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1 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « De la manière de jouer les airs de contredanse. » pp. 129-132
la musique qui veut que l’on presse ou ralentise selon la qualité du chant et du mouvement de la mesure. Le vrai mouvement é
u trait. Ils se trompent : le danseur observe la mesure, mais suit le chant  ; ce qui fait qu’il est susceptible de se tromper
dans les contredanses où les traits ne sont pas bien détachés par le chant . Ce défaut dans la composition est beaucoup multi
 ; et d’autres enfin voudraient que la mesure terminât entièrement le chant pour se rencontrer avec le danseur qui suit cette
i serait extrêmement convenable, par la raison que le danseur suit le chant qui, par ce moyen, lui fait observer la mesure, d
te que les musiciens soutiennent les tems de la mesure qui termine le chant , parce que c’est toujours sur le dernier tems que
oujours sur le dernier tems que retombe le danseur, puisqu’il suit le chant sans avoir égard à la distinction des tems de la
ure. C’est par cette raison que le danseur se règle sur la qualité du chant , et que lui, le musicien et le maître de danse so
2 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
bien en faisant le fa dièse, ou le si bémol. (S) On a fait un art du chant  ; c’est-à-dire que des observations sur des voix
uelque mauvais que soit l’organe, ou quelque peu agréable que soit le chant qu’il forme, l’action qui en résulte alors est to
t le chant qu’il forme, l’action qui en résulte alors est toujours un chant . On chante sans articuler des mots, sans dessein
le moins de part. Un muet donne des sons, et forme par conséquent des chants  : ce qui prouve que le chant est une expression d
e des sons, et forme par conséquent des chants : ce qui prouve que le chant est une expression distincte de la parole. Les so
les sensations de douleur ou de plaisir. De là il est évident que le chant a son expression propre, indépendante de celle de
s sujets qui composent cette académie devraient donc exceller dans le chant , et nous ne devrions trouver entre eux d’autres d
t toutes les fois que l’effort se montre, l’agrément disparaît. Voyez Chant , Chanteur, Maître à chanter [Article non rédigé],
Débit Débit, s. m. (Musique.) manière rapide de rendre un rôle de chant . Le débit ne doit jamais prendre sur l’articulati
doit jamais prendre sur l’articulation ; il est une grande partie du chant français : sans le débit, la scène la mieux faite
e languit et paraît insipide. La lenteur est un des grands défauts du chant français de scène, qu’on nomme aussi déclamation.
e de monotonie dont il ne saurait se défaire, parce que les traits de chant qui le composent sont peu variés. Le plaisir et l
conséquence lorsqu’on les a trouvées. Le débit diminue la langueur du chant , et jette du feu dans l’expression ; mais il faut
ncer. Mademoiselle Le Maure n’avait point de débit, la lenteur de son chant était excessive ; mais l’éclat, le timbre, la bea
er un rôle avec rapidité, en observant les temps, en répandant sur le chant l’expression, les nuances nécessaires ; en faisan
lgré tout cela ne débitait point, parce qu’elle ne nuançait point son chant , et qu’elle manquait de justesse. Elle a fait pen
une partie essentielle à l’acteur ; et débiter est rendre un rôle de chant avec rapidité, justesse, expression, grâce et var
Déclamation Déclamation, (Musiq.) c’est le nom qu’on donne au chant de scène que les Musiciens ont appelé impropremen
de déclamation n’est et ne doit être autre chose que l’expression en chant du sentiment qu’expriment les paroles. Voyez Expr
beaux vers de Quinault, qu’ils ont appris dans leur jeunesse avec le chant de Lully, reprochent aux opéras modernes qu’il y
nie à des divertissements ingénieux, à des tableaux de musique, à des chants légers, etc. et enfin ils pensent que la déclamat
anquée par un musicien, quelque médiocre qu’il ait été d’ailleurs. Le chant de celles de Médée et Jason a été fait par l’abbé
s que musicien sublime. L’effort du génie a été d’abord de trouver le chant propre à la langue et au genre : il en est de cet
e Rousseau]. (B) Effort Effort, (Voix.) défaut qui est dans le Chant , le contraire de l’aisance. On le fait par une co
l’en écarte. C’est de tous les défauts qu’on peut contracter dans le chant le plus dangereux, et celui dont on revient le mo
que c’est celui vers lequel on a plus de motifs de pencher dans notre chant dramatique ; tels sont les cris au théâtre de la
n France, de l’erreur des grandes voix ; mais il faut attendre que le chant du théâtre ait pris les accroissements dont il es
t ainsi que la nature a donné à l’homme l’organe qu’elle a destiné au chant et aux oreilles françaises que la satiété n’a poi
ns qui nous servissent à exprimer nos différentes sensations ; car le chant est le premier langage de l’homme. Voyez Chant. M
es sensations ; car le chant est le premier langage de l’homme. Voyez Chant . Mais ce chant formé de sons qui tiennent de la n
car le chant est le premier langage de l’homme. Voyez Chant. Mais ce chant formé de sons qui tiennent de la nature l’express
y a un nombre constant de traits qui forme leur ensemble. Lorsque le chant est devenu un art, l’expérience a décomposé les v
e et de la haute-contre ont naturellement entre eux ; ce qui donne au chant une variété nécessaire. Basse-taille : clé de f
plus vantées. Il avait de plus une grande facilité pour les traits de chant , qui seuls peuvent l’embellir et le rendre agréab
vait pas manquer d’exciter l’ambition des femmes, qui se destinant au chant , n’avaient cependant qu’une voix naturelle. Dès q
est et ne doit être qu’une agréable imitation de la nature ; ainsi le chant réduit en règles, soumis à des lois, ne peut être
a voix (ainsi qu’on l’a dit plus haut, et qu’on le prouve à l’article Chant ) est le premier langage de l’homme, les différent
le de Rousseau], Maître à chanter [Article non rédigé]. (B) Geste ( Chant du théâtre) Geste, (Chant du théâtre.) l’opér
ter [Article non rédigé]. (B) Geste (Chant du théâtre) Geste, ( Chant du théâtre.) l’opéra français a pour objet de séd
aute qui lui échappe quelquefois. Il n’en est pas ainsi au théâtre du chant  ; les détails y sont ralentis et répétés par la m
ordre avec l’aisance de l’instinct. Voyez Grâce [Article de Watelet], Chant . Mais souvent le talent est égaré par l’esprit ;
; et laisser tranquillement pendant toute la lente durée de ces beaux chants , les berceaux et l’onde pure qu’offraient les côt
ion ordinaire, celle que nous désirons dans la déclamation et dans le chant , surtout dans celui du théâtre. Voyez Grasseyer.
