les assortiments Qu’un Ballet de cette importance, Qu’un Ballet de la
Cour
de France, Et parfaitement éclairé, Doit avoir po
éans son Frère, (Altesse qui nous est si chère) Y copie, au gré de la
Cour
, Le bel Astre du Point du Jour. Madame, avec so
nt les visages attrayants Sont frais, délicats et riants, Qui font la
Cour
à cette Belle, Et dansent un air avec Elle, Avec
t un aiguillon, Et qui, dès sa plus tendre enfance, Charmait toute la
Cour
de France. La jeune Princesse d’Elbeuf, Pour qu
s fait d’assez beaux Vers. Créqui, dont les beautés illustres De la
Cour
sont les plus beaux lustres, Et dont la prudence
le Illustre, Digne du Cercle et du Balustre, Qui, selon l’ordre de la
Cour
, Ne lui peuvent manquer un jour. La belle Comte
ensible, Astre d’honneur, astre d’amour, Et l’un des plus beaux de la
Cour
. Enfin, voici pour la dernière, De la Cour une
’un des plus beaux de la Cour. Enfin, voici pour la dernière, De la
Cour
une autre lumière, Savoir la belle Rochefort, Que
t, lettre du 28 avril 1668 Depuis toute cette semaine, Notre belle
COUR
se promène Dans ce terrestre Paradis, Où, comme e
ante, Mais où pas un Serpent d’Amour, Dieu, comme on sait, suivant la
Cour
, Et qui ne tente pas, en somme, Pour un simple mo
, Ont été les Plaisirs charmants Et les plaisants Ébatements De cette
Cour
brillante et leste, Dans cet Éden presque céleste
me Composé par Mr. Angiolini Maître des Ballets du Théâtre près de la
Cour
à Vienne, et représenté pour la première fois sur
1761. À Vienne. Chez Jean Thomas Trattner Libraire et Imprimeur de la
Cour
. 1761 Segnius irritant animos demissa per aure
Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la
Cour
de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1
On pourrait comparer l’espèce particulière d’hommes qui peuplent la
Cour
des Rois, aux différentes parties qui composent c
l’entouraient. La mauvaise santé de Louis XIII le rendait sombre. Sa
Cour
fut triste. On fit en vain des efforts pour la so
ce n’est qu’en lui substituant un défaut contraire. [Voir Fêtes de la
Cour
de France] Aussi ne cessa-t-on d’être triste à la
ir Fêtes de la Cour de France] Aussi ne cessa-t-on d’être triste à la
Cour
de Louis XIII que pour y descendre jusqu’à une so
e Savoie, qui était pour lors chargé en France des négociations de sa
Cour
, de donner au Roi une fête de ce genre. La nouvel
r ridicule qu’on s’adressât à de plats montagnards, pour divertir une
Cour
aussi polie que l’était la Cour de France. On dit
plats montagnards, pour divertir une Cour aussi polie que l’était la
Cour
de France. On dit au Cardinal de Savoie les propo
temps dans un genre, que les Français avaient gâté. [Voir Fêtes de la
Cour
de France] Le Cardinal de Richelieu portait dans
a construction d’une Salle nouvelle dans Paris firent comprendre à la
Cour
et à la Ville que les Spectacles publics, vus jus
ux, et de Bouffons. La Reine Catherine de Médicis porta ce genre à la
Cour
de France, et ne l’y fit servir qu’à une espèce d
es publics. Ses vues restèrent resserrées dans le cercle étroit de la
Cour
. Toute sa vie se passa à diviser, à brouiller, et
voulurent en juger par eux-mêmes, et leur jugement fut favorable. La
Cour
où ils se répandirent eut un mouvement de curiosi
u Cardinal Riari un Léon X ; et à Baïf un Louis XIV. [Voir Fête de la
Cour
de France] Pour qu’un bel établissement soit goût
p; les Duchesses : & après les autres Seigneurs & Dames de la
Cour
, chacun selon le rang qu’ils doivent occuper ; ma
orsque Sa Majesté souhaite de commencer, elle se leve, & toute la
Cour
en fait de même. Le Roy se place à l’endroit de l
amp; sa Dame mene le branle, qui étoit la danse par où les Bals de la
Cour
se commençoient, tous les Seigneurs & Dames s
Louis Quatorze d’heureuse mémoire la dansoit mieux que personne de sa
Cour
, ce que je dirai dans la suite ; mais à présent c
ir. — Première leçon : Qu’est-ce qu’on entend par ces mots : faire la
cour
? — Définition. — La blonde ; son tempérament, se
t malheureux par ignorance. C’est surtout dans leur façon de faire la
cour
qu’ils sont d’une maladresse sans égale. Je n’ai
L DES AMOUREUX D. Qu’est-ce que vous entendez par ces mots : Faire la
cour
? R. Faire la cour signifie peindre sa flamme à u
u’est-ce que vous entendez par ces mots : Faire la cour ? R. Faire la
cour
signifie peindre sa flamme à une femme qui a su c
ns sans égales à lui plaire. D. Y a-t-il plusieurs façons de faire la
cour
? R. Autant qu’on veut. D. Dites-nous quelques-un
vous écoutons. R. J’y vais alors. IV. La blonde. Pour faire la
cour
à une blonde, il est préalablement de toute néces
euse de tout ce qui est brun, violent et élégiaque. Pour lui faire la
cour
et pour lui plaire, il faut scrupuleusement possé
se montrer avec elle extrêmement réservé, indifférent, et de faire la
cour
à une de ses amies. La brune est jalouse avant to
, L’harmonie y fit des miracles, Car les divers Musiciens, Tant de la
Cour
, qu’Italiens, Si parfaitement réussirent, Qu’ils
s connaisseurs ! Le Sieur Balard qui les imprime, Imprimeur, que la
Cour
estime, Bientôt, dit-on, les publiera, Et chacun
Avec les habits magnifiques, Les Machines, et cetera. Las ! toute la
Cour
la verra, Et, pourtant, je n’y saurais être ; Ô p
er dans nos Spectacles & dans nos Ecoles ; même il n’y a point de
Cour
dans l’Europe qui n’ait un Maître à danser de not
s jeunes Courtisans, dans l’esperance d’être admis aux plaisirs d’une
Cour
si brillante ? Cependant la Danse ne parut dans t
allets dont je viens de parler, il entreprit de donner aux yeux de la
Cour
& de la Ville ces Tragedies Lyriques qui font
es Italiens. Lully, qui dès sa premiere jeunesse s’étoit attaché à la
Cour
de Louis le Grand, oublia en quelque façon sa Pat
ce avoit de plus habiles Danseurs. Beauchamp qui étoit pour lors à la
Cour
Compositeur des Ballets du Roi, comme Lully l’éto
l inventoit : heureusement pour lui qu’il avoit dans Paris & à la
Cour
les Danseurs les plus habiles, St André, Favier l
ion des Danses, & qui même s’étoit essaïé par des Ballets pour la
Cour
, fut choisi pour la composition des Danses de l’O
Comme voici le Carnaval, Un Divertissement Royal À présent, notre
Cour
occupe, Dont, sans que rien me préoccupe, Je puis
ue, Pour divertir, en ce temps-ci, Où l’on met à part, tout souci, La
Cour
du plus grand Roi du Monde. Il y paraît le Dieu
de Savoie, fut l’occasion d’une Fête brillante qui occupa en 1634 la
Cour
de Turin. On y représenta un grand Ballet, dont l
