la musique qui veut que l’on presse ou ralentise selon la qualité du
chant
et du mouvement de la mesure. Le vrai mouvement é
u trait. Ils se trompent : le danseur observe la mesure, mais suit le
chant
; ce qui fait qu’il est susceptible de se tromper
dans les contredanses où les traits ne sont pas bien détachés par le
chant
. Ce défaut dans la composition est beaucoup multi
; et d’autres enfin voudraient que la mesure terminât entièrement le
chant
pour se rencontrer avec le danseur qui suit cette
i serait extrêmement convenable, par la raison que le danseur suit le
chant
qui, par ce moyen, lui fait observer la mesure, d
te que les musiciens soutiennent les tems de la mesure qui termine le
chant
, parce que c’est toujours sur le dernier tems que
oujours sur le dernier tems que retombe le danseur, puisqu’il suit le
chant
sans avoir égard à la distinction des tems de la
ure. C’est par cette raison que le danseur se règle sur la qualité du
chant
, et que lui, le musicien et le maître de danse so
bien en faisant le fa dièse, ou le si bémol. (S) On a fait un art du
chant
; c’est-à-dire que des observations sur des voix
uelque mauvais que soit l’organe, ou quelque peu agréable que soit le
chant
qu’il forme, l’action qui en résulte alors est to
t le chant qu’il forme, l’action qui en résulte alors est toujours un
chant
. On chante sans articuler des mots, sans dessein
le moins de part. Un muet donne des sons, et forme par conséquent des
chants
: ce qui prouve que le chant est une expression d
e des sons, et forme par conséquent des chants : ce qui prouve que le
chant
est une expression distincte de la parole. Les so
les sensations de douleur ou de plaisir. De là il est évident que le
chant
a son expression propre, indépendante de celle de
s sujets qui composent cette académie devraient donc exceller dans le
chant
, et nous ne devrions trouver entre eux d’autres d
t toutes les fois que l’effort se montre, l’agrément disparaît. Voyez
Chant
, Chanteur, Maître à chanter [Article non rédigé],
Débit Débit, s. m. (Musique.) manière rapide de rendre un rôle de
chant
. Le débit ne doit jamais prendre sur l’articulati
doit jamais prendre sur l’articulation ; il est une grande partie du
chant
français : sans le débit, la scène la mieux faite
e languit et paraît insipide. La lenteur est un des grands défauts du
chant
français de scène, qu’on nomme aussi déclamation.
e de monotonie dont il ne saurait se défaire, parce que les traits de
chant
qui le composent sont peu variés. Le plaisir et l
conséquence lorsqu’on les a trouvées. Le débit diminue la langueur du
chant
, et jette du feu dans l’expression ; mais il faut
ncer. Mademoiselle Le Maure n’avait point de débit, la lenteur de son
chant
était excessive ; mais l’éclat, le timbre, la bea
er un rôle avec rapidité, en observant les temps, en répandant sur le
chant
l’expression, les nuances nécessaires ; en faisan
lgré tout cela ne débitait point, parce qu’elle ne nuançait point son
chant
, et qu’elle manquait de justesse. Elle a fait pen
une partie essentielle à l’acteur ; et débiter est rendre un rôle de
chant
avec rapidité, justesse, expression, grâce et var
Déclamation Déclamation, (Musiq.) c’est le nom qu’on donne au
chant
de scène que les Musiciens ont appelé impropremen
de déclamation n’est et ne doit être autre chose que l’expression en
chant
du sentiment qu’expriment les paroles. Voyez Expr
beaux vers de Quinault, qu’ils ont appris dans leur jeunesse avec le
chant
de Lully, reprochent aux opéras modernes qu’il y
nie à des divertissements ingénieux, à des tableaux de musique, à des
chants
légers, etc. et enfin ils pensent que la déclamat
anquée par un musicien, quelque médiocre qu’il ait été d’ailleurs. Le
chant
de celles de Médée et Jason a été fait par l’abbé
s que musicien sublime. L’effort du génie a été d’abord de trouver le
chant
propre à la langue et au genre : il en est de cet
e Rousseau]. (B) Effort Effort, (Voix.) défaut qui est dans le
Chant
, le contraire de l’aisance. On le fait par une co
l’en écarte. C’est de tous les défauts qu’on peut contracter dans le
chant
le plus dangereux, et celui dont on revient le mo
que c’est celui vers lequel on a plus de motifs de pencher dans notre
chant
dramatique ; tels sont les cris au théâtre de la
n France, de l’erreur des grandes voix ; mais il faut attendre que le
chant
du théâtre ait pris les accroissements dont il es
t ainsi que la nature a donné à l’homme l’organe qu’elle a destiné au
chant
et aux oreilles françaises que la satiété n’a poi
ns qui nous servissent à exprimer nos différentes sensations ; car le
chant
est le premier langage de l’homme. Voyez Chant. M
es sensations ; car le chant est le premier langage de l’homme. Voyez
Chant
. Mais ce chant formé de sons qui tiennent de la n
car le chant est le premier langage de l’homme. Voyez Chant. Mais ce
chant
formé de sons qui tiennent de la nature l’express
y a un nombre constant de traits qui forme leur ensemble. Lorsque le
chant
est devenu un art, l’expérience a décomposé les v
e et de la haute-contre ont naturellement entre eux ; ce qui donne au
chant
une variété nécessaire. Basse-taille : clé de f
plus vantées. Il avait de plus une grande facilité pour les traits de
chant
, qui seuls peuvent l’embellir et le rendre agréab
vait pas manquer d’exciter l’ambition des femmes, qui se destinant au
chant
, n’avaient cependant qu’une voix naturelle. Dès q
est et ne doit être qu’une agréable imitation de la nature ; ainsi le
chant
réduit en règles, soumis à des lois, ne peut être
a voix (ainsi qu’on l’a dit plus haut, et qu’on le prouve à l’article
Chant
) est le premier langage de l’homme, les différent
le de Rousseau], Maître à chanter [Article non rédigé]. (B) Geste (
Chant
du théâtre) Geste, (Chant du théâtre.) l’opér
ter [Article non rédigé]. (B) Geste (Chant du théâtre) Geste, (
Chant
du théâtre.) l’opéra français a pour objet de séd
aute qui lui échappe quelquefois. Il n’en est pas ainsi au théâtre du
chant
; les détails y sont ralentis et répétés par la m
ordre avec l’aisance de l’instinct. Voyez Grâce [Article de Watelet],
Chant
. Mais souvent le talent est égaré par l’esprit ;
; et laisser tranquillement pendant toute la lente durée de ces beaux
chants
, les berceaux et l’onde pure qu’offraient les côt
ion ordinaire, celle que nous désirons dans la déclamation et dans le
chant
, surtout dans celui du théâtre. Voyez Grasseyer.
pportable, il n’en est pas moins un défaut. Lorsqu’il est question du
chant
, le grasseyement est encore plus vicieux que dans
e défaut moins désagréable. (B) Grasseyer Grasseyer, v. neut. (
Chant
. Voix.) C’est changer par une prononciation d’hab
s des bergers, dont une espèce appelée bucoliasme, était le véritable
chant
de ceux qui conduisaient le bétail ; et l’autre,
toujours régner dans ces provinces un air de gaieté qui les porte au
chant
et à la danse : un provençal menace son ennemi d’
de manière à rendre les mots aisés à prononcer et à entendre. (S)
Chant
— avec Jean-Jacques Rousseau Chant, s. m. (Mu
rononcer et à entendre. (S) Chant — avec Jean-Jacques Rousseau
Chant
, s. m. (Musique.) est en général une sorte de mod
miner en quoi le son qui forme la parole, diffère du son qui forme le
chant
. Cette différence est certaine ; mais on ne voit
a permanence aux sons qui forment la parole, pour former un véritable
chant
: il paraît aussi que les diverses inflexions qu’
de Musique, et qui par conséquent ne peuvent être exprimés en notes.
