cavalier à sa gauche en repassant derrière sa
dame
, et la dame à sa droite en repassant également de
hassent, le cavalier à sa gauche en repassant derrière sa dame, et la
dame
à sa droite en repassant également devant son cav
i-balancé, en quatre mesures. 3e. En avant deux ou un cavalier et une
dame
de vis-à-vis. (Voyez la figure de l’Été.) 4e. Les
ent. 5e. Ils vont ensuite à droite et à gauche. 6e. Le cavalier et la
dame
retraversent à leur place. 7e. Les deux cavaliers
place. 7e. Les deux cavaliers de vis-à-vis balancent chacun avec leur
dame
. (Voyez la figure du Pantalon.) 8e. Ils font ens
ure du Pantalon.) 8e. Ils font ensuite un tour de main. 9e. Les deux
dames
font la chaîne. 10e. La demi-queue du chat. (Voye
sé à quatre. (Voyez ci-dessus.) Dans une figure dite final, Les
dames
font quelquefois le moulinet au lieu de la chaîne
l, Les dames font quelquefois le moulinet au lieu de la chaîne des
dames
, alors elles se donnent toutes la main droite, et
ont un second tour de moulinet alors dans le sens opposé. Ensuite les
dames
, sans se quitter la main gauche, donnent chacune
tous en même tems, et en quatre mesures. Après, chaque cavalier et sa
dame
font un tour de main en reprenant leur place. On
trefois le tems figuré à droite ou sur le côté. Chaque cavalier et sa
dame
se donnent la main, et vont se placer devant le c
a dame se donnent la main, et vont se placer devant le cavalier et la
dame
qui sont placés à leur droite et font un demi-bal
t pour se mettre tous sur deux lignes et chaque cavalier vis-à-vis sa
dame
; ensuite tous les huit vont en avant et arrière,
uit vont en avant et arrière, puis chaque cavalier va au devant de sa
dame
, font un tour de main jusqu’à leur place. Cette f
erminé au-dessus de huit. Figure de la 1re. Un cavalier et une
dame
de vis-à-vis se donnent la main droite en main dr
anse comme à un moulinet, et en quatre mesures. 2e. Le cavalier et la
dame
se quittent la main, vont donner la main gauche e
la main, vont donner la main gauche en main gauche, le cavalier à sa
dame
et la dame à son cavalier, et font un tour sur pl
ont donner la main gauche en main gauche, le cavalier à sa dame et la
dame
à son cavalier, et font un tour sur place en part
ns que présente la main, et tournent jusqu’à ce que le cavalier et la
dame
qui ont fait le premier tour en se donnant la mai
côté la main gauche, ce qui met alors les deux cavaliers et les deux
dames
sur une seule ligne au milieu de la danse, comme
à la figure de la poule, et en quatre mesures. 4e. Le cavalier et la
dame
qui sont au milieu se quittent la main droite, et
sont au milieu se quittent la main droite, et chaque cavalier avec sa
dame
se tiennent toujours par la main gauche, et tourn
ait la figure de la Trénis de la manière suivante : un cavalier et sa
dame
vont deux fois en avant, à la deuxième fois la da
un cavalier et sa dame vont deux fois en avant, à la deuxième fois la
dame
va se placer à la gauche du cavalier de vis-à-vis
de la 1re. Le grand rond. 2e. En avant deux ou un cavalier et une
dame
de vis-à-vis. 3e. Traversez deux. 4e. A droite et
droite et à gauche. 5e. Retraversez à vos places. 6e. Balancez à vos
dames
. 7e. Un tour de deux mains. 8e. Chassez croisés t
le nombre formant la contredanse. Pour exécuter ce chassé-croisé, les
dames
se retournent en dedans et passent devant leurs c
alancé, ils se retournent en dedans à leur tour, comme ont fait leurs
dames
, qui de leur côté se retournent aussi en même tem
mençant et suivant la manière ordinaire de faire le déchassé pour les
dames
, lesquelles se retrouvent à leur place et les cav
ute en quatre mesures. 9e. Chaque cavalier dans cette position, et la
dame
, qui se trouve alors à sa droite, se donnent la m
e se quittent point, et en quatre mesures. 10e. Chaque cavalier et sa
dame
s’étant rejoints après le tour précédent, se donn
les cavaliers sont alors placés le dos au centre de la danse, et les
dames
dans le sens opposé, et suivant celui qu’elles ti
les contredanses en nombre multiplié. 11e. Chaque cavalier et chaque
dame
se tenant toujours la main gauche et quittant de
la fin. Figure de la (dite des grâces.) 1er. Un cavalier et sa
dame
se donnent la main droite en main droite, le cava
te, le cavalier en même tems donne la main gauche en main gauche à la
dame
qui figure à sa gauche, et les deux dames se donn
n gauche en main gauche à la dame qui figure à sa gauche, et les deux
dames
se donnent l’autre main derrière le cavalier et à
se retire en arrière, en se baissant pour passer dessous les bras des
dames
, lesquelles se tiennent les mains ; le cavalier e
le cavalier en se relevant de suite, fait passer et tourner les deux
dames
dessous chacun de ses deux bras, et fait aussitôt
de ses deux bras, et fait aussitôt un salut en même tems que les deux
dames
font la révérence sur le point d’orgue, après les
point d’orgue, après les quatre mesures. 3e. Le cavalier et les deux
dames
font un tour de rond en se tenant les mains, puis
e beaucoup de danseurs exécutent cette figure à deux cavaliers et une
dame
. Comme elle dérive de l’allemande à trois, c’est
e elle dérive de l’allemande à trois, c’est alors un cavalier et deux
dames
d’abord pour le plus élégant, ensuite, pour l’exé
bord pour le plus élégant, ensuite, pour l’exécution de la passe, les
dames
étant presque toujours moins grandes, ont, par co
; Pairs, & les Duchesses : & après les autres Seigneurs &
Dames
de la Cour, chacun selon le rang qu’ils doivent o
es de la Cour, chacun selon le rang qu’ils doivent occuper ; mais les
Dames
sont assises sur le devant, & les Seigneurs a
t assises sur le devant, & les Seigneurs aussi assis derriere les
Dames
: quoique je les aye réprésenté debout ; mais c’e
Seigneurs ; tous les Seigneurs sont d’un côté à la gauche, & les
Dames
à la droite : & dans ce même ordre on se fait
se fait la reverence l’un devant l’autre, ensuite Sa Majesté & sa
