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1 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VIII. Suites du Vice primitif »
traditions de tout ce qu’il avait fait sur son Théâtre restèrent. On crut ne pouvoir mieux faire que de suivre littéralemen
Poèmes de Quinault étaient mauvais. Par un mécanisme fort simple, il crut que tout le charme était dans la Musique, et Lull
crut que tout le charme était dans la Musique, et Lully le lui laissa croire . 136. Qu’on serait étonné, si l’on voyait ces an
avait paru avant lui)[,] je ne parle que de nos jeunes Danseurs qu’on croit sans doute fort inférieurs aux Danseurs, tant van
. Cette observation ne contredit point mes premières propositions. Je crois les Danseurs modernes fort supérieurs à ceux du s
2 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VIII. De la Danse des Anciens considérée comme exercice. »
copient. Le Peuple se modèle sans cesse sur la Bourgeoisie, qui ne se croit point Peuple, et qui aurait honte de lui ressembl
e, ils formaient ainsi des jeux qui flattaient leur vanité, et qu’ils croyaient dignes de leur courage. Tels furent les amusement
la guerre était le seul chemin ouvert à la gloire. Les hommes qui se croyaient nés pour elle, devaient par conséquent ne s’occup
uis, les vertus plus précieuses des sages. 39. Quelques Auteurs les croient les Inventeurs de la Danse armée : c’est une erre
3 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des Romains »
rendent agréables, utiles, et solides, les sociétés des hommes. Numa crut , qu’en jetant parmi eux les fondements d’une Reli
lus reculés qui ont cherché la première cause de la Danse sacrée, ont cru la trouver dans l’idée qu’ils s’étaient faite de
de la Divinité. Ils la regardaient comme l’harmonie du Monde, et ils croyaient , qu’elle ne pouvait être mieux honorée, que par d
de l’imagination sur les hommes d’un sang vif ? Les Prêtres alors se croyaient vraiment inspirés : les Peuples recueillaient leu
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre III. Obstacles au Progrès de la Danse »
ntes, de principes fixes. Ils se gouvernent sur des traditions qu’ils croient certaines. Ils suivent des pratiques que l’insuff
ue ce qui a été pratiqué par les Danseurs qui les ont précédés, et je crois avoir déjà prouvé que la Danse n’a fait jusqu’ici
actions de Danse n’ont pas été pratiquées par les grands Danseurs, ou crus tels, dont ils remplissent au Théâtre les emplois
ttes ou quelques culs-de-lampe monotones ? 3°. Chacun des Danseurs se croit un être à part et privilégié. Il veut avoir le dr
é des ballets. Une vanité mal entendue en est le principe. Un Danseur croit ne rien faire, lorsqu’il exécute les figures qu’o
5 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 20 ou 22 novembre : Xerxès — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 27 novembre 1660 »
rsique, Dont les Intermèdes follets Étaient des Danses et Ballets. Je crois que la chose était belle, Mais d’en faire un réci
ue je ne puis faire un tableau De cette Action éclatante, Qui fut, je crois , toute charmante.
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 janvier : Les Amours de Jupiter et de Sémélé — La Muse de la Cour à Mademoiselle Borel, Fille de Monseigneur l’Ambassadeur de Hollande d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, huitième semaine, lettre du 3 janvier 1666 »
ce dernier ouvrage, à qui tout autre cède. Le Machiniste avait, je crois , le diable au corps Lorsqu’il fit de telles merve
ceux qu’elle darde ? Cela nous Vengerait, mais elle en goguenarde Et croit qu’on dit cela par plaisir seulement.
7 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »
La foule d’hommes bornés qui fréquentent nos Spectacles ne sauraient croire que ce qu’ils ont vu ; le par-delà de ce qu’ils s
èrent : la multitude s’enfuit : des femmes enceintes accouchèrent. On croyait voir ; on voyait en effet ces barbares Divinités
r, il faut en tirer la conséquence évidente, que l’art que nous avons cru jusqu’ici parmi nous à un si haut degré, n’est en
, qui est le caractère distinctif du Français. Il aime la Danse. Il a cru jusqu’ici l’avoir portée à la perfection possible
un côté il n’a point vu le mieux, et que de l’autre il est naturel de croire que ce qui plaît actuellement est le point suprêm
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
femme, que le palais disparaissait. J’oubliai où je me trouvais et me crus en présence d’une Princesse de légende dans une c
urire et, après que nous nous fûmes assises, elle me dit : — Alors on croit donc qu’une Princesse doit toujours être froide e
voyez, par ces croisées, quand je regarde au loin, je peux encore me croire dans le cher pays qui m’a vue naître. — Alors, vo
ours-là ? — Oui, Princesse, mais vous ne devriez pas en avoir. — Ah ! croyez -le bien, il n’y a personne au monde qui n’ait des
ine d’Angleterre m’avaient vue danser : — Non, mais je suppose qu’ils croient m’avoir vue, car dans mon petit théâtre de l’Expo
fut une doublure qui dansa à ma place, mais le Roi et la Reine ont dû croire que c’était moi qu’ils avaient vue. — Eh bien, il
ses des morts… Et elle, à son tour, m’interrogea sur la façon dont je croyais qu’il serait possible de reconstituer ces danses.
