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1 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens L’Église, en réunissant les fidèles, en leur in
econnaissance. Elle se présenta naturellement à l’esprit des premiers Chrétiens , comme un moyen d’animer leurs Fêtes, d’embellir
de la Loi nouvelle formait des Danses sacrées à l’honneur du Dieu des Chrétiens . Chaque Mystère, chaque fête avait ses Hymnes, so
ils commençaient et menaient la Danse dans les Fêtes solennelles. Les Chrétiens d’ailleurs les plus zélés s’assemblaient la nuit
de piété et de paix sont dignes d’un Empereur, et sont la gloire d’un Chrétien . C’est dans cet esprit, que les Interprètes sacré
s nous disent que les Apôtres, les Martyrs, les Docteurs, et tous les Chrétiens qui ont défendu la Foi contre les ennemis de l’Ég
ur la terre26. Telle était en effet la pieuse simplicité des premiers Chrétiens , qu’ils ne voyaient dans la Danse qu’une imitatio
me ; la dissipation et la licence corrompirent de même les Danses des Chrétiens , qui n’avaient été instituées que pour les mainte
t à la vie contemplative. On n’a pas éclairci s’ils étaient Juifs, ou Chrétiens . 23. A Præsiliendo. 24. Greg. de Naz. ad Jul.
2 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
vinités, devoit seule suffire pour en inspirer de l’éloignement à des chrétiens , ces danses n’étoient infectées d’idolâtrie, que
ludos dæmoniorum  ; parce que, soit parmi les païens, soit parmi les chrétiens , elles font plaisir aux démons qui mettent leur j
lles qui se faisoient autrefois et du temps des saints docteurs ? Les chrétiens d’aujourd’hui ont-ils plus d’éloignement du vice,
ue reste-t-il parmi nous de l’ancien esprit de piété ? La plupart des chrétiens ne savent ce que c’est que la vigilance chrétienn
té ? La plupart des chrétiens ne savent ce que c’est que la vigilance chrétienne , et l’esprit de prière et de mortification nécess
u’elles ne l’étoient du temps des saints Pères, où un grand nombre de chrétiens vivoient encore dans la ferveur du christianisme 
issipation, le trouble, la commotion de l’esprit, peu convenables aux chrétiens , dont le cœur doit être le sanctuaire de la paix.
tions et de ses moindres paroles ; et enfin tout le sérieux de la vie chrétienne . Dites que les saints pères ne blâment pas toutes
la parole de Jésus-Christ, (Luc. 18, 1.) doit être perpétuel dans un chrétien , du moins en désir et dans la préparation du cœur
3 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
time ? « Comme les hommes, dit saint Augustin, (liv. 3 de la doctrine chrétienne , c. 10, n.° 15.) sont portés à juger de la nature
mauvaises maximes et ses mauvais exemples ? Tertullien, exhortant les chrétiens à ne pas suivre les coutumes contraires à la loi
sé faire ce qu’on veut nous retrancher aujourd’hui, n’étoient-ils pas chrétiens aussi bien que ceux-ci ? Que répondit saint Augus
son propre malheur, il déplore en même temps celui de tant de mauvais chrétiens qui croient pouvoir faire innocemment ce qui paro
as évidemment pour nous faire sentir que c’est ce que doit faire tout chrétien , que Tertullien a dit ce que j’ai rapporté, que J
intéresse plus sincèrement au bien des rois et des états que les bons chrétiens  ; ils se font un devoir de religion de prier souv
rance, de la modestie et de toutes les autres vertus qui font le vrai chrétien . C’est sous ce caractère que Tertullien représent
en. C’est sous ce caractère que Tertullien représentoit autrefois les chrétiens dans son apologétique, ou défense des premiers ch
utrefois les chrétiens dans son apologétique, ou défense des premiers chrétiens contre les calomnies des païens. On accusoit les
s premiers chrétiens contre les calomnies des païens. On accusoit les chrétiens de ne pas célébrer, comme ils devoient, la naissa
s Tertullien prend leur défense. (c. 75.) « Vous traitez, dit-il, les chrétiens en ennemis publics, parce qu’ils ne rendent pas a
s plus fidèles et plus remplis de respect et d’amour pour eux que les chrétiens , Tertullien ajoute peu après : (c. 39.) « Nous pr
4 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
ofession illégitime, comme celle des comédiens, et que les magistrats chrétiens ne doivent point souffrir qu’on donne des leçons
uquel est amplement résolue la question de savoir s’il est permis aux chrétiens de danser. Ces ministres emploient tout ce traité
