Chapitre XVI. De la maniere de faire les
bras
avec les Contre-tems de Gavote. Ce pas est un
gauche est devant à la quatriéme position : ainsi vous devez avoir le
bras
droit opposé : pour lors en pliant sur le pied ga
pposé : pour lors en pliant sur le pied gauche pour sauter dessus, le
bras
droit du même tems s’étend en prenant son contour
ms s’étend en prenant son contour de haut en bas, & le poignet du
bras
gauche se plie aussi de haut en bas ; mais ses tr
t ensemble, c’est-à-dire, lorsque vous pliez sur le pied gauche ; les
bras
par consequent prenent leurs mouvemens dans l’ins
l’instant. Pour les faire en arriere, c’est la maniere & pour les
bras
aussi. Quant à ceux de côté ils se font differemm
x de côté ils se font differemment, tant à l’égard des jambes que des
bras
, & comme je vous en ay fait sentir tous les d
ur mieux faire sentir tous les differens tems & mouvemens que les
bras
doivent executer dans le cours de ce pas. 257.
t du coté gauche [Légende intérieure] [de part et d’autre] chemin du
bras
Sçavoir, lorsque vous avez les pieds à la deuxié
: ainsi qu’il est representé par cette premiere Figure dont les deux
bras
sont étendus & où sont ces mots à chacun, che
les deux bras sont étendus & où sont ces mots à chacun, chemin du
bras
, ce qui est pour faire remarquer de quelle situat
emin du bras, ce qui est pour faire remarquer de quelle situation les
bras
se doivent plier. 258. Deuxieme attitude pour l
tretems de coté [Légende intérieure] [de part et d’autre] contour du
bras
de haut en bas Lorsque l’on prend le mouvement d
vous relevant en sautant, vous retombez sur le pied gauche, & vos
bras
s’étendent par le contour qui est exprimé par ces
as s’étendent par le contour qui est exprimé par ces mots, contour du
bras
de haut en bas, ce qui est à l’un & à l’autre
ui est à l’un & à l’autre : afin de faire comprendre que les deux
bras
font le même mouvement à la fois. 259. Troisiem
r sauté Cette troisiéme Figure, est pour vous faire voir, comme les
bras
doivent être étendus après le saut, & pour fa
le pied gauche à la deuxiéme position, mais pendant ces deux pas les
bras
restent étendus sans faire aucun contraste. Quant
, sans roideur, & sans affectation. De la maniere de faire les
bras
avec les Contre-tems ouverts ou de Chaconne.
osition ; c’est pourquoi si vous avez le pied gauche devant, c’est le
bras
droit qui se trouve opposé : & dans cette att
sur le pied gauche, il faut plier dessus, & sauter en étendant le
bras
droit ; puis porter le pied droit à côté à la 2e
rriere à la troisiéme, qui est votre second pas, dans le même tems le
bras
gauche se plie de bas en haut ; ce qui fait le co
tez le pied gauche devant le droit à la cinquiéme position ; c’est le
bras
droit qui s’oppose : par consequent dans l’étendu
n’est causé que par un seul pas, soit devant, soit derriere. Pour les
bras
il faut en commençant votre pas, étendre les bras
derriere. Pour les bras il faut en commençant votre pas, étendre les
bras
, & ne faire l’opposition qu’au dernier pas ;
as, il faut opposer en les commençant. De la maniere de faire les
bras
avec les Contre-tems Balonnez. Ce Contre-tems
-il fort en usage dans les danses de Ville. La maniere d’en faire les
bras
n’est pas fort embarrassante, & on ne doit fa
sé sur le pied gauche, vous pliez dessus en levant le droit, & le
bras
droit dans l’instant se contourne de haut en bas,
ant sur le droit pour ce second mouvement, il ne faut pas changer vos
bras
. Vous devez aussi observer en faisant ce pas en a
le corps fort en arriere, & la tête un peu tournée du côté que le
bras
est opposé. Mais lorsque vous le faites en arrier
à-dire qu’en partant du pied droit en arriere, comme il est devant le
bras
gauche opposé : ainsi dans le tems que vous prene
prenez votre premier mouvement pour passer le pied droit derriere, le
bras
gauche se contourne de haut en bas, & le bras
droit derriere, le bras gauche se contourne de haut en bas, & le
bras
droit revient de bas en haut ; ce qui fait tout l
bras droit revient de bas en haut ; ce qui fait tout le changement de
bras
que vous devez observer dans ce pas. Quant à celu
eux poignets. Voilà toutes les manieres les plus convenables pour les
bras
avec ces differens pas.
Chapitre VIII. De la maniere de faire les
bras
avec les pas de Bourrée, ou Fleurets. Après av
r vous donner une intelligence claire sur les differens mouvemens des
bras
, & sur la maniere de les conduire suivant les
yant fait sentir en même tems l’opposition ou le contraste du pied au
bras
, il ne me reste plus que de vous conduire dans la
faites un pas de Bourrée en avant du pied droit, votre changement de
bras
se doit faire de cette sorte ; c’est que le bras
votre changement de bras se doit faire de cette sorte ; c’est que le
bras
droit qui est opposé au pied gauche, doit s’étend
che, doit s’étendre dans le tems que vous prenez votre plié, & le
bras
gauche se tourne en dessous du même tems pour se
se devant pour s’élever le corps dessus : ce qui fait l’opposition du
bras
gauche au pied droit. Quant aux deux pas qui sont
t la construction de votre pas de Bourrée, il ne faut pas changer vos
bras
, en ce qu’il n’y a qu’une opposition dans ce pas.
droit, en prenant votre demi coupé du même pied en arriere, c’est le
bras
droit qui se doit plier, en ce que l’on ne regard
erale, lorsque l’on fait un pas en arriere d’un pied ; c’est aussi le
bras
du même côté qui s’oppose. A l’égard du pas de Bo
u droit en allant à la gauche, en croisant votre pied droit, c’est le
bras
gauche qui s’oppose, & le droit qui s’étend ;
& que vous portez, à côté à la 2e. position, dans le même tems le
bras
gauche s’ouvre ; & lorsque vous tirez le pied
à la 3e. & qui fait le troisiéme pas de votre pas de Bourrée, le
bras
droit se plie en formant l’opposition au pied gau
le ; parce qu’il peut arriver que vous soyez obligé de plier les deux
bras
, pour faire ce pas suivant, alors c’est l’affaire
le faire à la 4e. position derriere : ce qui vous oblige de plier le
bras
droit pour faire l’opposition au gauche qui est d
eux pointes des pieds, les jambes tenduës emboetées, sans changer vos
bras
, & lorsque vous glissez le pied droit devant,
pied droit devant, qui est le dernier pas de votre pas de Bourrée, le
bras
droit s’étend en arriere en effaçant l’épaule, &a
rrée, le bras droit s’étend en arriere en effaçant l’épaule, & le
bras
gauche se plie devant ; en faisant son contraste
n place & en presence ; mais comme ce pas est ouvert d’abord, les
bras
imitent les pas : par exemple, vous prenez votre
mi-coupé du pied droit à côté à la 2e. position, & comme vos deux
bras
sont ouverts, vous pliez les deux poignets en fai
t l’autre pied derriere qui fait le troisiéme pas, vous pliez le même
bras
du pied que vous tirez derriere ; ce qui fait le
it le contraste au pied qui se trouve devant. La maniere de faire les
bras
à ce pas est differente des autres ; parce que vo
s bras à ce pas est differente des autres ; parce que vous opposez le
bras
au pied en commençant, & à celui-ci vous ne l
a fin du pas : par exemple, vous avez le pied gauche devant, & le
bras
droit opposé ; vous faites votre demi-coupé en pl
gauche, & vous vous élevez sur le droit qui dans le même tems le
bras
s’étendant, vous donne la facilité d’effacer le c
; ensuite vous laissez glisser le droit devant à la 4e. position, le
bras
gauche se plie du même tems, & s’avance aussi
ie du même tems, & s’avance aussi devant qui fait l’opposition au
bras
droit. Il y en a d’autres aussi que l’on appelle
à deux mouvemens ; ce pas se fait en avant & de côté : quant aux
bras
, il n’y a qu’une opposition ; en ce que si vous l
’une opposition ; en ce que si vous le prenez du pied droit, c’est le
bras
gauche qui se plie en devant, & lorsque vous
e vous faites le dernier pas de ce même pas qui est un demi-jetté, le
bras
gauche s’étend : ainsi les deux bras sont ouverts
me pas qui est un demi-jetté, le bras gauche s’étend : ainsi les deux
bras
sont ouverts. Mais quand vous le faites de côté,
re demi-coupé du pied droit en le croisant devant le gauche, c’est le
bras
gauche qui vient s’opposer, & s’étend tout au
me pas (ce qui fait une espece de pas tombé :) dans ce tems, les deux
bras
qui sont étendus se baissent un peu & se rele
se baissent un peu & se relevent ; ce qui finit l’action que les
bras
doivent observer dans tout le cours du pas.
Chapitre quatrième. Étude des
bras
[1] La position, les oppositions42, et surtout
un grand travail, et un soin extrême. Le danseur qui placera bien ses
bras
et qui les fera mouvoir gracieusement, selon tout
. [2] Si la nature ne vous a point favorisé, en vous donnant de beaux
bras
arrondis et bien faits, vous ne sauriez alors tro
léchi vous pourrez parvenir à donner de l’élégance, de la grâce à des
bras
maigres, et vous ferez même disparaître leur long
lui qui veut mériter d’être rangé parmi les artistes. Il faut que les
bras
soient sans cesse arrondis tellement, que la poin
acieusement réunis et groupés. Il faut que la position et le port des
bras
se montrent avec aisance et avec douceur. Banniss
plus parfait dans l’exercice de ses jambes. [5] Simple position des
bras
, fig. i, planc. I. Position du poignet et des do
. i, planc. I. Position du poignet et des doigts, fig. i, planc. I.
Bras
à la seconde, fig. i, planc. I. Bras en oppositi
des doigts, fig. i, planc. I. Bras à la seconde, fig. i, planc. I.