pportable, il n’en est pas moins un défaut. Lorsqu’il est question du chant , le grasseyement est encore plus vicieux que dans
e défaut moins désagréable. (B) Grasseyer Grasseyer, v. neut. ( Chant . Voix.) C’est changer par une prononciation d’hab
3 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
s des bergers, dont une espèce appelée bucoliasme, était le véritable chant de ceux qui conduisaient le bétail ; et l’autre,
toujours régner dans ces provinces un air de gaieté qui les porte au chant et à la danse : un provençal menace son ennemi d’
de manière à rendre les mots aisés à prononcer et à entendre. (S) Chant — avec Jean-Jacques Rousseau Chant, s. m. (Mu
rononcer et à entendre. (S) Chant — avec Jean-Jacques Rousseau Chant , s. m. (Musique.) est en général une sorte de mod
miner en quoi le son qui forme la parole, diffère du son qui forme le chant . Cette différence est certaine ; mais on ne voit
a permanence aux sons qui forment la parole, pour former un véritable chant  : il paraît aussi que les diverses inflexions qu’
de Musique, et qui par conséquent ne peuvent être exprimés en notes. Chant , appliqué plus particulièrement à la Musique, se
ale ; et dans celle qui est mêlée d’instruments, on appelle partie de chant toutes celles qui sont destinées pour les voix. C
pelle partie de chant toutes celles qui sont destinées pour les voix. Chant se dit aussi de la manière de conduire la mélodie
ire la mélodie dans toutes sortes d’airs et de pièces de musique. Les chants agréables frappent d’abord ; ils se gravent facil
e compositeurs y réussissent. Il y a parmi chaque nation des tours de chant usés, dans lesquels la plupart des compositeurs r
lesquels la plupart des compositeurs retombent toujours. Inventer des chants nouveaux, n’appartient qu’à l’homme de génie ; tr
hants nouveaux, n’appartient qu’à l’homme de génie ; trouver de beaux chants , appartient à l’homme de goût. (S) Le chant est l
génie ; trouver de beaux chants, appartient à l’homme de goût. (S) Le chant est l’une des deux premières expressions du senti
ciété ou peuple a fait sur ce point des conventions particulières. Ce chant naturel dont on vient de parler, s’unit dans tous
coup d’autres, la nature se repose, lorsque l’art agit. On appelle ce chant , acceru. Il est plus ou moins marqué, selon les c
is]. Lorsque les mots furent trouvés, les hommes qui avaient déjà le chant , s’en servirent pour exprimer d’une façon plus ma
nt l’âme d’une manière vive, durent nécessairement se peindre dans le chant avec plus de vivacité que les sensations ordinair
nsations ordinaires ; de-là cette différence que l’on trouve entre le chant du langage commun, et le chant musical. Les règle
te différence que l’on trouve entre le chant du langage commun, et le chant musical. Les règles suivirent longtemps après, et
rd donné par la nature ; car rien n’est plus naturel à l’homme que le chant , même musical : c’est un soulagement qu’une espèc
alement ; et l’ennui, la fatigue, sont suspendus ou disparaissent. Le chant consacré par la nature pour nous distraire de nos
i chantèrent et à tous ceux qui firent des vers. On trouve l’usage du chant dans l’antiquité la plus reculée. Enos commença l
nsons et des instruments. Genèse 31. Il est naturel de croire que le chant des oiseaux, les sons différents de la voix des a
après le passage de la mer Rouge, est la plus ancienne composition en chant qu’on connaisse. Dans l’Egypte et dans la Grèce,
n chant qu’on connaisse. Dans l’Egypte et dans la Grèce, les premiers chants connus furent des vers en l’honneur des dieux, ch
vec un accompagnement d’instruments, ce qui la fit nommer mélique. Le chant de la poésie épique et dramatique était moins cha
était moins chargé d’inflexions, mais il n’en était pas moins un vrai chant  ; et lorsqu’on examine avec attention tout ce qu’
l : vous chantez. Les inflexions de la voix des animaux sont un vrai chant formé de tons divers, d’intervalles, etc. et il e
du plus grand genre. Voyez Ballet et Opéra [Article de Jaucourt]. Le chant naturel variant dans chaque nation selon les dive
la température différente des climats, il était indispensable que le chant musical, dont on a fait un art longtemps après qu
ions. Ainsi disputer sur cet article, et prétendre par exemple que le chant Italien n’est point dans la nature, parce que plu
Italien n’est point dans la nature, parce que plusieurs traits de ce chant paraissent étrangers à l’oreille, c’est comme si
s de musique, etc. On ne dit jamais chanteur, que lorsqu’il s’agit du chant profane (Voyez Chanteur ; et on ne dit jamais cha
Voyez Chanteur ; et on ne dit jamais chantre, que lorsqu’il s’agit du chant d’église. Les chantres de la musique des chapitre
sa cour, les engagea les uns et les autres à une espèce de combat de chant , dont il voulut être le juge ; et il prononça en
s cantates, des airs Italiens des excellents maîtres, des morceaux de chant neufs et détachés, etc. En 1727 on y donna avec s
art, quand même M. Rameau ne les aurait pas ouvertes avant lui. Voyez Chant . (B) Dessus Dessus, (Opéra.) voyez l’artic
ientôt mis à leur place, se servit de ce qu’il avait sous sa main. Le chant et l’orchestre étaient dans ces commencements ce
et la distance était immense de l’état où il trouva l’orchestre et le chant , à l’état où il les laissa. Cependant ce que nous
t l’oracle suprême. Mais l’exécution de la partie instrumentale et du chant devait s’étendre dans la suite aussi loin que pou
l’horreur d’un cachot sombre, d’une caverne obscure, etc. De même le chant brillant, léger, de tableau, de grande force, les
ou ne sont que du bruit, harmonieux, si l’on veut, mais sans vie. Le chant d’une chanson, d’une cantate, doit exprimer les p
cantate et de la chanson, sinon le musicien a manqué son but ; et le chant , quelque beau qu’il soit d’ailleurs, n’est qu’un
’il faut élever avec raison, ordre et symétrie : les symphonies et le chant sont les grandes parties du total, la perfection
atteint à la perfection dans un des points principaux de ce genre. Le chant de déclamation, qu’il a adapté si heureusement au
mes, s’ils avaient pu les reconnaître. Lully donc, qui en adaptant le chant français déjà trouvé, à l’espèce de déclamation t
nt dans ses symphonies que Lully est répréhensible sur ce point ; ses chants , à l’exception de son récitatif, dont on ne parle
ime par les paroles, la Peinture par les couleurs, la Musique par les chants  ; et les paroles, les couleurs, les chants doiven
uleurs, la Musique par les chants ; et les paroles, les couleurs, les chants doivent être propres à exprimer ce qu’on veut dir
e langage ordinaire ; et cette chaleur, cette vie doivent acquérir un chant , par le secours d’un second art qui s’unit au pre
aroles de Quinault ont peint. Ce fait est si certain, que sur le même chant qu’on a si longtemps cru plein de la plus forte e
à mettre des paroles qui forment un sens tout à fait contraire, et ce chant pourra être appliqué à ces nouvelles paroles, aus
rible Qu’un regard de mes yeux. Il n’est personne qui ne sente qu’un chant qui serait l’expression véritable de ces paroles,
pour d’autres qui présenteraient un sens absolument contraire ; or le chant que Lully met dans la bouche de l’horrible Méduse
éger, que la parodie de ces cinq vers, avec les accompagnements, leur chant et la basse. On peut être sûr que la parodie très
émonstration aussi frappante. Il n’y a donc évidemment, ni dans le chant de ce morceau, ni dans les accompagnements qui n’