éjeuner attendit plus d’une heure. Le soir où je dansai au palais, je crus que la Princesse serait seule, car nous avions en
s confortable. Avec tous ces objets d’art autour de soi, on se serait cru dans un minuscule musée. Je lui demandai ce qu’el
9 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
 Alors pourquoi ces seaux sont-ils là ? — Mais, pour l’incendie. — Je croyais , dit Mortier, que toutes les constructions améric
sont pas armés, manquent volontiers de courage. De plus, celui-ci dut croire que son interlocuteur était devenu fou. Et, prest
ouvât plus de curiosité. Il revint alors sur ses pas, ou, du moins le crut . Des yeux, il chercha le pont, mais sans y réussi
Anglais, si patient qu’il fût, commençait à trouver le temps long. Il crut s’être trompé de jour et fit enfin venir le patro
der ce que vous désiriez ? Il réglera l’addition. Pensez à ce que dut croire cet Anglais ! Il était venu déjeuner avec un gent
ement oublié notre déjeuner jusqu’à deux heures et j’ai téléphoné. Je croyais ne pas venir ici du tout. J’avais une affaire d’u
t né, aurait préféré venir au monde en Amérique. Car l’Amérique, à en croire les Américains, est un pays libre et tel qu’il n’
upart des Américains qu’il y a beaucoup de liberté en Angleterre, ils croiraient que vous voulez vous moquer d’eux, et ils vous ré
ous voulez vous moquer d’eux, et ils vous répondraient qu’ils ne vous croient pas. Ils consentent bien, parfois, qu’il y a un p
tent : — Quel malheur qu’il n’y en ait pas davantage. L’Américain se croit complètement affranchi, car « Liberté » est le cr
rtit. Je ne l’ai jamais revu, bien entendu, ni lui, ni ses rubis ! Je crois que dorénavant, on me demanderait en vain de me c
10 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »
is Gentilhomme. Je déclare donc, avant d’entrer en matière, que je ne crois point la Danse la plus excellente chose qu’on pui
félicité de son siècle, faire passer rapidement les découvertes qu’on croit avoir faites, ses réflexions, ses vues dans l’âme
l’esprit. Cet Académicien convient d’abord que jusqu’à lui, on avait cru tout bonnement que les Anciens chantaient et dans
ent qui peut concilier de si grandes difficultés, et cet expédient il crut l’avoir trouvé dans son système et par un mot nou
er la suite historique de cet Ouvrage. Quatrièmement, l’Abbé Du Bos a cru la Danse de son temps parvenue au plus haut point
e la Danse de son temps, s’écroule donc évidemment de lui-même. J’ose croire par conséquent la partie historique de cet Ouvrag
sé de toute supériorité présente dans les points même sur lesquels on croit de bonne soi n’avoir aucune sorte de prétention.
un des pas que la Danse fait sur notre Théâtre pour avancer. Ce qu’on croyait la Danse noble, a été remplacé par ce qu’on a app
mples pour éclaircir mes propositions ou pour les prouver ; mais j’ai cru devoir les prendre ailleurs que dans les Ouvrages
11 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
pris sur le vif. Un provincial. C’est gentil, ici. — Qu’est-ce qui croirait jamais que c’est un bal public, c’est plus joli q
femmes célèbres sont-elles déjà venues ? L’habitué. Pas encore. Je crois cependant avoir aperçu Alice la Provençale. L’a
venable, ça humilie les autres. L’ami. Mais je ne parle pas mal, je crois .. Alice. Comment que tu t’appelles ? L’ami roug
a croisée, histoire de recueillir les louis qui tombent, mais je n’en crois pas un mot : — le temps de ces messieurs-là est p
 — un Brididi rajeuni. Il danse bien, mais il a trop d’orgueil, il se croit aussi célèbre que Rigolboche, c’est ce qui lui fa
ça. L’ami. — En somme, tout cela est très-amusant. Alida. — Je te crois . — C’est pour cela que nous y venons tous, et que
12 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VII. Principes Physiques du vice de l’Exécution primitive de l’Opéra Français. »
ault a voulu faire, semble s’évaporer, se perdre, s’anéantir, et j’ai cru en voir évidemment la cause dans l’exécution prim
s remèdes étaient aisés, et les progrès de l’art infaillibles. Or, je crois apercevoir dans la faiblesse de tous les sujets e
us ceux que forme le génie ; et dans la construction de l’édifice, on crut devoir le resserrer, le rapetisser, le mutiler, s
13 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’artiste »
n’avons point de définition de ce mot parfaitement satisfaisante : je crois cependant utile au progrès des beaux-arts qu’on e
de nous apprendre, et dont on a cependant paru s’occuper le moins. Je crois d’abord que ce mouvement qui élève l’esprit et qu
paisible) ne sauraient manquer de paraître fort extraordinaires. On a cru qu’un homme devait être tout à fait hors de lui-m
leurs vers, au contraire, qu’ils l’étaient en effet, et peut-être le crurent -ils de bonne-foi eux-mêmes. Voilà donc la fureur
. Observez encore que je n’ai point employé le mot imagination, qu’on croit communément la source unique de l’enthousiasme ;
ces réflexions puisées dans une métaphysique peu abstraite, et que je crois fort certaine, j’oserais définir l’enthousiasme u
nt-ils, dénaturer les choses? à quoi bon des systèmes nouveaux ? on a cru jusqu’ici l’enthousiasme une espèce de fureur, l’
es grands poètes, les bons peintres, les musiciens excellents qu’on a cru et qui se sont crus eux-mêmes des gens inspirés,
es bons peintres, les musiciens excellents qu’on a cru et qui se sont crus eux-mêmes des gens inspirés, ont été aussi loin s
r moteur des opérations de leur âme, et non l’imagination, qu’on en a cru chargée jusqu’à présent, pense-t-on qu’on donnera
siasme véritable. Il y a donc de faux enthousiasmes. Un homme peut se croire des talents, du génie, et n’avoir que des réminis
14 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
tre l’interprète et le garant de mes sentiments pour le Comité, et me croire pour la vie ton sincère ami, N° 2 Haymarket. VES
à prouver que tous les maîtres de Ballets (ou tous les individus qui croient l’être) ont le droit d’établir des ballets d’acti
on il emploie pour mettre votre justice en défaut ; mais comme je les crois inférieurs à celui que je viens de citer, je vous
Comité de Salut Public. Le document suivant tendrait à nous le faire croire  : CONVENTION NATIONALE   COMITÉ DE SÛRETÉ GÉNÉRA
s, je vous prie, par ce temps-ci, et soyez assurée qu’aussitôt que je croirai pouvoir le faire sans danger, ce sera moi qui ira
res et plus sincères, je vous l’assure, que ceux de bien des gens qui croiraient manquer à toutes les convenances en passant ce pr
ils ! Je leur avais dit : « Ne venez pas sans engagement ». Elles ont cru que j’avais peur d’elles et maintenant quelles so