Chant
, appliqué plus particulièrement à la Musique, se
ale ; et dans celle qui est mêlée d’instruments, on appelle partie de
chant
toutes celles qui sont destinées pour les voix. C
pelle partie de chant toutes celles qui sont destinées pour les voix.
Chant
se dit aussi de la manière de conduire la mélodie
ire la mélodie dans toutes sortes d’airs et de pièces de musique. Les
chants
agréables frappent d’abord ; ils se gravent facil
e compositeurs y réussissent. Il y a parmi chaque nation des tours de
chant
usés, dans lesquels la plupart des compositeurs r
lesquels la plupart des compositeurs retombent toujours. Inventer des
chants
nouveaux, n’appartient qu’à l’homme de génie ; tr
hants nouveaux, n’appartient qu’à l’homme de génie ; trouver de beaux
chants
, appartient à l’homme de goût. (S) Le chant est l
génie ; trouver de beaux chants, appartient à l’homme de goût. (S) Le
chant
est l’une des deux premières expressions du senti
ciété ou peuple a fait sur ce point des conventions particulières. Ce
chant
naturel dont on vient de parler, s’unit dans tous
coup d’autres, la nature se repose, lorsque l’art agit. On appelle ce
chant
, acceru. Il est plus ou moins marqué, selon les c
is]. Lorsque les mots furent trouvés, les hommes qui avaient déjà le
chant
, s’en servirent pour exprimer d’une façon plus ma
nt l’âme d’une manière vive, durent nécessairement se peindre dans le
chant
avec plus de vivacité que les sensations ordinair
nsations ordinaires ; de-là cette différence que l’on trouve entre le
chant
du langage commun, et le chant musical. Les règle
te différence que l’on trouve entre le chant du langage commun, et le
chant
musical. Les règles suivirent longtemps après, et
rd donné par la nature ; car rien n’est plus naturel à l’homme que le
chant
, même musical : c’est un soulagement qu’une espèc
alement ; et l’ennui, la fatigue, sont suspendus ou disparaissent. Le
chant
consacré par la nature pour nous distraire de nos
i chantèrent et à tous ceux qui firent des vers. On trouve l’usage du
chant
dans l’antiquité la plus reculée. Enos commença l
nsons et des instruments. Genèse 31. Il est naturel de croire que le
chant
des oiseaux, les sons différents de la voix des a
après le passage de la mer Rouge, est la plus ancienne composition en
chant
qu’on connaisse. Dans l’Egypte et dans la Grèce,
n chant qu’on connaisse. Dans l’Egypte et dans la Grèce, les premiers
chants
connus furent des vers en l’honneur des dieux, ch
vec un accompagnement d’instruments, ce qui la fit nommer mélique. Le
chant
de la poésie épique et dramatique était moins cha
était moins chargé d’inflexions, mais il n’en était pas moins un vrai
chant
; et lorsqu’on examine avec attention tout ce qu’
l : vous chantez. Les inflexions de la voix des animaux sont un vrai
chant
formé de tons divers, d’intervalles, etc. et il e
du plus grand genre. Voyez Ballet et Opéra [Article de Jaucourt]. Le
chant
naturel variant dans chaque nation selon les dive
la température différente des climats, il était indispensable que le
chant
musical, dont on a fait un art longtemps après qu
ions. Ainsi disputer sur cet article, et prétendre par exemple que le
chant
Italien n’est point dans la nature, parce que plu
Italien n’est point dans la nature, parce que plusieurs traits de ce
chant
paraissent étrangers à l’oreille, c’est comme si
s de musique, etc. On ne dit jamais chanteur, que lorsqu’il s’agit du
chant
profane (Voyez Chanteur ; et on ne dit jamais cha
Voyez Chanteur ; et on ne dit jamais chantre, que lorsqu’il s’agit du
chant
d’église. Les chantres de la musique des chapitre
sa cour, les engagea les uns et les autres à une espèce de combat de
chant
, dont il voulut être le juge ; et il prononça en
s cantates, des airs Italiens des excellents maîtres, des morceaux de
chant
neufs et détachés, etc. En 1727 on y donna avec s
art, quand même M. Rameau ne les aurait pas ouvertes avant lui. Voyez
Chant
. (B) Dessus Dessus, (Opéra.) voyez l’artic
ientôt mis à leur place, se servit de ce qu’il avait sous sa main. Le
chant
et l’orchestre étaient dans ces commencements ce
et la distance était immense de l’état où il trouva l’orchestre et le
chant
, à l’état où il les laissa. Cependant ce que nous
t l’oracle suprême. Mais l’exécution de la partie instrumentale et du
chant
devait s’étendre dans la suite aussi loin que pou
l’horreur d’un cachot sombre, d’une caverne obscure, etc. De même le
chant
brillant, léger, de tableau, de grande force, les
ou ne sont que du bruit, harmonieux, si l’on veut, mais sans vie. Le
chant
d’une chanson, d’une cantate, doit exprimer les p
cantate et de la chanson, sinon le musicien a manqué son but ; et le
chant
, quelque beau qu’il soit d’ailleurs, n’est qu’un
’il faut élever avec raison, ordre et symétrie : les symphonies et le
chant
sont les grandes parties du total, la perfection
atteint à la perfection dans un des points principaux de ce genre. Le
chant
de déclamation, qu’il a adapté si heureusement au
mes, s’ils avaient pu les reconnaître. Lully donc, qui en adaptant le
chant
français déjà trouvé, à l’espèce de déclamation t
nt dans ses symphonies que Lully est répréhensible sur ce point ; ses
chants
, à l’exception de son récitatif, dont on ne parle
ime par les paroles, la Peinture par les couleurs, la Musique par les
chants
; et les paroles, les couleurs, les chants doiven
uleurs, la Musique par les chants ; et les paroles, les couleurs, les
chants
doivent être propres à exprimer ce qu’on veut dir
e langage ordinaire ; et cette chaleur, cette vie doivent acquérir un
chant
, par le secours d’un second art qui s’unit au pre
aroles de Quinault ont peint. Ce fait est si certain, que sur le même
chant
qu’on a si longtemps cru plein de la plus forte e
à mettre des paroles qui forment un sens tout à fait contraire, et ce
chant
pourra être appliqué à ces nouvelles paroles, aus
rible Qu’un regard de mes yeux. Il n’est personne qui ne sente qu’un
chant
qui serait l’expression véritable de ces paroles,
pour d’autres qui présenteraient un sens absolument contraire ; or le
chant
que Lully met dans la bouche de l’horrible Méduse
éger, que la parodie de ces cinq vers, avec les accompagnements, leur
chant
et la basse. On peut être sûr que la parodie très
émonstration aussi frappante. Il n’y a donc évidemment, ni dans le
chant
de ce morceau, ni dans les accompagnements qui n’
rdait bien de croire que ses vers pussent être bons. On entendait des
chants
qu’on trouvait beaux, le chanteur ajoutait l’expr
ller plus avant, et d’en développer la cause physique. La scène et le
