Chapitre troisième. Étude du
corps
[1] Il faut que le corps soit toujours droit, e
Chapitre troisième. Étude du corps [1] Il faut que le
corps
soit toujours droit, et d’aplomb sur les jambes,
ant, se complaire lui-même dans son maintien, dans la tournure de son
corps
, dans l’heureux développement de ses membres, et
rendra à faire briller en lui tous ces avantages. [3] Un beau-haut du
corps
est une des parties essentielles qui constitue le
ne agréable harmonie40. [5] Dans l’exécution des pas, il faut que le
corps
soit tranquille, inébranlable, ferme, sans roideu
des jambes et des bras. Celui qui pendant sa danse ferait mouvoir le
corps
par secousses, qui hausserait ses épaules par le
que lui siérait mieux que celui de danseur41. [6] Simple position du
corps
, fig. i, planc. I. Épaulement, opposition du cor
imple position du corps, fig. i, planc. I. Épaulement, opposition du
corps
, fig. 3 et 4, planc. I. Positions du corps dans
Épaulement, opposition du corps, fig. 3 et 4, planc. I. Positions du
corps
dans les poses, et dans les différentes attitudes
s différentes attitudes, planc. V, VI, VII, VIII et IX. Positions du
corps
dans les arabesques, planc. X, XI et XII. N.-B.
les arabesques, planc. X, XI et XII. N.-B. Dans les arabesques, le
corps
s’éloigne de la perpendiculaire, et doit se pench
riment un défaut désagréable dans la ceinture ; que l’affaissement du
corps
ôte aux parties inférieures la liberté dont elles
a liberté dont elles ont besoin pour se mouvoir avec aisance ; que le
corps
dans cette situation est comme indéterminé dans s
s, les peintres, les antiquaires donnent à cette partie supérieure du
corps
le nom de Torse ; mais nous sommes obligés ici de
as en avant ni en arriere ; mais sa proprieté est de faire tourner le
corps
sur un pied ou sur les deux, comme sur un pivot,
iere à la troisiéme ou cinquiéme position de derriere qu’il étoit, le
corps
en se tournant le fait changer de situation sans
le pied qui est derriere revient devant, lorsque vous vous élevez le
corps
se tournant un quart, ou un demi tour, il oblige
ez tourné le quart ou demi tour, il faut poser le talon du pied où le
corps
est posé : afin d’être plus ferme pour en reprend
e le faire dans toute sa propreté. Premierement, à ce Piroüetté où le
corps
n’est posé que sur un seul pied, le plié doit est
posé que sur un seul pied, le plié doit estre pris très-doucement le
corps
entierement posé sur la jambe qui plie, parce que
a pointe qui pose à terre, & qui sert pour ainsi dire de guide au
corps
pour se tourner autant qu’il le doit être, &
: par exemple, le pied droit étant devant à la quatriéme position, le
corps
posé sur les deux jambes vous pliez tous les deux
tous les deux genoux, & vous vous élevez également en tournant le
corps
un quart de tour du côté gauche, au contraire lor
sition, car il se prend également de l’une comme de l’autre, & le
corps
posé sur un seul pied, la pointe de l’autre à ter
les deux genoux, & vous vous relevez en sautant sur le pied où le
corps
est posé ; mais en sautant le pied qui ne posoit
utant le pied qui ne posoit qu’à demi, la jambe s’étend en suivant le
corps
dans le tour qu’il fait, soit à droit ou à gauche
par exemple, vous voulez faire un pas tombé du pied droit ; ayant le
corps
posé sur le pied gauche, & les jambes écartée
vous élevant sur le pied gauche, la jambe droite suit ; parce que le
corps
se penchant sur le côté gauche, il attire la jamb
vemens à propos, c’est par la force du coup de pied & la pente du
corps
qui attire les jambes & les genoux se plient
erriere de se poser à terre & son genou se pliant par le poids du
corps
qui se pose dessus, en se relevant cela fait comm
t pressé cherche à s’étendre, ainsi le genou en s’étendant rejette le
corps
sur le pied gauche, ce qui termine l’étenduë de c
avant, ayant le pied gauche devant à la quatriéme position, & le
corps
posé dessus le talon du pied droit levé ; ce qui
nt, se porte à la quatriéme position en avant, & laissez poser le
corps
dessus en vous élevant du même tems, ce qui attir
; mais à peine la touche-t’elle que le pied se pose à terre, & le
corps
se posant dessus & fait plier le genou gauche
s se posant dessus & fait plier le genou gauche par le fardeau du
corps
, ce qui oblige la jambe droite de se lever ; mais
moment le genou gauche qui est plié, en voulant s’étendre renvoye le
corps
sur la jambe, qui se pose à terre en faisant un s
s laissant tomber sur le pied droit la jambe gauche se leve, & le
corps
étant dans son équilibre entierement posé sur le
mais il se fait differemment de celui en avant. Par exemple, ayant le
corps
posé sur le pied gauche vous pliez, & vous él
che à la premiere position, en tombant sur les deux pointes ; mais le
corps
posé sur le gauche, parce que du même tems vous p
, où il fait un bon effet, & même il procure beaucoup de grace au
corps
par ses mouvemens doux & temperez, qu’il faut
le faire du pied droit ; ainsi ayant le pied gauche devant, & le
corps
posé dessus, & le pied droit derriere à la qu
glissez le pied droit devant jusqu’à la quatriéme position, & le
corps
se porte dessus entierement, mais à mesure que le
he se détend & son talon se leve, ce qui renvoye avec facilité le
corps
sur le pied droit, & du même tems vous vous é
pied à terre, ce qui termine votre tems de Courante ou pas grave, le
corps
étant dans son repos par le pied qui pose entiere
rt bon effet, ils m’ont paru plus difficiles, d’autant que lorsque le
corps
se pose sur un pied, la jambe de derriere suit, &
mme vous passez le pied à plein, & que le talon porte à terre, le
corps
se pose facilement sur ce pied, & vous vous é
sez le pied droit à coté à la deuxiéme position, & vous portez le
corps
dessus, ce qui termine votre pas ; mais si vous v
; mais si vous voulez faire ce pas de l’autre pied, il faut poser le
corps
sur le pied gauche, & votre pas de Bourée fin
e, en glissant le pied gauche à côté à la deuxiéme position, & le
corps
se pose dessus en vous élevant sur la pointe du p
& le talon se pose dans le même tems, ce qui termine ce pas : le
corps
étant dans son à plomb, ainsi de cette situation
gage de vous en donner une claire intelligence. Par exemple, ayant le
corps
posé sur le pied gauche, à la quatriéme position,
agrément tout des plus gracieux : car ce pas étant pris à propos, le
corps
restant dans son repos, dans une situation avanta
erence en avant veue de Face Je commencerai par celle en avant : le
corps
droit, glissez le pied devant vous, soit le droit
ar ces deux Figures qui expriment dans leurs attitudes la droiture du
corps
, desquelles le pied est passé devant, afin de vou
quelles le pied est passé devant, afin de vous faire remarquer que le
corps
ne se doit incliner ou plier qu’après que vous au
lier qu’après que vous aurez commencé de passer le pied, parce que le
corps
suit la jambe, & qu’elle se doit faire de sui
c que vous devez passer le pied doucement devant vous, en laissant le
corps
posé sur le pied de derriere, duquel son genouil
e derriere, duquel son genouil est obligé de se plier par le poids du
corps
: au lieu que la jambe qui est devant doit être f
a jambe qui est devant doit être fort étenduë : mais l’inclination du
corps
se fait de suite plus ou moins profonde selon la
ue cela feroit lever la hanche, & de plus vous feroit paroître le
corps
de travers, au lieu qu’étant comme je vous le dém
que vous vous êtes plié : & en vous redressant, laissez poser le
corps
sur le pied de devant, ce qui donne la liberté à
ant, elle se fait comme celle en avant, excepté qu’il faut effacer le
corps
en passant devant les personnes que vous saluez.
pect. Autre remarque très-necessaire, c’est que lorsque vous pliez le
corps
, de ne pas incliner si fort la tête que l’on ne p
er du vulgaire. Je suppose que l’on ait le chapeau à la main & le
corps
placé à la 4e Position, ainsi que cette Figure le
lacé à la 4e Position, ainsi que cette Figure le represente, ayant le
corps
posé sur le pied gauche 1. & par consequent l
pose le talon premier en faisant ce pas, ce qui donne la facilité au
corps
de se poser dessus. Puis l’on s’incline tel que c
te qui est à la seconde Position. 36. Deuxieme Figure Inclinée Le
corps
donc posé sur le pied droit 3. & le gauche 4.
us relevant à mesure que vous tirez le pied derriere, ce qui remet le
corps
dans son à plomb, & qui fait l’étenduë de vot
point coupée, & celle en arriere, vous marquez d’abord le pli du
corps
& l’inclination de tête avant de tirer le pie
tiré derriere ayant fini l’étenduë de son pas, vous laissez poser le
corps
dessus, & de-là vous portez le pied de devant
’on est parvenu à faire l’aplomb le mieux conservé, et à maintenir le
corps
dans l’équilibre le plus parfait. L’on devrait pe
uplesse, le moelleux des jambes, et la tranquillité que doit avoir le
corps
, pour conserver un parfait équilibre. Les jarreté
-les avec aplomb et assurance ; que le dessin de la position de votre
corps
, de vos bras, de vos jambes soit correct, et pron
r dans une position quelconque, sans jamais ébranler aucune partie du
corps
. 60. « La plante du pied est la vraie base sur
ur courrait risque de perdre son ouvrage s’il ne l’étayait que sur un
corps
rond et mouvant ; la chute de la statue serait in
r le sol, augmentant l’espace de son appui, affermit et maintient son
corps
dans l’équilibre juste et convenable ; s’il négli
760, p. 328-329.] 61. Voyez la planc. VII, fig. 3. Il faut que le
corps
soit bien assuré sur ses jambes dans cette positi
ion et que les bras soient prêts à donner le mouvement et la force au
corps
pour le faire tourner, et qu’en même temps il pre
vent de balancier pour conserver l’équilibre de toutes les parties du
corps
qui se trouvent appuyées sur une seule jambe, et
et celles qui facilitent la préparation de la pirouette, parce que le
corps
se trouve droit, et qu’il est déjà en aplomb sur
’arabesque à dos tourné, que représente la fig. 3 de la planc. XI. Le
corps
doit alors être bien allongé et bien penché, et l
ner le mouvement. Cette pirouette a quelque chose qui étonne ; car le
corps
du danseur est si penché, que l’on dirait qu’à ch
ue chose d’incompréhensible qui le soutient, parce que la position du
corps
, des bras, de la jambe qui est en l’air, et la vi
sira pas, et elle ne pourra même produire aucun effet. Il faut que le
corps
soit très penché en avant, et que le bras droit s
mouvement elle doit accompagner le contour arrondi de la position du
corps
. Afin de rendre cette attitude encore plus gracie
outes sortes d’attitudes et d’arabesques, pourvu que le dessin de son
corps
, de ses bras et de ses jambes soit gracieux et fa
soit gracieux et facile, et que le mouvement de toutes les parties du
corps
soit naturel, et dénué d’une pénible et désagréab
récautions que celles que j’ay dit pour l’ôter de la main droite ; le
corps
étant posé sur le pied gauche 1. le pied droit de
nce ; l’homme ayant porté son pied à la deuxiéme position, il pose le
corps
dessus, & se plie du même tems pour faire sa
p; pour en faire sentir tous les tems, je vais vous les détailler. Le
corps
étant entierement posé sur le droit, 10. le gauch
iere la droite un peu plus que la troisiéme position, ce qui remet le
corps
dans son à plomb. Mais en vous relevant le corps
ion, ce qui remet le corps dans son à plomb. Mais en vous relevant le
corps
se pose sur le pied gauche ; & vous quittez l
ant un peu plus que la cinquiéme position ; mais en faisant ce pas le
corps
se porte differemment des autres pas ordinaires,
ied droit le genoüil gauche se plie, qui renvoye par son mouvement le
corps
sur le pied droit, & l’on tourne un demi tour
le menuet que vous devez danser, il faut en vous relevant laisser le
corps
sur le pied gauche, afin de partir du pied droit
finissant de tirer le pied droit derriere, on doit y laisser poser le
corps
dessus afin de glisser du même tems le gauche dev
qué cy-devant ; & la premiere reverence finie, il faut laisser le
corps
posé sur le pied droit, & glisser le gauche d
oit & plier doucement, & se relever de même, & laisser le
corps
poser sur le pied gauche afin de partir du droit
CHAPITRE I. De la maniere de se poser le
corps
. Tout dépend pour bien apprendre, du bon comme
ns pas de danse : & comme il est essentiel de sçavoir se poser le
corps