15 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
Conclusion du traité contre les danses. Je crois avoir montré par des preuves convaincantes, que l
es les personnes qui font une profession sincère du christianisme. Je crois encore avoir fait aux objections, par lesquelles
16 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
de, j’ai besoin, que le Lecteur daigne suspendre toute prévention. Je crois avoir aperçu dans un des beaux opéras de Quinault
s. Je vais exposer simplement mes réflexions, que je me garde bien de croire infaillibles. Mon intention est de pénétrer l’esp
avoir deux causes, le dessein et l’exécution. [Voir Expression] Or je crois apercevoir ici le plus beau dessein de la part de
ncore : c’est-là qu’elle appelle à son secours la Haine qu’elle avait cru suivre, et qui ne servait cependant que de prétex
orme un contre-nœud extrêmement ingénieux. Armide, que je ne puis pas croire tranquille, va donc déployer ici tous les efforts
dérivent de ce déplacement. Je sais bien qu’on feindra de ne m’en pas croire . Ma proposition n’en sera pas moins vraie, et je
17 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Poste-face, Post-scriptum , ou. Réflexions sur l’incertitude des jugemens en matière de Littérature. » pp. 38-48
e tout un Public, qu’il n’est qu’un imbécille, ou que du moins on l’a cru tel ! Hélas ! il faut en convenir, puisque d’aill
& un nombre plus considérable, si l’on veut, ont la vanité de se croire en état de décider de ce qui peut plaîre ou dépla
Il résulte encore de tout ceci que les Comédiens ont grand tort de se croire en état de décider si un Drame est digne ou non d
gularité me fera peut-être honneur, sur-tout dans un temps où l’on se croit Philosophe lorsqu’on affecte d’être bizarre. J’ob
, sans doute, de voir la manière ouverte dont je sais mon éloge. J’ai cru d’après les exemples que j’en vois tous les jours
oge. J’ai cru d’après les exemples que j’en vois tous les jours, j’ai cru qu’il était du bon-ton de se louer soi-même, &
18 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
s’unissent pour fatiguer les yeux et le cerveau. Je lui demandai s’il croyait que les couleurs dont nous nous entourons ont une
e des plus simples et une maîtresse de maison des plus accomplies. Je crois qu’il serait intéressant de dire quelques mots de
a plus belle robe, et j’achetai pour l’occasion un costume qui, je le crois , devait être très joli. Pour aller avec la robe,
aisselle arrivèrent. Il n’avait pas fait de prix pour la location, et croyait que je serais là pour recevoir les objets et acqu
t déjà. Tout le monde se mit à l’œuvre pour dresser le couvert, et je crois bien que je n’ai jamais assisté à plus joyeux rep
19 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIII. » pp. 73-76
Ces directeurs, prévenus sans doute à l’avance de leurs nominations, crurent faire leur cour aux deux Princes, en rassemblant
heureux. Dans la maladie invétérée qui travailloit ce grand corps, on crut devoir lui donner pour directeur un médecin. Mais
. Il avoit de l’esprit, mais il n’eût jamais celui de s’en servir. Il crut , car il ne doutoit de rien, que l’on pouvoit cond
20 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »
Art, lui avaient procuré une distinction aussi honorable. Si l’on en croit quelques Historiens, il en était digne. Il avait
able, qui, trompé peut-être par la traduction latine de Dalechamps, a cru que c’était un Chanteur. Le P. Ménestrier me semb
21 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre V. Objection : On n’a pas été tenté dans les Danses. » pp. 177-178
Cependant, je suppose pour un moment, ce que j’ai bien de la peine à croire , que jamais on n’ait souffert aucun préjudice ni
ces divertissemens sans que votre chasteté en souffrît, ce que je ne crois pas possible, vous ne laisseriez pas d’être sévèr
22 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
mble qu’elle a des rêves affreux. L’ombre de Ninus paraît ; Sémiramis croit la voir en songe, et son trouble en augmente. L’o
est peinte sur son visage ; elle cherche partout le fantôme, et elle croit le voir partout. Alors en levant les yeux, elle e
accomplir la cérémonie. Oroés la refuse, en faisant entendre qu’il ne croit pas que cet hymen soit agréable aux Dieux : sur s
23 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 septembre. Raden Mas Jodjana, danseur classique. »
tous les déracinés qui accaparent le théâtre. Cela ne vaut pas moins, croyez -le, que d’être radjah régnant. Figurez-vous, Rade
ne porte en soi de ce tourment de l’au-delà qui nous grandit. Mais ne croyez pas, prince, que ces danseurs qui, dans un espace
rais. Le babou à bésicles leur fait la leçon et le paria du boulevard croit pouvoir les persifler. Et si l’aveugle leur préfè
24 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
atience. Mes travaux peuvent attendre quelques jours de plus. Mais ne croyez pas que je m’en occupe dans la prévision d’un nou
s’était jamais consolé de sa perte. Il n’a pas voulu m’éclairer. Il a cru que l’amour est d’autant plus grand et plus beau
femme l’eût comprise. Elle était, je vous l’ai dit, une enfant, et je crois qu’elle était destinée à l’être toujours. Par réa
cher et fondre en larmes. Elle me trouva bizarre et ne tarda pas à me croire fou. Un jour, mes yeux tombèrent sur une lettre q
main de mon père sans la connaître, ou que mon père avait eu tort de croire que tout s’arrange pour le mieux dans le mariage,
essentir et de nourrir une passion quelconque ? Je préférai ne pas le croire et attribuer cette crise nerveuse à l’impression
ccupai que de la soigner et de la calmer. La chasse, comme on peut le croire , fut interrompue. Nous rentrâmes, et ma femme se
ute sa vie. C’est tant pis pour moi, je n’accuse jamais Dieu, donc je crois que tout le mal qui nous arrive vient de notre ig
25 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « [Avertissement] » p. 
[Avertissement] N. B. L’Auteur croit devoir prier le Public de ne point le confondre a
26 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 juin. « Les Femmes de bonne humeur ». »
soleil condensé. Cela mousse, cela fuse, cela grise : c’est un grand cru . Le sujet : un imbroglio italien où des grotesque
les parrains spirituels de cette fugace vision tout trouvés ! Mais ne croyez aucunement à une reconstitution, à un pastiche du
27 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
bien régulière et proportionnée au degré de splendeur où nous pouvons croire sans orgueil que notre Ville Capitale est montée.
