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1 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
lement reçues et suivies ? Elles demeureront toujours stériles, et le cœur y demeurera toujours fermé, si cette onction do
prit qui enseigne par la grâce et par la charité qu’il répand dans le cœur d’une manière qui n’est propre qu’à lui. Les homm
mmes frappent l’oreille du corps, mais le Saint-Esprit ouvre celle du cœur , lui parle, et s’en fait obéir ; parce qu’il fait
order afin qu’il leur profite. Esprit de vérité, placez-vous dans nos cœurs pour nous instruire et nous toucher ! Dissipez pa
tre esprit la lumière de la vérité, faites-la aussi pénétrer dans nos cœurs , en sorte que nous ayons un éloignement fini et p
2 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — XI » p. 141
e commence. Faut-il l’avouer ? L’amour, tel que l’homme l’a conçu, le cœur , la charité, la musique, l’art enfin ne sont poin
mps qui se fait oublier. Grâce à la musique, le temps est l’espace du cœur , ou de l’esprit rendu sensible au cœur par l’émot
ique, le temps est l’espace du cœur, ou de l’esprit rendu sensible au cœur par l’émotion. La musique est désormais la vérita
ule fait l’assemblée. Infini ou absolu, Amour enfin, Dieu sensible au cœur , voilà ce que l’art des sons propose à l’homme. C
3 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214
ésister à l’impression que les charmes de Polixène ont faites sur son cœur  ; le poignard lui échappe de la main, il se jette
yrrhus. Ce changement de fortune fait renaître le calme dans tous les cœurs  ; la joye, qui en est le symbole, éclate de toute
ssance. Pyrrhus est inquiet ; vivement agité par les mouvemens de son cœur , il oublie cette fête, l’ouvrage de sa valeur et
vive que Polixène a faite sur lui, rompt le silence et lui offre son cœur et sa main : cette Princesse dissimule une partie
u d’Achille, et le souvenir des vertus de ce héros pénétrent tous les cœurs de respect et d’admiration. Les guerriers de la s
lheur semble les avoir anéantis. Cependant l’espérance renaît dans le cœur de ces amans, ils veulent tenter une seconde fois
de Polixène n’appaise mes manes irrités. A ce spectacle affreux, les cœurs sont glacés d’effroi. L’ombre disparoît. Polixène
le d’horreur ; il frémit d’un ordre aussi barbare ; et sa main et son cœur se refusent à l’obéissance ; Polixène ramasse ce
4 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 février 1661 »
sens quelque ferveur, Firent si bien ce qu’elles firent, Que bien des cœurs elles ravirent. Des Danseurs, quoi que la plupa
es cœurs elles ravirent. Des Danseurs, quoi que la plupart Dans mon cœur aient quelque part, Par prudence, ou philosophie,
s oyaient, alors. Anna, l’agréable Segnore,12 Qu’en secret, dans mon coeur , j’honore, Joua dans ce Royal Ballet Excellemment
omme de remarque, Et qui des plaisirs du Monarque, Qu’il sert avec un cœur ardent, Est l’unique Surintendant : Et le renommé
5 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108
in d’Armide ; sa rage fait place aux sentimens les plus tendres ; son cœur qui respiroit la vengeance ne respire plus que 1’
ux la félicité dont ils jouissent. Ces images séduisantes font sur le cœur du jeune guerrier l’impression la plus vive. Les
se les deux chevaliers, et les conjure de l’arracher d’un lieu où son cœur pourroit courir encore quelques nouveaux dangers.
le se précipite même aux pieds de Renaud, qui, vivement ébranlé et le cœur flottant entre l’amour et la gloire, ne résiste q
soutenir, sans mourir, l’idée désespérante du départ de celui que son cœur idolâtre, tombe évanouie. A cette vue Renaud se d
d’Armide. Le départ de Renaud est accompagné de tous les regrets d’un cœur fortement épris, et qui sacrifie à son devoir l’o
ans cesse Armide, et en peignant tous les sentimens qui déchirent son cœur . Scène dernière. Armide en revoyant la lumi
6 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre V. Premier emploi de la Danse »
la démonstration d’un sentiment qu’elle a profondément gravé dans le cœur de tous les hommes. Ils sortaient à peine des mai
l’Être Suprême, et des motifs touchants de reconnaissance pour leurs cœurs . Il est donc très vraisemblable que les hommes ch
7 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Mort d’Hercule. Ballet tragique. » pp. 157-168
faite à l’art de feindre, lui dévoile ingénuement les secrets de son cœur . Déjanire, uniquement occupée du bonheur d’Hilias
’accable ; il lui jure qu’il renonce à son amour, qu’il va rendre son cœur à Déjanire, et qu’il va consentir à l’hymen de so
rise le combat des passions, qui agitent son ame et qui déchirent son cœur , il unit enfin ces deux amans. Il se précipite au
ne voit pas réellement les objets affreux qui viennent de glacer son cœur . Dans cette situation elle fuit, court et s’arrê
sein de la lui envoyer.   L’espérance et le calme renaissent dans son cœur  ; elle appelle ses femmes, elle demande Lycas, el
ur détacher cette robe fatale dont le poison subtil a filtré dans son cœur . Ses douleurs s’accroissent ; ses entrailles se d
est affreuse, l’idée d’un crime, quoiqu’involontaire, lui déchire le cœur , les forces d’Hercule diminuent ; il chancelle, i
ordonne à son fils de l’embraser ; Hilias frémit et sa main comme son cœur se refuse à un ordre si barbare. Déjanire ne peut
8 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — 14 février : Le Sicilien ou L’Amour peintre — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 19 juin 1667 »
cilien, que Molière Représente d’une manière Qui fait rire de tout le cœur , Est donc de Sicile un Seigneur Charmé, jusqu’à l
Entraves : Deux Grecques, qui Grecques en tout, Peuvent pousser cent Cœurs à bout, Comme étant tout à fait charmantes, Et do
9 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — I » p. 134
it ; elle n’aspire pas à une ivresse éternelle, celle que la vigne du cœur verse à l’esprit. Elle n’a rien d’intérieur ; ell
due à ses bras, la danse trahit la musique. Elle lui demande ce grand cœur , passionné et tendre, dont elle ne fait rien : el
10 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
el, et tout le monde ; Par ses grâces et ses beautés, Les plus nobles Coeurs sont domptés ; Et lorsque tous ceux du rivage Ont
gère, Dont la beauté rare et sincère A fixé, par son air brillant, Le coeur d’un notable Galant. De Vibraye, aimable Marqui
as (même) sans soupirer. Montespan, Merveille visible, Pour qui nul coeur n’est insensible, Astre d’honneur, astre d’amour,
teint jeune, frais et poli ; Et Sévigny, dont le visage Charmerait le coeur du plus sage, Sont aussi de ce beau Ballet, Et da
11 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « A Sa Majesté l’Empereur de toutes les Russies. » pp. -
ur que je viens de recevoir de votre Majesté Impériale, a pénétré mon cœur de la plus vive reconnoissance. Non seulement ell
ériteroit d’être célébré par tous les artistes de nos jours. Sire, le cœur sensible de votre Majesté Impériale, a voulu sans
12 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IV. Objection : On danse en public. » pp. 175-176
mmes, si on ne l’est pas aux yeux de Dieu qui sonde les reins et les cœurs , (Ps. 7, v. 10.) et devant qui l’on n’est réelle
v. 10.) et devant qui l’on n’est réellement que ce qu’on est dans le cœur  ? Je réponds en troisième lieu, qu’on ne sera pas