chant
de déclamation étaient l’objet principal de Lully
ts et des connaissances de ses auditeurs. Mais est-il bien sûr que le
chant
doit avoir par lui-même une expression, qui ajout
cette prétention n’est-elle pas une chimère ? ne suffit-il pas qu’un
chant
pour être bon, soit beau, facile, noble, et qu’il
tation, et ne pouvant point y avoir d’imitation sans expression, tout
chant
qui n’en a pas une par lui-même, pèche évidemment
les qui en manquaient, et qu’on était en possession d’admirer. 4°. Un
chant
, quelque beau qu’il soit, doit paraître difforme,
mais avec les premières paroles on ne chante qu’un contre-sens, et ce
chant
très beau devient insoutenable à qui sait connaît
causé par un coup de tonnerre. 5°. Je demande ce qu’on entend par des
chants
faciles ? La facilité n’est que relative au degré
aimable, etc. C’est donc dans l’expression que consiste la beauté du
chant
en général ; et sans cette partie essentielle, il
maintenant à examiner en quoi consiste en particulier l’expression du
chant
de déclamation (c’est ce qu’on expliquera à l’art
une tragédie, qu’il faut que le musicien saisisse et qu’il réduise en
chant
. Voyez Récitatif [Article de Rousseau]. Et comme
e doit produire un geste noble, naturel, et toujours d’accord avec le
chant
. Si l’opéra exige de l’expression dans tous les c
’accord avec le chant. Si l’opéra exige de l’expression dans tous les
chants
et dans chacune des différentes symphonies, il es
st évident qu’il en demande aussi dans la danse. Voyez Ballet, Danse,
Chant
, Débit, Débiter, Maître à chanter [Article non ré
es de tous ces caractères ; les uns ont été les sources primitives du
Chant
, et les autres de la Danse. C’est là ce langage u
espirent sur la terre. Ces sons inarticulés qui étaient une espèce de
chant
; et (si on peut s’exprimer ainsi) la Musique nat
es ébranlements aux sons dont l’âme peignait ses mouvements. Ainsi le
Chant
, qui est l’expression primitive du sentiment, en
t c’est cette expression qu’on a nommée Danse. On voit par là que le
Chant
et la Danse, que quelques Auteurs et le vulgaire
st le principe. Dès qu’il y a eu des hommes, il y a eu sans doute des
Chants
et des Danses. Suivez ces tendres enfants, depuis
à chanter, quoiqu’on ait dans la voix tous les sons dont se forme le
chant
; parce qu’on développe, par le secours de l’Art,
Division de l’art de la danse. Ce petit Poëme est divisé en quatre
Chants
, ainsi que l’Art Poétique. Le premier Chant cont
me est divisé en quatre Chants, ainsi que l’Art Poétique. Le premier
Chant
contient les qualités nécessaires à un jeune homm
ouis xiv, jusqu’au temps des Vestris, Gardel et Dauberval. Le second
Chant
présente les caractères et les règles des Danses
ur y critiquer le maintien et les défauts des danseurs. Le troisième
Chant
traite de la Danse théâtrale et des trois genres
on nomme, genre noble, demi-caractère et genre comique. Le quatrième
Chant
a pour objet l’art du Pantomime, les Ballets d’ac
ation de l’Art Poétique, ne s’est point asservi à suivre, dans chaque
chant
, la marche de son modèle ; au contraire, il a sou
e de son modèle ; au contraire, il a souvent transporté des vers d’un
chant
dans un autre, selon qu’ils convenaient à son suj
sont conservés, imités ou parodiés, et l’on a indiqué à la marge les
Chants
d’où ils sont pris, et leurs numéros. L’art po
Chants d’où ils sont pris, et leurs numéros. L’art poétique.
Chant
premier. Chant I, vers C’est en vain qu’au Pa
ont pris, et leurs numéros. L’art poétique. Chant premier.
Chant
I, vers C’est en vain qu’au Parnasse un témérair
i Phébus est sourd, et Pégase est rétif. L’art de la danse.
Chant
premier. Chant I, vers C’est en vain qu’au th
, et Pégase est rétif. L’art de la danse. Chant premier.
Chant
I, vers C’est en vain qu’au théâtre un novice da
t toujours captif ; Ses bras sont maladroits, et son jarret rétif.
Chant
I, vers O vous donc qui, brûlant d’une ardeur pé
tendrait l’asservir ; La cadence est maîtresse, il lui faut obéir.
Chant
I, vers Lorsqu’à la bien chercher d’abord on s’é
pour atteindre à la fin ; Excédé de fatigue, il disparaît enfin12.
Chant
I, vers Fuyez de ces auteurs l’abondance stérile
i des spectateurs, Il trouve en chacun d’eux autant d’admirateurs.
Chant
I, vers Quoi que vous écriviez, évitez la basse
r des pas terre à terre, Noblement ennuyeux, fatiguer le parterre.
Chant
I, vers Prenez mieux votre ton. Soyez simple ave
le public adore, C’est par-là que plaisait l’aimable Théodore 21.
Chant
I, vers Durant les premiers ans du Parnasse fra
r l’art confus de nos vieux romanciers. Marot bientôt après &c….
Chant
I, vers De ces maîtres savans disciple ingénieu
es, 170 Dans son vieux style encore a des grâces nouvelles. &c.
Chant
I, vers Et montra pour rimer des chemins tout no
son heureux destin : Mais chéri du public, du succès trop certain,
Chant
I, vers Vit dans l’âge suivant, par un retour gr
pas vétilleux, Si, lorsque vous dansez, vous ne charmez mes yeux.
Chant
I, vers Travaillez à loisir, quelque ordre qui
xercer d’abord34 ; Un arc toujours tendu perd bientôt son ressort.
Chant
I, vers Craignez-vous pour vos vers la censure
l vous loue, et vous siffle le soir. Art poétique de Boileau.
Chant
III, vers Chez nos dévots aïeux le théâtre abho
ublic à Paris y monta la première ; &c. Art de la danse.
Chant
II. Chez nos dévots aïeux, le théâtre abhorr
uerrier patriarche5, Une harpe à la main, a dansé devant l’arche ;
Chant
III, vers Eschyle dans le chœur jeta les personn
ublic exhaussé Fit paraître l’acteur d’un brodequin chaussé. &c.
Chant
II, vers D’un trait de ce poëme, en bons mots s
races si fertile, Le français, né léger, fit la Danse de ville14 ;
Chant
II, vers Agréable indiscret, qui, conduit par le
ville14 ; Chant II, vers Agréable indiscret, qui, conduit par le
chant
, Passe de bouche en bouche, et s’accroit en march
urs y pensent arriver, Et cet heureux phénix est encore à trouver.
Chant
II, vers A peine dans Gombaut, Maynard et Mallev
n eut la fantaisie23, Et le Pas trop lascif de la froide Russie24,
Chant
II, vers L’épigramme, plus libre en son tour pl
vois de gauches ! La plupart des humains ne sont que des ébauches.
Chant
II, vers Au contraire cet autre, abject en son
a cadence Cet autre, en dandinant, croit prendre un air d’aisance.
Chant
II, vers 155 Perse, en ses vers obscurs, mais
is de l’école, Poussa jusqu’à l’excès sa mordante hyperbole. &c.
Chant
III, vers Mais souvent parmi nous un poète sans
et de graces, Si l’étude et le goût corrigeaient leurs grimaces !