dans une situation gracieuse, c’est ce qui est ex
(ce qui fait paroître la poitrine large & donne plus de grace au
corps
,) les bras pendans à côté de soi, les mains ni ou
ure l’expression possible, afin qu’en la voïant on puisse se poser le
corps
tel qu’il doit être. 3. De la Position du Corps
puisse se poser le corps tel qu’il doit être. 3. De la Position du
Corps
Je lui ai donné une attitude prêt à marcher, c’
rêt à partir, soit pour faire un pas en avant ou à côté, parce que le
corps
étant posé sur le gauche, par ce moïen le droit d
roit, il faut avoir le gauche devant à la quatriéme position & le
corps
posé dessus, ainsi qu’il est représenté par cette
dessus, ainsi qu’il est représenté par cette premiere Figure qui a le
corps
posé en avant dessus, le droit prêt à partir, pui
sition, & vous pliez également les deux genoux, ayant toujours le
corps
posé sur le pied gauche, de même qu’il est repres
e deuxiéme Figure, qui a les deux pieds l’un près de l’autre, mais le
corps
posé sur le gauche 1. le droit en l’air 2. sans q
te troisiéme Figure le démontre, & dans le même temps apporter le
corps
dessus en vous élevant dessus la pointe du pied d
Quatrieme Representant l’equilibre Et dans le même tems apporter le
corps
sur le pied droit en vous élevant sur la pointe d
e Figure, ce que l’on peut appeller pour lors équilibre, parce que le
corps
n’est supporté que d’un seul pied. Mais en vous é
ient les genoux également, & qu’elles tiennent la tête droite, le
corps
ferme & les bras bien placez, comme cette Fig
le pied devant jusqu’à la quatriéme Position, & laisser poser le
corps
sur les deux jambes, puis plier doucement les gen
lier doucement les genoux sans plier de la ceinture : au contraire le
corps
doit être fort droit sans chanceler, ce qui arriv
z & vous relevez très-doucement, en observant de laisser poser le
corps
sur le pied qui a passé devant, afin de marcher d
it, soit le gauche ; on fait un pas à côté à la deuxiéme Position, le
corps
se porte sur ce pied, & l’on tire l’autre tou
ez. Mais si vous devez en faire une seconde, il faut laisser poser le
corps
sur le pied que vous avez tiré, & vous portez
garde de tirer le pied & de plier en même tems, ce qui dérange le
corps
de son à plomb & fait chanceler. J’ai dit aus
Chapitre II. De la maniere de bien marcher. Le
corps
étant posé comme il est representé ci-devant, il
pied gauche devant, comme la Figure l’a démontré, il faut appuyer le
corps
dessus & du même tems le genouil droit se pli
genouil droit se plie & le talon se leve par le mouvement que le
corps
fait en se posant dessus la jambe gauche, & p
mais il faut poser le talon avant la pointe ; ce qui fait avancer le
corps
sur le pied que vous posez, au lieu que si vous p
au lieu que si vous posiez la pointe la premiere elle rejetteroit le
corps
en arriere, & vous fatigueroit infiniment. Le
oir la tête droite & la ceinture ferme, c’est que par ce moyen le
corps
se maintiendra dans une situation avantageuse, &a
nt. Quant au maintien des bras, il faut les laisser étendus à côté du
corps
en observant seulement que lorsque vous faites un
a jambe fait pour montrer l’agilité qu’il faut avoir en conservant le
corps
dans son équilibre, pendant qu’on se tient sur l’
voir que l’on sçait la mouvoir avec grace & liberté, sans que le
corps
se dérange ; ce qui est encore une des perfection
giter les jambes en faisant differens pas, & conserver le haut du
corps
dans une situation agréable : de plus ce tems se
ous devez faire l’ouverture de jambe du pied gauche, il faut avoir le
corps
posé sur le droit à la quatriéme position, pour q
aprendre plus vîte, & de plus c’est que par cet exercice égal, le
corps
se porte avec liberté sans paroître gêné dans tou
me les ressorts de la danse, parce que leurs mouvemens soutiennent le
corps
entier dans son équilibre), sont des dispositions
ture est avare de ses dons ; l’homme parfait dans la structure de son
corps
, est un phénomène rare. Mais des disproportions t
plante du pied est la vraie base sur laquelle porte tout le poids du
corps
; mais c’est la ceinture qui renferme réellement
s des gens bien élevés. Lorsqu’on danse, la tête suit la direction du
corps
; s’il se porte à droite, la tête et l’épaule se
et minces, tiendront les bras un peu avancés et écartés pour orner le
corps
dans les proportions. Celles qui sont épaisses le
est qu’en observant les règles du maintien, que l’on peut procurer au
corps
le jeu agréable qui produit le charme de la danse
de la danse ; ce charme est presque toujours dû à un léger abandon du
corps
sur différens tems, à des oppositions de tête ou
s tous les défauts du mauvais goût et du mauvais ton. La danse est au
corps
ce que la lecture est à l’esprit ; si la lecture
s. Si le genre de danse est conforme aux vrais principes, il donne au
corps
des avantages que la nature seule ne donne point,
s à l’attention d’approfondir les principes d’une manière sûre, et au
corps
celui de se développer et de se dessiner avec aut
rmées, et deux ouvertes ; leur écartement est fixé par le maintien du
corps
, et limite le jeu des pas. Les cinq fausses posit
ions. Première position. Pour marquer cette position, tenez le
corps
en ligne droite ; joignez les talons, les pieds e
tte position, étant placé à la première, les jambes tendues, posez le
corps
entièrement sur l’une, et sans le mouvoir, glisse
sième, observez la même règle que pour la seconde position ; tenez le
corps
placé sur la jambe qui est derrière, et sans le m
talons, la ceinture prise sur les hanches avancées, pour maintenir le
corps
d’aplomb et ouvrir les hanches, afin de contribue
ce mouvement ne produise point de roideur dans aucune des parties du
corps
. On exécutera ces pliés, les jambes successivemen
lorsque le pied que vous aurez glissé y sera arrivé, il faudra que le
corps
soit placé au milieu, qu’il descende droit sous l
telle ou telle autre (suivant la complication du pas) pour diriger le
corps
. Ainsi pour marcher, en restant tendu sur une jam
’autre plie un peu, et le genou se porte à une position ouverte où le
corps
le suit : c’est ce que nous appelons dans la dans
it être considéré comme tems de la danse nommé le sauté, parce que le
corps
n’a point changé de direction. On appelle égaleme
ent de plusieurs pas pour figurer dans un sens. Le tems qui dirige le
corps
d’un côté ou d’autre, comme en avant, en arrière,
sauté (action de s’élever en l’air) ; le tourné (action de mouvoir le
corps
d’un côté ou d’un autre) ; et enfin le retombé (c
oir le corps d’un côté ou d’un autre) ; et enfin le retombé (chute du
corps
forcé par son propre poids). Des exercices po
r cette machine ; on était alors long-tems à reprendre le maintien du
corps
que ces douleurs faisaient perdre, et la facilité
Pour faire cet exercice, placez vos pieds en troisième position, le
corps
placé selon l’ordre du maintien ; tenez-vous à qu
et sans roideur : pour soutenir le dehors et l’équilibre, appuyez le
corps
sur la hanche du côté où vous vous tenez ; et au
cices appelés petits battemens. Pour faire cet exercice, placez le
corps
comme pour les grands battemens, les jambes tendu
petits battemens sur une jambe. Pour faire cet exercice, placez le
corps
comme pour les autres battemens, vous soutenant d
Du pas appelé tems de courante. Pour exécuter ce tems, placez le
corps
selon l’ordre du maintien ; et, posé sur vos deux
où elle doit arriver tendue en même tems que l’autre sur laquelle le
corps
est posé ; restez un tems ; ensuite soutenant le
ue, suivant la manière de marquer cette position ; avancez ensuite le
corps
; placez-vous sur cette jambe ; rapprochez conséc
la jambe pour la passer à la quatrième position en arrière ; posez le
corps
dessus, et rapprochez consécutivement l’autre jam
ment des deux jambes. Du tems de courante à deux mouvemens. Le
corps
placé, les jambes tendues, et à la troisième posi
elevant, arrivée à la seconde position, au lieu d’arrêter un tems, le
corps
se portera consécutivement de ce côté, et se plaç
mbes que l’on tiendra tournées (second mouvement), et se relevant, le
corps
retournera se replacer sur la jambe où il était :
due des positions ouvertes ; il protége encore le maintien général du
corps
et des bras, que l’on observera pour se familiari
Du tems appelé changement de jambe sur les pointes. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les jambes à la troisi
lever les talons ; tenez les genoux tournés à vos côtés ; relevez le
corps
en tendant et vous haussant sur les pointes des p
De l’assemblé sur les pointes à la troisième position. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les jambes tendues, et
endues, et à la troisième position. Pour exécuter ce tems, appuyez le
corps
entièrement sur la jambe qui est devant ; et d’ap
arrière, suivez la même règle que pour l’exécuter en avant ; posez le
corps
entièrement sur la jambe qui est derrière, bien a
pas de menuet exécuté de côté, à la seconde position. Placez votre
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds à la troisiè
ième position en avant, dit pas de menuet en traversant. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds à la troisiè
mé changement de jambe, exécuté à la troisième position. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds à la troisiè
troisième position et en dehors. Pour exécuter ce tems, descendez le
corps
droit sous vous, en pliant bas des genoux et des
ec les jambes, et près de terre, où elles retomberont par la chute du
corps
; posez consécutivement les talons, les pieds à l
e changement de jambe par l’élasticité des coudes-pieds. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds à la troisiè
l’on nomme assemblé, et exécuté à la troisième position. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds à la troisiè
à la troisième position et en dehors. Pour exécuter ce tems, posez le
corps
entièrement sur la jambe qui est devant, et d’apl
us ou derrière, suivez la même que pour l’exécuter devant ; placez le
corps
entièrement sur la jambe de derrière, ce qui déga
ition : pour l’exécuter, suivez la même règle que pour l’assemblé, le
corps
placé selon l’ordre du maintien, les pieds à la t
u maintien, les pieds à la troisième position et en dehors ; posez le
corps
entièrement sur la jambe qui est devant, et d’apl
ou derrière, suivez la même règle que pour le faire devant ; posez le
corps
entièrement sur la jambe qui est derrière, ce qui
manière de lier le jeté, l’assemblé et le changement de jambe. Le
corps
placé, les pieds à la troisième position et en de
on nomme chassé, exécuté en avant de quatrième position. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds à la troisiè
e pied qui est devant à la quatrième position ; puis avancez aussi le
corps
; placez-le au milieu des deux jambes pour les pl
s, aussitôt que vous aurez chassé la jambe qui est devant, avancez le
corps
, posez-le entièrement dessus et d’aplomb sur la h
Du chassé en arrière de quatrième en quatrième position. Placez le
corps
, les pieds à la troisième position et en dehors.
ambe qui est derrière à la quatrième position ; puis reculez aussi le
corps
que vous placerez au milieu des deux jambes, afin
avant. Lorsque vous aurez chassé la jambe en arrière, vous poserez le
corps
entièrement dessus et d’aplomb sur la hanche, ce
faire le chassé de côté de seconde en seconde position. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds à la troisiè
d qui est devant ; posez-le à la seconde position ; puis soutenant le
corps
de face, vous le placerez au milieu des deux jamb
assé la jambe de côté de seconde en seconde position, vous poserez le
corps
entièrement dessus et d’aplomb sur la hanche, ce
x jambes. Du tems appelé sissone, et exécuté simple. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds à la troisiè
ms de sissone, rapporté dessous ou dessus le coude-pied. Placez le
corps
, les pieds à la troisième position et en dehors.
es pas. Du pas ou tems de sissone exécuté double. Placez votre
corps
selon la règle pour le maintien ; les pieds en de
u pas ou tems que l’on nomme échappé, exécuté sur place. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds à la troisiè
De la manière d’exécuter l’échappé d’une seule jambe. Placez le
corps
, les pieds à la troisième position et en dehors.