Dame
mene le branle, qui étoit la danse par où les Bal
par où les Bals de la Cour se commençoient, tous les Seigneurs &
Dames
suivent leurs Majestez, chacun de leur côté, &
ois pas en avant, pour adresser une autre reverence à la Princesse ou
Dame
qui doit danser à son tour, afin de la convier de
dinairement ; ensuite il fait une reverence en arriere en quittant la
Dame
, & se va mettre à sa place ; mais la Dame obs
arriere en quittant la Dame, & se va mettre à sa place ; mais la
Dame
observe le même cérémonial pour convier un autre
cavalier exercera ce salut des deux côtés. De la manière dont les
dames
doivent faire la révérence. Les dames, pour fa
. De la manière dont les dames doivent faire la révérence. Les
dames
, pour faire la révérence, dégageront un pied, le
pied l’autre jambe pour la placer devant à la troisième position. Les
dames
exécuteront cette révérence doucement et continue
on s’écarte un peu, n’observant point leur conversation. Si c’est une
dame
que l’on accompagne, on ne doit point lui offrir
urgent, comme la main dans un mauvais pas. De la manière dont une
dame
doit se comporter dans les rues. Lorsqu’une da
manière dont une dame doit se comporter dans les rues. Lorsqu’une
dame
marche dans les rues, elle doit observer une bonn
voiture. Si l’on monte en voiture avec quelqu’un, que ce soit une
dame
ou autre personne pour qui l’on ait des considéra
la voix. S’il vient un à propos de saluer, le cavalier saluera, et la
dame
fera la révérence selon la manière que nous avons
l’on veut saluer ; le cavalier saluera à la première position, et la
dame
fera la révérence à la quatrième : s’il est néces
ntinuant de marcher à cette position quelques pas pour se retirer. La
dame
fera la révérence aussi à la quatrième position,
luer à son passage, le cavalier saluant à la première position, et la
dame
faisant la révérence à la quatrième. Pour sortir,
udra saluer ; le cavalier saluera comme nous l’avons démontré ; et la
dame
fera la révérence pareillement et en même tems, d
e cavalier répétera le salut, les pieds à la première position, et la
dame
fera la révérence à la quatrième ; et si l’on a q
quatrième position en arrière, à laquelle le cavalier saluera, et la
dame
fera la révérence. Si l’on n’a qu’à parler, après
gards vers le chef de la maison et ceux qui l’environnent. Lorsque la
dame
fera la révérence, pour donner plus d’élégance et
cavalier faisant le salut à la quatrième position en arrière ; et la
dame
, à cette position, fera la révérence, et en même
t et d’un mauvais genre. Il est malhonnête et indécent de choisir les
dames
pour les faire danser, comme de danser toujours a
l’avons démontré. Le cavalier se tenant un peu écarté et à côté de sa
dame
, la conduira à la place destinée pour danser, où
tinée pour danser, où ils se placeront, le cavalier à la gauche de la
dame
, la dame à la droite du cavalier. Le quadrille ou
r danser, où ils se placeront, le cavalier à la gauche de la dame, la
dame
à la droite du cavalier. Le quadrille ou rond éta
le composent se salueront réciproquement ; puis chaque cavalier et sa
dame
se tournant en face l’un de l’autre, se salueront
ier saluera, lâchant la jambe à la quatrième position en arrière ; la
dame
fera la révérence également à cette position ; et
t comme auparavant ; et chaque cavalier recevant la main gauche de sa
dame
, suivant l’ordre, également comme avant, la recon
ce en s’inclinant devant elle et les personnes qui l’accompagnent. La
dame
fera la révérence. On se comportera toujours avec
ussent été renommés en amours pour leur constante fidélité envers les
Dames
. A l’instant, on vit plusieurs Chevaliers dans le
supplia Jupiter de transformer aussi les autres Étoiles en autant de
Dames
qui avaient aimé ces Chevaliers. Incontinent, ces
t aimé ces Chevaliers. Incontinent, ces Étoiles changées en autant de
Dames
furent vues vêtues de la même couleur que leurs C
ia de permettre que toutes ces âmes célestes de Chevaliers avec leurs
Dames
descendissent en terre, pour danser à ces noces R
Jupiter lui accorda encore cette requête, et les Chevaliers et leurs
Dames
descendant des nues sur le théâtre au son de plus
ze nobili. [2] La Contradanza si può fare o con determinato numero di
Dame
e di Cavalieri, ovvero indeterminato, cioè di qua
alcune arie agevoli e corte. Vuol essere solamente ballata da quelle
Dame
e da que’ Cavalieri che sanno le regole del ballo
ballo. [4] La Contradanza di numero indeterminato, cioè d’altrettante
Dame
e Cavalieri messi a fila sopra due linee, quanti
ove Contradanze: ma si conviene innanzi tratto appararle almeno a due
Dame
ed a due Cavalieri, che a cominciarle dovranno es
Avx cavaliers et avx
dames
par luy mesme. Qvi desire scauoir les premier
mens, Dont Lauze a bien huré l’Angleterre & la France. Les
Dames
y verront parmi leurs pas diuers L’air, L’adres
igion, désintéressement, humanité après la victoire, respect pour les
dames
, dont les chevaliers défendoient la vertu au péri
r d’Adèle. Alphonse , chevalier Espagnol, à qui Adèle est promise.
Dames
de la cour d’Adèle. Chevaliers. Hérauts d’armes
perbe salon du palais de Renaud. Scène I. Des chevaliers et des
dames
magnifiquement vêtus, entrent successivement dans
ir. Tout est préparé pour cette auguste cérémonie. Un grand nombre de
dames
et de chevaliers sont invités à cette réception.
donne l’accolade. Les chevaliers s’empressent autour de Raymond. Les
dames
lui présentent les différentes pièces de son armu
et triomphale annonce l’arrivée des champions. Les chevaliers et les
dames
se placent sur les gradins. Le peuple se disperse
la joie pure de Renaud, et l’intérêt tendre que les chevaliers et les
dames
prennent à cette union.
fille de Procule, amante d’Horace. Julie , confidente de Camille.
Dames
Romaines. Tullus , Roi de Rome. Métius , Roi
lle. Dames Romaines. Tullus , Roi de Rome. Métius , Roi d’Albe.