Bras
en opposition, fig. 4, planc. I. Bras Arrondis a
la seconde, fig. i, planc. I. Bras en opposition, fig. 4, planc. I.
Bras
Arrondis au-dessus de la tête, fig. 5, planc. I.
lanc. II. Opposition des demi-bras, fig. 3, planc. I. Positions des
bras
dans les différentes attitudes, planc. V, VI, VII
différentes attitudes, planc. V, VI, VII, VIII et IX. Positions des
bras
dans les arabesques, planc. X, XI et XII. N.-B.
II. N.-B. On doit remarquer que dans les arabesques la position des
bras
s’écarte de la règle commune, et c’est au goût du
et dans les arabesques, fig. 5, planc. V. Positions défectueuses des
bras
, fig. i, 2 et 3, planc. III. 42. « De tous l
mouvements qui se font en dansant, c’est l’opposition ou contraste du
bras
au pied, qui nous est la plus naturelle, et à laq
us verrez que lorsqu’elles portent le pied droit en avant, ce sera le
bras
gauche qui s’opposera naturellement ; ce qui me p
C’est de cette même règle que les habiles danseurs ont conduit leurs
bras
; l’opposition du bras au pied, qui est, que lors
gle que les habiles danseurs ont conduit leurs bras ; l’opposition du
bras
au pied, qui est, que lorsque vous avez le pied d
u pied, qui est, que lorsque vous avez le pied droit devant, c’est le
bras
gauche qui doit être opposé (a). » [NdE J. G. No
e bras gauche qui doit être opposé (a). » [NdE J. G. Noverre, art. «
Bras
», Encyclopédie méthodique. Arts académiques, Par
devant, c’est-à-dire qu’il le porte en avant, il veut indiquer que le
bras
gauche doit, pour balancer la déclinaison de la l
, planc. IV ; toutes les figures, planc. VIII). 43. Mouvements des
bras
. Le mouvement du poignet se prend de deux manière
our, et par ce mouvement la main se trouve à la première position des
bras
. Le coude, comme le poignet, a son mouvement de h
ez les coudes, les poignets les accompagnent ; ce qui empêche que les
bras
ne soient roides, et ce qui leur donne beaucoup d
du coude avec le poignet. Ainsi pour les mouvoir de haut en bas, les
bras
étant placés, il faut plier le coude et le poigne
s étant placés, il faut plier le coude et le poignet : et lorsque les
bras
sont pliés, vous achevez de les étendre. Ensuite
s coudes en faisant seulement un cercle, et en observant que les deux
bras
doivent se plier également l’un contre l’autre, e
de danseurs se sont distingués par la belle manière de faire agir les
bras
, Cela provient et de la médiocrité des principes
lante exécution des jambes, ils peuvent se passer du bel ornement des
bras
, et s’exempter les difficultés de l’étude qu’ils
s seulement de danser avec les jambes ; il faut aussi danser avec les
bras
et avec le corps. « Les bras qui accompagnent bi
jambes ; il faut aussi danser avec les bras et avec le corps. « Les
bras
qui accompagnent bien le corps en dansant, font c
t : ainsi, quelque bien qu’un danseur fasse les pas, s’il n’a pas les
bras
doux et gracieux, sa danse ne paraîtra pas animée
effet que le tableau hors de sa bordure. » [NdE J. G. Noverre, art. «
Bras
», Encyclopédie méthodique. Arts académiques, Par
, Plomteux, 1786, p. 374-375.] 45. Il faut aussi savoir placer ses
bras
selon sa construction physique. Si le danseur a l
ique. Si le danseur a la taille courte, il doit porter en général ses
bras
plus haut que ne l’indiquent les règles reçues et
le Point de réunion de l’humérus ou avant-bras, avec le radius ou le
bras
, mais nos élèves le connaissent mieux par la dési
Chapitre XI. De la maniere de faire les
bras
avec les pas Tombez & les pas de Gaillarde.
ns me donnent lieu aussi que je vous explique la maniere de faire les
bras
convenables à ces differens pas. Par exemple, si
t que vous le commenciez par vous élever sur la pointe des pieds, les
bras
étant à la hauteur que le represente la Figure qu
me Partie : ainsi lorsque votre pied se tire derriere en tombant, les
bras
quoique étendus se baissent ; ce qui se fait par
par le mouvement de l’épaule qui se d’étend, en laissant baisser les
bras
& les relever dans le moment : vous voyez par
dans le moment : vous voyez par là, la conformité des jambes avec les
bras
; puisque dans le tems que vous tirez votre pied
comme si les forces vous manquoient (ce qui fait votre pas tombé) les
bras
se baissent aussi & se relevent, lorsque vous
rmine votre pas tombé, qui est un demi jetté : ainsi pour ce pas, les
bras
ne font que se baisser & se relever, ce qui e
ouvement de l’épaule, puisque ce n’est que par cette jointure que les
bras
s’émouvent. A l’égard des pas de Gaillarde, il fa
ment, en ce qu’ils se commencent par un assemblé ; c’est pourquoi les
bras
se tournent en dessous avant que vous pliez, lors
e tournent en dessous avant que vous pliez, lorsque vous assemblé les
bras
& les poignets se plient à demi en les prenan
s votre second pas que vous portez à côté à la deuxiéme position, vos
bras
en retournant de haut en bas, s’étendent dans leu
d que vous avez porté à côté pour tirer ensuite l’autre derriere, les
bras
font le même mouvement que je viens de dire au pa
de-Chaconne : pour celui-ci, comme il se fait en avant, vous posez un
bras
au pied contraire. Mais comme j’ai deja dit, que
un assemblé ainsi si vous le faites du pied droit en avant, c’est le
bras
gauche qui doit s’opposer en avant de bas en haut
en haut : par exemple, en prenant votre mouvement pour assembler, le
bras
droit qui étoit devant, s’étend en dessous ; &
; puis ils se redressent en vous élevant sur ce pied droit, & le
bras
gauche s’étend, pour lors vos deux bras restent d
t sur ce pied droit, & le bras gauche s’étend, pour lors vos deux
bras
restent dans leur situation, sans faire aucun mou
Chapitre VII. De la maniere de faire les
bras
avec les tems de Courante, & les demi coupez
rriere. Après que l’on s’est mis dans l’habitude de se mouvoir les
bras
avec tous les agrémens qu’ils doivent avoir ; si
ire : outre que l’on s’accoutumera aussi d’accorder les mouvemens des
bras
avec les jambes ; c’est pourquoi j’ai mis ces qua
de suite qui expriment les differentes attitudes dans lesquelles les
bras
& les jambes doivent se mettre. Premierement,
du pied qui touche à terre, & par consequent prête à marcher, le
bras
gauche 4. opposé au pied droit, & le bras dro
ent prête à marcher, le bras gauche 4. opposé au pied droit, & le
bras
droit 5. étendu à côté, la main en dehors 6. &
ure qui fait le demi cercle 7. est pour vous marquer le chemin que le
bras
doit faire. Pour commencer ce tems, il faut appro
n bas, qui forment le demi cercle ; & vous tracent le tour que le
bras
doit faire de haut en bas, comme ces autres mots
le pied gauche en l’air 3. les deux talons l’un près de l’autre, les
bras
en dessous 4. à la même hauteur : afin que vous f
qui vous conduira à la vraye intelligence de sçavoir le pas avec les
bras
. 217. Figure du mouvement du cou du pied La 3
nt, & à mesure que vous le glissez à la quatriéme position, votre
bras
droit doit former son contraste ; ce qui termine
it former son contraste ; ce qui termine le pas & la conduite des
bras
dans l’étenduë de ce pas. Mais comme on ne peut t
Mais comme on ne peut trop avoir d’attention, pour bien conduire ses
bras
en dansant, & que tout dépend du commencement
mmencement, je vous prie de faire attention à cette Figure, elle a le
bras
droit 6. opposé au pied gauche 7. qui se trouve d
bras droit 6. opposé au pied gauche 7. qui se trouve devant, & le
bras
gauche 8. étendu & retiré en arriere de même
uivante. Supposé que votre dernier tems soit du pied droit ; c’est le
bras
gauche qui se trouve opposé devant : ainsi vous p
faire les demi coupez,) & à mesure que vous prenez votre plié, le
bras
qui étoit opposé fait son demi-cercle de haut en
evez aussi remarquer que lorsque vous allez en arriere, c’est le même
bras
, & le même pied qui agissent ; parce que cela
xemple, si c’est le pied droit qui fait le demi-coupé, c’est aussi le
bras
droit qui vient devant de bas en haut. Il se form
n ouverte, & qui par consequent ne demande pas d’opposition ; les
bras
étant ouverts dans ce pas il faut faire un mouvem
deux, & aussi des poignets de bas en haut : par exemple, vos deux
bras
ouverts, & les mains tournées de même qu’ils
ere Figure cy-devant, il faut en pliant que vous laissiez tourner vos
bras
en dessous, & en vous relevant & finissan
ement des coudes & des poignets de bas en haut ; ce qui remet vos
bras
dans leur premiere situation.
