lement reçues et suivies ? Elles demeureront toujours stériles, et le
cœur
y demeurera toujours fermé, si cette onction do
prit qui enseigne par la grâce et par la charité qu’il répand dans le
cœur
d’une manière qui n’est propre qu’à lui. Les homm
mmes frappent l’oreille du corps, mais le Saint-Esprit ouvre celle du
cœur
, lui parle, et s’en fait obéir ; parce qu’il fait
order afin qu’il leur profite. Esprit de vérité, placez-vous dans nos
cœurs
pour nous instruire et nous toucher ! Dissipez pa
tre esprit la lumière de la vérité, faites-la aussi pénétrer dans nos
cœurs
, en sorte que nous ayons un éloignement fini et p
e commence. Faut-il l’avouer ? L’amour, tel que l’homme l’a conçu, le
cœur
, la charité, la musique, l’art enfin ne sont poin
mps qui se fait oublier. Grâce à la musique, le temps est l’espace du
cœur
, ou de l’esprit rendu sensible au cœur par l’émot
ique, le temps est l’espace du cœur, ou de l’esprit rendu sensible au
cœur
par l’émotion. La musique est désormais la vérita
ule fait l’assemblée. Infini ou absolu, Amour enfin, Dieu sensible au
cœur
, voilà ce que l’art des sons propose à l’homme. C
ésister à l’impression que les charmes de Polixène ont faites sur son
cœur
; le poignard lui échappe de la main, il se jette
yrrhus. Ce changement de fortune fait renaître le calme dans tous les
cœurs
; la joye, qui en est le symbole, éclate de toute
ssance. Pyrrhus est inquiet ; vivement agité par les mouvemens de son
cœur
, il oublie cette fête, l’ouvrage de sa valeur et
vive que Polixène a faite sur lui, rompt le silence et lui offre son
cœur
et sa main : cette Princesse dissimule une partie
u d’Achille, et le souvenir des vertus de ce héros pénétrent tous les
cœurs
de respect et d’admiration. Les guerriers de la s
lheur semble les avoir anéantis. Cependant l’espérance renaît dans le
cœur
de ces amans, ils veulent tenter une seconde fois
de Polixène n’appaise mes manes irrités. A ce spectacle affreux, les
cœurs
sont glacés d’effroi. L’ombre disparoît. Polixène
le d’horreur ; il frémit d’un ordre aussi barbare ; et sa main et son
cœur
se refusent à l’obéissance ; Polixène ramasse ce
sens quelque ferveur, Firent si bien ce qu’elles firent, Que bien des
cœurs
elles ravirent. Des Danseurs, quoi que la plupa
es cœurs elles ravirent. Des Danseurs, quoi que la plupart Dans mon
cœur
aient quelque part, Par prudence, ou philosophie,
s oyaient, alors. Anna, l’agréable Segnore,12 Qu’en secret, dans mon
coeur
, j’honore, Joua dans ce Royal Ballet Excellemment
omme de remarque, Et qui des plaisirs du Monarque, Qu’il sert avec un
cœur
ardent, Est l’unique Surintendant : Et le renommé
in d’Armide ; sa rage fait place aux sentimens les plus tendres ; son
cœur
qui respiroit la vengeance ne respire plus que 1’
ux la félicité dont ils jouissent. Ces images séduisantes font sur le
cœur
du jeune guerrier l’impression la plus vive. Les
se les deux chevaliers, et les conjure de l’arracher d’un lieu où son
cœur
pourroit courir encore quelques nouveaux dangers.
le se précipite même aux pieds de Renaud, qui, vivement ébranlé et le
cœur
flottant entre l’amour et la gloire, ne résiste q
soutenir, sans mourir, l’idée désespérante du départ de celui que son
cœur
idolâtre, tombe évanouie. A cette vue Renaud se d
d’Armide. Le départ de Renaud est accompagné de tous les regrets d’un
cœur
fortement épris, et qui sacrifie à son devoir l’o
ans cesse Armide, et en peignant tous les sentimens qui déchirent son
cœur
. Scène dernière. Armide en revoyant la lumi
la démonstration d’un sentiment qu’elle a profondément gravé dans le
cœur
de tous les hommes. Ils sortaient à peine des mai
l’Être Suprême, et des motifs touchants de reconnaissance pour leurs
cœurs
. Il est donc très vraisemblable que les hommes ch
faite à l’art de feindre, lui dévoile ingénuement les secrets de son
cœur
. Déjanire, uniquement occupée du bonheur d’Hilias
’accable ; il lui jure qu’il renonce à son amour, qu’il va rendre son
cœur
à Déjanire, et qu’il va consentir à l’hymen de so
rise le combat des passions, qui agitent son ame et qui déchirent son
cœur
, il unit enfin ces deux amans. Il se précipite au
ne voit pas réellement les objets affreux qui viennent de glacer son
cœur
. Dans cette situation elle fuit, court et s’arrê
sein de la lui envoyer. L’espérance et le calme renaissent dans son
cœur
; elle appelle ses femmes, elle demande Lycas, el
ur détacher cette robe fatale dont le poison subtil a filtré dans son
cœur
. Ses douleurs s’accroissent ; ses entrailles se d
est affreuse, l’idée d’un crime, quoiqu’involontaire, lui déchire le
cœur
, les forces d’Hercule diminuent ; il chancelle, i
ordonne à son fils de l’embraser ; Hilias frémit et sa main comme son
cœur
se refuse à un ordre si barbare. Déjanire ne peut
cilien, que Molière Représente d’une manière Qui fait rire de tout le
cœur
, Est donc de Sicile un Seigneur Charmé, jusqu’à l
Entraves : Deux Grecques, qui Grecques en tout, Peuvent pousser cent
Cœurs
à bout, Comme étant tout à fait charmantes, Et do
it ; elle n’aspire pas à une ivresse éternelle, celle que la vigne du
cœur
verse à l’esprit. Elle n’a rien d’intérieur ; ell
due à ses bras, la danse trahit la musique. Elle lui demande ce grand
cœur
, passionné et tendre, dont elle ne fait rien : el
el, et tout le monde ; Par ses grâces et ses beautés, Les plus nobles
Coeurs
sont domptés ; Et lorsque tous ceux du rivage Ont
gère, Dont la beauté rare et sincère A fixé, par son air brillant, Le
coeur
d’un notable Galant. De Vibraye, aimable Marqui
as (même) sans soupirer. Montespan, Merveille visible, Pour qui nul
coeur
n’est insensible, Astre d’honneur, astre d’amour,
teint jeune, frais et poli ; Et Sévigny, dont le visage Charmerait le
coeur
du plus sage, Sont aussi de ce beau Ballet, Et da
ur que je viens de recevoir de votre Majesté Impériale, a pénétré mon
cœur
de la plus vive reconnoissance. Non seulement ell
ériteroit d’être célébré par tous les artistes de nos jours. Sire, le
cœur
sensible de votre Majesté Impériale, a voulu sans
mmes, si on ne l’est pas aux yeux de Dieu qui sonde les reins et les
cœurs
, (Ps. 7, v. 10.) et devant qui l’on n’est réelle
v. 10.) et devant qui l’on n’est réellement que ce qu’on est dans le
cœur
? Je réponds en troisième lieu, qu’on ne sera pas
e, Désirant agréablement Donner un divertissement À la REINE, que son
coeur
aime Aussi tendrement que lui-même, Choisissant l
ILAIRE La voix mélancolique et claire, Qui flattait l’oreille et le
cœur
Du plus délicat Auditeur ; Les instruments et la
lles camuses Depuis que notre grand Vainqueur A pris leurs Intérêts à
cœur