Dames
et Chevaliers Romains. Chevaliers Albains. Prêt
ion représente le Capitole. Scène I. Acteurs précédens. Fulvie,
dames
Romaines, Camille. Horace, précédé et suivi du pe
rmes des vaincus forment des trophées, qui accompagnent ce char ; les
dames
Romaines s’empressent à lui offrir des lauriers.
il Horace dévoué à sa patrie, applaudit au parricide de son fils. Les
dames
Romaines sont saisies de frayeur ; Tullus oublie
adins élevés. Scène I. Le vieil Horace, Horace, Fulvie, Procule,
Dames
et Chevaliers Romains. Le peuple est impatient de
t accompagné par Procule et Fulvie, par des chevaliers Romains et des
dames
amies de Fulvie. Le char s’arrête au milieu de la
ux pieds de Tullus, il le relève et l’embrasse ; Procule, Fulvie, les
dames
et les chevaliers entourent Tullus ; et cette réu
e réunion forme un grouppe d’autant plus général, que les troupes les
dames
et le peuple, par un mouvement spontané, exprimen
se militaire exécutée par vingt-quatre chevaliers Romains ; autant de
dames
tenant à leurs mains des couronnes de laurier et
e et Procule font éclater leur reconnoissance ; les chevaliers et les
dames
Romaines expriment leur admiration et par un sent
e est d’une simplicité impressionnante. Là, où on s’attend à voir une
dame
en grands atours, à la mine altière, on trouvé un
e en grands atours, à la mine altière, on trouvé une charmante grande
dame
accueillante, simple, spirituelle et ayant conser
n confiance. C’est ainsi que je m’étais toujours représenté la grande
dame
, par tout ce qu’elle est elle-même, et non seulem
et les sculpteurs et cette soirée fut également un grand succès. Une
dame
enfin pria mon amie de danser chez elle. L’étoile
chez elle. L’étoile demandait très cher, mais, persuadée par moi, la
dame
consentit à payer le gros cachet que prétendait t
vint seul. D’abord, il fit quelques difficultés, puis m’avoua que ces
dames
ne comptaient pas me rejoindre. Je ne pouvais pas
je n’ai pas la moindre envie de retourner auprès de Loïe. » Quand ces
dames
durent revenir à Budapest elles laissèrent partir
Methode povr les
dames
. Il est indubitable que la beauté des Dames a
Methode povr les dames. Il est indubitable que la beauté des
Dames
a seruy de subiect aux enuieux, pour blasmer cest
esclat de tant de traits & d’atraits sans alarmes. Mais voyez mes
Dames
la responce que ie leur ay faicte en l’Apologie d
Plusieurs maistres estiment qu’il n’est pas necessaire d’obliger vne
Dame
à porter les pointes des pieds ouuertes, & se
uera mon aduis. Des principes. Et pource que le visage d’vne
Dame
est le premier obiect qui attire les yeux des reg
tre quelque fois diuerses compagnies en vn mesme lieu, lesquelles vne
Dame
est obligee (soit par bien seance ou autrement) d
es démarches plus naturelles sont non seulement les plus requises aux
Dames
, mais sans comparaison les plus propres pour leur
Tovt de mesmes qu’il a esté dict pour vn Caualier, il faut qu’vne
Dame
commence le Bransle Gay par le dernier pas, à fin
as de courante qu’on fait auiourd’huy, ie n’en ay point trouué qu’vne
Dame
peust acquerir auec plus de facilité, n’y qui luy
bien peu en dehors tenant les extremitez du lieu, & à fin que la
Dame
n’incommode celuy auec lequel elle danse, ayant f
’vne autre forte de pas qui ont bonne grace estans bien faits par vne
Dame
, si la negligence qu’on apporte auiourd’huy à dan
ent. Décidément ce bal est trés-galant ; il est entièrement dédié aux
dames
. L’habitué. Merci, pour ces portraits… ces dame
ièrement dédié aux dames. L’habitué. Merci, pour ces portraits… ces
dames
sont mesdames Sévigné, de Girardin, etc. — Tu les
abitués. L’ami. C’est cela qui m’est égal, que ces messieurs et ces
dames
se moquent de nous… L’habitué. Oui, mais ça ne
on l’a appelée ainsi, ton intelligence te le fait deviner : c’est une
dame
très-bien, qui a jeté son bonnet par-dessus les m
he de cheveux pour dix mille francs. L’ami. — Mais alors toutes ces
dames
sont riches. Alida. — Toutes, ah ! bien oui ! —
’ami répond à ce salut par une respectueuse révérence. — Une fois ces
dames
parties, l’habitué prend le bras de son ami. L’
dimanche précédent pour assister à mon « succès » lorsqu’elle vit une
dame
se lever et s’approcher de l’estrade. La dame se
s » lorsqu’elle vit une dame se lever et s’approcher de l’estrade. La
dame
se mit à lire un petit papier qu’elle tenait à la
me se mit à lire un petit papier qu’elle tenait à la main. Lorsque la
dame
eut achevé sa lecture, ma mère entendit ces mots
eprésentation. C’est ainsi que j’ai joué Marguerite Gauthier, dans la
Dame
aux Camélias, avec un délai de quatre heures seul
vec moi. — Un document historique. — Une répétition du théâtre. — Ces
dames
chez le commissaire. — La Comédie-Française et le
virgule. C’est un trésor pour les Délassements. Car trop souvent ces
dames
oublient de venir, retenues qu’elles sont, l’une
est l’activité personnifiée. C’est lui qui est chargé de prévenir ces
dames
et de veiller à ce qu’elles entrent en scène à te
t faire si je ne vois rien ? Oscar. Coupez les rôles, parbleu ! Ces
dames
trouvent qu’ils font longueur. Paurelle. Si on
avec ?… mélanie. Marche devant. Au bout de trois minutes, toutes les
dames
ont quitté la répétition pour aller chez le commi
eur. On n’a jamais pu savoir. Un quart d’heure après ce colloque, ces
dames
effectuent leur rentrée, ramenées par M. Sari, cl
invitation à souper. — Une circulaire. — La réponse épistolaire d une
dame
. — Deux lignes spirituelles d’un vaudevilliste no
s l’une et l’autre. « J… » VI Cependant dernièrement une de ces
dames
a reçu deux lignes vraiment, spirituelles. Le cas
tous ses clients sur le bout du doigt. Il en est arrivé à éviter aux
dames
la lecture des lettres inutiles. Le moyen qu’il e
t répondre que oui ; après cela, tu sais, je ne réponds de rien ; ces
dames
sont si changeantes ! Le gandin brun. Elle n’es
urse. — J’ai peur d’être ridicule. Premier gandin. Ah ! — voilà des
dames
qui sortent. Effectivement, quatre dames effectue
ier gandin. Ah ! — voilà des dames qui sortent. Effectivement, quatre
dames
effectuent leur sortie ; elles sont sur-le-champ
, fille de Priam. Priam , Roi des Troyens. L’ombre d’Achille .
