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1 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
tant de gens bornés et oisifs, que tout ce qui sort un peu de l’ordre connu , y excite nécessairement une sorte de fermentatio
. On parla Musique sans la savoir, et on disputa sur la Danse sans la connaître . On compara, on plaisanta, on rit ; et l’Art qu’o
si elle fût venue dans un siècle, où la Danse théâtrale eût été mieux connue . Ce serait, au reste, une grande erreur de croire
se de nos jours, les Danseurs et les Compositeurs de Ballets même, ne connaissent , n’ambitionnent, ne cultivent que la partie mécan
it sur ce genre de composition si fort estimé de son temps, et si peu connu du nôtre. 52. On trouvera une partie de l’histo
2 (1860) Mémoires de Rigolboche « Dédicace. A Mané de l’Indépendance belge » pp. 1-4
e, — je ne sais pas accepter une politesse sans la rendre. Je ne vous connais pas, et je ne veux pas vous connaître, parce que
itesse sans la rendre. Je ne vous connais pas, et je ne veux pas vous connaître , parce que quand un homme se cache, c’est qu’il n
illant à ma réputation vous avez un peu travaillé à la vôtre. On vous connaît parce que j’existe. C’est de l’amour-propre, n’es
3 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre III. Obstacles au Progrès de la Danse »
t qui se sont glissés parmi nos Danseurs du Théâtre ; pour leur faire connaître à eux-mêmes, la nécessité qu’il y a de les réform
ecte au plan général qu’il ignore, et qu’il ne s’embarrasse guères de connaître . Or, ce seul inconvénient, tant qu’on le laissera
ndant un contre-sens insupportable aux yeux du peu de Spectateurs qui connaissent le prix de l’ensemble. 2°. S’il y a huit Danseurs
pour le Théâtre Lyrique, sans excepter même la Motte, ne paraît avoir connu la danse en action. Fuzelier est le seul qui dans
4 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
s raisons pour cela. Je suis blonde. V Ève, — la première biche connue , disent toujours ces poëtes amoureux, — était blo
e nuancée, c’est que les femmes qui la composent sont ou bien ou mal. Connaissez -vous une rousse gentille ? Elle est accomplie ou
d’aimer les vieilles femmes deviennent de plus en plus rares. Je n’en connais même plus. La femme dont les cheveux sont gris ou
térature, si vous vous mettez à l’aimer, vous êtes sans excuse. Je ne connais qu’un seul amour qui puisse aller aux grises et a
donné que des indications ; mais, en matière de stratégie, lorsqu’on connaît l’intérieur de la place, la ville, dit-on, est à
tré un seul homme habile à parler aux dames. Je me suis trompée. J’en connais un. Mais celui-là est un véritable malin, qui aur
il employa il y a quelques jours auprès d’une de mes amies : Il ne la connaissait pas, ne l’avait jamais vue, et, nonobstant, un ma
5 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
assidues du Casino-Cadet et des salons de Markouski. Qu’est-ce qui ne connaît pas le Casino-Cadet ? Ce palais de la chorégraphi
e c’est qu’Alice la Provençale ? L’habitué. Ah ça ! mon cher, tu ne connais donc rien ? Alice la Provençale est une charmante
lue comme une collègue. L’ami. Ah ! Marguerite la huguenote ? je la connais  ; on en parle dans l’Indépendance belge, même que
? L’ami. Je n’y tiens pas. L’habitué. Si, laisse donc faire, faut connaître tout le monde… — (Appelant) Eh ! Alice ! Alice
Je suis négociant. Alice. Fais pas attention, ma fille, monsieur ne connaît pas le Casino-Cadet, et il cherche à s’instruire.
veut étudier les mœurs, comme… Eh bien, mon fils, on va le les faire connaître . Ça t’est égal que je le tutoie ? ça me gêne de d
6 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
ielle de l’Opéra Français, que je ne puis me flatter de la faire bien connaître , qu’autant que la composition dont elle fait part
nnaître, qu’autant que la composition dont elle fait partie sera bien connue . Les Grecs ont imaginé une représentation vivante
ls ont exposé sur un Théâtre des Héros dont la vie merveilleuse était connue  : ils les ont peints en action, dans des situatio
rs Compositeurs d’Italie, qui sont presque les seuls qu’on ait encore connus dans les Cours les plus ingénieuses de l’Europe,
s d’étendue de génie que tout le Théâtre des Grecs ensemble. Quinault connaissait la marche de l’Opéra Italien, la simplicité noble
Histoire qui avait déjà son Théâtre, et qui comporte une vérité, trop connue , des personnages trop graves, des actions trop re
que le plus sublime130. En liant à l’action principale la Danse qu’il connaissait bien mieux qu’elle n’a été encore connue, il se m
incipale la Danse qu’il connaissait bien mieux qu’elle n’a été encore connue , il se ménageait un nouveau genre d’action théâtr
7 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
peignant ses prétendus exploits, lui promet de la secourir. Elle qui connaît la forfanterie du Capitan, ne peut s’empêcher d’e
ès mauvais débit. La Vérité se présente à ces deux hommes, qui ne la connurent point. Elle voulut traiter avec eux. À son air de
dont les Musiciens excellents ont l’art de les embellir. 85. Je ne connais que ce seul Ballet qui ait été donné au Public, c
8 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
au-devant d’un ami qu’on rencontre dans la rue. A cette époque, je ne connaissais pas les Anglais, comme j’ai appris à les connaîtr
te époque, je ne connaissais pas les Anglais, comme j’ai appris à les connaître par la suite. Je quittai la table en oubliant de
e carte. Quelle drôle de chose ! De qui cela pouvait-il venir ? Je ne connaissais personne aux Indes. Mais tout à coup je me souvin
oie, et je vis que j’obtenais tout un monde d’ondulations que l’on ne connaissait pas encore. J’allais créer une danse ! Comment n’
ini l’étude de mes danses, je me mis en quête d’un impresario. Je les connaissais tous. Au cours de ma carrière d’actrice ou de cha
ngage une danseuse, il faut que ce soit une étoile. Les seules que je connaisse sont Sylvia Grey et Letty Lind, de Londres. Et vo
elle. Bientôt après, je dus me rendre à l’évidence : puisque j’étais connue comme actrice, rien ne pouvait me nuire davantage
pas l’âge qui compte, c’est le temps pendant lequel le public vous a connue , et vous avez été trop connue comme actrice pour
e temps pendant lequel le public vous a connue, et vous avez été trop connue comme actrice pour nous revenir comme danseuse !