Chapitre XIV. De la maniere de faire les
bras
avec les pas de Sissonne. Vous ayant donné l’e
pour bien faire ce pas, il vous reste celle de sçavoir y mouvoir les
bras
avec cette douceur qui doit accompagner les pas ;
it se trouve opposé : alors en prenant votre premier mouvement, votre
bras
droit fait aussi du même tems son mouvement en le
t le gauche, & sur lequel vous faites un second saut, sans que le
bras
gauche change son opposition, puisque ce second s
us ce pied droit qui est devant ; ce qui fait le contraste du pied au
bras
. J’ai dit qu’il se fait d’une autre façon en plac
e pied de derriere, ce qui ne change point pour cela cette maniere de
bras
, en ce que le pied droit se trouve devant : ainsi
on y est conforme. Pour ceux qui se font en tournant, se doit être le
bras
opposé qui vous fasse tourner, dont vous en trouv
uplet où il se trouve deux contre-tems, de côté sur le pied droit, le
bras
gauche opposé qui en s’étendant vous fait faire p
tour à gauche ; mais comme le pied droit se croise derriere, c’est le
bras
droit aussi qui se plie, en ce qu’il se trouve op
gle generale est que pour les pas en tournant, il faut que ce soit le
bras
du côté que vous voulez tourner qui vous en donne
la même regle que des autres pas qui s’y font ainsi, sçavoir, le même
bras
, & le même pied. Je conseillerois volontiers
ied. Je conseillerois volontiers à ceux qui sont curieux de faire les
bras
avec liberté, lorsqu’ils commencent à les faire,
commencent à les faire, d’exercer aussi plusieurs de ces pas avec les
bras
, parce qu’outre que ces pas donnent de la legeret
re que ces pas donnent de la legereté au corps, ils donnent aussi aux
bras
cette liberté.
Chapitre VI. De l’opposition des
bras
aux pieds. De tous les mouvemens qui se font e
mouvemens qui se font en dansant, c’est l’opposition ou contraste du
bras
au pied qui nous est la plus naturelle, & à l
vous verrez que lorsqu’ils portent le pied droit en avant, ce sera le
bras
gauche qui s’opposera naturellement ; ce qui me p
C’est sur cette même regle que les habiles Danseurs ont conduit leurs
bras
, l’opposition du bras au pied, qui est, que lorsq
egle que les habiles Danseurs ont conduit leurs bras, l’opposition du
bras
au pied, qui est, que lorsque vous avez le pied d
u pied, qui est, que lorsque vous avez le pied droit devant, c’est le
bras
gauche qui doit être opposé pendant l’étenduë de
s de Courante en avant, qui n’a qu’un pas, si c’est du pied droit, le
bras
gauche s’oppose de même que le pas de Bourée ou F
oit composé de trois pas, il n’oblige pas à faire trois changemens de
bras
, il suffit de l’opposer au premier pas. Mais comm
ttitude convenable. Elle a le corps droit, la tête tournée du côté du
bras
opposé, qui est le droit, & qui est plié deva
nt vous, mais la main à la hauteur de l’épaule & même devant ; le
bras
gauche étendu à côté & même un peu en arriere
Mais lorsque vous voulez changer d’opposition, remarquez que vos deux
bras
agissent ensemble, & font chacun un mouvement
sent ensemble, & font chacun un mouvement contraire, en ce que le
bras
qui est étendu, se tourne en dessous 3. & cel
aut [à gauche] 6 [à droite] 7 Etant donc tous les deux en dessous le
bras
gauche, retourné de bas en haut 5. de la même man
llerois de vous presenter devant un miroir, & là d’y conduire vos
bras
de la maniere que je viens de vous le montrer, po
plus courts, que je puisse vous fournir pour faire les mouvemens des
bras
avec la grace & la précision que cet Art le d
Chapitre IX. De la maniere de faire les
bras
avec les Coupez de differentes façons. Comme i
avant, par consequent vous devez avoir le pied gauche devant & le
bras
droit opposé ; c’est pourquoi en pliant votre dem
t opposé ; c’est pourquoi en pliant votre demi-coupé, vous étendez ce
bras
en lui faisant prendre son contour de bas en haut
z le pied gauche devant qui fait la seconde partie de votre coupé, ce
bras
droit se plie en devant ; ce qui fait la juste op
ce bras droit se plie en devant ; ce qui fait la juste opposition du
bras
au pied. Coupé sans poser le corps.Il y en a d’a
du pied à côté sans poser le corps dessus : pour lors ayant étendu un
bras
à votre demi-coupé, vous laissez les deux ouverts
ntez par la premiere Figure ci-devant, qui démontre la hauteur où les
bras
doivent être ; d’autant que lorsque vous êtes pla
devez observer la même chose au demi-coupé, qui est d’étendre le même
bras
du pied que vous faites le demi-coupé, sans néanm
que vous faites le demi-coupé, sans néanmoins que ni l’un ni l’autre
bras
fasse aucun mouvement pendant l’ouverture de jamb
tourner.D’autres que vous prenez en avant ; c’est qu’ayant étendu le
bras
en prenant votre demi-coupé, vous le passez avec
avec le même pied, si vous devez tourner ; parce que ce doit être ce
bras
qui vous serve de guide ou de balancier pour vous
regle generale, si vous avez à tourner du côté droit, il faut que le
bras
droit se plie, parce qu’après il s’étend & do
votre demi-coupé, supposé que vous le fassiez du pied droit, c’est le
bras
droit aussi qui s’oppose, & se remet dans le
s : l’autre opposition est que le pied gauche, se passant derriere le
bras
gauche revient aussi devant ; ce qui fait l’oppos
vous les commencez du pied droit vous pouvez faire une opposition du
bras
gauche, en faisant votre demi-coupé, & l’éten
s ce pas en prenant votre demi-coupé en avant du pied droit, c’est le
bras
gauche qui s’oppose à la jambe droite, & pour
droite, & pour le mieux distinguer, l’épaule droite s’efface, son
bras
fort étendu en arriere ; ce qui dégage le corps,
p; qui sont battus au second pas, on ne doit faire aucun mouvement de
bras
dans le tems que vous formez vos battemens ; parc
Chapitre XXIV. De la maniere de faire les
bras
du Menuet. La maniere de conduire ses bras ave
la maniere de faire les bras du Menuet. La maniere de conduire ses
bras
avec grace dans le Menuet, est aussi necessaire q
le corps, & en font tout l’ornement. 99. Premiere attitude des
bras
du Menuet Ainsi les bras doivent être placez à
ut l’ornement. 99. Premiere attitude des bras du Menuet Ainsi les
bras
doivent être placez à côté du corps comme cette p
ui feroit roidir les jointures superieures, & empêcheroit que les
bras
ne se remuent avec la même douceur necessaire que
que l’on doit observer dans cette occasion. 100. Deuxieme tems des
bras
du Menuet Les bras ainsi posez, vous les laisse
er dans cette occasion. 100. Deuxieme tems des bras du Menuet Les
bras
ainsi posez, vous les laissez tomber presque dess
me que le represente cette seconde Figure. 101. Troisieme temps des
bras
du Menuet Mais du même tems en prenant le secon
vû plusieurs personnes faire des balancez en dansant le Menuet ; les
bras
se font differemment des autres pas : on doit les
hes, & en faisant votre premier balancé qui est du pied droit, le
bras
gauche s’oppose en l’avançant un peu en devant de
’oppose en l’avançant un peu en devant de même que l’épaule, & le
bras
& l’épaule droite s’effacent en arriere : com
t une petite inclination, & au second, elle se redresse & les
bras
se remettent dans leurs situations. Pour les Demo
leurs situations. Pour les Demoiselles qui ne doivent point faire de
bras
dans le Menuet, que lorsqu’elles presentent les m
it paroître la poitrine large & donne plus de grace au corps, les
bras
étendus à côté du corps, de façon que les coudes
ansant, elle tient ses jupes avec le pouce & le doigt suivant les
bras
étendus à côté du corps, les mains en dehors, &am
Chapitre XII. De la maniere de faire les
bras
avec les Pirouettez. Quoique le Piroüetté soit
aire le Piroüetté, je vais donc vous donner la maniere d’en faire les
bras
: aussi pour que vous soyez instruit plus intelli
laquelle vous devez comprendre plus facilement les mouvemens, que les
bras
doivent faire. Cette Figure est posée sur le pied
igure est posée sur le pied droit, 1. la jambe gauche en l’air, 2. le
bras
droit étendu, 3. le bras gauche plié, 4. la tête
ed droit, 1. la jambe gauche en l’air, 2. le bras droit étendu, 3. le
bras
gauche plié, 4. la tête tournée du côté gauche 5.
la maniere de le faire) en vous relevant sur la pointe des pieds, le
bras
s’étend en faisant un rond du coude & du poig
ant un rond du coude & du poignet : de même que ces mots, rond du
bras
fait entier, l’expriment, ce qui accompagne le co
priment, ce qui accompagne le corps dans le tour qu’il fait, & le
bras
se tournant doucement de bas en haut un tour enti
ure, en la faisant porter à plomb sur un seul pied, & regarder le
bras
gauche pour le conduire avec la justesse & la
cette action. Il se fait aussi des Piroüettez qui sont sautez, où les
bras
se conduisent à peu prés de même : excepté que le
s bras se conduisent à peu prés de même : excepté que le mouvement du
bras
imite celui de la jambe, en ce que lorsque vous s
e que lorsque vous sautez le mouvement se releve plus vîte : aussi le
bras
s’étend vivement ; ce qui facilite le corps de se
vivement ; ce qui facilite le corps de se tourner du même côté que le
bras
s’étend. Ces mouvemens cependant quoique sautez,
Chapitre XVII. Des differentes manieres de faire les
bras
avec toutes sortes de Chassez. Après vous avoi
il est necessaire aussi que je vous explique la maniere d’y faire les
bras
de plusieurs façons. Je vais donc commencer par c
ls sont précedez d’un coupé : ainsi dans ce coupé vous pliez les deux
bras
, & vous les étendez au premier mouvement du c
qui se releve sur le pied contraire à la jambe, qui a chassé le même
bras
du côté de la jambe, qui se leve, il se plie, par
omme j’ai dit ci-devant dans le Chapitre des Piroüettez, que c’est le
bras
qui donne au corps la facilité de se tourner du c
n’y faudroit pas d’opposition ; il est vrai, que l’on ne fait pas de
bras
dans les chassez de cette danse, à cause qu’elle
gures qui en expriment les mouvemens ; à ce pas il suffit d’avoir les
bras
étendus : par exemple, si vous le prenez en reven
jambe droite doit se lever pour chasser la gauche : c’est pourquoi le
bras
& l’épaule droite doivent être levez plus que
pourquoi le bras & l’épaule droite doivent être levez plus que le
bras
& l’épaule gauche, quoique étendus les uns &a
aule gauche, quoique étendus les uns & les autres ; parce que les
bras
ne servent dans ce pas que de balancier. Ils ne l
aucune danse de Ville, je ne parlerai pas de la maniere d’y faire les
bras
.
