n passe dedans un Bois, Où (le Jour étant aux abois) On devait, de la
Comédie
, Avec Concert, et Mélodie, Avoir le Divertissemen
lle gazouillait, Sans qu’elle interrompit l’ouïe, Dans le cours de la
Comédie
. À ce Théâtre si riant, Dressé, je pense, à l’Ori
e par Enchantement, En deux, ou trois jours seulement. Après ladite
Comédie
,134 133. Le Sieur Vigarani 134. C'était le G
Robinet, lettre du 18 octobre 1670 Mardi, Ballet, et
Comédie
,135 Avec très bonne Mélodie, Aux autres Ebats su
leur noble Emploi, Pour divertir notre Grand Roi, L'un, par sa belle
Comédie
, Et l’autre, par son Harmonie. 135. Intitulé L
Divertissement Royal Dont la Cour fait son Carnaval, Est un Ballet en
Comédie
, Je ne crains point qu’on m’en dédie, Ou bien Com
st un Ballet en Comédie, Je ne crains point qu’on m’en dédie, Ou bien
Comédie
en Ballet, Qui, ce dit-on, grandement plaît, Par
660 Dans le Louvre, dernièrement, On eut, pour divertissement, Une
Comédie
en Musique, De Xerxès, Monarque Persique, Dont le
t vrai qu’on m’avait promis Entrée et place d’importance Pour voir et
Comédie
et Danse : Un des Gens de Sa Majesté À cela m’ava
hapitre X. Des Actions principales en Danse Notre Tragédie et notre
Comédie
ont une étendue et une durée qui sont soutenues p
oivent être, mais avec plus de précision encore, les Tragédies et les
Comédies
en Danse : je dis, avec plus de précision, parce
en que j’avais pensé, Je n’ouïs point la mélodie, Je n’y vis point la
Comédie
, Ni le Ballet entremêlé, Ni ce qu’on en avait mou
un coup de sifflet, Ou, du moins, ce n’est pas grand’chose, Ni de la
Comédie
en prose, Qu’on peut nommer certainement Un exqui
u 11 décembre 1660 Enfin, il faut que je le die, Les Ballets et la
Comédie
Se pouvaient nommer, sur ma foi Un divertissement
èrent, Collationnèrent, soupèrent, De mets triés sur le volet, Eurent
Comédie
et Ballet, Et, bref, des yeux et des oreilles S’y
ieux, et follets, Qu'en ravissantes Mélodies, Et, tout au moins, sept
Comédies
, À quoi nos seigneurs les Auteurs, Tant les grand
Dramatiques font paraître depuis assez long-temps des Tragédies, des
Comédies
, des Opéras sérieux, & sur-tout des Opéras bo
e diaprée, On eut, pour le commencement, Le joli divertissement D’une
Comédie
admirable, Dont l’ouvrage était remarquable, Bien
bon gré ses Dents, Tant sont plaisants les Incidents. Cette petite
Comédie
Du crû de son rare Génie (Et je dis tout, disant
Terre. 101. sic 102. de la Troupe du Roi. 103. Personnage de la
Comédie
qui fut jouée.
ant, Composé magnifiquement De ravissantes Mélodies, De Ballets et de
Comédies
, Où la digne TROUPE du ROI Fait miracle, en très
65 […] Après ce divertissement, Qu’ils goûtèrent heureusement, Une
Comédie
agréable, Aussi galante qu’admirable, Par des Act
é, qu’en vérité Chacun s’en retourne enchanté. 97. Le Théâtre sans
Comédie
et les Comédiens Juges et Parties, dont le Sieur
nouveaux frais, Tout de nouveau, l’on fit florès, L’on eut, encor, la
Comédie
, Avec charmante Mélodie, Par cette Troupe, où Flo
donnent un plaisir de Roi, Par de charmantes mélodies, Par de petites
Comédies
, Et par d’agréables Ballets, Un peu plus graves q
s ample et concerté des mieux, Magnifique et facétieux, Étant mêlé de
Comédie
Par les grands Acteurs d’Italie, Qu’accompagnent
t fort à tous par les appâts, De sa personne et de ses pas. 17. La
Comédie
Les Fâcheux. 18. Giraut
somme, Savoir le Bourgeois Gentilhomme, Lequel est un sujet follet De
Comédie
, et de Ballet. 137. sic. 138. sic. 139.