9 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VI. Des Mascarades »
pèces de divertissements assez différents les uns des autres, ont été connus sous le nom de Mascarade. Le premier et le plus a
tenait aussi du grand Ballet, et qui, en allongeant la Mascarade déjà connue , ne fit autre chose que d’en changer l’objet prin
10 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
XI une visite chez rodin La plupart des gens ne connaissent pas le temple d’art de Meudon, que le maître scul
non moins savante que lui. Ils n’étaient jamais venus à Meudon, et ne connaissaient pas Rodin. Ils étaient aussi simples que le Maîtr
je sus qu’ils avaient apprécié et compris Rodin. Ces deux êtres sont connus de l’Univers entier. Ce sont les plus grands chim
et dont j’ai compris la valeur initiale. « Elle a même su nous faire connaître l’Extrême-Orient par ses choix éclairés. « Je sui
11 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse »
un Dialogue vif, ou par quelque événement adroitement amené, on fait connaître au Spectateur le sujet qu’on va retracer à ses ye
lus ou moins bien amené. Cette division n’est pas la seule qu’il faut connaître et pratiquer. Un Ouvrage dramatique est composé d
imable qui vous attend. Anoblissez vos travaux. Étudiez les passions, connaissez leurs effets, les métamorphoses qu’elles opèrent
12 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre III. Objet de cet Ouvrage. »
, sur les erreurs de leurs opinions. Il est des Sociétés choisies qui connaissent le prix des talents, des cercles aimables qui en
ir fuit toujours ; cette jeunesse légère, qui juge de tout, et qui ne connaît encore rien ; ces gens aimables du Monde, qui pro
13 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juillet. Les adieux des Ballets russes. »
imaire », elle a dansé le pas de deux de La Belle au Bois dormant. On connaît cette faculté de Karsavina de créer autour d’elle
à l’Opéra ce danseur inégal, mais capable des plus grandes choses, le connaissent à peine. J’évite les nomenclatures fastidieuses,
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
tre première visite fut pour l’ambassadrice d’Angleterre, que j’avais connue à Bruxelles alors que son mari y représentait le
j’ai une camarade, une danseuse, qui n’a pas encore réussi à se faire connaître , parce qu’elle est pauvre et n’a personne pour la
er. Elle a beaucoup de talent et je désire que les salons viennois la connaissent . Voulez-vous m’y aider ? — Avec plaisir. Que faut
légant. Enfin tous les autres. Soudain l’équipage de la princesse, si connu de tous les Viennois, s’arrêta devant la porte. A
, j’appris que ma danseuse disait à qui voulait l’entendre qu’elle ne connaissait pas Loïe Fuller…
15 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre III. Des différentes espèces de Ballets »
se, pour y être Maître de Musique de l’Église de Saint-Marc, il y fit connaître ces belles compositions. Giovenelli [Giovanelli]
iques. [Voir Ballet] Les premiers furent la représentation des sujets connus dans l’Histoire, comme le siège de Troie, les bat
s étonnants effets ; mais c’est un Art, et peut-être un de ceux qu’on connaît le moins dans les lieux ou il serait le plus néce
16 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre II. Des moyens qui conduisent à la connaissance des Arts »
Sociétés qui se sont formées entre les hommes. Il faut, pour les bien connaître , remonter aux causes premières. Veut-on savoir qu
d’en juger mal, et de leur nuire. Dès qu’une fois, au contraire, on a connu les sources primitives des Arts, il semble que le
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des Romains »
e au hasard, prête à chaque instant à se diviser et à se détruire, ne connaissaient encore aucun de ces liens sacrés, qui rendent agr
qui avaient leurs Dieux particuliers, tous les Peuples enfin du Monde connu , à quelque idole qu’ils aient sacrifié, ont toujo
18 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XI. Des Usages de quelques Peuples, et de certaines Lois de Lacédémone. »
aient au fond qu’un cours réglé des différentes évolutions militaires connues . C’est ainsi que la jeunesse de Sparte apprenait,
t à l’ennemi en dansant. Les mœurs des Éthiopiens, que Lycurgue avait connues dans le cours de ses voyages, lui donnèrent l’idé
19 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Influence constante du bon ou du mauvais Gouvernement sur les Arts. »
t totalement affaiblis, que la science du gouvernement n’y était plus connue , que la Danse elle-même si répandue et si chérie
ornes à la licence, et décerna des prix aux talents. Cet Empereur qui connaissait le prix des beaux-arts, les aurait sans doute sau
20 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XIX. Discours sur les mouvemens en general. » pp. 67-70
bien prendre ses mouvemens ; pour les faire justes, il faut bien les connoître , & pour les bien connoître il faut en sçavoir