13 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 »
e, Désirant agréablement Donner un divertissement À la REINE, que son coeur aime Aussi tendrement que lui-même, Choisissant l
ILAIRE La voix mélancolique et claire, Qui flattait l’oreille et le cœur Du plus délicat Auditeur ; Les instruments et la
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 octobre 1667 »
lles camuses Depuis que notre grand Vainqueur A pris leurs Intérêts à cœur . Ce qu’on danse sont huit Entrées, Qui sont les
Progrès pires que Fols, Et qui, dedans leur Décadence, N’ont guère le cœur à la Danse. Quoi qu’il en soit, de beaux Récits,
15 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169
est égal, tous deux ont le même but à remplir, ils doivent parler au cœur par les yeux ; l’un et l’autre sont privés de la
onstance heureuse pour faire éclater les sentimens qui unissent leurs cœurs , mais cette circonstance trop éloignée, et fort i
e Messager se retire vers le fond du théâtre. La crainte s’empare du cœur de Clytemnestre ; une sueur froide imprime sur se
i ; celle qui annonce qu’Agamemnon suit les pas du Messager, porte au cœur de Clytemnestre le coup le plus accablant. Egisth
conserver, paroît consentir à son dessein cruel. Un instant après son cœur dément ce qu’elle vient d’avouer ; elle se reproc
on respect. Mais ce Prince ne voyant point l’objet le plus cher à son cœur , cherche Oreste dans tout ce qui l’environne et l
; l’idée du double crime qu’il s’est engagé de commettre, porte à son cœur le cri du remords ; tantôt il envisage le bonheur
Dans ce moment, un bruit soudain frappe ses oreilles, et porte à son cœur déchiré un nouvel effroi ; il fuit et se dérobe à
ue la crainte et le remords retiennent son bras et balancent dans son cœur le crime et la fureur. Scène v. C’est dans
ngage ses femmes à veiller à la conservation d’un objet si cher à son cœur  ; elles se dispersent pour garder les différens p
dit que c’est le fer dont le cruel Egisthe s’est servi pour percer le cœur de leur père. A ce recit Oreste frémit d’épouvant
cependant l’art de se servir de cet état humiliant, pour captiver le cœur de tous les Officiers, à la garde des quels elle
ppellent le Crime, le Remords et le Désespoir, pour mieux déchirer le cœur du malheureux Oreste ; les sifllemens de leurs se
aroît, et lui montre la plaie toute saignante qui a frayé jusqu’à son cœur un chemin à la mort. Oreste à cet aspect épouvant
e l’ombre, la conjure d’une voix foible et mourante de croire que son cœur est innocent, et que sa main seule est criminelle
les reproches que le Crime, le Remords et le désespoir portent à son cœur , veut se donner la mort ; mais Pylade, Electre et
16 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222
ce Macédonien en devient éperduement amoureux. Le même trait dont son cœur est atteint va blesser celui de la jeune Princess
ux de Statira ; il lui annonce sa nouvelle victoire, et lui offre son cœur et son trône. La Princesse est sensible à ce doub
etentir les airs de leurs cris d’allégresse, mais ces cris portent au cœur de Roxane la rage et le désespoir. Au sortir d’un
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
guerre, En Dieu triomphant et vainqueur ; Saint-Aignan, dont le brave cœur Eut toujours la Valeur pour guide, Et qui se port
i comblaient d’amoureuses flammes, Ainsi que des soleils ardents, Les cœurs de tous les regardants Y causant un désordre extr
seront de vives pointures ! Que la belle et chère Toussy Remplira les cœurs de souci ! Que Bailleul, l’aimable mignonne, Devi
18 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
ère s’entrouvre, et Giselle s’élance preste et joyeuse comme tous les cœurs purs. Que peut faire une jeune fille éveillée si
ler à la vendange. — Si vous croyez cela, vous ne connaissez guère le cœur des jeunes filles ; son amant est là alerte et di
urs prêt à danser ; aussi l’aime-t-elle de toute la force de son cher cœur . Quelle jeune Allemande ne serait pas éprise d’un
eurs ! Les fleurs sont plus véridiques. Voici une jolie marguerite au cœur d’or, entourée d’une couronne d’argent dont chaqu
t être, comme on dit en style de ballet. Un froid mortel saisit votre cœur dans votre blanche poitrine ; les grands seigneur
empêcher de la trouver belle. Chez les femmes, la raison est dans le cœur  ; cœur blessé, tête malade. Giselle devient folle
er de la trouver belle. Chez les femmes, la raison est dans le cœur ; cœur blessé, tête malade. Giselle devient folle ; non
rveilleusement rendue par Carlotta, elle tombe morte, la main sur son cœur , entre les bras de Bathilde et de Berthe, au prof
ible et doux n’est pas celui des fleurs sauvages : ni la clochette au cœur rose, ni le myosotis n’ont cette odeur ! ce mystè
ffet, que se tient le bal magique. Regardez ! le gazon tressaille, le cœur d’une belle de nuit s’entrouvre ; il en jaillit u
énétrer sous terre jusqu’à vous, et tomber d’un œil brûlant sur notre cœur glacé. — Non, non, non, qu’il danse et qu’il meur
s, effrayées, se dispersent et rentrent dans leurs cachettes, dans le cœur des nénuphars, dans les fentes des rochers, dans
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
s de leurs visages Qui ravissent, qui moins, qui mieux, Les âmes, les coeurs et les yeux. Outre leurs beautés et leur Danse,
s oreilles N’ouïrent de douceurs pareilles. Mais ce qui ravit plus le coeur , C’est certain Angélique Choeur Formé des voix ju
lant Homme Qu’il n’est pas besoin que je nomme, Homme, envers-moi, de coeur humain, Et mon ami, de longue main, (Que Dieu gar
20 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
me avec un mauvais désir pour elle, a déjà commis l’adultère dans son cœur . Selon cette parole de la vérité même, combien y
t à se divertir, et dont les discours ne sont propres qu’à amollir le cœur , le Saint-Esprit dit dans le même livre de l’Eccl
qui ne s’aperçoit pas d’abord, parce qu’il a gagné insensiblement le cœur , passant des yeux dans les pensées et les désirs,
ude : ne disputez point avec elle en buvant du vin, de peur que votre cœur ne se tourne vers elle, et que votre affection ne
ngères que Salomon aima passionnément, corrompirent à un tel point le cœur de ce roi, auparavant si sage, qu’elles lui firen
mpulsa ? « Il faut donc, conclut-il, détourner notre esprit et notre cœur de toutes ces choses qui ne peuvent que porter au
te par ses regards et ses gestes peu modestes et trop libres, dans le cœur de ceux qui la voient, un poison mortel : Aspect
21 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
t à l’aide de cette méthamorphose, l’Amour établit son empire dans un cœur qui jusqu’à cet instant ne respiroit que la gloir
ant de sa foiblesse, elle veut fuir Enée ; elle veut le bannir de son cœur , elle veut lui ordonner de quitter ses états ; ma
sein ; il imprime dans son ame l’image du plaisir, il grave dans son cœur les attraits de la volupté ; et satisfait de son
yen, reçoit ses sermens avec transport ; elle lui promet sa main, son cœur et son trône. Le jeune Ascagne, ou plutôt l’enfan
offre avec les présens les plus rares de ses climats, sa main et son cœur à la Reine de Carthage. Cette Princesse flattée d
mais elle lui donne à entendre qu’elle ne peut accepter le don de son cœur , et que sa liberté lui est plus chère que toutes