. Ce qu’on danse sont huit Entrées, Qui sont les
Progrès pires que Fols, Et qui, dedans leur Décadence, N’ont guère le
cœur
à la Danse. Quoi qu’il en soit, de beaux Récits,
est égal, tous deux ont le même but à remplir, ils doivent parler au
cœur
par les yeux ; l’un et l’autre sont privés de la
onstance heureuse pour faire éclater les sentimens qui unissent leurs
cœurs
, mais cette circonstance trop éloignée, et fort i
e Messager se retire vers le fond du théâtre. La crainte s’empare du
cœur
de Clytemnestre ; une sueur froide imprime sur se
i ; celle qui annonce qu’Agamemnon suit les pas du Messager, porte au
cœur
de Clytemnestre le coup le plus accablant. Egisth
conserver, paroît consentir à son dessein cruel. Un instant après son
cœur
dément ce qu’elle vient d’avouer ; elle se reproc
on respect. Mais ce Prince ne voyant point l’objet le plus cher à son
cœur
, cherche Oreste dans tout ce qui l’environne et l
; l’idée du double crime qu’il s’est engagé de commettre, porte à son
cœur
le cri du remords ; tantôt il envisage le bonheur
Dans ce moment, un bruit soudain frappe ses oreilles, et porte à son
cœur
déchiré un nouvel effroi ; il fuit et se dérobe à
ue la crainte et le remords retiennent son bras et balancent dans son
cœur
le crime et la fureur. Scène v. C’est dans
ngage ses femmes à veiller à la conservation d’un objet si cher à son
cœur
; elles se dispersent pour garder les différens p
dit que c’est le fer dont le cruel Egisthe s’est servi pour percer le
cœur
de leur père. A ce recit Oreste frémit d’épouvant
cependant l’art de se servir de cet état humiliant, pour captiver le
cœur
de tous les Officiers, à la garde des quels elle
ppellent le Crime, le Remords et le Désespoir, pour mieux déchirer le
cœur
du malheureux Oreste ; les sifllemens de leurs se
aroît, et lui montre la plaie toute saignante qui a frayé jusqu’à son
cœur
un chemin à la mort. Oreste à cet aspect épouvant
e l’ombre, la conjure d’une voix foible et mourante de croire que son
cœur
est innocent, et que sa main seule est criminelle
les reproches que le Crime, le Remords et le désespoir portent à son
cœur
, veut se donner la mort ; mais Pylade, Electre et
ce Macédonien en devient éperduement amoureux. Le même trait dont son
cœur
est atteint va blesser celui de la jeune Princess
ux de Statira ; il lui annonce sa nouvelle victoire, et lui offre son
cœur
et son trône. La Princesse est sensible à ce doub
etentir les airs de leurs cris d’allégresse, mais ces cris portent au
cœur
de Roxane la rage et le désespoir. Au sortir d’un
guerre, En Dieu triomphant et vainqueur ; Saint-Aignan, dont le brave
cœur
Eut toujours la Valeur pour guide, Et qui se port
i comblaient d’amoureuses flammes, Ainsi que des soleils ardents, Les
cœurs
de tous les regardants Y causant un désordre extr
seront de vives pointures ! Que la belle et chère Toussy Remplira les
cœurs
de souci ! Que Bailleul, l’aimable mignonne, Devi
ère s’entrouvre, et Giselle s’élance preste et joyeuse comme tous les
cœurs
purs. Que peut faire une jeune fille éveillée si
ler à la vendange. — Si vous croyez cela, vous ne connaissez guère le
cœur
des jeunes filles ; son amant est là alerte et di
urs prêt à danser ; aussi l’aime-t-elle de toute la force de son cher
cœur
. Quelle jeune Allemande ne serait pas éprise d’un
eurs ! Les fleurs sont plus véridiques. Voici une jolie marguerite au
cœur
d’or, entourée d’une couronne d’argent dont chaqu
t être, comme on dit en style de ballet. Un froid mortel saisit votre
cœur
dans votre blanche poitrine ; les grands seigneur
empêcher de la trouver belle. Chez les femmes, la raison est dans le
cœur
; cœur blessé, tête malade. Giselle devient folle
er de la trouver belle. Chez les femmes, la raison est dans le cœur ;
cœur
blessé, tête malade. Giselle devient folle ; non
rveilleusement rendue par Carlotta, elle tombe morte, la main sur son
cœur
, entre les bras de Bathilde et de Berthe, au prof
ible et doux n’est pas celui des fleurs sauvages : ni la clochette au
cœur
rose, ni le myosotis n’ont cette odeur ! ce mystè
ffet, que se tient le bal magique. Regardez ! le gazon tressaille, le
cœur
d’une belle de nuit s’entrouvre ; il en jaillit u
énétrer sous terre jusqu’à vous, et tomber d’un œil brûlant sur notre
cœur
glacé. — Non, non, non, qu’il danse et qu’il meur
s, effrayées, se dispersent et rentrent dans leurs cachettes, dans le
cœur
des nénuphars, dans les fentes des rochers, dans
s de leurs visages Qui ravissent, qui moins, qui mieux, Les âmes, les
coeurs
et les yeux. Outre leurs beautés et leur Danse,
s oreilles N’ouïrent de douceurs pareilles. Mais ce qui ravit plus le
coeur
, C’est certain Angélique Choeur Formé des voix ju
lant Homme Qu’il n’est pas besoin que je nomme, Homme, envers-moi, de
coeur
humain, Et mon ami, de longue main, (Que Dieu gar
me avec un mauvais désir pour elle, a déjà commis l’adultère dans son
cœur
. Selon cette parole de la vérité même, combien y
t à se divertir, et dont les discours ne sont propres qu’à amollir le
cœur
, le Saint-Esprit dit dans le même livre de l’Eccl
qui ne s’aperçoit pas d’abord, parce qu’il a gagné insensiblement le
cœur
, passant des yeux dans les pensées et les désirs,
ude : ne disputez point avec elle en buvant du vin, de peur que votre
cœur
ne se tourne vers elle, et que votre affection ne
ngères que Salomon aima passionnément, corrompirent à un tel point le
cœur
de ce roi, auparavant si sage, qu’elles lui firen
mpulsa ? « Il faut donc, conclut-il, détourner notre esprit et notre
cœur
de toutes ces choses qui ne peuvent que porter au
te par ses regards et ses gestes peu modestes et trop libres, dans le
cœur
de ceux qui la voient, un poison mortel : Aspect
t à l’aide de cette méthamorphose, l’Amour établit son empire dans un
cœur
qui jusqu’à cet instant ne respiroit que la gloir
ant de sa foiblesse, elle veut fuir Enée ; elle veut le bannir de son
cœur
, elle veut lui ordonner de quitter ses états ; ma
sein ; il imprime dans son ame l’image du plaisir, il grave dans son
cœur
les attraits de la volupté ; et satisfait de son
yen, reçoit ses sermens avec transport ; elle lui promet sa main, son
cœur
et son trône. Le jeune Ascagne, ou plutôt l’enfan
offre avec les présens les plus rares de ses climats, sa main et son
cœur
à la Reine de Carthage. Cette Princesse flattée d
mais elle lui donne à entendre qu’elle ne peut accepter le don de son
cœur
, et que sa liberté lui est plus chère que toutes
ne, pendant cette scène, s’est approché de ce Prince. Il a ouvert son
cœur
aux sentimens de la jalousie et de la vengeance ;
peuvent que donner au démon la plus grande facilité de lancer dans le
