traditions de tout ce qu’il avait fait sur son Théâtre restèrent. On
crut
ne pouvoir mieux faire que de suivre littéralemen
Poèmes de Quinault étaient mauvais. Par un mécanisme fort simple, il
crut
que tout le charme était dans la Musique, et Lull
crut que tout le charme était dans la Musique, et Lully le lui laissa
croire
. 136. Qu’on serait étonné, si l’on voyait ces an
avait paru avant lui)[,] je ne parle que de nos jeunes Danseurs qu’on
croit
sans doute fort inférieurs aux Danseurs, tant van
. Cette observation ne contredit point mes premières propositions. Je
crois
les Danseurs modernes fort supérieurs à ceux du s
copient. Le Peuple se modèle sans cesse sur la Bourgeoisie, qui ne se
croit
point Peuple, et qui aurait honte de lui ressembl
e, ils formaient ainsi des jeux qui flattaient leur vanité, et qu’ils
croyaient
dignes de leur courage. Tels furent les amusement
la guerre était le seul chemin ouvert à la gloire. Les hommes qui se
croyaient
nés pour elle, devaient par conséquent ne s’occup
uis, les vertus plus précieuses des sages. 39. Quelques Auteurs les
croient
les Inventeurs de la Danse armée : c’est une erre
rendent agréables, utiles, et solides, les sociétés des hommes. Numa
crut
, qu’en jetant parmi eux les fondements d’une Reli
lus reculés qui ont cherché la première cause de la Danse sacrée, ont
cru
la trouver dans l’idée qu’ils s’étaient faite de
de la Divinité. Ils la regardaient comme l’harmonie du Monde, et ils
croyaient
, qu’elle ne pouvait être mieux honorée, que par d
de l’imagination sur les hommes d’un sang vif ? Les Prêtres alors se
croyaient
vraiment inspirés : les Peuples recueillaient leu
ntes, de principes fixes. Ils se gouvernent sur des traditions qu’ils
croient
certaines. Ils suivent des pratiques que l’insuff
ue ce qui a été pratiqué par les Danseurs qui les ont précédés, et je
crois
avoir déjà prouvé que la Danse n’a fait jusqu’ici
actions de Danse n’ont pas été pratiquées par les grands Danseurs, ou
crus
tels, dont ils remplissent au Théâtre les emplois
ttes ou quelques culs-de-lampe monotones ? 3°. Chacun des Danseurs se
croit
un être à part et privilégié. Il veut avoir le dr
é des ballets. Une vanité mal entendue en est le principe. Un Danseur
croit
ne rien faire, lorsqu’il exécute les figures qu’o
rsique, Dont les Intermèdes follets Étaient des Danses et Ballets. Je
crois
que la chose était belle, Mais d’en faire un réci
ue je ne puis faire un tableau De cette Action éclatante, Qui fut, je
crois
, toute charmante.
ce dernier ouvrage, à qui tout autre cède. Le Machiniste avait, je
crois
, le diable au corps Lorsqu’il fit de telles merve
ceux qu’elle darde ? Cela nous Vengerait, mais elle en goguenarde Et
croit
qu’on dit cela par plaisir seulement.
La foule d’hommes bornés qui fréquentent nos Spectacles ne sauraient
croire
que ce qu’ils ont vu ; le par-delà de ce qu’ils s
èrent : la multitude s’enfuit : des femmes enceintes accouchèrent. On
croyait
voir ; on voyait en effet ces barbares Divinités
r, il faut en tirer la conséquence évidente, que l’art que nous avons
cru
jusqu’ici parmi nous à un si haut degré, n’est en
, qui est le caractère distinctif du Français. Il aime la Danse. Il a
cru
jusqu’ici l’avoir portée à la perfection possible
un côté il n’a point vu le mieux, et que de l’autre il est naturel de
croire
que ce qui plaît actuellement est le point suprêm
femme, que le palais disparaissait. J’oubliai où je me trouvais et me
crus
en présence d’une Princesse de légende dans une c
urire et, après que nous nous fûmes assises, elle me dit : — Alors on
croit
donc qu’une Princesse doit toujours être froide e
voyez, par ces croisées, quand je regarde au loin, je peux encore me
croire
dans le cher pays qui m’a vue naître. — Alors, vo
ours-là ? — Oui, Princesse, mais vous ne devriez pas en avoir. — Ah !
croyez
-le bien, il n’y a personne au monde qui n’ait des
ine d’Angleterre m’avaient vue danser : — Non, mais je suppose qu’ils
croient
m’avoir vue, car dans mon petit théâtre de l’Expo
fut une doublure qui dansa à ma place, mais le Roi et la Reine ont dû
croire
que c’était moi qu’ils avaient vue. — Eh bien, il
ses des morts… Et elle, à son tour, m’interrogea sur la façon dont je
croyais
qu’il serait possible de reconstituer ces danses.