rième, devant ou derrière. Du tems appelé tems levé. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds à la troisiè
à la troisième position et en dehors. Pour exécuter ce tems, posez le
corps
entièrement sur la jambe qui est derrière ; levez
onde position, placez vos pieds à la troisième position ; tenez votre
corps
de face, afin qu’il ne tourne pas du côté où vous
ce tems, suivez la même règle que pour le faire en avant ; placez le
corps
entièrement sur la jambe qui est derrière ; levez
orsque ce tems est suivi d’un autre, observant de ne point avancer le
corps
avant que le pied soit posé à la position, afin d
(règle pour fixer l’étendue des positions ouvertes par le maintien du
corps
.) Vous exercerez ce tems des deux jambes. Du
e l’on nomme glissade, et exécuté à la seconde position. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds à la troisiè
à la troisième position et en dehors. Pour exécuter ce tems, posez le
corps
entièrement sur la jambe qui est derrière ; levez
us enleverez, et poussant la pointe du pied à terre, pour renvoyer le
corps
qui ira tomber sur la jambe que vous avez dévelop
a manière de lier plusieurs glissades dessous et dessus. Placez le
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds à la troisiè
pas ou tems qu’on nomme jeté à la quatrième position. Placez votre
corps
selon l’ordre du maintien, les pieds en dehors et
pas ou tems de balonné, exécuté dessus le coude-pied. Placez votre
corps
selon l’ordre du maintien ; les pieds à la troisi
le pied en dedans, pour faire la glissade devant vous, et tournez le
corps
en même tems de manière à ce que, lorsque vous se
ssus pour la mesure à deux tems, dite de contredanse. Placez votre
corps
selon l’ordre du maintien ; les pieds à la troisi
e, exécuté à la troisième position dessous ou dessus. Placez votre
corps
selon la règle pour le maintien ; les pieds à la
ion devant vous, où vous la tiendrez levée, tendue et en dehors et le
corps
toujours bien d’aplomb dessus l’autre jambe sur l
essus à la troisième position et sur les deux jambes. Placez votre
corps
selon l’ordre du maintien ; les pieds à la troisi
s une position ouverte. Pliez également des deux jambes en plaçant le
corps
au milieu ; enlevez-vous, et en même tems ramenez
ition derrière. Ensuite pliez également des deux jambes en plaçant le
corps
au milieu, enlevez-vous et rapprochez en même tem
e une sissone dessous ou derrière. Dans cette position, vous aurez le
corps
entièrement posé sur la jambe de devant, et l’aut
l’entrechat s’exécute sous soi ou sur place, et que pour le brisé le
corps
se porte d’un côté ou d’un autre, suivant la posi
dans les jambes et dans les reins, et non dans aucune autre partie du
corps
. Voilà la plus grande difficulté à laquelle peu d
t l’autre pied, que vous leverez de suite en tournant en même tems le
corps
pour qu’il se trouve tourné d’un demi-tour quand
s, et pour le poser à la seconde position en tournant en même tems le
corps
, suivant la direction que prend le pied (premier
roit derrière le pied gauche, et toujours en continuant de tourner le
corps
(second tems) ; ensuite passez le pied gauche dev
ssez le pied gauche devant vous en tournant la pointe en dedans et le
corps
en même tems, pour qu’il se trouve tourné d’un de
e fait du pied droit, ayant les deux pieds à la deuxiéme position, le
corps
droit dans son à plomb, & vous pliez comme ce
demi-coupé ; cela fait qu’en vous élevant la jambe droite rejette le
corps
sur le pied gauche, & elle reste en l’air for
même jambe en la croisant jusqu’à la cinquiéme position, en posant le
corps
dessus, puis faites de suite un autre pas du pied
eurs le font faire comme celui en avant, c’est-à-dire, plier ayant le
corps
posé sur le pied gauche, & le pied droit en l
le pied gauche, & le pied droit en l’air, mais il m’a paru que le
corps
estoit moins ferme, & de plus c’est que la ja
chant comme celui en avant ; sçavoir, le pied gauche devant, & le
corps
posé dessus la jambe droite s’approche derriere,
sur la pointe ; mais au dernier, il faut poser le talon, afin que le
corps
soit ferme pour faire tel autre pas que l’on veut
aire du pied droit ayant le gauche devant, à la quatriéme position le
corps
posé dessus, il faut plier & vous relever en
e sont ces deux qui font aller de côté sans se tourner, en restant le
corps
en presence. Mais pour la bien faire, il faut que
e de celui qui est derriere, ce qui seroit contre les regles ; car le
corps
ne se trouveroit pas dans son à plomb, outre que
regle le permet : dans toutes ces Positions j’ai observé de poser le
corps
d’à-plomb sur les deux jambes, ce qui fait voir p
la distance qui s’observe que l’on peut lever un pied en se posant le
corps
sur l’autre sans faire de mouvement forcé ; je ne
de bourrée dessous ou derrière la gauche, en tournant en même tems le
corps
un peu sur la gauche. 4e. — Faites de la jambe ou
r faire une glissade dessous en avant, et en tournant en même tems le
corps
sur la droite, et d’un demi-tour pour prendre le
roit un jeté à la seconde position à droite, et en tournant un peu le
corps
de ce côté, et du pied gauche faites un coupé à l
gauche à la seconde position de ce côté, et en y retournant un peu le
corps
, ensuite faites un coupé du pied droit dessous ou
essous le droit, et à la troisième position, et en tenant toujours le
corps
tourné dans le même sens. 3e. en arrière. — Gliss
e le pas de bourrée dessous la gauche, et en tournant en même tems le
corps
de ce côté. 4e. — Faites une glissade dessous à g
rt, et emboîtez la jambe gauche derrière la droite, et en tournant le
corps
sur la droite pour prendre le sens du traversé. 3
glissades dessous en avant, en présentant l’épaule droite pour que le
corps
soit tourné obliquement sur la gauche. 2e. — Lâc
quatrième position, en avant et en tournant en même tems la gauche du
corps
en dedans pour qu’il soit tourné selon le sens du
te un jeté à la troisième position devant la gauche, en retournant le
corps
de ce côté, un jeté du pied gauche à la seconde e
rtant du pied droit une glissade dessous en avant et en présentant le
corps
de côté, la droite en avant ; jetez le pied droit
ed droit en avant à la quatrième, ou de côté à la seconde, puisque le
corps
est tourné. 2e. — Faites de la jambe gauche le pa
et ensuite le gauche derrière le droit et en tournant en même tems le
corps
sur la gauche, le côté droit vers votre place. 3e
me position ; le tout en présentant l’épaule droite ou en tournant le
corps
sur la gauche, afin de prendre le vrai sens du do
Sortez la jambe gauche, qui est derrière, en tournant en même tems le
corps
dans le sens opposé, c’est-à-dire avancer l’épaul
la troisième position dessous le droit, et en présentant la droite du
corps
vers votre place. 3e. — Répétez cet enchaînement
ce qui fait la juste opposition du bras au pied. Coupé sans poser le
corps
.Il y en a d’autres où l’on ne fait que porter la
res où l’on ne fait que porter la pointe du pied à côté sans poser le
corps
dessus : pour lors ayant étendu un bras à votre d
arce qu’après il s’étend & donne par son mouvement la facilité au
corps
de se tourner : ainsi de même quand vous tournez
e droite s’efface, son bras fort étendu en arriere ; ce qui dégage le
corps
, & lui donne de l’agrément ; pour ceux qui se
oir la liberté de jambe que vous possedez, sans tourmenter le haut du
corps
; ce qui le dérangeroit de la grace qu’il doit to
e qu’il doit toûjours conserver. Coupé en avant. Coupé sans poser le
corps
. Autre coupé en avant avec une ouverture de jambe
t les sons de la voix, le jeu des traits du visage, les mouvements du
corps
ont été seuls les expressions de ce qu’il a senti
iction et de joie. Il y a de même dans les mouvements du visage et du
corps
, des gestes de tous ces caractères ; les uns ont
à l’extérieur de gestes relatifs à toutes ces diverses situations. Le
corps
fut paisible ou s’agita, les yeux s’enflammèrent
ers la terre ; les pieds formèrent des pas lents ou rapides ; tout le
corps
enfin répondit par des positions, des attitudes,
omme, on a cependant trouvé des moyens, pour donner aux mouvements du
corps
les agréments dont ils étaient susceptibles. La N
, les deux bras croisés à la hauteur des coudes, les coudes serrés au
corps
, sans avoir l’air gêné (voyez planche septième )
de ne point lever les talons, et de ne faire aucun faux mouvement du
corps
, des bras et de la tête. Révérence ordinaire d
rdinaire d’un jeune homme Il se placera à la première position, le
corps
droit, les bras tendus naturellement sur les côté
linant la tête, le menton touchant la poitrine et pliant du milieu du
corps
et non de la ceinture, les jarrets tendus ; il la
lement les raidir, (voyez planche huitième ) et, en se relevant, son
corps
, sa tête et ses bras se replaceront dans la même
essaire que celle des pas ; parce que ce sont eux qui accompagnent le
corps
, & en font tout l’ornement. 99. Premiere at
ude des bras du Menuet Ainsi les bras doivent être placez à côté du
corps
comme cette premiere Figure le represente, les ma
, ce qui fait paroître la poitrine large & donne plus de grace au
corps
, les bras étendus à côté du corps, de façon que l
large & donne plus de grace au corps, les bras étendus à côté du
corps
, de façon que les coudes touchent presque sur les
jupes avec le pouce & le doigt suivant les bras étendus à côté du
corps
, les mains en dehors, & sans étaler ses jupes
bez, pliez & du même temps sautez une seconde fois, en portant le
corps
sur le droit ou sur le gauche, selon que le pas q
ce qui se va voir par la maniere de le faire. Ce pas se fait ayant le
corps
posé sur le pied gauche, vous pliez sur le même,
mouvement fait lever l’autre, & en vous relevant vous retombez le
corps
dessus le pied droit en devant, & au second q
n devant, & au second que vous vous rejettez dessus le gauche, le
corps
tombe en même tems sur ce pied ; par-là vous voye
cette maniere : par exemple, si vous revenez du côté gauche, ayant le
corps
posé sur le pied gauche, le droit en l’air, comme
troisiéme, ou cinquiéme position, ce mouvement jetté par le poids du
corps
qui tombe avec le pied, fait lever le gauche qui
aisant un pas sur la pointe du pied ; mais à peine est-il posé que le
corps
se porte dessus, ce qui fait lever le pied droit,
stenir le contraire. Car comme on ne me sçauroit nyer que l’action du
corps
ne suiue naturellement en dansant celle des pieds
end garde aux mouuemens qui se font tant des espaules que du reste du
corps
, en les ouurant & fermant, ou si on fait comp
lle la desire descendre tres-basse & y tenir quand & quand le
corps
droit & ferme, qu’elle leue doucement les tal
modestie, en pliant les genoüils faut faire descendre la veuë auec le
corps
qu’on releuera en finissant, sans l’arrester à re
lle, qu’vn meslange confus de diuerses decoupeures & agitation de
corps
esloigné de toute bien seance, & que les bran
s tourner tant soit peu l’espaule gauche en dehors, sans esbranler le
corps
, car la seule action du pied suffit, si la pointe
utre, esloigné de demy pied seulement, & là dessus en esleuant le
corps
tout d’vne piece sur le mouuement des pieds, asse
à dire aux actions de celles qui danseront ce Bransle, il faut que le
corps
& la teste y soient tenus droicts & ferme
esgale de sa hauteur, l’action de laquelle ne doit tourner qu’auec le
corps
, sans aucun mouuement de la teste. Dv bransl
ire glisser au deuxiesme pas le pied droict derriere, en sorte que le
corps
tournant vn peu du costé de celuy qu’on meine, la
ieurs de regarder par dessus les espaules, ny certains branslemens de
corps
, que quelques vns y font obseruer, dont les actio
üils, que comme insensiblement aux pas assemblez, tenant tousiours le
corps
& la teste ferme, à fin de le couler doucemen
mouuement des espaules en dedans, ny dehors, ains tenir tousiours le
corps
droict & esgal. Dv cinqviesme bransle.