fortes raisons, que les danses doivent absolument être interdites aux chrétiens  ; et ils le finissent en répondant à plusieurs de
remuant, sans arrêt ; ce qui ne peut convenir à l’honneur de l’homme chrétien … Quant à ce que de telles démarches se font par r
en compagnie, par des mouvemens et des gesticulations étranges ! Les chrétiens ont une science qui doit posséder entièrement leu
ministres protestans posent un principe trop ignoré de la plupart des chrétiens , et qu’ils ne devroient cependant jamais perdre d
r de telles gaîtés avec les règles de la continence et de la sobriété chrétiennes , il ne se trouvera point que ce soient des choses
est-à-dire d’impureté. Or, de telles choses n’appartiennent point aux chrétiens qui doivent avoir appris à purifier leur bouche d
evons nous proposer dans chacune de nos actions, afin qu’elles soient chrétiennes , ils font voir qu’aucun de ces motifs ne se trouv
nde… Que si les danses n’ont rien de convenable, ni à la vocation des chrétiens , ni à la charité et à l’édification du prochain,
trer qu’elles sont indifférentes, et que c’est s’opposer à la liberté chrétienne , que d’en faire un péché. Pour détruire cette idé
forme et les fins sont contraires à beaucoup de vertus et de devoirs chrétiens , étant allèchement de péché ; bref, les danses mè
tels mariages ayant un aussi mauvais principe, ne peuvent guère être chrétiens  ; mais que quand même de pareils mariages produir
e plus criminelle et plus détestable ? Il faut, ajoutent-ils, que les chrétiens aient de bonne heure appris la règle que saint Pa
els dommages, même de nos ames, ce ne seroit pas agir prudemment. Aux chrétiens bien sages, la crainte d’offenser Dieu, l’amour d
 ; nous rendons à nos assemblées le nom de compagnies spirituelles et chrétiennes  ; et pour tout dire, en un mot, nous mettons hors
5 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depui
Congrégations d’hommes & de femmes au commencement de la Religion Chrétienne , qui se retiroient dans les deserts, à l’exemple
éviter la persécution des Empereurs Romains ; & que les premiers Chrétiens s’assembloient dans les hameaux les Dimanches &am
onfirme aussi par l’apologie que Tertulien fit en faveur des premiers Chrétiens , au sujet de ces Danses Sacrées. Nous voyons enco
anses payennes instituées pour le culte des fausses Divinitez, où les Chrétiens ne se pouvoient trouver sans sacrilege ; ou des d
pour écrire, comme ont fait quelques Auteurs, que c’est un crime à un Chrétien que de danser, même des danses modestes, puisque
t avec ses Apôtres, avant sa mort, & pour cimenter l’alliance des Chrétiens convertis du Judaïsme, avec ceux qui venoient du
prima entierement au Concile de Carthage, au grand regret des pauvres Chrétiens qui regardoient cette fête comme une consolation
que S. Paul a condamnez. Après la construction des premieres Eglises Chrétiennes , les Chrétiens les plus zélez avoient coutume de
ndamnez. Après la construction des premieres Eglises Chrétiennes, les Chrétiens les plus zélez avoient coutume de s’assembler la
olemnelles des Musarabes, nation Arabe, & qui furent les premiers Chrétiens en Espagne qui mirent la danse Sacrée en grande v
tiques en l’honneur de la Vierge ; ce qui étoit fort commun parmi les Chrétiens dans la primitive Eglise, comme je l’ai déja dit.
tiques, & des hymnes à la louange de Dieu, ainsi que les premiers Chrétiens l’ont fait à leur imitation dans la primitive Egl
6 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IV. Jugement des Conciles contre les danses. » pp. 44-50
nciles du père Labbe, tom. 1, pag. 1506,) « qu’il ne faut pas que les chrétiens qui vont aux noces, s’y conduisent d’une manière
doivent seulement dîner ou souper modestement comme il convient à des chrétiens  ». Le concile permet aux chrétiens de faire aux n
odestement comme il convient à des chrétiens ». Le concile permet aux chrétiens de faire aux noces des repas où tout se passe sag
mes, mais ils troublent encore par le bruit qu’ils font, la piété des chrétiens plus religieux. » Le concile recommande aux minis
es sur les choses du salut, soient saintement observées par le peuple chrétien , nous renouvelons le décret du dernier concile pr
rs ne se trouve, et cela suffit pour qu’on doive les interdire à tout chrétien .