dans tous ses autres ouvrages lyriques, et tel que ses ennemis l’ont cru , ou l’ont voulu faire croire. Il y a des hommes d
ages lyriques, et tel que ses ennemis l’ont cru, ou l’ont voulu faire croire . Il y a des hommes dans la Littérature, qui sont
28 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
on collaborateur habituel, M. Ernest Blum, y vient tous les soirs. Je crois qu’il y couche. VIII Je dirais bien quelque
. A deux heures, c’est trop lard ! Paurelle. Certainement ; si vous croyez que je n’ai que ça à faire ! et puis, il me dépla
uis en retard ? Oscar. D’une heure seulement. henriette. Tiens, je croyais être en avance… Oscar. A votre place, je ne vie
crivez des lettres anonymes pour me faire perdre ma position, et vous croyez que cela se passera comme ça !… Je vais vous fair
s chez le commissaire. L’auteur. Oui, c’est drôle… Oscar. Et vous croyez que cela peut durer longtemps ainsi ! Dans un moi
29 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
cens dont le plus grand nombre est employé dans notre orthographe. Je crois que ce que les Romains appelloient noter un disco
ien rapporte que C. Gracchus ne haranguoit jamais sans instrument. Je crois pouvoir comparer cette musique a celle du plein-c
: marcher en mesure n’est donc pas danser. C’est encore une erreur de croire que les généraux haranguoient les troupes en chan
La réunion de ces monstruosités ne nous donne-telle pas la liberté de croire que les le Kain et les Garick dégagés de toutes c
nt ces taches que le temps et la réfléxion éffaceront sans doute ; je crois que cet art enchanteur qui fait les délices de no
30 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique ancienne »
ent sans se mouvoir, pour représenter l’immobilité de la terre qu’ils croyaient fixe. Voyez Ballet, Chœurs, Danse. (B)
31 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Troisième lettre. A monsieur Juste Odoard, à Lyon. »
de vous séparer d’elle avant de vous savoir parfaitement tranquille. Croyez , monsieur, à mes sentiments tout dévoués. Flamin
32 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
ovince ; enfin celui-là parle tellement du nez, qu’on serait tenté de croire que sa langue est montée dans son cerveau. Lorsqu
e pratique à l’Opéra, où l’on n’entend pas facilement les paroles. Je crois que l’on pourrait cependant faire quelque excepti
hôtel séparé, & vit au gré de ses caprices : on appelle cela, je crois , le bon ton. Ce n’est donc point aux gens du gran
des querelles qui s’élèvent entre vous & vos pétulantes moitiés. Croyez -moi, les uns & les autres, ménagez davantage
domestiques. Ne vous disputez que par gestes .... Maris, n’allez pas croire que je parle d’un certain geste expressif, qui me
serait trop tôt finie, & vous n’en seriez pas meilleurs amis : je crois seulement que vous en devez faire la démonstratio
33 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
e Rigolboche. Cela sera d’autant moins inutile que bien des personnes croient que Rigolboche est mon nom de famille. Je me souv
nce… C…, puisse ce livre t’apporter quelques distractions et le faire croire pour quelques instants que tu n’as pas encore qui
s quelques commentaires ; mais, à l’arrivée des sergents de ville, je crus qu’il était de mon devoir de défendre mon sexe et
payeront jamais. Ça n’est pas pour moi que je dis cela. VII Je crois être quitte avec la gloire. J’ai beaucoup travail
34 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
Merci beaucoup, monsieur, je viens justement de voir le Louvre, et je crois que c’est aussi une belle collect… Rachel Boyer i
sir à un homme, pourtant si riche, de faire du bien autour de lui. Je crois que j’aurais été beaucoup plus impressionnée si j
u parler de quelques-unes de ses bonnes œuvres. Je me décidai enfin à croire , pour complaire à mon hôtesse, que la collection
bre, du marbre, non certes ; ce sont des plaques de bois pétrifié. Je croyais que nous avions vu toute la collection de M. Grou
35 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre I. Époque du plus haut point de gloire de l’Art »
thylliens, et en imposa au parti contraire. Les gens cependant qui se croyaient les plus sages des deux côtés, réfléchirent sur c
a connaissance des hommes, la lui avaient rendue légère. 62. Je ne crois point hasarder, dans tout ce que je vais dire, un
a déjà dit, par le goût qu’il montra pour la Danse Italique, l’en ont cru l’Inventeur. S’ils avaient approfondi ses vues, i
36 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
ment des appréciations qui ne sont pas les vôtres. Par exemple, je le crois beaucoup plus partisan des doctrines libérales qu
l est possible que ce soit par pure déférence. Il ne se permettra, je crois , jamais de discuter vos principes si vous ne l’y
vous mettiez un frein religieux aux vôtres. Que vous dirai-je ? Je le crois excellent et aussi pur que le permet la vie du si
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — 14 février : Le Sicilien ou L’Amour peintre — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 13 février 1667 »
dit-on, merveilleusement. L’on y voit aussi notre SIRE, Et cela, je crois , c’est tout dire ; Mais, de plus, Madame y paraît
38 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
u’on ressent lorsqu’on fait part au Public de ses découvertes, que je crois que le théâtre des Grecs doit uniquement nous gui
pecte comme un grand maître, et que je suis comme mon guide ; mais je crois que tout sujet doit être asservi aux règles que j
éussit pas, on manque son but ; et quant à moi, il me semble fondé de croire qu’il est impossible d’émouvoir les passions avec
d’Ombres, et de Fantômes que j’entends parler : « toute l’Antiquité a cru ces prodiges, et notre religion a consacré ces co
t dans la composition, soit dans l’exécution de cette danse ; mais je crois que ce genre est le dernier de tous. Il ne peut e
39 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
en en faveur de l’art, et de son origine. Cependant on est autorisé à croire que l’amour est aussi ancien que le monde, et que
t cela est conjectural, mais n’est pas invraisemblable ; et l’on peut croire aisément que les artistes n’ont produit que des c
assurer, s’il est possible, son éxistence. Personne ne contestera, je crois , que les arts et les sciences n’ayent été longtem
’architecture, cet art majestueux et imposant ; c’est que je n’ai pas cru pouvoir la ranger dans la classe des arts imitate
j’ai puisé toutes mes observations dans la nature de l’homme ; je ne crois pas être tombé dans l’erreur ; si je me suis trom
40 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 22 janvier. Prose morose. »
ueur. Or la diction de l’artiste est si admirablement articulée qu’on croit l’entendre parler. Mais, au fait, pourquoi ne par
’un ballet vive il faut avant tout que l’on y danse. Et je persiste à croire qu’il y a amplement matière à un ballet dansé dan
41 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 mars. Le cas des Sakharoff. »
uisent le mouvement chorégraphique d’une manière si concrète que l’on croit voir la démarche élastique, le genou fléchi, les
t aucune conception d’art mais un choix varié de succédanés. Voici je crois ce qui m’oppresse et m’irrite dans les tentatives
42 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 24 août : « agréable ballet » de la Foire Saint-Laurent — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 août 1663 »
s que j’allègue, Dont le cadet est un peu bègue, N’ont pas, encor, je crois tous trois, Plus de dix-huit ans et dix mois.
