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1 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
ontre, s. f. acteur qui dans les chœurs de l’opéra et autres concerts chante la partie de bassecontre. Il y a peu de basses-co
-taille Basse-taille, s. m. acteur de l’opéra ou d’un concert qui chante les rôles de basse-taille. Voyez Basse [Article n
ne suite, que les Musiciens mettent sous un air, qu’ils veulent faire chanter après qu’il aura été exécuté par l’orchestre et l
ne espèce de petit poème fort court auquel on joint un air, pour être chanté dans des occasions familières, comme à table, ave
leurs histoires, les louanges des dieux et des grands hommes, furent chantées avant que d’être écrites ; et de-là vient, selon
etc. commencèrent par faire des chansons : c’étaient des chansons que chantait Eriphanis en suivant les traces du chasseur Ménal
es du chasseur Ménalque : c’était une chanson que les femmes de Grèce chantaient aussi pour rappeler les malheurs de la jeune Caly
us les convives, au rapport de Dicearque, de Plutarque, et d’Artemon, chantaient ensemble et d’une seule voix les louanges de la d
t de véritables péans ou cantiques sacrés. Dans la suite les convives chantaient successivement, chacun à son tour tenant une bran
t une branche de myrte, qui passait de la main de celui qui venait de chanter à celui qui chantait après lui. Enfin quand la Mu
te, qui passait de la main de celui qui venait de chanter à celui qui chantait après lui. Enfin quand la Musique se perfectionna
ois écrivains déjà cités, que les habiles gens qui fussent en état de chanter à table, du moins en s’accompagnant de la lyre ;
, donnèrent lieu à un proverbe grec, par lequel on disait qu’un homme chantait au myrte, quand on le voulait taxer d’ignorance.
la chanson, selon Plutarque, ou la situation irrégulière de ceux qui chantaient , comme le veut Artemon : car comme il fallait êtr
aient, comme le veut Artemon : car comme il fallait être habillé pour chanter ainsi, chacun ne chantait pas à son rang, mais se
mon : car comme il fallait être habillé pour chanter ainsi, chacun ne chantait pas à son rang, mais seulement ceux qui savaient
leil ; prince à jamais célèbre par ses actions! les filles de mémoire chanteront sa gloire toutes les fois qu’elles chanteront le
! les filles de mémoire chanteront sa gloire toutes les fois qu’elles chanteront le culte de Jupiter hospitalier, ou le prix d’une
éme et le linos, pour des occasions funèbres et tristes : ce linos se chantait aussi chez les Egyptiens, et s’appelait par eux m
age perpétue dans les repas le plaisir à qui il doit sa naissance. On chante indifféremment à table des chansons tendres, bach
ers qu’il essuie ; il est satisfait de ce dédommagement ; dès qu’il a chanté , sa haine ou sa vengeance expirent. (B) Les chans
’il faut que la voix excède et passe de beaucoup sa juste portée pour chanter des airs faits pour les instruments : la rapidité
mer, le berger en gardant ses troupeaux, l’artisan dans son atelier, chantent tous comme machinalement ; et l’ennui, la fatigue
nom de Poète et de Musicien furent longtemps communs à tous ceux qui chantèrent et à tous ceux qui firent des vers. On trouve l’u
du chant dans l’antiquité la plus reculée. Enos commença le premier à chanter les louanges de Dieu, Genèse 4, et Laban se plain
fférents tons de la voix. Les sons étaient dans l’homme : il entendit chanter  ; il fut frappé par des bruits ; toutes ses sensa
érents noms à chacun de leurs articles. Parmi les Juifs, le cantique chanté par Moïse et les enfants d’Israël, après le passa
e, les premiers chants connus furent des vers en l’honneur des dieux, chantés par les poètes eux-mêmes. Bientôt adoptés par les
oyez Chœurs et Concert. Les Grecs n’eurent point de poésie qui ne fût chantée  ; la lyrique se chantait avec un accompagnement d
Les Grecs n’eurent point de poésie qui ne fût chantée ; la lyrique se chantait avec un accompagnement d’instruments, ce qui la f
, etc. ont dit au commencement de leurs poèmes. L’un invite sa muse à chanter la fureur d’Achille ; l’autre va chanter les Muse
oèmes. L’un invite sa muse à chanter la fureur d’Achille ; l’autre va chanter les Muses elles-mêmes, parce que leurs ouvrages n
s elles-mêmes, parce que leurs ouvrages n’étaient faits que pour être chantés . Cette expression n’est devenue figure que chez l
re que chez les Latins, et depuis parmi nous. En effet, les Latins ne chantèrent point leurs poésies ; à la réserve de quelques od
temps qui lui faisait la lecture de quelqu’un de ses ouvrages : Vous chantez mal si vous prétendez chanter ; et si vous préten
ure de quelqu’un de ses ouvrages : Vous chantez mal si vous prétendez chanter  ; et si vous prétendez lire, vous lisez mal : vou
prétendez chanter ; et si vous prétendez lire, vous lisez mal : vous chantez . Les inflexions de la voix des animaux sont un v
i porte alors l’habit ecclésiastique, appointé par les chapitres pour chanter dans les offices, les récits, ou les chœurs de mu
re, qui est une dignité ecclésiastique : ils exécutent les motets, et chantent le plain-chant, etc. On donnait autrefois le nom
uivaient ayant entendu les chantres Romains, trouvèrent leur façon de chanter risible, parce qu’elle différait de la leur, et i
ait de la leur, et ils s’en moquèrent tout haut sans ménagement : ils chantèrent à leur tour ; et les chantres Romains, aussi adro
en Musique, un morceau d’harmonie complète, à quatre parties ou plus, chanté à la fois par toutes les voix, et joué par tout l
n. Il y a des musiques à deux ou plusieurs chœurs qui se répondent et chantent quelquefois tous ensemble : on en peut voir un ex
temps elle-même ; et il est actuellement affermé à M. Royer, maître à chanter des Enfants de France. C’est le plus beau concert