cœur
de ceux et celles qui dansent, et de ceux même qu
ue la curiosité lui fit considérer, et qu’elle laissa entrer dans son
cœur
un secret désir de plaire, quoique confus et sans
adressai au Seigneur, je lui fis ma prière, et je lui dis de tout mon
cœur
: etc. Ce principe posé, je demande si les perso
réablement les oreilles, n’a-t-il pas souvent pour effet d’amollir le
cœur
, et de le disposer à recevoir les plus funestes i
aient pas fait d’impression, peut-on nier que cela n’ait jeté dans le
cœur
une mauvaise semence qui, étant demeurée cachée p
serviront du moins à faire voir combien est grande l’inflexibilité de
cœur
de ceux qui ne s’y rendront pas, et combien est o
n lui présente que du secret qu’il va révéler. Zélis, qui lit dans le
cœur
de son amant, exprime de tendres inquiétudes ; el
lance, et dans l’instant où il va dévoiler le mystère, qui percera le
cœur
de Zélis, le chef des Eunuques paroît et lui anno
ien particulier qu’il n’a pu lui refuser. Il peint l’inquiétude : son
cœur
naturellement sensible et qui ne s’est détaché qu
de fleurs. Elle en mélange les couleurs d’après les sentimens de son
cœur
. Pendant cette scène la cruelle Fatnie paroît ver
re ; il la montre au peuple comme l’épouse qu’il a adoptée et que son
cœur
a choisie ; il la place sur son trône : dans ce m
Lettres et des Armes ;) Et Venus avec ses doux charmes À qui tant de
cœurs
font la cour, Ne parla qu’en faveur d’Amour, Chac
t bien et fort juste. Plusieurs autres nobles Objets, Dont bien des
cœurs
sont les sujets, Augmentant, comme des miracles,
t fut fait Maréchal. Mademoiselle de la Mothe, Pour qui maint noble
cœur
sanglote, Ayant des mérites assez, Pour attacher
la Reine, Et qui par ses charmes vainqueurs Se peut asservir bien des
cœurs
. De-Pons, illustre Demoiselle, De l’Honneur vis
, s’entretient, Avec les Nymphes, qui comme elle, Ayans, pour lui, le
cœur
rebelle, Le traitent de Peste, et font vœu, De ne
se transforme, Et passe sous diverse Forme, Espérant, par là, de son
cœur
, Se rendre, à la fin, le Vainqueur. Tantôt, don
jeune & charmant Damoiseau, Et fait offre à cette Déesse, De son
cœur
, avec tant d’adresse, Qua, par un Sort assez plai
aël, si ses enfans marchoient devant lui dans la vérité, de tout leur
cœur
et de toute leur ame . Salomon parlant à Dieu de
aucoup de chrétiens, bien loin de désirer que Dieu fasse luire à leur
cœur
la lumière de la vérité, la craignent, la fuient
te, qu’ils prennent pour la vérité tout ce que la dépravation de leur
cœur
leur fait aimer, quoique ce soit toute autre chos
ette opposition si criminelle à la vérité, que l’on conserve dans son
cœur
, lorsqu’on sent qu’elle est contraire à ses incli
ste châtiment de Dieu, on est traité selon les désirs déréglés de son
cœur
: on craint et on fuit la lumière de la vérité, e
t que faut-il faire pour l’éviter ? Il faut commencer par ôter de son
cœur
tout ce qui en peut fermer l’entrée à la vérité,
ai à une infinité de passions qui, pullulant de jour en jour dans mon
cœur
, y firent comme une forêt, où l’épaisseur des arb
te lumière étant toute spirituelle, ne peut être vue que par l’œil du
cœur
: Hæc lux oculum cordis inquirit. » Mais afin q
te à ce sujet cette parole de Jésus-Christ : Heureux ceux qui ont le
cœur
pur, parce qu’ils verront Dieu ! et le cœur est
Heureux ceux qui ont le cœur pur, parce qu’ils verront Dieu ! et le
cœur
est d’autant plus pur, qu’il s’éloigne davantage
upiditates . Le saint docteur, vivement affligé de cette duplicité de
cœur
de plusieurs de ceux qui paroissent rechercher la
r pour séduire les hommes, un feu qui n’est capable que d’embraser le
cœur
des jeunes gens et d’y exciter toutes sortes de p
d’une joie toute sainte, dansoit devant l’arche, ayant l’esprit et le
cœur
remplis des sentimens de la bonté de Dieu à son é
a foi : qu’il éclaire mes yeux ; que je condamne, que j’efface de mon
cœur
tout ce qui est contraire à la vérité de Jésus-Ch
doivent être l’ouvrage des charmes de Creuse et de leur empire sur le
cœur
d’un jeune Prince, tout à la fois tendre, ambitie
transport à un projet qui s’accorde si bien avec les intérêts de son
cœur
. Créon, qui entend du bruit, quitte Creuse avec p
ui présente un poignard et son sein, en le conjurant de lui percer le
cœur
, s’il ne veut lui rendre le sien. Jason, pénétré
proche de l’autel, il montre Jason au peuple, comme le Prince que son
cœur
choisit pour régner à sa place ; il abdique le tr
e. Le départ de cette magicienne fait renaître le calme dans tous les
cœurs
; mais il ne dure qu’un instant. Créuse ressent t
dmirées. On y voit celle des Pleureurs, Où s’attendrissent tous les
Cœurs
, Celles des Cyclopes, des Fées, Qui sont, à merve
e, qui fait ce Zéphire. Pour Psiché, la belle Psiché, Par qui maint
cœur
est alléché, C’est Mademoiselle Mollière, Dont l’
ns ses propos, Et si bien dans sa douleur exprime, Que, dans tous les
Cœurs
, il l’imprime, Blâmant un Oracle felon, Qui, plus
annoncera à la belle Gabrielle l’arrivée du Monarque, il ouvrira son
coeur
à la tendresse ; les Jeux, les Ris et les Plaisir
i avec la belle Gabrielle décélera la situation de leurs âmes : leurs
coeurs
percés du même trait palpiteront d’amour ; les im
rmes, à la prière, et embrassera les genoux de son vainqueur, qui, le
coeur
fortement ébranlé, et flottant sans cesse entre l
qu’elles déterminent l’Amour à seconder leurs projets en blessant le
coeur
du héros ; comme le lieu de la scène est embélli
n ne peut voir sans soupirer, Ni, mêmement, sans l’adorer, À qui tout
cœur
doit rendre hommage, Et dont l’angélique visage,
e, Fille de mine ravissante, Et dont les jolis agréments Charment les
cœurs
à tous moments. Voilà ce que j’avais à dire Dud
de cette Spartiate, sur de posséder un objet dont l’image porte à son
coeur
le sentiment le plus délicieux, il ne balance plu
sont des hommes, et dèslors ils ont des droits incontestables sur le
coeur
de tous les hommes, toujours leurs semblables, da
oir de plus touchant. Ce spectacle varié enchante le jeune Héros, son
coeur
est troublé ; son âme est vivement émue ; perpétu
ompher : toutes ces peintures affectent vivement le jeune Héros ; son
coeur
indécis flotte entre la Gloire et le Plaisir. Tan
e entre la Gloire et le Plaisir. Tantôt l’une l’appèle et parle à son
coeur
; tantôt l’autre l’irrite et triomphe de ses sens
Gloire qui commande, et le plaisir qui séduit : balance, hésite ; son
coeur
est incertain ; son âme est indéterminée ; quel c
engera un jour. Hercule qui les voit fuir et s’éloigner, sent que son
coeur
vole après eux et qu’il est prêt à les rappeler.