is-je, d’un si bel air Leur affection fait briller, Donnant GRATIS la
Comédie
À quiconque en avait envie, Et c’est-à-dire à tou
eurs surprenants échos, Leurs danses et leurs mélodies, Pastorales et
Comédies
, Se font (foi d’Écrivain loyal) Admirer au Palais
YAL, Si galant et si jovial, Avec diverses Mélodies Et mêmes les deux
COMÉDIES
Qu’y joignit le tendre QUINAULT, Où la TROUPE fai
ttre du 20 août 1661 Mais il ne faut pas que je die Le reste de la
Comédie
, Car bientôt Paris la verra, On n’ira pas, on y c
Loret, lettre du 2 août 166436 Sur le soir, une
Comédie
Très abondante en mélodie, Sujet parfaitement jol
E, Si plaisante et si singulière. Tout est, dans ce Sujet follet De
Comédie
et de Ballet, Digne de son rare Génie, Qu’il tour
YAL, Si galant et si jovial, Avec diverses Mélodies Et mêmes les deux
COMÉDIES
Qu’y joignit le tendre QUINAULT, Où la TROUPE fai
et Bathylle ont rendu autrefois sur leurs Théâtres la Tragédie et la
Comédie
: tous les genres trouvés depuis ne sont que des
quêtes de l’art par la plèbe. Le ciné tend à remplacer le drame et la
comédie
. Le ballet se substitue à la tragédie en vers et
re de danse aux Faiseurs de Farces, et les Danseurs aux Acteurs de la
Comédie
, qui jouent des rôles de Caractère. Qu’on se souv
résentation d’une Scène d’Opéra et d’un Dénouement heureux de quelque
Comédie
, ou à la lecture de quelque Roman. Les compositeu
ositeurs de ces Ballets peuvent être comparés aux Poètes qui font des
Comédies
, des Eglogues, des Pastorales, et les Danseurs qu
écutent avec grâce, avec délicatesse, aux Acteurs de l’Opéra et de la
Comédie
. 38A l’égard de la haute danse des Dupré, des Ve
le Collège de Clermont123 Y voir Jonatas, Tragédie Plus belle qu’une
Comédie
, Qui fait paraître que l’Auteur Est un bon Versif
vraiment un Art, qui marcha vers la perfection d’un pas égal avec la
Comédie
et la Tragédie.
des airs populaires espagnols. Mlle Lolita Osorio est revenue à la
Comédie
des Champs-Élysées pour y danser sur des airs esp
ns leur Placard, Vous en mettre même le Quart. 95. Le Théâtre sans
Comédie
, 96. et les Comédiens Juges et Parties.
, Ni par le plus grand préambule, Théâtre, Salle et Vestibule ; Où la
Comédie
et le Bal, Et même un Cadeau tout royal, Avec des
erçaient cet art. On les plaçait entre les Actes des Tragédies ou des
Comédies
, pour divertir la multitude, qui ne prenait qu’un
s caractères, les traits plaisants, les peintures badines d’une bonne
Comédie
. Qu’on juge du charme d’un Spectacle de cette esp
-ballet Comédie-ballet : on donne ce nom au théâtre Français, aux
comédies
qui ont des intermèdes, comme Psyché, La Princess
s intermèdes. Au théâtre lyrique, la comédie-ballet est une espèce de
comédie
en trois ou quatre actes, précédés d’un prologue.