tre en sa place, on tourne vn peu l’espaule droicte en dehors, que le
corps
tout d’vne piece doit suiure, puis on faict les m
lesquels pas, faut faire plier esgalement les genoüils, à fin que le
corps
bien droit suiue l’action des pieds, & prendr
entre, ny plier de la ceinture, & en pliant les genoüils tenir le
corps
droit d’vne façon esgale, sans pancher de costé n
genoüils faut faire escarter vn pas du pied droit en tournant fort le
corps
en dedans, apres lequel s’esleuant sur la pointe
on commence les cinq pas du pied gauche, on est obligé de tourner le
corps
en dehors, faut que ce ne soit qu’à moitié vers l
haut : ce qui doit être accompagné aussi d’une petite inclination du
corps
& de la tête imperceptible & sans paroîtr
n petit mouvement de l’épaule, en se baisant & en se relevant, le
corps
se redresse de même que la tête qui doit se retir
les mouvemens, tant des jambes & des bras que de la tête & du
corps
. Quant à ceux que l’on fait de côté, quoique les
elever en le finissant, comme aussi de faire une demie inclination du
corps
, & un petit baissement de tête, en observant
oubler] Chœurs, les chœurs de danse. On les appelle plus communément
corps
d’entrées, ou figurants. Voyez Corps d’entrée et
On les appelle plus communément corps d’entrées, ou figurants. Voyez
Corps
d’entrée et Figurant. (B) Choriste Chorist
ans les églises. Voyez Chanteur et Chantre, voyez aussi Chœur. (B)
Corps
d’Entrée Corps d’Entrée, (Danse.) Ce sont les
yez Chanteur et Chantre, voyez aussi Chœur. (B) Corps d’Entrée
Corps
d’Entrée, (Danse.) Ce sont les chœurs de danse qu
danse qui figurent dans un ballet, et qu’on nomme aussi figurants. Le
corps
d’entrée est ordinairement composé de huit danseu
ui dansent des entrées seuls, et qu’on appelle premiers danseurs. Les
corps
d’entrée sont composés de douze danseurs et de qu
d’opéra ; c’est le nom qu’on donne aux danseurs qui figurent dans les
corps
d’entrées, parce que le corps d’entrée dessine da
onne aux danseurs qui figurent dans les corps d’entrées, parce que le
corps
d’entrée dessine dans sa danse des figures divers
s ont senti eux-mêmes combien les figures étaient nécessaires à leurs
corps
d’entrée. N’ayant pour l’ordinaire rien à dessine
Danse : il y a des danseurs qui figurent à l’opéra. Les danseuses du
corps
d’entrée ne dansent point seules, elles ne font q
i se fait en avant. Ayant fini votre pas de Menuet en avant, & le
corps
posé sur le pied gauche, vous approchez le pied d
e fort soûtenu, on peut dans ce même tems faire un petit mouvement du
corps
, & la tête fait aussi une legere inclination,
t du corps, & la tête fait aussi une legere inclination, & le
corps
& la tête se redressent en faisant le jetté é
aussi-tôt le genoüil droit se plie, qui par son mouvement rejette le
corps
sur la jambe gauche qui se passe doucement devant
te se glisse à côté jusqu’à la deuxiéme position, & vous posés le
corps
dessus en vous élevant du même temps sur la point
en vous élevant du même temps sur la pointe, mais par la position du
corps
& cette élevation, la jambe gauche suit, en l
genres, 31 Construction jarretée, 46. — arquée, 47. Contrepoids, 66.
Corps
, 52. Costume, 103. D Danse (la), 5. Danses caract
ments du buste, 54. Équilibre, 52, 65, 66. Étude des jambes, 40. — du
corps
, 52. — des bras, 57. Exercices, 100, 109. Explica
re, 36. Moelleux, 43. Mouvements des jambes, 42. — des bras, 58, — du
corps
, 54. Musique, 34, 36. N Noverre, grand composite
ions principales et leurs dérivés, 47, 64. — des jambes, 47, 51. — du
corps
, 52. — des bras, 56, 62 Préparations des temps e
ces mots, rond du bras fait entier, l’expriment, ce qui accompagne le
corps
dans le tour qu’il fait, & le bras se tournan
vez aussi observer que votre tête soit fort droite, pour conserver le
corps
dans son équilibre ; parce qu’il doit tourner sur
eleve plus vîte : aussi le bras s’étend vivement ; ce qui facilite le
corps
de se tourner du même côté que le bras s’étend. C
ur ainsi dire en place, si vous le sautez trop haut il dérangeroit le
corps
de son équilibre, par les efforts que vous seriez
re, n’étant que pour donner aux pas une juste proportion, afin que le
corps
se conserve dans son à plomb, je ne dis pas équil
differente que par les positions des jambes & des pieds : pour le
corps
il doit être toujours droit & placé sur les d
, vos genoux se tournent également en dehors. Et de plus c’est que le
corps
paroît plus droit ; ce que j’expliquerai plus au
eux, ce qui est la juste proportion du pas & la vraie position du
corps
sur les deux jambes, qui se voit par les épaules
les qui ne sont pas plus hautes l’une que l’autre ; c’est pourquoi le
corps
se trouve dans la facilité de se poser sur l’une
es étenduës, & les pieds tournez également en dehors, pour que le
corps
se trouve posé sur les deux jambes, de même qu’à
étant les plus faciles. Pour le faire du pied droit, il faut avoir le
corps
posé sur le gauche, étant posé à la quatriéme pos
ar exemple, le pied gauche étant derriere à la quatriéme position, le
corps
posé dessus, il faut plier sur le même pied, &
pieds ; mais à ce dernier pas, il faut poser le talon ; ce qui met le
corps
en son repos & finit votre pas, ce pas se fai
uet ; (& comme vous le finissez du pied gauche) il faut porter le
corps
entierement dessus, & approcher le droit aupr
he-pied, & c’est sauter avant le pas. La deuxiéme est qu’ayant le
corps
sur le pied gauche, vous repliez une seconde fois
t sauter après le pas. La troisiéme enfin est, que comme vous avez le
corps
posé sur le droit, vous pliez dessus, approchant
n’est que des mouvemens doux & gracieux, qui ne dérangent pas le
corps
de ce bon air qui est si fort estimé & usité
grande perfection de ces contre-danses, est de se bien tourmenter le
corps
, de se tirer en tournant, de taper des pieds comm
si c’est du pied droit, il faut ayant le pied gauche devant & le
corps
posé dessus, aprocher le pied droit auprès à la p
jambe gauche se glisse devant jusqu’à la quatriéme position, & le
corps
se posant dessus ; il termine l’étenduë de votre
sse devant, le genou droit se plie, & par ce mouvement renvoie le
corps
sur le pied gauche, ce qui termine ce pas ; ces d
l’autre ; mais je trouve que la premiere est plus aisée, en ce que le
corps
est plus assuré par le talon droit que vous appuy
ême tems derriere jusqu’à la troisiéme position, en laissant poser le
corps
dessus pour en reprendre un autre de suite du dro
prouver au spectateur. Je vais passer maintenant à la composition des
corps
de ballets. L’étendue des théâtres doit détermine
r, du compositeur. Vingt-quatre figurans et huit coryphées forment un
corps
de danse non seulement suffisant aux théatres les
dont la suite des tableaux de ténier lui offre les images variées. Le
corps
de ballets de l’opéra est sans contredit le plus
du compositeur ? Avant de résoudre ces deux questions je dirai qu’un
corps
de ballet nombreux est l’image d’une compagnie d’
utions, et aux mouvemens précis du maniement, des armes etc. Ce petit
corps
de troupes attache l’oeil et le séduit par la rég
cité et l’accord de ses temps et de ses mouvemens. Je compare donc un
corps
de ballet à cette compagnie d’infanterie : cette
l’émulation des uns et l’insouciance des autres. En supposant que le
corps
de ballet présente quatre quadrilles de huit pers
succès en établissent la solidité. La danse de ceux qui composent le
corps
de ballet n’a presque point d’analogie avec celle
aré au premier danseur ; mais l’orchestre a son thême écrit, comme le
corps
de ballet a le sien dicté. Ils ne peuvent ni l’un
nome et n’a point prodigué sa richesse dans l’exécution méchaniqne du
corps
de ballet : elle a senti que ce seroit employer s
l’ensemble et de la précision qui doivent régner dans l’exécution du
corps
de ballet ? uniquement à la musique ; c est a dir
ise devant. Quant à ceux qui se font de côté en effaçant l’épaule, le
corps
étant posé sur le pied gauche, on plie dessus, ay
position, en laissant poser le talon à terre, ce qui finit ce pas. Le
corps
étant posé sur le droit, on peut plier dessus, et
seconde position, en laissant tomber le talon le premier : lorsque le
corps
se pose sur ce pied, on s’élève sur la pointe ; p
t plier le genou de la jambe de derrière, qui renvoie par son plié le
corps
sur le pied de devant, ce qui fait l’étendue de c
Voici comment ce pas s’exécute. On place le pied gauche devant, et le
corps
est posé dessus. Le pied droit est derrière à la
, on glisse le pied droit devant jusqu’à la quatrième position, et le
corps
se porte dessus entièrement. Mais à mesure que le
auche se détend, et le talon se lève, ce qui renvoie avec facilité le
corps
sur le pied droit, et du même temps l’on s’élève
le talon en appuyant tout le pied à terre, ce qui termine le pas, le
corps
étant dans son repos par le pied qui pose entière
le non signé]. L’entrechat se prend en marchant, ou avec un coupé. Le
corps
s’élance en l’air, et les jambes passent égalemen
ux mesures ; la première sert au coupé ; la seconde à l’élancement du
corps
, au battement et au tomber. Il se fait de face, e
des démons, etc. (B) Geste Geste, s. m. mouvement extérieur du
corps
et du visage ; une des premières expressions du s
spiré ; et les sons de la voix, les mouvements divers du visage et du
corps
, ont été les expressions de ce qu’il a senti ; il
r, lire, leur paraissent des distractions nuisibles aux mouvements du
corps
, où ils se livrent par préférence ; leurs bras, l
e, sont plus que suffisantes pour rendre les différents mouvements du
corps
, flexibles, rapides, brillants et moelleux. C’est
de grâce, les beaux développements des bras et des autres parties du
corps
qui se font sous un masque insensible, recevront
dire, avec l’autre en portant continuellement le pied sur le quel le
corps
n’est point appuyé, dans une position dèsagréable
à chaque instant un mouvement en une situation contrainte, jette son
corps
tout d’un coté, et parvient à avoir une hanche pl
otre art exige avec les qualités de l’esprit la force et l’agilité du
corps
, quels soins ne devrions nous pas apporter pour n
eds qui, ne se présentant point directement vers la terre, lorsque le
corps
retombe, tournent, ploient et succombent sous le
r courroit risque de perdre son ouvrage, s’il ne l’étayoit que sur un
corps
rond et mouvant ; la chûte de sa statue seroit in
ur le sol augmentant l’espace de son appui, affermit et maintient son
corps
dans l’équilibre juste et convenable ; s’il négli
, que la fléxion des genoux et leur extension étoit ce qui élevoit le
corps
. Ce principe est totalement faux ; et vous serez
t point terre : cette fléxion et cette extension ne peuvent élever le
corps
, si les parties essentielles à la réaction ne jou
tendon, à son élasticité, que l’on doit primitivement l’élévation du
corps
; les genoux, les reins et les bras coopèrent una
Les muscles du tronc se prêtent à cette opération et maintiennent le
corps
dans une ligne perpendiculaire, tandis que les br
ent croire que les jambes battent les temps de l’entrechat lorsque le
corps
retombe. Je conviens que l’œil qui n’a pas le tem
t d’analyser. Cette erreur naît de la précipitation avec la quelle le
corps
descend : quoiqu’il en soit l’entrechat est fait
le corps descend : quoiqu’il en soit l’entrechat est fait lorsque le
corps
est parvenu à son dégré d’élévation ; les jambes
t encore, ils ne seroient pas dans une direction propre à recevoir le
corps
, ils succomberoient sous le poids qui les écraser
ou on déroboit la planche, alors je tombois perpendiculairement ; mon
corps
s’affaissoit sur les parties inférieures ; mes ja
à soutenir la masse. Si l’on admet de la force dans l’instant que le
corps
tombe, et que l’on croie qu’il lui soit possible
té deux pouces plus loin, ne peut-il réitérer l’effort, et porter son
corps
, par une seconde secousse, au delà du fossé ? S’i
tion il y auroit autant de chûtes que de pas. Je soutiens donc que le
corps
ne peut opérer deux fois en l’air, lorsque les re
slors plus de fermeté ; les hanches n’étoient jamais à leur place, le
corps
vacilloit sans cesse, et l’exécution étoit ridicu
; les parties sans cesse désunies et toujours distantes jetteront le
corps
dans des positions fausses et désagréables, et la
riment un défaut désagréable dans la ceinture ; que l’affaissement du
corps
ôte aux parties inférieures la liberté dont elles
a liberté dont elles ont besoin pour se mouvoir avec aisance ; que le
corps
, dans cette situation, est comme indéterminé dans