a Reine. Voyez Chœurs. La partie des dessus à la chapelle du Roi, est chantée par des castrati. Voyez Chanteur. (B) Exécutio
chants doivent être propres à exprimer ce qu’on veut dire, peindre ou chanter . Mais les paroles que la Poésie emploie, reçoiven
s dont on a déjà parlé ; qu’à la place de ces mots éveillons-nous, on chante ceux-ci endormons-nous, on aura trouvé une très b
uvé une très belle expression : mais avec les premières paroles on ne chante qu’un contre-sens, et ce chant très beau devient
rodiées et sus de tout le monde. A la reprise de 1751, notre parterre chantait Brillant soleil, etc. avec autant de facilité que
i dans la danse. Voyez Ballet, Danse, Chant, Débit, Débiter, Maître à chanter [Article non rédigé], Déclamation, Exécution, Opé
2 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
Sur l’interprétation du chanteur Chanter — avec Jean-Jacques Rousseau Chanter, c’est f
terprétation du chanteur Chanter — avec Jean-Jacques Rousseau Chanter , c’est faire différentes inflexions de voix agréa
notes qui les expriment. La première chose qu’on fait en apprenant à chanter , est de parcourir une gamme en montant par les de
ousseau]. Quelques-uns prétendent qu’on apprendrait plus facilement à chanter , si au lieu de parcourir d’abord les degrés diato
du chant ; c’est-à-dire que des observations sur des voix sonores qui chantaient le plus agréablement, on a composé des règles pou
faciliter et perfectionner l’usage de ce don naturel, Voyez Maître à chanter [Article non rédigé] ; mais il paraît par ce qui
et la plus sûre d’acquérir cet art. Sans son secours, tous les hommes chantent , bien ou mal, et il n’y en a point qui en donnant
oint qui en donnant une suite d’inflexions différentes de la voix, ne chante  ; parce que quelque mauvais que soit l’organe, ou
qu’il forme, l’action qui en résulte alors est toujours un chant. On chante sans articuler des mots, sans dessein formé, sans
t et mal conduite distrait autant de son propre ennui la personne qui chante , qu’une voix sonore et brillante, formée par l’ar
position. L’opéra est le lieu d’où la médiocrité, dans la manière de chanter , devrait être bannie ; parce que c’est le lieu où
re de cette perfection! Il n’y a à l’opéra que très peu de sujets qui chantent d’une manière parfaite ; tous les autres, par le
us les autres, par le défaut d’adresse, laissent dans leur manière de chanter une infinité de choses à désirer et à reprendre.
fort se montre, l’agrément disparaît. Voyez Chant, Chanteur, Maître à chanter [Article non rédigé], Voix [Article de Rousseau].
é], Voix [Article de Rousseau]. Le poème entier d’un opéra doit être chanté  ; il faut donc que les vers, le fond, la coupe d’
lamation. Le débit est le contraire de la lenteur ; ainsi débiter est chanter un rôle avec rapidité, en observant les temps, en
pas débitée ; l’acteur qui ne sait point débiter, quelque bien qu’il chante , en affaiblit l’intérêt et y répand l’ennui. Il f
ne saurait plus nuire à sa personne, peut servir au progrès de l’art, chantait très rapidement ses rôles, faisait faire à ses br
 ; on la louait sur cette partie qu’elle n’avait point, parce qu’elle chantait avec beaucoup de rapidité, mais sans aucun agréme
de bonne heure sur un organe que l’âge n’a pas raidi. Voyez Maître à chanter [Article non rédigé], Etendue, Voix [Article de R
des voix bâtardes et inutiles. Le premier est une sorte de taille qui chante sur la même clé, et qui ne va que depuis l’ut au-
édiocre dans ces parties ; mais quelle voix ! et il faut premièrement chanter , et avoir de quoi chanter à l’opéra. Le fausset e
mais quelle voix ! et il faut premièrement chanter, et avoir de quoi chanter à l’opéra. Le fausset est une voix de dessus fact
lité, Son [Article de Rousseau], Voix [Article de Rousseau], Maître à chanter [Article non rédigé]. (B) Geste (Chant du théâ
ne, pour jouer sur les mots, et pour peindre en contre-sens ce qu’ils chantent . On en a vu faire murmurer les ruisseaux dans l’o
s que son beau désordre me peint. (B) Gras Gras, s. m. parler, chanter gras, défaut qui vient plus souvent de l’éducatio
nt, surtout dans celui du théâtre. Voyez Grasseyer. On parle gras, on chante gras, lorsqu’on donne le son r comme si elle étai
sonne comme le mot grâce ou trace dans celle des gens qui parlent ou chantent bien ; et au lieu de dire carillon, groseille, on
ur sur la scène par ce monologue qu’on eut la maladresse de lui faire chanter  : Déesse des amours, Vénus, daigne m’entendre, S
3 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
cien.) acteur de l’opéra, qui récite, exécute, joue les rôles, ou qui chante dans les chœurs des tragédies, et des ballets mis
: je permets à mes Musiciens de se couvrir, mais seulement à ceux qui chantent . Il y a à la chapelle du Roi plusieurs castrati
sieurs castrati qu’on tire de bonne heure des écoles d’Italie, et qui chantent dans les motets les parties de dessus. Louis XIV
ts, si on les exerçait à agir conformément aux choses qu’on leur fait chanter . Voyez Opéra [Article de Jaucourt]. (B) [voir Dou
’entrée et Figurant. (B) Choriste Choriste, s. m. chanteur qui chante dans les chœurs de l’opéra ou dans ceux des motet
nom dans quelques-uns de nos opéras à un acteur principal, lorsqu’il chante des morceaux avec les chœurs. (B) Danseur, Dan
sir au spectateur, serait de les faire agir suivant les choses qu’ils chantent . Voyez Chœurs. Mais l’expédient sûr et d’embellir
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IV. Origine de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. »
un sentiment de joie. Vous serez alors aisément persuadé, que l’on a chanté et dansé depuis la création du monde jusqu’à nous