our les faire justes, il faut bien les connoître, & pour les bien connoître il faut en sçavoir le mobile ; c’est ce que je va
21 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
aient l’Orchestre des Romains. Il le renforça de tous les Instruments connus . Il joignit des Chœurs de Danse à ses Représentat
la Poésie58. Ce genre tout à fait nouveau (quoique composé d’un fond connu ) formé par le génie, et adopté avec passion par l
mmes contentés à moins jusqu’à ce jour ; et nous croyons de bonne foi connaître , aimer, posséder la Danse. Combien de fois n’ai-j
22 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
ne de 1892, je parus pour la première fois aux Folies-Bergère ; je ne connaissais personne, absolument personne à Paris. Figurez-vo
r. — Mais vous n’êtes pas Loïe Fuller ? Je l’assurai que si. Il avait connue la Loïe Fuller dont on m’avait entretenu à l’hôte
lle, sous prétexte que vous avez aujourd’hui réussi. Tout ceux qui me connaissent savent que de tels procédés ne sont nullement dan
23 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
t les renouvellent sans cesse. Peut-être le Français a-t-il seul bien connu les avantages, les douceurs, les délices de la So
ent-ils pas l’idée d’une autre genre de bonheur, et c’est celui qu’il connaît qui est le seul nécessaire à l’homme. Cependant o
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, vingt-neuvième semaine, lettre du 9 décembre 1666 »
laisir de n’y pouvoir pas être, Car bien du monde, ici, qui pense s’y connaître , Dit que l’artifice en surprend Et que le Spectac
25 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
st merveilleusement liée à la cheville. ÉRYXIMAQUE D’ailleurs, je les connais toutes, et une à une. Je puis vous dire tous leur
AQUE L’étonnante et l’extrême danseuse, Athikté ! PHÈDRE Comme tu les connais  ! ÉRYXIMAQUE Tout ce monde charmant a bien d’autr
et les autres, de leurs intimes… PHÈDRE C’est toi, l’intime !… Tu les connais beaucoup trop bien ! ÉRYXIMAQUE Je les connais bi
oi, l’intime !… Tu les connais beaucoup trop bien ! ÉRYXIMAQUE Je les connais bien mieux que bien, et en quelque manière, un pe
bien mieux que bien, et en quelque manière, un peu mieux qu’elles se connaissent elles-mêmes. Ô Phèdre, ne suis-je pas le médecin 
ération de quelque dent ? SOCRATE Homme admirable, qui par les songes connais les dents, penses-tu que les philosophes aient le
elque chose de socratique, nous enseignant, quant à la marche, à nous connaître un peu mieux nous-mêmes ? ÉRYXIMAQUE Précisément.
 ; et qui n’est même que vie et que mort, car le désir une fois né ne connaît pas le sommeil ni aucune trêve. C’est pourquoi la
quelle confiance simple et singulière j’ai placée, depuis que je t’ai connu , dans tes lumières incomparables : je ne puis t’e
es iâtres le plus versé dans la matière médicale, dis-moi cependant : connais -tu point, parmi tant de substances actives et eff
nes ou détestables, dans l’arsenal de la pharmacopée, — dis-moi donc, connais -tu point quelque remède spécifique, ou quelque co
tence des mortels. Pour quoi sont les mortels ? — Leur affaire est de connaître . Connaître ? Et qu’est-ce que connaître ? — C’est
ortels. Pour quoi sont les mortels ? — Leur affaire est de connaître. Connaître  ? Et qu’est-ce que connaître ? — C’est assurément
rtels ? — Leur affaire est de connaître. Connaître ? Et qu’est-ce que connaître  ? — C’est assurément n’être point ce que l’on est
26 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « [Conclusion] »
ux théâtres ; je veux parler enfin de cette pantomime expressive, art connu , si chéri des Romains, et que ce peuple préférera
et d’harmonie. Il est encore plus nécessaire que le maître de ballet connaisse la musique ; elle doit être en quelque sorte la r
ui ont désiré d’avoir par écrit les principes d’un exercice qu’ils ne connaissaient que par la pratique. Me rendre utile et agréable
27 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222
ne occasion favorable d’avoir un entretien avec Statira ; il lui fait connoître sa passion. La Princesse lui avoue avec l’ingénui
troduit sécrétement dans Babylone. Elle y reste cachée, sans se faire connoître à personne. Alexandre entre dans cette ville en t
28 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
qu’on décompose sans cesse sans l’éprouver, sans le définir, sans le connaître , le sentiment a prononcé en faveur des hautes-con
éâtrale, celle du sentiment, et cette coupe rare que peu d’hommes ont connue , qui est le grand talent du théâtre lyrique, qu’o
danser, comme les musettes, les gavottes, les branles, etc. (S) On ne connaît guère les auteurs des paroles de nos chansons fra
ment a fait naître : les musiciens qui en ont fait les airs sont plus connus , parce qu’ils en ont laissé des recueils complets
, et ils furent une seconde imitation : car dans tous les instruments connus , c’est la voix qu’on a voulu imiter. Nous en devo