rains eux-mêmes, les Dames et les Seigneurs les plus aimables de leur
Cour
. Les Rois ajoutaient souvent à tout ce qu’on vien
un fort grand nombre de ces Ballets Allégoriques et Moraux ; mais la
Cour
de Savoie semble l’avoir emporté sur toutes les a
instructive de la multitude, fait qu’à force de donner des Fêtes à la
Cour
, l’imagination s’y fut peu à peu échauffée, fait
ins, À venir prodiguer sa voix sur un théâtre, etc. [Voir Fêtes de la
Cour
de France] Je ne m’étendrai point sur les Fêtes
que Benserade était chargé de la composition des grands Ballets de la
Cour
. Il avait de la fertilité, la mécanique du vers f
ir les personnages. Il n’en fallut pas davantage pour lui donner à la
Cour
une considération, qu’il méritait sans doute d’ai
ation et presque sans talent. C’est dans ces dispositions de toute la
Cour
, que l’ouvrage fut représenté le 13 février 1664
dant à l’injure de Benserade par une autre. [Voir Ballet, Fêtes de la
Cour
de France] Les Poètes, les gens de Lettres, les A
le peuple d’entrer dans l’intérieur du perron. Les murs de face de la
cour
, les inscriptions et armoiries ont été blanchis,
salle des gardes, de plain-pied à la grande salle ; on la prit sur la
cour
, et le dessous forma par cet ordre un péristyle a
le dessous forma par cet ordre un péristyle au rez-de-chaussée de la
cour
. Cette salle des gardes était construite d’une so
e par son milieu ; et loin de gâter la symétrie et l’ordonnance de la
cour
, elle la rendait plus régulière. Les sept fenêtre
ne et Mesdames ne vinrent point à l’Hôtel-de-ville. Décoration de la
cour
de l’Hôtel-de-ville. Aux deux côtés de la statue
le grand entablement, étaient bordés de falots. L’illumination de la
cour
était telle qu’elle est décrite ci-devant. Après
tit de son appartement avec Monseigneur le Dauphin, descendit dans la
cour
; il regarda quelque temps l’illumination, et mon
deux fauteuils pour leurs Majestés ; et la famille royale et toute la
cour
, étaient sur cette estrade sur des banquettes. Ap
était madame la princesse de Conti, et ensuite toutes les dames de la
cour
. Le Roi et la Reine et la famille royale furent s
a famille royale quittèrent les appartements, et descendirent dans la
cour
. L’enceinte de la cour était ornée d’une chaîne d
rent les appartements, et descendirent dans la cour. L’enceinte de la
cour
était ornée d’une chaîne de guirlandes de fleurs,
s qui se joignaient à la couronne et aux guirlandes du pourtour de la
cour
. Le grand escalier, le vestibule du premier et du
Lorraine ; plusieurs autres princes étrangers, étaient accourus à la
cour
de France, qui était aussi magnifique que nombreu
vue des douze berceaux où étaient les tables destinées au reste de la
cour
. Plusieurs symphonistes distribués derrière les b
nt mis en place comme par magie : le bal de cérémonie commença, et la
cour
s’y distingua par la noble gravité des danses sér
siècle, avait imaginé et conduit le plus grand nombre des fêtes de la
cour
de Louis XIII. Quelques Français qui avaient du g
s plus magnifiques et les plus galantes qu’on ait jamais données à la
cour
d’Angleterre, aient été l’ouvrage des Français. L
fêtes de Londres, que les préparatifs des spectacles qu’on donna à la
cour
, furent presque tous offerts à la curiosité des A
ière aussi élégante qu’ingénieuse, les acteurs qui devaient amuser la
cour
. On donnait ainsi à tous les citoyens la part rai
ment secret des avantages glorieux qui les causent. Voyez Fêtes de la
Cour
, de la Ville, des Princes de France, etc. Festins
inations [Article non rédigé], etc. Feu d’Artifice.(B) Fêtes de la
Cour
de France Fêtes de la Cour de France. Les tou
etc. Feu d’Artifice.(B) Fêtes de la Cour de France Fêtes de la
Cour
de France. Les tournois et les carrousels, ces fê
carrousels, ces fêtes guerrières et magnifiques, avaient produit à la
cour
de France en l’année 1559 un événement trop tragi
ces, seigneurs, parents de la mariée, et autres des plus grands de la
cour
, tous les seigneurs et dames changèrent d’accoutr
r Traité historique, IIe partie, livre II, chap. 2, « Des Fêtes de la
Cour
de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »]
eine, les princesses, les princes, et les plus grands seigneurs de la
cour
. Balthazar de Boisjoyeux [Beaujoyeux], qui était
eadein natura remansit ; Il change en vain, il est le même. Ainsi la
cour
de France, troublée par la mauvaise politique de
tie, livre III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la
Cour
de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1
rance, n’offrent rien sur cet article, qui mérite d’être rapporté. La
cour
pendant tout ce temps ne cessa d’être triste, que
e Savoie, qui était pour lors chargé en France des négociations de sa
cour
, de donner au roi une fête de ce genre. La nouvel
ridicule, qu’on s’adressât à de plats montagnards, pour divertir une
cour
aussi polie que l’était la cour de France. On dit
plats montagnards, pour divertir une cour aussi polie que l’était la
cour
de France. On dit au cardinal de Savoie les propo
tie, livre III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la
Cour
de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1
rempli, arrachèrent les applaudissements et les suffrages de toute la
cour
. C’est par cette galanterie ingénieuse, que le ca
ent gâté. Telle fut la nuit profonde, dont le goût fut enveloppé à la
cour
de Louis XIII. Les rayons éclatants de lumière, q
rdirent dans des nuages épais, qui semblaient sur ce point séparer la
cour
de la ville. Mais cette nuit et ses sombres nuage
rs un amusement instructif ; soit qu’à force de donner des fêtes à la
cour
, l’imagination s’y fût peu-à-peu échauffée ; soit
la bonté constante dans toutes les fêtes superbes, qui charmèrent sa
cour
et qui étonnèrent l’Europe, de faire inviter les
stinguées, et de les y faire placer sans les séparer des femmes de la
cour
. Il honorait ainsi, dans la plus belle moitié d’e
sous le règne florissant de Louis XIV. Voyez Fêtes des Princes de la
Cour
de France, etc. Elle s’est ainsi soutenue dans t
lantes du cardinal de Richelieu. En lui mille traits annonçaient à la
cour
l’homme aimable du siècle, aux Arts un protecteur
la salle, d’une adresse assez singulière, pour que le Roi et toute la
cour
pussent voir d’un coup d’œil le nombre incroyable
pour procurer à jamais aux Beaux-Arts un asile digne d’eux, dans une
cour
qui les connaît et qui les aime. Une impulsion de