tion du monde jusqu’à nous, et qu’il est vraisemblable que les hommes chanteront et danseront jusqu’à la destruction totale de esp
on ait en soi tous les pas dont se forme la Danse, comme on apprend à chanter , quoiqu’on ait dans la voix tous les sons dont se
5 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
de filles et même de garçons qui sachent lire la musique, l’écrire et chanter , ou jouer d’un instrument quelconque. Je vous con
ne voulût se charger de ma chanson, et si je n’eûsse pris le parti de chanter moi-même, ce jour eut été entièrement perdu pour
s villes d’Italie, vous auriez entendu à Vénise de simples gondoliers chanter en ramant les beaux vers du Tasse, de l’Orlande F
Furioso, de Métastase, avec plus de grace et de justesse que l’on ne chante à l’opéra de Paris ; vous eussiez été surpris de
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 25 septembre : Ballet dansé par le roi à Villers-Cotterêts — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 4 octobre 1665 »
je n’ai plus rien à vous dire, Ajoutant ceux de deux Marquis, Qui la chantèrent les Récits, Si ce n’est que la COUR de FRANCE Est
Marquis de Villeroy ; sa Sœur : Mademoiselle de la Vallière. CEUX QUI CHANTÈRENT LES RÉCITS : Les Marquis de Grignan et de Frément
7 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
nfans assis dans la place, qui crient à leurs compagnons : Nous avons chanté des airs gais, et vous n’avez pas dansé, nous avo
Nous avons chanté des airs gais, et vous n’avez pas dansé, nous avons chanté des airs tristes, et vous n’avez pas pleuré. Je
ie, conduisant le chœur des femmes, répétoit après celui des hommes : Chantons une hymne à la gloire du Seigneur, parce qu’il a
anses contre lesquelles nous nous élevons, est-on éloigné de penser à chanter ainsi des hymnes à la gloire de Dieu ! Et ce qu’o
à chanter ainsi des hymnes à la gloire de Dieu ! Et ce qu’on y entend chanter , peut-il servir à autre chose qu’à le faire offen
t parle à des enfans qui disent à leurs compagnons : Nous vous avons chanté des airs gais, et vous n’avez point dansé. Qu’y
mystérieux : Hoc est mysterium , des paroles du Sauveur, nous avons chanté , et ce que nous avons chanté, c’est le cantique
m , des paroles du Sauveur, nous avons chanté , et ce que nous avons chanté , c’est le cantique du nouveau testament, dont le
grâce spirituelle, parce qu’elle n’en a point été touchée. Nous avons chanté des airs lugubres, et vous n’avez point fait péni
8 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 23 février 1669 »
e Prix N’est dû qu’aux seules FLEURS DE LYS. Après quoi, ce même Dieu chante , D’une manière bien charmante, Ainsi qu’avec lui
erie, représenté par le Duc de S. Aignan. 112. Mlle de S. Christophe chante en cette Sérénade. 113. représentée par Madlle H
e chante en cette Sérénade. 113. représentée par Madlle Hilaire, qui chante . 114. Narcisse, Adonis, Hyacinthe, Ajax, Acate,
9 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « appendix » pp. 257-258
igne. 4. 27. se joue perdant, lisés : se joue pendant 8. 26. que l’on chante , lisés : que l’on ne chante. 15. 18. de notre avi
, lisés : se joue pendant 8. 26. que l’on chante, lisés : que l’on ne chante . 15. 18. de notre avis, lisés : de votre avis. 20
10 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 juillet 1668 »
on, Que la vaste et grande Cloison De l’Église de Notre-Dame, Où l’on chante en si bonne gamme. Maintes Cascades y jouaient, Q
E, Dont Maint est le Singe et Copiste. D’ailleurs, de ces Airs bien chantés , Dont les Sens étaient enchantés, MOLIÈRE avait f
11 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pour un répertoire. »
’est plus jamais affichée à cause des vacances d’un soprano léger qui chantait L’Enlèvement, de Mozart. Et il en sera ainsi jusq
’année passée. Si, pour voir danser, il faut absolument avoir entendu chanter pendant deux heures et demie, pourquoi n’a-t-on p
12 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 15 décembre : Ballet de la revente des habits du ballet — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 18 décembre 1660 »
e Collation finie On ouït quelque symphonie, Où le Sieur Le Gros, qui chanta , Toute l’Assistance enchanta, Soutenu de deux Thé
13 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre V. Premier emploi de la Danse »
sance pour leurs cœurs. Il est donc très vraisemblable que les hommes chantèrent d’abord les bienfaits de Dieu, et ils dansèrent,
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 août 1664 »
rmé la Cour tant de fois, Savoir Mademoiselle Hilaire, Qui ne saurait chanter sans plaire, Et La Barre, qui pleinement Dompte l
15 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — Juillet : Ballets des comédiens espagnols à Paris — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 24 juillet 1660 »
eux, Et, quelques-uns, par excellence, À juger selon l’apparence. Ils chantent , ils dansent Ballets, Tantôt graves, tantôt folle
16 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 janvier : Les Amours de Jupiter et de Sémélé — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de La Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 17 janvier 1666 »
s Amours De Jupiter et de Sémelle Font d’une manière si belle Partout chanter et publier Le savoir de Monsieur BOYER Qu’il est
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettre en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 décembre 1666 »
E,60 Qui de l’OUBLI sauve la Gloire Et le Nom des fameux HÉROS, Pour chanter du NÔTRE le LOS, Ouvre la SCÈNE, des plus belles,
ment Ainsi qu’un SATYRE et bon Drôle Qui, faisant après eux son Rôle, Chante un Air des plus à propos, Et tout aussi bien que