7 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
lièrement à leur sexe et à leur âge, et généralement à toute personne chrétienne qui doit être assez maîtresse d’elle-même, pour r
s, (c. 5, n.° 25, tom. 2, pag. 180,) après avoir dit que la joie d’un chrétien ne doit se trouver que dans le témoignage d’une b
lterœ filia  ; et il en prend occasion d’avertir les mères chastes et chrétiennes , « d’apprendre à leurs filles, non à danser, mais
ifférence des temps, prend aussi différentes formes pour attaquer les chrétiens  ; que dans le temps que les princes infidèles per
nt pas maintenant la liberté d’exercer leur cruauté sur les corps des chrétiens , ils déchirent les ames. « Et comment ? C’est par
oyens que le diable, sous la forme du serpent, prend pour séduire les chrétiens  ; et diroit-il qu’elles mettent les ames en pièce
s fêtes des idolâtres », et est par conséquent indigne des véritables chrétiens . Lorsqu’on fabriqua ce veau d’or, Moïse étoit ave
s-je, a fait un discours sur l’obligation dans laquelle sont tous les chrétiens de s’abstenir des divertissemens contraires à la
.). « Qui jamais, dit ce Saint, pourra montrer qu’il est permis à des chrétiens de danser ? Qui des prophètes l’a enseigné ? Quel
rable aux danses ? Si un pareil divertissement peut être permis à des chrétiens , il faut dire que tout est plein d’erreur dans la
elles le sont en effet, il est incontestable qu’il est défendu à des chrétiens de rechercher les divertissemens dont nous venons
quelle malheureuse adresse trompe-t-il les ames et persuade-t-il aux chrétiens de faire le mal au lieu du bien ! Aujourd’hui on
rist, et le lendemain ils le déshonorent et le renoncent. Aujourd’hui chrétiens , et demain païens : aujourd’hui religieux, et dem
le répète, mes frères, ces divertissemens ne conviennent point à des chrétiens , mais aux païens qui ne connoissent point Dieu :
8 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
ut se passe d’une manière digne de la sainteté qui doit être dans les chrétiens , comme dans l’histoire du mariage du jeune Tobie
peuvent penser de la sainteté de nos sacremens, quand ils voient les chrétiens eux-mêmes en faire si peu de cas, que le jour où
s contre ces scandales et ces désordres qui déshonorent les noces des chrétiens , quoiqu’ils ne fussent alors ni si communs, ni si
ur agréable que l’on abuse des remèdes qu’il a ordonnés. De plus, les chrétiens doivent agir saintement dès les commencemens, afi
es bénédictions. Voilà proprement les solennités de mariage entre les chrétiens . Si après la réception du sacrement il se fait qu
quelle sera la bénédiction de Dieu avec ce mépris ? Aux mystères des chrétiens , il ne faut que prières, cantiques saints, honnêt
ne faut que prières, cantiques saints, honnêteté, modestie. Quand les chrétiens se marient, c’est afin, comme le dit saint Paul,
aison des époux. » Que répondront au jour du jugement à Dieu, tant de chrétiens qui connoissent si peu la sainteté du mariage, et
9 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XI. Des danses Baladoires, des Brandons, etc. »
désordres, les crimes qui s’étaient glissés dans la Danse sacrée des Chrétiens . La joie sainte des solennités, qui, en passant d
des pratiques autrefois dignes de louanges. Alors, les solennités des Chrétiens devinrent des rendez-vous de libertinage, et ne f
10 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre premier. Réponses aux objections qu’on fait pour affoiblir, et détruire même, s’il étoit possible, ce qui a été dit contre les Danses. » pp. 149-150
. Tertullien commence son bel ouvrage de la défense de la religion chrétienne contre les païens, appelé pour cela’ apologétique