; et les danses mêlées de chant, qu’on place quelquefois à la fin des
comédies
de deux actes ou d’un acte. La Grotte de Versail
nfin mêlé de l’un et de l’autre, que l’on place entre les actes d’une
comédie
ou d’une tragédie. L’objet de ce divertissement i
s. En France, lorsque Corneille et Molière créèrent la tragédie et la
comédie
, ils profitèrent des fautes des Romains pour les
et d’intermèdes. Voyez Intermède [Article non signé]. L’entracte à la
comédie
française, est composé de quelques airs de violon
par Mlle Germaine Nérys et M. José de Zamora, danseur-costumier, à la
Comédie
des Champs-Élysées. Ce spectacle m’a fait songer
ait le nombre), Dissipèrent tout à fait l’ombre. […] Après le Bal, la
Comédie
Divertit bien la Compagnie, Ouvrage parfait et ch
nouveau, Également galant et beau, Et même aussi fort magnifique, De
Comédie
et de Musique, Avec Entractes de Ballet, D’un gen
able ; il en sort avec fracas des mots graves et sentencieux. Dans la
comédie
, les acteurs chaussés eu sandales de bois, et vêt
emiers. » Il y avoit des masques à deux profils ; ils servoient à la
comédie
; ces masques exprimoient deux sentimens opposés,
son nom, et à l’aide de son masque, sa ressemblance ; ce fut dans la
comédie
des nuées, écrite par Aristophane, que l’homme le
elle il avoit retouché ; car il joignoit au mérite d’exceller dans la
comédie
, celui d’être un des poètes les plus agréables de
demi-sérieuse, que l’on nomme communément demi-caractère, celui de la
comédie
noble, autrement dit le haut-comique ; la danse g
nt dit le haut-comique ; la danse grotesque emprûnte ses traits de la
comédie
d’un genre comique, gai et plaisant. Les tableaux
ifficulté de diviser la danse par emploi, et de suivre l’usage que la
comédie
s’est imposé ? les ballets étant des poèmes, ils
il y a même plus d’apparence qu’ils l’ont été pour la tragédie et la
comédie
. Pour en être plus surs, et pour nous en convainc
’exemple d’Epicharmus et de Phormis, poëtes Siciliens ; il donna à la
comédie
un théatre plus décent et dans un ordre plus régu
nuscrits, sur les pierres gravées, sur les médailles et à la tête des
comédies
de Térence, des masques tout aussi hideux que ceu
res colossales aient été enfantées pour la danse. Enfin, Monsieur, la
comédie
Française à secoué cet usage, non par frivolité,
es de la belle nature s’opposoient à la vérité et à la perfection des
comédies
. L’Opéra, qui, de tous les spectacles, est celui
qu’ils n’intéressent pas davantage que les entr’actes monotones de la
comédie
, et l’on pourra sans danger conserver l’usage de
sque insanis oblectans se. » M. Bossuet, dans ses réflexions sur la
comédie
, (tom. 7, p. 643.) s’applique à montrer que l’ass
ue l’auteur, que M. Bossuet réfute, disoit en permettant d’aller à la
comédie
les jours même de fêtes, qu’elle ne commence qu’a
s raisons que M. Bossuet a employées contre l’auteur apologiste de la
comédie
, qui, non content de la permettre en général à to
criture, la musique doit être importune, et auquel le spectacle et la
comédie
paroissent peu propres, et doivent, ce semble, êt
qu’avec tous les acteurs Qui composent sa Compagnie, Il jouait là sa
Comédie
. Hélas ! le monstre si canard, Qui nous perce16
e embrassait tous les genres de Spectacles, et jouait la Tragédie, la
Comédie
, la Satire et la Farce. [6] Je ne m’étendrai pas
e l’avoue, mais ceux de la plupart des Tragédies sont-ils riants ?Les
Comédies
plaisent par le terrible ainsi que par l’agréable
assisté à une matinée de danse donnée dans la presque intimité de la
Comédie
des Champs-Élysées ; une inconnue, Mlle Anna Broc
généralement, Ne pouvant pas faire autrement. […] Le second jour, la
Comédie
, Par le sieur de Molière ourdie, Où l’on remarqua
laquelle il avoit retouché, car il joint au mérite d’exceller dans la
Comédie
celui d’être le Poëte le plus agréable de sa Nati
demi-sérieuse, que l’on nomme communément demi-caractere, celui de la
Comédie
noble, autrement dit le haut-comique. La Danse gr
prement. Pantomime puisqu’elle ne dit rien, emprunte ses traits de la
Comédie
d’un genre comique, gai & plaisant. Les Table