rdait bien de croire que ses vers pussent être bons. On entendait des chants qu’on trouvait beaux, le chanteur ajoutait l’expr
ller plus avant, et d’en développer la cause physique. La scène et le chant de déclamation étaient l’objet principal de Lully
ts et des connaissances de ses auditeurs. Mais est-il bien sûr que le chant doit avoir par lui-même une expression, qui ajout
cette prétention n’est-elle pas une chimère ? ne suffit-il pas qu’un chant pour être bon, soit beau, facile, noble, et qu’il
tation, et ne pouvant point y avoir d’imitation sans expression, tout chant qui n’en a pas une par lui-même, pèche évidemment
les qui en manquaient, et qu’on était en possession d’admirer. 4°. Un chant , quelque beau qu’il soit, doit paraître difforme,
mais avec les premières paroles on ne chante qu’un contre-sens, et ce chant très beau devient insoutenable à qui sait connaît
causé par un coup de tonnerre. 5°. Je demande ce qu’on entend par des chants faciles ? La facilité n’est que relative au degré
aimable, etc. C’est donc dans l’expression que consiste la beauté du chant en général ; et sans cette partie essentielle, il
maintenant à examiner en quoi consiste en particulier l’expression du chant de déclamation (c’est ce qu’on expliquera à l’art
une tragédie, qu’il faut que le musicien saisisse et qu’il réduise en chant . Voyez Récitatif [Article de Rousseau]. Et comme
e doit produire un geste noble, naturel, et toujours d’accord avec le chant . Si l’opéra exige de l’expression dans tous les c
’accord avec le chant. Si l’opéra exige de l’expression dans tous les chants et dans chacune des différentes symphonies, il es
st évident qu’il en demande aussi dans la danse. Voyez Ballet, Danse, Chant , Débit, Débiter, Maître à chanter [Article non ré
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IV. Origine de la Danse, définition qui en a été faite par les Philosophes. »
es de tous ces caractères ; les uns ont été les sources primitives du Chant , et les autres de la Danse. C’est là ce langage u
espirent sur la terre. Ces sons inarticulés qui étaient une espèce de chant  ; et (si on peut s’exprimer ainsi) la Musique nat
es ébranlements aux sons dont l’âme peignait ses mouvements. Ainsi le Chant , qui est l’expression primitive du sentiment, en
t c’est cette expression qu’on a nommée Danse. On voit par là que le Chant et la Danse, que quelques Auteurs et le vulgaire
st le principe. Dès qu’il y a eu des hommes, il y a eu sans doute des Chants et des Danses. Suivez ces tendres enfants, depuis
à chanter, quoiqu’on ait dans la voix tous les sons dont se forme le chant  ; parce qu’on développe, par le secours de l’Art,
5 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
Division de l’art de la danse. Ce petit Poëme est divisé en quatre Chants , ainsi que l’Art Poétique. Le premier Chant cont
me est divisé en quatre Chants, ainsi que l’Art Poétique. Le premier Chant contient les qualités nécessaires à un jeune homm
ouis xiv, jusqu’au temps des Vestris, Gardel et Dauberval. Le second Chant présente les caractères et les règles des Danses
ur y critiquer le maintien et les défauts des danseurs. Le troisième Chant traite de la Danse théâtrale et des trois genres
on nomme, genre noble, demi-caractère et genre comique. Le quatrième Chant a pour objet l’art du Pantomime, les Ballets d’ac
ation de l’Art Poétique, ne s’est point asservi à suivre, dans chaque chant , la marche de son modèle ; au contraire, il a sou
e de son modèle ; au contraire, il a souvent transporté des vers d’un chant dans un autre, selon qu’ils convenaient à son suj
sont conservés, imités ou parodiés, et l’on a indiqué à la marge les Chants d’où ils sont pris, et leurs numéros. L’art po
Chants d’où ils sont pris, et leurs numéros. L’art poétique. Chant premier. Chant I, vers C’est en vain qu’au Pa
ont pris, et leurs numéros. L’art poétique. Chant premier. Chant I, vers C’est en vain qu’au Parnasse un témérair
i Phébus est sourd, et Pégase est rétif. L’art de la danse. Chant premier. Chant I, vers C’est en vain qu’au th
, et Pégase est rétif. L’art de la danse. Chant premier. Chant I, vers C’est en vain qu’au théâtre un novice da
t toujours captif ; Ses bras sont maladroits, et son jarret rétif. Chant I, vers O vous donc qui, brûlant d’une ardeur pé
tendrait l’asservir ; La cadence est maîtresse, il lui faut obéir. Chant I, vers Lorsqu’à la bien chercher d’abord on s’é
pour atteindre à la fin ; Excédé de fatigue, il disparaît enfin12. Chant I, vers Fuyez de ces auteurs l’abondance stérile
i des spectateurs, Il trouve en chacun d’eux autant d’admirateurs. Chant I, vers Quoi que vous écriviez, évitez la basse
r des pas terre à terre, Noblement ennuyeux, fatiguer le parterre. Chant I, vers Prenez mieux votre ton. Soyez simple ave
le public adore, C’est par-là que plaisait l’aimable Théodore 21. Chant I, vers Durant les premiers ans du Parnasse fra
r l’art confus de nos vieux romanciers. Marot bientôt après &c…. Chant I, vers De ces maîtres savans disciple ingénieu
es, 170 Dans son vieux style encore a des grâces nouvelles. &c. Chant I, vers Et montra pour rimer des chemins tout no
son heureux destin : Mais chéri du public, du succès trop certain, Chant I, vers Vit dans l’âge suivant, par un retour gr
pas vétilleux, Si, lorsque vous dansez, vous ne charmez mes yeux. Chant I, vers Travaillez à loisir, quelque ordre qui
xercer d’abord34 ; Un arc toujours tendu perd bientôt son ressort. Chant I, vers Craignez-vous pour vos vers la censure
l vous loue, et vous siffle le soir. Art poétique de Boileau. Chant III, vers Chez nos dévots aïeux le théâtre abho
ublic à Paris y monta la première ; &c. Art de la danse. Chant II. Chez nos dévots aïeux, le théâtre abhorr
uerrier patriarche5, Une harpe à la main, a dansé devant l’arche ; Chant III, vers Eschyle dans le chœur jeta les personn
ublic exhaussé Fit paraître l’acteur d’un brodequin chaussé. &c. Chant II, vers D’un trait de ce poëme, en bons mots s
races si fertile, Le français, né léger, fit la Danse de ville14 ; Chant II, vers Agréable indiscret, qui, conduit par le
ville14 ; Chant II, vers Agréable indiscret, qui, conduit par le chant , Passe de bouche en bouche, et s’accroit en march
urs y pensent arriver, Et cet heureux phénix est encore à trouver. Chant II, vers A peine dans Gombaut, Maynard et Mallev
n eut la fantaisie23, Et le Pas trop lascif de la froide Russie24, Chant II, vers L’épigramme, plus libre en son tour pl
vois de gauches ! La plupart des humains ne sont que des ébauches. Chant II, vers Au contraire cet autre, abject en son
a cadence Cet autre, en dandinant, croit prendre un air d’aisance. Chant II, vers 155 Perse, en ses vers obscurs, mais
is de l’école, Poussa jusqu’à l’excès sa mordante hyperbole. &c. Chant III, vers Mais souvent parmi nous un poète sans
et de graces, Si l’étude et le goût corrigeaient leurs grimaces ! Chant II, vers 45 Je hais ces vains auteurs dont la
au théâtre, emboucher la trompette. Art poétique de Boileau. Chant II, vers 55 …. Du tendre Ovide animant les doux
s ses fureurs un ordre didactique ; &c… Art de la danse. Chant III. Du sage Despréaux, parodiant les sons,
et sage. Qui peut mieux qu’elle enfin couronner un ouvrage4, Par ses chants variés, son aimable rondeau, Son paisible mineur,
nt le jeu mécanique Garde, dans la Chaconne, un ordre méthodique ; Chant III, vers 275 Oh ! que j’aime bien mieux cet au
ein d’adresse, Qui, sans faire d’abord de si haute promesse, &c. Chant II, vers Il faut que sa douceur flatte, chatouil