ce superbe spectacle. Aussi vit-on Zulisca amuser le roi, plaire à la
cour
, mériter les suffrages de tous les amateurs des A
le duc de Gesvres des ressources dignes de son goût et de celui d’une
cour
éclairée. Outre les chefs-d’œuvre du théâtre fran
ice, eut ordre de faire les préparatifs des plaisirs éclatants, où la
cour
espérait de pouvoir se livrer. Je vais tracer ici
à fournir les agréables points de vue qu’il voulait y ménager pour la
cour
, et pour la curiosité des Français que l’amour na
avaient pour objet l’amusement du Roi, de la famille royale, et de la
cour
, qui devaient être placés dans l’orangerie, et de
la Reine, et la famille royale, dans le salon du milieu, et toute la
cour
, à vingt autres tables différentes, jouiraient du
du roi, aurait commencé son spectacle. Au sortir du grand théâtre, la
cour
aurait suivi le Roi sous tous les portiques : les
leine de galanterie, à toutes les dames et à tous les seigneurs de la
cour
. Le magnifique spectacle de ce séjour, après qu’o
ateurs. Sans autre fête qu’un grand feu d’artifice, ils laissèrent la
cour
et la ville se livrer aux vifs transports de joie
Turgot. Il trouva le secret de donner un bal magnifique qui amusa la
Cour
et Paris toute la nuit, dans le local le moins di
745 avoir hérité du secret de ce magistrat célèbre. Voyez Fêtes de la
Cour
de France. Bal de la ville de Paris, donné dans s
ance. L’architecture noble de la première, qu’on avait placée dans la
cour
, était composée d’arcades et d’une double colonna
ions et des attributs relatifs à l’objet de la fête. Au fond de cette
cour
changée en salle de bal, on avait construit un ma
vation, y compris la pyramide. Madame la Dauphine entra enfin dans la
cour
de l’Hôtel-de-ville destiné pour son palais, pend
palais, pendant le séjour qu’elle ferait à Bordeaux. A l’entrée de la
cour
, était l’élite d’un régiment des troupes bourgeoi
. Le 28 la ville offrit des présents aux dames et aux seigneurs de la
cour
de Madame la Dauphine, et aux principaux officier
t à l’église métropolitaine, accompagnée des dames et seigneurs de sa
cour
, et des principaux officiers de sa maison. Elle e
e à l’opéra ; l’amphithéâtre était réservé pour cette princesse et sa
cour
. On avait fait au milieu de la balustrade, sur la
la porte de l’intérieur. Le 29 Madame la Dauphine, suivie de toute sa
cour
, sortit de l’Hôtel-de-ville en carrosse à huit ch
u premier étage destinés pour recevoir Madame la Dauphine et toute sa
cour
, étaient richement meublés et éclairés par quanti
de Ségur sous maire de Bordeaux. Elle entra ainsi suivie de toute sa
cour
dans la maison navale, dans laquelle étaient l’in
Roi fut sur son balcon, ayant auprès de sa personne une partie de sa
cour
, le reste alla occuper les fenêtres du corps du c
saires à la foule de grands seigneurs et d’officiers qui formaient la
cour
de Sa Majesté ; il y eut pendant tout son séjour
formée près du jardin de l’orangerie. Pour placer le Roi et toute sa
cour
, on avait construit trois galeries découvertes da
et le renverse. Cette chasse, qui divertit beaucoup S. M. et toute la
cour
, dura jusqu’à une heure après midi, que le Roi re
S. M. monta en calèche au bas de la terrasse ; les princes, toute la
cour
, le suivirent à cheval. Le cerf fut chassé pendan
’Orléans avait fait préparer avec magnificence, était établie dans la
cour
intérieure du château ; elle est carrée et bâtie
ssé de grands espaces qui avaient la forme de rues, tout autour de la
cour
, entre les boutiques et le milieu du terrain, qu’
ue par une banquette continue, couverte de velours cramoisi. Toute la
cour
qui renfermait cette foire était couverte de fort
édie italienne, qui remplissait seul une des faces moins larges de la
cour
. Il était ouvert par quatre pilastres peints en m
qui contenait en lettres d’or le nom du marchand le plus connu de la
cour
, par rapport à la marchandise de la boutique. Les
amas, et s’appelait cadet. On se trouvait, en tournant, en face de la
cour
opposée à celle que remplissait le théâtre de la
es. Tel est toujours l’effet des beaux contrastes. Le Roi suivi de sa
cour
, entrant dans ce lieu enchanté, s’arrêta d’abord
urs d’orviétan. On distribua ainsi aux princes et aux seigneurs de la
cour
, des bijoux d’or de toute espèce. Sa Majesté cont
té et la richesse des bijoux qui furent donnés par le sort à toute la
cour
, et à toute la suite qu’elle avait attirée à Vill
marchands, qui étaient si abondamment fournies, qu’après que toute la
cour
fut satisfaite, il s’en trouva encore une assez g
qui mérite à tous égards d’être mieux connue, et qui rappellera à la
cour
de France le souvenir d’une aimable princesse, qu
fée une jolie scène, dont les traits légers amusèrent la Reine et la
cour
. Après ce début, les trois acteurs conduisirent l
belles à la Reine : les autres en offrirent à toutes les dames de la
cour
. Il y avait autour du berceau un grand nombre de
aient en grande querelle. Une symphonie assez longue pour donner à la
cour
le temps de s’approcher, finit lorsqu’on eut fait
qui avaient pour objet le bien qu’on avait à dire d’une si brillante
cour
, fit convenir la flatterie qu’on n’avait que fair
côté, dit : hé ! sandis, je meurs de faim ; on vit donc de l’air à la
cour
des rois de France? A ces deux originaux, en succ
finit d’une manière plaisante cette partie de la fête. La reine et la
cour
arrivèrent dans la grande allée qui sépare le lab
de Clermont, avec toute l’élégance qui lui était naturelle. Toute la
cour
y assista. Les tables, cachées par de riches ride
norait tout ce qui devait l’amuser pendant cette agréable soirée ; la
cour
n’était pas mieux instruite : hors le festin chez
ntion, la conduite, l’exécution de cette fête ingénieuse, et toute la
cour
s’intrigua pour en découvrir l’inventeur. Après b
l était déjà depuis longtemps en possession de la bienveillance de la
cour
, que sa conduite et ses talents lui ont toujours
ipes que je propose plus haut sur leur composition. Voyez Fêtes de la
Cour
. La naissance de Monseigneur le Dauphin fut le su
ambassadeurs et ministres étrangers, et les seigneurs et dames de la
cour
, invités à la fête, furent arrivés à l’hôtel de B
u’Antiochus Roi de Syrie, surnommé Epiphane, donna un jour à toute sa
Cour
un repas superbe, qui fut suivi d’un bal de cérém
donnoit un bal au mariage de sa fille. Quatre jeunes Seigneurs de la
Cour
, après avoir soupé aux Bons-Enfans, s’aviserent d
ont rapporté, au sujet du voyage qu’elle fit à Bayonne, avec toute la