iculté de diviser la Danse par emploi, & de suivre l’usage que la
Comédie
s’est imposé ? Les Ballets étant des Poëmes, ils
y a même plus d’apparence qu’ils l’ont été pour la Tragédie & la
Comédie
. Pour en être plus surs & pour nous en convai
emple d’Epicharmus & de Phormis, Poëtes Siciliens ; il donna à la
Comédie
un Théatre plus décent, & dans un ordre plus
crits, sur les Pierres gravées, sur les Médailles & à la tête des
Comédies
de Térence des masques tout aussi hideux que ceux
es colossalles aient été enfantées pour la Danse. Enfin, Monsieur, la
Comédie
Françoise a secoué cet usage, non par frivolité,
qu’ils n’intéressent pas davantage que les entractes monotones de la
Comédie
, & l’on pourra sans danger conserver l’usage
que les gestes ; semblables aux anciens Acteurs des Tragédies et des
Comédies
qui faisaient déclamer les vers de la Pièce, et s
pourquoi ils font payer les places à présent sur le même pied qu’à la
Comédie
; ce qui me fait souvenir de rapporter ce qui arr
u sujet des Danseurs de corde. Il fait mention dans le Prologue de la
Comédie
intitulée D’heigra, qu’étant prêt de faire jouer
ctateurs qui étoient venus pour voir la premiere représentation de sa
Comédie
, sortirent file à file, sans même redemander leur
mblent négliger les jeux d’où ils tirent leur origine, pour celui des
Comédies
, qui font aujourd’hui le plus essentiel de leur s
bué par le rythme. Car tous les épisodes variés, précipités, de cette
comédie
touffue mais si légère sont réalisés en musique,
uteurs, en arrêtant sur le papier leurs idées sur une tragédie ou une
comédie
, commencent à en faire, si je puis m’exprimer ain
mi ce Ballet charmant, Se jouait, encor, galamment, Petite, et grande
Comédie
, Dont l’une était en mélodie ; Toutes deux ayant
teurs célèbres dans deux genres opposés. Après eux, la tragédie et la
comédie
tombèrent dans un état de médiocrité telle, que l
eurs d’un nouveau genre de spectacles, qui remplaça la tragédie et la
comédie
; je me contenterai de vous dire maintenant que c
le pourrait peindre les vices, les ridicules des hommes, ainsi que la
Comédie
. On compose des Pantomimes qui ne signifient ri
une Pantomime représenter des choses ; elle doit être une véritable
Comédie
, ou une véritable Tragédie, avec cette différence
vre aurait la vogue ; il nous serait aussi utile que les régles de la
Comédie
& de la Tragédie, dont on ne se soucie plus5.
ite brochure d’environ 100 pages, & de l’intituler : Essai sur la
Comédie
Lyrique. (Autre note de l’Editeur). 6. Voyez la
mes Nippons pour un mois avec une nouvelle pièce qui devait être une
comédie
. Et c’est pour ce théâtre que fut écrite la « Pou
un engagement d’un mois pour une pièce qui serait une tragédie et une
comédie
, et c’est là que mes Japonais jouèrent « La petit
e premier jour que Cydalise était en somme une pantomime mesurée, une
comédie
en musique où tout mouvement de danse ne se produ
être de même constitué à l’Opéra. Le ballet a ses classiques comme la
comédie
, comme la poésie. La Péri de Gautier et Coraly a
sceptibles de la plus grande chaleur, produisirent en peu de temps la
Comédie
. Il ne fut question que d’imaginer une action ord
. Le débat de la musique et du silence. Les Vendredis de Danse à la
Comédie
des Champs-Élysées viennent de présenter au publi
rde le public contre cette monnaie de singe. Eh ! bien, si ceux de la
comédie
laissent tomber ces nouveaux venus déconcertants,
’y vient plus. — La sortie du théâtre. — Mon intention d’en faire une
comédie
. — Ce qui m’en a empêché. — Encore M. Jules Janin
s. Je la livre au lecteur. J’avais d’abord l’intention d’en faire une
comédie
, mais la perspective d’être critiquée par M. Jule
baris hâc in re pejores simus ? » A la fin de ses réflexions sur la
comédie
, M. Bossuet propose un moyen qui seroit bien prop
.) « Pour déraciner, dit ce grand homme, tout à la fois le goût de la
comédie
, il faudroit inspirer celui du saint Evangile et
’excuser d’être expropriée si souvent, et qui se préparait à jouer la
comédie
au Gymnase, où, le soir de son début, le quatrain