éjeuner attendit plus d’une heure. Le soir où je dansai au palais, je
crus
que la Princesse serait seule, car nous avions en
s confortable. Avec tous ces objets d’art autour de soi, on se serait
cru
dans un minuscule musée. Je lui demandai ce qu’el
Alors pourquoi ces seaux sont-ils là ? — Mais, pour l’incendie. — Je
croyais
, dit Mortier, que toutes les constructions améric
sont pas armés, manquent volontiers de courage. De plus, celui-ci dut
croire
que son interlocuteur était devenu fou. Et, prest
ouvât plus de curiosité. Il revint alors sur ses pas, ou, du moins le
crut
. Des yeux, il chercha le pont, mais sans y réussi
Anglais, si patient qu’il fût, commençait à trouver le temps long. Il
crut
s’être trompé de jour et fit enfin venir le patro
der ce que vous désiriez ? Il réglera l’addition. Pensez à ce que dut
croire
cet Anglais ! Il était venu déjeuner avec un gent
ement oublié notre déjeuner jusqu’à deux heures et j’ai téléphoné. Je
croyais
ne pas venir ici du tout. J’avais une affaire d’u
t né, aurait préféré venir au monde en Amérique. Car l’Amérique, à en
croire
les Américains, est un pays libre et tel qu’il n’
upart des Américains qu’il y a beaucoup de liberté en Angleterre, ils
croiraient
que vous voulez vous moquer d’eux, et ils vous ré
ous voulez vous moquer d’eux, et ils vous répondraient qu’ils ne vous
croient
pas. Ils consentent bien, parfois, qu’il y a un p
tent : — Quel malheur qu’il n’y en ait pas davantage. L’Américain se
croit
complètement affranchi, car « Liberté » est le cr
rtit. Je ne l’ai jamais revu, bien entendu, ni lui, ni ses rubis ! Je
crois
que dorénavant, on me demanderait en vain de me c
is Gentilhomme. Je déclare donc, avant d’entrer en matière, que je ne
crois
point la Danse la plus excellente chose qu’on pui
félicité de son siècle, faire passer rapidement les découvertes qu’on
croit
avoir faites, ses réflexions, ses vues dans l’âme
l’esprit. Cet Académicien convient d’abord que jusqu’à lui, on avait
cru
tout bonnement que les Anciens chantaient et dans
ent qui peut concilier de si grandes difficultés, et cet expédient il
crut
l’avoir trouvé dans son système et par un mot nou
er la suite historique de cet Ouvrage. Quatrièmement, l’Abbé Du Bos a
cru
la Danse de son temps parvenue au plus haut point
e la Danse de son temps, s’écroule donc évidemment de lui-même. J’ose
croire
par conséquent la partie historique de cet Ouvrag
sé de toute supériorité présente dans les points même sur lesquels on
croit
de bonne soi n’avoir aucune sorte de prétention.
un des pas que la Danse fait sur notre Théâtre pour avancer. Ce qu’on
croyait
la Danse noble, a été remplacé par ce qu’on a app
mples pour éclaircir mes propositions ou pour les prouver ; mais j’ai
cru
devoir les prendre ailleurs que dans les Ouvrages
pris sur le vif. Un provincial. C’est gentil, ici. — Qu’est-ce qui
croirait
jamais que c’est un bal public, c’est plus joli q
femmes célèbres sont-elles déjà venues ? L’habitué. Pas encore. Je
crois
cependant avoir aperçu Alice la Provençale. L’a
venable, ça humilie les autres. L’ami. Mais je ne parle pas mal, je
crois
.. Alice. Comment que tu t’appelles ? L’ami roug
a croisée, histoire de recueillir les louis qui tombent, mais je n’en
crois
pas un mot : — le temps de ces messieurs-là est p
— un Brididi rajeuni. Il danse bien, mais il a trop d’orgueil, il se
croit
aussi célèbre que Rigolboche, c’est ce qui lui fa
ça. L’ami. — En somme, tout cela est très-amusant. Alida. — Je te
crois
. — C’est pour cela que nous y venons tous, et que
ault a voulu faire, semble s’évaporer, se perdre, s’anéantir, et j’ai
cru
en voir évidemment la cause dans l’exécution prim
s remèdes étaient aisés, et les progrès de l’art infaillibles. Or, je
crois
apercevoir dans la faiblesse de tous les sujets e
us ceux que forme le génie ; et dans la construction de l’édifice, on
crut
devoir le resserrer, le rapetisser, le mutiler, s
n’avons point de définition de ce mot parfaitement satisfaisante : je
crois
cependant utile au progrès des beaux-arts qu’on e
de nous apprendre, et dont on a cependant paru s’occuper le moins. Je
crois
d’abord que ce mouvement qui élève l’esprit et qu
paisible) ne sauraient manquer de paraître fort extraordinaires. On a
cru
qu’un homme devait être tout à fait hors de lui-m
leurs vers, au contraire, qu’ils l’étaient en effet, et peut-être le
crurent
-ils de bonne-foi eux-mêmes. Voilà donc la fureur
. Observez encore que je n’ai point employé le mot imagination, qu’on
croit
communément la source unique de l’enthousiasme ;
ces réflexions puisées dans une métaphysique peu abstraite, et que je
crois
fort certaine, j’oserais définir l’enthousiasme u
nt-ils, dénaturer les choses? à quoi bon des systèmes nouveaux ? on a
cru
jusqu’ici l’enthousiasme une espèce de fureur, l’
es grands poètes, les bons peintres, les musiciens excellents qu’on a
cru
et qui se sont crus eux-mêmes des gens inspirés,
es bons peintres, les musiciens excellents qu’on a cru et qui se sont
crus
eux-mêmes des gens inspirés, ont été aussi loin s
r moteur des opérations de leur âme, et non l’imagination, qu’on en a
cru
chargée jusqu’à présent, pense-t-on qu’on donnera
siasme véritable. Il y a donc de faux enthousiasmes. Un homme peut se
croire
des talents, du génie, et n’avoir que des réminis
tre l’interprète et le garant de mes sentiments pour le Comité, et me
croire
pour la vie ton sincère ami, N° 2 Haymarket. VES
à prouver que tous les maîtres de Ballets (ou tous les individus qui
croient
l’être) ont le droit d’établir des ballets d’acti
on il emploie pour mettre votre justice en défaut ; mais comme je les
crois
inférieurs à celui que je viens de citer, je vous
Comité de Salut Public. Le document suivant tendrait à nous le faire
croire
: CONVENTION NATIONALE COMITÉ DE SÛRETÉ GÉNÉRA
s, je vous prie, par ce temps-ci, et soyez assurée qu’aussitôt que je