sage de la mer Rouge, est la plus ancienne composition en chant qu’on connaisse . Dans l’Egypte et dans la Grèce, les premiers cha
qu’on connaisse. Dans l’Egypte et dans la Grèce, les premiers chants connus furent des vers en l’honneur des dieux, chantés p
eureux temps, etc. du prologue du même opéra. Mais le plus beau qu’on connaisse maintenant à ce théâtre, est le chœur Brillant so
cales qu’instrumentales. Quant aux anciens, comme il paraît qu’ils ne connaissaient pas la musique à plusieurs parties, leurs concert
usique vocale et instrumentale sont rendues. Il est difficile de bien connaître une composition musicale de quelque espèce qu’ell
son gré les sujets qu’il avait, dans un genre que personne ne pouvait connaître mieux que lui ; et comme il avait d’abord saisi u
s de nos jours, ne pouvaient venir dans l’esprit d’un compositeur qui connaissait la faiblesse de ses sujets. Le récitatif d’ailleu
sent toujours la même chose, qu’ils ne servent qu’à prouver que Lully connaissait assez la nécessité de l’expression, pour être tou
ls moyens n’emploiera pas son pouvoir (qu’on a eu l’art de nous faire connaître immense) pour soutenir les intérêts de son amour 
qu’au dernier sublime, on la lui refuse dans les autres parties qu’il connaissait sans doute aussi-bien que celle qu’il a si habile
un contre-sens, et ce chant très beau devient insoutenable à qui sait connaître , distinguer, et réfléchir. Le contre-sens et la l
e, il doit cependant être toujours simple, et tel à-peu-près que nous connaissons la déclamation ordinaire : c’est la manière dont
29 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre V. Premier emploi de la Danse »
hapitre V. Premier emploi de la Danse Le Chant et la Danse une fois connus , il était dans la nature qu’on les fît d’abord se
30 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
es Satyres, et des Muses, allant conquérir les Indes, pour leur faire connaître la vertu, et pour y répandre l’abondance et le bo
les uns des autres. 18. On s’exprime ici conformément à la Physique connue des Égyptiens. 19. On avait institué une Fête pa
31 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »
la source inépuisable de tant de plaisirs, qu’il est difficile de les connaître , de les approfondir, d’en écrire, sans laisser éc
acts de tous les hommes dans la dénomination des Arts qui leur furent connus , ne se seraient pas servis d’un seul mot génériqu
t aisément avec la certitude dans laquelle il aurait dû être, lui qui connaissait si bien l’antiquité, que les Grecs et surtout les
vérité, je souhaite la trouver, j’aspire même à l’honneur de la faire connaître  ; mais je n’ai nulle sorte de prétention à la lég
les ouvrages de poésie, pour les tableaux, pour les spectacles qu’on connaît déjà. Voilà le principe de cette défiance constan
32 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
érée, elle doit être d’une nature grave et réfléchie. Lorsque je l’ai connue elle habitait un appartement sombre, meublé à l’i
e des gestes, de l’attitude évoque la souplesse d’une couleuvre. J’ai connu Gab pendant au moins deux ans avant qu’il m’entrâ
à son travail. — Serait-elle sauvage ? — Oh ! pour cela, oui. Elle ne connaît personne, ne voit personne. Elle est restée tout
tés. Pour la vue il n’y a pas de limite, du moins pour ce que nous en connaissons . En tout cas, nous sommes plus ignorants des chos
e nom », elle répondit : « Comment cela peut-il être ? Ces gens ne me connaissent pas. » Elle ne comprit pas et ne put pas comprend
33 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
n autre. Or toutes les compositions de Quinault nous prouvent qu’il a connu parfaitement l’histoire de la Danse et toutes ses
e Quinault a lié si naturellement à l’Opéra de Phaéton. Ce personnage connu dans la Fable par ses transformations surprenante
que servi. La première est le Siège de Scyros dans Alceste. Lorsqu’on connaît ce que peut exécuter la Danse, on ne saurait être
oyens n’emploiera pas son pouvoir (qu’on a eu l’adresse de nous faire connaître immense) pour soutenir les intérêts d’un si grand
34 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95
nt pas eu beaucoup de successeurs (voyez la note (I), pag. 79). Je ne connais qu’un danseur capable de se montrer avec avantage
de ne plus voir sur leur théâtre, de ce danseur que son père, qui ne connaissait dans l’Europe que trois grands hommes, Lui, Frédé
appelait le Dieu de la danse. 69. Les danses de caractère les plus connues sont : la Provençale, le Bolero, la Tarantelle, l
35 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
me répondit naïvement : — C’est des messieurs très bien que vous ne connaissez pas. » *** Toutes les danseuses n’ont pas eu — c
il, votre mère était une fort honorable commerçante. Je l’ai beaucoup connue … Ici, il fit une pause nécessitée par l’émotion.