Chant
II, vers 45 Je hais ces vains auteurs dont la
au théâtre, emboucher la trompette. Art poétique de Boileau.
Chant
II, vers 55 …. Du tendre Ovide animant les doux
s ses fureurs un ordre didactique ; &c… Art de la danse.
Chant
III. Du sage Despréaux, parodiant les sons,
et sage. Qui peut mieux qu’elle enfin couronner un ouvrage4, Par ses
chants
variés, son aimable rondeau, Son paisible mineur,
nt le jeu mécanique Garde, dans la Chaconne, un ordre méthodique ;
Chant
III, vers 275 Oh ! que j’aime bien mieux cet au
ein d’adresse, Qui, sans faire d’abord de si haute promesse, &c.
Chant
II, vers Il faut que sa douceur flatte, chatouil
aprices heureux, C’est peu d’être danseur ; il faut être amoureux.
Chant
II, vers Telle qu’une bergère, au plus beau jou
iamans, Cueille en un champ voisin ses plus beaux ornemens : &c…
Chant
III, vers 295 On dirait que pour plaire, instr
truits par la nature, Homère ait à Vénus dérobé sa ceinture. &c…
Chant
II, vers Son tour simple et naïf n’a rien de fas
hant II, vers Son tour simple et naïf n’a rien de fastueux. &c…
Chant
III, vers Tout reçoit dans ses mains une nouvell
velle grace. Sans cesse elle nous charme, et jamais ne nous lasse,
Chant
II, vers D’un ton un peu plus haut, mais pourtan
vers D’un ton un peu plus haut, mais pourtant sans audace, &c.
Chant
III, vers 360 Auteurs qui prétendez aux honneur
portraits, 370 Dans chaque ame est marquée à de différens traits ;
Chant
II, vers 105 Jadis de nos auteurs les pointes i
excitant leur audace, Leur nombre impétueux s’empara de la place.
Chant
II, vers Le Madrigal d’abord en fut enveloppé ;
Faunes sont sauvages ; A de diverses mœurs, prêtez divers visages.
Chant
III, vers J’aime sur le théâtre un agréable aut
sornettes fades, Aux laquais assemblés jouer ses mascarades. &c…
Chant
II, vers Tout poëme est brillant de sa propre b
amour idolâtre, Gardez-vous, croyez-moi, de paraître au théâtre :
Chant
IV, vers 25 Son exemple est pour vous un préce
commun, ou qu’un danseur vulgaire ». Art poétique de Boileau.
Chant
III, vers La tragédie, informe et grossière en
u plus affreux objet fait un objet aimable. Art de la danse.
Chant
IV. L’art de la Danse, informe et grossier e
t l’artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Chant
III, vers 5 Ainsi, pour nous charmer, la Tragéd
t de scène en scène, A son comble arrivé se débrouille sans peine.
Chant
III, vers Vos froids raisonnemens ne feront qu’a
plaire, il se replie, Que tantôt il s’élève et tantôt s’humilie ;
Chant
III, vers Et que tout ce qu’il dit, facile à ret
ns la fatale barque, Passe l’humble berger, ainsi que le monarque.
Chant
III, vers La fable offre à l’esprit mille agrém
et comique12, Qu’un sombre et froid ballet, soi-disant héroïque13
Chant
III, vers Qui dans leur sombre humeur se croirai
aire affront. Si les graces jamais leur déridaient le front. &c…
Chant
I, vers 175 C’est peu qu’en un ouvrage où les
rties 180 N’y forment qu’un seul tout de diverses parties ; &c.
Chant
III, vers Ne faites point parler vos acteurs au
sques grimaces14 Je ne reconnais plus l’auteur des trois Horaces.
Chant
III, vers Unpoëme excellent, où tout marche et
pénible ouvrage Jamais d’un écolier ne fut l’apprentissage. &c.
Chant
IV, vers 125 Travaillez pour la gloire, et qu’
jeune élève ? A l’air gauche ou commun n’accordez point de trêve ;
Chant
IV, vers Auteurs, pour les chanter redoublez vo
e ; Plus enclin à blâmer, que savant à bien faire. fin du quatrième
chant
de l’art poétique. De l’éducation la Danse est
essus, même page. 1. Imitation du vers 300 de Boileau, Art poétique,
Chant
3. 1. Voltaire. 2. Voyez les Poétiques d’Arist
1754. Cahusac en fait le plus grand éloge, ainsi que Dorat, dans son
chant
sur la Danse, du poëme de la Déclamation. 28.
xécuté par mademoiselle Guimard et M. Pic. Voyez la note 4 du premier
chant
. …… Un baiser cueilli sur les lèvres d’Iris, Qui
bien, en te perdant, Terpsicore a gémi ! Voyez la note 31 du premier
Chant
. 8. Passe-pied ; air à trois temps. C’est une
udissemens du public. 5. Pierre Gardel. Voyez la note 6 du premier
chant
. Noverre, célèbre maître de ballets ; ses Lettre
fleurs : Il dotait la jeunesse en lui gagnant les cœurs ». La Danse,
Chant
4 du poème de la Déclamation de Dorat. 17. Mar
l ne fit jamais d’écolier pour le théâtre. Voyez la note 16 du second
Chant
. 18. « Sans le goût, même avec du talent, il ne
mblés et arrangés avec tant de promptitude, supposent une habitude du
Chant
et de la Danse, fort antérieure au moment de l’ex
je ne crois pas qu’on puisse douter de la multitude des Danses et des
Chants
en usage chez le peuple Juif 17. On voit d’ailleu
ent donné le nom de Chœur. Cette partie était toujours occupée par le
Chant
et la Danse, qu’on y exécutait avec la plus grand
ès ces deux danses, ils s’arrêtaient pour chanter : ils nommaient ces
chants
épodes [voir « Apodes »] Par-là ils représentaien
a seconde : les mouvements la troisième : la Musique qui comprend les
chants
, les ritournelles, et les symphonies, est la quat
mour déchire son bandeau ; il appelle la lumière, et l’engage par ses
chants
à se répandre sur les astres, le ciel, l’air, la
oration et Machine [Article de Mallet] Les personnages d’ailleurs du
chant
et de la danse en étaient presque toujours rempli
elégué dans les collèges. Voyez Ballets de Collège. A l’Opéra même le
chant
prit le dessus. Il y avait plus de chanteurs que
forment des actions séparées avec un ou deux divertissements mêlés de
chants
, et de danses. La tragédie lyrique doit avoir des
es. La tragédie lyrique doit avoir des divertissements de danse et de
chant
, que le fonds de l’action amène. Le ballet doit ê
le fonds de l’action amène. Le ballet doit être un divertissement de
chant
et de danse, qui amène une action, et qui lui ser
agréable aux Français. La variété qui y règne, le mélange aimable du
chant
et de la danse, des actions courtes qui ne saurai
ait appris ses chansons ; on les chantait, et on représentait sur ces
chants
les aventures, les douleurs d’Eriphanis, par des
fférentes impressions : c’est ce qu’on a nommé geste. Voyez Geste. Le
chant
si naturel à l’homme, en se développant, a inspir
i en ont été frappés, des gestes relatifs aux différents sons dont ce
chant
était composé : le corps alors s’est agité, les b
ents, des attitudes aux sons dont l’oreille était affectée : ainsi le
chant
qui était l’expression d’un sentiment (Voyez Chan
ffectée : ainsi le chant qui était l’expression d’un sentiment (Voyez
Chant
) a fait développer une seconde expression qui éta
voix et le geste ne sont pas plus naturels à l’espèce humaine, que le
chant
et la danse ; et que l’un et l’autre sont, pour a
ont donné lieu. Dès qu’il y a eu des hommes, il y a eu sans doute des
chants
et des danses ; on a chanté et dansé depuis la cr
chanteront et danseront jusqu’à la destruction totale de l’espèce. Le
chant
et la danse une fois connus, il était naturel qu’
la Musique et la Danse des Grecs et des Romains. Il prétend que leur
Chant
n’était point un Chant, et que leur Danse n’était
des Grecs et des Romains. Il prétend que leur Chant n’était point un
Chant
, et que leur Danse n’était point une Danse. On n
ère à peu près que l’on chante et danse sur le nôtre ; mais comme les
chants
et les danses de son temps ne lui paraissaient av
araissaient avoir qu’un rapport très éloigné avec les prodiges que le