croirai
pouvoir le faire sans danger, ce sera moi qui ira
res et plus sincères, je vous l’assure, que ceux de bien des gens qui
croiraient
manquer à toutes les convenances en passant ce pr
ils ! Je leur avais dit : « Ne venez pas sans engagement ». Elles ont
cru
que j’avais peur d’elles et maintenant quelles so
Conclusion du traité contre les danses. Je
crois
avoir montré par des preuves convaincantes, que l
es les personnes qui font une profession sincère du christianisme. Je
crois
encore avoir fait aux objections, par lesquelles
de, j’ai besoin, que le Lecteur daigne suspendre toute prévention. Je
crois
avoir aperçu dans un des beaux opéras de Quinault
s. Je vais exposer simplement mes réflexions, que je me garde bien de
croire
infaillibles. Mon intention est de pénétrer l’esp
avoir deux causes, le dessein et l’exécution. [Voir Expression] Or je
crois
apercevoir ici le plus beau dessein de la part de
ncore : c’est-là qu’elle appelle à son secours la Haine qu’elle avait
cru
suivre, et qui ne servait cependant que de prétex
orme un contre-nœud extrêmement ingénieux. Armide, que je ne puis pas
croire
tranquille, va donc déployer ici tous les efforts
dérivent de ce déplacement. Je sais bien qu’on feindra de ne m’en pas
croire
. Ma proposition n’en sera pas moins vraie, et je
e tout un Public, qu’il n’est qu’un imbécille, ou que du moins on l’a
cru
tel ! Hélas ! il faut en convenir, puisque d’aill
& un nombre plus considérable, si l’on veut, ont la vanité de se
croire
en état de décider de ce qui peut plaîre ou dépla
Il résulte encore de tout ceci que les Comédiens ont grand tort de se
croire
en état de décider si un Drame est digne ou non d
gularité me fera peut-être honneur, sur-tout dans un temps où l’on se
croit
Philosophe lorsqu’on affecte d’être bizarre. J’ob
, sans doute, de voir la manière ouverte dont je sais mon éloge. J’ai
cru
d’après les exemples que j’en vois tous les jours
oge. J’ai cru d’après les exemples que j’en vois tous les jours, j’ai
cru
qu’il était du bon-ton de se louer soi-même, &
s’unissent pour fatiguer les yeux et le cerveau. Je lui demandai s’il
croyait
que les couleurs dont nous nous entourons ont une
e des plus simples et une maîtresse de maison des plus accomplies. Je
crois
qu’il serait intéressant de dire quelques mots de
a plus belle robe, et j’achetai pour l’occasion un costume qui, je le
crois
, devait être très joli. Pour aller avec la robe,
aisselle arrivèrent. Il n’avait pas fait de prix pour la location, et
croyait
que je serais là pour recevoir les objets et acqu
t déjà. Tout le monde se mit à l’œuvre pour dresser le couvert, et je
crois
bien que je n’ai jamais assisté à plus joyeux rep
Ces directeurs, prévenus sans doute à l’avance de leurs nominations,
crurent
faire leur cour aux deux Princes, en rassemblant
heureux. Dans la maladie invétérée qui travailloit ce grand corps, on
crut
devoir lui donner pour directeur un médecin. Mais
. Il avoit de l’esprit, mais il n’eût jamais celui de s’en servir. Il
crut
, car il ne doutoit de rien, que l’on pouvoit cond
Art, lui avaient procuré une distinction aussi honorable. Si l’on en
croit
quelques Historiens, il en était digne. Il avait
able, qui, trompé peut-être par la traduction latine de Dalechamps, a
cru
que c’était un Chanteur. Le P. Ménestrier me semb
Cependant, je suppose pour un moment, ce que j’ai bien de la peine à
croire
, que jamais on n’ait souffert aucun préjudice ni
ces divertissemens sans que votre chasteté en souffrît, ce que je ne
crois
pas possible, vous ne laisseriez pas d’être sévèr
mble qu’elle a des rêves affreux. L’ombre de Ninus paraît ; Sémiramis
croit
la voir en songe, et son trouble en augmente. L’o
est peinte sur son visage ; elle cherche partout le fantôme, et elle
croit
le voir partout. Alors en levant les yeux, elle e
accomplir la cérémonie. Oroés la refuse, en faisant entendre qu’il ne
croit
pas que cet hymen soit agréable aux Dieux : sur s
tous les déracinés qui accaparent le théâtre. Cela ne vaut pas moins,
croyez
-le, que d’être radjah régnant. Figurez-vous, Rade
ne porte en soi de ce tourment de l’au-delà qui nous grandit. Mais ne
croyez
pas, prince, que ces danseurs qui, dans un espace
rais. Le babou à bésicles leur fait la leçon et le paria du boulevard
croit
pouvoir les persifler. Et si l’aveugle leur préfè
atience. Mes travaux peuvent attendre quelques jours de plus. Mais ne
croyez
pas que je m’en occupe dans la prévision d’un nou
s’était jamais consolé de sa perte. Il n’a pas voulu m’éclairer. Il a
cru
que l’amour est d’autant plus grand et plus beau
femme l’eût comprise. Elle était, je vous l’ai dit, une enfant, et je
crois
qu’elle était destinée à l’être toujours. Par réa
cher et fondre en larmes. Elle me trouva bizarre et ne tarda pas à me
croire
fou. Un jour, mes yeux tombèrent sur une lettre q
main de mon père sans la connaître, ou que mon père avait eu tort de
croire
que tout s’arrange pour le mieux dans le mariage,
essentir et de nourrir une passion quelconque ? Je préférai ne pas le
croire
et attribuer cette crise nerveuse à l’impression
ccupai que de la soigner et de la calmer. La chasse, comme on peut le
croire
, fut interrompue. Nous rentrâmes, et ma femme se
ute sa vie. C’est tant pis pour moi, je n’accuse jamais Dieu, donc je
crois
que tout le mal qui nous arrive vient de notre ig
[Avertissement] N. B. L’Auteur
croit
devoir prier le Public de ne point le confondre a
soleil condensé. Cela mousse, cela fuse, cela grise : c’est un grand
cru
. Le sujet : un imbroglio italien où des grotesque
les parrains spirituels de cette fugace vision tout trouvés ! Mais ne
croyez
aucunement à une reconstitution, à un pastiche du
bien régulière et proportionnée au degré de splendeur où nous pouvons
croire
sans orgueil que notre Ville Capitale est montée.