de grands yeux étonnés. Le monsieur reprit : — Oui, je l’ai beaucoup connue , il y a dix-huit ou dix-neuf ans. Une lumineuse i
36 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
ndre clairement qu’il ne consultoit pas dans une intention sincère de connoître la volonté de Dieu et de la suivre, mais avec un
amner ceux qui s’en seront déclarés les ennemis ; qui craignent de la connoître  ; qui aiment ceux qui, pour les flatter et leur p
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 10 mars 1669 »
ont partout vous chercher : À votre éclat, à votre mine, Notre esprit connaît ou devine, Et lit dans un je ne sais quoi Les Car
38 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VI. Définition, et Division de la Danse sacrée »
ses commencements, jusqu’au temps de sa plus grande gloire. Je ferai connaître ses succès, et je ne dissimulerai point ses chute
39 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
r un masque au bal, quelque personne que ce puisse être : ce qui fait connoître que ceux qui ont établi le bal masqué, n’ont pas
masquez, parce que le plaisir du déguisement consiste à n’être point connu , & d’y entrer aussi librement qu’aux bals mag
du refus de l’entrée du bal ; desorte qu’ils sortirent sans se faire connoître , après avoir dansé autant qu’ils le voulurent. Le
pour ceux qui étoient morts de cet accident. Ces exemples font assez connoître qu’il est de la prudence des Princes & des gr
40 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
, forcent de voiles et arrivent rapidement sur un bord qui leur était connu et où ils se croyaient en sûreté. Là ils débarque
s qu’on imagina dans les suites pour peindre la volupté. Les Grecs la connaissaient , étaient dignes de la sentir et ils la portèrent
41 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 septembre. Raden Mas Jodjana, danseur classique. »
conservé la tradition, il a passé en Europe avec l’ambition de faire connaître à l’Occident l’art de sa race, cette race si alti
ent l’art de sa race, cette race si altière et si rêveuse que nous ne connaissons que par les romans d’aventures de Joseph Conrad,
42 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
u nom de Madjeska. C’est une des femmes les plus intéressantes que je connaisse . Elle est Polonaise, exilée de son pays et mariée
il possible que deux des personnages les plus célèbres de Paris ne se connaissent pas ? — Ce n’est pas tellement extraordinaire, ré
en chapeau mou. Tout le monde, dans ce public spécial et artiste, le connaissait . On chuchota que la Loïe Fuller était avec lui, e
43 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
De vous avoir vue dans vos si belles danses, il me semble que je vous connais beaucoup, et je suis très contente que vous soyez
me rendis donc chez la Princesse, qui était la seule personne que je connusse en Roumanie, pour lui demander de me venir en aid
Je la regardai un long moment, puis je lui dis : — J’aurais aimé vous connaître sans savoir que vous étiez une princesse. — Mais,
s étiez une princesse. — Mais, répondit-elle, c’est la femme que vous connaissez maintenant et non la princesse. Et c’était vrai.
44 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre V. Des Ballets Allégoriques »
ou Bouffons. Ce n’est que par des Exemples que je crois pouvoir faire connaître ces trois différentes branches de ce grand genre.
45 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IV. Objection : On danse en public. » pp. 175-176
aché qui ne doive être découvert, ni rien de secret qui ne doive être connu . C’est ce qui arrivera au jour du jugement derni
46 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 3 décembre. Danses du « Grand Mogol ». »
aduée qui aboutit au presto, avec l’aisance et l’ampleur que nous lui connaissions  ; la technique de ses pointes, de son cou-de-pied
47 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
e des yeux. La chose drôle, c’est qu’elles ne savaient pas que je les connaissais . Je m’amusai donc beaucoup plus d’elles, et sans
i du Pe-Tchi-Li. Grâce à M. Church, je pus satisfaire ma curiosité et connaître quelques hauts personnages chinois. Lorsqu’ils re
moi et de mes danses colorées, mon amie dit à son voisin : — Vous ne connaissez sans doute pas Loïe Fuller ? — Mais si, madame, r
ez sans doute pas Loïe Fuller ? — Mais si, madame, répondit-il, je la connais presque trop si je peux dire. — Comment cela ? — 
u’elle avait écrit la veille à la dame d’honneur de la Reine, qu’elle connaissait , de venir me voir danser à l’Hippodrome. — Cela r
48 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
ne de me remontrer les dangers et les douleurs de la solitude. Je les connais mieux que vous ; vous ne me direz rien dont je ne
ant souffert et dont je ne veux plus sortir, ni lui ni vous ne l’avez connu . Ma confession serait longue et vous ne la compre
romperais encore. On se modifie, on ne se change pas. Vous n’avez pas connu Mme d’Autremont, vous m’aviez quitté presque à la
ouer que j’avais eu tort de l’accepter de la main de mon père sans la connaître , ou que mon père avait eu tort de croire que tout
s de la lutte de principes qui peut s’engager entre nous. Vous m’avez connu fervent, mais vous ne savez pas à quel point j’ai
49 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147
é. IV Le gandin boursier, qui forme la troisième catégorie, est connu de tout le monde. C’est un bon petit jeune homme
quitte pas, il la braque sur les femmes, comme s’il était à l’Opéra, connaît leurs noms, et deux ou trois fois par an se perme
50 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »
a démontré la faiblesse primitive. [Voir Divertissement] La Mothe n’a connu que la Danse simple. Il l’a variée dans ses Opéra
que je vais écrire. Dans un Opéra, genre faiblement estimé, fort peu connu , et de tous les genres de Poésie Dramatique, le p
51 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
ui se sont données à Paris pendant le cours de la révolution, je n’en connois pas de plus spirituelle, de plus ingénieuse ni de
oit que le dénouement heureux de la fête de la veille. Elle est assez connue par ses détails et son succès pour que je me disp
52 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
l n’avait que des sujets propres à la déclamation ; que d’ailleurs on connaissait à peine la danse de son temps, et qu’elle n’occup
couper ses poèmes de façon que le chant de déclamation (alors on n’en connaissait point d’autre, voyez Coupe, Exécution, Déclamatio
essources du génie, ne faisait cependant que de naître ; ils ne l’ont connu que dans son enfance, mais c’était l’enfance d’He
llement? On parle beaucoup en France de l’opéra italien : croit-on le connaître  ? Voyez Opéra [Article du Chevalier de Jaucourt].