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 janvier : Le Carnaval ou La Mascarade royale du Carnaval — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
e cette aimable Déesse, Avec une voix charmeresse, Ses dignes Maximes chanta , Par qui l’Oreille elle enchanta Tant de Mâles qu
19 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
e ; que les acteurs n’ont point d’action, point de décence ; mais ils chantent bien. On écoute avec attention les airs de Bravou
fit venir, à trois reprises differentes, des musiciens d’Italie, pour chanter dignement le mariage du Roi, et nous n’étions que
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 novembre : Les Amours de Diane et d’Endimion — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 14 novembre 1671 »
des Bêtes. Mais un des Faunes qui l’oyait, Quand de la sorte, elle chantait , En vient, tout seul, ensuite, rire : Et se mêle
ous côtés, Aussi, parmi-eux, se présente, Et, les raillant, derechef, chante , Puis le beau Goguenard s’enfuit, Et, par là, cet
21 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136
insouciant des Français. Il demandoit, un jour, en parlant du peuple, chante-t -il et danse-t-il encore. Cette question politique
tant présent. On tremble, et l’on ne danse pas ; on pleure et l’on ne chante pas. Ce n’est donc pas dans des circonstances mar
e ; que lui resteroit-il de mieux à faire, que d’aller manger, boire, chanter et danser ? Je crois qu’il n’y a pas de parti plu
22 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 11 août : Fête à Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 17 août 1669 »
une belle Églogue, Où des Bergers, par Dialogue, Mille tendres choses chantaient Dessus les Flammes qu’ils sentaiet, Secondés d’un
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
s, Mardi passé, Le Ballet du Roi fut dansé, Mêlé d’un Poème tragique, Chanté , tout du long en musique, Par des Gens Toscans et
ers de deux grains ; Et, même, par l’illustre Hilaire, Qui ne saurait chanter sans plaire, Et la Barre pareillement, Dont la vo
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 octobre : Monsieur de Pourceaugnac — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 octobre 1669 »
Vie N’est pas un Bien digne d’envie. On fut ravi des belles Voix Qui chantaient ses divines Loix.126 Force Masques, non pas céle
25 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
 : celle-ci ne sourcilla point, recula de quelques pas et continua de chanter . Un peu plus tard, après le chœur des démons, mug
gile comme un léopard, C’est bien elle ! — Elle est revenue ! L’Opéra chante son retour. Cette impératrice attendue A ses pied
n nom illustre dans les arts. Dès sa première enfance, Carlotta Grisi chantait et dansait. Sa voix n’était pas moins légère que
tu es trop jolie pour te faire chanteuse ; il y a déjà deux Grisi qui chantent , tu seras écrasée par la comparaison et plus tard
es de danse à outrance, Carlotta n’avait pas abandonné le chant. Elle chantait pour se reposer. Il était, en effet, dans sa natu
s petitesses, ni les jalousies. Elle s’occupe toujours. Quand elle ne chante pas, quand elle ne danse pas, elle exécute un de
se signaler par quelque tentative neuve, hardie, originale. Carlotta chanta et dansa devant lui, et, aussitôt, ravi, émerveil
et, aussitôt, ravi, émerveillé, cet esprit aventureux décida qu’elle chanterait , qu’elle danserait devant tout Paris. Tout Paris,
e n’est pas mieux. Au mérite de bien danser, elle joint celui de bien chanter , deux talents difficiles à concilier ; sa voix es
usiasme de Gautier s’était brusquement éveillé : « Carlotta Grisi ne chante plus, avait annoncé le feuilleton de la Presse ;
26 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »
d’abord que jusqu’à lui, on avait cru tout bonnement que les Anciens chantaient et dansaient sur leurs théâtres de la manière à p
ent et dansaient sur leurs théâtres de la manière à peu près que l’on chante et danse sur le nôtre ; mais comme les chants et
leurs il était intimement persuadé, que les hommes ne pouvaient avoir chanté ni dansé mieux qu’ils dansaient et chantaient à n
s hommes ne pouvaient avoir chanté ni dansé mieux qu’ils dansaient et chantaient à notre Opéra, il en a conclu, 1°. Que les sons q
27 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
né du ton de leurs rôles, qu’un chanteur est hors de mesure lorsqu’il chante faux. Comment remédier à un si grand nombre d’inc
rop souvent ; de temps en temps il serait le maître de déclamer ou de chanter ses rôles, tandis qu’un autre Acteur placé à côté
es) n’est-il pas absurde de vouloir nous priver du plaisir d’entendre chanter les divines ariettes de l’Opéra-comique, & le
t. Mais n’est-il pas prouvé qu’on n’entend presque jamais les paroles chantées  ? La cause en est sans doute dans l’habitude qu’o
28 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
r comme on n’en avait jamais vu — donné par ce même gentleman. Caruso chantait . La cour de l’hôtel avait été transformée en lac
vait connue la Loïe Fuller dont on m’avait entretenu à l’hôtel et qui chantait dans les chœurs de Jack Sheppard, cette pièce don
29 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
t event de 1839. Tous les critiques la vantèrent ; tous les poëtes la chantèrent  ; Edmond Texier, entre autres, qui lui sonna le s
e Thomas avait composé la musique. Dans une revue de l’année 1846, on chantait ce couplet, d’une forme douteuse, auquel l’événem
ps, — triples claqueurs italiens attachés à sa personne et chargés de chanter les louanges de sa fille !… Celle-ci avait trop d
30 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
s’y fit des Concerts si rares, Qu’ils eussent touché des Barbares, On chanta quatre ou cinq Récits Qui tenaient tous nos sens