aprices heureux, C’est peu d’être danseur ; il faut être amoureux. Chant II, vers Telle qu’une bergère, au plus beau jou
iamans, Cueille en un champ voisin ses plus beaux ornemens : &c… Chant III, vers 295 On dirait que pour plaire, instr
truits par la nature, Homère ait à Vénus dérobé sa ceinture. &c… Chant II, vers Son tour simple et naïf n’a rien de fas
hant II, vers Son tour simple et naïf n’a rien de fastueux. &c… Chant III, vers Tout reçoit dans ses mains une nouvell
velle grace. Sans cesse elle nous charme, et jamais ne nous lasse, Chant II, vers D’un ton un peu plus haut, mais pourtan
vers D’un ton un peu plus haut, mais pourtant sans audace, &c. Chant III, vers 360 Auteurs qui prétendez aux honneur
portraits, 370 Dans chaque ame est marquée à de différens traits ; Chant II, vers 105 Jadis de nos auteurs les pointes i
excitant leur audace, Leur nombre impétueux s’empara de la place. Chant II, vers Le Madrigal d’abord en fut enveloppé ;
Faunes sont sauvages ; A de diverses mœurs, prêtez divers visages. Chant III, vers J’aime sur le théâtre un agréable aut
sornettes fades, Aux laquais assemblés jouer ses mascarades. &c… Chant II, vers Tout poëme est brillant de sa propre b
amour idolâtre, Gardez-vous, croyez-moi, de paraître au théâtre : Chant IV, vers 25 Son exemple est pour vous un préce
commun, ou qu’un danseur vulgaire ». Art poétique de Boileau. Chant III, vers La tragédie, informe et grossière en
u plus affreux objet fait un objet aimable. Art de la danse. Chant IV. L’art de la Danse, informe et grossier e
t l’artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable. Chant III, vers 5 Ainsi, pour nous charmer, la Tragéd
t de scène en scène, A son comble arrivé se débrouille sans peine. Chant III, vers Vos froids raisonnemens ne feront qu’a
plaire, il se replie, Que tantôt il s’élève et tantôt s’humilie ; Chant III, vers Et que tout ce qu’il dit, facile à ret
ns la fatale barque, Passe l’humble berger, ainsi que le monarque. Chant III, vers La fable offre à l’esprit mille agrém
et comique12, Qu’un sombre et froid ballet, soi-disant héroïque13 Chant III, vers Qui dans leur sombre humeur se croirai
aire affront. Si les graces jamais leur déridaient le front. &c… Chant I, vers 175 C’est peu qu’en un ouvrage où les
rties 180 N’y forment qu’un seul tout de diverses parties ; &c. Chant III, vers Ne faites point parler vos acteurs au
sques grimaces14 Je ne reconnais plus l’auteur des trois Horaces. Chant III, vers Unpoëme excellent, où tout marche et
pénible ouvrage Jamais d’un écolier ne fut l’apprentissage. &c. Chant IV, vers 125 Travaillez pour la gloire, et qu’
jeune élève ? A l’air gauche ou commun n’accordez point de trêve ; Chant IV, vers Auteurs, pour les chanter redoublez vo
e ; Plus enclin à blâmer, que savant à bien faire. fin du quatrième chant de l’art poétique. De l’éducation la Danse est
essus, même page. 1. Imitation du vers 300 de Boileau, Art poétique, Chant  3. 1. Voltaire. 2. Voyez les Poétiques d’Arist
1754. Cahusac en fait le plus grand éloge, ainsi que Dorat, dans son chant sur la Danse, du poëme de la Déclamation. 28.
xécuté par mademoiselle Guimard et M. Pic. Voyez la note 4 du premier chant . …… Un baiser cueilli sur les lèvres d’Iris, Qui
bien, en te perdant, Terpsicore a gémi ! Voyez la note 31 du premier Chant . 8. Passe-pied ; air à trois temps. C’est une
udissemens du public. 5. Pierre Gardel. Voyez la note 6 du premier chant . Noverre, célèbre maître de ballets ; ses Lettre
fleurs : Il dotait la jeunesse en lui gagnant les cœurs ». La Danse, Chant 4 du poème de la Déclamation de Dorat. 17. Mar
l ne fit jamais d’écolier pour le théâtre. Voyez la note 16 du second Chant . 18. « Sans le goût, même avec du talent, il ne
6 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
mblés et arrangés avec tant de promptitude, supposent une habitude du Chant et de la Danse, fort antérieure au moment de l’ex
je ne crois pas qu’on puisse douter de la multitude des Danses et des Chants en usage chez le peuple Juif 17. On voit d’ailleu
ent donné le nom de Chœur. Cette partie était toujours occupée par le Chant et la Danse, qu’on y exécutait avec la plus grand
7 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
ès ces deux danses, ils s’arrêtaient pour chanter : ils nommaient ces chants épodes [voir « Apodes »] Par-là ils représentaien
a seconde : les mouvements la troisième : la Musique qui comprend les chants , les ritournelles, et les symphonies, est la quat
mour déchire son bandeau ; il appelle la lumière, et l’engage par ses chants à se répandre sur les astres, le ciel, l’air, la
oration et Machine [Article de Mallet] Les personnages d’ailleurs du chant et de la danse en étaient presque toujours rempli
elégué dans les collèges. Voyez Ballets de Collège. A l’Opéra même le chant prit le dessus. Il y avait plus de chanteurs que
forment des actions séparées avec un ou deux divertissements mêlés de chants , et de danses. La tragédie lyrique doit avoir des
es. La tragédie lyrique doit avoir des divertissements de danse et de chant , que le fonds de l’action amène. Le ballet doit ê
le fonds de l’action amène. Le ballet doit être un divertissement de chant et de danse, qui amène une action, et qui lui ser
agréable aux Français. La variété qui y règne, le mélange aimable du chant et de la danse, des actions courtes qui ne saurai
ait appris ses chansons ; on les chantait, et on représentait sur ces chants les aventures, les douleurs d’Eriphanis, par des
fférentes impressions : c’est ce qu’on a nommé geste. Voyez Geste. Le chant si naturel à l’homme, en se développant, a inspir
i en ont été frappés, des gestes relatifs aux différents sons dont ce chant était composé : le corps alors s’est agité, les b
ents, des attitudes aux sons dont l’oreille était affectée : ainsi le chant qui était l’expression d’un sentiment (Voyez Chan
ffectée : ainsi le chant qui était l’expression d’un sentiment (Voyez Chant ) a fait développer une seconde expression qui éta
voix et le geste ne sont pas plus naturels à l’espèce humaine, que le chant et la danse ; et que l’un et l’autre sont, pour a
ont donné lieu. Dès qu’il y a eu des hommes, il y a eu sans doute des chants et des danses ; on a chanté et dansé depuis la cr
chanteront et danseront jusqu’à la destruction totale de l’espèce. Le chant et la danse une fois connus, il était naturel qu’
8 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »
la Musique et la Danse des Grecs et des Romains. Il prétend que leur Chant n’était point un Chant, et que leur Danse n’était
des Grecs et des Romains. Il prétend que leur Chant n’était point un Chant , et que leur Danse n’était point une Danse. On n
ère à peu près que l’on chante et danse sur le nôtre ; mais comme les chants et les danses de son temps ne lui paraissaient av
araissaient avoir qu’un rapport très éloigné avec les prodiges que le Chant et la Danse ont opérés autrefois à Rome et dans A
dait, et les pas qu’il voyait faire étaient la perfection possible du Chant et de la Danse. 2°. Qu’il fallait indispensableme
2°. Qu’il fallait indispensablement que ce que les Anciens appelaient Chant et Danse fût toute autre chose que ce que nous no
système et par un mot nouveau qui n’a pas fait fortune. Il appela le Chant des Anciens Récitation et leur danse Saltation. O
e inadmissible. Premièrement les parties mécaniques de la Musique, du Chant et de la Danse des Grecs et des Romains étaient é
ans10 que tous les airs de Ballet étaient un mouvement lent, et leur chant , s’il m’est permis d’user de cette expression, ma