onne encore aux diverses parties de ces sortes d’ouvrages, doit faire connaître aux commençants et quelle est l’origine de ce gen
s soient agréables au public ; c’est surtout cette mécanique très peu connue qui paraît fort aisée, et qui fourmille de diffic
53 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
ngage articulé, et s’exprima avec des gestes qui étoient parfaitement connus . Ce langage muet étoit universellement entendu à
es inventeurs de la pantomime ; mais c’est une erreur ; cet art étoit connu chez les Grecs ; Ampuse et Prothée l’avoient port
nt la danse. Ils commencèrent par réprésenter des pièces parfaitement connues , et que le public savoit presque par coeur. Rome,
54 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VII. Emploi de l’Archimime dans les funérailles des Romains »
, l’orgueil extrême, et beaucoup de ridicules composent le caractère, connaissaient d’avance le sort qui les attendait un jour, par l
55 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XLI. Des ouvertures de Jambes. » pp. 187-189
autre pas qui se fait avec vitesse, cela fait une varieté qui donne à connoître le bon goût que l’on a pour la danse, en gardant
56 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 1er ou 2 décembre : Le Ballet des ballets — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 20 février 1672 »
qu’ainsi je le die, Une pompeuse rapsodie, Qui par ses lambeaux bien connus , Vaut incomparablement, plus Que les plus superbe
57 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Première partie] »
en Original soit en Traduction, sont dans les mains de tout le monde, connaissent les noms célèbres de Pylade et de Bathylle qui vi
Hilverding. Mais on peut assurer hardiment qu’en général nous n’avons connu , pour ainsi dire, que le simple Alphabet de la Da
58 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
age à deux mains, me levai et me mis à faire un discours. Ceux qui me connaissent peuvent se figurer à quoi ressemblait ce discours
pareil à l’œil du poisson, répondit le père. Cela me donna l’envie de connaître son impression plus approfondie quant à notre rac
59 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 avril 1922. Comme quoi la danse est un art — ce qui s’en suit —. Un centenaire français célébré en Russie. »
qui est la science des significations. Faisons de même pour la danse. Connaissons sa forme, comme nous voulons connaître la facture
isons de même pour la danse. Connaissons sa forme, comme nous voulons connaître la facture d’un tableau, la mesure d’un vers, — p
60 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 avril. Pour une danseuse morte. — Anniversaire. – Bilan. »
vaient eues de la Bayadère. Que pouvons-nous, nous qui ne l’avons pas connue , trouver d’assez beau pour en orner sa mémoire ?
danse classique dépasse les plus admirables styles de danse que nous connaissions  : le ballet cambodgien et l’orchestique des ancie
61 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre i. sur les fêtes nationales. » pp. 109-115
encore celle du génie et des arts. Vous sentez, Monsieur, et vous me connoissez assez pour être persuadé que mes idées sur cette
ue je donne à mes idées un plus grand développement, vous me le ferez connoître . Je ne saurois soumettre mes reflexions à un meil
62 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre V. Des Bals Masqués »
il semble entièrement appartenir aux Romains. Mais ces derniers l’ont connu fort tard, et il paraît surprenant que les masque
63 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Ressource unique des Danseurs modernes »
son la plus abondante ne tardera pas à vous dédommager de vos peines. Connaissez votre siècle : il aime les Arts. Tout ce qu’ils t
64 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
lit quelquefois dans une seule soirée dix a douze rôles. Le public la connaît et lui tient compte des tours de force qu’elle ac
acteur, il possède un talent réellement remarquable. En outre, je ne connais pas d’homme plus travailleur. Il se lève à neuf h
uccès du théâtre. Ses accompagnements sont pleins de fantaisie, et je connais beaucoup d’habitués que ses variations enthousias
65 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
Seigneur ? Suivons ce qu’il ajoute : (v. 5.) Que votre modestie soit connue de tout le monde. Et voit-on régner dans les dan
ples et naturels par leur institution primitive, ils n’avoient jamais connu ces inventions de la Grèce… Le peuple innocent et
ange, ce seroit se faire tort à soi-même ; parce que ce seroit ne pas connoître ce qui fait les sublimes génies, les rares talens
66 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
us assurer que dans le mien, qui passe pour le plus beau de Paris, je connois très-peu de filles et même de garçons qui sachent
out, et de parler des pays étrangers, sans les avoir habités, sans en connoître l’esprit, le caractère et les mœurs ; il est bon,
67 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Table des principaux sujets traités par ordre alphabétique » pp. 121-124
Avant-propos, 5. B Bacchanale, 67, 95. Ballets, leur origine, quand connus en France, 7, 39. Bras, 57. C Cadence, 36. Canov
68 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre neuvième. Le maître » pp. 96-103
de Paris ; c’est là qu’il se perfectionnera dans son art. 71. J’ai connu des artistes sortis d’une bonne école, et qui, pa
ateur, et le ravisse délicieusement. Voilà l’artiste achevé. 75. Je connais un maître qui jouit à Paris d’une grande réputati
69 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
ullement murmuré parce qu’il pouvait être utile à l’administration de connaître les dispositions et les talents de ce jeune compo