43 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
impossible de ne pas entendre les cithares. PHÈDRE C’est Rhodopis, je crois , celle-ci qui t’enchante. SOCRATE De Rhodopis, al
t bien vrai, Socrate, que le trésor de ces images est inestimable… Ne crois -tu pas que la pensée des Immortels soit préciséme
it qu’elle s’arrange un nid dans ses bras blancs… Mais, à présent, ne croirait -on pas qu’elle se tisse de ses pieds un tapis ind
de l’Athikté ; il les dévore de ses yeux, il leur tend le visage ; il croit bien de sentir sur ses lèvres courir les agiles o
des fables, et l’échappée de toutes les portes de la vie ? ÉRYXIMAQUE Crois -tu qu’elle en sache quelque chose ? et qu’elle se
, Socrate ? SOCRATE Si elle représente quoi que ce soit ? PHÈDRE Oui. Crois -tu qu’elle représente quelque chose ? SOCRATE Nul
onnu, dans tes lumières incomparables : je ne puis t’entendre sans te croire , ni te croire sans jouir de moi-même qui te crois
lumières incomparables : je ne puis t’entendre sans te croire, ni te croire sans jouir de moi-même qui te crois. Mais que la
t’entendre sans te croire, ni te croire sans jouir de moi-même qui te crois . Mais que la danse d’Athikté ne représente rien,
stics mystérieux ; toi, davantage, qui ne te fies aux élixirs, qui ne crois guère aux philtres confidentiels ; ô guérisseur s
, regarde vite à quel point tu dis vrai !… Regarde la palpitante ! On croirait que la danse lui sort du corps comme une flamme !
Il est étrangement jaloux de cette liberté et de cette ubiquité qu’il croit que possède l’esprit !… Sans doute, l’objet uniqu
prit dans ses spéculations et dans ses songes n’y parvint ! PHÈDRE On croirait que ceci peut durer éternellement. SOCRATE Elle p
E Laissons agir le repos qui va la guérir de son mouvement. PHÈDRE Tu crois qu’elle n’est pas morte ? ÉRYXIMAQUE Regarde ce t
44 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre IV. État actuel de la Danse Théâtrale en France »
s isolées ; et les Savants de la Chine déclarent qu’il est savant. Je crois voir un homme qui ayant dans sa main la clef du T
45 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
anseurs me sauront gré de l’intérêt que je prends à leurs progrès. Je crois aussi que les artistes formés et accoutumés aux a
r science « Qui, sans être danseurs, parlent beaucoup de danse. » Je crois que les écrits de ces hommes, qui ont employé tan
e, je mettrais de suite en pratique ce moyen que j’ai imaginé, que je crois essentiellement utile, et que tout professeur, sa
tales, d’obliques, d’angles droits, aigus, obtus, etc. Langage que je crois même indispensable dans nos leçons, en traçant su
46 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
our profane et impur s’y engendre fort aisément » : c’est pourquoi il croit pouvoir dire des danses ce que tous les médecins
ses, eu égard à la manière dont elles se font. Aussi, ce saint a-t-il cru devoir prescrire différentes considérations bonne
de la danse, à toutes ces considérations, que saint François de Sales croit néanmoins nécessaires pour empêcher les funestes
issement soit bien dangereux, pour qu’en semblant le permettre, on se croie obligé de prendre tant de précautions pour empêch
47 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
tes, cet Empereur aimoit passionnément la danse ! mais il est aisé de croire qu’il aimoit à gésticulier avec grace, qu’il marc
revivre cet art, et qu’ils l’introduisirent chez les Romains. Je veux croire qu’ils avoient du talent, qu’ils gesticuloient co
comme lorsqu’elle se montre avec quelques attraits ; mais je ne puis croire à la perfection de ces acteurs pantomimes et je v
n ne demande plus de force, de vigueur et d’adresse ? comment pouvoir croire encore que ces eunuques pantomimes, ayent porté a
48 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 5 juin : Ballet et comédie au Palais-royal par la troupe du Dauphin — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 juin 1664 »
Et (sans à faux en discourir) Tout Paris y devrait courir, Car je ne crois pas que personne Plaignît l’argent que l’on leur
49 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
rétablir dans son premier état, l’ont encore abaissée davantage. Ils croient , sans doute, que c’est un genre méprisable, fait
be d’Arlequin, le comique & le burlesque de Paillasse, & j’ai cru qu’avec cet avantage je serais bien malheureux, s
ureux, si j’avais besoin de ces ornemens si superflus, & que l’on croit si nécessaires. Ma jeunesse, & une grande con
», ou de ces coups de théâtre, si fréquens sur la Scène moderne. « Je crois bien que vous m’en saurez bon gré ; quant à ces p
de frais. Le célèbre M. Garrik, cet Acteur excellent, qu’on peut, je crois , comparer à nos Lekin, malgré l’enthousiasme de t
njuste & bien cruel, que ceux qui ont des principes contraires se crussent en droit d’être mes ennemis. Je saisis cette occa
publiquement d’une foule de gens qui ont la faiblesse d’esprit de me croire un homme ordinaire », & qui ôsent me disputer
50 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7
ou à une cause qui a cessé, n’importe ; elle devient un axiôme ; on y croit sans examen, on la respecte sur la foi publique ;
bsurdité. Cependant comme dans les arts, il n’y a pas d’obligation de croire sans examen, il faut toujours pouvoir se rendre r
51 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
aire des catéchismes pour apprendre aux bonnes gens ce qu’ils doivent croire  ? Le fruit qui se peut tirer des meilleures chose
e retirer pour fruit de son travail que le gain de cette ame, on s’en croiroit bien récompensé. Mais pourquoi vouloir mettre des
urra jamais (Jean, c. 8, v. 51.) » Quels motifs n’avons-nous pas de croire plutôt à la parole de Jésus-Christ qu’à celle du
52 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 22 novembre 1670 »
de justice, Et le Gentilhomme bourgeois: L'on pourra, donc, comme je crois , Beaucoup, ainsi, se satisfaire. Mais parlons de
53 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 31 juillet. Notes de vacances sur quelques souvenirs de la saison. »
se à une œuvre complète on l’amoindrit. D’ailleurs, je l’ai toujours cru . Ainsi, même le charmant ballet de Fokine, élégan
s n’est pas heureuse. Tout ceci à propos de la Chasse. Celles qui ont cru devoir la régler me font songer à ces gosses qui