Cour
: ce fait est confirmé par les Mémoires de la Rei
Charles IX. ne consentit qu’à leur persuasion. Quoi qu’il en soit, la
Cour
se trouva très-florissante à Bayonne, par l’arriv
cercle dans le centre du Salon, pour le bal de cérémonie, où toute la
Cour
se distingua par la gravité & la noblesse des
complette, envoya un orage si soudain & si furieux, que toute la
Cour
fut obligée de se séparer en désordre, & que
ner à son retour : le Roi l’accepta, & y fut régalé avec toute la
Cour
, d’une somptuosité surprenante. Le dîné fut suivi
ses derriere ces fauteuils, pour les personnes de considération de la
Cour
& de la Ville ; à droite & à gauche du ce
e personnes les plus distinguées de l’un & de l’autre sexe, de la
Cour
& de la Ville, avec ordre de ne paroître au b
e la Princesse de Conti, qu’ils s’attirerent l’admiration de toute la
Cour
. Comme les Princes & les Princesses du Sang é
reté enchantée. Monsieur, & plusieurs Seigneurs & Dames de la
Cour
vinrent voir cet appareil, pour s’y rafraîchir pe
la danse parut dans tout son lustre. Je ne crois pas que dans quelque
Cour
que ce puisse être, on pût voir un bal de cérémon
n air de la danse grave, comme il se pratiquoit du tems de la vieille
Cour
: à peine a-t-on conservé le Branle, la Courante,
servé le Branle, la Courante, & le Menuet ; les jeunes gens de la
Cour
ayant substitué en la place les contre-danses, da
i n’ont que le caprice pour tout principe. Les jeunes Seigneurs de la
Cour
ont encore établi des bals champêtres, qui se fon
du 7 juillet 166899 Mais, avant que l’on en soit là (Et toute la
Cour
dit cela), La REINE pourra, sans obstacle, Voir l
parler dans les miens Vers, Sinon de tort et de travers. C’est à la
COUR
, et bonne et sage, Sans que j’en dise davantage,
r immortaliser le règne de ce Prince ; et les arts se montrèrent à sa
cour
entourés du brillant cortège des sciences et de l
tit-Bourbon, en présence de Louis quatorze, de la Reine mere et de la
Cour
, la FestaThéatrale del la Finta Pazza. Ce spectac
tint le succès le plus brillant, et fut donné pendant longtems. Si la
cour
fut satisfaite de ce spectacle, le Cardinal Mazar
fit représenter au Château de Vincennes, en présence du Roi et de sa
cour
. Il faut considérer que cet opéra fut joué dans u
ains, naturellement gais et bouffons ; mais il craignit d’offrir à la
cour
des contrastes aussi choquans ; il savoit dailleu
Hercule amoureux. Louis quatorze, les Princes et les seigneurs de sa
cour
y dansèrent ; cet opéra offrit ce que le goût et
ses vertus lui élevèrent ; les menées, les cabales, les intrigues de
cour
, la calomnie, la jalousie et toutes les passions
ang, les Ducs et les Duchesses, enfin ce qu’il y avoit de Grands à la
cour
, figura dans ce spectacle. On avoit réuni à cette
omphe de l’amour fit autant de bruit à Paris qu’il en avoit fait à la
cour
. Le public voulut voir cet opéra. Lully et ses as
de St. Germain. Un auteur de ce temps assure, qu’à l’imitation de la
cour
, on vit pour la première fois des premières danse
seurs habillés en femmes, car la danse alors n’étoit cultivée qu’à la
cour
, et le Roi s’étant déclaré on faveur de cet art,
il exercoit avec succès, il étoit de la politique des personnes de sa
cour
de l’imiter dans ses goûts. Un fait bien simple
on pas étonné de voir dans les fêtes, et les spectacles pompeux de la
cour
, le costume le plus ridicule et le plus barbare,
Chapitre II. Des Fêtes de la
Cour
de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 Le
es Carrousels, ces Fêtes guerrières et magnifiques avaient causé à la
cour
de France en l’année 1559 un événement trop tragi
rien92 contemporain les détails que je vais écrire. [Voir Fêtes de la
Cour
de France] « Le Lundi dix-huit Septembre 1581, l
ces et Seigneurs parents de la Mariée et autres des plus grands de la
cour
, tous les Seigneurs et Dames changèrent d’accoutr
eine, les Princesses, les Princes, et les plus grands Seigneurs de la
cour
. Il commença à dix heures du soir, et ne finit qu
Eadem natura remansit. Il change en vain ; il est le même. Ainsi la
Cour
de France troublée par la mauvaise politique de l
de Lorraine, plusieurs autres Princes étrangers étaient accourus à la
Cour
de France, qui était aussi magnifique que nombreu
ue des douze Berceaux, où étaient les Tables destinées au reste de la
Cour
. Plusieurs Symphonistes distribués derrière les B
mis en place, comme par magie : le Bal de cérémonie commença ; et la
Cour
s’y distingua par la noble gravité des Danses sér
es Fauteuils étaient remplis par des personnes de considération de la
cour
et de la Ville. À droite et à gauche du centre du
a de personnes les plus distinguées de l’un et de l’autre sexe de la
cour
et de la Ville, avec ordre de ne paraître au Bal
e la Princesse de Conti, qu’ils s’attirèrent l’admiration de toute la
cour
. Comme les Princes et les Princesses du Sang étai
e propreté enchantée. Monsieur, et plusieurs Dames et Seigneurs de la
cour
vinrent voir ces appareils et s’y rafraîchir pend
al : on sçut depuis que ce masque n’étoit qu’un simple Officier de la
Cour
; cependant il n’en fut point blâmé, parce que c’
avec un cortege de trois Carossées de Dames & de Seigneurs de la
Cour
; toute la Livrée étoit en surtout gris, pour n’ê
lité, pour faire une action si hardie.2 Tout le cortege entra dans la
cour
, & l’on vit paroître dans le bal une bande de
mme je l’ai rapporté au sujet d’un bal donné par Antiochus à toute sa
Cour
. L’Histoire nous en a conservé quelques autres ex
Gobelins, à l’occasion de la noce d’une Dame de la Reine, où toute la
Cour
étoit. Il y vint une bande de masques vêtus en sa
du Carnaval de 1714. Mais comme depuis la mort de Louis XIV. toute la
Cour
s’est renfermée dans Paris, S.A.R. Monseigneur le
la Danse par une singularité que nous rapporte encore l’Espion de la
Cour
des Princes. Il dit qu’un fameux Peintre nommé He
les mieux concertez En un mot, toutes les beautés Qui, le plus, notre
Cour
, charmèrent Pendant le temps qu’ils les dansèrent
racles. On ne peut, pour trancher court, Se voir ailleurs qu’en nôtre
Cour
. Au reste, Molière, l’unique, Molière, lequel f
ortant que conformément aux Ordonnances, & à l’Arrest donné en la
Cour
des grands jours le 14 Décembre 1665, les danses
Extrait des Registres de Parlement. « Sur ce qui a été remontré à la
Cour
par le Procureur Géneral du Roy, que suivant &
ue suivant & conformément aux Ordonnances, par Arrest donné en la