anterelles, Dont tu vois les noms à côté,34 N’avaient jamais si bien chanté . Les habits étaient admirables, Les perspectives
31 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
ace du théâtre. Jeudi j’ai été voir le spectacle. On donnait Don Juan chanté par Rubini, Tamburini, Lablache, Grisi et Persian
libran. On prétend qu’on n’a jamais vu un talent comme celui-là. Elle chante Desdemona. Je suis bien contente de l’entendre…
faire fortune ; ce temps-là est passé pour la Russie. Elle a pourtant chanté deux fois à la Cour ; on lui trouva une grande pe
32 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
trois associés la permission d’établir des académies de musique, pour chanter en public des pièces de théâtre pendant douze ann
académies d’Italie, où les gentilshommes et les demoiselles pouvaient chanter et danser aux pièces et représentations, sans qu’
Corneille, de Racine, de Molière, celui-là n’en était pas atteint qui chantait sur les planches les stances voluptueuses et souv
33 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XI. Des Usages de quelques Peuples, et de certaines Lois de Lacédémone. »
ès l’enfance, ces Peuples s’instruisaient de la Musique, pour pouvoir chanter dignement les louanges des Dieux et les actions v
34 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
précédait le second. Ils avaient tous à la main des tambours, et ils chantèrent en dansant, avec les plus vifs transports de reco
35 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VIII. Des Moralités »
lesquels avaient délaissé leur nature farouche et cruelle, en l’oyant chanter , et jouer de sa Lyre. Après vint Mercure qui pria
36 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 octobre. Le ballet de « Manon ». »
conviens, chez ces dames du corps de ballet, mais chez l’artiste qui chantait Lescaut. C’est que M. Baugé ne se contente pas d’
37 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
u Panthéon un personnage. Anna fera infailliblement le Panthéon. Elle chantera le rondeau obligé sur les grands hommes, s’y fera
efois elle varie, on l’a vue jouer des compères dans les revues. Elle chante juste, a beaucoup d’acquit et porte les costumes
38 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VIII. Suites du Vice primitif »
dans un exercice continuel la prodigieuse fécondité des Arts, on n’a chanté , on n’a dansé, on n’a entendu, on n’a vu constamm
39 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
ire Dont la voix a le ton de plaire, Et le sieur Le Gros, mêmement, Y chantèrent divinement : Mais pour en savoir davantage Que je
40 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
ome des Gens exercés qui jouaient de divers instruments, d’autres qui chantaient et qui dansaient pendant et après les festins. Da
41 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « De la manière de jouer les airs de contredanse. » pp. 129-132
t le maître de danse sont d’accord qu’un air de contredanse, facile à chanter , est également facile à danser. C’est par conséqu
42 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
t le latin ; mais Salluste ajoute en même temps, qu’elle savoit mieux chanter et danser qu’une honnête femme ne devoit le savoi
43 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
ntistrophes ou retours ; après ces deux danses, ils s’arrêtaient pour chanter  : ils nommaient ces chants épodes [voir « Apodes 
bruit dans la Grèce, parce qu’on y avait appris ses chansons ; on les chantait , et on représentait sur ces chants les aventures,
a eu des hommes, il y a eu sans doute des chants et des danses ; on a chanté et dansé depuis la création jusqu’à nous, et il e
puis la création jusqu’à nous, et il est vraisemblable que les hommes chanteront et danseront jusqu’à la destruction totale de l’e
t des motifs touchants de reconnaissance pour leurs cœurs. Les hommes chantèrent donc d’abord les louanges et les bienfaits de Die
44 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
te des hommes, il y a eu, sans doute, des chants et des danses ; on a chanté et dansé depuis la création jusqu’à nous, et il e
puis la création jusqu’à nous, et il est vraisemblable que les hommes chanteront et danseront jusqu’à la destruction totale de tou
45 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre I. Naissance du Théâtre »
Tels furent les Chœurs qu’on fit servir d’intermèdes. Les vers qu’ils chantaient avaient un rapport prochain avec la Tragédie, et
46 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 décembre. Grands mots, petites danses. »
rel. J’ignore s’il a du talent. Mais pourrait-on dire d’un oiseau qui chante sur la branche s’il a du talent ou non ? C’est au
47 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
e, dont ce saint est le patron. A la fin de chaque psaume, au lieu de chanter le Gloria Patri, tout le peuple chantait en langa
de chaque psaume, au lieu de chanter le Gloria Patri, tout le peuple chantait en langage du pays : san Marceau pregats per nous
masque, non-seulement dans la Danse, mais encore dans la déclamation chantée de leurs représentations tragiques et comiques. L
48 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71
iennes opéra-ballet, dans un divertissement de cet ouvrage il falloit chanter , et danser le menuet : les premiers danseurs ayan
r de ce double emploi, on le confia à Marcel alors prèsqu’ignoré ; il chanta agréablement, et dansa le menuet avec cette éléga
tion et de ma bienveillance, en Vous réglant un petit rondeau, qui se chante , et se danse, de l’amour nous suirons les lois, e
49 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 mai. Le retour des « Ballets russes ». »