54 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Errata du tome I. » pp. 241-242
ne. 182. 30. je demandrois, lisés : je demanderois. 184. 19. et qu’il croit , lisés : et qu’il croit. 185. 27. a coup sur. lis
is, lisés : je demanderois. 184. 19. et qu’il croit, lisés : et qu’il croit . 185. 27. a coup sur. lisés : a coup sûr. 186. 23
55 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
z bien ce Personnage. Outre la majesté du Roi, Qui danse des mieux, croyez -moi, Et Monsieur son unique Frère, À qui le juste
La Musique et la Symphonie Y font une grande harmonie, Dont Lully (ce crois -je) est Auteur, Et plusieurs, de belle hauteur, D
56 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — Juillet : Ballets des comédiens espagnols à Paris — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 24 juillet 1660 »
ent : Enfin, je puisse être cocu, Si je leur plaignis mon écu ; Et je crois que tout honnête Homme Leur doit porter pareille
57 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
R de la HILLIÈRE, De très obligeante manière, En faveur des Muses, je crois , Introduisit sans désarroi En ce lieu-là ma Compa
58 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
e dans laquelle on découvre une foule de Joueurs d’Instruments, qu’on croit entendre. C’est un Bal en forme, auquel Comus pré
sa vie, d’un art qui était devenu chez les Romains un objet sérieux, crut devoir se livrer à cinquante-neuf ans, comme le b
l’amer Fra Paolo dans ses déclamations cruelles contre ce Concile, ne crut pas même ce trait susceptible de critique. La Rei
ue donna Louis XIV pour le Mariage de M. le duc de Bourgogne, on peut croire avoir vu la Description de tous les autres. « On
59 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
pour cela que Dieu leur enverra un esprit d’erreur si efficace qu’ils croiront au mensonge ; afin que tous ceux qui n’ont pas cr
ficace qu’ils croiront au mensonge ; afin que tous ceux qui n’ont pas cru à la vérité, et qui ont consenti à l’iniquité, so
60 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Discours préliminaire, préface, avis au lecteur, ou tout ce qu'on voudra . » pp. -
res. La moindre production coûte des soins & des peines infinies. Croirait -on qu’il faut plus d’un jour avant d’accoucher d’
infiniment petits, à qui la manie d’écrire met la plume à la main. Le croira-t -on ? j’ai eu le bonheur de concevoir l’idée des O
61 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Réponse de Voltaire » pp. 8-9
un tableau vivant de ce qui n’est chez moi qu’une foible esquisse. Je crois que votre mérite sera bien senti en Angleterre pa
62 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — VIII » p. 138
cien ballet d’allégories. Et peu s’en faut que le ballet ne s’en soit cru pensant. Aujourd’hui, je ne sache pas qu’il pense
63 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — Début Mars : Fête dans l’Empire germanique (carrousel) — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 10 mars 1667 »
t derrière la Porte, C’est-à-dire qu’il fut sursis Pour des jours, je crois , plus de six. Mais, après aussi ledit terme, On s
64 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 janvier. Esquisse pour un portrait de Mlle Camille Bos. — les Ballets Léonidoff. — « l’automne » et les « chansons arabes ». »
te vraiment, il faut la voir de profil. Cette constatation, que nous croyons inédite, peut être amplifiée. Tout ce qui est « t
quement vus de profil et de biais. S’il en est ainsi, nous tendrons à croire que les étoiles du firmament latin doivent être l
je ne cite pas la scène romaine dont se réclame Mme Leonidoff, car je crois savoir que cette scène n’a jamais eu de tradition
65 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
impertinentes. Je vous avoüe que ma loi n’est pas assez fervente pour croire à tous les prétendus miracles qu’ils décrivent. L
assent les personnages les plus marquans de leurs pièces, et il est a croire que cet Andronicus étoit aussi bon tragédien qu’e
péra, si on ne levoit jamais le rideau qui cache la scène ? voilà, je crois , les masques : qu’on les laisse tomber, et qu’on
66 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — II »
bouche à l’autre masque : même dans le feu, ce sourire est glacé. On croit voir un peuple de poupées et de pantins en cire.
67 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 5 mars 1661 »
et, lettre du 5 mars 1661 Pour plaire à quatre Demoiselles, Que je crois , toutes, fort pucelles, Le Lundi gras, jour jovia
68 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211
es Isles inhabitées & dans les Forests, dont le Lecteur néanmoins croira tout ce qu’il lui plaira, ne rapportant ce que j’
habitée, on entendoit souvent un concert très-harmonieux ; ce qui fit croire dans ce tems-là que c’étoit le lieu d’assemblée p
opinion des Cabalistes : j’oserai dire en passant que j’ai lieu de le croire plus qu’un autre. Je crois avoir assez éclairci c
serai dire en passant que j’ai lieu de le croire plus qu’un autre. Je crois avoir assez éclairci cette matiere, pour faire co
69 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — XI » p. 141
ces fumées sont bien faites pour répondre les unes des autres. Je le crois aussi. La raison géométrique n’a plus rien à fair
70 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre III. Sur le même sujet. » pp. 19-23
le au progrès des arts ? le goût exclusif est-il sage ? je ne le peux croire  ; parce que ces goûts nés de la fantaisie et du c
opres à décourager le vrai mérite qu’à le soutenir et à l’encourager. Croire qu’un artiste de quelque genre qu’il soit, lorsqu
71 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
chose la plus réjouissante du monde. Sa gravité et l’importance qu’il croit avoir ferait rire un croque-mort. Il se prend au
ntil, Markouski, a dit Finette dans son appréciation sur lui, mais il croit trop que c’est arrivé. V Il adore les journ
, par ses allures, ses mœurs à part, mérite une étude spéciale. Je ne crois pas être mal inspirée eu lui consacrant quelques
72 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194
Musique ; ce qui a été regardé comme un prodige, mais qui peut faire croire que la Musique naturelle réside & produit ses