Cour
des grands jours le 14 Décembre 1665, les danses
& Marchez ès mêmes jours qu’auparavant ; requerant y être par la
Cour
pourvû, & que ce qui avoit été reglé par ledi
mp; que ce qui avoit été reglé par ledit Arrest pour le ressort de la
Cour
des grands Jours, fût exécuté dans tout le ressor
t de la Cour des grands Jours, fût exécuté dans tout le ressort de la
Cour
. Veu ledit Arrest du 14 Décembre 1665, & le P
1665, & le Procès verbal de Maistre Jean Nau Conseiller en ladite
Cour
, Commissaire député ès Provinces de Lyonnois, For
ts, Beaujollois & Mâconnois ; la matiere mise en délibération. LA
COUR
a ordonné & ordonne que ledit Arrest du 14 Dé
aux Prônes des Messes Paroissiales de chacune Eglise du ressort de la
Cour
: Enjoint à tous Curez d’en faire les publication
rocureur Géneral des lieux d’y tenir la main, & d’en certifier la
Cour
dans le mois. Fait en Parlement le 3 Septembre 16
: Mais (à parler ingénument) Le plus grand Divertissement, Tant de la
Cour
, que de la Ville, Et qui, seul, en vaut plus que
s d’attente Pour augmenter le nombre, un jour, Des hautes Dames de la
Cour
: J’ai vu trente Ballets en France, Mais en ceux
ges Reines y furent Environ vers la fin du jour, Avec une assez noble
Cour
, C’est-à-dire Mademoiselle, Sa Soeur d’Alençon av
égé des grands Ballets, et qui me paraît avoir pris naissance à notre
cour
. Il y en a une troisième, qu’on imagina en 1675 q
nait alors au public était reçu avec enthousiasme. C’est surtout à la
Cour
que la Mascarade a été fort en usage. Ce n’était
s rôles dans mes ballets en action. Cette danseuse étonna Paris et la
cour
. Le svelte de ses contours, les charmes de sa fig
e perfections réunies lui obtinrent le plus brillant succès tant à la
cour
qu’à la ville. Je composai pour la Dlle. Guymar
elques années il quitta l’Angleterre pour s’attacher au service de la
cour
de Russie. Ses talens pour la danse et la composi
tion, joints à sa bonne conduite, lui méritèrent les bien faits de la
cour
et l’estime des grands. J’ai à vous parler enco
février 1664 Mercredi, fut le premier jour Où le beau Ballet de la
Cour
, Agréable par excellence, Avec grande magnificenc
s Armes ;) Et Venus avec ses doux charmes À qui tant de cœurs font la
cour
, Ne parla qu’en faveur d’Amour, Chacune dans leur
Parut, illec, dans tout son lustre. La jeune Reine mêmement, De la
Cour
le cher Ornement, De mille grâces assortie, Voulu
rincesse, Qui de Soissons est la Comtesse, Un des beaux Esprits de la
Cour
, Digne d’honneur, digne d’amour, Et (ce qui vaut
Dont beaucoup d’estime je fais, Et que l’on chérit et révère Dans la
Cour
de la Reine Mère, M’y fit entrer, m’y fit placer,
uit Entrées, Qui méritent d’être admirées, Où Princes et Grands de la
Cour
, Et nôtre Roi digne d’amour, En comblant nos cœur
us les États de l’Europe, parce que cet exercice était à la mode à la
Cour
d’Henri IV. Je trouve dans les Mémoires du temps,
t le plus dansé, et qu’ils se sont le mieux battus. [Voir Fêtes de la
Cour
de France] 97. Mém. de Sully. Liv. 1. 98. L’
i, durant le feu Carnaval, Étant, en merveilles, fertile, Divertit la
Cour
et la Ville Fut rechanté, fut redansé, Encor Jeud
dans l’âme, Pour le trépas de feue Madame. Iceux, donc, maintenant en
Cour
, Virent ce Ballet à leur tour : C’est peu de dire
les Branles qui sont, ou qui étoient les danses par où les Bals de la
Cour
se commençoient, comme je l’ai deja dit, Sa Majes
la Courante : il est vrai, qu’il la dansoit mieux que personne de la
Cour
, & qu’il lui donnoit une grace infinie. Mais
de l’Amour 137. Cette nouveauté plut, et en 1681, le Roi et toute sa
Cour
exécutèrent à Saint-Germain le Triomphe de l’Amou
e grand Ballet, qui avait été si longtemps le seul Spectacle de notre
Cour
. Dès lors la Danse reprit parmi nous sur tous nos
nse avaient été formés jusqu’alors par les personnes qualifiées de la
Cour
. L’art ou, pour mieux dire, l’ombre de l’art ne s
’Auteur de ce fameux Ouvrage22 Est un excellent Personnage, Ayant en
Cour
, à ce qu’on dit, Réputation et crédit. Je ne dis
prendrait pour une Déesse, Et qui, dès l’âge de douze ans, Ravissait
Cour
et Courtisans. Deux jeunes Sœurs belles et sage
Autels, Fille de la Reine, Fort aimable, mais inhumaine, Qui tient en
Cour
fort bien son rang, Et qui vient d’un fort noble
re du 5 décembre 1666 À présent la Réjouissance Est grande dans la
COUR
de FRANCE Et l’on en chasse tout à fait Le Chagri
A lvy mesme. La
cour
se va mouuent aux regles de ta danse, L’Amour d
, lettre du 31 juillet 1661 Ce fut le soir de ce Jour-là Qu’icelle
Cour
on régala De plusieurs splendeurs nonpareilles Et
llec, représentée Par Madame, alors, escortée De dix des Belles de la
Cour
, Qui sont autant d’Astres d’amour. Si tôt que l
t lieu et comme le ballet était un des divertissements préférés de la
cour
, il n’est pas impossible que le roi fut en représ
’Ouïe, & la Vue, Préparé pour la Bien-venue De Madame, dans nôtre
Cour
, Y fut dansé, le dernier jour, Avec une Pompe écl
berceau, s’élevait rapidement dans ses mains jusqu’au sublime ; notre
Cour
cependant, au milieu de ses triomphes et sous le
s goût, avait imaginé et conduit le plus grand nombre des Fêtes de la
Cour
de Louis XIII. Les Français qui avaient du génie
s plus magnifiques et les plus galantes qu’on ait jamais données à la
Cour
d’Angleterre, aient été l’ouvrage des Français. L
Robinet, lettre du 1er novembre 1670 Cependant, notre belle
Cour
, De Chambord, vers nous, de retour, Se prépare à
0 janvier 1667 On se divertit chaque jour Aussi des mieux en notre
COUR
. MARDI, dans le charmant VERSAILLES, L’on fut e
ROYALES ALTESSES, Après toutes ces allégresses, Allèrent rejoindre la
COUR
, Des plus doux Plaisirs le Séjour. Le grand BALLE
Robinet, lettre du 31 août 1669 Notre belle et riante
COUR
Des mieux se grandit chaque jour, Et maintenant e
oute la magnificence, Et dans son Hôtel, en ce jour A régalé toute la
Cour
. Dans une grande et belle Salle, On vit par la Tr
n contemple Comme un parfait et rare exemple, Aux yeux de toute notre
Cour
, Au Château neuf fut l’autre jour, Avec encor Mad
is Composé par Mr. Angiolini Maître des Ballets du Théâtre près de la
Cour
à Vienne, et représenté pour la première fois sur
Robinet, lettre du 15 février 1670 Le Divertissement Royal Dont la
Cour
fait son Carnaval, Est un Ballet en Comédie, Je n
Joyeuse avec Mademoiselle de Vaudémont sœur de cette Reine ; toute la
Cour
, hommes & femmes, danserent dans les Entrées.