Dames
troyennes , Captives. Capitaines et soldats tro
rophées de la victoire. Il est traîné par les officiers captifs ; les
dames
Troyennes y sont enchaînées, et elles expriment c
s grands malheurs, frappent Pyrrhus de surprise et d’admiration ; les
dames
Troyennes oublient leurs chaînes pour voler vers
lorer sa clémence. Polixène lui demande la liberté des Troyens et des
dames
Troyennes ; elle lui est accordée ; tout ce peupl
résente Polixène égorgée au pied du tombeau d’Achille et entourée des
dames
Troyennes qui expriment ce que les regrets et la
t en dessus. Les cavaliers les tiendront près d’eux en cet état ; les
dames
tiendront leur robe légèrement du bout des doigts
bras continuellement jusqu’à sa place. Lorsqu’on se donne la main, la
dame
entre la sienne sur celle de son cavalier, qui pr
eur exécution, et pour éviter que les pieds du cavalier et ceux de la
dame
se rencontrent en valsant ; de façon que lorsque
ant ; de façon que lorsque le cavalier exécute un de ces deux pas, la
dame
exécute l’autre ; et que le cavalier et la dame e
n de ces deux pas, la dame exécute l’autre ; et que le cavalier et la
dame
exécutent chacun alternativement l’un et l’autre
r, pour bien prendre le pas et se mettre d’accord le cavalier avec la
dame
, si le cavalier tiens sa dame à côté de lui à sa
se mettre d’accord le cavalier avec la dame, si le cavalier tiens sa
dame
à côté de lui à sa droite il faut qu’il parte du
l faut qu’il parte du pied gauche, en tournant en même tems devant sa
dame
comme s’il eût été devant elle ; et pour exécuter
es qui naissent des mauvais lieux ; il faut que le cavalier tienne sa
dame
de la main droite, au-dessus de la taille ou des
ieux que le cavalier de sa main gauche soutienne la main droite de sa
dame
. Il faut soutenir les bras un peu arrondis, pour
it du tour de deux mains. Pour remplir ce trait, le cavalier et la
dame
se faisant face se donneront les deux mains, bais
aversé ; et tournant sur leur place, le cavalier vers la droite de la
dame
, et la dame vers la droite du cavalier ; et finis
tournant sur leur place, le cavalier vers la droite de la dame, et la
dame
vers la droite du cavalier ; et finissant le tour
Trait du dos-à-dos. Pour remplir ce trait, un cavalier et une
dame
de vis-à-vis se présenteront l’épaule droite, et
sés, jetés et assemblés, comme pour traverser. Deux cavaliers et deux
dames
de vis-à-vis, partant du pied droit pour faire le
che, les cavaliers tourneront sur leur droite, quittant la main de la
dame
de ce côté, pour donner la gauche à leurs dames q
quittant la main de la dame de ce côté, pour donner la gauche à leurs
dames
qu’ils rencontreront, et continueront à tourner d
droit, et le jeté et assemblé, en se plaçant au côté gauche de leurs
dames
, qui tourneront aussi sur leur gauche, exécutant
it que la demi-chaîne anglaise, mettra les deux cavaliers et les deux
dames
de vis-à-vis à la place opposée à la leur, qu’ils
ent des huit mesures des deux traits. Des traits de la chaîne des
dames
. Pour exécuter cette chaîne, deux dames de vis
es traits de la chaîne des dames. Pour exécuter cette chaîne, deux
dames
de vis-à-vis exécutant les trois chassés comme po
même pas, en montant à leur droite pour se trouver à la rencontre des
dames
, où ils se donneront la main gauche en main gauch
ce côté en reprenant le sens de la danse ; et répétant ce trait, les
dames
rentreront à leur place. On exécutera ces deux tr
e trait, deux cavaliers de vis-à-vis donneront la main gauche à leurs
dames
, (on passe en dessous la main droite en main droi
et assemblés, comme pour traverser, les cavaliers feront passer leurs
dames
devant eux, en partant à leur droite pour descend
emplir ces traits, deux cavaliers de vis-à-vis passant derrière leurs
dames
, allant à droite, feront le tems levé, le chassé
vant à la troisième position : les cavaliers repassant derrière leurs
dames
, répéteront ce même enchaînement de la jambe gauc
ont ce même enchaînement de la jambe gauche et allant de ce côté. Les
dames
, pour exécuter le chassé-croisé, partant à gauche
sous de la droite, et l’assemblé devant. Pour déchasser à droite, les
dames
repassant devant leurs cavaliers, exécuteront le
s, et l’assemblé devant à la troisième position. Les cavaliers et les
dames
exécuteront ce chassé-croisé en même tems, et con
iers de vis-à-vis, de la main droite, recevront celle gauche de leurs
dames
; et partant à leur droite pour se mettre en face
ce qu’on appelle chassé ouvert, exécuté à huit, les cavaliers et les
dames
qui se font face, se donneront les deux mains, ré
: chaque cavalier en même tems fera tourner et placer à sa droite la
dame
dont il tient les mains, ce qui mettra les quatre
il tient les mains, ce qui mettra les quatre cavaliers et les quatre
dames
sur deux lignes : alors chaque cavalier et sa dam
ers et les quatre dames sur deux lignes : alors chaque cavalier et sa
dame
se trouveront en face l’un de l’autre. On exécute
rsqu’une voiture, attelée de deux chevaux fringants, conduits par une
dame
entre deux âges, arriva sur nous. J’eus peur pou
r pour ma mère, et j’étendis le bras vers l’équipage qui s’arrêta. La
dame
nous laissa passer, et, tout en la remerciant, je
escendant de ma chambre, je rencontrai dans l’escalier de l’hôtel une
dame
, à l’expression très douce et qui me demanda : —
quiesçai volontiers et la suivis. Je fus charmée de causer avec cette
dame
et avec son mari, qui était le plus aimable des h
way. Dans la voiture plusieurs personnes parurent me reconnaître. Une
dame
vint s’asseoir à côté de moi et se mit à me parle
ser, pour que les archiduchesses qui sont là, avec toute une suite de
dames
de la Cour, puissent vous voir ? Je répondis : —
ssible, en effet, de lui demander de venir à l’Hippodrome. Une de ses
dames
d’honneur me répondit que le séjour de la Reine é
oir une de mes amies vint m’aviser qu’elle avait écrit la veille à la
dame
d’honneur de la Reine, qu’elle connaissait, de ve
ingiusta censura, che tralasciar cosa da cui possono spezialmente le
Dame
ed i Cavalieri, in serviggio de’ quali a sì fatta
ove si trovano a man destra e sinistra, e nel fondo di quella, assai