sur ce que Dieu a dit qu’il avoit réglé ses bornes ; du moins peut-on croire que cette Musique existe dans tous les élémens. L
ceux qui cultivent ces hautes sciences, pour sçavoir ce qu’on en doit croire . J’oserai dire encore que la surprenante Machine
73 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458
quels se passeront ses différents actes. Ce point une fois décidé, on croit que le reste regarde le décorateur, et qu’il n’es
que ce grand homme avait acquise de toutes ces grandes parties qu’on croit peut-être fort étrangères à la poésie. Qu’on s’oc
ution de ses ouvrages. Ce que les Grecs, P. Corneille et Quinault ont cru nécessaire, eux qui avaient tant de talents diver
nie de Quinault, s’ils négligent d’acquérir les connaissances qu’il a cru lui être nécessaires. Voyez Machine [Article de M
et de petites herses  : on les multiplie sur ce théâtre autant qu’on croit en avoir besoin  ; on les sert à la main, et ce s
74 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
bouquet dans la rosée. Avant de commencer l’analyse de Giselle, nous croyons faire une chose agréable à nos lecteurs de leur d
ne, si prématurément étouffée sous l’oreiller jaloux de la mort, nous croyons qu’elle se trompait ; Carlotta, guidée par cette
une corbeille et une serpette, et s’en aller à la vendange. — Si vous croyez cela, vous ne connaissez guère le cœur des jeunes
roite. D’ailleurs, quand on est jolie, jeune, amoureuse, est-ce qu’on croit à la mort ! Hallali ! hourra ! le cor sonne des f
nt rien. L’endroit est sinistre et mal hanté ; mes hardis compagnons, croyez -moi, portez ailleurs votre pâté de venaison et vo
e t’évanouis pas, laisse-moi encore regarder ce doux visage que je ne croyais revoir qu’au ciel ! » et il s’élance, les bras ét
graphique pleine de charme et d’attendrissement. Plus d’un œil qui ne croyait voir que des ronds de jambe et des pointes, s’est
75 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VI. De la Danse des Funérailles. »
gueil est à peu près le même dans tous les hommes : les nuances qu’on croit y apercevoir sont peut-être moins en eux-mêmes, q
76 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « Préface de l’auteur »
r de chroniqueur la portée et l’action effective d’une campagne. On a cru d’autre part que mon attitude, pour être nette, d
77 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre V. Des Ballets Allégoriques »
oriques, ou Moraux, ou Bouffons. Ce n’est que par des Exemples que je crois pouvoir faire connaître ces trois différentes bra
78 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 15 février : La Fête de Vénus — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
ns autant d’Enchanteurs, Me ravissent dans cette Pièce ; Où chacun se croit à Liesse ! Mais que dire de leurs Ballets, Si b
79 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
ce pas vous, surtout, vous, les plus civilisés, qui penserez cela ? —  Croyez -vous que j’aurai le temps de penser ? demanda-t-i
petite ville, que New-York ignorait totalement. Personne du reste, je crois , en dehors des habitants, ne s’occupait de ce qui
t Letty Lind, de Londres. Et vous ne pouvez pas rivaliser avec elles. Croyez -moi. Bonsoir ! Il avait perdu tout respect pour m
actrice de jadis, il lui fit une ovation comme jamais être humain, je crois , n’en a entendu. On criait : « Bravo, bravo, brav
ment qu’il ne pouvait faire plus pour moi. Je lui demandai alors s’il croyait que j’allais continuer à danser dans de telles co
80 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
ce que j’ai dit et vous n’avez pas sourcillé ! — Non, puisque vous ne croyiez pas que je vous comprenais. Je le fixai un bon mo
une séance à son intention et où il lui plairait. Jamais je n’aurais cru possible, en effet, de lui demander de venir à l’
a le théâtre avec toute sa suite. Je la vis se lever, et partir !… Je crus que le plancher allait s’effondrer sous moi. Qu’a
uller, mais qu’elle devait repartir à quatre heures. Le directeur qui croyait que la Reine venait voir l’Hippodrome, n’avait pa
ue cet après-midi ? — Elle est déjà venue vous voir ! Je n’aurais pas cru à tant de promptitude. — Elle est venue à la mat
81 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
trale eût été mieux connue. Ce serait, au reste, une grande erreur de croire qu’une adresse habituelle, qu’un exercice journal
positions nouvelles qu’exigeait d’eux le goût éclairé des Romains. On croirait que j’exagère, si je ne me servais sur ce point d
82 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
es, un pathétique si touchant, ou une plaisanterie si agréable, qu’on croyait entendre les actions qu’on voyait. Les gestes seu
ilité61. Nous nous sommes contentés à moins jusqu’à ce jour ; et nous croyons de bonne foi connaître, aimer, posséder la Danse.
83 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Introduction »
s mouvements aisés. En présentant au public ce traité élémentaire, je crois lui fournir des moyens d’instruction dans un art
es, consacrés par l’usage et pratiqués par les meilleurs artistes, je croirais avoir rendu un service aux parents et aux personn
84 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Les Ballets Léonidoff. »
s femmes de bonne humeur : à quoi bon cette piquette après ces grands crus . Mais il y a encore une certaine Pyrrhique où l’o
85 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — CHAPITRE I. De la maniere de se poser le corps. » pp. 2-3
de ses exercices, & ordinairement celui de la Danse, que l’on ne croit pas aussi nécessaire qu’elle est, puisque c’est p
86 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
Une chose qui étonne bien des gens, c’est mon âge. Personne ne veut croire que je n’ai que dix-huit ans. Et pourtant rien n’
iction, c’est ce qui la tuera. Pour tout le reste, elle m’imite. Elle croit être mon égale, elle n’est que mon disciple. Elle
de naissance. Enfin elle est Finette, je suis Rigolboche. VI Je crois que je viens d’avoir un mouvement d’orgueil. Qu’o
87 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
enue d’écrire un Manuel des Amoureux à l’usage des inexpérimentés. Je crois , en publiant ici ces leçons, rendre un service à
s soupirs étouffés, les clignements d’yeux, les billets tendres. Elle croit encore aux amoureux qui menacent de se suicider.