invention de tous les Balets, où le Roi dansa au Louvre avec toute sa
Cour
. Ce Duc étoit fort sujet à la goutte ; & comm
s de la France, dans lequel le Roi devoit danser masqué avec toute sa
Cour
; mais comme depuis long-tems on n’avoit point vû
ge du Roi en 1659, il dansa avec tous les Seigneurs & Dames de la
Cour
, au Balet des Amours d’Hercule : le Cardinal Maza
ore masqué dans les trois Entrés, avec les principaux Seigneurs de sa
Cour
, & les plus fameux Maîtres à danser. Ce Monar
mariage du Lys & de l’Impériale. L’Arc-en-ciel fils du Soleil. La
Cour
du Soleil. La Curiosité. Le Palais d’Alcide. Les
de Paris, & les Petites-Maisons : tels Balets furent dansez à la
Cour
de Louis XIII. pendant le Carnaval. Mais depuis l
sé de fort beaux, à l’imitation des Italiens : ce qui donna lieu à la
Cour
de France de danser dans quelques-uns, ce qu’on n
e trouva si beau, que Louis XIV. y dansa masqué avec une partie de sa
Cour
en 1654, en faveur de la prospérité des armes de
es Princes & les Princesses, avec les plus grands Seigneurs de la
Cour
, étoient de ces Entrées. Comme le Roi en avoit fa
raste à ce grand spectacle, rapporter ici le Balet qui fut dansé à la
Cour
de Savoie en 1653, dont le sujet étoit le gris de
rituelle81, Que l’excellente d’EUDICOURT, L’un des beaux Astres de la
Cour
, Dedans ce Ballet escarpine82 D’une manière très
ès ce plaisir aimable Qu’on ne peut rien voir de semblable, Et que la
Cour
du Grand LOUIS Sur toute autre emporte le prix, S
Dans la belle Maison de Vaux, Divertit si bien notre Sire, Et fit la
Cour
tellement rire, Qu’avec les mêmes beaux apprêts,
, Un COURRIER MASQUÉ, l’autre jour, En avait rapporté les Articles en
Cour
. Le parti m’en semble sortable ; Mais ce Courrier
, ledit Sire, De qui si charmant est l’Emire, Fait, encor, avecque sa
Cour
, À Fontainebleau, son Séjour ; Et, de ses grands
ince et une Princesse qui réunissoient tant de vertus ; il vient à la
cour
d’Admète ; Hercule voulant vérifier les éloges qu
; d’autres vaisseaux de la flotte paroîssent dans l’éloignement. La
cour
que précèdent un brillant cortège, des lutteurs e
n bosquet des jardins d’Admète. Admète est entouré des Dames de la
Cour
; elles s’empressent par leurs jeux de dissiper l
eur gratitude. L’Amour a appelé les Jeux, les Ris, les Plaisirs et la
Cour
enjouée de Vénus : ils arrivent et s’empressent d
rette, Mais sur des sièges de moquette, Près de certains Messieurs de
Cour
, Qui pour nos Vers ont quelque amour. 7. Mrs V
16 janvier 1666 Sa MAJESTÉ, le même jour, Presque avecque toute la
Cour
, Fut voir, sans mouiller la semelle, Comment JUPI
Robinet, lettre du 11 janvier 1670129 Toujours la
Cour
, nombreuse et gaie, Gîte en son Saint Germain en
te, encore, pour la fin, Qu'à Versaille137, et qu’à Saint Germain, La
Cour
s’est, des mieux, divertie, Ma Muse étant bien av
Dames Dignes de respect et d’amour, Et maints grands Seigneurs de la
Cour
, Seigneurs de très rare mérite, Furent voir la Pi
s Touchaient d’aimables chansonnettes, Et force Gens de qualité De la
Cour
et de la Cité, Mardi dernier, là se trouvèrent, E
Robinet, lettre du 27 février 1667 Notre
COUR
éclatante et gaie, Ayant à SAINT GERMAIN en LAYE
Loret, lettre du 10 juillet 1661 […] Dans cette Noble
Cour
de France, Abondance en réjouissance, On prépare
, Où, des mieux, chacun réussit, Après ce plaisir de Théâtre, Dont la
Cour
fut presque idolâtre,…
ette noble Éminence. Ces deux Filles qui par leurs voix Ont charmé la
Cour
tant de fois, Savoir Mademoiselle Hilaire, Qui ne
, Où l’on voit d’excellent Danseurs, Divertit toujours à merveille La
COUR
des Cours la nonpareille, Et, parmi les OBJETS po
grands seigneurs de Rome : ils étaient compagnie chez les Dames de la
Cour
de Tibère, de Caligula, de Néron ; les Bourgeoise
utres. À mesure que l’art baisse, le goût s’altère. Les Romains de la
Cour
d’Auguste, sans rien perdre de leur dignité, avai
mille et à ses amis, m’a assuré qu’indépendemment des bienfaits de la
cour
, les concerts des années 1793 et 1794 avoient pro
ondres. Les fortunes y sont par conséquent moins multipliées. Mais la
Cour
, la noblesse et une foule de personnes aisées, co
voisine de la Nue, Afin d’établir leur Séjour En son aimable et belle
COUR
. La DÉESSE de la MÉMOIRE,60 Qui de l’OUBLI sau
moureuse Flamme. ERATON, à qui sur l’AMOUR D’ordinaire l’on fait la
Cour
, Est aussi très bien recréée Par six DANSEURS pou
Robinet, lettre du 23 janvier 1667 La
COUR
, à SAINT GERMAIN en LAYE, Où se rencontre mainte
qu’on admire, Fit aussi merveille à son tour, Donnant Bal à toute la
COUR
, Et ce charmant PORTE-COURONNE, Que toute la Gloi
une nombreuse Suite De Musiciens, tous d’Elite, À ravir, divertit la
Cour
, Par un gai Ballet, à son tour. Il consistait en
usqu’à D’Assouci, tout trouva des lecteurs. Mais de ce style enfin la
Cour
désabusée Dédaigna de ces vers l’extravagance ais
15 ; Et L… en Lapon eut ses approbateurs16. Mais de ce genre enfin la
cour
désabusée Dédaigna de ces pas l’extravagance aisé
ême, Dans ces ballets brillans que la France admirait7, Entouré de sa
cour
, lui-même il figurait. On a vu ce hérosLouis xiv.