Dame
e Cavalieri seduti, o che stanno in piedi, convie
re présenté à un déjeuner du « Tour du monde » à Boulogne. Je vis une
dame
américaine aux traits menus, aux yeux bleus comme
ein de charme et d’agrément. Cette éblouissante artiste se révèle une
dame
d’un sens juste et délient, douée d’une pénétrati
l’histoire suivante : — Lorsque vous jouiez Jack Sheppard, l’une des
dames
de la troupe demeurait ici avec M. X. Un jour ils
une telle querelle que je fus obligé de les prier de déguerpir. Cette
dame
s’était inscrite sous le nom de miss Fuller. J’ig
quelles « imitations », dans la vie privée, peuvent faire de moi ces
dames
, que n’embarrassent point les scrupules. Aussi je
ou peu iudicieux. Car de s’obliger de traicter de la Methode pour les
Dames
, & n’en rien dire du tout : Promettre d’ensei
ample qui s’en fait auec les autres, à vne inuisible Methode pour les
Dames
: donner en fin à vne piece imparfaicte, le tiltr
oir vivre tout des plus grossier ; cette regle est également pour les
Dames
. De même que lorsque l’on vous vient prier pour d
ue vous apprenez : ainsi vos reverences finies vous reconduisez cette
Dame
à sa place, & du même tems vous allez faire u
rut, Laissant un grand regret dans l’âme De maint Monsieur, de mainte
Dame
, De perdre le contentement D’un si cher divertiss
. Plus de six mille Hommes, que Femmes, Dont étaient plusieurs belles
Dames
Dignes de respect et d’amour, Et maints grands Se
e les pas & les actions d’vn Caualier, & ce qu’il faut qu’vne
Dame
face : & aussi qu’il y auroit de la confusion
trois autres sortes de reuerences, comme pour saluer vn Seigneur, vne
Dame
; commencer vne courante, ou vne gaillarde, desqu
il faudra monstrer l’action qui doit estre obseruee pour prendre vne
Dame
, & la prier de danser, dont sera parlé cy apr
t, d’ailleurs que les pas & les actions qu’on y fait obseruer aux
Dames
, dont sera parlé cy apres, peuuent seruir de regl
mpagnie, il luy faut apprendre les actions qui suiuent pour prier vne
Dame
de danser ; Ayant donc tiré le chapeau, qu’il por
ommencer, & venant à finir, que ce soit d’vne reuerence deuant la
Dame
, mais ne faut pas oublier d’en faire vne auparaua
omme ie vous ay dict, quelqu’vn qui vous y obligeast, ny à ramener la
Dame
en sa place, le tout auec des pas & des demar
n Escolier la grauité qui est requise pour salüer vn Seigneur, ou vne
Dame
, qu’on luy face souuent prattiquer les reuerences
esmes actions doiuent estre obseruees par vn Caualier pour salüer vne
Dame
, excepté qu’il faut en se releuant apres auoir ba
qu’il faut en se releuant apres auoir baisé la main, baiser aussi la
Dame
, puis desgager le pied gauche & glisser le dr
étaient ni Comtes, ni Marquis, Mais des Gens de mérite exquis, Et des
Dames
belles et bonnes, Deux desquelles sont fort Migno
ure ; les cardinaux de Saint-Séverin et de Narbonne y dansèrent ; les
dames
les plus aimables y firent éclater leur goût, leu
érémonie fut délibéré à la pluralité des voix. Le jour fut pris ; les
dames
les plus qualifiées furent invitées, et après un
te écus l’aune : d’autres étaient vêtus de drap d’or ou d’argent. Les
Dames
n’étaient pas moins parées : l’éclat de leurs pie
be collation dressée d’une propreté enchantée. Monsieur, et plusieurs
Dames
et Seigneurs de la cour vinrent voir ces appareil
ec les plus grands seigneurs de Rome : ils étaient compagnie chez les
Dames
de la Cour de Tibère, de Caligula, de Néron ; les
it les succès. Les Pantomimes étaient entretenus publiquement par les
Dames
les plus qualifiées de Rome75. Le talent du Théât
s deux messieurs firent le tour de la société et demandèrent à chaque
dame
si l’enfant était à elle : personne ne le reconna
était à elle : personne ne le reconnaissait. Sur ces entrefaites deux
dames
entrèrent dans la chambre qui servait de vestiair
Étrangers, les Courtisans, Qui dans la Salle était présent, Comme les
Dames
les plus belles, Y virent des grâce nouvelles. Qu
t fort. — Un mot d’Oscar le régisseur. — Le magnétisme de Sari. — Ces
dames
. — De quoi se compose la troupe féminine. — Madem
nie de discipline. Jamais on n’a trouvé de définition plus juste. Ces
dames
— mes douces compagnes — sont les êtres les plus
VIII La troupe féminine du théâtre se compose d’une vingtaine de
dames
recrutées un peu partout. Bien malavisé serait ce
, Les Princesses les plus aimables, Les Envoyés, Ambassadeurs, Belles
Dames
et grands Seigneurs Agréablement s’y trouvèrent E
. Le Roi mena la Mariée au Moustier suivie de la Reine, Princesses et
Dames
tant richement vêtues, qu’il n’est mémoire en Fra
la Mariée et autres des plus grands de la cour, tous les Seigneurs et
Dames
changèrent d’accoutrements, dont la plupart étaie
uisées en hommes. La Reine lui rendit la pareille par un autre où les
Dames
les plus belles firent le même office, la gorge d
er devant Sa Majesté ; parce qu’on ne peut se dispenser d’obéïr à une
Dame
qui vient vous prendre : on doit du moins se prés
c elle, la remener en sa place, & ensuite aller prendre une autre
Dame
, pour en faire encore autant ; afin de ne point i
curiosité, incognito, c’est-à-dire enveloppé d’un manteau, & une
Dame
en écharpe ; car alors il est contre les régles d
orps de Satyre au naturel : ce qui scandalisa toute l’assemblée ; les
Dames
eurent recours à leurs éventails, les hommes cour
& digne de la magnificence d’une assemblée si considérable : les
Dames
les plus distinguées de la Ville de Trente, y par
e écus l’aulne ; d’autres étoient vêtus de drap d’or ou d’argent. Les
Dames
n’étoient pas moins parées ; l’éclat de leurs Pie
e d’une propreté enchantée. Monsieur, & plusieurs Seigneurs &
Dames
de la Cour vinrent voir cet appareil, pour s’y ra
ne compagnie qui n’est pas désagréable, il appelle les femmes « belle
dame
», les compare aux roses du printemps et leur off
ussi ? — Les vôtres aussi. — Mais, de quel droit, s’il vous plaît ? —
Dame
… du droit que tout directeur… — Cela est impossib
’où vient que la femme de Léonidas nommée Gorgo, répondit, à quelques
Dames
étrangères qui lui disaient : Il n’y a que vous a