pseudonyme de Constance Léger, et qui joue maintenant sous son nom la
comédie
à l’étranger ; Pourchet qui déclarait si volontie
mplin. Que les Comédiens refusent chaque semaine trois Tragédies, une
Comédie
, & une douzaine d’Opéra-bouffons, ou Comédies
on cessa de l’aimer. Il mît le répertoire de l’opéra à l’instar de la
comédie
Française. Il y avoit toujours six opéras sur pie
Ce qui donne de l’enjouement, Est comiquement divertie Par une belle
Comédie
Dont MOLIÈRE, en cela Docteur, Est le très admira
en ont aussi obtenu un pareil, pour donner le bal dans la Salle de la
Comédie
Françoise, alternativement à ceux de la Salle de
éâtre à Francfort pendant la Foire ; elle n’eut pour spectateurs à la
Comédie
que des Catholiques : le Rabbi des Juifs permit d
rtalité. Garrick, comme acteur, est étonnant. Il joue la tragédie, la
comédie
, le comique et la farce avec la même supériorité
s un instant ; nous ne connoissons plus celle du créateur de la bonne
comédie
en France. Fierville mort à l’âge de 106 ans, et
ande leçon qu’il vient de me donner. » Garrick suivoit exactement la
comédie
Française qui réunissoit alors les talens les plu
onnes qui représenteraient quelque action sans danse, formeraient une
comédie
, et jamais un ballet. La danse, le concours de pl
a] Grue. Les ballets furent constamment attachés aux tragédies et aux
comédies
des Grecs ; Athénée les appelle danses philosophi
venteurs véritables des ballets, et les unirent à la tragédie et à la
comédie
. Batile [Bathylle] d’Alexandrie inventa ceux qui
sur leurs théâtres. Les Grecs unirent la danse à la Tragédie et à la
Comédie
, mais sans lui donner une relation intime avec l’
e à leurs frais, et représentèrent concurremment des Tragédies et des
Comédies
, sans autre secours que celui de la symphonie et
r d’abord, que le sujet du Festin de Pierre m’avait été fourni par la
Comédie
Héroïque, et que c’est de la Tragédie que j’empru
lieu, de temps, d’action leur sont presque autant nécessaires qu’aux
Comédies
et aux Tragédies ; mais sans entrer ici dans des
73
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
e que je dis des rôles tragiques peut encore s’appliquer à ceux de la
Comédie
; ajoutez que dans celle-ci la prononciation vici
uste. Comment diable voulez-vous qu’on nous représente nos meilleures
Comédies
, nos meilleures Tragédies, si vous prétendez que
publics de Musique et de Danse ; l’Espagne était en possession de la
Comédie
; la Tragédie, que Pierre Corneille n’avait trouv
des cris de douleur ou de joie. Mais ces cris m’ont déjà fait fuir la
comédie
et me réfugier au ballet. Vous incarnez, vous ext
Fiorillo, le fameux Scaramouche. Fût-ce pour introduire en France la
comédie
improvisée à l’italienne ? Plutôt pour doter son
ction d’une salle d’opéra est bien différente de celle d’une salle de
comédie
; je ne parle ici que de la partie du théâtre, de
sserré dans ses flancs. Le théâtre de l’Odéon fût construit pour la
comédie
Française et l’architecte avoit parfaitement bien
issible ; quelle différence entre le nombre d’artistes qui compose la
comédie
et celui qui est emploié au théâtre des arts ; à
ompose la comédie et celui qui est emploié au théâtre des arts ; à la
comédie
Française, la régie d’unité de lieu est scrupuleu
preuve de talent. C’est-à lui que nous devons les Etourdis, charmante
comédie
, pleine de finesse, d’enjouement et d’esprit et d
at. * * * De huit jours en huit jours, les Vendredis de la Danse à la
Comédie
Montaigne commencent à devenir une habitude assez
embrassait à Rome toutes les grandes parties de la Tragédie et de la
Comédie
. Aussi les Romains jouissaient-ils d’un avantage
ont donné la naissance ; mais il en est de même de la Danse que de la
Comédie
, les hommes ont cherché à tirer de l’utilité de c
s leur accordèrent, ont eu des espèces d’opéras, comme ils ont eu des
comédies
à décorations et à machines. Ce fut Baltazar Perr
cardinal Bernard de Bibienne fit représenter devant le pape Léon X la
comédie
intitulée : la Calandra, qui est une des première
ballets, les intermèdes, les fêtes, les tournois, les carrousels, les