9 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 novembre : Les Amours de Diane et d’Endimion — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 14 novembre 1671 »
ettre une Bête aux abois, Et les exorte d’importance, À joindre leurs Chants , et leur Danse Pour lui plaire, et la divertir, C
c leur Sire, Et les Bergers, pour vous tout dire, Viennent, par leurs Chants , et leur Pas, De ce Couple rempli d’Appas, Célébr
de Sablière,162 D’intelligence singulière, En la Musique, a fait les Chants , Tout de même, en très-peu de temps. Leviez, dont
admiration. Sa Diane, chose certaine, Est une petite Syreine, Dont le Chant est beaucoup chéri, Qu’on nomme Mad’moiselle Aubr
10 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
il avait créé : mais comme elle était encore à son enfance, et que le chant avait fait de plus grands progrès ; que Lully se
ène. Quinault était donc astreint à couper ses poèmes de façon que le chant de déclamation (alors on n’en connaissait point d
ace d’environ deux heures et demie ; mais à mesure qu’on a trouvé des chants nouveaux, que l’exécution a fait des progrès, qu’
i par les divertissements, les chœurs, les mouvements du théâtre, les chants brillants, etc. sans cela l’ennui est sûr, et la
qu’on exécute sur le théâtre ou en concert ; et les danses mêlées de chant , qu’on place quelquefois à la fin des comédies de
mière espèce. On donne ce nom plus particulièrement aux danses et aux chants , qu’on introduit épisodiquement dans les actes d’
ai fond des différentes entrées du ballet : telle est son origine. Le chant , dans ces compositions modernes, occupe une parti
dans les anciennes : pour être parfaites, il faut que la danse et le chant y soient liés ensemble, et partagent toute l’acti
c pour former une bonne entrée de ballet, 1°. Une action : 2°. Que le chant et la danse concourent également à la former, à l
ns plus limité, est un divertissement en dialogue ou en monologue, en chant ou en danse, ou enfin mêlé de l’un et de l’autre,
les spectateurs qui s’en amusent. Les Grecs avaient des entractes de chant et de danse dans tous leurs spectacles : il ne fa
MM. Rebel et Francœur qui en ont fait la musique, ont répandu dans le chant une expression aimable, et dans la plupart des sy
11 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7
vec la voix, ou sur un instrument quelconque. En Italie, la partie du chant domine tellement sur toutes les autres, que la sy
ale y est souvent négligée, je veux dire moins estimée. En France, le chant proprement dit, la symphonie, la partie dramatiqu
un motif pour être chassé du théâtre. En Italie, quoiqu’on y aime le chant presqu’exclusivement, on n’y fait aucune attentio
12 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre ii. sur le même sujet. » pp. 116-121
e dire, je citerai la Henriade. Ce beau poëme est divisé en plusieurs chants  ; chacun d’eux offre des scènes variées, des sent
variées, des sentimens, des passions et des intérêts divers. Tous ces chants présentent à l’imagination une foule de tableaux
tent à l’imagination une foule de tableaux peints par le génie, et de chant en chant, on arrive au dénouement : hé bien, une
imagination une foule de tableaux peints par le génie, et de chant en chant , on arrive au dénouement : hé bien, une fête est
13 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
eu nous dit que le rithme est ce que l’on nomme modulation, et que le chant , seul est assujetti au noté ou ton. Ou Quintillie
ir pour nous le même sens ; car la modulation est ce qui constitue le chant , et le ritlnne, le mouvement de ce chant. Les aut
tion est ce qui constitue le chant, et le ritlnne, le mouvement de ce chant . Les auteurs anciens prétendent que la déclamatio
Les auteurs anciens prétendent que la déclamation sécrivoit comme le chant musical, et que les signes de cette espèce de cha
écrivoit comme le chant musical, et que les signes de cette espèce de chant étoient des accens, qui tous avoient leurs tons e
anciens ; comme elle, il est sans harmonie ; il n’est ni musique, ni chant , ni langage et provoque le public à l’ennui, et a
14 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
ficateurs à la tête du Sacerdoce, dansoient une danse caractérisée au chant d’un hymne qui exprimoit les vœux du peuple. L’Hi
ieu : elle consistoit parmi eux à danser des danses caractérisées aux chants des Cantiques, des Hymnes & des Pseaumes à la
seulement Jérusalem, mais qu’il lui remettra ses anciennes fêtes, ses chants , ses cérémonies, & ses danses. Les Juifs célé
t jours comme une réjouissance publique, qui consistoit en danses aux chants des Cantiques & des Hymnes à la louange de Di
mp; où l’on dansoit aussi quelquefois il n’y a pas fort longtems, aux chants des Cantiques & des Hymnes de réjouissance :
ille des grandes fêtes, au-devant des Eglises, pour danser en rond au chant des Hymnes & des Cantiques du Saint dont l’on
dium. La danse des Processions se faisoit avec une marche cadencée au chant des Cantiques, en conduisant les victimes à l’aut
crificateur à la tête du Sacerdoce, dansoit une danse caractérisée au chant d’une Hymne qui exprimoit les vœux du peuple. Les
danse Sacrée des Hébreux consistoit à danser des danses composées au chant des cantiques, & des hymnes à la louange de D
15 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
Avant-propos « Le chant , si naturel à l’homme, ne pouvant manquer de le s
, aux sons dont les oreilles étaient frappées ; et c’est ainsi que le chant , qui était l’Expression d’un sentiment, en a fait
et. Telles sont ses deux causes primitives : « On voit par là, que le chant et la danse ne sont pas moins naturels à l’homme
onné lieu. Depuis qu’il existe des hommes, il y a eu, sans doute, des chants et des danses ; on a chanté et dansé depuis la cr
. » (Dizionario delle Arti e de’ Mestieri del Griselinia .) [1] Le chant et la danse une fois connus, ces arts servirent à
16 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
e invention est un des plus admirables efforts de l’esprit humain. Le Chant ajoutait et devait ajouter de la force, un charme
saient chanter et danser ; mais il n’y avait aucun rapport entre leur chant et leur danse. Ce vice fut d’autant plus inexcusa
Cyrus, etc. qui exécutent sur les Théâtres d’Italie non seulement ce chant simple des Grecs, mais encore ces morceaux forts
ables, quelquefois même ravissants et sublimes. Le charme d’un pareil chant fait oublier apparemment ce défaut énorme de bien
ce premier aspect que s’offrit à son esprit un Spectacle Français de Chant et de Danse. D’abord le merveilleux fut la pierre
p ressemblantes à la vie commune, pour que, dans nos mœurs reçues, le Chant , la Musique et la Danse ne forment pas une dispar
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
let fut pour toujours relégué dans les Collèges, et à l’Opéra même le Chant prit tout à fait le dessus. On avait plus de Chan
a mort même n’avait rien fait pour sa gloire, imagina un Spectacle de Chant et de Danse formé de plusieurs actions différente
rents qui représentent chacun une action mêlée de divertissements, de Chant et de Danse. Ce sont de jolis Vateau [Watteau], d
18 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « [Épigraphe] »
[Épigraphe] C’est en vain qu’aujourd’hui des chants mélodieux Sur la Scène appellent les Grâces, Si l
19 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique ancienne »
Sur la musique ancienne Epodes Epodes, (Musique.) chant des anciens chœurs des Grecs, qu’ils exécutaient