ns des hommes… Et était en ce temps-là l’honnêteté et la pudicité des
Dames
si éloignée de la facilité que l’on dit avoir été
aire éclater la Scène. Les plus grands Seigneurs de la Cour, Avec les
Dames
, tour à tour, Dans le petit Parc se trouvèrent, E
endant je ne résiste pas au plaisir de parler de quelques-unes de ces
dames
. De mademoiselle Finette par exemple, ma rivale d
coup de travail, mais les lettres sont copiées dans le Secrétaire des
Dames
, ce qui simplifie la besogne. Les messieurs n’y v
fils. La foule battit des mains et voulut la porter en triomphe. Une
dame
du noble faubourg fit sur cet événement une réfle
ce n’est pas vrai. Je ne veux pas la voir. Celle-ci, c’est une grosse
dame
et c’est une fée que j’ai vue danser. S’il y a un
ce d’une étrangère. Lorsque la princesse leur expliqua que j’étais la
dame
qu’ils avaient vue danser au théâtre, l’aînée, la
au théâtre et s’ancrèrent de plus en plus dans leur conviction que la
dame
qu’ils avaient vue chez leur mère et qui s’était
duite. J’ai la prétention d’avoir autant d’imagination que toutes ces
dames
, et rien ne me serait plus facile que de raconter
VI Ce qui m’étonne, c’est le peu de franchise et d’énergie de ces
dames
. — Pourquoi ne pas dire la vérité ? pourquoi ne p
t nommer un beau plan De toutes les grâces touchantes Qui rendent les
Dames
charmantes. La jeune Dame de Vibray, Laquelle,
ais hardiment que non. Outre ces Beautés éclatantes, La plupart des
Dames
importantes, Cinq ou six Fillettes encor, Chacun
ue la Nature a fait de plus gracieux ; c’est que sans la presence des
Dames
la danse n’est pas si animée, car ce sont elles q
leurs étaient remplis ordinairement par les Souverains eux-mêmes, les
Dames
et les Seigneurs les plus aimables de leur Cour.
mp; même à ceux qui en font leur principale occupation. A l’égard des
Dames
, elles ne doivent pas tant les sauter, il suffit
de Mentor, et encore ce second personnage ne dansait pas. Les grandes
dames
avaient des tendresses pour ces artistes. Les duc
olympiens, à la crinière de lion, Théophile Gautier. *** Du côté des
dames
, il y avait la vieille garde, avec des sujets don
squ’elle débuta, en 1823, dans Aladin ou la Lampe merveilleuse. Cette
dame
n’a point d’histoire. Sa lampe ne brilla jamais b
c un Anglais colossalement riche, avait fait entrer dans sa maison la
dame
de compagnie d’une haute et noble lady qui venait
e rentes, se fit une place dans la haute société anglaise et garda sa
dame
de compagnie. A Mlle Duvernay manquait, ainsi qu’
ies physiques et morales vers un but haut placé. Pour beaucoup de ces
dames
, la danse n’était qu’un moyen de paraître en publ
trouvé chez un des interprètes de Manon. Non, j’en conviens, chez ces
dames
du corps de ballet, mais chez l’artiste qui chant
ut du pavé à la personne qu’il voudra saluer, supposé que ce soit une
dame
ou une demoiselle : s’il veut s’arrêter, il ira d
Chapitre XIV. Des Reverences de plusieurs manieres. Les
Dames
n’ont pas les mêmes embarras que les Messieurs po
s-je, au comble de la joie. Vous voulez me présenter à l’auteur de la
Dame
aux Camélias ? — Oui, répondit-il. Cela valait bi
Un jour, toujours avec M. Poulle pour interprète, nous parlions de la
Dame
aux Camélias et du Demi-Monde et de l’immoralité
serait du retard. C’est sans doute une Lorette qui a fait donner aux
dames
qui paraissent en scène, le sobriquet de paraisse
ion de son domicile. Le portier dit au maître d’hôtel : Tiens ! cette
dame
n’a pas d’effets. Étant payé d’avance l’hôtelier
es richesses vestimentales de sa locataire. Il se dit : Tiens ! cette
dame
a beaucoup d’effets. Il descend chez le portier,
francs, il laisse un cabriolet de régie douze heures à la porte de la
dame
; après le dîner il débouche sept bouteilles de c
t encore un type à signaler. Un de ces individus invite un jour trois
dames
à dîner chez le restaurateur ; mais, avant de se
le garçon… vous avez demandé trois fois du Volnay. — Oui, disent les
dames
, nous témoignons. — Et on a marqué trois bouteill
e fatalité, la voiture de la Lorette s’étant brisée à la barrière, la
dame
revient à Paris, et, sans rentrer chez elle, va a
a fourchette. — Madame Saint-Lambert, dit une petite voix flûtée à la
dame
de la maison, est-ce que tu ne vas pas mettre auj
et à l’enchère… c’est si amusant. A peine ce vœu est-il formé, que la
dame
de la maison place sur la table la gravure de l’A
ligence du bien-être que ne possèdent pas à un degré égal beaucoup de
dames
non lorettes. De nos jours, Paris est une atmosph
concédait gratuitement, pour six mois, un apparpartement complet aux
dames
assez intrépides pour risquer les rhumatismes pro
sur l’étrangère : les faiseurs de cancans de Londres se dirent que la
dame
avait une mission de basse diplomatie et qu’on l’
sse. La vieille Lorette est très-recherchée des hypocondriaques comme
dame
de compagnie, son habitude des vicissitudes de la
a coloro che sono troppo grandi della persona, è necessarissimo alle
Dame
, alle quali in niun modo è lecito saltare nel Bal
de danse et à son vaillant état-major ; il prie également toutes ces
dames
et tous ces messieurs d’agréer l’expression de so
eunesse Romaine transportée de ce coup de génie, crie au miracle. Les
Dames
les plus belles battent des mains. On admire, on
fils de roi, n’affecte point ce luxe d’aménagement qui fait crier les
dames
des commerçants en rupture d’épicerie. Sa mère a
gée. — Excellente mère de famille, » Ouvrez, enfin, le Plutarque des
Dames
, ou Etrennes aux Oisifs, publié, en l’an de grâce
rs les coryphées. Mademoiselle Vendoni Une Italienne ?… —
Dame
! la terminaison du nom semble l’indiquer… Mais v
lini, Vandoni, Maffioli, Corzoli, — et cœteri ! — Des Italiennes ?… —
Dame
! si je m’en rapporte au début de cette tirade de
ante : — C’est ma fille, monsieur ! Et il n’est pas une de ces braves
dames
qui n’ajoute avec l’enthousiasme traditionnel : —
de voir ce chevalier servant fidèlement attaché aux pas de l’illustre
dame
. Un journal, le Corsaire, se fit l’organe de la p
mit gaîment à cette obligation. Catherine Prinster joua le rôle de la
dame
respectable et s’assit à la caisse à côté d’elle.