rd, de Strawinsky, étant, selon le programme, une « histoire jouée et chantée  », je me récuse moi-même en m’en remettant pour l
50 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 31 juillet. Notes de vacances sur quelques souvenirs de la saison. »
oquer une vision. Aussi la symphonie s’intercale-t-elle dans l’action chantée comme un épisode autonome et fermé ; c’est là un
51 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
our le nuancer. Ainsi, ce que nous appelions lire correctement, étoit chanter juste. Il falloit chez les Romains le concours de
upes en chantant ; car parler à haute et intelligible voix, n’est pas chanter . Ne seroit-ce pas encore une méprise de dire que
52 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
itable ; mais une des choses qui le choquent le plus, c’est « de voir chanter toute la pièce depuis le commencement jusqu’à la
peine à faire un mauvais ouvrage. Quand Beaumarchais a prétendu qu’on chantait ce qui ne valait pas la peine d’être dit, il n’a
français sur un théâtre de Paris. Le préjugé contre la difficulté de chanter des paroles françaises existait déjà ; il fallait
a ville de Paris et autres du royaume, des académies de musique, pour chanter en public des pièces de théâtre, comme il se prat
« que tous gentilshommes, demoiselles, et autres personnes, puissent chanter (il n’est pas fait mention de la danse) audit Opé
fication que lui fit essuyer le duc de Brissac, qui, l’ayant invité à chanter chez lui, ne reçut d’autre réponse qu’un refus po
ressembla à toutes les apothéoses et à toutes les inaugurations ; on chanta des chœurs : Le digne ami du peuple et l’émule d
la tradition, des sans-culottes se précipitèrent sur un des autels et chantèrent en se joignant aux enfans des arts le serment qui
i politique, mobile comme celle d’un homme d’état ! L’Opéra qui avait chanté la Marseillaise, l’Opéra qui avait porté en triom
Opéra, disait-on, ne marche que sur les jambes de ses danseurs. On ne chantait qu’à l’Opéra Italien et à Feydeau, quand mademois
53 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
nce si digne de la posséder. Cette Troupe céda la place à Mercure. Il chanta un récit, dans lequel il racontait l’adresse dont
54 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
la première tige de mon champ d’églantiers. O Lorettes ! je vais vous chanter , ou plutôt, pour parler un langage plus famillier
ée que de deux départements, la Bourgogne et la Champagne. Quand on a chanté sur l’orgue, Je vais revoir ma Normandie. la Lo
roire au public qu’elle dit : Oh ! quelle ivresse Quelle allégresse, Chantons en ce beau jour L’amour. Ou… Restons jusqu’à de
anges Ont à lutter contre le tentateur. Si Nathalie ou madame Doche chantait ce couplet, le public crierait bis, modestie d’au
micile, escalade le poêle paternel : sur cette scène improvisée, elle chante les couplets qu’elle a entendus le soir. L’Arthur
amant. Elle termine la scène par un évanouissement. Si un Arthur chante en brossant le matin son habit : Il faut partir,
utés, ou un député, ou même un capitaine de la garde nationale qui ne chante jamais la Marseillaise. Quand vous avez, com
monopole de vos couronnes, ô grisettes si fières du poète qui vous a chantées  ; les souples lianes qui attachent votre Homère à
muse nous a confiée. Les vers sont enfants de la lyre ; Il faut les chanter , non les lire. Pour chanter l’air, il faut que l
rs sont enfants de la lyre ; Il faut les chanter, non les lire. Pour chanter l’air, il faut que l’air existe. Nous appelons do
55 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
bátise de Merveille Qui ne peut avoir de Pareille) Pour sa manière de chanter , Qui peut tout le monde enchanter, Et son aimable
56 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
les de la tempérance ne soient pas bien exactement observées, qu’on y chante des chansons mauvaises, et qu’on y tienne des dis
nent à la danse, déjà échauffés par des chansons lubriques qu’ils ont chantées ou entendues, et par les discours très-indécens q
57 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
des. Ces deux troupes se réunissaient dans les places publiques, pour chanter en chœur des Hymnes en l’honneur d’Apollon. Tout
58 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
s, dit qu’un nommé Mnassion, un de ces Chantres rapsodeurs, récita ou chanta en Pantomime des vers de Simonides avec beaucoup
p; les Lysiodes étoient des femmes qui se déguisoient en hommes, pour chanter & pour danser : ce qui introduisit insensible
e rapporte ici par préférence aux autres. L’ouverture fut un Prologue chanté par Venus, Pallas & Mercure : ces trois Divin
ois autres Muses, Calliope, Melpomene, & Erate, & les faisant chanter auprès du Globe, ils en firent sortir la Reine d’
59 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
k vif, impatient étoit hors de lui-méme, jettoit sa perruque à terre, chantait , faisoit des gestes ; peines inutiles ; les statu
r de modèle, je serai votre interprète ; je le priai de ne leur faire chanter que deux vers a la fois, après avoir passé inutil
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
de chaque Psaume, ils substituaient au Gloria Patri ce verset qu’ils chantaient avec les plus vifs transports de zèle et de joie 
61 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
temple. L’Honneur n’y laissa pénétrer que l’Amour et la Beauté, pour chanter l’Hymne nuptial des deux nouveaux époux. Rien n’e
62 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
ui avoit long-temps régné, de passer la nuit de la fête de ce Saint à chanter et à danser, il dit que « cette peste, après avoi
rophète ne dit pas : Jouons des instrumens pour nous divertir ; mais chantons les psaumes  : ce chant met en fuite les démons.