dans tous ses autres ouvrages lyriques, et tel que ses ennemis l’ont
cru
, ou l’ont voulu faire croire. Il y a des hommes d
ages lyriques, et tel que ses ennemis l’ont cru, ou l’ont voulu faire
croire
. Il y a des hommes dans la Littérature, qui sont
on collaborateur habituel, M. Ernest Blum, y vient tous les soirs. Je
crois
qu’il y couche. VIII Je dirais bien quelque
. A deux heures, c’est trop lard ! Paurelle. Certainement ; si vous
croyez
que je n’ai que ça à faire ! et puis, il me dépla
uis en retard ? Oscar. D’une heure seulement. henriette. Tiens, je
croyais
être en avance… Oscar. A votre place, je ne vie
crivez des lettres anonymes pour me faire perdre ma position, et vous
croyez
que cela se passera comme ça !… Je vais vous fair
s chez le commissaire. L’auteur. Oui, c’est drôle… Oscar. Et vous
croyez
que cela peut durer longtemps ainsi ! Dans un moi
cens dont le plus grand nombre est employé dans notre orthographe. Je
crois
que ce que les Romains appelloient noter un disco
ien rapporte que C. Gracchus ne haranguoit jamais sans instrument. Je
crois
pouvoir comparer cette musique a celle du plein-c
: marcher en mesure n’est donc pas danser. C’est encore une erreur de
croire
que les généraux haranguoient les troupes en chan
La réunion de ces monstruosités ne nous donne-telle pas la liberté de
croire
que les le Kain et les Garick dégagés de toutes c
nt ces taches que le temps et la réfléxion éffaceront sans doute ; je
crois
que cet art enchanteur qui fait les délices de no
ent sans se mouvoir, pour représenter l’immobilité de la terre qu’ils
croyaient
fixe. Voyez Ballet, Chœurs, Danse. (B)
de vous séparer d’elle avant de vous savoir parfaitement tranquille.
Croyez
, monsieur, à mes sentiments tout dévoués. Flamin
32
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
ovince ; enfin celui-là parle tellement du nez, qu’on serait tenté de
croire
que sa langue est montée dans son cerveau. Lorsqu
e pratique à l’Opéra, où l’on n’entend pas facilement les paroles. Je
crois
que l’on pourrait cependant faire quelque excepti
hôtel séparé, & vit au gré de ses caprices : on appelle cela, je
crois
, le bon ton. Ce n’est donc point aux gens du gran
des querelles qui s’élèvent entre vous & vos pétulantes moitiés.
Croyez
-moi, les uns & les autres, ménagez davantage
domestiques. Ne vous disputez que par gestes .... Maris, n’allez pas
croire
que je parle d’un certain geste expressif, qui me
serait trop tôt finie, & vous n’en seriez pas meilleurs amis : je
crois
seulement que vous en devez faire la démonstratio
e Rigolboche. Cela sera d’autant moins inutile que bien des personnes
croient
que Rigolboche est mon nom de famille. Je me souv
nce… C…, puisse ce livre t’apporter quelques distractions et le faire
croire
pour quelques instants que tu n’as pas encore qui
s quelques commentaires ; mais, à l’arrivée des sergents de ville, je
crus
qu’il était de mon devoir de défendre mon sexe et
payeront jamais. Ça n’est pas pour moi que je dis cela. VII Je
crois
être quitte avec la gloire. J’ai beaucoup travail
Merci beaucoup, monsieur, je viens justement de voir le Louvre, et je
crois
que c’est aussi une belle collect… Rachel Boyer i
sir à un homme, pourtant si riche, de faire du bien autour de lui. Je
crois
que j’aurais été beaucoup plus impressionnée si j
u parler de quelques-unes de ses bonnes œuvres. Je me décidai enfin à
croire
, pour complaire à mon hôtesse, que la collection
bre, du marbre, non certes ; ce sont des plaques de bois pétrifié. Je
croyais
que nous avions vu toute la collection de M. Grou
thylliens, et en imposa au parti contraire. Les gens cependant qui se
croyaient
les plus sages des deux côtés, réfléchirent sur c
a connaissance des hommes, la lui avaient rendue légère. 62. Je ne
crois
point hasarder, dans tout ce que je vais dire, un
a déjà dit, par le goût qu’il montra pour la Danse Italique, l’en ont
cru
l’Inventeur. S’ils avaient approfondi ses vues, i
ment des appréciations qui ne sont pas les vôtres. Par exemple, je le
crois
beaucoup plus partisan des doctrines libérales qu
l est possible que ce soit par pure déférence. Il ne se permettra, je
crois
, jamais de discuter vos principes si vous ne l’y
vous mettiez un frein religieux aux vôtres. Que vous dirai-je ? Je le
crois
excellent et aussi pur que le permet la vie du si
dit-on, merveilleusement. L’on y voit aussi notre SIRE, Et cela, je
crois
, c’est tout dire ; Mais, de plus, Madame y paraît
u’on ressent lorsqu’on fait part au Public de ses découvertes, que je
crois
que le théâtre des Grecs doit uniquement nous gui
pecte comme un grand maître, et que je suis comme mon guide ; mais je
crois
que tout sujet doit être asservi aux règles que j
éussit pas, on manque son but ; et quant à moi, il me semble fondé de
croire
qu’il est impossible d’émouvoir les passions avec
d’Ombres, et de Fantômes que j’entends parler : « toute l’Antiquité a
cru
ces prodiges, et notre religion a consacré ces co
t dans la composition, soit dans l’exécution de cette danse ; mais je
crois
que ce genre est le dernier de tous. Il ne peut e
en en faveur de l’art, et de son origine. Cependant on est autorisé à
croire
que l’amour est aussi ancien que le monde, et que
t cela est conjectural, mais n’est pas invraisemblable ; et l’on peut
croire
aisément que les artistes n’ont produit que des c
assurer, s’il est possible, son éxistence. Personne ne contestera, je
crois
, que les arts et les sciences n’ayent été longtem
’architecture, cet art majestueux et imposant ; c’est que je n’ai pas
cru
pouvoir la ranger dans la classe des arts imitate
j’ai puisé toutes mes observations dans la nature de l’homme ; je ne
crois
pas être tombé dans l’erreur ; si je me suis trom
ueur. Or la diction de l’artiste est si admirablement articulée qu’on
croit
l’entendre parler. Mais, au fait, pourquoi ne par
’un ballet vive il faut avant tout que l’on y danse. Et je persiste à
croire
qu’il y a amplement matière à un ballet dansé dan
uisent le mouvement chorégraphique d’une manière si concrète que l’on
croit
voir la démarche élastique, le genou fléchi, les
t aucune conception d’art mais un choix varié de succédanés. Voici je
crois
ce qui m’oppresse et m’irrite dans les tentatives
s que j’allègue, Dont le cadet est un peu bègue, N’ont pas, encor, je
crois
tous trois, Plus de dix-huit ans et dix mois.