re un bon usage de ceux qu’ils ont. Il faut, pour bien danser, que le
corps
soit ferme et tranquille, qu’il soit immobile et
dire, avec l’autre, en portant continuellement le pied sur lequel le
corps
n’est point appuyé dans une position désagréable
chaque instant un mouvement & une situation contrainte jette son
corps
tout d’un côté, & parvient à avoir une hanche
e Art exige avec les qualités de l’esprit la force & l’agilité du
corps
, quels soins ne devrions-nous pas apporter pour n
pieds qui ne se présentant point directement vers la terre lorsque le
corps
retombe, tournent, plient & succombent sous l
ur courroit risque de perdre son ouvrage s’il ne l’étayoit que sur un
corps
rond & mouvant ; la chûte de sa statue seroit
le sol augmentant l’espace de son appui affermit & maintient son
corps
dans l’équilibre juste & convenable ; s’il né
la flexion des genoux & leur extension étoient ce qui élevoit le
corps
. Ce principe est totalement faux, & vous sere
point terre, cette flexion & cette extension ne peuvent élever le
corps
, si les parties essentielles à la réaction ne jou
u tendon, à son élasticité que l’on doit primitivement l’élévation du
corps
; les genoux, les reins & les bras coopérent
s muscles du tronc se prêtent à cette opération & maintiennent le
corps
dans une ligne perpendiculaire, tandis que les br
ent croire que les jambes battent les temps de l’entrechat lorsque le
corps
retombe. Je conviens que l’œil qui n’a pas le tem
d’anatomiser. Cette erreur naît de la précipitation avec laquelle le
corps
descend ; quoi qu’il en soit l’entrechat est fait
le corps descend ; quoi qu’il en soit l’entrechat est fait lorsque le
corps
est parvenu à son degré d’élévation ; les jambes,
roient encore ne seroient pas dans une direction propre à recevoir le
corps
, ils succomberoient sous le poids qui les écraser
ou on déroboit la planche, alors je tombois perpendiculairement ; mon
corps
s’affaissoit sur les parties inférieures ; mes ja
à soutenir la masse. Si l’on admet de la force dans l’instant que le
corps
tombe & que l’on croie qu’il lui soit possibl
deux pouces plus loin, ne peut-il réitérer l’effort & porter son
corps
par une seconde secousse au-delà du fossé ? S’il
tion il y auroit autant de chûtes que de pas. Je soutiens donc que le
corps
ne peut opérer deux fois en l’air lorsque les res
s-lors plus de fermeté, les hanches n’étoient jamais à leur place, le
corps
vacilloit sans cesse, l’exécution étoit ridicule,
les parties sans cesse désunies & toujours distantes jetteront le
corps
dans des positions fausses & désagréables, &a
riment un défaut désagréable dans la ceinture ; que l’affaissement du
corps
ôte aux parties inférieures la liberté dont elles
a liberté dont elles ont besoin pour se mouvoir avec aisance ; que le
corps
dans cette situation est comme indéterminé dans s
aire un bon usage de ceux qu’ils ont. Il faut pour bien danser que le
corps
soit ferme & tranquille, qu’il soit immobile
s personnes seront placees, toutesfois sans aucun geste ou posture du
corps
: car en cela la seule conduite de la veuë est su
a facilité de bien passer la capriolle, & l’entrechart, s’il a le
corps
disposé à la danse par haut, il luy faut souuent
estoient destituees de la gentillesse, des actions & mouuemens du
corps
, ioints à la mignardise des pas dont elle est enr
ay, afin de monstrer seulement quels y doiuent estre les mouuemens du
corps
, & comme il y faut porter & asseoir les p
esme reuerence de l’autre pied, puis baissant vn peu la teste auec le
corps
faut baiser la main pour prendre celle de la femm
u l’espaule en dedans, du costé du pied qui auance, puis remettant le
corps
à son naturel, faire vn chasse-coulant deuant soy
mesme costé, & chasser sur l’autre, en tournant pour remettre le
corps
à son naturel, puis auancer trois pas, & chas
auche sans sauter, en s’esleuant sur la pointe du pied droict, que le
corps
tout d’vne piece penchant vers la main droicte do
costé, sur laquelle pliant le genoüil droict, faut tourner vn peu le
corps
de ce mesme costé, à fin de mieux prendre son tem
qui se trouue derriere, & d’icelle faict vn temps, en tournant le
corps
du costé qu’on aura commencé & chassé sur ice
it assis d’abort sur le talon, & faire en sorte qu’il y tienne le
corps
droict, depuis le busque iusques aux yeux, &
les genoux en dedans, pas mesmes bransler la teste, mais faire que le
corps
ferme & droict accompagne tousiours l’action
ion des pieds aux retirades principalement, ou plusieurs balancent le
corps
, soit par affecterie ou mauuaise habitude. La sus
on luy pourra grandement adoucir l’air, & luy regler l’action du
corps
& de la veuë, ce qu’on n’eust peu auparauant
cer. DV PREMIER BRANSLE. Av sortir de la Reuerence, tenant le
corps
bien droict, faut partir du pied gauche, qu’on po
ier, comme il a esté dit, & prendre garde que l’Escolier porte le
corps
quant & quant l’action du premier pas, &
sence, & parce que le sixiesme se glisse derriere & oblige le
corps
à tourner tant soit peu du costé droict, il est b
uement. On doit prendre garde aussi que l’Escolier ne tourne point le
corps
du costé droict & la teste du gauche, & q
s des pieds ouuertes & la veuë de sa hauteur, à fin que tenant le
corps
droict & ferme on regarde en face la compagni
rme on regarde en face la compagnie, sans tourner la teste qu’auec le
corps
, & prendre garde à ne point chasser de la poi
trop court, ou les iambes faictes en paranteze, quoy que le reste du
corps
soit bien taillé ou proportionné, ne peuuent iama
ment à deux, puis à trois, & ainsi continuer, tenant tousiours le
corps
ferme & droict sans bransler la teste, ayant
lé pour aborder vne compagnie, & baissant vn peu la teste auec le
corps
, pour baiser la main & prendre celle de la fe
r aussi de la ceinture, & ainsi (sans baisser la teste qu’auec le
corps
) le bras droict bien estendu, descendre le tout e
emiers temps, aperçurent dans la Danse un exercice avantageux pour le
corps
, un délassement honnête pour l’esprit, et un prés
, et un préservatif efficace contre les maladies de l’âme. Lorsque le
corps
se meut, l’esprit se repose. Les figures, les pas
oin d’elle-même par la colère et par la joie. Un exercice qui rend le
corps
plus souple, plus vigoureux, plus léger, porte da
roit Platon, produit l’harmonie de tous les mouvements de l’âme et du
corps
que la Danse sert à entretenir. « Lorsque (dit il
tions nécessaires, ces manières agréables, ces mouvemens différens du
corps
, qui font l’agrément de la société. Il faut culti
que nous allons indiquer la manière de marcher, saluer et observer le
corps
dans ses principaux mouvemens. De la manière d
rincipaux mouvemens. De la manière de marcher. On soutiendra le
corps
dans le maintien, selon que nous l’avons indiqué,
ndra aussitôt en portant le pied à la quatrième position en avant, le
corps
se posera ensuite dessus ; et l’autre jambe resté
se tendra en portant le pied à la quatrième position en arrière ; le
corps
se posera consécutivement dessus, et on ramènera
turelle, pour porter ses regards vers les personnes qu’il saluera, le
corps
étant plié : dans cette position, les épaules pen
enant sans roideur et dans la forme que nous avons indiquée ; puis le
corps
se relevant, les bras reprendront naturellement l
cet effet, il dégagera un pied, le posant à la seconde position ; le
corps
se posant dessus, s’inclinera dans l’ordre ci-des
devant à la troisième position, où elle arrivera en même tems que le
corps
plié qui se relevera doucement. Pour exécuter le
ambe qui arrivera à la troisième position devant, en même tems que le
corps
plié, lequel se relevera doucement. Selon que le
oins, suivant qu’il devra se tourner : ce pied présenté en dedans, le
corps
tournera en suivant la même direction, pour se tr
ortant à la quatrième position en arrière, puis placeront aussitôt le
corps
au milieu des deux jambes, pour les plier égaleme
L’on marchera selon que nous l’avons démontré, modérant le pas, le
corps
dans une bonne contenance ; si c’est un cavalier,
les jambes droites, les talons joints, les pieds un peu en dehors, le
corps
droit, la tête haute, les bras contre soi, et pli
es qui vous prescrivent la manière de vous présenter et d’observer le
corps
dans tous ses mouvemens, ce qui devient une habit
r un petit mouvement de tête, en la penchant de côté, sans mouvoir le
corps
; et ce qui tient beaucoup de la niaiserie ou de
d’orner, par cet ouvrage, l’esprit de nos lecteurs ; mais d’orner le
corps
par des principes puisés dans la nature, et combi
ensation. Qu’est-ce qu’une sensation ? Le résultat que produit sur le
corps
humain une impression ou une idée que perçoit l’e
que perçoit l’esprit. La sensation est la répercussion que reçoit le
corps
, lorsqu’une impression frappe l’esprit. Lorsque l
e impression du vent ou de l’orage. Lorsqu’un animal est effrayé, son
corps
reçoit l’impression de la peur, et il fuit et tre
ans la danse — et il faudrait un mot qui désignât mieux la chose — le
corps
humain doit, malgré les barrières des convenances
ces, exprimer toutes les sensations ou les émotions qu’il ressent. Le
corps
humain est apte à exprimer et exprimerait, s’il é
primerait, s’il était en liberté, toutes les sensations comme fait le
corps
de l’animal. Négligente des conventions, ne suiva
es fortes émotions de joie, de douleur, d’horreur ou de désespoir, le
corps
exprime l’émotion qu’il a reçue de la pensée ; la
pensée tient ici lieu de médium et fait comprendre ces sensations au
corps
. De fait, le corps répond tellement à ces impress
ieu de médium et fait comprendre ces sensations au corps. De fait, le
corps
répond tellement à ces impressions que, parfois,
nt, la vie se trouve suspendue et parfois même quitte complètement le
corps
. Mais les sensations naturelles et violentes seul
tion, si c’est le pied gauche que vous ayez devant, qu’il faut que le
corps
soit entierement dessus, en approchant le pied dr
mp; à ce dernier il faut poser le talon, en le finissant, afin que le
corps
soit plus ferme, soit pour en reprendre un autre,
ffaçant l’épaule ; qui se pratique de la maniere suivante, sçavoir le
corps
posé sur le pied gauche, vous pliez dessus ayant
position, en laissant poser le talon à terre ce qui finit ce pas ; le
corps
étant posé sur le droit vous pouvez plier dessus,
té à la seconde position en posant le talon premier, & lorsque le
corps
se pose sur ce pied, vous vous élevez sur la poin
en ce qu’en faisant votre premier pas qui est un demi-coupé, ayant le
corps
posé sur le pied gauche vous pliez dessus, &
issant plier le genou du pied de derriere qui renvoie par son plié le
corps
sur le pied de devant, ce qui fait l’étenduë de c
oit en avant, le jarret et le cou-de-pied tendus, la pointe basse, le
corps
soutenu par la partie gauche, conservant l’équili
era le pied à plate terre à la quatrième position, portant ensuite le
corps
sur la partie droite en avant, le pied gauche se
iqu’il se puisse faire aussi en tournant ; mais comme ce n’est que le
corps
qui se tourne, & que cela ne change aucun mou
il ne m’ont pas paru avoir la même grace ; parce qu’il paroît que le
corps
se dandine : outre que les mouvemens qui se doive
nant dans la proportion du pas & la position du pied, afin que le
corps
se conserve dans son équilibre, d’autant que tous
se prend sur place, par un assemblé, par un coupé ou par un jeté. Le
corps
s’élance en l’air, et les jambes passent à la cin
ulaire du sauteur. Le danseur ne peut alors achever ses temps, et son
corps
, ébranlé par des mouvements aussi rapides, fait d
impétuosité des mouvements des bras et des épaules, qui entraînent le
corps
, lequel déjà courbé et parfaitement posé sur les
e danseur qui s’élèverait et « qui pendant sa danse ferait mouvoir le
corps
par secousses, qui hausserait ses épaules par le
on des temps d’élévation, serait blâmable ( chap. I ). Il faut que le
corps
soit tranquille, inébranlable, et toujours posé g
chat droit, fig. 4, planc. XII. Entrechat et temps d’élévation, où le
corps
est penché en avant, fig. 2 et 4, planc. XIII. En
vant, fig. 2 et 4, planc. XIII. Entrechat et temps d’élévation, où le
corps
est penché en arrière, fig. 5, même planche. Élév
r en sautant : ainsi, si vous voulez le faire du pied droit, ayant le
corps
posé sur le pied gauche, il faut plier dessus &am
ds, & de vous relever sur un pied, il n’y a que le contour que le
corps
fait qui en fait le changement, parce que les jam
ui en fait le changement, parce que les jambes étant pour suporter le