ez les coudes, les poignets les accompagnent ; ce qui empêche que les
bras
ne soient roides, & leur donnent beaucoup de
s ; c’est ce qui m’oblige de repeter cette seconde répresentation des
bras
, afin de ne rien omettre pour faire tous ces mouv
t Rond du coude [+ à droite] Rond du coude Rond du poignet 6 plie des
bras
8 [+ à gauche deux fois] de bas en haut [+ à droi
ois] de bas en haut [+ à droite deux fois] de bas en haut Comment les
bras
doivent Rester [+ à gauche] Relevé tombé [+ à dro
[+ à droite] tombé Relevé Ainsi pour les mouvoir de haut en bas, les
bras
étant placez comme ils sont representez 5. il fau
rond du Coude, rond du Poignet, vous le marquent ; & lorsque les
bras
sont pliez 6. vous achevez de l’étendre 7. &
lorsque les bras sont pliez 6. vous achevez de l’étendre 7. & les
bras
se remettent dans la même situation qu’ils étoien
haut, à chacun en particulier : afin de faire comprendre que les deux
bras
se doivent plier également l’un comme l’autre, &a
endre de bas en haut ; de plus pour les oppositions, ordinairement le
bras
qui est étendu se tourne en dessous, & il se
e ils ne sont gueres distinguez que dans les pas tombez ; lorsque vos
bras
sont étendus 9. il faut les laisser baisser un pe
est exprimé par ces mots tombé & relevé, ce qui est à chacun des
bras
, & lorsqu’ils ont baissé ils se remettent à l
Chapitre XIII. De la maniere de faire les
bras
avec les Balancez. Le Balancé est un des pas l
on le fait differemment je donnerai aussi deux manieres d’y faire les
bras
. C’est pourquoi, lorsque vous portez votre premie
ion (ce pas se faisant après un autre pas, qui vous engage à avoir un
bras
opposé) le bras qui est opposé devant, s’étend de
aisant après un autre pas, qui vous engage à avoir un bras opposé) le
bras
qui est opposé devant, s’étend de haut en bas, &a
le bras qui est opposé devant, s’étend de haut en bas, & l’autre
bras
qui est étendu fait un petit mouvement du poignet
parce qu’il faut que vous tâchiez quand vous faites un mouvement d’un
bras
, que celui qui est étendu fasse une petite action
triéme position : par exemple, si vous le commencez du pied droit, le
bras
droit qui est devant, s’étend en prenant son mouv
est devant, s’étend en prenant son mouvement de haut en bas, & le
bras
gauche se tournant en dessous, se plie & s’op
Chapitre XVIII. De la maniere de faire les
bras
avec les Saillies, ou pas échapez des deux pieds
l ne me reste plus que de vous instruire sur la maniere d’y faire les
bras
; je vous dirai seulement, que, lorsque vous le c
pieds l’un devant l’autre à la quatriéme position, par consequent un
bras
opposé qu’il faut faire votre premier mouvement :
n bras opposé qu’il faut faire votre premier mouvement : pour lors ce
bras
qui est opposé doit s’étendre de haut en bas, &am
aisant le troisiéme qui est un assemblé, vous laissez tomber vos deux
bras
à côté de vous ; puis vous faites un petit mouvem
ement de la tête en la baisant, & vous la relevez de même que les
bras
, lorsque vous faites un autre pas comme de Bourré
out point d’affectation. Je n’ai pas parlé de la maniere de faire les
bras
avec les tours de jambe, & avec les ouverture
ec les ouvertures de jambe ; parce que ce sont de ces actions, où les
bras
comme le corps doivent observer de la tranquillit
nir en même tems les moïens les plus faciles de les executer avec les
bras
, pour que l’on puisse apprendre à danser avec tou
Chapitre XV. De la maniere de faire les
bras
avec les pas de Rigaudon, & les Jettez. Le
de faire les bras avec les pas de Rigaudon, & les Jettez. Les
bras
de ce pas sont des moins embarrassans, & la r
es autres jointures à faire aussi quelques mouvemens : ainsi dans les
bras
ce ne sont que les poignets qui s’émouvent ; Sçav
ux poignets en les relevant de bas en haut : ce qui fait l’accord des
bras
avec le pas. On doit remarquer dans ce pas la rel
z seulement un petit mouvement des poignets de haut en bas, & les
bras
demeurent étendus dans le cours du second pas ; m
dent l’un à l’autre, & que ce sont des mouvemens très-legers, les
bras
par consequent ne se doivent pas tourmenter. Quan
uand vous faites vos jettez en arriere ; c’est la même chose pour les
bras
, en observant sur tout d’en prendre les mouvemens
Chapitre II. De la position des
Bras
& de l’élevation qu’ils doivent avoir. 1
as & de l’élevation qu’ils doivent avoir. 197. Elevation des
bras
pour Dancer Comme l’ornement du corps en dansan
s en dansant, ainsi que je viens de le dire, dépend de bien faire les
bras
, on ne peut donc prendre trop de précaution de le
ambes, les pieds à la deuxiéme position ; ce qui est relatif avec les
bras
, en ce que les jambes étant ouvertes, & les d
s jambes étant ouvertes, & les deux pieds sur une même ligne, les
bras
doivent estre ouverts & élevez également ; ca
personne a la taille courte il faut de necessité lui faire lever les
bras
un peu plus haut, afin de lui dégager la taille,
sur l’attitude que j’ai donné à mes Figures dans l’élevation de leurs
bras
; j’ai voulu consulter ce qu’il y a de plus habil
s attitudes du corps, les mouvemens des jambes, les dévoloppemens des
bras
. Sans elles rien ne peut se faire dans l’art de l
ez la vôtre ; je ne puis plier ni arrondir mes temps comme vous ; mes
bras
et mes jambes ne peuvent parcourir dans la même p
tête de la cuisse dans la cavité cotyloïde des os du bassin, celle du
bras
dans la cavité glénoïde de ceux de l’épaule. Le m
rsqu’une tète est reçue dans une cavité superficielle, comme celle du
bras
avec l’epaule ; l’autre au contraire est celle où
t celle, où les deux os se reçoivent mutuellement, comme font l’os du
bras
et l’os du coude ; le Tibia, et l’os de la jambe
contribue tant à l’élégance et à la bonne grace que le mouvement des
bras
combinés avec les oppositions de la tète et avec
oppositions de la tète et avec les positions des pieds ; pour que les
bras
soient beaux et qu’ils contrastent avec grace, il
gles, ils sont défectueux. J’avoue qu’il est un art à faire perdre au
bras
l’angle saillant qu’il décrit lorsqu’il se plie,
s qui y participent le plus. Les rondeurs et les mouvemens variés des
bras
dépendent du jeu de l’épaule, du bras, de l’avant
urs et les mouvemens variés des bras dépendent du jeu de l’épaule, du
bras
, de l’avant-bras et de la main ; pour que le bras
jeu de l’épaule, du bras, de l’avant-bras et de la main ; pour que le
bras
soit véritablement arrondi, il faut que le coude
et qu’il soit à son tour plus élevé que le poignet ; de sorte que le
bras
et le poignet dans cette position décrivent à peu
e position décrivent à peu près un quart de cercle. L’articulation du
bras
avec l’épaule constitue L’articulation par genou
insuffisants pour produire les courbures moelleuses et arrondies des
bras
, s’ils n’étoient aidés par le moyen d’une seconde
nts de Pronation et de Supina- lion qui concourent à faire prendre an
bras
une courbure agréable et un arrondissement parfai
ert par une contraction tonique, eu se balançant mutuellement ; si le
bras
, de colle position veut se porter en avant, pour
e n’est attachée que par des muscles, coopère avec l’articulation des
bras
(1) à l’exécution de ces mouvemens flatteurs dont
èrement, l’art y supplée, et les vêtemens étant artistement garnis au
bras
, eu diminuent la longueur et aident à son arrondi
e. Ce n’est que par des rondeurs que l’on peut diminuer l’étendue des
bras
et leur donner de la grace ; ce n’est que par les
oître plus courts. Point de principes, point de règles fixes pour les
bras
; c’est le goût seul qui leur assigne leurs mouve
les longueurs ; elles effacent les angles formés naturellement par le
bras
et l’avant-bras. Elles diminuent encore le grand
d angle qui se décrit depuis le poignet jusqu’à la hanche, lorsque le
bras
est élevé et exactement tendu ; mais toutes ces o
ession et à la bonne grace. Les règles arrondissent machinalement les
bras
, sans les rendre gracieux, sans les faire parler,
s rendre gracieux, sans les faire parler, et il faut que l’action des
bras
qui constitue le geste parle ; que les mains arti
é de l’exécution que ses mouvemens fussent aussi complets que ceux du
bras
, mais la nature ne l’ayant pas jugé nécessaire, e
ar genou ; son mouvement de rotation est moins manifeste que celui du
bras
avec l’épaule ; par la raison que la cavité des o
es iles, ou autrement cotiloïdes, est bien plus profonde que celle du
bras
appellée Glénoïde ; que les ligamens en sont plus
rations, ne pouvoit donner à cette partie autant de jeu qu’à celle du
bras
: Trop de mobilité se soi oit opposée à la solidi
rotation ; mouvemens qu’elle ne peut avoir aussi parfaitement que le
bras
, si l’art, l’application et l’exercice continuel
J’ai déjà dit que les angles doivent être proscrits des mouvemens des
bras
; il est nécessaire de dire qu’ils doivent égalem
qu’il donnera à ses élèves. Je suis, etc. (1). L’articulation du
bras
, ainsi que je l’ai dit, permet de mouvemens en fr
Chapitre X. De la maniere de faire les
bras
avec les Coupez de mouvemens. J’ai separé le c
i-coupé fort soûtenu dans ce même tems, vous laissez tourner vos deux
bras
un peu en dessous, & vous faites un demi mouv
cond mouvement qui est le jetté échapé, en commençant votre plié, vos
bras
s’étendent, & dans le même moment ils prennen
une liaison parfaite de tous les mouvemens, tant des jambes & des
bras
que de la tête & du corps. Quant à ceux que l
corps. Quant à ceux que l’on fait de côté, quoique les mouvemens des
bras
se prennent à peu près de même, il y a cependant
u pied droit, sans néanmoins vous distraire de faire ces mouvemens de
bras
de bas en haut ; mais les laisser un peu baissés
d’une demoiselle Elle se placera à la première position, les deux
bras