de grand prix, qui lui servit dans la suite à danser la cachucha. Une
dame
ajouta au costume un merveilleux éventail où la c
égate, on se prépara à hisser la jolie visiteuse dans le fauteuil des
dames
; mais Fanny préféra monter tout simplement par l
us traitera de lâches ; mais il faut s’incliner devant le désir d’une
dame
; je vais, mademoiselle, soumettre votre demande
s n’existe-t-il pas une sympathie séculaire entre les pompiers et les
dames
du corps de ballet ? *** Comment nous expliquer
des cigares qui s’allumaient à toutes les places. Lorsque ces belles
dames
recevaient le soir, on écartait les rideaux du sa
t des soirées musicales où il était convié. Il comparait le chant des
dames
américaines au son que l’on obtient lorsqu’on pro
ître, lorsque vous les executerez bien, de les adoucir. A l’égard des
Dames
, c’est la même maniere : à l’exeception qu’elles
dents Vers, En deux ou trois endroits divers, J’ai parlé de celle des
Dames
, Qui comblaient d’amoureuses flammes, Ainsi que d
belles Tables d’attente Pour augmenter le nombre, un jour, Des hautes
Dames
de la Cour : J’ai vu trente Ballets en France, Ma
ment fausse fut applaudie à outrance. Le public cria au miracle ; les
dames
Romaines, à qui le jeune pantomine plaisoit, s’éc
grands associèrent leurs débauches à celles de ces bas farceurs, les
dames
Romaines, et leurs filles joüoient avec eux les s
tre. J’ai déja dit que tous ces differens pas sont également pour les
Dames
, comme pour les Messieurs, à l’exception qu’elles
’à cette époque le roi, les plus grands seigneurs et les plus grandes
dames
de la cour figuraient dans les ballets sur le thé
! Et puisqu’il s’agit d’actrices, deux mots, s’il vous plaît, sur ces
dames
en passant. Pour tout jeune homme, ce mot d’actri
presente libro, è assai men faticosa di quella da Teatro. Serve alle
Dame
, Cavalieri ed altre gentili persone, e per fino i
rivialité fut atteint par Lola Montès en 1844. Pour ses débuts, cette
dame
fâcheusement illustre arriva sur la scène d’un bo
plus que désordre, confusion, et brutalité ; il fait beau de voir les
dames
exposées à recevoir à chaque instant des coups d’
le Rochefort, Que tout le monde estime fort. Outre ces seize Nobles
Dames
, Aucunes Filles, d’autres Femmes, L’aimable et ch
lle, en peignant les amours de Léda, avait toujours causé à plusieurs
Dames
Romaines, très respectables d’ailleurs, des distr
VI Ballade des
dames
du temps jadis. Emilia Bigottini. — Clotilde
hènes et Rome, et le boudoir des courtisanes, comme celui des grandes
dames
, s’ingéniait à rappeler l’intérieur d’Aspasie ou
tes ces médailles ! Mon cœur est comme les montagnards écossais de la
Dame
blanche. Chez lui, L’hospitalité se donne, Mais
it la tête de la colonie anglaise à Paris, mourut, laissant libre une
dame
de compagnie renommée pour son excellente tenue e
cause de ce chagrin subit. Alors Pauline entre deux sanglots : — Ma
dame
de compagnie a appris que nous n’étions pas marié
soupirai si fortement, qu’il leva la tête. — Elle vous plaît donc ? —
Dame
… J’osais à peine lui répondre… — Dites, vous plaî
un moment, qu’il voyait, mon aveugle ajouta : — Regardez-la, ma bonne
dame
, est-ce que sa bonté n’est pas peinte sur tout so
ithyrambes. L’homme dit seulement : — On vous remercie bien, ma bonne
dame
. Peu après, je partis pour une longue tournée en
fet mystificateur, se chargèrent de faire parvenir à destination. Les
dames
choristes avaient posé, disait-on, pour les peint
L’opposition fut impuissante. Le grand monde adopta la cachucha. Les
dames
de la meilleure aristocratie s’essayèrent à la da
née, le Diable boiteux avait eu sa répercussion sur la mode. Chez les
dames
« l’asmodée velouté » faisait concurrence aux « t
les nuages écossais ; Walter Scott s’est inspiré d’elle pour créer la
Dame
blanche ; elle a fait les délices du fantastique
, était représentée par Fanny, le Décaméron, de Winterhalter, par des
dames
de l’Opéra, de la Comédie-Française et du Vaudevi
, Lauriston, Fulchiron, Pourtalès, Aguado, Fould, Schickler, etc… Les
dames
s’exhibaient en organdis brodés ou brochés en cou
nom de Mario. Chacun s’extasiait sur la jolie voix du joli ténor. Les
dames
le couvaient de leurs regards attendris. Toutes c
Lorsque la visite des trois ateliers fut terminée, un monsieur et une
dame
; traversant le jardin ; vinrent à nous, et Rodin
us allions nous mettre à table, Mme Claretie était allée chercher une
dame
âgée à la figure aimable. J’ai rarement vu des mo
elles composaient un délicieux tableau. Mme Claretie me présenta à la
dame
âgée. C’était sa mère. Je demandai à la vieille d
unes demoiselles, et combien les suites en peuvent être funestes. Une
dame
un peu jalouse de sa réputation, ne seroit pas co
C’est, dit-il, la remarque que fait Salluste en disant de Sempronia,
dame
de naissance, mais absolument décriée pour les mœ
eusement au choc d’vne bataille, & s’y exerçoit encores parmy les
dames
de sa cité, n’estimant pas que ce fut chose qui d
’elle a pour subiect vn bien tres-necessaire aux Caualiers, & aux
Dames
qui veulent anoblir les charmes qu’ils ont desia
riches préparatifs pour son exécution : le Roi voulut y danser : les
Dames
les plus qualifiées, les Seigneurs les plus disti
ché. Nous courûmes tous prendre part à ce divertissement imprévu. Ces
dames