impossible de ne pas entendre les cithares. PHÈDRE C’est Rhodopis, je
crois
, celle-ci qui t’enchante. SOCRATE De Rhodopis, al
t bien vrai, Socrate, que le trésor de ces images est inestimable… Ne
crois
-tu pas que la pensée des Immortels soit préciséme
it qu’elle s’arrange un nid dans ses bras blancs… Mais, à présent, ne
croirait
-on pas qu’elle se tisse de ses pieds un tapis ind
de l’Athikté ; il les dévore de ses yeux, il leur tend le visage ; il
croit
bien de sentir sur ses lèvres courir les agiles o
des fables, et l’échappée de toutes les portes de la vie ? ÉRYXIMAQUE
Crois
-tu qu’elle en sache quelque chose ? et qu’elle se
, Socrate ? SOCRATE Si elle représente quoi que ce soit ? PHÈDRE Oui.
Crois
-tu qu’elle représente quelque chose ? SOCRATE Nul
onnu, dans tes lumières incomparables : je ne puis t’entendre sans te
croire
, ni te croire sans jouir de moi-même qui te crois
lumières incomparables : je ne puis t’entendre sans te croire, ni te
croire
sans jouir de moi-même qui te crois. Mais que la
t’entendre sans te croire, ni te croire sans jouir de moi-même qui te
crois
. Mais que la danse d’Athikté ne représente rien,
stics mystérieux ; toi, davantage, qui ne te fies aux élixirs, qui ne
crois
guère aux philtres confidentiels ; ô guérisseur s
, regarde vite à quel point tu dis vrai !… Regarde la palpitante ! On
croirait
que la danse lui sort du corps comme une flamme !
Il est étrangement jaloux de cette liberté et de cette ubiquité qu’il
croit
que possède l’esprit !… Sans doute, l’objet uniqu
prit dans ses spéculations et dans ses songes n’y parvint ! PHÈDRE On
croirait
que ceci peut durer éternellement. SOCRATE Elle p
E Laissons agir le repos qui va la guérir de son mouvement. PHÈDRE Tu
crois
qu’elle n’est pas morte ? ÉRYXIMAQUE Regarde ce t
s isolées ; et les Savants de la Chine déclarent qu’il est savant. Je
crois
voir un homme qui ayant dans sa main la clef du T
anseurs me sauront gré de l’intérêt que je prends à leurs progrès. Je
crois
aussi que les artistes formés et accoutumés aux a
r science « Qui, sans être danseurs, parlent beaucoup de danse. » Je
crois
que les écrits de ces hommes, qui ont employé tan
e, je mettrais de suite en pratique ce moyen que j’ai imaginé, que je
crois
essentiellement utile, et que tout professeur, sa
tales, d’obliques, d’angles droits, aigus, obtus, etc. Langage que je
crois
même indispensable dans nos leçons, en traçant su
our profane et impur s’y engendre fort aisément » : c’est pourquoi il
croit
pouvoir dire des danses ce que tous les médecins
ses, eu égard à la manière dont elles se font. Aussi, ce saint a-t-il
cru
devoir prescrire différentes considérations bonne
de la danse, à toutes ces considérations, que saint François de Sales
croit
néanmoins nécessaires pour empêcher les funestes
issement soit bien dangereux, pour qu’en semblant le permettre, on se
croie
obligé de prendre tant de précautions pour empêch
tes, cet Empereur aimoit passionnément la danse ! mais il est aisé de
croire
qu’il aimoit à gésticulier avec grace, qu’il marc
revivre cet art, et qu’ils l’introduisirent chez les Romains. Je veux
croire
qu’ils avoient du talent, qu’ils gesticuloient co
comme lorsqu’elle se montre avec quelques attraits ; mais je ne puis
croire
à la perfection de ces acteurs pantomimes et je v
n ne demande plus de force, de vigueur et d’adresse ? comment pouvoir
croire
encore que ces eunuques pantomimes, ayent porté a
Et (sans à faux en discourir) Tout Paris y devrait courir, Car je ne
crois
pas que personne Plaignît l’argent que l’on leur
rétablir dans son premier état, l’ont encore abaissée davantage. Ils
croient
, sans doute, que c’est un genre méprisable, fait
be d’Arlequin, le comique & le burlesque de Paillasse, & j’ai
cru
qu’avec cet avantage je serais bien malheureux, s
ureux, si j’avais besoin de ces ornemens si superflus, & que l’on
croit
si nécessaires. Ma jeunesse, & une grande con
», ou de ces coups de théâtre, si fréquens sur la Scène moderne. « Je
crois
bien que vous m’en saurez bon gré ; quant à ces p
de frais. Le célèbre M. Garrik, cet Acteur excellent, qu’on peut, je
crois
, comparer à nos Lekin, malgré l’enthousiasme de t
njuste & bien cruel, que ceux qui ont des principes contraires se
crussent
en droit d’être mes ennemis. Je saisis cette occa
publiquement d’une foule de gens qui ont la faiblesse d’esprit de me
croire
un homme ordinaire », & qui ôsent me disputer
ou à une cause qui a cessé, n’importe ; elle devient un axiôme ; on y
croit
sans examen, on la respecte sur la foi publique ;
bsurdité. Cependant comme dans les arts, il n’y a pas d’obligation de
croire
sans examen, il faut toujours pouvoir se rendre r
aire des catéchismes pour apprendre aux bonnes gens ce qu’ils doivent