abiles qu’on ne puisse, au moyen d’une chevelure postiche, leur faire croire encore à une jeunesse véritable. Ce que je dis là
88 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
e demeurait empreinte sur la petite figure de l’enfant. Elle avait dû croire qu’elle allait pénétrer dans quelque endroit supr
ussi à me donner l’air d’un garçon que la petite fille ne pouvait pas croire que je n’en fusse pas réellement un ; et, lorsqu’
t pour l’Angleterre avec son fils. Au bout de quelque temps, elle put croire qu’il ne pensait plus à moi. Neuf ans se passèren
89 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre V. » pp. 32-39
ce genre, qui se trouvent répandus dans l’Europe, on seroit tenté de croire que cet art est aussi facile qu’il est agréable ;
qui constituent le grand peintre ? Je pars de ce principe, pour oser croire que l’étude de l’Anatomie jettera de la netteté d
ché la nature ; il en a reconnu jusqu’aux fibres les plus déliées. Ne croyez pas que les maladies de ces animaux ayent été l’u
90 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE V. » pp. 61-77
n ce genre qui se trouvent répandus dans l’Europe, on seroit tenté de croire que cet Art est aussi facile qu’il est agréable ;
qui constituent le grand Peintre ? Je pars de ce principe, pour oser croire que l’étude de l’Anatomie jettera de la netteté d
é la nature ; il en a reconnu jusques aux fibres les plus déliées. Ne croyez pas que les maladies de ces animaux aient été l’u
91 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
it l’intérêt et y répand l’ennui. Il faut bien cependant se garder de croire que rendre un rôle avec rapidité, sans le nuancer
et les oreilles, ils n’y volent et n’y entendent rien de ce que nous croyons y voir et y entendre : ils se parlent, nous exami
est susceptible. Dès qu’il cessera d’être lourd, il faudra bien qu’on croie qu’il n’y a de vraies voix que celles qui sont lé
sert peu cependant pour nos théâtres et pour notre musique latine. On croit en avoir aperçu la cause, 1° dans son étendue, mo
’humanité ; une opération barbare y produit des voix de dessus, qu’on croit fort supérieures aux voix que la nature a voulu f
availlé dès l’enfance les voix des castrati, et à force d’art ils ont cru en écarter les bornes, parce qu’ils ont enté deux
aurait vu quelque jour la gloire et l’appui de leur patrie. Qu’on ne croie pas, au reste, qu’une aussi odieuse cruauté produ
t. L’acteur qui ne sent point et qui voit des gestes dans les autres, croit les égaler au moins par des mouvements de bras, p
92 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
se trouve compris dans sa liste. Nous sommes par conséquent forcés de croire que les Anciens qui voyaient représenter ces suje
ans entrer ici dans des discussions qui nous mèneraient trop loin, je crois que quant à la première unité, on peut mettre à p
phe. Je l’ai éprouvé moi-même en composant le Ballet de Sémiramis. Je crois n’avoir rien laissé à désirer aux Spectateurs pou
tre simple et une, pour me servir encore de l’expression d’Horace. Je crois qu’on ne doit se permettre aucune licence à cet é
93 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre IV. Troubles excités à Rome par les Pantomimes. »
an général, et le suivit. Il était politique. Tibère qui lui succéda, crut trouver sa sûreté dans un excès de raffinement qu
inrent, et s’affermirent jusqu’au règne de Trajan ; mais cet Empereur crut faire une action utile, en ôtant aux Romains un S
94 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
elques mots en japonais. L’essentiel n’était-il pas que ces messieurs crussent que les paroles de M. Sardou avaient été transmis
demie ou sept heures du soir et en finissant avant minuit. Et comment croyez -vous qu’il s’y est pris pour empêcher les gens de
95 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
ville, il s’arrêta court, et s’écria : — Ah mais, qui êtes-vous ? Je croyais que vous étiez Mollie Fuller ! Enfin je comprenai
int les scrupules. Aussi je ne suis pas la femme, — on voudra bien me croire sur parole, — qui, dans le monde, apprécie le plu
96 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Ressource unique des Danseurs modernes »
urpasser les grâces de Mademoiselle Sallé. Vous vous flattez, si vous croyez arriver jamais à une gaieté plus franche, à une p
97 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XII. Des Reverences en arriere. » pp. 35-37
onnes se plier de la ceinture & tirer le pied du même tems, je la crois fort bonne, mais de la maniere que je viens de la
98 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
x, et voluptueux. Voyez Chaconne. Bonnet, dans son Hist. de la danse, croit qu’elle était du caractère de nos bourrées [Voir
les Romains, qui adoptèrent les dieux des Grecs. Numa, roi pacifique, crut pouvoir adoucir la rudesse de ses sujets, en jeta
les laïcs, tous les fidèles dansaient pour honorer Dieu ; si l’on en croit même le témoignage de Scaliger, les évêques ne fu
ui entrèrent dans cette grande composition. Voyez Danse théâtrale. On croit devoir donner ici une idée de ces danses différen
ndre très solennelles dans la célébration des fêtes du dieu qu’ils en croyaient l’inventeur. Elles étaient d’un caractère vif et
gueil est à peu près le même dans tous les hommes ; les nuances qu’on croit y apercevoir sont peut-être moins en eux-mêmes, q
flûte à la fin des festins, pour célébrer quelque grande victoire. On croit qu’elle fut inventée par Pirithoüs. Elle était di
99 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
la recette à plus de deux cent mille livres. M. de Voltaire, qui ne croyait à rien, croyait à la vertu de mademoiselle Sallé,
us de deux cent mille livres. M. de Voltaire, qui ne croyait à rien, croyait à la vertu de mademoiselle Sallé, — ce qui prouve
la vertu de mademoiselle Sallé, — ce qui prouve qu’il faut absolument croire à quelque chose : De tous les cœurs et du sien l
rs, Castil Blaze ajoute : « Cette ingénieuse antithèse pourrait faire croire que mademoiselle Sallé conserva toute sa vie cett
t eu, sinon des jours, du moins des nuits agitées ; ce qui me fait le croire , c’est que je lis dans une chronique de l’époque 
bre lésé. Avec cela, médiocrement commode comme pensionnaire, si j’en crois le crayon suivant : « La Guimard a des caprices
s dettes auxquelles, dès 1769, elle ne pouvait faire face, si l’on en croit Bachaumont : « Le public craint de perdre la Gui
100 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
ntent pas le renfermé. Sa famille vit de l’Opéra. Le père y était, je crois , musicien à l’orchestre ; le fils y tient un seco
s ce trait, à son âge, Fait, selon moi, l’éloge de son cœur. Car elle croit qu’il faut à la vieillesse Faire oublier l’heure
alanterie : « Vous faut-il un consolateur, mignonne ? » J’incline à croire qu’elle n’en a point manqué et que l’on a pu, dep
s. Un examen récent l’a fait sortir du rang. Gentillette ; mais je ne crois pas qu’elle ait inventé le zundnadelgewehr ou la
 Numnam, illa, quœso, parturit ? Mademoiselle Jourdain Je ne crois pas qu’elle descende du Bourgeois gentilhomme. No
tte sur la paille ? Mademoiselle Violat Très appétissante. Je crois qu’elle vit tranquillement avec son père qui est
rondie dans des émincés de lard. Emincés par trop épais même, si j’en crois les petites camarades. Celles-ci l’ont, en effet,
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