ne, pendant cette scène, s’est approché de ce Prince. Il a ouvert son cœur aux sentimens de la jalousie et de la vengeance ;
22 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
peuvent que donner au démon la plus grande facilité de lancer dans le cœur de ceux et celles qui dansent, et de ceux même qu
ue la curiosité lui fit considérer, et qu’elle laissa entrer dans son cœur un secret désir de plaire, quoique confus et sans
adressai au Seigneur, je lui fis ma prière, et je lui dis de tout mon cœur  : etc. Ce principe posé, je demande si les perso
réablement les oreilles, n’a-t-il pas souvent pour effet d’amollir le cœur , et de le disposer à recevoir les plus funestes i
aient pas fait d’impression, peut-on nier que cela n’ait jeté dans le cœur une mauvaise semence qui, étant demeurée cachée p
serviront du moins à faire voir combien est grande l’inflexibilité de cœur de ceux qui ne s’y rendront pas, et combien est o
23 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
n lui présente que du secret qu’il va révéler. Zélis, qui lit dans le cœur de son amant, exprime de tendres inquiétudes ; el
lance, et dans l’instant où il va dévoiler le mystère, qui percera le cœur de Zélis, le chef des Eunuques paroît et lui anno
ien particulier qu’il n’a pu lui refuser. Il peint l’inquiétude : son cœur naturellement sensible et qui ne s’est détaché qu
de fleurs. Elle en mélange les couleurs d’après les sentimens de son cœur . Pendant cette scène la cruelle Fatnie paroît ver
re ; il la montre au peuple comme l’épouse qu’il a adoptée et que son cœur a choisie ; il la place sur son trône : dans ce m
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
Lettres et des Armes ;) Et Venus avec ses doux charmes À qui tant de cœurs font la cour, Ne parla qu’en faveur d’Amour, Chac
t bien et fort juste. Plusieurs autres nobles Objets, Dont bien des cœurs sont les sujets, Augmentant, comme des miracles,
t fut fait Maréchal. Mademoiselle de la Mothe, Pour qui maint noble cœur sanglote, Ayant des mérites assez, Pour attacher
la Reine, Et qui par ses charmes vainqueurs Se peut asservir bien des cœurs . De-Pons, illustre Demoiselle, De l’Honneur vis
25 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du samedi 18 avril 1671 »
, s’entretient, Avec les Nymphes, qui comme elle, Ayans, pour lui, le cœur rebelle, Le traitent de Peste, et font vœu, De ne
se transforme, Et passe sous diverse Forme, Espérant, par là, de son cœur , Se rendre, à la fin, le Vainqueur. Tantôt, don
jeune & charmant Damoiseau, Et fait offre à cette Déesse, De son cœur , avec tant d’adresse, Qua, par un Sort assez plai
26 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
aël, si ses enfans marchoient devant lui dans la vérité, de tout leur cœur et de toute leur ame . Salomon parlant à Dieu de
aucoup de chrétiens, bien loin de désirer que Dieu fasse luire à leur cœur la lumière de la vérité, la craignent, la fuient
te, qu’ils prennent pour la vérité tout ce que la dépravation de leur cœur leur fait aimer, quoique ce soit toute autre chos
ette opposition si criminelle à la vérité, que l’on conserve dans son cœur , lorsqu’on sent qu’elle est contraire à ses incli
ste châtiment de Dieu, on est traité selon les désirs déréglés de son cœur  : on craint et on fuit la lumière de la vérité, e
t que faut-il faire pour l’éviter ? Il faut commencer par ôter de son cœur tout ce qui en peut fermer l’entrée à la vérité,
ai à une infinité de passions qui, pullulant de jour en jour dans mon cœur , y firent comme une forêt, où l’épaisseur des arb
te lumière étant toute spirituelle, ne peut être vue que par l’œil du cœur  : Hæc lux oculum cordis inquirit.  » Mais afin q
te à ce sujet cette parole de Jésus-Christ : Heureux ceux qui ont le cœur pur, parce qu’ils verront Dieu ! et le cœur est
Heureux ceux qui ont le cœur pur, parce qu’ils verront Dieu ! et le cœur est d’autant plus pur, qu’il s’éloigne davantage
upiditates . Le saint docteur, vivement affligé de cette duplicité de cœur de plusieurs de ceux qui paroissent rechercher la
r pour séduire les hommes, un feu qui n’est capable que d’embraser le cœur des jeunes gens et d’y exciter toutes sortes de p
d’une joie toute sainte, dansoit devant l’arche, ayant l’esprit et le cœur remplis des sentimens de la bonté de Dieu à son é
a foi : qu’il éclaire mes yeux ; que je condamne, que j’efface de mon cœur tout ce qui est contraire à la vérité de Jésus-Ch
27 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
doivent être l’ouvrage des charmes de Creuse et de leur empire sur le cœur d’un jeune Prince, tout à la fois tendre, ambitie
transport à un projet qui s’accorde si bien avec les intérêts de son cœur . Créon, qui entend du bruit, quitte Creuse avec p
ui présente un poignard et son sein, en le conjurant de lui percer le cœur , s’il ne veut lui rendre le sien. Jason, pénétré
proche de l’autel, il montre Jason au peuple, comme le Prince que son cœur choisit pour régner à sa place ; il abdique le tr
e. Le départ de cette magicienne fait renaître le calme dans tous les cœurs  ; mais il ne dure qu’un instant. Créuse ressent t
28 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
dmirées. On y voit celle des Pleureurs, Où s’attendrissent tous les Cœurs , Celles des Cyclopes, des Fées, Qui sont, à merve
e, qui fait ce Zéphire. Pour Psiché, la belle Psiché, Par qui maint cœur est alléché, C’est Mademoiselle Mollière, Dont l’
ns ses propos, Et si bien dans sa douleur exprime, Que, dans tous les Cœurs , il l’imprime, Blâmant un Oracle felon, Qui, plus
29 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre première. À Voltaire. » pp. 2-7
annoncera à la belle Gabrielle l’arrivée du Monarque, il ouvrira son coeur à la tendresse ; les Jeux, les Ris et les Plaisir
i avec la belle Gabrielle décélera la situation de leurs âmes : leurs coeurs percés du même trait palpiteront d’amour ; les im
rmes, à la prière, et embrassera les genoux de son vainqueur, qui, le coeur fortement ébranlé, et flottant sans cesse entre l
qu’elles déterminent l’Amour à seconder leurs projets en blessant le coeur du héros ; comme le lieu de la scène est embélli
30 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
n ne peut voir sans soupirer, Ni, mêmement, sans l’adorer, À qui tout cœur doit rendre hommage, Et dont l’angélique visage,
e, Fille de mine ravissante, Et dont les jolis agréments Charment les cœurs à tous moments. Voilà ce que j’avais à dire Dud
31 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
de cette Spartiate, sur de posséder un objet dont l’image porte à son coeur le sentiment le plus délicieux, il ne balance plu
sont des hommes, et dèslors ils ont des droits incontestables sur le coeur de tous les hommes, toujours leurs semblables, da
oir de plus touchant. Ce spectacle varié enchante le jeune Héros, son coeur est troublé ; son âme est vivement émue ; perpétu
ompher : toutes ces peintures affectent vivement le jeune Héros ; son coeur indécis flotte entre la Gloire et le Plaisir. Tan
e entre la Gloire et le Plaisir. Tantôt l’une l’appèle et parle à son coeur  ; tantôt l’autre l’irrite et triomphe de ses sens
Gloire qui commande, et le plaisir qui séduit : balance, hésite ; son coeur est incertain ; son âme est indéterminée ; quel c
engera un jour. Hercule qui les voit fuir et s’éloigner, sent que son coeur vole après eux et qu’il est prêt à les rappeler.