Chant
et la Danse ont opérés autrefois à Rome et dans A
dait, et les pas qu’il voyait faire étaient la perfection possible du
Chant
et de la Danse. 2°. Qu’il fallait indispensableme
2°. Qu’il fallait indispensablement que ce que les Anciens appelaient
Chant
et Danse fût toute autre chose que ce que nous no
système et par un mot nouveau qui n’a pas fait fortune. Il appela le
Chant
des Anciens Récitation et leur danse Saltation. O
e inadmissible. Premièrement les parties mécaniques de la Musique, du
Chant
et de la Danse des Grecs et des Romains étaient é
ans10 que tous les airs de Ballet étaient un mouvement lent, et leur
chant
, s’il m’est permis d’user de cette expression, ma
ettre une Bête aux abois, Et les exorte d’importance, À joindre leurs
Chants
, et leur Danse Pour lui plaire, et la divertir, C
c leur Sire, Et les Bergers, pour vous tout dire, Viennent, par leurs
Chants
, et leur Pas, De ce Couple rempli d’Appas, Célébr
de Sablière,162 D’intelligence singulière, En la Musique, a fait les
Chants
, Tout de même, en très-peu de temps. Leviez, dont
admiration. Sa Diane, chose certaine, Est une petite Syreine, Dont le
Chant
est beaucoup chéri, Qu’on nomme Mad’moiselle Aubr
il avait créé : mais comme elle était encore à son enfance, et que le
chant
avait fait de plus grands progrès ; que Lully se
ène. Quinault était donc astreint à couper ses poèmes de façon que le
chant
de déclamation (alors on n’en connaissait point d
ace d’environ deux heures et demie ; mais à mesure qu’on a trouvé des
chants
nouveaux, que l’exécution a fait des progrès, qu’
i par les divertissements, les chœurs, les mouvements du théâtre, les
chants
brillants, etc. sans cela l’ennui est sûr, et la
qu’on exécute sur le théâtre ou en concert ; et les danses mêlées de
chant
, qu’on place quelquefois à la fin des comédies de
mière espèce. On donne ce nom plus particulièrement aux danses et aux
chants
, qu’on introduit épisodiquement dans les actes d’
ai fond des différentes entrées du ballet : telle est son origine. Le
chant
, dans ces compositions modernes, occupe une parti
dans les anciennes : pour être parfaites, il faut que la danse et le
chant
y soient liés ensemble, et partagent toute l’acti
c pour former une bonne entrée de ballet, 1°. Une action : 2°. Que le
chant
et la danse concourent également à la former, à l
ns plus limité, est un divertissement en dialogue ou en monologue, en
chant
ou en danse, ou enfin mêlé de l’un et de l’autre,
les spectateurs qui s’en amusent. Les Grecs avaient des entractes de
chant
et de danse dans tous leurs spectacles : il ne fa
MM. Rebel et Francœur qui en ont fait la musique, ont répandu dans le
chant
une expression aimable, et dans la plupart des sy
vec la voix, ou sur un instrument quelconque. En Italie, la partie du
chant
domine tellement sur toutes les autres, que la sy
ale y est souvent négligée, je veux dire moins estimée. En France, le
chant
proprement dit, la symphonie, la partie dramatiqu
un motif pour être chassé du théâtre. En Italie, quoiqu’on y aime le
chant
presqu’exclusivement, on n’y fait aucune attentio
e dire, je citerai la Henriade. Ce beau poëme est divisé en plusieurs
chants
; chacun d’eux offre des scènes variées, des sent
variées, des sentimens, des passions et des intérêts divers. Tous ces
chants
présentent à l’imagination une foule de tableaux
tent à l’imagination une foule de tableaux peints par le génie, et de
chant
en chant, on arrive au dénouement : hé bien, une
imagination une foule de tableaux peints par le génie, et de chant en
chant
, on arrive au dénouement : hé bien, une fête est
eu nous dit que le rithme est ce que l’on nomme modulation, et que le
chant
, seul est assujetti au noté ou ton. Ou Quintillie
ir pour nous le même sens ; car la modulation est ce qui constitue le
chant
, et le ritlnne, le mouvement de ce chant. Les aut
tion est ce qui constitue le chant, et le ritlnne, le mouvement de ce
chant
. Les auteurs anciens prétendent que la déclamatio
Les auteurs anciens prétendent que la déclamation sécrivoit comme le
chant
musical, et que les signes de cette espèce de cha
écrivoit comme le chant musical, et que les signes de cette espèce de
chant
étoient des accens, qui tous avoient leurs tons e
anciens ; comme elle, il est sans harmonie ; il n’est ni musique, ni
chant
, ni langage et provoque le public à l’ennui, et a
ficateurs à la tête du Sacerdoce, dansoient une danse caractérisée au
chant
d’un hymne qui exprimoit les vœux du peuple. L’Hi
ieu : elle consistoit parmi eux à danser des danses caractérisées aux
chants
des Cantiques, des Hymnes & des Pseaumes à la
seulement Jérusalem, mais qu’il lui remettra ses anciennes fêtes, ses
chants
, ses cérémonies, & ses danses. Les Juifs célé
t jours comme une réjouissance publique, qui consistoit en danses aux
chants
des Cantiques & des Hymnes à la louange de Di
mp; où l’on dansoit aussi quelquefois il n’y a pas fort longtems, aux
chants
des Cantiques & des Hymnes de réjouissance :
ille des grandes fêtes, au-devant des Eglises, pour danser en rond au
chant
des Hymnes & des Cantiques du Saint dont l’on
dium. La danse des Processions se faisoit avec une marche cadencée au
chant
des Cantiques, en conduisant les victimes à l’aut
crificateur à la tête du Sacerdoce, dansoit une danse caractérisée au
chant
d’une Hymne qui exprimoit les vœux du peuple. Les
danse Sacrée des Hébreux consistoit à danser des danses composées au
chant
des cantiques, & des hymnes à la louange de D
Avant-propos « Le
chant
, si naturel à l’homme, ne pouvant manquer de le s
, aux sons dont les oreilles étaient frappées ; et c’est ainsi que le
chant
, qui était l’Expression d’un sentiment, en a fait
et. Telles sont ses deux causes primitives : « On voit par là, que le
chant
et la danse ne sont pas moins naturels à l’homme
onné lieu. Depuis qu’il existe des hommes, il y a eu, sans doute, des
chants
et des danses ; on a chanté et dansé depuis la cr
. » (Dizionario delle Arti e de’ Mestieri del Griselinia .) [1] Le
chant
et la danse une fois connus, ces arts servirent à
e invention est un des plus admirables efforts de l’esprit humain. Le
Chant
ajoutait et devait ajouter de la force, un charme
saient chanter et danser ; mais il n’y avait aucun rapport entre leur
chant
et leur danse. Ce vice fut d’autant plus inexcusa
Cyrus, etc. qui exécutent sur les Théâtres d’Italie non seulement ce
chant
simple des Grecs, mais encore ces morceaux forts
ables, quelquefois même ravissants et sublimes. Le charme d’un pareil
chant
fait oublier apparemment ce défaut énorme de bien
ce premier aspect que s’offrit à son esprit un Spectacle Français de
Chant
et de Danse. D’abord le merveilleux fut la pierre
p ressemblantes à la vie commune, pour que, dans nos mœurs reçues, le
Chant
, la Musique et la Danse ne forment pas une dispar
let fut pour toujours relégué dans les Collèges, et à l’Opéra même le
Chant
prit tout à fait le dessus. On avait plus de Chan
a mort même n’avait rien fait pour sa gloire, imagina un Spectacle de
Chant
et de Danse formé de plusieurs actions différente
rents qui représentent chacun une action mêlée de divertissements, de
Chant
et de Danse. Ce sont de jolis Vateau [Watteau], d
[Épigraphe] C’est en vain qu’aujourd’hui des
chants
mélodieux Sur la Scène appellent les Grâces, Si l
Sur la musique ancienne Epodes Epodes, (Musique.)