e démon : Nemo potest Deo servire, ac cum diabolo choreas ducere… Ne chantez point aujourd’hui avec les anges les cantiques du
63 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
seils. Elle dansa à Naples, à Venise, à Vienne, en Angleterre. Elle y chanta aussi, et Malibran, cette poésie vivante, cette i
it une vraie fauvette. Elle ne se sent plus que des ailes, et si elle chante , ce n’est que devant ses amis, quelque air du Tyr
n œil furtif interroge l’horizon. La nuit s’avance, le coq va bientôt chanter et le jour paraître. Si Albrecht ne quitte pas ju
64 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre III. » pp. 21-26
re d’Appollon réduit à mendier son pain dans les rues d’Athènes, et à chanter ses vers divins pour éxciter la compassion, et la
65 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XII. » pp. 115-121
est à l’homme qui parle, ce que sont les accompagnemens à l’homme qui chante . Le geste conventionnel est ridiculement mauvais
66 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IV. Jugement des Conciles contre les danses. » pp. 44-50
ans des vues droites et saintes qu’on doit avoir, mais pour danser et chanter des chansons honteuses. Si ceux qui se conduisent
67 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
gard s’être modelée sur l’ancienne. Ce sont de jeunes imparfaits, qui chantent les rôles de femmes, et de jeunes garçons qui rem
68 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
Chœur est demeuré à cette partie des Eglises Romaines où les Prêtres chantent & font leurs cérémonies, & où l’on dansoi
l’Eglise de ce Saint, & qu’à la fin de chaque Pseaume, au lieu de chanter Gloria Patri, ils chantoient le langage du pays,
69 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
eviennent-elles, ces pauvres vieilles ? On l’a beaucoup dit, beaucoup chanté , beaucoup dessiné, on ne le dira jamais assez. El
70 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194
nimal qu’on appelle Unau, ou le Paresseux par les Amériquains, lequel chante naturellement six fois cette particule ha, sur le
71 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
me disait qu’elle était dans une taverne à Anvers, où on la forçait à chanter et à danser pour l’amusement des matelots, client
72 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
e abandonnent leurs allées ombragées de lauriers : Les poètes qui ont chanté leurs victoires, quittent les monts fleuris et le
73 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
ave coule dans ses veines — dansa ce qu’avait pensé Kant, ce qu’avait chanté Novalis, ce qu’avait imaginé Hoffmann. Examinons
e qui rentre dans l’ombre à la cantatrice dont la mort prématurée fut chantée par Musset. « Taglioni, dit-il, c’était la danse,
74 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
sont maigres à 1’éxcès, ou ils sont d’une grosseur épouvantable. Ils chantent bien, et voila tout. D’après ce portrait fait d’a
75 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13
ntes, une école propre à former des élèves, tant pour danser que pour chanter , et aussy à dresser des bandes de violons et autr
76 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
main à l’acteur en lui disant : « Karsten, je ne vous entendrai plus chanter . » C’est à Stockholm, où Philippe Taglioni était
la danse s’est élevée à la sainteté d’un art » ; il prit son luth et chanta  : Près des lacs aux blondes bergères Rossini, de
a peu de ta danse ennoblie L’angélique pudeur. La Germanie rêvera et chantera tristement à la vue des malheurs de la sylphide,
77 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
uverait les secrets de la fameuse pyrrhique. Horace et Properce l’ont chantée à Rome, Néron en fit sa danseuse favorite ; on la
issante de vie et de joie. Ce n’est pas en des poèmes que Th. Gautier chanta Fanny Elssler. Ce nom qui lui était si cher n’est
Mariage de Figaro, avec Mlle Mars ; une scène de Lucia di Lammermoor, chantée par Duprez, Serda et les chœurs du Théâtre-Italie
hât de la soixantaine, fut excellente dans le rôle de Suzanne. Duprez chanta le grand air d’Edgardo avec un pathétique qui arr
rançaise jouèrent des scènes du Bourgeois gentilhomme. Mme Dorus-Gras chanta un air du Serment ; Mme Persiani et Tamburini fir
78 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
Antistrophes ou Retours : après les deux danses ils s’arrétoient pour chanter , & ces chants fixes se nommoient Epodes, parc
nfance ils leur faisoient apprendre la Musique & les exercices, à chanter les hymnes de leurs Dieux & les louanges des
79 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
lexique théâtral on nomme la perche. Sans lui la plupart des actrices chanteraient faux. Quand il se fait quelquefois remplacer par
80 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
t de le disposer à recevoir les plus funestes impressions ? Ce qui se chante alors n’exprimant pour l’ordinaire qu’un amour im
81 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IV. » pp. 27-36
gea tous les esprits, dissipa les complots ; les grands, et le peuple chantèrent la bienfaisance, la justice, et les vertus d’Augu
82 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
doit arriver le plus magnifiquement qu’il se puisse ! — Comme la voix chante éperdument, comme la flamme follement chante entr