croire
? Le fruit qui se peut tirer des meilleures chose
e retirer pour fruit de son travail que le gain de cette ame, on s’en
croiroit
bien récompensé. Mais pourquoi vouloir mettre des
urra jamais (Jean, c. 8, v. 51.) » Quels motifs n’avons-nous pas de
croire
plutôt à la parole de Jésus-Christ qu’à celle du
de justice, Et le Gentilhomme bourgeois: L'on pourra, donc, comme je
crois
, Beaucoup, ainsi, se satisfaire. Mais parlons de
se à une œuvre complète on l’amoindrit. D’ailleurs, je l’ai toujours
cru
. Ainsi, même le charmant ballet de Fokine, élégan
s n’est pas heureuse. Tout ceci à propos de la Chasse. Celles qui ont
cru
devoir la régler me font songer à ces gosses qui
ne. 182. 30. je demandrois, lisés : je demanderois. 184. 19. et qu’il
croit
, lisés : et qu’il croit. 185. 27. a coup sur. lis
is, lisés : je demanderois. 184. 19. et qu’il croit, lisés : et qu’il
croit
. 185. 27. a coup sur. lisés : a coup sûr. 186. 23
z bien ce Personnage. Outre la majesté du Roi, Qui danse des mieux,
croyez
-moi, Et Monsieur son unique Frère, À qui le juste
La Musique et la Symphonie Y font une grande harmonie, Dont Lully (ce
crois
-je) est Auteur, Et plusieurs, de belle hauteur, D
ent : Enfin, je puisse être cocu, Si je leur plaignis mon écu ; Et je
crois
que tout honnête Homme Leur doit porter pareille
R de la HILLIÈRE, De très obligeante manière, En faveur des Muses, je
crois
, Introduisit sans désarroi En ce lieu-là ma Compa
e dans laquelle on découvre une foule de Joueurs d’Instruments, qu’on
croit
entendre. C’est un Bal en forme, auquel Comus pré
sa vie, d’un art qui était devenu chez les Romains un objet sérieux,
crut
devoir se livrer à cinquante-neuf ans, comme le b
l’amer Fra Paolo dans ses déclamations cruelles contre ce Concile, ne
crut
pas même ce trait susceptible de critique. La Rei
ue donna Louis XIV pour le Mariage de M. le duc de Bourgogne, on peut
croire
avoir vu la Description de tous les autres. « On
pour cela que Dieu leur enverra un esprit d’erreur si efficace qu’ils
croiront
au mensonge ; afin que tous ceux qui n’ont pas cr
ficace qu’ils croiront au mensonge ; afin que tous ceux qui n’ont pas
cru
à la vérité, et qui ont consenti à l’iniquité, so
res. La moindre production coûte des soins & des peines infinies.
Croirait
-on qu’il faut plus d’un jour avant d’accoucher d’
infiniment petits, à qui la manie d’écrire met la plume à la main. Le
croira-t
-on ? j’ai eu le bonheur de concevoir l’idée des O
un tableau vivant de ce qui n’est chez moi qu’une foible esquisse. Je
crois
que votre mérite sera bien senti en Angleterre pa
cien ballet d’allégories. Et peu s’en faut que le ballet ne s’en soit
cru
pensant. Aujourd’hui, je ne sache pas qu’il pense
t derrière la Porte, C’est-à-dire qu’il fut sursis Pour des jours, je
crois
, plus de six. Mais, après aussi ledit terme, On s
te vraiment, il faut la voir de profil. Cette constatation, que nous
croyons
inédite, peut être amplifiée. Tout ce qui est « t
quement vus de profil et de biais. S’il en est ainsi, nous tendrons à
croire
que les étoiles du firmament latin doivent être l
je ne cite pas la scène romaine dont se réclame Mme Leonidoff, car je
crois
savoir que cette scène n’a jamais eu de tradition
impertinentes. Je vous avoüe que ma loi n’est pas assez fervente pour
croire
à tous les prétendus miracles qu’ils décrivent. L
assent les personnages les plus marquans de leurs pièces, et il est a
croire
que cet Andronicus étoit aussi bon tragédien qu’e
péra, si on ne levoit jamais le rideau qui cache la scène ? voilà, je
crois
, les masques : qu’on les laisse tomber, et qu’on
bouche à l’autre masque : même dans le feu, ce sourire est glacé. On
croit
voir un peuple de poupées et de pantins en cire.
et, lettre du 5 mars 1661 Pour plaire à quatre Demoiselles, Que je
crois
, toutes, fort pucelles, Le Lundi gras, jour jovia
es Isles inhabitées & dans les Forests, dont le Lecteur néanmoins
croira
tout ce qu’il lui plaira, ne rapportant ce que j’
habitée, on entendoit souvent un concert très-harmonieux ; ce qui fit
croire
dans ce tems-là que c’étoit le lieu d’assemblée p
opinion des Cabalistes : j’oserai dire en passant que j’ai lieu de le
croire
plus qu’un autre. Je crois avoir assez éclairci c
serai dire en passant que j’ai lieu de le croire plus qu’un autre. Je
crois
avoir assez éclairci cette matiere, pour faire co
ces fumées sont bien faites pour répondre les unes des autres. Je le
crois
aussi. La raison géométrique n’a plus rien à fair
le au progrès des arts ? le goût exclusif est-il sage ? je ne le peux
croire
; parce que ces goûts nés de la fantaisie et du c
opres à décourager le vrai mérite qu’à le soutenir et à l’encourager.