corps
elles le suivent dans tous ces mouvemens ; de plu
avoir. 197. Elevation des bras pour Dancer Comme l’ornement du
corps
en dansant, ainsi que je viens de le dire, dépend
toutes les parties dans leur juste égalité, elle a la tête droite, le
corps
posé sur les deux jambes, les pieds à la deuxiéme
je les avois dessinées selon les regles, pour pouvoir accompagner le
corps
, & se mouvoir avec facilité dans les differen
es lettres-patentes. — Ordonnances du 11 janvier 1713. — Le budget du
corps
de ballet. — Sa composition. — Les droits d’auteu
u cahier des charges de 1841. — Inobservation de l’article XXXV. — Le
corps
de ballet en 1868. — Les Rats. — Un mot de madame
Rats. — Un mot de madame de Girardin. — Riposte à un vieux-beau. — Le
corps
de ballet actuel. — Ses divisions. — Ses appointe
té reconnu l’un des plus honnêtes et des plus nécessaires à former le
corps
, néanmoins il s’est, pendant les désordres et la
e point qu’il régla lui-même et qu’il écrivit de sa main le budget du
corps
de ballet de l’Opéra. L’ordonnance est du 11 janv
ient de trente à cinquante francs par mois. C’était ce menu fretin du
corps
de ballet que Roqueplan avait baptisé du nom de r
Eh bien, parole ! je ne vous aurais jamais donné cet âge-là ! *** Le
corps
de ballet actuel ne compte pas moins de cent quin
inq francs, je crois — étaient alloués à celles de ces demoiselles du
corps
de ballet chargées de ce pas difficile et dangere
n autre air ; alors elles conviendront que d’avoir la tête droite, le
corps
en est plus ferme, les genoux étendus, les pas en
uger tout differemment. Par exemple, si elle la tient droite & le
corps
bien campé, sans affectation ni trop de hardiesse
paules basses, & les bras retirez en arriere accompagnant bien le
corps
, mais pliez, & tenant ses mains devant soi l’
Ô médecin que tu es, j’admirais silencieusement les actes de tous ces
corps
qui se nourrissent. Chacun, sans le savoir, donne
ssuscités par le soleil en personne, et fortifiés par la présence des
corps
solides ? — Mais, en revanche, n’est-ce point au
licieuses, ces tourbillons voluptueux qui se forment de deux ou trois
corps
et qui ne peuvent plus se rompre… L’une d’elles e
e ! SOCRATE Elle n’est rien. PHÈDRE Petit oiseau ! SOCRATE Chose sans
corps
! ÉRYXIMAQUE Chose sans prix ! PHÈDRE Ô Socrate,
prend ce que nous faisons, montrant clairement à nos âmes, ce que nos
corps
obscurément accomplissent. À la lumière de ses ja
ur ce miroir de ses forces, ses appuis alternés ; le talon versant le
corps
vers la pointe, l’autre pied passant et recevant
versant le corps vers la pointe, l’autre pied passant et recevant ce
corps
, et le reversant à l’avance ; et ainsi, et ainsi
e qui s’abat sans aucun bruit le fait comprendre. On ne doit voir son
corps
qu’en mouvement. ÉRYXIMAQUE Ses yeux sont revenus
es vers l’épaule bien éclairée… Et la belle fibre tout entière de son
corps
net et musculeux, de la nuque jusqu’au talon, se
me semble être la faculté de notre âme de ne rien comprendre à notre
corps
! PHÈDRE Mais moi, Socrate, la contemplation de l
es pointes stationnaires, cette créature universelle qui n’a point de
corps
ni de visage, mais qui a des dons, et des jours,
le vague de la mer ? — Tantôt plus lourde, tantôt plus légère que son
corps
, elle bondit, comme d’un roc heurtée ; elle retom
dis-moi donc, connais-tu point quelque remède spécifique, ou quelque
corps
exactement antidote, pour ce mal d’entre les maux
es ? Nos actes, et singulièrement ceux de nos actes qui mettent notre
corps
en branle, peuvent nous faire entrer dans un état
vrai !… Regarde la palpitante ! On croirait que la danse lui sort du
corps
comme une flamme ! SOCRATE Ô Flamme !… — Cette fi
grande Danse, ô mes amis, n’est-elle point cette délivrance de notre
corps
tout entier possédé de l’esprit du mensonge, et d
mensonge, et ivre de la négation de la nulle réalité ? — Voyez-moi ce
corps
, qui bondit comme la flamme remplace la flamme, v
bien l’affaire de l’âme, mais non jamais, jamais, ce qui est ! Et le
corps
qui est ce qui est, le voici qu’il ne peut plus s
hypothèses, et comme les possibles s’ordonnent et sont énumérés, — ce
corps
s’exerce dans toutes ses parties, et se combine à
res… Cette femme qui était là est dévorée de figures innombrables… Ce
corps
, dans ses éclats de vigueur, me propose une extrê
lle devine l’avenir, l’adjurant même de découvrir le Dieu, — ainsi le
corps
qui est là, veut atteindre à une possession entiè
e la voyons jamais que devant tomber… ÉRYXIMAQUE Elle a fait tout son
corps
aussi délié, aussi bien lié qu’une main agile… Ma
main seule peut imiter cette possession et cette facilité de tout son
corps
… SOCRATE Ô mes amis, ne vous sentez-vous pas eniv
ans un monde sonore, résonnant et rebondissant, cette fête intense du
corps
devant nos âmes offre lumière et joie… Tout est p
ÉRYXIMAQUE L’Athikté cependant présente une dernière figure. Tout son
corps
sur ce gros doigt puissant se déplace. PHÈDRE Son
our d’elle une lie informe et circulaire… Voyez-vous… Elle tourne… Un
corps
, par sa simple force, et par son acte, est assez
Sçavoir, lorsque vous avez les pieds à la deuxiéme position, & le
corps
posé sur les deux jambes : ainsi qu’il est repres
ontre-tems, comme cette seconde Figure vous le represente : elle a le
corps
droit sur les deux jambes, la tête droite, les ge
bras droit qui se trouve opposé : & dans cette attitude ayant le
corps
posé sur le pied gauche, il faut plier dessus, &a
vif & brillant. Si vous le prenez en avant & que vous ayez le
corps
posé sur le pied gauche, vous pliez dessus en lev
ras. Vous devez aussi observer en faisant ce pas en avant, d’avoir le
corps
fort en arriere, & la tête un peu tournée du
, arabesques, groupes, attitudes de genre [1] * Soignez la tenue du
corps
et le port des bras ; il faut que leurs mouvement
cesse une parfaite harmonie dans l’exécution de toutes les parties du
corps
. * [2] * Dessinez-vous avec goût et naturellement
s poses, les attitudes et les arabesques ; car un petit épaulement de
corps
, des oppositions de bras, ou de simples mouvement
49. Remarquez que jusque dans la moindre des poses il faut épauler le
corps
, et surtout la tête (voyez la planc. V, etc.) ; c
nture, ch. CCXLII.] Appliquez-vous à donner un parfait équilibre au
corps
; et pour arriver à ce point certain, ne vous éca
voir de l’aplomb, à former un juste contrepoids des autres parties du
corps
pour se soutenir sur une seule jambe, et même pou
ordinaires, l’ame ne la pouvant recevoir qu’elle ne se répande sur le
corps
: c’est pour cela que les anciens avoient des air
ngué trois sortes de mouvemens dans les Balets, qui sont les ports du
corps
, les figures, & les expressions. Les ports du
les ports du corps, les figures, & les expressions. Les ports du
corps
sont les mouvemens harmoniques ou les pas, &
istinguent des autres danses, qui ne sont que de simples portemens du
corps
, ajustez à la cadence & au son des instrumens
ue seulement les tems par la différence des pas & par la chute du
corps
: & presque toutes les danses que l’on danse
ne consiste qu’à faire une belle cadence & de grands portemens de
corps
; ce qu’il appelle danser plus proprement que sça
s firent servir tous ces différens mouvemens pour former l’adresse du
corps
aux exercices des danses militaires, & pour l
utres fameux Musiciens dans la premiere antiquité, qui émouvoient des
corps
insensibles par la douceur de l’harmonie des inst
la Musique naturelle, par l’examen qu’il a fait de la composition du
corps
humain, qui n’agit, à ce qu’il dit, que sur les p
qu’il dit, que sur les principes de cette Musique. Il prétend que le
corps
humain est un instrument harmonieux, orné d’une v
régles pour faire agir de concert les 242 parties principales dont le
corps
humain est composé, & que le poulx y est étab
être de quatre mille fois dans une heure, quand toutes les parties du
corps
sont bien organisées ; ce qui l’entretient dans u
ame, dit encore que l’ame est une harmonie qui combat les passions du
corps
, ou qui les accorde, comme un Musicien fait raiso
e la Musique naturelle, & de sa conformité avec l’organisation du
corps
humain, que les Médecins dans l’antiquité étoient
ncore des mouvemens en l’air que l’on fait d’une jambe pendant que le
corps
est posé sur l’autre, & qui rendent la danse
iere, & se porte à la quatriéme position derriere, & poser le
corps
dessus pour en faire autant de l’autre jambe ; on
faire autant de l’autre jambe ; on doit en faisant ce pas effacer le
corps
du même côte que vous faites les batemens ; c’est
terres rectilignes, massifs ou corbeilles, forment le jardin animé du
corps
de ballet. Être un élément ductile et actif de ce
euse dégage à la grande seconde et, pendant que ses bras impriment au
corps
un mouvement rotatoire, la jambe d’appui, par un
jambe agissante enveloppe d’un vaste cercle l’ascension verticale du
corps
qui vire en montant. En exécutant à trois reprise
nt en arcs altiers, aux bras élégants, longs, un peu secs, au port de
corps
royal, voire un peu rigide, aux jambes fines quoi
, s’enveloppe de ports de bras mélodieux, s’alanguit en portements de
corps
passionnés. Je ne sais si le nom de Mlle Roselly
ait d’essence spirituelle ; les linéaments fluides et allongés de son
corps
de Péri paraissaient autant de hiéroglyphes au se
ches et ces formules simplistes par le rayonnement merveilleux de son
corps
bronzé qui se revêtait dans ses moindres mouvemen
se en symbole plastique, en formule dynamique, en geste rythmique. Le
corps
du danseur, aguerri par la discipline, adapté au
essentielles. Mais, beauté suprême, la danse ayant pour instrument le
corps
dompté et transfiguré, le schéma idéal, le théorè
instrument concertant », trouverait dans les évolutions d’ensemble du
corps
de ballet une base harmonique puissante ; des bal
jours été heureux. Dans la maladie invétérée qui travailloit ce grand
corps
, on crut devoir lui donner pour directeur un méde
eur un médecin. Mais il n’en est par de cette grande machine comme du
corps
humain ; le pauvre docteur qui connoissoit à merv
ardentes, ni les convulsions ni le délire qui agitoient sans cesse ce
corps
vicieux et mal constitué. Le Sr. de Vismes fut no
’excellens chanteurs et par un orchestre admirable, laissa à payer au
Corps
Municipal et au Roi 807376 liv. Cependant à cette
d’éloigner ou d’approcher les pieds dans une distance mesurée, où le
corps
soit dans son équilibre ou à plomb sans se trouve
e rare génie trouva que rien n’étoit plus important pour maintenir le
corps
dans une attitude gracieuse, & les pas dans u
e l’année passée. Mais combien je préfère le pandæmonium de jadis, le
corps
à corps furieux des deux publics de 1913 à l’appr
e passée. Mais combien je préfère le pandæmonium de jadis, le corps à
corps
furieux des deux publics de 1913 à l’approbation
rs, inerte. Une convulsion subite lance latéralement dans l’espace le
corps
engourdi comme par le tétanos, rigide comme un ca
me une trombe, n’atteint pas aux secousses terribles qui faisaient du
corps
gracieux de Marie Piltz cette chose lamentable, d
de tous ses membres et jusque dans ses entrailles les oscillations du
corps
sonore. Un écrit de M. Valéry est un dédale sans
us éprouvée, les formules non spécifiées. Les mouvements conjugués du
corps
de ballet paraissent multipliés à cause de leur s
iroir de ses forces (le sol) ses appuis alternés, le talon versant le
corps
vers la pointe, l’autre pied passant et recevant
versant le corps vers la pointe, l’autre pied passant et recevant ce
corps
et le reversant à l’avance. Cette élégante théori
hèdre, le sensitif qui déjà balbutie, s’arrache à la contemplation du
corps
transfiguré pour suivre « sur le sol sans défaut,
’Athikté flambe et se consume… « On croirait que la danse lui sort du
corps
comme une flamme… Dévorée de figures innombrables
toires. « L’Athikté cependant présente une dernière figure. Tout son
corps
sur ce gros doigt puissant se déplace. Son orteil
ou-de-pied fléchir et se tendre, et la jambe agissante faire virer le
corps
par son impulsion véhémente. Mais sommes-nous enc
ut l’antithèse de la chair et de l’esprit ; c’est là son miracle. Ces
corps
pantelants, baignés de sueur, ces muscles qui se
divers pas de danse, le tracé de la trajectoire de certains points du
corps
de la danseuse, particulièrement de la tête et de
es hommes et des animaux. Ce procédé consiste à fixer sur un point du
corps
une petite lampe électrique à incandescence. La p