chant
des anciens chœurs des Grecs, qu’ils exécutaient
qui ont porté le goût, la précision, l’expression, et la légèreté du
chant
, à un point de perfection qu’avant eux on n’avait
it ces morceaux saillants, dont cet illustre compositeur a enrichi le
chant
Français. Les petits Musiciens se sont d’abord él
ts Musiciens se sont d’abord élevés contre ; plusieurs admirateurs du
chant
ancien, parce qu’ils n’en connaissaient point d’a
e la barbarie de leurs pères. Voyez Castrati [Article de d’Alembert],
Chant
, Chantre, Exécution, Opéra [Article de Jaucourt]
er à l’autre bord. Inspiré par l’Amour, il tourbe sa Lyre divine. Ses
chants
tendres et mélodieux dérident le front sourcilleu
inités. Il les supplie de lui rendre sa chère Euridice, et mêle à ses
chants
les accords enchanteurs de sa lyre : Pluton est é
oissance, et la cour du Dieu des Enfers se livre à des danses que les
chants
d’Orphée animent. Cinquième partie. La déc
eurs pampres des guirlandes ; les oiseaux s’empressent, à répéter les
chants
d’Orphée ; des bergers et des Bergères quittent l
des principes de l’harmonie, et de l’ordre dans leurs imitations. Les
chants
jusqu’alors vagues, insignifiants, et barbares, f
armonieux contribuèrent sans doute à la naissance de la mélodie ; ses
chants
délicieux eurent vraisemblablement la simplicité,
ablement la simplicité, et l’ingénuité de son enfance. La mélodie, ce
chant
naif, et touchant qui n’emprunte rien de l’art et
incipes ; mais par succession de tems, il donna plus de variété à ses
chants
; il en marqua les phrases par des signes, qu’il
es. Le premier homme qui eut l’idée heureuse d’adapter des paroles au
chant
fut sans contredit le premier versificateur du mo
uvrait toujours leurs fautes. Pendant ce Dialogue mêlé de Danse et de
Chant
, une Femme maltraitée par des Avocats, des Procur
ils sont bâtis, pour se livrer sans réserve aux détails agréables, au
Chant
d’expression, aux traits multipliés de naturel et
Chapitre V. Premier emploi de la Danse Le
Chant
et la Danse une fois connus, il était dans la nat
ompte les coeurs à tout moment, Par le rare et double avantage De son
chant
et de son visage, Jouèrent si bien leur rôlet Dan
tion du Plan primitif de l’Opéra Français132 C’est un Spectacle de
Chant
et de danse que Quinault a voulu faire ; c’est-à-
anse de la Grue] ; qu’on les suppose pour un moment exécutées sur les
chants
des chœurs, et sur des symphonies relatives au su
Tel est le dessein de Quinault, et quel dessein pour un Spectacle de
Chant
, de Musique et de Danse ! Tout ce que la Magie a
r Coupe, Entracte, Entrée] Supposons un pareil dessein exécuté par le
Chant
, la Danse, les Symphonies, la Décoration, les Mac
nous désennuyer pendant que la danseuse change de costume, le tour du
chant
. Nous aurions préféré rester à attendre tranquill
é assujettis ; il appela la lumière et l’engagea par les plus tendres
chants
à se répandre sur les Astres, le Ciel, l’Air, la
r des Hymnes en l’honneur d’Apollon. Tout le Peuple répondait à leurs
Chants
, et applaudissait à leurs Danses. Un autre jour l
empérance. Si l’on entrait dans les Temples, on n’y entendait que des
Chants
, on n’y voyait que des Danses : ce culte journali
: par nature, elle l’arrête, elle la fixe. Le cri est le contraire du
chant
, et jusqu’à un certain point le dialogue même. Dè
e que d’en changer l’objet principal en substituant maladroitement le
Chant
à la Danse. Cette espèce de composition Théâtrale
merveille les drames d’Henrik Ibsen. Ce théâtre n’a pas de troupe de
chant
et de danse régulière, mais j’y ai entendu avant
elles figures mimer les êtres ou l’action, et qu’on entendît de beaux
chants
, sans qu’ils fussent visibles. Wagner n’est pas t
e s’avisera de citer comme une preuve de goût de notre nation pour le
chant
, ces insipides rapsodies dont les Troubadours mod
tems ont acquis le droit de passer à la postérité ? on a abandonné le
chant
et la mélodie enchanteresse de Piccini. Que conse
it un Danseur. Il prétend qu’il s’agit dans le passage d’Athénée, des
Chants
modestes et des Danses philosophiques, qu’on nomm
la Danse est composée comme elle. [Voir Geste, Geste (Danse), Geste (
Chant
du Théâtre)] Mais la Peinture n’a qu’un moment qu
ployés, et coûtait chaque année 67,050 livres. Les premiers sujets du
chant
recevaient chacun 1,500 livres par an ; les premi
tomber à ses pieds es couronnes, que toute néophyte de la danse ou du
chant
jette préalablement le mouchoir à celui-ci ou à c
de sa mère, se prendra à rêver un monde d’amours, de coquetteries, de
chants
, de parfums à faire descendre un saint du ciel po
près une ouverture d’un beau caractère, on entendit un grand chœur de
Chant
et de Danse, qui était composé des Faux-bruits et
de passions ; elles sont l’organe de l’acteur pantomime. Le neuvième
chant
de la Henriade m’offre une carrière vaste dans la
ns l’éloignement, et exprimeront toute leur fureur. Ici, Monsieur, le
chant
finit par ce qu’il devoit finir ; mais un ballet
ils s’entraident réciproquement et se prêtent de mutuels secours ; le
chant
, dans plusieurs circonstances, en emprunte à la d
es, en emprunte à la danse : elle peut donc à son tour en demander au
chant
; j’usai de celte complaisance réciproque ; elle
allets, de lui f’aire faire tous les gestes propres à l’expression du
chant
et de combiner la chose de manière à persuader au
pellerons opéra « une pièce de théâtre en vers, mise en musique et en
chants
, accompagnée de danses, de machines et de décorat
; qu’on délibère en chantant dans un conseil ; qu’on exprime avec des
chants
les ordres qu’on donne, et que mélodieusement on
650, Pierre Corneille donna Andromède, tragédie en machines, avec des
chants
et musique ; elle fut aussi représentée sur le th
s appointemens ne dépassait pas 67,050 livres. Les premiers sujets du
chant