des Graces, voulut couronner la constance de Daphnis, en disposant le
coeur
de Philis à la tendresse et en ouvrant son âme au
Le moment est favorable. Philis plongée dans une douce rêverie, et le
coeur
ému du spectacle touchant que la nature vient de
tousse et soupire : plongée dans ses réflexions elle n’écoule que son
coeur
. Le Dieu s’approche de plus près, il agite ses ai
t délicieux qui n’est vivement senti que lorsque l’amour règne sur le
coeur
de concert avec les graces etc. L’Allégorie, Mons
ment révolteroient ; un seul grain suffit lorsqu’il est offert par le
coeur
et qu’il est allumé au feu du sentiment. Toutes l
nfaisante, elle avoit appris par le pouvoir de son art magique que le
coeur
de Roger et celui de Bradamante avoient été percé
embrassât sa religion ; c’étoit à ce prix qu’elle lui promettoit son
cœur
et samain ; le héros hésitoit, mais on amour trio
e son parti et combien ses discours feroient peu d’impression sur des
cœurs
glacés par l’age et fermés sans retour aux attrai
orphose, l’un et l’autre se trouvent ramenés à cet âge heureux, où le
cœur
s’ouvrant au plaisir est l’image de la rose qui s
des Graces, voulut couronner la constance de Daphnis, en disposant le
cœur
de Philis à la tendresse et en ouvrant son ame au
e moment est favorable ; Philis plongée dans une douce rêverie, et le
cœur
ému du spectacle que la nature vient de lui offri
tousse et soupire ; plongée dans ses réflexions elle n’écoute que son
cœur
. Le dieu s’approche de plus près ; il agite ses a
délicieux, qui n est vivement senti, que lorsque l’Amour règne sur le
cœur
de concert avec les Graces. L’instant des jeux
ger ; l’echo fait retentir son nom ; Philis le répéte tout-bas et son
cœur
lui répond. L’allégresse règne parmi les compagno
ne trouve beau que ce qu’on aime et qu’elle doit ne rien craindre du
cœur
de son Berger. Les danses commencent. Les Berge
ieds. Philis rougit ; elle prétend moins au prix de la beauté qu’au
cœur
de son amant ; un sentiment de justice la détermi
t dont il frémit lui-même, quoiqu’il fasse le vœu dans le fond de son
cœur
de desobéir au nouveau Dieu dont il embrasse le c
de cette chaloupe sa sœur et son ami. Il regarde attentivement ; son
cœur
est pénétré de plaisir et de crainte ; il les voi
n change. Un sauvage présente à Dorval le poignard qui doit percer le
cœur
de Constance, et lui ordonne de le lui plonger da
x qui peuvent, par leurs liaisons et par leurs successions, remuer le
cœur
et affecter l’âme. Je ne sais si j’ai bien fait d
our de l’amour : excité par les images que la jalousie porte dans son
cœur
, il se dégage d’Inès et court sur Clitandre. La f
ant par ses gestes et ses régards combien ce sacrifice lui déchire le
cœur
; c’est par un effort violent qu’il se défait d’u
produits rendent l’action générale ; le plaisir s’empare de tous les
cœurs
il se manifeste par des danses ou Fernand, Inès,
du coup : Ton bras est suspendu ! qui t’arrête ? ose tout ; Dans un
cœur
tout à toi laisse tomber le coup. La scène de dé
velle, parce qu’elle parle à l’ame, et qu’elle intéresse également le
cœur
et les yeux. J’ai passé légèrement sur les partie
vez vous pas été émû ? votre ame n’a-t-elle point été affectée, votre
cœur
ne s’est-il pas attendri, et vos yeux ont-ils pu
droit d’arracher des larmes et de remuer fortement tous ceux dont le
cœur
est susceptible de sentiment et de délicatesse.
toile ; tant pis pour ceux que le beau simple ne séduit pas ; si leur
cœur
est glacé et s’il est insensible aux images intér
t dont il frémit lui-même, quoiqu’il fasse le vœu dans le fond de son
cœur
de désobéir au nouveau Dieu dont il embrasse le c
cette chaloupe sa sœur & son ami. Il regarde attentivement ; son
cœur
est pénétré de plaisir & de crainte ; il les
n change. Un Sauvage présente à Dorval le poignard qui doit percer le
cœur
de Constance & lui ordonne de le lui plonger
qui peuvent par leurs liaisons & par leurs successions remuer le
cœur
& affecter l’ame. Je ne sais si j’ai bien fai
our de l’amour ; excité par les images que la jalousie porte dans son
cœur
, il se dégage d’Inès & court sur Clitandre ;
par ses gestes & ses regards combien ce sacrifice lui déchire le
cœur
; c’est par un effort violent qu’il se défait d’u
a produit rendent l’action générale ; le plaisir s’empare de tous les
cœurs
; il se manifeste par des Danses où Fernand, Inès
du coup, Ton bras est suspendu ! Qui t’arrête ? Ose tout ; Dans un
cœur
tout à toi laisse tomber le coup. La Scene de d
lle parce qu’elle parle à l’ame, & qu’elle intéresse également le
cœur
& les yeux. J’ai passé légérement sur les par
ez-vous pas été ému ; votre ame n’a-t-elle point été affectée ; votre
cœur
ne s’est-il pas attendri ; & vos yeux ont-ils
oit d’arracher des larmes & de remuer fortement tous ceux dont le
cœur
est susceptible de sentiment & de délicatesse
ant pis pour les sots si le beau simple ne les séduit point ; si leur
cœur
est glacé, & s’il est insensible aux images i
usse au-dehors, comme le venin de la Tarentule. La crainte flétrit le
cœur
, la mélancolie obscurcit l’esprit, et l’âme est e
rend le corps plus souple, plus vigoureux, plus léger, porte dans le
cœur
une confiance fière qui le ranime, et dans l’espr
n, quelques-unes, Tant blondines, que claires-brunes, Charmaient cent
cœurs
, en moins de rien, Sans, même, en excepter le mie
s neufs Muses célestes, Mignonnes, gracieuses, lestes, Ravissants les
cœurs
et les yeux,15 Par leurs pas concertés des mieux
J’avais de nombreux amis autour de moi. Il était seul. Peu à peu mon
cœur
alla à lui sans que nous cussions échangé une par
récisément, on me présenta un vicomte, qui prétendait à la fois à mon
cœur
et à ma main. Est-il besoin de dire que, les yeux
e rendais à mon théâtre, j’aperçus au loin, mon amoureux de Nice. Mon
cœur
se mit à battre à coups précipités dans ma poitri
le mien. Immobile, la main gauche comprimant les frémissements de mon
cœur
, j’attendais, les yeux en fête : il détourna la t
si ses yeux ne déclament point et ne décèlent pas la situation de son
cœur
, son expression dèslors est fausse, son jeu est m
ent étranger : leurs voix doivent être touchantes ; c’est toujours au
cœur
qu’elles doivent parler ; le langage qui leur est
t ne se borne-t-il au contraire qu’à frapper les yeux sans toucher le
cœur
, sans remuer les passions, sans ébranler l’âme, i
n dans les âmes les moins sensibles ; le plaisir est un tribut que le
cœur
ne peut refuser aux choses qui le flattent et qui
l’imagination des spectateurs, qui ébranle leur ame et qui ouvre leur
cœur
à la sensibilité. Le cri de la nature et les mouv
l’action pantomime doivent également toucher : le premier attaque le
cœur
par l’oüie, le dernier par la vue ; ils feront l’
e cette harmonie et de cette intelligence, intéresseront également le
cœur
et l’esprit. Je suis, etc.