20 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
qui ont porté le goût, la précision, l’expression, et la légèreté du chant , à un point de perfection qu’avant eux on n’avait
it ces morceaux saillants, dont cet illustre compositeur a enrichi le chant Français. Les petits Musiciens se sont d’abord él
ts Musiciens se sont d’abord élevés contre ; plusieurs admirateurs du chant ancien, parce qu’ils n’en connaissaient point d’a
e la barbarie de leurs pères. Voyez Castrati [Article de d’Alembert], Chant , Chantre, Exécution, Opéra [Article de Jaucourt]
21 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
er à l’autre bord. Inspiré par l’Amour, il tourbe sa Lyre divine. Ses chants tendres et mélodieux dérident le front sourcilleu
inités. Il les supplie de lui rendre sa chère Euridice, et mêle à ses chants les accords enchanteurs de sa lyre : Pluton est é
oissance, et la cour du Dieu des Enfers se livre à des danses que les chants d’Orphée animent. Cinquième partie. La déc
eurs pampres des guirlandes ; les oiseaux s’empressent, à répéter les chants d’Orphée ; des bergers et des Bergères quittent l
22 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20
des principes de l’harmonie, et de l’ordre dans leurs imitations. Les chants jusqu’alors vagues, insignifiants, et barbares, f
armonieux contribuèrent sans doute à la naissance de la mélodie ; ses chants délicieux eurent vraisemblablement la simplicité,
ablement la simplicité, et l’ingénuité de son enfance. La mélodie, ce chant naif, et touchant qui n’emprunte rien de l’art et
incipes ; mais par succession de tems, il donna plus de variété à ses chants  ; il en marqua les phrases par des signes, qu’il
es. Le premier homme qui eut l’idée heureuse d’adapter des paroles au chant fut sans contredit le premier versificateur du mo
23 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VII. Des Ballets Bouffons »
uvrait toujours leurs fautes. Pendant ce Dialogue mêlé de Danse et de Chant , une Femme maltraitée par des Avocats, des Procur
ils sont bâtis, pour se livrer sans réserve aux détails agréables, au Chant d’expression, aux traits multipliés de naturel et
24 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre V. Premier emploi de la Danse »
Chapitre V. Premier emploi de la Danse Le Chant et la Danse une fois connus, il était dans la nat
25 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 août 1664 »
ompte les coeurs à tout moment, Par le rare et double avantage De son chant et de son visage, Jouèrent si bien leur rôlet Dan
26 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
tion du Plan primitif de l’Opéra Français132 C’est un Spectacle de Chant et de danse que Quinault a voulu faire ; c’est-à-
anse de la Grue] ; qu’on les suppose pour un moment exécutées sur les chants des chœurs, et sur des symphonies relatives au su
Tel est le dessein de Quinault, et quel dessein pour un Spectacle de Chant , de Musique et de Danse ! Tout ce que la Magie a
r Coupe, Entracte, Entrée] Supposons un pareil dessein exécuté par le Chant , la Danse, les Symphonies, la Décoration, les Mac
27 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 janvier. Quelques danses sur des airs populaires espagnols. »
nous désennuyer pendant que la danseuse change de costume, le tour du chant . Nous aurions préféré rester à attendre tranquill
28 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre V. Des Ballets Allégoriques »
é assujettis ; il appela la lumière et l’engagea par les plus tendres chants à se répandre sur les Astres, le Ciel, l’Air, la
29 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
r des Hymnes en l’honneur d’Apollon. Tout le Peuple répondait à leurs Chants , et applaudissait à leurs Danses. Un autre jour l
empérance. Si l’on entrait dans les Temples, on n’y entendait que des Chants , on n’y voyait que des Danses : ce culte journali
30 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — X » p. 139
: par nature, elle l’arrête, elle la fixe. Le cri est le contraire du chant , et jusqu’à un certain point le dialogue même. Dè
31 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VI. Des Mascarades »
e que d’en changer l’objet principal en substituant maladroitement le Chant à la Danse. Cette espèce de composition Théâtrale
32 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 février. Danses de Mlle Ellen Sinding et M. Iril Gadescow. »
merveille les drames d’Henrik Ibsen. Ce théâtre n’a pas de troupe de chant et de danse régulière, mais j’y ai entendu avant
33 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — IV » p. 136
elles figures mimer les êtres ou l’action, et qu’on entendît de beaux chants , sans qu’ils fussent visibles. Wagner n’est pas t
34 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
e s’avisera de citer comme une preuve de goût de notre nation pour le chant , ces insipides rapsodies dont les Troubadours mod
tems ont acquis le droit de passer à la postérité ? on a abandonné le chant et la mélodie enchanteresse de Piccini. Que conse
35 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »
it un Danseur. Il prétend qu’il s’agit dans le passage d’Athénée, des Chants modestes et des Danses philosophiques, qu’on nomm
36 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Preuves de la possibilité de la Danse en action »
la Danse est composée comme elle. [Voir Geste, Geste (Danse), Geste ( Chant du Théâtre)] Mais la Peinture n’a qu’un moment qu
37 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
ployés, et coûtait chaque année 67,050 livres. Les premiers sujets du chant recevaient chacun 1,500 livres par an ; les premi
tomber à ses pieds es couronnes, que toute néophyte de la danse ou du chant jette préalablement le mouchoir à celui-ci ou à c
de sa mère, se prendra à rêver un monde d’amours, de coquetteries, de chants , de parfums à faire descendre un saint du ciel po
38 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VI. Des Ballets Moraux »
près une ouverture d’un beau caractère, on entendit un grand chœur de Chant et de Danse, qui était composé des Faux-bruits et
39 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre première. À Voltaire. » pp. 2-7
de passions ; elles sont l’organe de l’acteur pantomime. Le neuvième chant de la Henriade m’offre une carrière vaste dans la
ns l’éloignement, et exprimeront toute leur fureur. Ici, Monsieur, le chant finit par ce qu’il devoit finir ; mais un ballet
40 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
ils s’entraident réciproquement et se prêtent de mutuels secours ; le chant , dans plusieurs circonstances, en emprunte à la d
es, en emprunte à la danse : elle peut donc à son tour en demander au chant  ; j’usai de celte complaisance réciproque ; elle
allets, de lui f’aire faire tous les gestes propres à l’expression du chant et de combiner la chose de manière à persuader au
41 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
pellerons opéra « une pièce de théâtre en vers, mise en musique et en chants , accompagnée de danses, de machines et de décorat
; qu’on délibère en chantant dans un conseil ; qu’on exprime avec des chants les ordres qu’on donne, et que mélodieusement on
650, Pierre Corneille donna Andromède, tragédie en machines, avec des chants et musique ; elle fut aussi représentée sur le th
s appointemens ne dépassait pas 67,050 livres. Les premiers sujets du chant avaient chacun 1,500 livres ; les premiers danseu
Musique : elle y substitua celui d’Opéra 2. Les noms des artistes du chant et de la danse qui prenaient part à la représenta