des Graces, voulut couronner la constance de Daphnis, en disposant le coeur de Philis à la tendresse et en ouvrant son âme au
Le moment est favorable. Philis plongée dans une douce rêverie, et le coeur ému du spectacle touchant que la nature vient de
tousse et soupire : plongée dans ses réflexions elle n’écoule que son coeur . Le Dieu s’approche de plus près, il agite ses ai
t délicieux qui n’est vivement senti que lorsque l’amour règne sur le coeur de concert avec les graces etc. L’Allégorie, Mons
ment révolteroient ; un seul grain suffit lorsqu’il est offert par le coeur et qu’il est allumé au feu du sentiment. Toutes l
nfaisante, elle avoit appris par le pouvoir de son art magique que le coeur de Roger et celui de Bradamante avoient été percé
embrassât sa religion ; c’étoit à ce prix qu’elle lui promettoit son cœur et samain ; le héros hésitoit, mais on amour trio
32 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
e son parti et combien ses discours feroient peu d’impression sur des cœurs glacés par l’age et fermés sans retour aux attrai
orphose, l’un et l’autre se trouvent ramenés à cet âge heureux, où le cœur s’ouvrant au plaisir est l’image de la rose qui s
des Graces, voulut couronner la constance de Daphnis, en disposant le cœur de Philis à la tendresse et en ouvrant son ame au
e moment est favorable ; Philis plongée dans une douce rêverie, et le cœur ému du spectacle que la nature vient de lui offri
tousse et soupire ; plongée dans ses réflexions elle n’écoute que son cœur . Le dieu s’approche de plus près ; il agite ses a
délicieux, qui n est vivement senti, que lorsque l’Amour règne sur le cœur de concert avec les Graces.   L’instant des jeux
ger ; l’echo fait retentir son nom ; Philis le répéte tout-bas et son cœur lui répond. L’allégresse règne parmi les compagno
ne trouve beau que ce qu’on aime et qu’elle doit ne rien craindre du cœur de son Berger.   Les danses commencent. Les Berge
ieds.   Philis rougit ; elle prétend moins au prix de la beauté qu’au cœur de son amant ; un sentiment de justice la détermi
33 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
t dont il frémit lui-même, quoiqu’il fasse le vœu dans le fond de son cœur de desobéir au nouveau Dieu dont il embrasse le c
de cette chaloupe sa sœur et son ami. Il regarde attentivement ; son cœur est pénétré de plaisir et de crainte ; il les voi
n change. Un sauvage présente à Dorval le poignard qui doit percer le cœur de Constance, et lui ordonne de le lui plonger da
x qui peuvent, par leurs liaisons et par leurs successions, remuer le cœur et affecter l’âme. Je ne sais si j’ai bien fait d
our de l’amour : excité par les images que la jalousie porte dans son cœur , il se dégage d’Inès et court sur Clitandre. La f
ant par ses gestes et ses régards combien ce sacrifice lui déchire le cœur  ; c’est par un effort violent qu’il se défait d’u
produits rendent l’action générale ; le plaisir s’empare de tous les cœurs il se manifeste par des danses ou Fernand, Inès,
du coup : Ton bras est suspendu ! qui t’arrête ? ose tout ; Dans un cœur tout à toi laisse tomber le coup. La scène de dé
velle, parce qu’elle parle à l’ame, et qu’elle intéresse également le cœur et les yeux. J’ai passé légèrement sur les partie
vez vous pas été émû ? votre ame n’a-t-elle point été affectée, votre cœur ne s’est-il pas attendri, et vos yeux ont-ils pu
droit d’arracher des larmes et de remuer fortement tous ceux dont le cœur est susceptible de sentiment et de délicatesse.
toile ; tant pis pour ceux que le beau simple ne séduit pas ; si leur cœur est glacé et s’il est insensible aux images intér
34 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
t dont il frémit lui-même, quoiqu’il fasse le vœu dans le fond de son cœur de désobéir au nouveau Dieu dont il embrasse le c
cette chaloupe sa sœur & son ami. Il regarde attentivement ; son cœur est pénétré de plaisir & de crainte ; il les
n change. Un Sauvage présente à Dorval le poignard qui doit percer le cœur de Constance & lui ordonne de le lui plonger
qui peuvent par leurs liaisons & par leurs successions remuer le cœur & affecter l’ame. Je ne sais si j’ai bien fai
our de l’amour ; excité par les images que la jalousie porte dans son cœur , il se dégage d’Inès & court sur Clitandre ;
par ses gestes & ses regards combien ce sacrifice lui déchire le cœur  ; c’est par un effort violent qu’il se défait d’u
a produit rendent l’action générale ; le plaisir s’empare de tous les cœurs  ; il se manifeste par des Danses où Fernand, Inès
du coup, Ton bras est suspendu ! Qui t’arrête ? Ose tout ; Dans un cœur tout à toi laisse tomber le coup. La Scene de d
lle parce qu’elle parle à l’ame, & qu’elle intéresse également le cœur & les yeux. J’ai passé légérement sur les par
ez-vous pas été ému ; votre ame n’a-t-elle point été affectée ; votre cœur ne s’est-il pas attendri ; & vos yeux ont-ils
oit d’arracher des larmes & de remuer fortement tous ceux dont le cœur est susceptible de sentiment & de délicatesse
ant pis pour les sots si le beau simple ne les séduit point ; si leur cœur est glacé, & s’il est insensible aux images i
35 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre X. Vues des Philosophes : objet des Législateurs relativement à la Danse. »
usse au-dehors, comme le venin de la Tarentule. La crainte flétrit le cœur , la mélancolie obscurcit l’esprit, et l’âme est e
rend le corps plus souple, plus vigoureux, plus léger, porte dans le cœur une confiance fière qui le ranime, et dans l’espr
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
n, quelques-unes, Tant blondines, que claires-brunes, Charmaient cent cœurs , en moins de rien, Sans, même, en excepter le mie
s neufs Muses célestes, Mignonnes, gracieuses, lestes, Ravissants les cœurs et les yeux,15 Par leurs pas concertés des mieux
37 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
J’avais de nombreux amis autour de moi. Il était seul. Peu à peu mon cœur alla à lui sans que nous cussions échangé une par
récisément, on me présenta un vicomte, qui prétendait à la fois à mon cœur et à ma main. Est-il besoin de dire que, les yeux
e rendais à mon théâtre, j’aperçus au loin, mon amoureux de Nice. Mon cœur se mit à battre à coups précipités dans ma poitri
le mien. Immobile, la main gauche comprimant les frémissements de mon cœur , j’attendais, les yeux en fête : il détourna la t
38 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144
si ses yeux ne déclament point et ne décèlent pas la situation de son cœur , son expression dèslors est fausse, son jeu est m
ent étranger : leurs voix doivent être touchantes ; c’est toujours au cœur qu’elles doivent parler ; le langage qui leur est
t ne se borne-t-il au contraire qu’à frapper les yeux sans toucher le cœur , sans remuer les passions, sans ébranler l’âme, i
n dans les âmes les moins sensibles ; le plaisir est un tribut que le cœur ne peut refuser aux choses qui le flattent et qui
l’imagination des spectateurs, qui ébranle leur ame et qui ouvre leur cœur à la sensibilité. Le cri de la nature et les mouv
l’action pantomime doivent également toucher : le premier attaque le cœur par l’oüie, le dernier par la vue ; ils feront l’
e cette harmonie et de cette intelligence, intéresseront également le cœur et l’esprit. Je suis, etc.