conséquences de cette innovation que l’on cherche à introduire. Je connais , en France seulement, 20 maîtres de ballets (sans
vous ai parlé de tout ce monde, mon cher Courtin, parce que vous les connaissez , car du reste il n’y a pas de nouvelles à donner
70 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
mes volontés, et vous verrez que vous les ferez aussi, quand vous me connaîtrez . — Je ne demande pas mieux, papa Champorel, car j
nt servi voulut absolument m’accompagner, assurant qu’il fallait bien connaître le chemin pour s’y risquer même avec un falot en
auparavant. — Et pourquoi feriez-vous cela, monsieur Odoard ? Vous ne connaissez pas assez mon maître… — Je vous connais assez pou
monsieur Odoard ? Vous ne connaissez pas assez mon maître… — Je vous connais assez pour m’intéresser à vous, monsieur Champore
71 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
t créées. Les noms de Vienne, Londres, Naples, Milan, Turin, lui sont connus et familiers, parce que l’on danse à Vienne, Lond
, que quelques-unes de ces demoiselles écrivent… aux gens aisés. J’en connais une, entre autres, qui a adressé à un noble étran
eurs bonnes. Elles deviennent plus tard leurs intendantes. Et je n’en connais pas de plus probes, de plus économes, de plus dév
page ! Il n’y en a pas cinq qui osent avouer un amant de cœur ! Je ne connais guère que H… M… qui ait eu ce courage : — Pourquo
72 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
le monde sait par cœur ; c’est aussi un ballet qui a obtenu une vogue connue et méritée. — Le programme en est dû à un jeune l
ve piquant d’accepter. — Au dessert, les deux amphitryons, curieux de connaître la beauté qu’ils ont fêtée, imitent Cléofas à lev
en faveur de l’une d’elles, il désirerait les voir de plus près, les connaître plus intimement. « Soit, dit le diable ; elles vo
, puis de Cléofas ; l’une l’a repoussée, l’autre a feint de ne pas la connaître . Asmodée seul, en s’éloignant, lui a glissé ces m
n’ont jamais pénétré dans les coulisses d’un théâtre et qui rêvent de connaître l’envers du rideau, le tableau suivant doit avoir
re que la danseuse se trouve embarrassée ? S’il en est ainsi, vous ne connaissez guère les femmes ! Elles trouvent toujours moyen
taire, dans le boudoir de Dorotea, qui est à sa toilette. Qui de vous connaît les manolas de Madrid ? C’est mieux que la griset
73 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 17 janvier : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
des Espadons, On en vit un, de tous le Maître, Et qu’on put aisément connaître , Malgré tout vain Déguisement, Fredon tout Royal
74 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
êtes de la Cour de France] Je ne m’étendrai point sur les Fêtes trop connues de ce Règne éclatant. On sait, dans les Royaumes
abale puissante suscite contre vous une foule de Juges injustes. Vous connaissez l’auteur de votre disgrâce. La colère vous le pei
75 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvi » pp. 89-95
e peut inspirer. Un maître de ballets, pour se perfectionner, devroit connoître la manière de faire des Dauberval, des le Picq et
, Madame, je n’ai point vu ces deux dernières productions ; je ne les connois que d’après les journaux qui se sont égayés aux d
76 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIII. » pp. 122-133
tions s’attachent à marcher sur les traces des grands-maîtres : je ne connois point leurs productions, et je me garderai bien d
érience, ils choisissent des sujets moins diffus et plus généralement connus , ils abandonnent le Romanesque pour se livrer à d
es arbres, d’autres plantes, d’autres fleurs que celles qui nous sont connues  ; tout doit être vaporeux et peint en demi-teinte
77 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
au bas de l’escalier, nous trouvâmes quelques artistes de passage qui connaissaient les Fiori et qui, prévenus par hasard, accouraien
m’avez rencontrée ici ? — Cela me sera d’autant plus facile que je ne connais encore personne dans ce pays. J’y suis depuis que
hâteau ? — Travailler un an ou deux. Je suis architecte. — Alors vous connaissez le propriétaire ? — Le duc d’Autremont ? Pas enco
me et la fierté de ma vie que ce sentiment-là ! Puisque vous allez le connaître , parlez-lui de moi quelque jour, à l’occasion, et
é, veuf depuis un an, habitant ses terres et de passage à……, où il ne connaissait que le propriétaire du théâtre, chez lequel il ét
78 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IV. Origine de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. »
er. Aussi a-t-elle été définie par les Philosophes qui l’ont le mieux connue , l’Art des gestes. Quoiqu’ils soient tous naturel
79 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VIII. Des Moralités »
positions régulières. Leur singularité seule me détermine à les faire connaître . On en représenta un de cette espèce, pour célébr
80 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Avertissement. » pp. 33-34
mes, de cet avertissement, afin de prévenir les critiques, en faisant connoître mon motif. Il en est un autre dont il faut bien f
81 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
es bons sujets réjouissent ; Bref, qui mieux qu’on ne peut penser, Se connaît des mieux à danser, Soit par haut, ou soit, terre
82 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 3 octobre 1671 »
ite du Croisi, D’esprit, et de grâce pourvue, Et, de vous, assez bien connue  ; Qui, dans deux jours avait appris Ce beau Rôle
83 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
ait une cérémonie du culte de leur Religion ; ce qui commence à faire connoître une Danse Sacrée qu’on doit regarder comme la plu
ès-corrompues, les adopterent bientôt ; & un de leurs Prêtres qui connut dans les Toscans beaucoup d’agilité, se servit d’