composée par Gardel et Gossec, avait été faite exprès pour amener le chant républicain : Allons, enfans de la patrie. Toutes
e ; Wenzel ou le Magistrat du peuple. Si l’on joint à ces œuvres : le Chant des vengeances, par Rouget-Delisle ; le Chant tri
joint à ces œuvres : le Chant des vengeances, par Rouget-Delisle ; le Chant triomphal pour la pompe funèbre du général Hoche 
le drame a pu se plaindre du rhythme d’une déclamation ampoulée ; le chant peut regretter quelques exagérations d’habitudes
t traîné le char de Napoléon-Trajan, l’Opéra qui avait interrompu ses chants et son récitatif pour célébrer la naissance du fi
Cinti-Damoreau est la première femme qui ait été nommée professeur de chant . Cette nomination est de 1833. 4. Les effets de
a Tentation a suivi les erremens du Dieu et la bayadère. La danse, le chant , le spectacle et les décors se mêlent intimement
42 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VII. Principes Physiques du vice de l’Exécution primitive de l’Opéra Français. »
ui paraisse étrange et contraire même à une action tragique, c’est le chant . N’en déplaise aux Inventeurs des Tragédies en Mu
43 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 janvier. Trois vedettes. »
rale. Récemment, à Séville, Manuel de Falla a organisé un concours de chants andalous ; les « cantaors » amateurs se sont asso
44 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 février 1661 »
n la voie, Avait un air noble et touchant Dans son visage et dans son chant . Et cette inimitable Hilaire, Qu’autre part on no
45 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
, c’est la même ballade ; qui dit l’un, dit l’autre. Trilby, c’est le chant du poète ; la Sylphide, c’est le cadre du tableau
uand elle passe, la fleur s’affaisse sur sa tige, l’oiseau arrête son chant commencé ; la jeune fille pâlit, le jeune homme l
des rires glapissants et féroces, des éclats de voix singuliers, des chants qui paraissent appartenir à un autre monde, tant
ours nouvelle ; nul effort, nulle gêne, tout cela lui venait comme le chant vient à l’oiseau ; et quand elle s’arrête enfin,
46 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre V. » pp. 32-39
its de la musique, qui fixent et déterminent tous ceux du danseur. Le chant des airs est-il uniforme et sans goût, le ballet
t des airs est-il uniforme et sans goût, le ballet se modèlera sur ce chant  ; il sera froid et languissant. Par le rapport in
47 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques »
esurés au son des fifres et des tambours ; elle ne respirait dans ses Chants , dans ses mouvements, dans ses attitudes que la l
48 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre I. Naissance du Théâtre »
ontinuant. Elle représentait une action étrangère à la Pièce, sur des Chants qui lui étaient relatifs. Tels furent les Chœurs
49 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 4 décembre. Grands mots, petites danses. »
ns le programme des indications comme celle-ci : Polonaise de Chopin, Chant homérique (inspiré par le Michel Angello). À elle
50 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
Outre trente actions célèbres, On y vit des Pompes funèbres, Avec des chants si musicaux, Qu’on les estimait sans égaux. Les
51 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
ours : après les deux danses ils s’arrétoient pour chanter, & ces chants fixes se nommoient Epodes, parce qu’ils représent
des Indes Occidentales, n’avoient point d’autre culte que la Danse au chant des hymnes, pour marquer leurs respects à leur Di
a mer du Sud, où les insulaires adorent la Lune, & changent leurs chants & leurs danses en lamentations, quand ils la
on tems par des caracteres, de la même maniere qu’un Musicien note le chant & les airs ; on ne le trouve plus, ou du moin
52 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
ières expressions du sentiment données à l’homme par la nature. Voyez Chant , Voix [Article de Rousseau], Danse, Déclamation.
tions près, fut et sera toujours la même. Les sons ont fait naître le chant , et sont par conséquent la cause première de tout
t la cause première de toutes les espèces de Musique possibles. Voyez Chant , Musique [Article de Rousseau]. Les gestes ont ét
53 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
eauté des fleurs et des fruits qui sont dans les jardins ; écoutez le chant et le ramage si varié des oiseaux ; allez visiter
ns la douce espérance de posséder Dieu. Nul récit, nulle musique, nul chant , (j’ajoute nulle danse) ne tient devant ce plaisi
54 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
la première fois, depuis mon malheur, quelque mouvement de joie. Mes chants ont changé avec les sentiments de mon cœur. Une f
55 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettre en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 décembre 1666 »
sante encore, Étant Maîtresse, de tout temps, Des rustiques Danses et Chants , Huit FEMMES SAUVAGES et FAUNES, Qui montrent à m
56 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
ns examen et sans obstacle. La Fête commence. Un saint zèle dicte les Chants , et anime la Danse. Toute la troupe est déjà remp
57 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
arthénon, dans un splendide ensemble, les modulations des flûtes, les chants des chœurs et les pas cadencés de magnifiques typ
58 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
uses. Le pianiste de la Cour m’avait, entre temps, initiée à quelques chants de Carmen Sylva, et ce fut par l’expression mimée
ts de Carmen Sylva, et ce fut par l’expression mimée et dansée de ces chants que la soirée commença. Il était neuf heures. A u
59 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 novembre. Échos du temps passé. Éloge de Rameau. »
, qui s’incorporent admirablement à l’ensemble dansé. D’ordinaire, le chant et la danse apparaissent représentés par deux rac
60 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Introduction »
ue les airs de danse sont composés de phrases musicales courtes, d’un chant agréable et parfaitement cadencé ; que les repos
61 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
d. — Son objectif. — Le paradis perdu. — Carlotta à Milan. — Entre le chant et la danse. — Un mariage de raison. — Anténor Jo
e, mon enfant, lui disait la Malibran, quitte la danse ; travaille le chant , tu as de la voix, tu auras du talent, tu me remp
t à ces études de danse à outrance, Carlotta n’avait pas abandonné le chant . Elle chantait pour se reposer. Il était, en effe
beaucoup à ce que son élève reçût des leçons des meilleurs maîtres de chant . Quoique surnommé l’Aérien, il daignait, au besoi
e Leroux ; la place était vacante. Plongé dans son admiration pour le chant , M. Pillet ne s’apercevait de rien ; le succès de
62 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 juin. Lettre à Mlle ***, de l’Opéra. »
me élément tectonique ! L’expression règne en maître. Ou bien, sur un chant du Volga, vous figuriez le geste laborieux et sac
63 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 30 octobre. Le danseur et le préjugé au travesti. »
is et de Duport divisait Paris et suscitait des poèmes épiques en six chants . La danse féminine, enrichie et transformée par l
64 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 avril. Pour une danseuse morte. — Anniversaire. – Bilan. »
asses et les ombres d’une cathédrale baroque, une fugue de Bach ou le chant d’un rossignol.