croisés à la hauteur des coudes, les coudes serré
t lever les talons, et de ne faire aucun faux mouvement du corps, des
bras
et de la tête. Révérence ordinaire d’un jeune
ne homme Il se placera à la première position, le corps droit, les
bras
tendus naturellement sur les côtés, sans les raid
r ni les abandonner avec nonchalance : s’il a un chapeau il lèvera le
bras
droit, et prenant son chapeau de la main droite,
a ceinture, les jarrets tendus ; il laissera tomber naturellement ses
bras
en avant, sans également les raidir, (voyez plan
yez planche huitième ) et, en se relevant, son corps, sa tête et ses
bras
se replaceront dans la même position qu’ils étaie
de même, ôtant son chapeau de la main droite, et laissant tomber son
bras
tendu sur le côté ; il aura l’attention de céder
-devant prescrites, si vous voulez saluer quelqu’un, il faut lever le
bras
droit à la hauteur de l’épaule, comme le represen
apeau, & les quatre doigts le maintiennent dans la main ; mais le
bras
se haussant un peu plus, leve tout-à-fait le chap
de soi, ce qui fait l’effet que representent ces mots : chemin que le
bras
fait. 26. La maniere de tenire son Chapeau a co
ue attitude principale pour les faire mieux sentir : sçavoir lever le
bras
à côté de soi en pliant le coude, approcher la ma
& prendre le chapeau, le lever de dessus, & laisser tomber le
bras
à côté de soi. Mais pour le remettre on doit obse
le remettre on doit observer le même ordre ; c’est-à-dire lever votre
bras
de la situation où vous l’avez pour lors à côté d
la tête ne doit faire aucune démonstration pour le recevoir, c’est le
bras
& la main qui le doivent poser. On ne doit pa
prendre garde de ne le point prendre par la forme, & d’avancer le
bras
& la main trop en devant, ce qui cache le vis
Chapitre III. Des differens mouvemens des
bras
. On compte dans les bras trois mouvemens de mê
hapitre III. Des differens mouvemens des bras. On compte dans les
bras
trois mouvemens de même que dans les jambes, &
es vous manquent : aussi l’épaule par son mouvement fait comme si les
bras
tomboient ; ce qui sera ci-après expliqué dans la
omboient ; ce qui sera ci-après expliqué dans la maniere de faire les
bras
à chaque pas. Ces mouvemens d’épaule se manifeste
ns d’épaule se manifestent encore dans les oppositions, en ce que les
bras
étant étendus, l’épaule s’efface en arriere : par
y fasse attention : en ce qu’ils se prennent dans les extremitez des
bras
; & c’est de ces mêmes extremitez qu’il sort
est de ces mêmes extremitez qu’il sort des graces infinies, quand les
bras
sont conduits avec douceur, & en suivant les
uisse s’instruire plus facilement. 203. Premiere Representation des
bras
pour le mouvement des Poignets [Légende intérieu
iment la forme ; ce qui est conforme à la premiere representation des
bras
, 1. mais il faut prendre garde de ne point trop p
; par ce mouvement la main se trouve à la premiere representation des
bras
de même qu’à cette derniere. 1.
lication des planches Planche I Fig. i. Première position,
bras
à la seconde. Fig. 2. Position du poignet et des
; demi-bras en opposition, et jambes à la troisième position. Fig. 4.
Bras
haut en opposition ; jambes à la cinquième positi
4. Bras haut en opposition ; jambes à la cinquième position. Fig. 5.
Bras
arrondis au-dessus de la tête, et jambes à la cin
fet. Planche III Fig. i, 2 et 3. Positions défectueuses des
bras
. Fig. 4 Défauts de la construction physique de l’
Fig. i. Position du danseur à la quatrième en avant-en l’air.
Bras
à la seconde (vue de profil). Fig. 2. Même positi
la seconde (vue de profil). Fig. 2. Même position, et sur la pointe.
Bras
en opposition (vue de face). Fig. 3. Position à l
ns des temps et des pas. Fig. 5. Position différente de la main et du
bras
, dans certaines positions du danseur. Planche
les anches, lisez, sur les hanches. Page 154. l. 10. de condiure les
bras
, lisez, de conduire les bras. Page 160. l. 2. qui
anches. Page 154. l. 10. de condiure les bras, lisez, de conduire les
bras
. Page 160. l. 2. qui agite la jambe & la bris
ui est du pied droit, lisez, qui est du pied gauche. Ibid. l. 16. le
bras
droit s’ouvre, lisez, le bras gauche s’ouvre. Ib
ui est du pied gauche. Ibid. l. 16. le bras droit s’ouvre, lisez, le
bras
gauche s’ouvre. Ibid. l. 19. ce qui produit deux
Chapitre I. Discours sur les
Bras
& sur l’utilité de les sçavoir conduire avec
disposition pour l’executer, que de s’attacher à bien conduire leurs
bras
: c’est pourquoi ils doivent lire avec beaucoup d
mp; leurs attentions. Pour moi, je dirai seulement que je regarde les
bras
qui accompagnent bien le corps en dansant comme l
: ainsi quelque bien qu’un Danseur fasse les pas, s’il n’a point les
bras
doux & gracieux, sa danse ne paroîtra pas ani
eur, que la danse étoit trop composée, et le mouvement symétrique des
bras
trop uniforme, pour que les tableaux pussent avoi
la vérité, donner moins d’attention aux jambes, et plus de soins aux
bras
; abandonner les cabrioles pour l’intérêt des ges
arler chez le danseur ; chaque geste, chaque attitude, chaque port de
bras
doit avoir une expression différente. La vraie pa
rnes trop étroites pour produire de grands effets. La seule action du
bras
droit que l’on porte en avant pour décrire un qua
e l’on porte en avant pour décrire un quart de cercle, pendant que le
bras
gauche qui étoit dans cette position rétrograde p
des passions : tant qu’on ne variera pas davantage les mouvemens des
bras
, ils n’auront jamais la force d’emouvoir ni d’aff
les qui s’opposent à la beauté, et à l’esprit de leur art. Le port de
bras
devant être aussi varié que les différents sentim
lorsqu’elle sent vivement ; et si dans ces instants elle entraîne le
bras
à tel ou tel geste, il est toujours aussi juste q
e danseur sera toujours médiocre. Il en est de même des mouvemens des
bras
; la bonne grace est à ces derniers, ce que le go
s se persuadent que j’entends par gestes les mouvemens expressifs des
bras
, soutenus par les caractères frappans et variés d
soutenus par les caractères frappans et variés de la physionomie. Les
bras
d’un danseur auront beau parler, si son visage ne
on diroit que tous gagnent ; mais que vos regards se fixent sur leurs
bras
, leurs attitudes et leurs gestes, vous voyez d’un
ués ; ce que l’on perdra du côté des jambes se retrouvera du côté des
bras
: plus les pas seront simples, et plus il sera fa
; mais il y a vingt ans que je l’étudie. L’applaudissement part ; les
bras
et les doigts méritent des éloges ; et on accorde
re que de penser que je cherche à abolir les mouvemens ordinaires des
bras
, tous les pas difficiles et brillans, et toutes l
tes de la danse ; je demande plus de variété et d’expression dans les
bras
; je voudrois les voir parler avec plus d’énergie
ment : c’est au visage seul à peindre ; c’est aux yeux à parler ; les
bras
mêmes doivent être immobiles ; et le danseur, dan
û qu’il soit passablement bien fait ; je lui enseignerai à remuer les
bras
et les jambes, et à tourner la tête ; je lui donn
e ; c’est en vain qu’ils menacent ; c’est en vain qu’Alceste tend les
bras
vers son époux ; le vaisseau marche et disparoît.
e, lui jure de seconder sa vengeance ; il lui offre le secours de son
bras
et de ses compagnons. Admète accepte avec reconno
is ; Lycomède offensé ose devenir téméraire. Alceste indignée lève le
bras
pour le frapper ; Lycomède la désarme et ordonne
illes ; on pose les échelles et l’on monte à l’assaut. Hercule de son
bras
nerveux brise et enfonce la porte de la ville. Un
que la tendresse maternelle fait couler, se jette à genoux, élève les
bras
vers le ciel, et l’implore en faveur de ses fils
e la mort se tracent sur ses traits, elle se frappe et tombe dans les
bras
de ses femmes. Hercule et Ismène, qui paroîssent,
de ses femmes. Hercule et Ismène, qui paroîssent, n’ont pu arrêter le
bras
d’Alceste. Cette Princesse, avant d’expirer, leur
chancèle, il apperçoit Hercule, marche vers lui et se jette dans ses
bras
; son premier soin est de lui demander Alceste. H
il se saisit du poignard, et veut se frapper ; Hercule lui arrête le
bras
, le désarme et lui promet de descendre aux enfers
et de la rendre à sa tendresse : Hercule se jette à genoux, étend ses
bras
vers le ciel et supplie Jupiter de lui accorder c
ectrices. Alceste ouvre les yeux, voit son époux et se jette dans ses
bras
: l’Hymen rallume son flambeau à celui de l’Amour
mb et assurance ; que le dessin de la position de votre corps, de vos
bras
, de vos jambes soit correct, et prononcé avec grâ
corps soit bien assuré sur ses jambes dans cette position et que les
bras
soient prêts à donner le mouvement et la force au
tours, par exemple à la seconde, et de placer ensuite la jambe et les
bras
dans la position de l’arabesque qu’offrent la fig
anc. XI. Le corps doit alors être bien allongé et bien penché, et les
bras
et la tête doivent gracieusement accompagner le m
incompréhensible qui le soutient, parce que la position du corps, des
bras
, de la jambe qui est en l’air, et la vitesse avec
VIII. Cette pirouette est d’un grand effet. La position angulaire du
bras
droit doit ajouter au brillant de la pirouette. O
ucun effet. Il faut que le corps soit très penché en avant, et que le
bras
droit se développe presque en entier. La jambe qu
te attitude encore plus gracieuse pour un danseur, on doit étendre le
bras
gauche qui tient le caducée ; en enlevant cet ang
qui tient le caducée ; en enlevant cet angle que produit l’action du
bras
, cela rend la pirouette beaucoup plus agréable. D
’attitudes et d’arabesques, pourvu que le dessin de son corps, de ses
bras
et de ses jambes soit gracieux et facile, et que
hanale, 67, 95. Ballets, leur origine, quand connus en France, 7, 39.