puisse ! — Comme la voix chante éperdument, comme la flamme follement chante entre la matière et l’éther, — et de la matière à
en cadence mènent le chant jusqu’au tumulte. Tout le monde frappe et chante à la fois, et quelque chose grandit et s’élève… J
83 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
ands chœurs de musique, l’un composé d’hommes, l’autre de femmes, qui chantèrent et dansèrent un ballet solennel d’actions de grâc
ses qui lui sont consacrées, et passent la nuit à danser en rond et à chanter des hymnes et des cantiques à son honneur. Le car
84 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
otta Grisi, elle n’obtint ni l’une ni l’autre. Ceux qui l’entendaient chanter auraient préféré la voir danser, et quand elle da
et quand elle dansait, on regrettait qu’elle ne se contentât point de chanter . Nathalie avait une sœur, Louise, devenue légenda
85 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
les femmes voulaient être chaussées à la Camargo. Sur l’air d’un duo chanté dans Pyrame et Thisbé, on fit une contredanse que
qui fut brisé — un morceau de décor détaché du cintre. Une messe fut chantée à Notre-Dame pour obtenir du ciel la prompte guér
86 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
t c’est-là un des grands défauts de leur exécution. Ils les faisaient chanter et danser ; mais il n’y avait aucun rapport entre
87 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
eût été déjà composée par des Poètes célèbres pour être déclamée, ou chantée , soit qu’elle eût été imaginée expressément pour
88 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
te une floraison de rêve s’étire et pense. Le poème animé de la fleur chante là : délicate, fugitive et mystérieuse. C’est le
89 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
rce que ce sont des jours destinés à une sainte réjouissance, où l’on chante l’Alleluia, qui est la figure du cantique de joie
90 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
te, la misère affreuse, l’irréparable misère. Et pourtant notre gamin chantait en trottant derrière la voiture comme son père si
91 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
e les beaux-arts sont frères1, » Ce qu’Aristote a dit, ce qu’Horace a chanté , Ce que ta Muse a fait, par moi fut imité2. Entre
r l’épigramme : Malherbe d’un héros peut vanter les exploits ; Racan, chanter Philis, les bergers et les bois. Mais souvent un
mmerce avec les dieux. Aux athlètes dans Pise elle ouvre la barrière, Chante un vainqueur poudreux au bout de la carrière, &am
veille, 10 Et jamais de grands mots n’épouvante l’oreille. &c… Chanter Flore, les champs, Pomone, les vergers ; Au comba
mun n’accordez point de trêve ; Chant IV, vers Auteurs, pour les chanter redoublez vos transports : Le sujet ne veut pas d
92 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
en, toute cette bijouterie ne lui coûte pas ça, pas ça, pas ça, comme chantait Judic dans Madame l’Archiduc. Voici, d’ailleurs,
93 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
nte pour ravigoter le public… Les marcheuses ne dansent pas… Elles ne chantent pas… Elles meublent… L’invention en est attribuée
94 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260
sques bruns ! Les Démons dansants sont couleur de feu, & ceux qui chantent à côté d’eux ont un teint pâle & livide. Les
euves, les Ondains ont la physionomie semblable à la nôtre lorsqu’ils chantent  ; les fait-on danser ? ce sont des visages verds-
95 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
lle se tendent des muscles et une volonté de fer. La mignonne a dû se chanter , comme la Chonchon de la Grâce de Dieu : A l’Opé
96 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
nt de père en fils les aventures des Nixen ; l’aïeule les répète, les chante ou les raconte assise à son rouet, et la jeune fi
97 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
disparue, quand elle est rentrée là-haut dans son domaine, l’amant de chanter sa complainte amoureuse : « Où est-elle ? Qu’est
98 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
. Muse de la Danse.Viens, Terpsicore riante, Ce sont des jeux que je chante , Qui te doivent leurs appas ; Viens, danse au son
99 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
tous à l’impudicité ; et que les chansons lubriques que souvent on y chante , allument nécessairement le feu de la concupiscen
100 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
nce si digne de la posséder. Cette troupe céda la place à Mercure. Il chanta un récit, dans lequel il racontait l’adresse dont
temple ; l’honneur n’y laissa pénétrer que l’amour et la beauté, pour chanter l’hymne nuptial des deux nouveaux époux Rien n’es
terêts ; et de Mouret, qui avait composé tous les airs de ces danses, chanta un récit au Roi. Après ce récit la suite de Terps
t d’un coup un magnifique chœur en acclamations, mêlé de fanfares, et chanté par tous les acteurs et actrices masqués, placés
ts les innocents plaisirs qu’elle allait lui offrir. Les vers qu’elle chantait , étaient des louanges délicates, mais sans flatte
aux, en succédèrent quelques autres. Ils s’unirent tous à la fin pour chanter leurs plaintes, et ce chœur comique, finit d’une
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