65 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
s prévenions la face ou l’arrivée du Seigneur ? C’est, dit-il, par le chant des psaumes, et non par des divertissemens ridicu
t des psaumes, et non par des divertissemens ridicules : c’est par le chant , non des cantiques du diable, qui sont les mauvai
des instrumens pour nous divertir ; mais chantons les psaumes  : ce chant met en fuite les démons. « Mais, où il y a des da
66 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Traduction des passages italiens parsemés dans cet ouvrage » pp. 115-118
es danseurs peuvent, sans avoir besoin de l’harmonie (c’est-à-dire du chant ou du son d’un instrument), exécuter leurs imitat
67 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Une grande danseuse russe. Mme Véra Tréfilova. — Émotion et abstraction. — Mélodie continue. — Exotisme transposé. — Deux Moscovites : Novikoff, Clustine. »
vre ? Plutôt un bibelot, mais où se reflète un art souverain. Dans le Chant du Marchand hindou de Rimsky-Korsakoff, ce sont d
68 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29
he du poëme ; et l’on mit sur les airs les paroles qui convenoient au chant  ; on en supprima et on en ajouta qui n’avoient po
69 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
ménage Pluque. Il paraît qu’elle a de la voix et qu’elle travaille le chant à ses moments perdus. Toutefois, musicalement par
ier, une petite « élève des quadrilles » remplaçant la prima donna du chant  ? Certes, oui. Qui n’a remarqué, dans l’apothéose
e Desprez. Il paraît qu’elle a dû un instant quitter la danse pour le chant . J’ai cherché à me renseigner sur ses chances de
70 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96
oût ; mais il en ajoute de modernes aux vieux-opéra, et substitue aux chants simples et monotones de la musique de Lulli, des
a, dis-je, ne peut plus s’ajuster avec cette musique tranquille et ce chant uniforme qui règne dans la composition des ancien
en, Monsieur, la danse sans musique, n’est pas plus expressive que le chant sans paroles : c’est une espèce de folie ; tous s
ns ces sortes de morceaux, et pour leur donner un caractère neuf ; ce chant monotone dont il devroit se défier, qui assoupit
71 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194
, il en ajoute encore de modernes aux vieux Opéra & substitue aux chants simples & monotones de la musique de Lully, d
dis-je, ne peut plus s’ajuster avec cette Musique tranquille & ce chant uniforme qui regne dans la composition des ancien
ien, Monsieur, la Danse sans Musique n’est pas plus expressive que le Chant sans paroles ; c’est une espece de folie, tous se
ces sortes de morceaux & pour leur donner un caractere neuf ; ce chant monotone dont il devroit se défier, qui assoupit
72 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 janvier. Esquisse pour un portrait de Mlle Camille Bos. — les Ballets Léonidoff. — « l’automne » et les « chansons arabes ». »
sans se confondre avec elles, aux lourdes et grotesques évolutions du chant , aux ineffables poncifs du spectacle lyrique. Le
73 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
e ne s’attachent point à ce jeu muet : leur diction sera froide, leur chant sera languissant, leurs gestes seront insignifian
74 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
nder du secours dans nos besoins, des historiettes ou des fables, des chants de triomphe, des lamentations, des plaintes, que
’Homere : car Aristocles écrivant des Chœurs de la Tragédie, mêlez de chants & de danses, donne le nom d’Homéristes à ces
nchanté d’Armide, des Amours déguisez en Bergers, tâcherent par leurs chants , leurs danses & le son de leurs instrumens, d
75 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
le corps : c’est pour cela que les anciens avoient des airs & des chants convenables aux passions. Ce sont ces mouvemens q
76 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194
nt marquées ; & l’on voit une espece de clef comme pour mettre en chant  ; desorte que l’on diroit qu’il ne manque que la
77 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108
brillant de leur voix, soit enfin par le goût et l’expression de leur chant . Indigne de mettre une main prophane à l’encensoi
78 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -
lets, & qu’il avoit un peu de voix & beaucoup de goût pour le chant , il entreprit de faire ce rôle, & le remplit
79 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
alors emploiyoit les couleurs tendres et aimables de la mélodie ; ce chant simple, et touchant qui ne frappe l’oreille que p
80 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
ns se remuer, dansoient autrefois en chantant. » Voila encore le mot chant à la place de déclamer et celui de danse substitu
81 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE V. » pp. 61-77
s de la musique qui fixent & déterminent tous ceux du danseur. Le chant des airs est-il uniforme & sans goût ? le Bal
82 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
e, mais beaucoup plus grande et plus honteuse ; car on trouve dans le chant un plaisir qui est souvent utile et saint, puisqu
qu’on y donne à ses mains, à ses yeux et à sa langue, la mollesse du chant et les ténèbres de la nuit, pendant laquelle les
83 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XV. » pp. 150-159
tes sages qui convenoient au genre de musique propre à la danse ; ses chants étoient simples et nobles : en évitant la monoton
84 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
œurs arrangés avec tant de promptitude, la facilité avec laquelle les chants et la danse furent exécutés, supposent une habitu
es Juifs donnaient le nom de chœur, Cette partie était occupée par le chant et la danse, qu’on y exécutait avec la plus grand
85 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
eut souffrir ni les danses, ni les instrumens qui les animent, ni les chants mous et dissolus, ne pourra guère dans la suite f
86 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
modulations favorites, à la tournure uniforme de son harmonie et aux chants familiers de sa mélodie. Son génie ne le transpor
87 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
qu’à ce que Fanny eût gagné la place qui lui était réservée. Après le chant des cantiques, le pasteur monta en chaire. Son su
une solennité nettement allemande au cours de laquelle on entonna le chant célèbre d’Arndt : Quelle est la patrie de l’Allem
se moquait des soirées musicales où il était convié. Il comparait le chant des dames américaines au son que l’on obtient lor
88 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
er à ses fins, réclamant de tout son personnel, depuis les gloires du chant et de la danse jusqu’au plus humble musicien de l
ns, j’écoutais les siennes : il appréciait, il jugeait tout, danse et chant , suivant ses impressions personnelles. Je me surp
89 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413
t’adore, et ce serait un tourment pour moi de contenir le souffle de chants qui s’agite dans mon cœur. » Ce n’est point dan
en des jours sombres où le malheur de Venise devrait lui inspirer des chants austères. Qu’on lui pardonne son hymne ! C’est la
une ode aux Italiens, Agl’ Italiani, les fils s’empoisonnent avec le chant tout-puissant et le docile glissement des mouveme
90 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
n Lenoir va jusqu’à prendre les formes de l’adoration religieuse. Son chant a les allures d’une hymne d’église. Les invocatio
tes la Terpsichore terrestre ; Solera lui dédiait un de ses meilleurs chants lyriques. Cincinnato Baruzzi sculptait sa statue 
91 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
es Pantomimes, qui s’exprimoient par les gestes, & ensuite par le chant & par des tableaux. Mais les Comédiens Franço
92 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
on, ne seroit pas contente qu’on lui fît un mérite d’exceller dans le chant et dans la danse. » Sur quoi M. Rollin cite l’exe
93 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
facilement dépensé… On appelait filles de magasin les demoiselles du chant et de la danse, qui, n’ayant pas achevé leurs étu
94 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39
ir souvent en équilibre ; car sans cela on le perdrait. Dans l’art du chant la chose est différente ; une belle voix, de la f
95 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
bsence de la note sympathique qui manque à la première gamme de leurs chants . Il y avait aussi prescription contre Camoëns, qu
nt peut-être un jour à la voix de nos sirènes. Mais, en attendant ces chants harmonieux, la Lorette ne peut rester à l’abri de
une fois cinq, six gendarmes Qu’avaient un bon rhume de cerveau… Ces chants si purs sont lancés par les brises occidentales j
96 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
agédie de Pierre Corneille, mêlée de musique et de danse, et ornée de chants , de décorations et de machines. Le Marquis reçut
97 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
préviens le public que je ne me suis servi que des 2ème, 3ème et 4ème chants du poème, et que j’ai été contraint de renoncer à
98 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
neur de nous enchanter. Non, que tes charmes s’unissent Aux vers, aux chants qui remplissent L’Opéra.Le Spectacle que je vois
99 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
t plaisir aux folies qui s’y faisoient ». chapitre VIII. Parlant des chants dont les danses sont souvent accompagnées, ils re
100 (1927) Paul Valéry philosophe de la danse
de la « Naissance de la tragédie » évoquant le délire d’Isolde, ce «  chant de cygne métaphysique. » Le « tout bruissant » me
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