Bras
, 57. C Cadence, 36. Canova, son génie, 91. Carac
4. Équilibre, 52, 65, 66. Étude des jambes, 40. — du corps, 52. — des
bras
, 57. Exercices, 100, 109. Explication des planche
logne, 67. Mesure, 36. Moelleux, 43. Mouvements des jambes, 42. — des
bras
, 58, — du corps, 54. Musique, 34, 36. N Noverre,
et leurs dérivés, 47, 64. — des jambes, 47, 51. — du corps, 52. — des
bras
, 56, 62 Préparations des temps et des pas, 64. R
s. Le cavalier, pour saluer, portera la main au chapeau, levant le
bras
à côté de lui selon la manière que nous avons dém
côté de lui selon la manière que nous avons démontrée pour porter les
bras
; puis se découvrant, il descendra le chapeau de
tant plié : dans cette position, les épaules pencheront en avant, les
bras
descendront naturellement en ligne perpendiculair
ans la forme que nous avons indiquée ; puis le corps se relevant, les
bras
reprendront naturellement leur place. Le cavalier
une bonne contenance ; si c’est un cavalier, qu’il laisse tomber les
bras
; il les soutiendra dans le mouvement naturel de
dra dans le mouvement naturel de la marche, lequel oppose toujours le
bras
à la jambe du même côté ; il ne balancera point l
é opposé à son passage, descendant le chapeau dans toute l’étendue du
bras
, comme signe de grande considération, s’inclinant
Si c’est une dame que l’on accompagne, on ne doit point lui offrir le
bras
, cela est familier, et ne pourrait être au plus q
cence, et s’abstenir de précipiter sa marche ni de laisser tomber les
bras
comme les cavaliers ; elle les tiendra près d’ell
écouvrira de la main gauche, tenant le chapeau bas selon l’étendue du
bras
: s’étant fait annoncer, s’il faut attendre dans
ra la révérence pareillement et en même tems, descendra doucement les
bras
, les soutenant dans la forme que nous avons indiq
e chose à représenter, en relevant le salut on levera en même tems le
bras
droit, duquel l’on tiendra ce que l’on a à présen
era aussitôt, observant la manière indiquée pour lever et baisser les
bras
; et après l’avoir présenté, en baissant la main,
écouvrira de la main gauche, tenant le chapeau bas selon l’étendue du
bras
; on entrera en marchant posément, et selon le se
ce et marquer plus de condescendance, elle descendra en même tems les
bras
, les soutenant dans la forme que nous avons indiq
oints, les pieds un peu en dehors, le corps droit, la tête haute, les
bras
contre soi, et pliés de façon que l’avant bras to
it, la tête haute, les bras contre soi, et pliés de façon que l’avant
bras
tourne en avant, et les mains posées sur soi, les
ra à table, ne s’en approchant ni ne s’en éloignant trop ; tenant les
bras
près de soi, on posera les poignets sur la table.
e, à cette position, fera la révérence, et en même tems descendra les
bras
selon que nous l’avons démontré précédemment ; et
e qu’elle doit présenter, lesquelles on soutiendra levées, tenant les
bras
selon que nous l’avons démontré. Le cavalier se t
ait de vains efforts pour secourir sa maîtresse et la débarrasser des
bras
de ces ravisseurs. Scène III. D’autres Cors
iennes deviennent le jouet de ces barbares : tantôt elles passent des
bras
des vainqueurs dans ceux des vaincus, et tantôt e
n azile au milieu des jeunes Athéniennes ; Cryséïs le reçoit dans ses
bras
; il a peur, et peint sa situation ; il tremble d
emble de froid, pleure, et intéresse ces jeunes beautés ; il vole des
bras
des unes dans ceux des autres ; mais il revient s
est encore l’Amour qui dirige les coups qu’il porte, et qui anime son
bras
. Les Athéniennes libres cherchent avec empresseme
i beau qu’Adonis. Il tombe aux pieds de Cryséïs qui se jette dans ses
bras
. La troupe enjouée s’embarque : les Zéphirs dirig
iétudes font place à la joye et à l’allégresse. Cryséïs vole dans les
bras
de son père ; d’autres se précipitent dans ceux d
, que la Danse étoit trop composée & le mouvement symmétrique des
bras
trop uniforme, pour que les Tableaux pussent avoi
a vérité, donner moins d’attention aux jambes, & plus de soin aux
bras
; abandonner les cabrioles pour l’intérêt des ges
arler chez le Danseur ; chaque geste, chaque attitude, chaque port de
bras
doit avoir une expression différente ; la vraie P
rnes trop étroites pour produire de grands effets. La seule action du
bras
droit que l’on porte en avant pour décrire un qua
e l’on porte en avant pour décrire un quart de cercle, pendant que le
bras
gauche qui étoit dans cette position, rétrograde
les passions : tant qu’on ne variera pas davantage les mouvements des
bras
, ils n’auront jamais la force d’émouvoir & d’
qui s’opposent à la beauté & à l’esprit de leur Art. Le port des
bras
devant être aussi varié que les différentes passi
rsqu’elle sent vivement ; & si dans ces instants elle entraîne le
bras
à tel ou tel geste, il est toujours aussi juste q
Danseur sera toujours médiocre. Il en est de même des mouvements des
bras
; la bonne grace est à ces derniers, ce que le go
se persuadent que j’entends par gestes les mouvements expressifs des
bras
soutenus par les caracteres frappants & varié
ués ; ce que l’on perdra du côté des jambes se retrouvera du côté des
bras
; plus les pas seront simples & plus il sera
, mais il y a vingt ans que je l’étudie. L’applaudissement part ; les
bras
& les doigts méritent des éloges, & on ac
e que de penser que je cherche à abolir les mouvements ordinaires des
bras
, tous les pas difficiles & brillants, & t
de la Danse ; je demande plus de varieté & d’expression dans les
bras
; je voudrois les voir parler avec plus d’énergie
ment : c’est au visage seul à peindre ; c’est aux yeux à parler ; les
bras
même doivent être immobiles, & le Danseur dan
u qu’il soit passablement bien fait ; je lui enseignerai à remuer les
bras
& les jambes & à tourner la tête ; je lui
retrouver Belton ; elle reçonnoit son frère, veut se jetter dans ses
bras
; il la repouse avec douceur et semble lui reproc
enir dans son logis ; il se décide, il prend les deux enfans dans ses
bras
et la suit. Scène vi. Belton paroît retour
’en va. La jeune Indienne veut courir ; elle tombe évanouie entre les
bras
de ses nouveaux maîtres. Scène viii. Cepen
verse, et dégage Zoraïm. Eliza accourt échevelée et se jette dans les
bras
de son frère, qui est déespéré de n’avoir pu asso
bles. Belton sort un moment et reparoît avec ses deux enfans dans ses
bras
; il tombe à genoux ; la jeune femme vole à ses e
ils expriment leur surprise et leur indignation ; Eliza vole dans les
bras
de son père et de sa mère ; ils la repoussent ; e
habitans, relève Belton et lui pardonne. Eliza se précipite dans les
bras
de son père et de sa mère ; elle leur exprime ain
Les deux petits enfans ne sont pas oubliés. Zirca les prend dans ses
bras
, les presse contre son sein et les éleve vers le
prête défavorablement son inquiétude, il l’apperçoit, il lui tend les
bras
, elle y vole et s’y précipite ; Créon, après s’êt
de la candeur, elle court vers Créuse et la serre tendrement dans ses
bras
; Jason, que sa passion emporte, et qui ne voit q
titude et de l’infidélité de son epoux, elle tombe expirante dans ses
bras
; Créuse s’empresse à lui donner ses soins ; mais
du plus vif repentir, se jette, malgré les efforts de Créon, dans les
bras
de Médée, il la serre étroitement dans les siens,
il va refuser Créuse. Créuse paroît et triomphe. Il se débarrasse des
bras
, de son épouse pour voler dans ceux de son amante
elle ses enfans, elle veut en faire ses premières victimes ; mais son
bras
mal-assuré refuse d’obéir. Le fer échappe de sa m
aire gloire d’en orner sa rivale ; elle la serre étroitement dans ses
bras
avec les démonstrations de la bienveillance la pl
le ses souffrances à celles de son père, et veut, en mourant dans ses
bras
, confondre son dernier soupir avec le sien. Jason
omissent des flammes ; un de ses enfans expire à ses pieds, elle a le
bras
levé pour frapper l’autre ; Jason se précipite à
e bourrée, la danseuse dégage à la grande seconde et, pendant que ses
bras
impriment au corps un mouvement rotatoire, la jam
harmante panique des déboulés, l’utilisation très sensée des ports de
bras
— qui savent dans la variation citée accompagner
Brune aux yeux noirs que les sourcils surmontent en arcs altiers, aux
bras
élégants, longs, un peu secs, au port de corps ro
lutôt, (comme cette Mlle Debry au profil accusé, aux pieds menus, aux
bras
fragiles) Phryné. Cette variation de Phryné discr
scrètement glissée, ponctuée de temps piqués, s’enveloppe de ports de
bras
mélodieux, s’alanguit en portements de corps pass
indre ; blanche, blonde et rose. Ses proportions sont charmantes, les
bras
arrondis, fuselés, mais elle manque encore de car
evant 2. vous ôtez le chapeau de la main gauche en laissant tomber le
bras
gauche à côté de soy ainsi que le bras droit, de
n gauche en laissant tomber le bras gauche à côté de soy ainsi que le
bras
droit, de même qu’il est démontré 3. & vous p
e l’homme en dessous 5. & celle de la Demoiselle en dessus 6. son
bras
droit étendu à côté de soy en tenant ses jupes av
tendu à côté de soy en tenant ses jupes avec le pouce 7. parce que le
bras
étant tourné en dehors, la main paroît enveloppée
ordinaires, parce qu’il se tourne du côté gauche, & c’est le même
bras
& le même pied qui se passe devant dans le mê
oitement embrassés, ils reconnoissent Dorval, ils se jettent dans ses
bras
; leurs yeux croient à peine ce qu’ils voient ; t
fer et veut en frapper le Misogynien ; mais Constance s’échappant des
bras
de son amant suspend le coup que son frère alloit
le sein de celle qui vient de lui sauver la vie. Clairville arrête le
bras
du perfide, il lui arrache le poignard. Dorval et
du côte de Constance ; ils la tiennent étroitement serrée dans leurs
bras
; leurs corps sont un rempart qu’ils opposent à l
ordonnent aux sauvages qui ont des massues, d’arracher la victime des
bras
de ces deux étrangers et de la traîner à l’autel.