es pensions de Louis xiv. Je fus long-temps attaché aux ballets de la
Cour
; j’y composais des fêtes et des petites pièces :
le plus étonnant qu’on ait vu dans ce genre : on voulut le voir à la
Cour
. Il alla à Fontainebleau ; il étonna, et bientôt
nse avaient été formés jusqu’alors par les personnes de qualité de la
Cour
; l’art, ou pour mieux dire, l’ombre de l’art, ne
e Bacchus. Ses Danses étaient des fragmens de différens ballets de la
Cour
. Ce qu’il y eut de singulier dans son ballet, don
en 1671 : mort en 1705. Il dansait avec le Roi dans les ballets de la
Cour
. La critique qu’en fait La Bruyère dans ses Carac
maître à danser des Enfans de France, et de maître des ballets de la
Cour
. Son fils Michel-Jean Bandiéry-Laval, outre ces d
ge avec Vestris père. Il a été maître des ballets de l’Opéra et de la
Cour
. On lui doit beaucoup de ballets charmans, et des
t un des meilleurs violons de l’Europe. Il se rendit si illustre à la
Cour
, par ses inventions de ballets, de musique, de fê
ance, tome 3, p. 30. – Histoire de l’Opéra, page 13. Un poète de la
Cour
de Henri iii fit ces vers à sa louange. Beaujoy
rille. Gardel l’aîné plaça cette Danse dans le ballet de Ninette à la
Cour
en 1780 : elle eut le plus grand succès. 4. S
des amusemens favoris de Henri iv. On trouve dans les Mémoires de la
Cour
de ce temps, qu’on y exécuta, depuis 1589 jusqu’e
s, exécuté au Louvre en 1656. Copie d’une liste des Danseurs de la
Cour
de France, dont j’ai le manuscrit original entre
itulé ainsi : État des Sujets de la Danse employés aux fêtes de la
Cour
à Fontainebleau, en l’année 1664. Le roi Louis
Larivière. Allaix. Magny. Louis xiv. 8. Tous les ballets à la
Cour
de Louis xiv s’exécutaient sous le masque. Il y a
, Gaëtan Vestris, ayant été engagé par les principaux seigneurs de la
Cour
à remettre le masque, le public trouva aussi ridi
exerçaient cet art pour leur amusement, et qu’on ne connaissait à la
Cour
aucun autre spectacle que les grands ballets, les
rinces, princesses, seigneurs et quelques personnes de la suite de la
Cour
, les tournois étant fort rares, depuis l’accident
e des gens de qualité…. Ce qui fait que nous en voyons peu dans notre
Cour
et suite, capables et en état d’entrer dans nos b
’aîné pour le divertissement d’une pièce que j’avais composée pour la
Cour
en 1785. Elle est remplie de graces, quand elle e
sorte de gaucherie comme dans la Chercheuse d’esprit, ou Ninette à la
Cour
, elle rappelait les deux vers par lesquels Ovide
a composition de M. Noverre, donné pour la première fois en 1762 à la
Cour
de Wirtemberg, et à Paris en 1780, fut un des pre
rniers jours, et me fait regretter de ne voir qu’en perspective cette
Cour
brillante, où l’on rencontre la science parée de
nts qui aient été représentés en Europe. On donna le second à la même
cour
en 1634, pour la naissance du cardinal de Savoie.
rains eux-mêmes, les seigneurs et les dames les plus aimables de leur
cour
; et souvent à tout ce qu’on vient d’expliquer, l
représenté une très grande quantité de ballets de ce genre : mais la
cour
de Savoie semble l’avoir emporté dans ces grands
rs pendant sa jeunesse, dans lesquels il dansa lui-même avec toute sa
cour
. Les plus célèbres sont le Ballet des Prospérités
tie, livre III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la
Cour
de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1
1661 ; des Amours déguisés, en 1664, etc. Les ballets de l’ancienne
cour
furent pour la plupart imaginés par Benserade. Il
et de l’Amour, cette nouveauté plût ; et en 1681, le Roi et toute sa
cour
exécutèrent à Saint-Germain le Triomphe de l’Amou
s’ils en ont une différente. Le Roi Louis XV a dansé lui-même avec sa
cour
, dans les ballets de ce nouveau genre, qui furent
outrance me semblent tenir à l’atmosphère même des grands théâtres de
Cour
. Mlle Vronska a exécuté ses trois entrées consécu
c ses drôles d’incidents, Eut-il la mort entre les dents. Un Homme de
Cour
que j’estime, Et qui fut, jadis, mon intime, M’av
ue n’eût jamais ROI des LYS, Alla dans son charmant Versailles, Où la
Cour
rit et fit gogailles. On s’y promena dans le Pa
s que celles de Perruzzi. A cette époque, on faisait des ballets à la
cour
de France ; on y mettait des récits et des dialog
chambre du roi et de la reine sa mère ; il se rendit si illustre à la
cour
par ses inventions de ballets, de musique, de fes
décorateurs s’associèrent pour contribuer ensemble aux plaisirs de la
cour
; le roi Henri III les récompensa très-libéraleme
le roi Louis XIV dans sa jeunesse, on représentait assez souvent à la
cour
des ballets accompagnés de déclamation et de symp
71, vingt-six ans après le premier opéra italien représenté devant la
cour
, on joua devant le public le premier opéra frança
énétra dans la nouvelle association. Lulli, qui florissait alors à la
cour
, mit à profit cette disposition des esprits ; il
e de Conti, et autres princes et princesses, seigneurs et dames de la
cour
. Cette réunion de personnes des deux sexes sur la
te, pendant plus de vingt-cinq ans, en possession des suffrages de la
cour
et de la ville ; elle fut remplacée par la demois
œil-de-bœuf de publique dépravation, était tellement fréquenté par la
cour
et si peu habitué à la bourgeoisie, que la comtes
e que datent, pour les machinistes des coulisses, les désignations de
cour
et de jardin, au lieu de côté gauche et côté droi
auche et côté droit : elles sont tirées de sa situation même entre la
cour
et le jardin. Pendant son séjour aux Tuileries, o
a révolution avait pénétré dans l’Opéra. La Nation en avait chassé la
cour
. Le théâtre exerçait sur les mœurs une influence
fenêtres. » Notre première scène lyrique était donc réinstallée à la
Cour
: elle en profita pour faire revivre ses droits d
e fut pas grande ; il était même en ce temps-là d’assez bon goût à la
Cour
de mal parler de l’Opéra. Les artistes en étaient
ims, avait inutilement employé les poètes et les musiciens suivant la
Cour
; cet appareil n’avait, dans la population parisi
rti. Une main habile devait mettre à profit les événemens de 1830. La
Cour
, avec ses habitudes exclusives et ses allures exc
, comme des gens qui veulent être entendus. On y sait les faits de la
Cour
, ceux de la ville et ceux de l’Europe. Il n’est p
n grand ; le moyen qu’il se pliât à tous les petits soins qu’exige la
Cour
. Tout ce qui sentait la bassesse, lui paraissait
y avait pour lors de grands Seigneurs, mal élevés et sans mœurs, à la
Cour
d’Auguste. Dans les intervalles que laissaient à
e, Pour mieux faire éclater la Scène. Les plus grands Seigneurs de la
Cour
, Avec les Dames, tour à tour, Dans le petit Parc
onseigneur, qu’on vous a vû dès vos premieres années charmer toute la
Cour
, & faire honte à nos plus habiles Maîtres.