avaient chacun 1,500 livres ; les premiers danseu
Musique : elle y substitua celui d’Opéra 2. Les noms des artistes du
chant
et de la danse qui prenaient part à la représenta
composée par Gardel et Gossec, avait été faite exprès pour amener le
chant
républicain : Allons, enfans de la patrie. Toutes
e ; Wenzel ou le Magistrat du peuple. Si l’on joint à ces œuvres : le
Chant
des vengeances, par Rouget-Delisle ; le Chant tri
joint à ces œuvres : le Chant des vengeances, par Rouget-Delisle ; le
Chant
triomphal pour la pompe funèbre du général Hoche
le drame a pu se plaindre du rhythme d’une déclamation ampoulée ; le
chant
peut regretter quelques exagérations d’habitudes
t traîné le char de Napoléon-Trajan, l’Opéra qui avait interrompu ses
chants
et son récitatif pour célébrer la naissance du fi
Cinti-Damoreau est la première femme qui ait été nommée professeur de
chant
. Cette nomination est de 1833. 4. Les effets de
a Tentation a suivi les erremens du Dieu et la bayadère. La danse, le
chant
, le spectacle et les décors se mêlent intimement
ui paraisse étrange et contraire même à une action tragique, c’est le
chant
. N’en déplaise aux Inventeurs des Tragédies en Mu
rale. Récemment, à Séville, Manuel de Falla a organisé un concours de
chants
andalous ; les « cantaors » amateurs se sont asso
n la voie, Avait un air noble et touchant Dans son visage et dans son
chant
. Et cette inimitable Hilaire, Qu’autre part on no
, c’est la même ballade ; qui dit l’un, dit l’autre. Trilby, c’est le
chant
du poète ; la Sylphide, c’est le cadre du tableau
uand elle passe, la fleur s’affaisse sur sa tige, l’oiseau arrête son
chant
commencé ; la jeune fille pâlit, le jeune homme l
des rires glapissants et féroces, des éclats de voix singuliers, des
chants
qui paraissent appartenir à un autre monde, tant
ours nouvelle ; nul effort, nulle gêne, tout cela lui venait comme le
chant
vient à l’oiseau ; et quand elle s’arrête enfin,
its de la musique, qui fixent et déterminent tous ceux du danseur. Le
chant
des airs est-il uniforme et sans goût, le ballet
t des airs est-il uniforme et sans goût, le ballet se modèlera sur ce
chant
; il sera froid et languissant. Par le rapport in
esurés au son des fifres et des tambours ; elle ne respirait dans ses
Chants
, dans ses mouvements, dans ses attitudes que la l
ontinuant. Elle représentait une action étrangère à la Pièce, sur des
Chants
qui lui étaient relatifs. Tels furent les Chœurs
ns le programme des indications comme celle-ci : Polonaise de Chopin,
Chant
homérique (inspiré par le Michel Angello). À elle
Outre trente actions célèbres, On y vit des Pompes funèbres, Avec des
chants
si musicaux, Qu’on les estimait sans égaux. Les
ours : après les deux danses ils s’arrétoient pour chanter, & ces
chants
fixes se nommoient Epodes, parce qu’ils représent
des Indes Occidentales, n’avoient point d’autre culte que la Danse au
chant
des hymnes, pour marquer leurs respects à leur Di
a mer du Sud, où les insulaires adorent la Lune, & changent leurs
chants
& leurs danses en lamentations, quand ils la
on tems par des caracteres, de la même maniere qu’un Musicien note le
chant
& les airs ; on ne le trouve plus, ou du moin
ières expressions du sentiment données à l’homme par la nature. Voyez
Chant
, Voix [Article de Rousseau], Danse, Déclamation.
tions près, fut et sera toujours la même. Les sons ont fait naître le
chant
, et sont par conséquent la cause première de tout
t la cause première de toutes les espèces de Musique possibles. Voyez
Chant
, Musique [Article de Rousseau]. Les gestes ont ét
eauté des fleurs et des fruits qui sont dans les jardins ; écoutez le
chant
et le ramage si varié des oiseaux ; allez visiter
ns la douce espérance de posséder Dieu. Nul récit, nulle musique, nul
chant
, (j’ajoute nulle danse) ne tient devant ce plaisi
la première fois, depuis mon malheur, quelque mouvement de joie. Mes
chants
ont changé avec les sentiments de mon cœur. Une f
sante encore, Étant Maîtresse, de tout temps, Des rustiques Danses et
Chants
, Huit FEMMES SAUVAGES et FAUNES, Qui montrent à m
ns examen et sans obstacle. La Fête commence. Un saint zèle dicte les
Chants
, et anime la Danse. Toute la troupe est déjà remp
arthénon, dans un splendide ensemble, les modulations des flûtes, les
chants
des chœurs et les pas cadencés de magnifiques typ
uses. Le pianiste de la Cour m’avait, entre temps, initiée à quelques
chants
de Carmen Sylva, et ce fut par l’expression mimée
ts de Carmen Sylva, et ce fut par l’expression mimée et dansée de ces
chants
que la soirée commença. Il était neuf heures. A u
, qui s’incorporent admirablement à l’ensemble dansé. D’ordinaire, le
chant
et la danse apparaissent représentés par deux rac
ue les airs de danse sont composés de phrases musicales courtes, d’un
chant
agréable et parfaitement cadencé ; que les repos
d. — Son objectif. — Le paradis perdu. — Carlotta à Milan. — Entre le
chant
et la danse. — Un mariage de raison. — Anténor Jo
e, mon enfant, lui disait la Malibran, quitte la danse ; travaille le
chant
, tu as de la voix, tu auras du talent, tu me remp
t à ces études de danse à outrance, Carlotta n’avait pas abandonné le
chant
. Elle chantait pour se reposer. Il était, en effe
beaucoup à ce que son élève reçût des leçons des meilleurs maîtres de
chant
. Quoique surnommé l’Aérien, il daignait, au besoi
e Leroux ; la place était vacante. Plongé dans son admiration pour le
chant
, M. Pillet ne s’apercevait de rien ; le succès de
me élément tectonique ! L’expression règne en maître. Ou bien, sur un
chant
du Volga, vous figuriez le geste laborieux et sac
is et de Duport divisait Paris et suscitait des poèmes épiques en six
chants
. La danse féminine, enrichie et transformée par l
asses et les ombres d’une cathédrale baroque, une fugue de Bach ou le
chant
d’un rossignol.