ses yeux ne déclament point & ne décélent pas la situation de son
cœur
, son expression dès-lors est fausse, son jeu est
ment étranger ; leurs voix doivent être touchantes, c’est toujours au
cœur
qu’elles doivent parler ; le langage qui leur est
t ne se borne-t-il au-contraire qu’à frapper les yeux sans toucher le
cœur
, sans remuer les passions, sans ébranler l’ame ?
on dans les ames les moins sensibles, le plaisir est un tribut que le
cœur
ne peut refuser aux choses qui le flattent &
agination des Spectateurs, qui ébranle leur ame, & qui force leur
cœur
à la sensibilité. Le cri de la nature, ou les mou
l’action Pantomime doivent également toucher ; le premier attaque le
cœur
par l’ouie, les derniers par la vue : ils feront
cette harmonie & de cette intelligence intéresseront également le
cœur
& l’esprit. Je suis, &c.
des douces Musettes, Et la charmante de TOUSSI, (XXX.) Déjà de maints
Cœurs
le Souci, De ses beaux Pieds fit des Merveilles Q
s ! Les chrétiens ont une science qui doit posséder entièrement leurs
cœurs
, savoir : la connoissance du vrai Dieu, l’étude e
lus se plaire à voir danser ; car c’est donner à connoître qu’on a le
cœur
vain et charnel, et qu’il s’amuse encore aux foli
aut que les seuls regards pour y mettre le feu, et faire brûler leurs
cœurs
de mauvais désirs ; tellement que la rencontre n’
concourent ensemble dans un même lieu, entre les mêmes personnes, le
cœur
surtout n’étant là que pour se donner du plaisir.
le regard d’une fille qui dansoit a produit un si grand effet sur le
cœur
d’Hérode, qui osera se permettre de regarder avec
ons profanes du monde ; et Dieu ne sauroit avoir en aucune action, le
cœur
plongé plus avant dans les folles délices et les
tous ces spectacles de folies et de vanités, en tous ces exemples de
cœurs
s’enivrant de plaisir… Pour ce qui regarde la glo
selon le cours ordinaire, à cette double corruption de l’esprit et du
cœur
; et la Religion ne peut plus subsister parmi des
laisance pour l’opinion des autres, qui a de secrètes racines dans le
cœur
, de louer ce qui ne mérite que des larmes, et d’a
urs rares que le galant propriétaire était fier de pouvoir offrir, au
cœur
de l’hiver, à ses nombreuses amies. Une page de l
; quand elle se fut mariée, il lui servit fidèlement une pension. Son
cœur
eut des aspirations plus hautes. Il continuait de
mme une étoffe un peu raide, mais que soulevaient les battements d’un
cœur
épris. Il faut croire que l’hommage ne fut point
quetterie d’un homme qui promet moins, pour donner plus. « Malheur au
cœur
, dit-il, que les années dépouillent de toute flor
on inquiétude s’évanouit. Je saisis clairement qu’elle comprenait mon
cœur
et je m’écriai : Rien ne me séparera de toi ! « Q
ternité ne sauraient éteindre le sentiment que tu as éveillé dans mon
cœur
. Même ce noble mot de Treue (fidélité) n’est pas
de croire que, moi aussi, je ne pourrai par rien être arraché de ton
cœur
, et si, par une simple pression de ta main, tu m’
de croire que, moi aussi, je ne pourrai par rien être arraché de ton
cœur
. » N’y avait-il pas à parier 90 pour 100 qu’un ga
défiance ou de jalousie. Est-ce fatuité ? Non. Il a vu clair dans le
cœur
de Fanny ; il la sait sans duplicité, sans vice.
tive de ce départ avait éveillé en lui des sentiments contraires. Son
cœur
en était profondément attristé, mais sa raison s’
en resterait bien assez pour en vivre jusqu’à la fin de ses jours. Le
cœur
étouffa la voix de la raison. A mesure que l’heur
auront partout et toujours un écho dans toutes les profondeurs de mon
cœur
. Adieu, toi que j’aime d’un amour inexprimable ;
seulement y mène celui qui aime. « C’est pour cela que je quitte, le
cœur
accablé, ce lieu chéri : j’emporte avec moi toute
ne vous ai vu si gai. » C’est de cette joie que débordait encore son
cœur
le lendemain matin, au milieu de l’effarement cau
rouver chez elle un écho sympathique, il lui dévoila complètement son
cœur
; il analysa devant elle ses sentiments avec cett
preuve. » Gentz en veine de confidences ne peut plus s’arrêter. Son
cœur
déborde, sa lettre s’allonge. Sa pensée se report
oire que notre union ne serait point de longue durée. Et pourtant ton
cœur
te dira ce que me dit le mien, à savoir qu’entre
es d’un rhéteur qui n’avait que cette ressource-là pour s’attacher un
cœur
naïf et chez qui la phrase masquait la passion ab
t un peu profane ; mais le christianisme est tellement la religion du
cœur
, qu’il suffit d’aimer avec dévouement et pureté,
remplir le vide terrible que la séparation laisse cette fois dans mon
cœur
. » Cette nouvelle absence de Fanny produisit sur
ue, de cet éloignement, il espérait une victoire de sa raison sur son
cœur
. Le moyen n’avait pas réussi. C’est seulement au
fforce de me dérider, mais tout est inutile ; ici (et il montrait son
cœur
) son image est morte. » Fanny ne se laissa pas r
lorsque l’on cherche à se rendre compte de ce qui s’est passé dans le
cœur
de Fanny. Les lettres qu’elle a écrites à son ama
essentielles. Elles n’effacèrent pas la chère image gravée au fond du
cœur
. Fanny ne s’est jamais occupée de politique ; ell
ble, la commotion de l’esprit, peu convenables aux chrétiens, dont le
cœur
doit être le sanctuaire de la paix. Ils y blâment
introducteur… Parmi ces commotions dont je parle, qui peut élever son
cœur
à Dieu ? Qui ose lui dire qu’il est là pour l’amo
rpétuel dans un chrétien, du moins en désir et dans la préparation du
cœur
? On trouvera dans les saints pères toutes ces ra
à la sainte Vierge, aux anges et aux saints, lorsqu’ils ont vu que le
cœur
s’arrêtoit à ce plaisir si ridicule ; qu’enfin à
e saurait chanter sans plaire, Et La Barre, qui pleinement Dompte les
coeurs
à tout moment, Par le rare et double avantage De
on meurt de danser avec Elle, Et du LUDRE, l’ASTRE LORRAIN73 Qui des
Cœurs
s’empare soudain, Par sa belle et forte Influence
qui plus aux Anges ressemble, Et c’est à dire ces Beautés Par qui les
Cœurs
sont si tentés. Les Momons de toutes les sortes
toutes ces peintures délicieuses enchantent Apelles, et portent à son
cœur
le trouble et l’émotion. Alexandre voulant lui do
res lui ont mérités.) Scène III. Roxane qui a des droits sur le
cœur
d’Alexandre, paroît avec l’empressement que lui d
housiasme et ayant rendu à la beauté qui l’enflamme l’hommage que son
cœur
lui devoit, retourne à l’ouvrage. Alexandre, prév
sa tendresse ; Campaspe emue et vivement troublée, lui avoue que son
cœur
la partage. Il se saisit de sa main, la baise ave
alors la physionomie recevra toutes ses impressions de l’agitation du
cœur
; elle se caractérisera de mille manières différe
asme. On ne réussit dans les compositions théatrales qu’autant que le
cœur
est agité, que l’âme est vivement émue, que l’ima
traire ? votre sang circule-t-il paisiblement dans vos veines ? votre
cœur
est-il de glace ? votre âme est elle insensible ?