rs, elle l’en frappe. Délivrée pour un instant elle se jette dans les
bras
de son amant et de son frère ; mais elle en est a
onstance est entrainée au pied de cet autel, trône de la barbarie. Le
bras
se lève, le coup est prêt à tomber, lorsqu’un Die
coup est prêt à tomber, lorsqu’un Dieu protecteur des amans arrête le
bras
du sacrificateur, en répandant un charme sur cett
rval et Clairville voyant à peine la lumière, sont renversés dans les
bras
de quelques sauvages1. Le jour devient plus beau,
s, lorsque l’Amour commande ? un seul de ses regards suspend tous les
bras
armés des Misogyniens. Il ordonne que l’on renver
ne font plus qu’une foible résistance, s’ils ont la force de lever le
bras
pour porter un coup, ils n’ont pas le courage de
ut la frapper, mais le mouvement qu’elle fait pour voler au devant du
bras
qui la menace, arrête le transport du jaloux, et
er, mais elle feint de s’en frapper ; elle chancèle et tombe dans les
bras
de ses suivantes. A ce spectacle, Fernand demeure
t se ferment, ses traits annoncent la mort, il tombe évanoui dans les
bras
des Espagnols. Inès qui dans les commencemens de
de son repentir ; elle vole à son amant, le serre tendrement dans ses
bras
, le prend par la main et s’éfforce de le rappelle
ssement ; il tombe aux genoux de sa maitresse, qui le reçoit dans ses
bras
avec les transports de l’amante la plus passionné
e de mon imagination ; je veux parler de l’instant où Fernand lève le
bras
sur Clitandre. Celui qui le suit est tiré de Maho
oignarder Irène et qu’elle lui dit en volant au devant du coup : Ton
bras
est suspendu ! qui t’arrête ? ose tout ; Dans un
usac s’étoit attaché aux pas de la danse, aux mouvemens compassés des
bras
, aux enchaînemens et aux mélanges compliqués des
toutes ces parties grossières à ceux qui n’ont que des jambes et des
bras
. Ce n’est pas pour eux qu’il a prétendu écrire, i
gulière et dans des couleurs entières ; une partie de la poitrine des
bras
et des jambes étoit couleur de chair. L’Amour n’é
autre sont privés de la parole ; l’expression des têtes, l’action des
bras
, les positions mâles et hardies, voilà ce qui par
urant un amour et une reconnoissance éternelle, il lui promet que son
bras
saura la délivrer de tous les objets qui pourroie
dans la fuite ou dans la trahison, s’irrite, s’emporte, menace ; son
bras
accoutumé au meurtre, sa main exercée au Parricid
e qui compose sa cour ; il embrasse Clytemnestre et se jette dans les
bras
d’Electre et d’Iphise ; le perfide Egisthe tombe
ctre ; ces Princesses au comble du bonheur ne peuvent se détacher des
bras
de leur père. Electre, qui connoît la cruauté de
ne le déterminent. Il lui promet de lui obéir, et il lui jure que son
bras
la délivrera bientôt de deux objets qui lui sont
isage le bonheur et les grandeurs qui l’attendent ; tantôt il voit le
bras
de la vengeance armé pour le punir : le fer est p
mière victime ; il semble que la crainte et le remords retiennent son
bras
et balancent dans son cœur le crime et la fureur.
r et son parjure ; elle veut lui arracher le fer dont elle a armé son
bras
, pour s’en servir contre Agamemnon ; Egisthe ne p
mort, marche au devant de lui ; sa fermeté et son courage arrêtent le
bras
d’Egisthe, mais Clytemnestre, qui lui crie ; frap
regret et la douleur ont de plus déchirant. Agamemnon leur tend des
bras
mourans, il reçoit leurs soupirs et leurs larmes.
en reproches, elle menace, elle insulte, elle jure à Egisthe que son
bras
saura venger la mort de son père, punir un lâche
. Electre vole aux pieds de son père, lui parle, le serre dans ses
bras
, mais le trouvant glacé et couvert du voile étern
elle tréssaille de joie, elle recule, elle avance, elle lui tend les
bras
; le plaisir l’empêche de voler à lui ; l’excès d
e, éprouve la même émotion, les mêmes sentimens, et se jette dans les
bras
de sa sœur ; il lui présente son ami fidèle ; et
ce recit Oreste frémit d’épouvante et de rage ; il se jette dans les
bras
de Pylade, puis courant dans les bras de sa sœur,
de rage ; il se jette dans les bras de Pylade, puis courant dans les
bras
de sa sœur, il se saisit du poignard, et veut all
air furieux, elle lui dit que ces fers honteux n’arrêteront point son
bras
, et qu’elle saura le punir de tous ses forfaits.
ite avec fureur sur Egisthe, lui porte un coup de poignard et leve le
bras
pour redoubler ; mais Clytemnestre couvrant de so
le coup mortel réservé au Tyran. Electre qui s’élance pour arrêter le
bras
de son frère, en criant : C’est ma mère (1) ne
sent à ses transports funestes. Le malheureux Oreste tombe dans leurs
bras
accablé sous le poids de ses douleurs, sans senti
itement embrassés ! ils reconnoissent Dorval, ils se jettent dans ses
bras
, leurs yeux croient à peine ce qu’ils voient ; to
r & veut en frapper le Misogynien, mais Constance s’échappant des
bras
de son Amant suspend le coup que son frere alloit
le sein de celle qui vient de lui sauver la vie. Clairville arrête le
bras
du perfide, il lui arrache le poignard. Dorval &a
du côté de Constance ; ils la tiennent étroitement serrée dans leurs
bras
; leurs corps est un rempart qu’ils opposent à la
ordonnent aux Sauvages qui ont des massues, d’arracher la victime des
bras
de ces deux étrangers & de la traîner à l’Aut
rs, elle l’en frappe. Délivrée pour un instant elle se jette dans les
bras
de son amant & de son frere ; mais elle en es
Constance est entraînée au pied de cet Autel trône de la Barbarie. Le
bras
se leve, le coup est prêt à tomber, lorsqu’un Die
oup est prêt à tomber, lorsqu’un Dieu protecteur des amants arrête le
bras
du Sacrificateur, en répandant un charme sur cett
l & Clairville voyant à peine la lumiere, sont renversés dans les
bras
de quelques Sauvages.11 Le jour devient plus be
s, lorsque l’Amour commande ? un seul de ses regards suspend tous les
bras
armés des Misogyniens. Il ordonne que l’on renver
ne font plus qu’une foible résistance. S’ils ont la force de lever le
bras
pour porter un coup, ils n’ont pas le courage de
ut la frapper, mais le mouvement qu’elle fait pour voler au devant du
bras
qui la menace, arrête le transport du jaloux &
mais elle feint de s’en frapper, elle chancelle & tombe dans les
bras
de ses Suivantes. A ce spectacle, Fernand demeure
; se ferment, ses traits annoncent la mort, il tombe évanoui dans les
bras
des Espagnols. Inès qui dans les commencements d
de son repentir ; elle vole à son amant, le serre tendrement dans ses
bras
, le prend par la main & s’efforce de le rappe
issement ; il tombe aux genoux de sa maîtresse qui le reçoit dans ses
bras
avec les transports de l’amante la plus passionné
re de mon imagination, je veux parler de l’instant où Fernand leve le
bras
sur Clitandre ; celui qui le suit est tiré de Mah
arder Irene & qu’elle lui dit en volant au devant du coup, Ton
bras
est suspendu ! Qui t’arrête ? Ose tout ; Dans un
sac s’étoit attaché aux pas de la Danse, aux mouvements compassés des
bras
, aux enchaînements & aux mêlanges compliqués
utes ces parties grossieres à ceux qui n’ont que des jambes & des
bras
. Ce n’est pas pour eux qu’il a prétendu écrire, i
ere & dans des couleurs entieres ; une partie de la poitrine, des
bras
& des jambes étoit couleur de chair. L’Amour
n ancienne splendeur. Une des filles de Darius, Statira, lui tend les
bras
et implore sa clémence. Frappé de sa beauté et de
on empire, qui devient la conquête d’Alexandre. Le vainqueur vole des
bras
de la gloire dans ceux de Statira ; il lui annonc
ntrée dans le temple, avec le projet de poignarder sa rivale dans les
bras
d’Alexandre. La cérémonie achevée, le Prince vétu
instant de félicité commune, Roxane s’élance sur sa rivale et lève le
bras
pour la frapper du fer dont elle est armée. Ephes
ment composé — sont d’une précision infaillible. L’accompagnement des
bras
juste et sobre. Que j’aime cette retenue, cette p
besoin d’anarchie est, chez certains, tel qu’ils voudraient voir les
bras
danser de leur côté ! Évidemment il existe des te
s’assemblent et se décroisent ; le torse rigide, à peine épaulé, les
bras
tombants, restent au repos. Je me rappelle d’aill
s, restent au repos. Je me rappelle d’ailleurs un pas sauté, avec les
bras
croisés, dans l’Esméralda, de Jules Perrot, telle
tion » est du plus grand effet. Chez Zambelli, la maîtrise du port de
bras
est complète. Elle lui permet, dans un geste beau
suite aussi brillante que nombreuse, se jette avec transport dans les
bras
de son époux. Hilias et Philoclète s’empressent à
é, qui, méprisant continuellement ses feux, cherche un asyle dans les
bras
de Déjanire. Cette Princesse vivement frappée de
s excès de la jalousie et du désespoir ; elle tombe évanouie dans les
bras
d’Hilias et d’Jolé. Philoclète qui accourt au bru
cœur, il unit enfin ces deux amans. Il se précipite aussitôt dans les
bras
de son ami qu’il regarde comme un asyle où il est
u’elle endure ; elle voit Hercule infidèle, elle le surprend dans les
bras
d’Jolé elle apperçoit cette Princesse sensible à
a victime de sa fureur. Hercule s’élance sur lui, l’étouffe entre ses
bras
, et du haut d’un rocher, le précipite dans la mer
pporter la violence de ses douleurs, il tombe sans sentiment dans les
bras
d’Hilias et de Philoclète qui s’empressent à le s
elle tire un poignard, s’en perce le sein et tombe expirante dans les
bras
de ses femmes. Hilias, effrayé de tant de malheur
ulte Rome et les Dieux ; elle se précipite alternativement dans leurs
bras
, et les arrose des larmes précieuses de l’amitié.