39 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289
ses yeux ne déclament point & ne décélent pas la situation de son cœur , son expression dès-lors est fausse, son jeu est
ment étranger ; leurs voix doivent être touchantes, c’est toujours au cœur qu’elles doivent parler ; le langage qui leur est
t ne se borne-t-il au-contraire qu’à frapper les yeux sans toucher le cœur , sans remuer les passions, sans ébranler l’ame ?
on dans les ames les moins sensibles, le plaisir est un tribut que le cœur ne peut refuser aux choses qui le flattent &
agination des Spectateurs, qui ébranle leur ame, & qui force leur cœur à la sensibilité. Le cri de la nature, ou les mou
l’action Pantomime doivent également toucher ; le premier attaque le cœur par l’ouie, les derniers par la vue : ils feront
cette harmonie & de cette intelligence intéresseront également le cœur & l’esprit. Je suis, &c.
40 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — Première moitié d’octobre : Divertissement pour la reine — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 17 octobre 1666 »
des douces Musettes, Et la charmante de TOUSSI, (XXX.) Déjà de maints Cœurs le Souci, De ses beaux Pieds fit des Merveilles Q
41 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
s ! Les chrétiens ont une science qui doit posséder entièrement leurs cœurs , savoir : la connoissance du vrai Dieu, l’étude e
lus se plaire à voir danser ; car c’est donner à connoître qu’on a le cœur vain et charnel, et qu’il s’amuse encore aux foli
aut que les seuls regards pour y mettre le feu, et faire brûler leurs cœurs de mauvais désirs ; tellement que la rencontre n’
concourent ensemble dans un même lieu, entre les mêmes personnes, le cœur surtout n’étant là que pour se donner du plaisir.
le regard d’une fille qui dansoit a produit un si grand effet sur le cœur d’Hérode, qui osera se permettre de regarder avec
ons profanes du monde ; et Dieu ne sauroit avoir en aucune action, le cœur plongé plus avant dans les folles délices et les
tous ces spectacles de folies et de vanités, en tous ces exemples de cœurs s’enivrant de plaisir… Pour ce qui regarde la glo
selon le cours ordinaire, à cette double corruption de l’esprit et du cœur  ; et la Religion ne peut plus subsister parmi des
laisance pour l’opinion des autres, qui a de secrètes racines dans le cœur , de louer ce qui ne mérite que des larmes, et d’a
42 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
urs rares que le galant propriétaire était fier de pouvoir offrir, au cœur de l’hiver, à ses nombreuses amies. Une page de l
; quand elle se fut mariée, il lui servit fidèlement une pension. Son cœur eut des aspirations plus hautes. Il continuait de
mme une étoffe un peu raide, mais que soulevaient les battements d’un cœur épris. Il faut croire que l’hommage ne fut point
quetterie d’un homme qui promet moins, pour donner plus. « Malheur au cœur , dit-il, que les années dépouillent de toute flor
on inquiétude s’évanouit. Je saisis clairement qu’elle comprenait mon cœur et je m’écriai : Rien ne me séparera de toi ! « Q
ternité ne sauraient éteindre le sentiment que tu as éveillé dans mon cœur . Même ce noble mot de Treue (fidélité) n’est pas
de croire que, moi aussi, je ne pourrai par rien être arraché de ton cœur , et si, par une simple pression de ta main, tu m’
de croire que, moi aussi, je ne pourrai par rien être arraché de ton cœur . » N’y avait-il pas à parier 90 pour 100 qu’un ga
défiance ou de jalousie. Est-ce fatuité ? Non. Il a vu clair dans le cœur de Fanny ; il la sait sans duplicité, sans vice.
tive de ce départ avait éveillé en lui des sentiments contraires. Son cœur en était profondément attristé, mais sa raison s’
en resterait bien assez pour en vivre jusqu’à la fin de ses jours. Le cœur étouffa la voix de la raison. A mesure que l’heur
auront partout et toujours un écho dans toutes les profondeurs de mon cœur . Adieu, toi que j’aime d’un amour inexprimable ;
seulement y mène celui qui aime. « C’est pour cela que je quitte, le cœur accablé, ce lieu chéri : j’emporte avec moi toute
ne vous ai vu si gai. » C’est de cette joie que débordait encore son cœur le lendemain matin, au milieu de l’effarement cau
rouver chez elle un écho sympathique, il lui dévoila complètement son cœur  ; il analysa devant elle ses sentiments avec cett
preuve. » Gentz en veine de confidences ne peut plus s’arrêter. Son cœur déborde, sa lettre s’allonge. Sa pensée se report
oire que notre union ne serait point de longue durée. Et pourtant ton cœur te dira ce que me dit le mien, à savoir qu’entre
es d’un rhéteur qui n’avait que cette ressource-là pour s’attacher un cœur naïf et chez qui la phrase masquait la passion ab
t un peu profane ; mais le christianisme est tellement la religion du cœur , qu’il suffit d’aimer avec dévouement et pureté,
remplir le vide terrible que la séparation laisse cette fois dans mon cœur . » Cette nouvelle absence de Fanny produisit sur
ue, de cet éloignement, il espérait une victoire de sa raison sur son cœur . Le moyen n’avait pas réussi. C’est seulement au
fforce de me dérider, mais tout est inutile ; ici (et il montrait son cœur ) son image est morte. » Fanny ne se laissa pas r
lorsque l’on cherche à se rendre compte de ce qui s’est passé dans le cœur de Fanny. Les lettres qu’elle a écrites à son ama
essentielles. Elles n’effacèrent pas la chère image gravée au fond du cœur . Fanny ne s’est jamais occupée de politique ; ell
43 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
ble, la commotion de l’esprit, peu convenables aux chrétiens, dont le cœur doit être le sanctuaire de la paix. Ils y blâment
introducteur… Parmi ces commotions dont je parle, qui peut élever son cœur à Dieu ? Qui ose lui dire qu’il est là pour l’amo
rpétuel dans un chrétien, du moins en désir et dans la préparation du cœur  ? On trouvera dans les saints pères toutes ces ra
à la sainte Vierge, aux anges et aux saints, lorsqu’ils ont vu que le cœur s’arrêtoit à ce plaisir si ridicule ; qu’enfin à
44 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 août 1664 »
e saurait chanter sans plaire, Et La Barre, qui pleinement Dompte les coeurs à tout moment, Par le rare et double avantage De
45 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 26 décembre 1666 »
on meurt de danser avec Elle, Et du LUDRE, l’ASTRE LORRAIN73 Qui des Cœurs s’empare soudain, Par sa belle et forte Influence
46 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 3 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
qui plus aux Anges ressemble, Et c’est à dire ces Beautés Par qui les Cœurs sont si tentés. Les Momons de toutes les sortes
47 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189
toutes ces peintures délicieuses enchantent Apelles, et portent à son cœur le trouble et l’émotion. Alexandre voulant lui do
res lui ont mérités.) Scène III. Roxane qui a des droits sur le cœur d’Alexandre, paroît avec l’empressement que lui d
housiasme et ayant rendu à la beauté qui l’enflamme l’hommage que son cœur lui devoit, retourne à l’ouvrage. Alexandre, prév
sa tendresse ; Campaspe emue et vivement troublée, lui avoue que son cœur la partage. Il se saisit de sa main, la baise ave
48 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IV. » pp. 25-31
alors la physionomie recevra toutes ses impressions de l’agitation du cœur  ; elle se caractérisera de mille manières différe
asme. On ne réussit dans les compositions théatrales qu’autant que le cœur est agité, que l’âme est vivement émue, que l’ima
traire ? votre sang circule-t-il paisiblement dans vos veines ? votre cœur est-il de glace ? votre âme est elle insensible ?