Car on m’a confirmé cela) Des Masques, environ deux mille, Tant de la
Cour
, que de la Ville, (Et peu d’entre eux sans diaman
et toujours il me salua très respectueusement. De ma fenêtre, dans la
cour
d’un grand hôtel de Londres, j’ai même assisté à
en avait jamais vu — donné par ce même gentleman. Caruso chantait. La
cour
de l’hôtel avait été transformée en lac et l’amph
e, les menuets simples et figurés, le Menuet dauphin, le Menuet de la
cour
, les passepieds simples et figurés, le Passepied
u, l’entrée Ne fut point par moi pénétrée ; Dès la première, ou basse
Cour
, Un Suisse m’arrêta tout court, Humble, je fis le
ées de ces temps sur la demi-pointe qui font le charme de la danse de
cour
, ces entrées plurent infiniment. Mes préférences
eux de deux Marquis, Qui la chantèrent les Récits, Si ce n’est que la
COUR
de FRANCE Est la seule, comme je pense, Où Gens t
J’y ai vu ma bonne grand-mère et les frères de… J’y ai été reçue à la
cour
et Leurs Majestés m’ont fait de beaux cadeaux, ce
ps-là est passé pour la Russie. Elle a pourtant chanté deux fois à la
Cour
; on lui trouva une grande perfection, mais pas d
éussi dans l’École des Vieillards et ce jour-là elle jouait devant la
cour
. Sa partie a donc été perdue et elle se trouve da
dans un menuet ! On le demandoit de tous les côtés. Les femmes de la
cour
, et celles des riches financiers ambitionnoient d
pportoit une somme considérable, les révérences de présentations à la
cour
, ou des menuets dansés dans les grands bals parés
L’histoire de la Traine, ou des longues queües adaptées aux habits de
cour
devinrent un costume très gênant ; en se tournant
r a Paris un menuet dans les jeunes mariés, et le danser ensuite à la
cour
. Monnet disposoit à son gré du maître à la mode d
e en Action La Danse noble, la belle Danse se perd, disait-on à la
Cour
, et à la Ville, lors même que nous avions, au Thé
DIADÈMES Composaient vraiment Elles-mêmes, Avecque plusieurs de leur
Cour
, Tant en riche que simple Atour. Le ROI, comme
La Princesse me mandait auprès d’elle. On appelle cela un « ordre de
Cour
», mais pour moi l’ordre vint sous la forme d’une
en limitant toutefois ses invitations strictement aux personnes de la
Cour
. Quand je vis la foule que cela représentait tout
le désirait, donner une ou deux danses lumineuses. Le pianiste de la
Cour
m’avait, entre temps, initiée à quelques chants d
eunesse, Brianza le « diablotin brun » qui ensorcela à Petrograd « la
cour
et la ville », il y a de cela quelque trente ans,
es, Le Divertissement Royal Fut, encor, le digne Régal De notre belle
Cour
Française : Et j’ay su de Gens plus de seize, Que
rte. Cette société étoit composée des hommes les plus instruits de la
cour
, des savans, des gens de lettres et des artistes.
de la plus grande considération, et c’est une vérité. Il alloit à la
cour
, et leurs Majestés se faisoient un plaisir de le
ui étoient employés dans le ministère, où qui avoient des places à la
cour
, qui exigeoient leur présence, avoient leur maiso
n : mais l’Amour a disparu ; le jour baisse ; et ce dieu ordonne à la
cour
brillante de Psyché de s’éloigner. Psyché cherche
s Jeux, les Plaisirs et les Nymphes de la suite de Vénus composent la
cour
élégante de cette divinité. Vénus et Adonis qui n
a coupe nuptiale. Vénus, Adonis, l’Hymen, l’Amour, Psyché et toute la
cour
de Vénus se livrent à des danses vives et légères
et Proserpine sont assis sur leur trône ; les Juges des Enfers et la
cour
infernale l’environnent. Scène I. L’Amour a
t qu’il sera dans son empire. Orphée exprime sa reconnoissance, et la
cour
du Dieu des Enfers se livre à des danses que les
nseigneur le Marquis de Buckingham, donnant par là subject à toute la
Cour
, (qui cognoist la fourbe) de s’entretenir pour vn
eut de lui, dire en passant, Qu’il fit presque pâmer de rire Toute la
Cour
de notre Sire. Si les Danseurs firent des mieux
Laquelle avait les Ris en croupe, Fit là le Début des Ébats De notre
COUR
pleine d’Appas, Par un Sujet Archi-comique, Auque
ue des « deux décimes », le plus dispendieux au monde des théâtres de
cour
, le met au-dessus des reproches. Son attitude env
ademoiselle de Nantes, — avaient seules figuré dans les ballets de la
cour
: Mademoiselle Lafontaine dont le début, l
ienne, qu’elle les gardait souvent après le spectacle. Elle tenait sa
cour
chez elle comme au théâtre ; ses domestiques la s
evoir sa jambe au-dessus du genou. » De là, préoccupation extrême. La
cour
et la ville se renvoyaient cette question : — Cam
mais elle s’en échappait une fois par semaine pour aller danser à la
cour
. Elle épousa plus tard Gaëtan Vestris et vécut ju
le avait trois soupers par semaine : l’un composé des seigneurs de la
cour
; l’autre d’acteurs, d’artistes et de savants ; e
▲