comédies
et les mascarades dans lesquels on unissait la mu
orneille avait été pour la tragédie, ce que Molière avait été pour la
comédie
: non pas que nous prétendions établir aucun para
gédie avait pour objet la terreur et la pitié ; on avait assigné à la
comédie
le but d’instruire les hommes et de réformer les
ndance. On annonçait qu’une ère nouvelle allait s’ouvrir pour lui. La
Comédie
française avait été érigée en théâtre du peuple,
éâtres, et les Grecs mêlèrent des danses à leurs tragédies et à leurs
comédies
; les Romains imitèrent cet exemple jusqu’au temp
’autrefois. L’auteur que M. Bossuet réfute dans ses réflexions sur la
comédie
, n’avoit pas eu honte, quoique prêtre et religieu
avec des masques & des habits differens, pouvoit représenter une
Comédie
, ils joignoient aussi à la Danse le Pantomime, qu
meux Pantomimes, l’invention des Ballets pour les Tragédies & les
Comédies
: ceux de Pylade étoient graves, touchans & p
s » ; l’empereur trouvait sans doute que c’était assez du foyer de la
Comédie
pour alimenter la causerie. Un soir, à l’Opéra, i
s le moyen. » Ainsi les choses ont leurs larmes et leurs sourires, la
comédie
côtoie le drame, et la grande loi d’ironie, tantô
s, dans ses articles de doctrine, imprimés chez Estienne, parlant des
comédies
, des bals et des danses, s’exprime ainsi dans l’a
danses, s’exprime ainsi dans l’art. 73 de la première partie : « Les
comédies
et les autres spectacles sont justement défendus
ux règles de la poèsie ; cependant ils différent des tragédies et des
comédies
, en ce qu’ils ne sont point assujettis à l’unité
te, il composait pour ce théâtre son premier ballet Raoul, tiré d’une
comédie
de Manuel et peut-être imité d’un ballet de Daube
vons vu les ballets russes et qui sommes initiés aux ressources de la
comédie
muette qu’est le cinématographe. Les amis de Sten
le premier, s’était engagé Viganò et nous a donné quelques charmantes
comédies
muettes, mais il lui manque le don suprême du cho
regles de la Poésie ; cependant ils différent des Tragédies & des
Comédies
en ce qu’ils ne sont point assujettis à l’unité d
nd. 130. Les chœurs du cinquième Acte d’Atys. 131. Le Théâtre de la
Comédie
Française. Nous avons deux grands genres. Les Ita
: les Etrangers mêmes ne le contestent pas. L’Opéra est une sorte de
Comédie
composée de cinq actes en musique, accompagnez de
cins, &c. Enfin l’on voyoit dans cette représentation Bal, Balet,
Comédie
, Festins, Concert, sabat, toutes sortes de passio
her dans notre chant dramatique ; tels sont les cris au théâtre de la
Comédie
Française. Le volume, les grandes voix sont à-peu
vait promis. Le contresens du geste passe rapidement au théâtre de la
comédie
; l’attention y court de pensée en pensée, et l’a
ragédies, et parler petites maisons, petits soupers ét équipages à la
comédie
. » Voilà, Monsieur, un systême assez général. Est
imacer la nature, et qui l’enlaidissent ; il voudroit, dis-je, que la
comédie
Française méritât le titre glorieux de l’école de
s ; & parler petites maisons, petits soupers & équipages à la
Comédie
. » Voilà, Monsieur, un systême assez général. Es
acer la nature & qui l’enlaidissent ; il voudroit, dis-je, que la
Comédie
Françoise méritât le titre glorieux de l’Ecole de
t fait, exécuter votre buste, ceux de Corneille et de Racine. Pour la
comédie
, ceux de Molière, de Regnard et de Destouches ; s
public apprit que la nouvelle danseuse était son ancienne favorite de
comédie
, la petite actrice de jadis, il lui fit une ovati
; je l’entends qui me traite d’insensé : mettre des tragédies et des
comédies
en danse, quelle follie ! y a-t-il de la possibil
je l’entends qui me traite d’insensé : mettre des Tragédies & des
Comédies
en Danse ? quelle folie ! Y a-t-il de la possibil
le était née à Toulouse, en 1777, d’un père italien qui avait joué la
comédie
. Elle eut pour concurrente à l’Opéra madame Garde
la blonde, — déserta la rue Le Peletier pour aller, en 1847, jouer la
comédie
aux Variétés, où elle eut d’heureuses créations ;
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