y a de plus affligeant, s’il n’est pas surprenant, c’est de voir des chrétiens même contre dire la vérité des règles de morale l
11 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
manifeste de ces jours appelés particulièrement saints, parce que les chrétiens , qui doivent être saints dans toute la conduite d
ir une coutume qui ressent beaucoup plus le paganisme que la religion chrétienne . Une seconde circonstance qui rend les danses plu
les plus forts. Combien cette défense regarde-t-elle encore plus les chrétiens qui, vivant sous la loi de grâce, sont obligés à
i expresse que celle qui vient d’être rapportée, à trouver encore des chrétiens , qui, par un mépris marqué de Dieu et de ses volo
de la comédie, qui, non content de la permettre en général à tous les chrétiens , n’a pas eu honte d’avancer qu’ils pouvoient pren
ps consacré à la pénitence, un temps de larmes et de douleur pour les chrétiens , un temps où, pour me servir des termes de l’Ecri
récollection et de componction, qui doit être en tout temps dans les chrétiens , et surtout dans les pénitens, mais qui doit part
12 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
l bien facile de garder dans les danses un pareil pacte, que tout bon chrétien est obligé de faire comme Job ? Si on l’avoit fai
eur du traité contre les spectacles, dit : « Que fait au spectacle un chrétien fidèle, à qui il n’est pas permis de penser volon
rter aux crimes ? » Je dis de même : Que fait au milieu des danses un chrétien fidèle qui ne doit rien éviter avec tant de soin
s dans les danses qui se font parmi nous ? N’y voit-on pas les filles chrétiennes affecter de s’y redresser comme faisoient autrefo
Ah ! plût-à-Dieu qu’on ne pût pas faire encore aujourd’hui aux filles chrétiennes le reproche que le prophète Isaïe faisoit autrefo
n même le moins du monde à s’en acquitter ? Saint Paul recommande aux chrétiens , (ép. aux Rom. c. 6, v. 13.) de ne point abandon
13 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
la modestie, soit par de petits jeux innocens ? Qu’on nous donne des chrétiens vraiment dignes de ce nom, et l’on verra qu’ils s
ne faut pas se tourmenter pour en chercher davantage : enfin, que le chrétien n’a pas tant besoin de plaisir, qu’il lui en fail
tudine carent. Comment pouvons-nous être excusables, nous qui, comme chrétiens , sommes citoyens du ciel par notre vocation, qui
dangereux ou criminels plaisirs de ce monde, quels qu’ils soient, des chrétiens sur qui les grands objets de la Religion feroient
éâtre, (et toute maison de danse,) et faire dire à toute ame vraiment chrétienne  : (Ps. 118, v. 85.) Les pécheurs (ceux qui aime
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — Début septembre (le 2 ?) : Remèdes à tous maux — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 8 septembre 1668 »
re du 8 septembre 1668 Nos COMIQUES ITALIENS, Toujours de risibles Chrétiens , Et féconds en Pièces nouvelles, Qui sont magnifi
15 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
Il faut user du conseil que les anciens conciles donnoient jadis aux chrétiens quand ils seroient à quelques noces, qu’ils mange
ces de l’autre. C’est ici plutôt que la sainte et constante hardiesse chrétienne se doit montrer, à ne point participer aux œuvres
tirent, sera qu’ils ne veulent point danser, c’est-à-dire qu’ils sont chrétiens , ennemis des vices ; qu’ils détestent le mal jusq
16 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
st-ce pas là encore aujourd’hui la disposition de beaucoup de mauvais chrétiens qui, aimant leurs vices et les erreurs qui les fa
ue l’on consulte ? C’est ce que l’apôtre saint Paul fait craindre aux chrétiens , lorsqu’après avoir averti les Thessaloniciens, q
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XII. De la Danse sacrée des Turcs »