n que l’or, la laine ou la soie Veuillent à nos yeux vous cacher, Nos
cœurs
vont partout vous chercher : À votre éclat, à vot
ir sa situation affreuse ni résister aux remords, qui déchiroient son
cœur
, il prit la résolution d’aller à Delphes, pour y
. A cet aspect, son crime se retrace à son imagination et porte à son
cœur
les sentimens du désespoir. L’ombre en soulevant
. Thoas est endormi. Un songe affreux agite son ame et porte à son
cœur
la crainte et l’effroi : il croit voir les lambri
ager les sentimens de son époux, tente encore une fois d’ébranler son
cœur
; elle embrasse ses genoux elle le menace du cour
plan plus élevé est la statue de Diane. Scène i. Iphigénie, le
cœur
déchiré par les fonctions barbares de son ministè
plus respectueux. Iphigénie implore la Déesse ; elle lui jure que son
cœur
est innocent, qu’il est déchiré par la douleur, q
rétablit le calme et fait naître la joye et le bonheur dans tous les
cœurs
. On apporte la statue de Diane sur un riche Pavoi
Nestor Roqueplan, dans ses Coulisses de l’Opéra, — Clotilde avait le
cœur
si bon, l’âme si charitable ; il lui arrivait si
par l’aimable élève de Terpsychore se disputèrent la conquête de son
cœur
; ils entrèrent en lice : la nymphe consentit à d
nd, du reste, comme la servante du feu curé de Saint-Malo : « Que son
cœur
n’est pas fait pour vanner de l’avoine. » Regard
ai votre bonheur. A bon chat, bon rat. Mylord, tâchez de saisir mon
cœur
, moi je saisirai vos guinées. » Mademoiselle
lui adressa cet acrostiche : Nouveau caprice, enfant, s’empare de mon
cœur
. Amour aime la danse ; il veut, dans son ardeur,
tes et demi. Son chronomètre ne marquait pas les fractions… Mais son
cœur
était à secondes. Mademoiselle Pauline Duver
el. Etait-ce désenchantement d’amour-propre, ambition déçue, peine de
cœur
? On crut à un enlèvement. Miranda avait désespér
de son art. Elle avait dans les veines du sang de danseuse et dans le
cœur
des élans d’artiste. Entourée, adulée, assiégée p
e par une foule de prétendants, elle eût rougi d’une faiblesse où son
cœur
n’eût pas été de moitié. Elle traitait sans pitié
coulisses aux mœurs faciles et galantes, qui, pour tout esprit, tout
cœur
, toute jeunesse, ont des roubles, encore des roub
uve marée : — Eh ! mon cher, remportez-moi toutes ces médailles ! Mon
cœur
est comme les montagnards écossais de la Dame bla
, beaucoup plu, trop plu en haut lieu. Les princes ont des yeux et un
cœur
comme de simples mortels. On prit ce caprice un p
Sans être incités, ni semons, Que pour la véritable joie Que dans les
cœurs
la Paix envoie, Pour réjouir Grands et petits, Je
out ce que l’amour, en opposition avec le devoir, peut exprimer ; son
cœur
combattu par la tendresse qu’elle doit à ses frèr
is le bruit éclatant des timbales et des trompettes réveille dans son
cœur
le désir de combattre, et ralume cette ardeur mar
de la patrie se font entendre. Le danger de ses frères élève dans son
cœur
tous les sentimens de la tendresse ; elle s’oppos
et la désarme : il la supplie de conserver ses jours. Fulvie, dont le
cœur
est déchiré par la crainte et le désespoir, ne pe
e à son père qu’il ne démentira pas, par une foiblesse indigne de son
cœur
, le sang qui coule dans ses veines. Scène IV.
alors la physionomie recevra toutes ses impressions de l’agitation du
cœur
; elle se caractérisera de mille manieres différe
asme. On ne réussit dans les compositions théatrales qu’autant que le
cœur
est agité ; que l’ame est vivement émue ; que l’i
traire ; votre sang circule-t-il paisiblement dans vos veines ; votre
cœur
est-il de glace ; votre ame est-elle insensible ?
ir noble, la taille et la danse, Comblèrent, en ce temps de Paix, Les
cœurs
, d’amour, plus que jamais. Dans mon autre derni
emiere Position. Je prie le Lecteur de bien retenir ces Positions par
cœur
, non seulement pour la proportion des pas, mais a
noble Hôtesse, La belle et charmante DUCHESSE, L’Aimant délicieux des
Cœurs
, De sa Maison fit les Honneurs, Avec tant de grâc
des doux concerts, S’unissant aux voix sans pareilles, Charmaient les
cœurs
et les oreilles. Par ces diverses raretés Tous le
ines côtières, Toutes brillantes de Lumières. Mais, comme elle a le
cœur
fâché Des Honneurs rendus à Psyché,146 Au préjud
avantage, La courtoisie au vrai courage, Et qui m’ayant, de très-bon
cœur
, Fait, bien des fois, même faveur, En toute renco
ns : c’est ce qui s’appelle sçavoir parler aux yeux, & toucher le
cœur
par des expressions patétiques & muettes. Voi
uefois, & qui prend autant de de formes qu’il y a de mouvemens au
cœur
capables de l’altérer. Il faut qu’il paroisse de
amours peuvent forger des dards, & d’autres s’amuser à percer des
cœurs
, &c. Les Anciens firent servir tous ces diff
donne la vie et l’expression, et en séduisant l’oeil elle captive le
coeur
, et l’entraine aux plus vives émotions ; voila, c
urs ; c’est un trait vivement lancé par le sentiment ; il va droit an
coeur
. Que dis-je ? chaque passion a un accent particul
angage des passions, lorsqu’elles seront touchées par lâme, et que le
coeur
en déterminera toutes les vibrations. Ceci n’est
n ses œuvres ; au lieu qu’elles devroient s’appliquer à purifier leur
cœur
de toute mauvaise pensée, et effacer, par leurs l
autés de notre sainte Religion, et ce qu’elle a d’intéressant pour le
cœur
, on n’ait de goût que pour la vanité du siècle et
pôtre, (2. Cor. c. 3, 113,) de porter la loi de Dieu écrite dans leur
cœur
, nous ne pussions pas amollir et briser le même c
écrite dans leur cœur, nous ne pussions pas amollir et briser le même
cœur
de ceux qui tiennent encore aux abus dont nous no
n’a fait qu’une seule fois, et dans une occasion d’idolâtrie ? » Le
cœur
de ses auditeurs fut en effet brisé par la force
lle aura semé, je veux dire les pleurs, l’affliction, le serrement de
cœur
, les grincemens de dents et toutes sortes de maux
um est in conspectu Dei et Ecclesiæ ». Peut-on avoir tant soit peu à
cœur
son salut, et s’exposer, en aimant les danses, à
nt, Me fait de bien à tout moment Et, par sa belle humeur, dilate Mon
cœur
, et mon foie et ma rate ! Et que le reste des Act
te, et je devins sombre et désespéré sans m’aviser d’une expansion de
cœur
qui m’eût peut-être sauvé. Je dis peut-être, parc
brège beaucoup, mais dont le dernier trait enfonça le poison dans mon
cœur
. Ainsi, non seulement j’étais ridicule et insuppo
re. Cette personne excellente et charmante, pour qui je me sentais le
cœur
d’un fils, je la détestais, du moment que je déco
les voluptés de la tendresse. J’ai aimé avec les sens, avant que mon
cœur
eût parlé et se fût révélé à moi-même. Mon intell
ueuses préoccupations. Je suis à vous toujours du plus profond de mon
cœur
. Flaminien.