étaient réellement furieuses, elles s’injuriaient
as des yeux, constatait avec joie qu’ils s’amusaient étonnamment. Les
dames
furent adorables ; l’orchestre, — un piano et un
, mais je n’y attachai pas trop d’importance. Je saluai à nouveau les
dames
en robes superbes qui se pressaient dans les gale
était une enfant du pays. Peu après mon début aux Folies-Bergère, une
dame
demanda à me voir. C’était la comtesse Wolska, Po
nt déclaré n’avoir jamais rencontré un seul homme habile à parler aux
dames
. Je me suis trompée. J’en connais un. Mais celui-
sard me fait un matin, à l’aube, rencontrer à la gare de Silésie, une
dame
étrange enveloppée de voiles bruns aux plis graci
représente un bosquet des jardins d’Admète. Admète est entouré des
Dames
de la Cour ; elles s’empressent par leurs jeux de
nt les délices des Alliés en 1814, que beaucoup devinrent des grandes
dames
étrangères, des mères de famille respectées. Ce d
jupes du corps de ballet : « Voulez-vous me plaire ? disait-il à ces
dames
. Des pantalons larges et des mœurs ! » L’émotion
toute honteuse de paraître ainsi à l’improviste devant une si grande
dame
; cependant elle a l’air si bon, que l’on oublie
aperçue de ce manège, et qui en rit de toute son affabilité de grande
dame
, passe au cou de Giselle une belle, longue et lou
Apelles . Campaspe . Alexandre . Roxane . Ephestion .
Dames
de la cour d’Alexandre. Guerriers. 1 Elève d’Ap
Ascagne est à ses pieds. Ce trône est environné des officiers et des
dames
de sa cour. Enée tient la première place auprès d
me seconde, était madame la princesse de Conti, et ensuite toutes les
dames
de la cour. Le Roi et la Reine et la famille roya
Le roi mena la mariée au moutier, suivie de la reine, princesses, et
dames
tant richement vêtues, qu’il n’est mémoire en Fra
a mariée, et autres des plus grands de la cour, tous les seigneurs et
dames
changèrent d’accoutrements, dont la plupart étaie
ribués par une loterie amusante et pleine de galanterie, à toutes les
dames
et à tous les seigneurs de la cour. Le magnifique
phe régnaient deux galeries, dont la supérieure était remplie par les
dames
les plus distinguées de la ville, et l’autre l’ét
ent des symphonies italiennes. Le 28 la ville offrit des présents aux
dames
et aux seigneurs de la cour de Madame la Dauphine
dame la Dauphine se rendit à l’église métropolitaine, accompagnée des
dames
et seigneurs de sa cour, et des principaux offici
te cors de chasse. Les tourniquets à courir la bague, occupés par des
dames
supposées des campagnes et des châteaux voisins,
urs les plus belles à la Reine : les autres en offrirent à toutes les
dames
de la cour. Il y avait autour du berceau un grand
du sang, les ambassadeurs et ministres étrangers, et les seigneurs et
dames
de la cour, invités à la fête, furent arrivés à l
Pylade, ami d’Oreste. Un Messager. Principaux officiers d’Agamemnon.
Dames
du Palais. Soldats Grecs. Esclaves Troyens. Peupl
er de ses larmes. Scène vii. Les cris d’Eleclre ont attiré les
Dames
et les Officiers du Palais, déjà prévenus par l’e
ns ses vêtemens et ses ajustemens ; devenue l’oracle du bon goût, les
dames
de la cour et la ville s’empressoient de la consu
n’avait cessé d’éprouver de la tendresse. Il soupira pour de grandes
dames
auxquelles il pouvait à peine se permettre de lai
ntelles. Un ami avait désapprouvé son choix, mais il consulta une des
dames
réputées pour avoir le meilleur goût de tout Vien
e également dans le secret, fut suppliée de ne pas le trahir. A cette
dame
qui avait résisté à ses avances, Gentz vante les
rée s’était terminée par une promenade dans le parc, où Gentz fit aux
dames
un petit cours d’astronomie. Le prince de Mettern
e la jolie Allemande sont imités aux répétitions par plusieurs de ces
dames
qui se piquent d’elssleriser avant un mois. Troup
e, Petits Mémoires de l’Opéra, p. 78. 96. Voir le Petit Courrier des
Dames
, septembre et octobre 1834. 97. La Gazette des
ile qui conduisoit au temple de l’immortalité ; les chevaliers et les
dames
exprimoient par des danses héroïques la joye que
adamante an comble de la joye voloit vers lui ; les chevaliers et les
dames
se réunissoient à l’entour des deux époux et des
— Où est votre mère ? — Là, dehors. Et je désignai la porte. — Cette
dame
pâle, à la figure si douce ? — Oui, monsieur… Ell
un pays du monde, et tout le temps du repas je reçus des cadeaux. Des
dames
ôtaient leurs bracelets, d’autres leurs bagues, d
s femmes toujours prêtes à se porter vers les extrêmes, imitèrent les
dames
Romaines ; elles trouvèrent Marcel charmant, déli
ectées… Car on peut faire d’une marcheuse : Une rentière, Une grande
dame
, Une femme honnête, au besoin… Tout ce qu’on voud
« bon Théo ». Il mourut trente-deux ans plus tard avec le nom de la «
dame
aux yeux de violettes » sur les lèvres. * * * On
t, comme il regardait par la porte, restée ouverte : — C’est bien une
dame
, ajouta-t-il, et pas déguisée du tout. Faut-il qu
ièrement de son pessimisme ce Lenau féminin. Betty Paoli avait été la
dame
de compagnie de la princesse Marie-Anne de Schwar
soirée passée chez Fanny : « Hier, soirée chez Fanny Elssler. Cette
dame
a quelque chose de Ninon de Lenclos ; elle est dé
e toujours remplis par les souverains eux-mêmes, les seigneurs et les
dames
les plus aimables de leur cour ; et souvent à tou
▲