Croire
qu’un artiste de quelque genre qu’il soit, lorsqu
chose la plus réjouissante du monde. Sa gravité et l’importance qu’il
croit
avoir ferait rire un croque-mort. Il se prend au
ntil, Markouski, a dit Finette dans son appréciation sur lui, mais il
croit
trop que c’est arrivé. V Il adore les journ
, par ses allures, ses mœurs à part, mérite une étude spéciale. Je ne
crois
pas être mal inspirée eu lui consacrant quelques
Musique ; ce qui a été regardé comme un prodige, mais qui peut faire
croire
que la Musique naturelle réside & produit ses
sur ce que Dieu a dit qu’il avoit réglé ses bornes ; du moins peut-on
croire
que cette Musique existe dans tous les élémens. L
ceux qui cultivent ces hautes sciences, pour sçavoir ce qu’on en doit
croire
. J’oserai dire encore que la surprenante Machine
quels se passeront ses différents actes. Ce point une fois décidé, on
croit
que le reste regarde le décorateur, et qu’il n’es
que ce grand homme avait acquise de toutes ces grandes parties qu’on
croit
peut-être fort étrangères à la poésie. Qu’on s’oc
ution de ses ouvrages. Ce que les Grecs, P. Corneille et Quinault ont
cru
nécessaire, eux qui avaient tant de talents diver
nie de Quinault, s’ils négligent d’acquérir les connaissances qu’il a
cru
lui être nécessaires. Voyez Machine [Article de M
et de petites herses : on les multiplie sur ce théâtre autant qu’on
croit
en avoir besoin ; on les sert à la main, et ce s
bouquet dans la rosée. Avant de commencer l’analyse de Giselle, nous
croyons
faire une chose agréable à nos lecteurs de leur d
ne, si prématurément étouffée sous l’oreiller jaloux de la mort, nous
croyons
qu’elle se trompait ; Carlotta, guidée par cette
une corbeille et une serpette, et s’en aller à la vendange. — Si vous
croyez
cela, vous ne connaissez guère le cœur des jeunes
roite. D’ailleurs, quand on est jolie, jeune, amoureuse, est-ce qu’on
croit
à la mort ! Hallali ! hourra ! le cor sonne des f
nt rien. L’endroit est sinistre et mal hanté ; mes hardis compagnons,
croyez
-moi, portez ailleurs votre pâté de venaison et vo
e t’évanouis pas, laisse-moi encore regarder ce doux visage que je ne
croyais
revoir qu’au ciel ! » et il s’élance, les bras ét
graphique pleine de charme et d’attendrissement. Plus d’un œil qui ne
croyait
voir que des ronds de jambe et des pointes, s’est
gueil est à peu près le même dans tous les hommes : les nuances qu’on
croit
y apercevoir sont peut-être moins en eux-mêmes, q
r de chroniqueur la portée et l’action effective d’une campagne. On a
cru
d’autre part que mon attitude, pour être nette, d
oriques, ou Moraux, ou Bouffons. Ce n’est que par des Exemples que je
crois
pouvoir faire connaître ces trois différentes bra
ns autant d’Enchanteurs, Me ravissent dans cette Pièce ; Où chacun se
croit
à Liesse ! Mais que dire de leurs Ballets, Si b
ce pas vous, surtout, vous, les plus civilisés, qui penserez cela ? —
Croyez
-vous que j’aurai le temps de penser ? demanda-t-i
petite ville, que New-York ignorait totalement. Personne du reste, je
crois
, en dehors des habitants, ne s’occupait de ce qui
t Letty Lind, de Londres. Et vous ne pouvez pas rivaliser avec elles.
Croyez
-moi. Bonsoir ! Il avait perdu tout respect pour m
actrice de jadis, il lui fit une ovation comme jamais être humain, je
crois
, n’en a entendu. On criait : « Bravo, bravo, brav
ment qu’il ne pouvait faire plus pour moi. Je lui demandai alors s’il
croyait
que j’allais continuer à danser dans de telles co
ce que j’ai dit et vous n’avez pas sourcillé ! — Non, puisque vous ne
croyiez
pas que je vous comprenais. Je le fixai un bon mo
une séance à son intention et où il lui plairait. Jamais je n’aurais
cru
possible, en effet, de lui demander de venir à l’
a le théâtre avec toute sa suite. Je la vis se lever, et partir !… Je
crus
que le plancher allait s’effondrer sous moi. Qu’a
uller, mais qu’elle devait repartir à quatre heures. Le directeur qui
croyait
que la Reine venait voir l’Hippodrome, n’avait pa
ue cet après-midi ? — Elle est déjà venue vous voir ! Je n’aurais pas
cru
à tant de promptitude. — Elle est venue à la mat
trale eût été mieux connue. Ce serait, au reste, une grande erreur de
croire
qu’une adresse habituelle, qu’un exercice journal
positions nouvelles qu’exigeait d’eux le goût éclairé des Romains. On
croirait
que j’exagère, si je ne me servais sur ce point d
es, un pathétique si touchant, ou une plaisanterie si agréable, qu’on
croyait
entendre les actions qu’on voyait. Les gestes seu
ilité61. Nous nous sommes contentés à moins jusqu’à ce jour ; et nous
croyons
de bonne foi connaître, aimer, posséder la Danse.
s mouvements aisés. En présentant au public ce traité élémentaire, je
crois
lui fournir des moyens d’instruction dans un art
es, consacrés par l’usage et pratiqués par les meilleurs artistes, je
croirais
avoir rendu un service aux parents et aux personn
s femmes de bonne humeur : à quoi bon cette piquette après ces grands
crus
. Mais il y a encore une certaine Pyrrhique où l’o
de ses exercices, & ordinairement celui de la Danse, que l’on ne
croit
pas aussi nécessaire qu’elle est, puisque c’est p
Une chose qui étonne bien des gens, c’est mon âge. Personne ne veut
croire
que je n’ai que dix-huit ans. Et pourtant rien n’
iction, c’est ce qui la tuera. Pour tout le reste, elle m’imite. Elle
croit
être mon égale, elle n’est que mon disciple. Elle
de naissance. Enfin elle est Finette, je suis Rigolboche. VI Je
crois
que je viens d’avoir un mouvement d’orgueil. Qu’o
enue d’écrire un Manuel des Amoureux à l’usage des inexpérimentés. Je
crois
, en publiant ici ces leçons, rendre un service à
s soupirs étouffés, les clignements d’yeux, les billets tendres. Elle
croit
encore aux amoureux qui menacent de se suicider.