49 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 10 mars 1669 »
n que l’or, la laine ou la soie Veuillent à nos yeux vous cacher, Nos cœurs vont partout vous chercher : À votre éclat, à vot
50 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
ir sa situation affreuse ni résister aux remords, qui déchiroient son cœur , il prit la résolution d’aller à Delphes, pour y
. A cet aspect, son crime se retrace à son imagination et porte à son cœur les sentimens du désespoir. L’ombre en soulevant
. Thoas est endormi. Un songe affreux agite son ame et porte à son cœur la crainte et l’effroi : il croit voir les lambri
ager les sentimens de son époux, tente encore une fois d’ébranler son cœur  ; elle embrasse ses genoux elle le menace du cour
plan plus élevé est la statue de Diane. Scène i. Iphigénie, le cœur déchiré par les fonctions barbares de son ministè
plus respectueux. Iphigénie implore la Déesse ; elle lui jure que son cœur est innocent, qu’il est déchiré par la douleur, q
rétablit le calme et fait naître la joye et le bonheur dans tous les cœurs . On apporte la statue de Diane sur un riche Pavoi
51 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
Nestor Roqueplan, dans ses Coulisses de l’Opéra, — Clotilde avait le cœur si bon, l’âme si charitable ; il lui arrivait si
par l’aimable élève de Terpsychore se disputèrent la conquête de son cœur  ; ils entrèrent en lice : la nymphe consentit à d
nd, du reste, comme la servante du feu curé de Saint-Malo : « Que son cœur n’est pas fait pour vanner de l’avoine. » Regard
ai votre bonheur. A bon chat, bon rat. Mylord, tâchez de saisir mon cœur , moi je saisirai vos guinées. » Mademoiselle
lui adressa cet acrostiche : Nouveau caprice, enfant, s’empare de mon cœur . Amour aime la danse ; il veut, dans son ardeur,
tes et demi. Son chronomètre ne marquait pas les fractions… Mais son cœur était à secondes. Mademoiselle Pauline Duver
el. Etait-ce désenchantement d’amour-propre, ambition déçue, peine de cœur  ? On crut à un enlèvement. Miranda avait désespér
de son art. Elle avait dans les veines du sang de danseuse et dans le cœur des élans d’artiste. Entourée, adulée, assiégée p
e par une foule de prétendants, elle eût rougi d’une faiblesse où son cœur n’eût pas été de moitié. Elle traitait sans pitié
coulisses aux mœurs faciles et galantes, qui, pour tout esprit, tout cœur , toute jeunesse, ont des roubles, encore des roub
uve marée : — Eh ! mon cher, remportez-moi toutes ces médailles ! Mon cœur est comme les montagnards écossais de la Dame bla
, beaucoup plu, trop plu en haut lieu. Les princes ont des yeux et un cœur comme de simples mortels. On prit ce caprice un p
52 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 février : Ballet accompagnant Stilicon de Thomas Corneille — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 février 1660 »
Sans être incités, ni semons, Que pour la véritable joie Que dans les cœurs la Paix envoie, Pour réjouir Grands et petits, Je
53 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
out ce que l’amour, en opposition avec le devoir, peut exprimer ; son cœur combattu par la tendresse qu’elle doit à ses frèr
is le bruit éclatant des timbales et des trompettes réveille dans son cœur le désir de combattre, et ralume cette ardeur mar
de la patrie se font entendre. Le danger de ses frères élève dans son cœur tous les sentimens de la tendresse ; elle s’oppos
et la désarme : il la supplie de conserver ses jours. Fulvie, dont le cœur est déchiré par la crainte et le désespoir, ne pe
e à son père qu’il ne démentira pas, par une foiblesse indigne de son cœur , le sang qui coule dans ses veines. Scène IV.
54 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IV. » pp. 47-60
alors la physionomie recevra toutes ses impressions de l’agitation du cœur  ; elle se caractérisera de mille manieres différe
asme. On ne réussit dans les compositions théatrales qu’autant que le cœur est agité ; que l’ame est vivement émue ; que l’i
traire ; votre sang circule-t-il paisiblement dans vos veines ; votre cœur est-il de glace ; votre ame est-elle insensible ?
55 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 5 mars 1661 »
ir noble, la taille et la danse, Comblèrent, en ce temps de Paix, Les cœurs , d’amour, plus que jamais. Dans mon autre derni
56 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre V. De la deuxiéme Position. » pp. 13-14
emiere Position. Je prie le Lecteur de bien retenir ces Positions par cœur , non seulement pour la proportion des pas, mais a
57 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 9 janvier : Le Triomphe de Bacchus dans les Indes ou Ballet de Créqui — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 16 janvier 1666 »
noble Hôtesse, La belle et charmante DUCHESSE, L’Aimant délicieux des Cœurs , De sa Maison fit les Honneurs, Avec tant de grâc
58 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 février 1669 »
des doux concerts, S’unissant aux voix sans pareilles, Charmaient les cœurs et les oreilles. Par ces diverses raretés Tous le
59 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 24 janvier 1671 »
ines côtières, Toutes brillantes de Lumières. Mais, comme elle a le cœur fâché Des Honneurs rendus à Psyché,146 Au préjud
avantage, La courtoisie au vrai courage, Et qui m’ayant, de très-bon cœur , Fait, bien des fois, même faveur, En toute renco
60 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
ns : c’est ce qui s’appelle sçavoir parler aux yeux, & toucher le cœur par des expressions patétiques & muettes. Voi
uefois, & qui prend autant de de formes qu’il y a de mouvemens au cœur capables de l’altérer. Il faut qu’il paroisse de
amours peuvent forger des dards, & d’autres s’amuser à percer des cœurs , &c. Les Anciens firent servir tous ces diff
61 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XI. » pp. 107-114
donne la vie et l’expression, et en séduisant l’oeil elle captive le coeur , et l’entraine aux plus vives émotions ; voila, c
urs ; c’est un trait vivement lancé par le sentiment ; il va droit an coeur . Que dis-je ? chaque passion a un accent particul
angage des passions, lorsqu’elles seront touchées par lâme, et que le coeur en déterminera toutes les vibrations. Ceci n’est
62 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
n ses œuvres ; au lieu qu’elles devroient s’appliquer à purifier leur cœur de toute mauvaise pensée, et effacer, par leurs l
autés de notre sainte Religion, et ce qu’elle a d’intéressant pour le cœur , on n’ait de goût que pour la vanité du siècle et
pôtre, (2. Cor. c. 3, 113,) de porter la loi de Dieu écrite dans leur cœur , nous ne pussions pas amollir et briser le même c
écrite dans leur cœur, nous ne pussions pas amollir et briser le même cœur de ceux qui tiennent encore aux abus dont nous no
n’a fait qu’une seule fois, et dans une occasion d’idolâtrie ? » Le cœur de ses auditeurs fut en effet brisé par la force
lle aura semé, je veux dire les pleurs, l’affliction, le serrement de cœur , les grincemens de dents et toutes sortes de maux
um est in conspectu Dei et Ecclesiæ  ». Peut-on avoir tant soit peu à cœur son salut, et s’exposer, en aimant les danses, à
63 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 15 février : La Fête de Vénus — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
nt, Me fait de bien à tout moment Et, par sa belle humeur, dilate Mon cœur , et mon foie et ma rate ! Et que le reste des Act
64 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
te, et je devins sombre et désespéré sans m’aviser d’une expansion de cœur qui m’eût peut-être sauvé. Je dis peut-être, parc
brège beaucoup, mais dont le dernier trait enfonça le poison dans mon cœur . Ainsi, non seulement j’étais ridicule et insuppo
re. Cette personne excellente et charmante, pour qui je me sentais le cœur d’un fils, je la détestais, du moment que je déco
les voluptés de la tendresse. J’ai aimé avec les sens, avant que mon cœur eût parlé et se fût révélé à moi-même. Mon intell
ueuses préoccupations. Je suis à vous toujours du plus profond de mon cœur . Flaminien.