s prévenions la face ou l’arrivée du Seigneur ? C’est, dit-il, par le
chant
des psaumes, et non par des divertissemens ridicu
t des psaumes, et non par des divertissemens ridicules : c’est par le
chant
, non des cantiques du diable, qui sont les mauvai
des instrumens pour nous divertir ; mais chantons les psaumes : ce
chant
met en fuite les démons. « Mais, où il y a des da
es danseurs peuvent, sans avoir besoin de l’harmonie (c’est-à-dire du
chant
ou du son d’un instrument), exécuter leurs imitat
vre ? Plutôt un bibelot, mais où se reflète un art souverain. Dans le
Chant
du Marchand hindou de Rimsky-Korsakoff, ce sont d
he du poëme ; et l’on mit sur les airs les paroles qui convenoient au
chant
; on en supprima et on en ajouta qui n’avoient po
ménage Pluque. Il paraît qu’elle a de la voix et qu’elle travaille le
chant
à ses moments perdus. Toutefois, musicalement par
ier, une petite « élève des quadrilles » remplaçant la prima donna du
chant
? Certes, oui. Qui n’a remarqué, dans l’apothéose
e Desprez. Il paraît qu’elle a dû un instant quitter la danse pour le
chant
. J’ai cherché à me renseigner sur ses chances de
oût ; mais il en ajoute de modernes aux vieux-opéra, et substitue aux
chants
simples et monotones de la musique de Lulli, des
a, dis-je, ne peut plus s’ajuster avec cette musique tranquille et ce
chant
uniforme qui règne dans la composition des ancien
en, Monsieur, la danse sans musique, n’est pas plus expressive que le
chant
sans paroles : c’est une espèce de folie ; tous s
ns ces sortes de morceaux, et pour leur donner un caractère neuf ; ce
chant
monotone dont il devroit se défier, qui assoupit
, il en ajoute encore de modernes aux vieux Opéra & substitue aux
chants
simples & monotones de la musique de Lully, d
dis-je, ne peut plus s’ajuster avec cette Musique tranquille & ce
chant
uniforme qui regne dans la composition des ancien
ien, Monsieur, la Danse sans Musique n’est pas plus expressive que le
Chant
sans paroles ; c’est une espece de folie, tous se
ces sortes de morceaux & pour leur donner un caractere neuf ; ce
chant
monotone dont il devroit se défier, qui assoupit
sans se confondre avec elles, aux lourdes et grotesques évolutions du
chant
, aux ineffables poncifs du spectacle lyrique. Le
e ne s’attachent point à ce jeu muet : leur diction sera froide, leur
chant
sera languissant, leurs gestes seront insignifian
nder du secours dans nos besoins, des historiettes ou des fables, des
chants
de triomphe, des lamentations, des plaintes, que
’Homere : car Aristocles écrivant des Chœurs de la Tragédie, mêlez de
chants
& de danses, donne le nom d’Homéristes à ces
nchanté d’Armide, des Amours déguisez en Bergers, tâcherent par leurs
chants
, leurs danses & le son de leurs instrumens, d
le corps : c’est pour cela que les anciens avoient des airs & des
chants
convenables aux passions. Ce sont ces mouvemens q
nt marquées ; & l’on voit une espece de clef comme pour mettre en
chant
; desorte que l’on diroit qu’il ne manque que la
brillant de leur voix, soit enfin par le goût et l’expression de leur
chant
. Indigne de mettre une main prophane à l’encensoi
lets, & qu’il avoit un peu de voix & beaucoup de goût pour le
chant
, il entreprit de faire ce rôle, & le remplit
alors emploiyoit les couleurs tendres et aimables de la mélodie ; ce
chant
simple, et touchant qui ne frappe l’oreille que p
ns se remuer, dansoient autrefois en chantant. » Voila encore le mot
chant
à la place de déclamer et celui de danse substitu
s de la musique qui fixent & déterminent tous ceux du danseur. Le
chant
des airs est-il uniforme & sans goût ? le Bal
e, mais beaucoup plus grande et plus honteuse ; car on trouve dans le
chant
un plaisir qui est souvent utile et saint, puisqu
qu’on y donne à ses mains, à ses yeux et à sa langue, la mollesse du
chant
et les ténèbres de la nuit, pendant laquelle les
tes sages qui convenoient au genre de musique propre à la danse ; ses
chants
étoient simples et nobles : en évitant la monoton
œurs arrangés avec tant de promptitude, la facilité avec laquelle les
chants
et la danse furent exécutés, supposent une habitu
es Juifs donnaient le nom de chœur, Cette partie était occupée par le
chant
et la danse, qu’on y exécutait avec la plus grand
eut souffrir ni les danses, ni les instrumens qui les animent, ni les
chants
mous et dissolus, ne pourra guère dans la suite f
modulations favorites, à la tournure uniforme de son harmonie et aux
chants
familiers de sa mélodie. Son génie ne le transpor
qu’à ce que Fanny eût gagné la place qui lui était réservée. Après le
chant
des cantiques, le pasteur monta en chaire. Son su
une solennité nettement allemande au cours de laquelle on entonna le
chant
célèbre d’Arndt : Quelle est la patrie de l’Allem
se moquait des soirées musicales où il était convié. Il comparait le
chant
des dames américaines au son que l’on obtient lor
er à ses fins, réclamant de tout son personnel, depuis les gloires du
chant
et de la danse jusqu’au plus humble musicien de l
ns, j’écoutais les siennes : il appréciait, il jugeait tout, danse et
chant
, suivant ses impressions personnelles. Je me surp
t’adore, et ce serait un tourment pour moi de contenir le souffle de
chants
qui s’agite dans mon cœur. » Ce n’est point dan
en des jours sombres où le malheur de Venise devrait lui inspirer des
chants
austères. Qu’on lui pardonne son hymne ! C’est la
une ode aux Italiens, Agl’ Italiani, les fils s’empoisonnent avec le
chant
tout-puissant et le docile glissement des mouveme
n Lenoir va jusqu’à prendre les formes de l’adoration religieuse. Son
chant
a les allures d’une hymne d’église. Les invocatio
tes la Terpsichore terrestre ; Solera lui dédiait un de ses meilleurs
chants
lyriques. Cincinnato Baruzzi sculptait sa statue
es Pantomimes, qui s’exprimoient par les gestes, & ensuite par le
chant
& par des tableaux. Mais les Comédiens Franço
on, ne seroit pas contente qu’on lui fît un mérite d’exceller dans le
chant
et dans la danse. » Sur quoi M. Rollin cite l’exe
facilement dépensé… On appelait filles de magasin les demoiselles du
chant
et de la danse, qui, n’ayant pas achevé leurs étu
ir souvent en équilibre ; car sans cela on le perdrait. Dans l’art du
chant
la chose est différente ; une belle voix, de la f
bsence de la note sympathique qui manque à la première gamme de leurs
chants
. Il y avait aussi prescription contre Camoëns, qu
nt peut-être un jour à la voix de nos sirènes. Mais, en attendant ces
chants
harmonieux, la Lorette ne peut rester à l’abri de
une fois cinq, six gendarmes Qu’avaient un bon rhume de cerveau… Ces
chants
si purs sont lancés par les brises occidentales j
agédie de Pierre Corneille, mêlée de musique et de danse, et ornée de
chants
, de décorations et de machines. Le Marquis reçut
préviens le public que je ne me suis servi que des 2ème, 3ème et 4ème
chants
du poème, et que j’ai été contraint de renoncer à
neur de nous enchanter. Non, que tes charmes s’unissent Aux vers, aux
chants
qui remplissent L’Opéra.Le Spectacle que je vois
t plaisir aux folies qui s’y faisoient ». chapitre VIII. Parlant des
chants
dont les danses sont souvent accompagnées, ils re
de la « Naissance de la tragédie » évoquant le délire d’Isolde, ce «
chant
de cygne métaphysique. » Le « tout bruissant » me
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