« affinités électives ». 1. Jusque dans les instants suprêmes, le
corps
de ballet de M. Paul Valéry danse selon les tradi
Mégare, est nécessairement tyrannique ». La chorégraphie astreint le
corps
pantelant à la forme et accorde la pulsation fiév
tiré d’Aristote et qu’il traduit ingénieusement avec « portements du
corps
». « Figure, est de suivre un chemin tracé avec a
l pourrait y avoir d’incertitude dans son exécution. Mlle Osorio a le
corps
des derniers torses de jeunes filles que Rodin ex
Argentina. Par contre certains déhanchements, certains portements du
corps
ont déjà l’allure magnifique des grandes Espagnol
. Elle a disposé les groupes et dirigé le mouvement d’ensemble de son
corps
de ballet avec simplicité et symétrie. Si le résu
s. L’interprétation est honorable, régulière sans être éclatante ; le
corps
de ballet, assez bien éduqué, est à la hauteur de
re chose que la belle manière d’exécuter les différents mouvements du
corps
, de composer son maintien et de se présenter avec
proportions dans les membres, de ces mouvements prestes et souples du
corps
, on ne voit trop souvent se développer que des tr
voit trop souvent se développer que des traits durs, une habitude du
corps
lourde et matérielle, effet nécessaire de la viol
ée, les genoux crochus et butants, les pieds en dedans, l’habitude du
corps
chancelante, conservant à peine le centre de grav
ions ; elles sont autant de ressorts qui déterminent les attitudes du
corps
, les mouvemens des jambes, les dévoloppemens des
avoir d’inflexions ni contraster agréablement, avec les positions du
corps
, c’est donc l’étude de cette union et de cette ha
ncipes sûrs, si l’on n’a aucune notion de la construction physique du
corps
humain ? un maître criera, faites ceci comme moi,
par les muscles extenseurs du pied, et la résistance est le poids du
corps
qui si ; trouve entre le talon où agit la puissan
s os joints ensemble par des ligamens, et mûs par des muscles, que le
corps
de l’homme se soutient, qu’il se lève, qu’il se b
oints mobiles que la nature à ménagés dans la magnifique charpente du
corps
humain, pour l’obliger d’obéir aux volontés de l’
à toutes les positions, de la vie et de l’ame a tous les mouvemens du
corps
; si elle ne joue point avec grace, si elle ne co
bras et leur donner de la grace ; ce n’est que par les effacemens du
corps
qu’on trouve l’art de les faire paroître plus cou
, pour résister aux ébranlemens divers, et pour supporter le poids du
corps
qui devient considérable, lorsqu’après s’être éla
retombe. C’est dans cet instant d’affaissement et de gravité que, le
corps
acquiérant un poids considérable et proportionné
s une force supérieure, qui pût lutter contre le choc et maintenir le
corps
dans son équilibre et dans son à-plomb. Ce n’est
n tournés en dehors, en observant qu’ils le soient bien également, le
corps
d’aplomb, la tête droite, le menton en arrière, l
t le talon, les jarrets tendus, observant qu’en détachant le pied, le
corps
et la tête ne fassent aucun mouvement. Voyez la
pas composez, par des sauts cadencez, & par tous les mouvemens du
corps
, soutenus de bonne grace, & conforme à la cad
s premieres instructions que l’on donne à la jeunesse, pour former le
corps
& réveiller l’esprit ; elle peut aussi tenir
e parfaite, qu’il falloit qu’on donnât ses premiers soins à régler le
corps
, avant que de former l’esprit par l’étude des Sci
suivant les régles de l’art ; les deux autres passions, en rendant le
corps
souple & léger. Ainsi la Danse prophane n’a p
ndiens idolâtres. Nous la voyons même en usage dans les cérémonies du
Corps
du Parlement de Paris, & d’autres Tribunaux d
core aujourd’hui pour la nation la plus agile à tous les exercices du
corps
, vû qu’ils s’exerçoient à la Danse dans les salle
xcellent danseur qui faisoit cent postures différentes, & dont le
corps
souple & l’esprit ingénieux sçavoit tout cont
l’harmonie. Alors un fameux Pantomime du tems de Néron, qui avoit le
corps
souple & les gestes excellens, pria Démétrius
ême, & non pas sa représentation, & que ce Pantomime avoit le
corps
& les mains parlantes, comme un Comédien qui
differens pour représenter un Ballet, qu’il falloit que dans un seul
corps
il y eût plusieurs ames. J’ai vû dans un spectacl
produire les meilleurs Danseurs de la Gréce. Quant aux perfections du
corps
pour bien exprimer la danse, les Anciens vouloien
seur ou le Pantomime ne fût ni trop gras ni trop maigre, qu’il eût le
corps
ferme & souple tout ensemble, pour se pouvoir
es nordiques, leur élégance sans mièvrerie, cette culture sportive du
corps
qui est une base souvent précieuse de la culture
cours ; il aurait été bien fait si un cou trop court ne donnait à son
corps
athlétique quelque chose de tassé. Il avait oubli
arrive que l’on ne se releve pas avec la même facilité, outre que le
corps
sort de son équilibre, ce qui fait faire des cont
si l’on croise les pieds, cela fait aller de travers & dérange le
corps
, c’est à quoi on ne peut trop prendre garde : il
i vous en donne la facilité, parce que par son mouvement il oblige le
corps
de ce tourner du côté qu’il s’étend. A l’égard de
s avec les bras, parce qu’outre que ces pas donnent de la legereté au
corps
, ils donnent aussi aux bras cette liberté.
inclinant avec un art enchanteur et tournant avec souplesse son beau
corps
. » (Métastase, Considérations sur l’art poétiqu
épaules qui se mettent simultanément en mouvement avec une partie du
corps
en raison de l’impulsion ; et ils se soutiennent
soutiennent élevés, tant que le mouvement est accompagné de celui du
corps
, dont les reins se courbent, et de l’élans qui se
haut, alors le mouvement destiné à se porter en avant, place aussi le
corps
en avant au moment du saut, et celui qui le porte
gnet 5 5 Rond du coude de haut en bas 7 3 Cette premiere Figure a le
corps
posé sur le pied droit à la 4e. position 1. le ta
que vous avez plié, (ce que l’on peut dire être dans l’équilibre) le
corps
est sur la pointe du pied droit 3. la jambe gauch
e dernier tems, vous posiez le pied qui est derriere à terre & le
corps
dessus : afin de faire des demi-coupez en arriere
de l’orchestre n’étoient pas plus magnifiquement traités. Les grands
corps
de ballet n’excédoient pas le nombre de seize dan
ntroient partout, et cette prodigalité devenoit complette, lorsque le
corps
de ballet, vêtu dans le même genre se réunissoit
ainsi que je viens de le dire, les pieds à la quatriéme position, le
corps
également posé ; je suppose que le pied droit soi
tes encore plié, & vous vous relevez du même tems en rejettant le
corps
sur le pied gauche, & assemblant par ce mouve
’âme, et découvrir ses sentiments par les gestes et les mouvements du
corps
: enfin il doit avoir le secret de voir partout c
ambades, de sauter ou courir en cadence, ou tout au plus de porter le
corps
, ou de marcher avec grâce, et sans perdre l’équil
signes, et par des mouvements des jambes, des genoux, des mains et du
corps
: et rien ne ressemble plus à la Danse, que l’emp
s sont formels à cet égard. Or comme tout ce qu’on fait en mouvant le
corps
et ses membres sur une marche notée et en cadence
anse Pantomime véritable, ou l’art de mouvoir les pieds, les bras, le
corps
en cadence au son des instruments, et de rendre i
nature de son Art ne peut le permettre. Il faut même qu’il s’aide du
corps
de Ballets pour leur donner une étendue raisonnab
une étendue raisonnable, et pour laisser reposer ses personnages. Le
corps
des Ballets joue dans nos Pièces le rôle que joua
l’appui se trouve à l’extrémité du pied, la résistance ou le poids du
corps
porte sur le cou-de-pied, et la puissance qui élé
comme le levier est plus grand dans un pied long et plat, le poids du
corps
est plus eloigné du point d’appui, et plus près d
du point d’appui, et plus près de la puissance : donc la pesanteur du
corps
doit augmenter, et la force du tendon d’Achille d
tions, et je connois des danseurs qui, par le moyen des effacemens du
corps
, dérobent habilement la longueur de leurs bras ;
t trapu doit être lourd : ce principe est vrai quant au poids réel du
corps
, mais il est faux en ce qui concerne la danse ; c
dans l’instant de la chûte aux plus fortes, c’est a dire, au poids du
corps
, qui acquiert, à proportion de la hauteur, dont i
i diminue considérablement, et qui peut même être insensible quand le
corps
peut se maintenir dans une ligne exactement perpe
certains aspects, chose très vénérable. Toute époque qui a compris le
corps
humain, ou qui a éprouvé, du moins, le sentiment
éduit de la vie même, puisqu’elle n’est que l’action de l’ensemble du
corps
humain ; mais action transposée dans un monde, da
lui apparaît aussi que, dans l’état dansant, toutes les sensations du
corps
à la fois moteur et mû sont enchaînées et dans un
e qu’il sait, ou croit savoir. Il tente d’approfondir le mystère d’un
corps
qui, tout à coup, comme par l’effet d’un choc int
ment spontanée, mais étrangement savante et certainement élaborée. Ce
corps
semble s’être détaché de ses équilibres ordinaire
re sans réserve et de s’abandonner à ce qu’il voit. Il observe que ce
corps
qui danse semble ignorer ce qui l’entoure. Il sem
naire, et procède la marche, cette prose du mouvement humain. Oui, ce
corps
dansant semble ignorer le reste, ne rien savoir d
omplètes (qu’aucune circonstance de la vie ordinaire n’exige de notre
corps
), ce sourire même qui n’est à personne, tous ces
quelques spectacles à l’amusement des yeux qui le considèrent ou des
corps
qui s’y livrent, est tout simplement une poésie g
ctères essentiels de cette action, la détache, la déploie, et fait du
corps
qu’elle possède un objet dont les transformations
lait à l’Académie royale de Musique. La barrière s’abaissait entre le
corps
de ballet et les virtuoses du cancan ; elle n’exi
e Banville évoquait les splendeurs des années précédentes où Tout le
corps
de ballet marchait comme une armée. ……………… La dan
ù cette race privilégiée faisait évoluer, au son des instruments, les
corps
admirables de ses éphèbes et de ses femmes ? Et s
âges du monde, ne fut d’abord qu’un mouvement naturel et spontané du
corps
. Dans ces tems d’une rustique simplicité, quelque
uite les règles s’établirent au son des instrumens et de la voix ; le
corps
s’agita en cadence ; les bras s’ouvrirent ou se f
danse que la jeunesse doit cette souplesse dans toutes les parties du
corps
, cette légèreté dans tous les mouvemens qui se fo
arder l’execution. Ayant donc le pied gauche devant, vous apportez le
corps
dessus, en approchant le pied droit auprès du gau
ibre, & de suite vous posez le talon droit à terre, pour avoir le
corps
plus ferme, & plier du même tems sur le droit
revenant de la droite à la gauche ; voicy la maniere de le faire. Le
corps
étant sur le pied gauche vous pliez dessus, ensui
’est celui qui fatigue le plus, parce qu’il soutient tout le poids du
corps
dans son équilibre : aussi est-il des plus nécess
que la hanche qui conduit le pas, mais le cou-de-pied qui soutient le
corps
& qui perfectionne ce pas en le faisant coule
l’appui se trouve à l’extrêmité du pied, la résistance ou le poids du
corps
porte sur le coudepied, & la puissance qui él
me le levier est plus grand dans un pied long & plat, le poids du
corps
est plus éloigné du point d’appui & plus près
u point d’appui & plus près de la puissance, donc la pesanteur du
corps
doit augmenter & la force du tendon d’Achille
ns, & je connois des Danseurs qui par le moyen des effacements du
corps
dérobent habilement la longueur de leurs bras ; i
; trapu doit être lourd ; ce principe est vrai quant au poids réel du
corps
, mais il est faux en ce qui concerne la Danse, ca
dans l’instant de la chûte aux plus fortes, c’est-à-dire au poids du
corps
qui acquiert à proportion de la hauteur dont il t
iminue considérablement & qui peut même n’avoir pas lieu quand le
corps
peut se maintenir dans une ligne exactement perpe
cette jambe reste un long instant en suspens, vibrante, tandis que le
corps
porte sur la demi-pointe de la jambe d’appui. Je
de logique constructive : grand battement, relevé sur les pointes. Le
corps
de ballet-orchestre reprend le thème, le varie, p
tudes calquées sur des documents très authentiques. Elle astreint son
corps
aux déformations de perspective propres au bas-re
ule de Quinault. Quand on a spontanément admiré les proportions de ce
corps
admirablement discipliné qui fait songer à la « f
[Épigraphe] Les bons principes de la danse sont au
corps
ce que la bonne lecture est à l’esprit.