, les superstitions des Païens, les Institutions pures de la Religion chrétienne , sont les sources dans lesquelles Mahomet puisa l
18 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IV. Objection : On danse en public. » pp. 175-176
dans le secret des actions propres à les satisfaire ? Et combien tout chrétien doit-il être touché de cette parole de Jésus-Chri
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 15 février : La Fête de Vénus — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
ettre du 7 juillet 1668 NOS COMIQUES ITALIENS, Les plus admirables Chrétiens Qui paraissent sur le Théâtre, Si que chacun les
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 11 août : Fête à Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 17 août 1669 »
ena dans le Parc, Où l’Amour vint jouer de l’Arc Parmi nos charmantes Chrétiennes , Avec qui ce Dieu fait des siennes. On visita l
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 octobre 1667 »
as sont fantasques, Des BERGERS et des BOHÉMIENS, La plupart étranges Chrétiens , Des DÉMONS, Gens fort laids et haves, Des PAYSAN
22 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 1er ou 2 décembre : Le Ballet des ballets — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 20 février 1672 »
de son trait meurtrier, À la fin, mercredi dernier : Ayant paru bonne chrétienne , Autant que bonne Comédienne, Et rempli, ce dit-o
23 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
preuves convaincantes, que les danses ne sont pas des divertissemens chrétiens , et doivent par conséquent être évitées par toute
24 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
qu’on devait rendre à la divinité. Il n’est donc pas étonnant que les Chrétiens , en purifiant par une intention droite une instit
uveur. Les persécutions troublèrent plusieurs fois la sainte paix des Chrétiens . Il se forma alors des congrégations d’hommes et
gue latine a præsiliendo, que parce qu’ils commençaient la danse. Les Chrétiens d’ailleurs les plus zélés s’assemblaient la nuit
les autres. Cette fête avait été établie, afin de cimenter entre les Chrétiens qui avaient abandonné le Judaïsme et le Paganisme
e la danse, il lui dit avec la véhémence d’un orateur et le zèle d’un chrétien  : Si te ut letæ celebritatis et festorum amantem
é historique, Ire partie, livre I, chap. 10, « De la Danse sacrée des Chrétiens  »] C’est de la religion des Hébreux, de celle de
crée des Chrétiens »] C’est de la religion des Hébreux, de celle des Chrétiens , et du Paganisme, que Mahomet a tiré les rêveries
25 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « A, son altesse royale. Monseigneur. le duc d'Orléans, petit-fils de France. » pp. -
a paix que vous avez fait régner dans l’Europe entre tous les Princes Chrétiens , dès le moment que vous avez pris le gouvernail ;
26 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IX. Objection : Si l’on défend les Danses, on abandonnera l’usage des sacremens. » pp. 206-207
sont tellement attachés à la danse ? Réponse. Il est évident que des chrétiens qui sont tellement attachés aux danses, qu’ils ai
27 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
e parabole est destinée. Les saints Pères sachant combien les mauvais chrétiens sont disposés à se prévaloir de tout ce qui paroî
omme, selon le grand principe de saint Augustin (l. 3. de la doctrine chrétienne , n. 15.) « l’Ecriture ne commande que la charité
core tout ce qui l’excite, n’est point de lui, mais du monde ; et les Chrétiens n’y doivent prendre aucune part, puisque Jésus-Ch
pensées, et qui en inspire de contraires, ne doit point plaire à des chrétiens , et doit au contraire leur être suspect.