elle plane sur toutes les têtes, glace les esprits et répand dans les
cœurs
sa fatale influence ; puis, voyant des croisées o
rice du ciel, reparut sur la terre et reprit son empire dans tous les
cœurs
, où longtems elle avait cessé de régner. Cet évé
glogues, On s’entendait sur les douceurs Que produit le beau Dieu des
Cœurs
: Concluons que, sans lui, la Vie N’est pas un Bi
a cour signifie peindre sa flamme à une femme qui a su captiver votre
cœur
, entourer l’objet aimé de vos soins et chercher p
qui menacent de se suicider. Elle a des larmes pour les infortunes du
cœur
, et des commisérations pour les malheurs de l’âme
œufs à la neige, ça demande à être battu. » Qui expliquera jamais le
cœur
des femmes ? Personne. Pas même moi, qui suis de
e chant simple, et touchant qui ne frappe l’oreille que pour aller au
coeur
s’associoit intimement à l’action de la pantomime
nent sublimes, et leur magie enchanteresse triomphe tout-à-la fois du
coeur
et de l’esprit. J’ajouterai que je fis dans ma je
célèbres, qui captivèrent sous le règne d’Auguste, les esprits et les
coeurs
, et qui étoient devenus par la supériorité de leu
ons ordinaires, on ait plus de loisir, plus de liberté d’esprit et de
cœur
pour s’appliquer à Dieu, aux exercices de piété,
e de vue. Mais si les distractions et les dissipations d’esprit et de
cœur
, que causent naturellement les soins et les trava
ssemens, en s’en humiliant devant Dieu et lui en demandant pardon, du
cœur
plus encore que de la bouche. Or, combien est-on
foiblir et d’éteindre par là l’esprit de prière, et d’allumer dans le
cœur
le feu de la cupidité, pendant qu’on ne devroit s
amis, que je remercie cependant, et je suis descendu dans mon propre
cœur
. [5] C’est à vous, respectable et tendre Père, qu
des hommes, à la numération si simple de l’origine : le battement du
cœur
, le souffle respiratoire, cette mesure à deux tem
es ; et elles comptent bien hériter du domaine, quand il sera mort du
cœur
. Ces deux filles de ferme ont l’insolence tranqui
ait le don ; Que, certes, l’amoureux Sylvandre, Pour qui Diane eut le
coeur
tendre, Que Dorinde, Astrée et Philis, Aux teints
ce soit. Je ne pense pas qu’il m’ouvre jamais les profondeurs de son
cœur
meurtri, car il me paraît esclave d’un savoir-viv
ations de l’homme, de l’aménité de son attitude et de la bonté de son
cœur
, d’autant plus évidente qu’il est plus timide à s
he : Heureux ceux qui pleurent ! presque tout le monde dit dans son
cœur
: Heureux ceux qui rient et qui se divertissent !
de se répandre au-dehors. « Un homme touché de Dieu jusqu’au fond du
cœur
, dit un célèbre interprète sur la danse de David,
de plus près, on entendoit ses paroles, et si on pouvoit lire dans le
cœur
qui les dicte, on seroit attendri par le spectacl
es dont le moindre mal est une très-grande dissipation d’esprit et de
cœur
, où elles jettent ? Si, pendant qu’on danse, il v
, après des banquets, de personnes pleines de vin et de viande, ou de
cœurs
vains et folâtres. Là, les sons étoient des sujet
oins avec une toute autre douceur, lorsqu’il se fait entendre dans le
cœur
, et qu’il y fait sentir ce feu céleste dont David
e ses conquêtes par toute la terre, et le règne de la vérité dans les
cœurs
, que les flèches dont il les perce, et que les ch
il n’y a rien là qui ressemble à votre loi ; elle seule remplit les
cœurs
d’une joie qui, fondée sur la vérité, dure toujou
ls lui offrent des fleurs et des fruits ; ces hommages plaisent à son
cœur
; il leur exprime sa reconnoissance et se mêle à
vengeance de deux Déesses ; cette cruelle alternative porte dans son
cœur
le sentiment de la crainte et du désespoir. S
ssi touchante, ne peut détacher ses yeux de cet objet enchanteur. Son
cœur
vivement ému ne voit qu’Hélène, ne palpite que po
cette grande figure ; ma parole est peu préparée pour cela, mais mon
cœur
d’artiste lui est reconnaissant. » Moins certes
rofondément émue et que je vénère affectueusement dans le fond de mon
cœur
.
iez appelée. Vous saviez à quel point nous tous vous portons dans nos
cœurs
. Vous rappelez-vous ce soir de novembre à Saint-P
t que pour les yeux & les oreilles ; il est moins le Spectacle du
cœur
& de la raison, que celui de la variété &
r ; elle suspend le charme d’un moment délicieux ; elle efface de mon
cœur
les images qui l’intéressoient ; elle étouffe &am
er à l’intérêt qu’il m’a fait perdre, ce ne sera qu’à pas lents ; mon
cœur
flottera long-temps entre la distraction qu’il vi
p; sa douleur ; bientôt la jalousie & la fureur s’emparent de son
cœur
: il s’y livre tout entier, & il m’avertit pa
voir commis une action si barbare, veut s’en punir & se percer le
cœur
; les Bergeres s’opposent à un dessein si cruel ;
ision cruelle cesse : un instant de réflexion fait triompher dans son
cœur
l’amitié ; il s’arrache enfin de Thémire pour vol
etit Roman intéressera toujours très-vivement tous ceux qui auront un
cœur
& des yeux ; si toutefois ceux qui l’exécuten
de Mlle. Dumesnil, Actrice, qui remuera toujours infailliblement les
cœurs
sensibles aux accents & au cri de la nature.
ir diminue en quelque sorte à mesure que notre confiance augmente. Le
cœur
& l’esprit ne sont jamais la dupe de ce Spect
fets qu’on leur attribue. Mais je demande : veille-t-on assez sur son
cœur
pour s’apercevoir de tout le mal qui s’y passe ?