des ignorants, il faut expliquer en quelques lignes l’organisation du
corps
de ballet. Je le ferai en me reportant à l’époque
jeunes personnes qui commettaient une autre erreur. L’organisation du
corps
de ballet a peu changé depuis vingt ans, Ce sont
as augmenté, ils ont même plutôt diminué ; ceux des autres membres du
corps
de ballet et des employés de l’Opéra ont sensible
ec les gens du monde, mettent en lumière la pénétration réciproque du
corps
diplomatico-politique, du corps chantant et cabri
lumière la pénétration réciproque du corps diplomatico-politique, du
corps
chantant et cabriolant. Des chefs-d’œuvre discuté
e avec ses bras. Ce n’était pas seulement ses pieds, mais c’était son
corps
entier qui dansait, son visage même dansait ; ell
ut se préparer dès l’âge de huit ans, parce qu’à cet âge seulement le
corps
se montre assez souple pour se prêter aux cinq pr
aient, apprenaient aux gens de la cour les grâces et les attitudes du
corps
: ces choses-là autrefois avaient une importance
ur les hommes, un pour les femmes, et allongé d’un tiers les jupes du
corps
de ballet : « Voulez-vous me plaire ? disait-il à
a Révolte au Sérail, conte Véron, pendant les manœuvres militaires du
corps
de ballet, il se formait sur la scène un conseil
ez un des interprètes de Manon. Non, j’en conviens, chez ces dames du
corps
de ballet, mais chez l’artiste qui chantait Lesca
se contente pas d’accompagner l’émission du son par des portements du
corps
à l’avenant où d’écarter ses bras comme un nageur
ourent. id. 22. compose de ceux, lises : compose de deux. 145. 19. le
corps
acquierant, lisés : le corps acquérant. 151. 1. p
ux, lises : compose de deux. 145. 19. le corps acquierant, lisés : le
corps
acquérant. 151. 1. peindre des différes, lises :
: en vous relevant de votre seconde reverence, vous laissez poser le
corps
sur le pied droit ; & vous portez le pied gau
p; vous portez le pied gauche à la quatriéme position, & posez le
corps
dessus en presentant la main à la Demoiselle &
aut faire deux pas, 2. du côté gauche, vous devez pour lors, avoir le
corps
droit, & en passant à vos deux pas en avant,
aule, c’est la retirer un peu en arriere, en se presentant le haut du
corps
presque devant) néanmoins en continuant de faire
x mains en levant vos deux bras à la hauteur de la poitrine, & le
corps
même se plie. 90. En presentant les mains à la
n doit entendre par Coriphées, Monsieur, ceux qui sont à la tête des
corps
de ballets. Ils en sont l’Elite ; ils doivent, av
pût les appercevoir, et je promis de les remplacer par l’élite de mon
corps
de ballets, de lui f’aire faire tous les gestes p
eloit et tomboit mourant. Lyncée et Hypermnestre se jettoient sur son
corps
ensanglanté : déjà la mort s’imprimoit sur ses tr
le tombe a génoux, ainsi que Clytéimnestre, Egiste et leur suite : Le
corps
humblement combé et les yeux attachés vers la ter
es il le lui plonge dans le sein. Clytémnestre voulant couvrir de son
corps
celui de son amant reçoit les coups que la rage d
t, il tombe sur les marches du tombeau ; Electre se précipite sur son
corps
mourant, les furies et leur suite (qu’elle est ce
Position du poignet et des doigts. Fig. 3. Opposition, épaulement du
corps
; demi-bras en opposition, et jambes à la troisiè
e position sur les pointes. Planche II Fig. i. Position du
corps
, des demi-bras et jambes à la quatrième position
Beethoven, courir Chopin, trotter Gluck. Proclamée la rédemptrice du
corps
qu’elle affranchissait de toute entrave conventio
ue je nommerai gourmontienne et une sensibilité très pure habitent un
corps
malingre et difforme. Infirme, il se traîne pénib
u bien son regard plonge des estrades élevées dans l’écume fraîche du
corps
de ballet. À peine les féroces stridences du jazz
allègre tourbillon. C’est M. Sandrini qui a réglé les évolutions d’un
corps
de ballet jeune et actif que certains théâtres su
uers, auquel les Stoiciens (rauis de tant de merueilles) ont donné vn
corps
& vne ame, l’estimant estre vn animal de natu
ne pas employer moins de temps, & de solicitude aux exercices du
corps
qu’à ceux de l’ame : il ne veut pas qu’on les esl
dans, lesquels (comme s’ils auoyent conspiré contre la gentillesse du
corps
) souffrent seulement à leurs Escoliers certains e
e leur dira en ma faueur que les assemblées & les festins font vn
corps
qui ne peut estre animé que de la danse. Ie leur
: l’enuie pousse ceux-là au mespris de la danse, pour n’auoir pas le
corps
disposé à receuoir les graces qui ne peuuent estr
ommuniquer à tous ceux qui ont de la raison sans esgard à la forme du
corps
, & c’est à quoy le dernier vise principalemen
amp; l’enuie, mais la danse a cela de particulier, que quiconque a le
corps
mal faict est incapable des graces qui l’accompag
cution. De même une danse est-elle, par définition, le mouvement d’un
corps
, — ballerine ou poupée articulée — se déplaçant s
nte dans un espace calculé d’avance. Dans la danse théâtrale c’est le
corps
humain qui devient matière à création plastique,
es mouvements ? Elle peut être un jeu divin, floraison spontanée d’un
corps
harmonieux, l’émanation d’une sensibilité ou bien
. Abolie toute gymnastique abstraite ! Abolie la lucide conscience du
corps
comme élément tectonique ! L’expression règne en
re et rejetiez les bras noués en arrière, encerclant la tête. Tout le
corps
figurait une courbe puissante et unique, tendue,
récompensée : car la courbe altière de ce mouvement sauté enlevant le
corps
qui retombe verticalement comporte une notion sym
. Essayons de la rendre moins obscure. L’opposition d’une partie d’un
corps
solide quelconque, qui se meut, à une autre parti
anser avec les jambes ; il faut aussi danser avec les bras et avec le
corps
. « Les bras qui accompagnent bien le corps en da
avec les bras et avec le corps. « Les bras qui accompagnent bien le
corps
en dansant, font comme la bordure fait à un table
ements. Mouvements en l’air que l’on fait d’une jambe, pendant que le
corps
est posé sur l’autre. Il y en a de trois sortes,
Ayez la tête droite et la ceinture ferme ; c’est par ce moyen que le
corps
se maintiendra dans une situation avantageuse, et
cez la poitrine, et laissez tomber les bras naturelle-mente à côté du
corps
. Pour ce qui regarde la position naturelle des br
jusqu’à onze heures du soir, et que le public regarde comme autant de
corps
célestes, n’ont pas la moindre analogie avec ceux
x qui composent le systême planétaire. J’ai entendu dire que tous les
corps
qui composent l’univers tendoient à se rapprocher
es distances. Cette loi immuable de la nature ne fut jamais celle des
corps
pirouettans de l’opéra ; ils n’ont aucune propens
ésentation d’une action par les gestes, les pas, et les mouvements du
corps
, sont donc ce qui constitue le ballet. Il est une
les commencements pour exprimer la joie ; et ces mouvements réglés du
corps
, firent imaginer bientôt après un divertissement
nt à la paume. Les anciens, attentifs à tout ce qui pouvait former le
corps
, le rendre agile ou robuste, et donner des grâces
ale] Leurs danses étaient un tableau fidèle de tous les mouvements du
corps
, et une invention ingénieuse qui servait à les ré
fertiles d’invention, leur suggérèrent les gestes, les mouvements du
corps
et les figures, pour se faire entendre les uns au
et. (B) Danse Danse, s. f. (Art et Hist.) mouvements réglés du
corps
, sauts, et pas mesurés, faits au son des instrume
sensations ont été d’abord exprimées par les différents mouvements du
corps
et du visage. Le plaisir et la douleur en se fais
. Le plaisir et la douleur en se faisant sentir à l’âme, ont donné au
corps
des mouvements qui peignaient au-dehors ces diffé
gestes relatifs aux différents sons dont ce chant était composé : le
corps
alors s’est agité, les bras se sont ouverts ou fe
, les traits du visage ont participé à ces mouvements divers, tout le
corps
a répondu par des positions, des ébranlements, de
i conduiroient les artistes à la droite et à la gauche du théâtre. Ce
corps
de bâtiment serviroit aux loges des acteurs, des
la précision du service, il seroit éloigné de huit toises au moins du
corps
de l’édifice ; cette distance formeroit une cour
e à la manœuvre perpétuelle des ouvriers, à l’entrée des acteurs, des
corps
de danse, des chœurs, et des comparses, donneroit
de parler, il feroit de la plus absolue nécessité de construire deux
corps
de bâtiment placés sur l’alignement de la partie
on du spectacle de la république et des arts, eût huit hommes pris du
corps
des pompiers, ils ne quitteroient point le théâtr
e pouvoient être d’aucuns secours ; celui que je place entre les deux
corps
de batimens, et ceux que j’établis sur les côtés
qui formeroient à l’extérieur, (si on le croyoit indispensable), deux
corps
avancés. Je dois répéter que ces deux salles sont
si ridiculement placées ; rien de si faux que ce jour qui frappe les
corps
du bas en haut ; il défigure l’acteur, il fait gr
e son expression. La lumière, où les rayons du jour frappent tous les
corps
de haut en bas : Tel est l’ordre naturel des chos
cercle, on y ménage des foyers de lumière qui seront réfléchis par un
corps
lisse et poli ; que l’on donne à ce corps la form
qui seront réfléchis par un corps lisse et poli ; que l’on donne à ce
corps
la forme cycloïdale, qui est celle dont il peut r
vie strictement le plan qui auroit été couronné au concours. Les deux
corps
de batimens réguliers, les deux batimens qu’on él
▲