abiles qu’on ne puisse, au moyen d’une chevelure postiche, leur faire
croire
encore à une jeunesse véritable. Ce que je dis là
e demeurait empreinte sur la petite figure de l’enfant. Elle avait dû
croire
qu’elle allait pénétrer dans quelque endroit supr
ussi à me donner l’air d’un garçon que la petite fille ne pouvait pas
croire
que je n’en fusse pas réellement un ; et, lorsqu’
t pour l’Angleterre avec son fils. Au bout de quelque temps, elle put
croire
qu’il ne pensait plus à moi. Neuf ans se passèren
ce genre, qui se trouvent répandus dans l’Europe, on seroit tenté de
croire
que cet art est aussi facile qu’il est agréable ;
qui constituent le grand peintre ? Je pars de ce principe, pour oser
croire
que l’étude de l’Anatomie jettera de la netteté d
ché la nature ; il en a reconnu jusqu’aux fibres les plus déliées. Ne
croyez
pas que les maladies de ces animaux ayent été l’u
n ce genre qui se trouvent répandus dans l’Europe, on seroit tenté de
croire
que cet Art est aussi facile qu’il est agréable ;
qui constituent le grand Peintre ? Je pars de ce principe, pour oser
croire
que l’étude de l’Anatomie jettera de la netteté d
é la nature ; il en a reconnu jusques aux fibres les plus déliées. Ne
croyez
pas que les maladies de ces animaux aient été l’u
it l’intérêt et y répand l’ennui. Il faut bien cependant se garder de
croire
que rendre un rôle avec rapidité, sans le nuancer
et les oreilles, ils n’y volent et n’y entendent rien de ce que nous
croyons
y voir et y entendre : ils se parlent, nous exami
est susceptible. Dès qu’il cessera d’être lourd, il faudra bien qu’on
croie
qu’il n’y a de vraies voix que celles qui sont lé
sert peu cependant pour nos théâtres et pour notre musique latine. On
croit
en avoir aperçu la cause, 1° dans son étendue, mo
’humanité ; une opération barbare y produit des voix de dessus, qu’on
croit
fort supérieures aux voix que la nature a voulu f
availlé dès l’enfance les voix des castrati, et à force d’art ils ont
cru
en écarter les bornes, parce qu’ils ont enté deux
aurait vu quelque jour la gloire et l’appui de leur patrie. Qu’on ne
croie
pas, au reste, qu’une aussi odieuse cruauté produ
t. L’acteur qui ne sent point et qui voit des gestes dans les autres,
croit
les égaler au moins par des mouvements de bras, p
se trouve compris dans sa liste. Nous sommes par conséquent forcés de
croire
que les Anciens qui voyaient représenter ces suje
ans entrer ici dans des discussions qui nous mèneraient trop loin, je
crois
que quant à la première unité, on peut mettre à p
phe. Je l’ai éprouvé moi-même en composant le Ballet de Sémiramis. Je
crois
n’avoir rien laissé à désirer aux Spectateurs pou
tre simple et une, pour me servir encore de l’expression d’Horace. Je
crois
qu’on ne doit se permettre aucune licence à cet é
an général, et le suivit. Il était politique. Tibère qui lui succéda,
crut
trouver sa sûreté dans un excès de raffinement qu
inrent, et s’affermirent jusqu’au règne de Trajan ; mais cet Empereur
crut
faire une action utile, en ôtant aux Romains un S
elques mots en japonais. L’essentiel n’était-il pas que ces messieurs
crussent
que les paroles de M. Sardou avaient été transmis
demie ou sept heures du soir et en finissant avant minuit. Et comment
croyez
-vous qu’il s’y est pris pour empêcher les gens de
ville, il s’arrêta court, et s’écria : — Ah mais, qui êtes-vous ? Je
croyais
que vous étiez Mollie Fuller ! Enfin je comprenai
int les scrupules. Aussi je ne suis pas la femme, — on voudra bien me
croire
sur parole, — qui, dans le monde, apprécie le plu
urpasser les grâces de Mademoiselle Sallé. Vous vous flattez, si vous
croyez
arriver jamais à une gaieté plus franche, à une p
onnes se plier de la ceinture & tirer le pied du même tems, je la
crois
fort bonne, mais de la maniere que je viens de la
x, et voluptueux. Voyez Chaconne. Bonnet, dans son Hist. de la danse,
croit
qu’elle était du caractère de nos bourrées [Voir
les Romains, qui adoptèrent les dieux des Grecs. Numa, roi pacifique,
crut
pouvoir adoucir la rudesse de ses sujets, en jeta
les laïcs, tous les fidèles dansaient pour honorer Dieu ; si l’on en
croit
même le témoignage de Scaliger, les évêques ne fu
ui entrèrent dans cette grande composition. Voyez Danse théâtrale. On
croit
devoir donner ici une idée de ces danses différen
ndre très solennelles dans la célébration des fêtes du dieu qu’ils en
croyaient
l’inventeur. Elles étaient d’un caractère vif et
gueil est à peu près le même dans tous les hommes ; les nuances qu’on
croit
y apercevoir sont peut-être moins en eux-mêmes, q
flûte à la fin des festins, pour célébrer quelque grande victoire. On
croit
qu’elle fut inventée par Pirithoüs. Elle était di
la recette à plus de deux cent mille livres. M. de Voltaire, qui ne
croyait
à rien, croyait à la vertu de mademoiselle Sallé,
us de deux cent mille livres. M. de Voltaire, qui ne croyait à rien,
croyait
à la vertu de mademoiselle Sallé, — ce qui prouve
la vertu de mademoiselle Sallé, — ce qui prouve qu’il faut absolument
croire
à quelque chose : De tous les cœurs et du sien l
rs, Castil Blaze ajoute : « Cette ingénieuse antithèse pourrait faire
croire
que mademoiselle Sallé conserva toute sa vie cett
t eu, sinon des jours, du moins des nuits agitées ; ce qui me fait le
croire
, c’est que je lis dans une chronique de l’époque
bre lésé. Avec cela, médiocrement commode comme pensionnaire, si j’en
crois
le crayon suivant : « La Guimard a des caprices
s dettes auxquelles, dès 1769, elle ne pouvait faire face, si l’on en
croit
Bachaumont : « Le public craint de perdre la Gui
ntent pas le renfermé. Sa famille vit de l’Opéra. Le père y était, je
crois
, musicien à l’orchestre ; le fils y tient un seco
s ce trait, à son âge, Fait, selon moi, l’éloge de son cœur. Car elle
croit
qu’il faut à la vieillesse Faire oublier l’heure
alanterie : « Vous faut-il un consolateur, mignonne ? » J’incline à
croire
qu’elle n’en a point manqué et que l’on a pu, dep
s. Un examen récent l’a fait sortir du rang. Gentillette ; mais je ne
crois
pas qu’elle ait inventé le zundnadelgewehr ou la
Numnam, illa, quœso, parturit ? Mademoiselle Jourdain Je ne
crois
pas qu’elle descende du Bourgeois gentilhomme. No
tte sur la paille ? Mademoiselle Violat Très appétissante. Je
crois
qu’elle vit tranquillement avec son père qui est
rondie dans des émincés de lard. Emincés par trop épais même, si j’en
crois
les petites camarades. Celles-ci l’ont, en effet,
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