Ô quel dommage ! Maintenant que j’écris ceci (J’en ai, de deuil, le
cœur
transi) Devant le Roi, devant les Reines, Qui son
ces et Grands de la Cour, Et nôtre Roi digne d’amour, En comblant nos
cœurs
d’allégresse, Font éclater leur noble adresse ; J
pas de loin d’Ici Et qui ne coupent pas les bourses, Mais volent les
Cœurs
sans ressources. ITEM, du Nombre des Danseurs Éta
ière de la vérité pénètrera dans un plus grand nombre d’esprits et de
cœurs
? Nous avons entendu saint Jean Chrysostôme décla
vous en avez fait vos biens et vos satisfactions en y attachant votre
cœur
: vous n’avez donc rien à prétendre à des biens q
de son âme, et pour masquer la haine et la rage qui régnent dans son
cœur
; il affecte de se prêter avec joie à cette union
rojet si horrible ; mais celles-ci, peu sensibles à une union où leur
cœur
n’est que foiblemeut intéressé, assurent Hypermne
repentir, leurs courses errantes, leurs gestes effrayants glacent le
cœur
de Lincée. Les cheveux hérissés des Danaïdes, leu
leur ; la jeune mère, d’un geste convulsif, presse son enfant sur son
cœur
: elle est l’ennemie acharnée de la beauté, de la
ime pas. » Puis elle est partie laissant ce doute cruel dans ce jeune
cœur
. Gurn le butor, le jaloux, l’autre amoureux d’Ef
ter aux jeunes coquettes de vingt ans. Hélas ! en effet que de jeunes
cœurs
ont été perdus pour moins que cela… une écharpe !
utter avec le drame étincelant que chacun peut toucher des yeux et du
cœur
! Achevons cependant le récit commencé ; c’en est
, quand mademoiselle Taglioni dansait de toute son âme et de tout son
cœur
: « L’air est rempli de bruits, de sons et de dou
lettre de ton écriture, et que je pourrai avoir l’esprit libre et le
cœur
content pour faire connaissance avec le patron do
eux. M. Champorel ne la regrette point, bien que son maître, qui a un
cœur
d’or, l’ait longtemps pleurée. Je savais déjà que
sont absolument fermés. Il sait donc déjà que M. Juste Odoard est un
cœur
digne de comprendre M. le duc. Mais le vieux Cham
eur Champorel, si vous voulez bien le permettre. — Vous êtes un grand
cœur
, monsieur, ça ne m’étonne pas ; j’avais vu cela d
aque œuvre dramatique a le sien. Le Spectateur est attaché, ou par le
cœur
, ou par l’esprit à la suite successive de l’événe
ous les traits de Saint Charles Borromée passe jusqu’au fond de votre
cœur
. Tournez la tête : parcourez ces quatre tableaux
Ballet à leur tour : C’est peu de dire qu’ils le virent, De tout leur
cœur
ils l’applaudirent. Louis, qui sous ses justes
a brune COMTESSE de GUICHE, À qui Nature fut peu chiche De ce qui des
Cœurs
est l’Aimant, Y parut fort, pareillement. Mais
pédia sept caisses de costumes à New-York ; mais au dernier moment le
cœur
lui manqua ; elle resta en Europe. A défaut de sa
oute la délicatesse d’un gentleman et la pureté d’une amitié dont les
cœurs
pervertis peuvent seuls méconnaître ou soupçonner
tre ou soupçonner le désintéressement. » Qui voudrait passer pour un
cœur
perverti et ne pas croire à la parfaite innocence
ainsi en allemand : « L’aspect de mes chers compatriotes réjouit mon
cœur
et me rappelle ma chère patrie que m’aurait presq
quelques mots de l’œuvre que nous avons entreprise ce soir, mais mon
cœur
n’en a pas la force. Laissez-moi vous conjurer d’
que, toutes les obligations qui écrasent maintenant mon esprit et mon
cœur
? Accepte l’humble offrande de ma gratitude mouil
ministration s’efforçait d’amender les détenus, de faire appel à leur
cœur
et à leur raison. Cette méthode, affirmait le dir
t-Charles en un souper où le champagne de France émut joyeusement les
cœurs
. Dans la rue l’orchestre du théâtre jouait des mé
ar des danses licencieuses, Fanny ait allumé des feux pervers dans le
cœur
de l’oncle Sam. Elle eut la grande sagesse de ne
nsée maîtresse de Fanny Elssler en Amérique, une pensée qui venait du
cœur
, fut l’œuvre qu’elle recommandait au public de Ne
insi la main, c’est-à-dire les actions extérieures, arrêteront-ils le
cœur
, c’est-à-dire les mauvais désirs et les autres ma
et de ferventes prières pour obtenir de sa miséricorde qu’il ouvre le
cœur
de ses paroissiens à ses exhortations ; et, s’il
heures d’horloge. On en pourrait bien faire assurément Deux femmes de
cœur
, mères de famille, Préparant la soupe et tirant l
te qu’il voulait me faire la cour. Alors, comme Jules, — mon amant de
cœur
, — est très jaloux, j’ai détourné les soupçons un
— étaient coiffées selon la dernière mode — en pouf à l’égarement du
cœur
et de l’esprit, et mademoiselle de Camargo en rac
plus pour tout vêtement que leur pouf à l’égarement de l’esprit et du
cœur
… Quant à la Camargo, il ne lui restait guère qu
ui prouve qu’il faut absolument croire à quelque chose : De tous les
cœurs
et du sien la maîtresse, Elle alluma des feux qui
, ceux-ci furent révoqués et exilés. La seconde enflamma tellement le
cœur
incandescent d’un gentilhomme à qui elle résistai
it encore que figurante quand elle avait supplanté la Camargo dans le
cœur
du comte de Clermont. Ce dernier venait de la dot
e à aucune méchanceté. Subissant toutefois la loi de la nature, et le
cœur
envahi par la passion, elle allait se retirer du
fait que pour les yeux et les oreilles ; il est moins le spectacle du
cœur
et de la raison, que celui de la variété et de l’
asser ; il suspend le charme d’un moment délicieux ; il efface de mon
cœur
les images qui l’intéressoient ; il étouffe et am
er à l’intérêt qu’il m’a fait perdre, ce ne sera qu’à pas lents ; mon
cœur
flottera longs tems entre la distraction qu’il vi
le et sa douleur : bientôt la jalousie et la fureur s’emparent de son
cœur
; il s’y livre tout entier, et il m’avertit par s
’avoir commis une action aussi noire, veut s’en punir et se percer le
cœur
; les bergères s’opposent à un dessin si cruel ;
cruelle cesse enfin : un instant de réflexion fait triompher dans son
cœur
l’amitié ; il s’arrache enfin de Thémire pour vol
tit Roman, intéressera toujours très-vivement tous ceux qui auront un
cœur
et des yeux ; si toutefois ceux qui l’exécutent o
r diminue en quelque sorte, à mesure que notre confiance augmente. Le
cœur
et l’esprit ne sont jamais la dupe de ce spectacl
ou même, parce que, livrés à l’amour de ces dangereux plaisirs, leur
cœur
ne peut s’en détacher ? Dans tous les temps, les
les assemblées de danses, et comme ils sont appliqués à jeter dans le
cœur
des hommes à l’égard des femmes, et des filles à
tincelles ou plutôt les flammes de l’amour impur, pour faire de leurs
cœurs
une fournaise de concupiscence ! Oh ! si vous pou
’on doit avoir en s’approchant de ce sacrement, ou qu’elles vident le
cœur
de celui qu’on a eu, et qu’on a dû en rapporter.
, parce que les sentimens les plus cachés, les plis et les remplis du
cœur
les plus secrets se manifestent souvent par de fo
un bel et utile usage que renouvelle l’Opéra en recueillant de grand
cœur
les étoiles étrangères. Cet afflux de sang nouvea
, avec toutes les personnes qui ont le bonheur de vous approcher : Le
cœur
d’une bonne mère est le chef-d’œuvre de la Divini
▲