65 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
elle plane sur toutes les têtes, glace les esprits et répand dans les cœurs sa fatale influence ; puis, voyant des croisées o
rice du ciel, reparut sur la terre et reprit son empire dans tous les cœurs , où longtems elle avait cessé de régner. Cet évé
66 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 octobre : Monsieur de Pourceaugnac — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 octobre 1669 »
glogues, On s’entendait sur les douceurs Que produit le beau Dieu des Cœurs  : Concluons que, sans lui, la Vie N’est pas un Bi
67 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
a cour signifie peindre sa flamme à une femme qui a su captiver votre cœur , entourer l’objet aimé de vos soins et chercher p
qui menacent de se suicider. Elle a des larmes pour les infortunes du cœur , et des commisérations pour les malheurs de l’âme
œufs à la neige, ça demande à être battu. » Qui expliquera jamais le cœur des femmes ? Personne. Pas même moi, qui suis de
68 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
e chant simple, et touchant qui ne frappe l’oreille que pour aller au coeur s’associoit intimement à l’action de la pantomime
nent sublimes, et leur magie enchanteresse triomphe tout-à-la fois du coeur et de l’esprit. J’ajouterai que je fis dans ma je
célèbres, qui captivèrent sous le règne d’Auguste, les esprits et les coeurs , et qui étoient devenus par la supériorité de leu
69 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
ons ordinaires, on ait plus de loisir, plus de liberté d’esprit et de cœur pour s’appliquer à Dieu, aux exercices de piété,
e de vue. Mais si les distractions et les dissipations d’esprit et de cœur , que causent naturellement les soins et les trava
ssemens, en s’en humiliant devant Dieu et lui en demandant pardon, du cœur plus encore que de la bouche. Or, combien est-on
foiblir et d’éteindre par là l’esprit de prière, et d’allumer dans le cœur le feu de la cupidité, pendant qu’on ne devroit s
70 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Épître à Monsieur F. A. Blasis mon Père, » pp. 1-4
amis, que je remercie cependant, et je suis descendu dans mon propre cœur . [5] C’est à vous, respectable et tendre Père, qu
71 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — IX »
des hommes, à la numération si simple de l’origine : le battement du cœur , le souffle respiratoire, cette mesure à deux tem
72 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — X » p. 139
es ; et elles comptent bien hériter du domaine, quand il sera mort du cœur . Ces deux filles de ferme ont l’insolence tranqui
73 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 21 février : Mascarade de Bergers et de Bergères — Lettres en vers à Madame de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
ait le don ; Que, certes, l’amoureux Sylvandre, Pour qui Diane eut le coeur tendre, Que Dorinde, Astrée et Philis, Aux teints
74 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448
ce soit. Je ne pense pas qu’il m’ouvre jamais les profondeurs de son cœur meurtri, car il me paraît esclave d’un savoir-viv
ations de l’homme, de l’aménité de son attitude et de la bonté de son cœur , d’autant plus évidente qu’il est plus timide à s
75 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
he : Heureux ceux qui pleurent ! presque tout le monde dit dans son cœur  : Heureux ceux qui rient et qui se divertissent !
de se répandre au-dehors. « Un homme touché de Dieu jusqu’au fond du cœur , dit un célèbre interprète sur la danse de David,
de plus près, on entendoit ses paroles, et si on pouvoit lire dans le cœur qui les dicte, on seroit attendri par le spectacl
es dont le moindre mal est une très-grande dissipation d’esprit et de cœur , où elles jettent ? Si, pendant qu’on danse, il v
, après des banquets, de personnes pleines de vin et de viande, ou de cœurs vains et folâtres. Là, les sons étoient des sujet
76 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
oins avec une toute autre douceur, lorsqu’il se fait entendre dans le cœur , et qu’il y fait sentir ce feu céleste dont David
e ses conquêtes par toute la terre, et le règne de la vérité dans les cœurs , que les flèches dont il les perce, et que les ch
il n’y a rien là qui ressemble à votre loi  ; elle seule remplit les cœurs d’une joie qui, fondée sur la vérité, dure toujou
77 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182
ls lui offrent des fleurs et des fruits ; ces hommages plaisent à son cœur  ; il leur exprime sa reconnoissance et se mêle à
vengeance de deux Déesses ; cette cruelle alternative porte dans son cœur le sentiment de la crainte et du désespoir. S
ssi touchante, ne peut détacher ses yeux de cet objet enchanteur. Son cœur vivement ému ne voit qu’Hélène, ne palpite que po
78 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
cette grande figure ; ma parole est peu préparée pour cela, mais mon cœur d’artiste lui est reconnaissant. » Moins certes
rofondément émue et que je vénère affectueusement dans le fond de mon cœur .
79 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 juin. Le gala Karsavina. »
iez appelée. Vous saviez à quel point nous tous vous portons dans nos cœurs . Vous rappelez-vous ce soir de novembre à Saint-P
80 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194
t que pour les yeux & les oreilles ; il est moins le Spectacle du cœur & de la raison, que celui de la variété &
r ; elle suspend le charme d’un moment délicieux ; elle efface de mon cœur les images qui l’intéressoient ; elle étouffe &am
er à l’intérêt qu’il m’a fait perdre, ce ne sera qu’à pas lents ; mon cœur flottera long-temps entre la distraction qu’il vi
p; sa douleur ; bientôt la jalousie & la fureur s’emparent de son cœur  : il s’y livre tout entier, & il m’avertit pa
voir commis une action si barbare, veut s’en punir & se percer le cœur  ; les Bergeres s’opposent à un dessein si cruel ;
ision cruelle cesse : un instant de réflexion fait triompher dans son cœur l’amitié ; il s’arrache enfin de Thémire pour vol
etit Roman intéressera toujours très-vivement tous ceux qui auront un cœur & des yeux ; si toutefois ceux qui l’exécuten
de Mlle. Dumesnil, Actrice, qui remuera toujours infailliblement les cœurs sensibles aux accents & au cri de la nature.
ir diminue en quelque sorte à mesure que notre confiance augmente. Le cœur & l’esprit ne sont jamais la dupe de ce Spect
81 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre V. Objection : On n’a pas été tenté dans les Danses. » pp. 177-178
fets qu’on leur attribue. Mais je demande : veille-t-on assez sur son cœur pour s’apercevoir de tout le mal qui s’y passe ?