28 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
cellent ouvrage qu’il a fait, sur la manière de bien élever une fille chrétienne , au titre des danses, après avoir rapporté les pa
29 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
Discours préliminaire. Un Chrétien , par rapport aux danses et aux chansons, ne doit
rendre un poison dont la malignité me seroit connue, pour une mauvais chrétiens qui ne veulent pas y conformer leur vie ? Cet esp
rons donc sincèrement de la connoître. Mais au contraire, beaucoup de chrétiens , bien loin de désirer que Dieu fasse luire à leur
ieu de croire plus instruits des vrais et sûrs principes de la morale chrétienne , et plus attentifs à enseigner la voie de Dieu da
a nécessité. On n’a donc que trop de sujets d’appliquer à beaucoup de chrétiens de nos jours, ce que S. Paul écrivoit à Timothée
30 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
roissiens d’un divertissement si périlleux et si peu convenable à des chrétiens , qui ne sont en ce monde que pour faire pénitence
ient être honorés par une dévotion extraordinaire, une modestie toute chrétienne et une sainte imitation de leurs vertus ! A leur
périls. Ainsi, je tiens qu’il ne faut point aller au bal quand on est chrétien  ; et je crois que les directeurs feroient leur de
ègle, que les danses sont dangereuses pour la chasteté et l’innocence chrétiennes , et que pour cette raison les Fidèles doivent les
31 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
temple : (Ps. 68, v. 10.) Le zèle de votre maison me dévore . On est chrétien pour soi ; on est pasteur et ecclésiastique pour
nt et sans prévention quel est, sur cet article, le devoir d’une mère chrétienne et raisonnable. Comme il y a des études destinées
on, se renfermer dans ces bornes pour satisfaire aux désirs des mères chrétiennes , qui joignent à une grande naissance une piété en
32 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
ne morale, et se rendre l’avocat de la plus mauvaise cause ; or, tout chrétien ne doit-il pas rougir d’être l’apologiste de ce q
e pleinement et faire sentir combien sont dangereuses et indignes des chrétiens les danses, selon l’idée que je viens d’en donner
33 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
e le saurait trop louer. Mademoiselle de Fiennes, Une de nos belles Chrétiennes , (D’aucun, cela n’est contredit) Et dont la gorge
34 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « [Conclusion] »
desipere in loco . La danse entrait dans le culte du paganisme ; les Chrétiens même, par une indécence qui ne pouvait qu’avilir
35 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
au Dieu Apis. Nous voyons néanmoins que dans la primitive Eglise, les Chrétiens avoient conservé une telle vénération pour la cér
36 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
Théâtre. Corneille Tacite nous apprend que Néron fit aussi servir les Chrétiens à de semblables spectacles, après l’embrasement d
37 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
és qui avaient engagé cet empereur à les défendre. Alors les pontifes chrétiens imitèrent l’exemple de Trajan. Après bien des siè
38 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
danseuse ne paraissait pas incompatible avec la pratique des devoirs chrétiens . D’ailleurs l’époque manquait de rigorisme. L’Egl
inséparables de sa profession. Ils ne l’empêcheront pas de rester une chrétienne fervente. Ils scandaliseront peut-être un peu Frè
39 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
mêmes, à l’Opéra, n’affichent aucune répugnance à arborer ce symbole chrétien , — pourvu qu’il sorte des magasins de Samper, de
40 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
vent catholique, à une espèce de saint tel que me l’a dépeint le très chrétien M. de Sainte-Fauste. Ces braves gens-là sont capa
41 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
dailles & les bas-reliefs antiques, ou par les peintures dont les Chrétiens ont décoré les lieux souterrains où ils faisoient
jusqu’aujourd’hui, l’antiquité de nos Sacremens, la maniere dont les Chrétiens faisoient leurs prieres, & dont ils enterroie
42 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
appe, M. de Chateaubriand, s’arrêtant dans le récit de ces austérités chrétiennes , se mettait à saluer, d’un sourire jeune encore,
43 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
esse plus vivement aux sens. « Mademoiselle Taglioni est une danseuse chrétienne … Elle voltige comme un esprit au milieu des trans
44 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
eur du patchouli se mêlait à celle de l’encens, c’est dans ce boudoir chrétien que Fanny Elssler faisait ses dévotions. Elle y a
qui s’adresse plus vivement aux sens. Mlle Taglioni est une danseuse chrétienne , si l’on peut employer une pareille expression à
45 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
s de l’Europe. Saint Augustin rapporte dans son Traité de la Doctrine Chrétienne , Liv. 2, que les représentations de Balets à Cart
46 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
es erreurs. Bradamante et Roger accompagnés d’une foule de chevaliers chrétiens et d’héroïnes entroient dans un vaste peristile q
47 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
ttaché à la paroisse des Filles-Saint-Thomas lui accorda la sépulture chrétienne . L’archevêque de Paris donna raison à ce dernier
48 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
e s’adressait directement aux sens. Marie Taglioni était une danseuse chrétienne , si l’on peut employer ce mot à propos d’un art p
49 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
’il renonce forcément à continuer l’œuvre de saint Jean le faiseur de chrétiens  ; il est réduit au liquide avec lequel instrument
50 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
ométans [non signé], Fêtes des Chinois [Article de Mallet], Fêtes des Chrétiens [Article de Faiguet]. Il ne sera point question n
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