84 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »
égler ; la Philosophie en être le guide. La Rhétorique lui enseigne à connaître , à réprimer, à émouvoir les passions ; la Peintur
toire embrasse en effet toute cette étendue de siècles ; mais il doit connaître principalement les Fables les plus célèbres, comm
85 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
e jugera au dernier jour. Notre plus grand intérêt est donc de bien connoître la vérité que J. C. a annoncée et qui est contenu
ièces d’or, ou me faire prendre un poison dont la malignité me seroit connue , pour une mauvais chrétiens qui ne veulent pas y
et marcher dans le chemin de l’enfer, désirons donc sincèrement de la connoître . Mais au contraire, beaucoup de chrétiens, bien l
celui qui agit selon la vérité, s’approche de la lumière, afin qu’on connaisse que ses œuvres sont faites en Dieu. Saint Augus
. 10, c. 23.) « pourquoi ils craignent en différentes occasions de la connoître , en sorte que lorsqu’on la leur dit, on s’attire
ttouchement. En vérité, Monsieur, si je n’avois pas l’honneur de vous connoître , je croirois qu’en me faisant une telle question,
86 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
dées par ce Philosophe. Suivant lui, il faut que le Danseur Pantomime connaisse « la Poésie, la Géométrie, la Musique, la Philoso
et s’il s’en trouve quelqu’un, dans le grand nombre, qui parvienne à connaître les devoirs qui lui ont été imposés par des homme
sieurs, Je suis Oreste, Achille, Agamemnon. 18Comment donc les faire connaître , et démêler par les simples gestes la complicatio
87 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134
e l’Hymen. Divinités célestes. Argument. Ce sujet est assez connu , pour me dispenser d’en donner un programme. On s
étermina à l’épouser ; que la curiosité de cette jeune Princesse pour connaître son vainqueur, qui ne la voyoit que la nuit, exci
, et plus empressé : C’est vainement que Psyché le presse de se faire connoître  ; les refus de l’Amour sont constans ; il veut jo
88 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 24 mai. « Pétrouchka » et « Lâcheté » ou l’histoire vue par le ballet. »
rouve la mort en poursuivant un rêve d’amour : il ne verra pas. Il ne connaîtra ni la honte, ni la faim, ni l’exil. Qui de nous n
89 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 14 juillet. « La Maladetta ». »
Et ce n’est là qu’un exemple. Je dois à la Maladetta d’avoir pu mieux connaître le grand style noble de Mlle Schwarz, sa techniqu
90 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre septième. Des pirouettes ; » pp. 79-87
s les pirouettes ; nos anciens danseurs, ainsi que Noverre 59, ne les connaissaient point, et ils pensaient qu’il était impossible de
planc. VIII. 62. Les positions, les attitudes du danseur, les plus connues et les plus usitées dans les pirouettes, sont à l
91 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
u croire que leur imagination avait dit son dernier mot. Comme on les connaît peu ! Depuis quelques années elles ont découvert
es cheveux, rougit et pâlit tout à la fois, d’autant plus qu’on ne le connaît pas, et « qu’il se glisse bien des filous dans le
92 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
ences mystérieuses que le comte de Cagliostro lui-même. Tout le monde connaît Henry Delaage comme Henry Delaage connaît tout le
tro lui-même. Tout le monde connaît Henry Delaage comme Henry Delaage connaît tout le monde. C’est un charmant et spirituel gar
93 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
nt après eux aucun danger, et que la Reine Catherine de Médicis avait connus à Florence, furent pendant plus de cinquante ans,
de la galanterie de ce temps, elles font voir que la Danse fut un art connu des Français, avant tous les autres, comme il l’a
94 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
t me donna un nouvel aperçu de la raison de l’art et de sa valeur. Il connaissait toutes les circonstances qui avaient entouré la g
ir et je ne le revis plus. Je n’en suis pas moins heureuse de l’avoir connu , car c’était une curieuse et rare figure.
95 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
procha et se mit à causer avec nous. Puis remarquant que nous ne nous connaissions pas, il fit les présentations. J’appris alors qu’
u’il était le fils d’un roi de l’industrie internationale et des plus connus aussi bien à Paris, qu’à Saint-Pétersbourg ou à V
96 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136
leau. En voilà bien assez ; gardons quelque chose pour l’avenir. Vous connoissez les numéros que je viens de vous donner, comme je
ir. Vous connoissez les numéros que je viens de vous donner, comme je connois les vôtres. Attendons le moment ou les rayons bie
97 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE II. » pp. 15-29
? en mon particulier j’en aurois été foiblement étonné, si je n’avois connu le mérite du Compositeur ; cela m’a presque persu
ce qui est nécessaire au beau langage, & qu’il ne suffit pas d’en connoître l’Alphabet. Qu’un homme de génie arrange les lett
98 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre III. Dispute entre Pylade et Hylas. »
ocre. Incapable par lui-même de se frayer des routes nouvelles, il ne connut jamais que celles que son maître lui avait ouvert
99 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juin. Le ballet cambodgien. »
ntales et ne se révèle à nous que d’une manière sommaire. Nous avions connu jusqu’ici deux systèmes chorégraphiques, deux lan
100 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 janvier. Trois vedettes. »
res peintes en blanc, l’un des meilleurs danseurs fantaisistes que je connaisse .
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