82 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 19 février 1661 »
Ô quel dommage ! Maintenant que j’écris ceci (J’en ai, de deuil, le cœur transi) Devant le Roi, devant les Reines, Qui son
83 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 29 janvier : Le Mariage forcé — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 février 1664 »
ces et Grands de la Cour, Et nôtre Roi digne d’amour, En comblant nos cœurs d’allégresse, Font éclater leur noble adresse ; J
84 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 25 septembre : Ballet dansé par le roi à Villers-Cotterêts — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 4 octobre 1665 »
pas de loin d’Ici Et qui ne coupent pas les bourses, Mais volent les Cœurs sans ressources. ITEM, du Nombre des Danseurs Éta
85 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
ière de la vérité pénètrera dans un plus grand nombre d’esprits et de cœurs  ? Nous avons entendu saint Jean Chrysostôme décla
vous en avez fait vos biens et vos satisfactions en y attachant votre cœur  : vous n’avez donc rien à prétendre à des biens q
86 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195
de son âme, et pour masquer la haine et la rage qui régnent dans son cœur  ; il affecte de se prêter avec joie à cette union
rojet si horrible ; mais celles-ci, peu sensibles à une union où leur cœur n’est que foiblemeut intéressé, assurent Hypermne
repentir, leurs courses errantes, leurs gestes effrayants glacent le cœur de Lincée. Les cheveux hérissés des Danaïdes, leu
87 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
leur ; la jeune mère, d’un geste convulsif, presse son enfant sur son cœur  : elle est l’ennemie acharnée de la beauté, de la
ime pas. » Puis elle est partie laissant ce doute cruel dans ce jeune cœur . Gurn le butor, le jaloux, l’autre amoureux d’Ef
ter aux jeunes coquettes de vingt ans. Hélas ! en effet que de jeunes cœurs ont été perdus pour moins que cela… une écharpe !
utter avec le drame étincelant que chacun peut toucher des yeux et du cœur  ! Achevons cependant le récit commencé ; c’en est
, quand mademoiselle Taglioni dansait de toute son âme et de tout son cœur  : « L’air est rempli de bruits, de sons et de dou
88 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
lettre de ton écriture, et que je pourrai avoir l’esprit libre et le cœur content pour faire connaissance avec le patron do
eux. M. Champorel ne la regrette point, bien que son maître, qui a un cœur d’or, l’ait longtemps pleurée. Je savais déjà que
sont absolument fermés. Il sait donc déjà que M. Juste Odoard est un cœur digne de comprendre M. le duc. Mais le vieux Cham
eur Champorel, si vous voulez bien le permettre. — Vous êtes un grand cœur , monsieur, ça ne m’étonne pas ; j’avais vu cela d
89 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IV. Vices du grand Ballet »
aque œuvre dramatique a le sien. Le Spectateur est attaché, ou par le cœur , ou par l’esprit à la suite successive de l’événe
90 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Supériorité et avantages de la Danse en action »
ous les traits de Saint Charles Borromée passe jusqu’au fond de votre cœur . Tournez la tête : parcourez ces quatre tableaux
91 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
Ballet à leur tour : C’est peu de dire qu’ils le virent, De tout leur cœur ils l’applaudirent. Louis, qui sous ses justes
92 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 17 janvier : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
a brune COMTESSE de GUICHE, À qui Nature fut peu chiche De ce qui des Cœurs est l’Aimant, Y parut fort, pareillement. Mais
93 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
pédia sept caisses de costumes à New-York ; mais au dernier moment le cœur lui manqua ; elle resta en Europe. A défaut de sa
oute la délicatesse d’un gentleman et la pureté d’une amitié dont les cœurs pervertis peuvent seuls méconnaître ou soupçonner
tre ou soupçonner le désintéressement. » Qui voudrait passer pour un cœur perverti et ne pas croire à la parfaite innocence
ainsi en allemand : « L’aspect de mes chers compatriotes réjouit mon cœur et me rappelle ma chère patrie que m’aurait presq
quelques mots de l’œuvre que nous avons entreprise ce soir, mais mon cœur n’en a pas la force. Laissez-moi vous conjurer d’
que, toutes les obligations qui écrasent maintenant mon esprit et mon cœur  ? Accepte l’humble offrande de ma gratitude mouil
ministration s’efforçait d’amender les détenus, de faire appel à leur cœur et à leur raison. Cette méthode, affirmait le dir
t-Charles en un souper où le champagne de France émut joyeusement les cœurs . Dans la rue l’orchestre du théâtre jouait des mé
ar des danses licencieuses, Fanny ait allumé des feux pervers dans le cœur de l’oncle Sam. Elle eut la grande sagesse de ne
nsée maîtresse de Fanny Elssler en Amérique, une pensée qui venait du cœur , fut l’œuvre qu’elle recommandait au public de Ne
94 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
insi la main, c’est-à-dire les actions extérieures, arrêteront-ils le cœur , c’est-à-dire les mauvais désirs et les autres ma
et de ferventes prières pour obtenir de sa miséricorde qu’il ouvre le cœur de ses paroissiens à ses exhortations ; et, s’il
95 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23
heures d’horloge. On en pourrait bien faire assurément Deux femmes de cœur , mères de famille, Préparant la soupe et tirant l
te qu’il voulait me faire la cour. Alors, comme Jules, — mon amant de cœur , — est très jaloux, j’ai détourné les soupçons un
96 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
 — étaient coiffées selon la dernière mode — en pouf à l’égarement du cœur et de l’esprit, et mademoiselle de Camargo en rac
plus pour tout vêtement que leur pouf à l’égarement de l’esprit et du cœur … Quant à la Camargo, il ne lui restait guère qu
ui prouve qu’il faut absolument croire à quelque chose : De tous les cœurs et du sien la maîtresse, Elle alluma des feux qui
, ceux-ci furent révoqués et exilés. La seconde enflamma tellement le cœur incandescent d’un gentilhomme à qui elle résistai
it encore que figurante quand elle avait supplanté la Camargo dans le cœur du comte de Clermont. Ce dernier venait de la dot
e à aucune méchanceté. Subissant toutefois la loi de la nature, et le cœur envahi par la passion, elle allait se retirer du
97 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96
fait que pour les yeux et les oreilles ; il est moins le spectacle du cœur et de la raison, que celui de la variété et de l’
asser ; il suspend le charme d’un moment délicieux ; il efface de mon cœur les images qui l’intéressoient ; il étouffe et am
er à l’intérêt qu’il m’a fait perdre, ce ne sera qu’à pas lents ; mon cœur flottera longs tems entre la distraction qu’il vi
le et sa douleur : bientôt la jalousie et la fureur s’emparent de son cœur  ; il s’y livre tout entier, et il m’avertit par s
’avoir commis une action aussi noire, veut s’en punir et se percer le cœur  ; les bergères s’opposent à un dessin si cruel ;
cruelle cesse enfin : un instant de réflexion fait triompher dans son cœur l’amitié ; il s’arrache enfin de Thémire pour vol
tit Roman, intéressera toujours très-vivement tous ceux qui auront un cœur et des yeux ; si toutefois ceux qui l’exécutent o
r diminue en quelque sorte, à mesure que notre confiance augmente. Le cœur et l’esprit ne sont jamais la dupe de ce spectacl
98 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
ou même, parce que, livrés à l’amour de ces dangereux plaisirs, leur cœur ne peut s’en détacher ? Dans tous les temps, les
les assemblées de danses, et comme ils sont appliqués à jeter dans le cœur des hommes à l’égard des femmes, et des filles à
tincelles ou plutôt les flammes de l’amour impur, pour faire de leurs cœurs une fournaise de concupiscence ! Oh ! si vous pou
’on doit avoir en s’approchant de ce sacrement, ou qu’elles vident le cœur de celui qu’on a eu, et qu’on a dû en rapporter.
, parce que les sentimens les plus cachés, les plis et les remplis du cœur les plus secrets se manifestent souvent par de fo
99 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 9 octobre. Madame Joergen-Jensen dans « Coppélia ». »
un bel et utile usage que renouvelle l’Opéra en recueillant de grand cœur les étoiles étrangères. Cet afflux de sang nouvea
100 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Épître dédicatoire à Madame **** »
, avec toutes les personnes qui ont le bonheur de vous approcher : Le cœur d’une bonne mère est le chef-d’œuvre de la Divini
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