s’impriment sur ses traits, elle vole à elle. Camille tombe dans les
bras
de ses femmes qui l’emménent et s’empressent à lu
étoit plongé, pour se livrer à l’excès de la joie ; il vole dans les
bras
de son fils ; il ne peut s’en détacher ; cependan
çoit couverts de sang, et étendus sur la poussière ; il s’arrache des
bras
de son père ; il se précipite sur les corps de se
che l’écharpe qu’elle avoit donnée à Curiace ; elle la passe dans ses
bras
; elle accable Horace de reproches ; elle abhorre
arrête le triomphateur : on le charge de fers ; il se jette dans les
bras
de son père ; il fait à Fulvie les plus tendres a
livré à des bourreaux, elle tire un poignard de son sein, et lève le
bras
pour s’en frapper. Horace arrête le coup et la dé
i affligent son ame ; elle tombe évanouie. Horace la retient dans ses
bras
, la traîne mourante sur un siège, fait des effort
l’estime de son Roi qu’à l’amour du peuple. Il se précipite dans les
bras
de Procule ; Fulvie tombe aux genoux de son père
Fulvie tombe aux genoux de son père ; le vieil Horace serre dans ses
bras
son fils et son ami ; Procule, qui veut que ce mo
doubles tours par des attitudes et des renversements éperdus sur les
bras
de son cavalier qui sont de toute beauté : ces br
s éperdus sur les bras de son cavalier qui sont de toute beauté : ces
bras
arrondis encadrent avec une grâce alourdie de lan
guirlandes, elles en composent de nouvelles et en assujettissent les
bras
, les ailes et les jambes de l’enfant de Cythère.
se préparent à lui rendre la liberté. A peine a-t-il un de ses petits
bras
dégagé qu’il trésaille de joye, et qu’il s’en ser
leur fait les plus tendres reproches : Thalie, qui se jette dans ses
bras
, y trouve son excuse ; elle dit à Lycénion, qu’el
ser sur la tête des Graces : l’Amour enchanté se précipite dans leurs
bras
, et s’écrie en les embrassant ; Vous êtes mes sœu
et se place à ses cotés. Philis, la tête appuyée sur un de ses beaux
bras
, et livrée aux sentimens divers qui remplissent s
bilité succède bientôt à1’admiration ; elle serre tendrement dans ses
bras
l’aimable enfant et elle se sent animée par un se
avoir si elle est aigue, l’enfant malin, qui la guette, lui pousse le
bras
et la lui fait entrer dans le bout du doigt. Phil
erçoit et rougit ; le Berger lui prend la main, elle le repousse d’un
bras
mal assuré avec la fierté de l’innocence. Daphnis
ui devine le sujet de ses inquiétudes, vole à elle, la serre dans ses
bras
et la rassure, en lui faisant entendre, qu’on ne
son amant ; un sentiment de justice la détermine ; elle s’échape des
bras
de Daphnis pour courir vers les Graces ; elle vou
de fleur qui les conduit à la cour céleste. L’Amour je jette dans les
bras
de sa mère et lui présente ses charmantes sœurs,
lus vertueuse. Tous les Bergers et toutes les Bergères étendent les
bras
vers ces divinités bienfaisantes, qui se frayant
simétriques, j’ai associé aux mouvemens méchaniques des pieds et des
bras
, les mouvemens de l’âme, et les caractères variés
disparoitront ; le héros honteux de sa foiblesse se débarrassera des
bras
de son amante pour voler dans ceux de son ami. La
utenir sans mourir, le départ de son amant, tombera évanouie dans les
bras
de ses femmes ; la volupté de concert avec l’amou
ours. Henry vivement touché du désespoir de Gabrielle se dégagera des
bras
de la sagesse et de Mornay, pour courir aux pieds
té s’efforceront de fixer ce héros, qui serrant sa maîtresse dans ses
bras
, lui fera les plus tendres adieux ; la Discorde e
orsqu’il est fait avec soin, il doit estre accompagné d’un contour de
bras
, & d’une maniere de porter sa tête avec grace
pour la maniere de former les pas, & l’autre pour la conduite des
bras
selon les regles de l’Art. Mais comme ce pas est
& vous sautez sur le pied gauche, & la jambe droite & le
bras
droit s’étend ; ce qui vous fait tourner du côté
er de pas en pas, même lui enseigner tous les differens mouvemens des
bras
, afin de les conduire à propos à chacun de ces di
t paroître la poitrine large & donne plus de grace au corps,) les
bras
pendans à côté de soi, les mains ni ouvertes ni f
ction, elle se réduit essentiellement à indiquer par le mouvement des
bras
la durée des sons, les accents et la courbe mélod
ach consiste en somme, à développer jusqu’à la seconde position, deux
bras
harmonieux aux linéaments lourds en faisant saill
ureuses. Cependant les jambes ne suivent qu’à grand’peine l’appel des
bras
qui les invitent à la course au bond, au tourbill
e la critique. Elle tourne, bercée par la valse du Danube ; ses beaux
bras
accompagnent le tournoiement du corps et quand to
ée. La traîne de la robe jaune se déroule en volutes magnifiques, les
bras
ondulent provocants, les talons scandent le rythm
m’empêcher de songer à d’autres sourires et d’autres cambrures, à des
bras
qui s’ouvrent lentement, en un mouvement décompos
avec les siens et qui poignarde Thoas, au moment que le Tyran lève le
bras
pour frapper Oreste, fait renaître le calme et la
élicieuses de l’amitié et de la reconnoissance. Eumène court dans les
bras
de son père ; Oreste se jette dans ceux de son am
ite, la frayeur s’empare de ses sens ; il se jette à genoux, lève ses
bras
tremblans vers le ciel et implore sa clemence : i
douleur, qu’il n’a point de part au sang que sa main répand ; que son
bras
, armé par le cruel Thoas, du glaive de la mort, n
tête au glaive dont on arme la main tremblante de la Prêtresse ; son
bras
semble se refuser à ce sanglant sacrifice ; le fe
urprise, d’étonnement et de joie, et se jette avec transport dans les
bras
de son frère. Les Prêtresses, les Prêtres et les
zèle, à leurs soins, à leur fidélité et se jette de nouveau dans ses
bras
. Thoas paraît. Scène ii. Arbas est enchaîn
ée d’un ordre aussi inhumain, tient Oreste étroitement serré dans ses
bras
et sécrie : Barbare, il est mon frère ! Thoas, qu
ables, il veut en faire sa première victime ; Iphigénie lui arrête le
bras
; mais n’écoutant que l’excès de sa rage, il s’él
malgré les efforts des Prêtresses secondées d Iphigénie ; il lève le
bras
pour lui porter le coup mortel. Pylade paroît ave
pes d’Oreste et de Pylade ; Arbas est délivré ; Eumène tombe dans ses
bras
; Oreste, qui est dans ceux de Pylade, lui témoig
n qui caractérisent l’excès de la passion ; le jeune Ascagne vole des
bras
de Didon dans ceux d’Enée : il le presse contre s
sie, court à la vengeance, cherche son rival, et le surprend dans les
bras
de Didon, rien ne peut arrêter sa rage et son dés
jours de son amant, vole au milieu des coups ; tantôt elle arrête le
bras
d’Enée ; tantôt elle pare de son bouclier le coup
rage en combattant à côté de son amant, le reçoit tendrement dans ses
bras
, Enée regarde son triomphe comme l’ouvrage de l’A
ion va lui donner la mort. Enée, vivement attendri, se jette dans les
bras
de Didon ; il lui fait les plus tendres adieux. C
rémir l’idée du départ de son amant, tombe sans connoissance dans les
bras
de ses femmes. Enée frappé du danger de la Reine,
à la vie. Les amis de ce héros, attachés à sa gloire, l’arrachent des
bras
de Didon et l’entraînent sur son vaisseau. Déjà l
ent à ce pas, & que j’expliqueray avec la maniere de conduire les
bras
dans la seconde Partie. J’ai vû plusieurs personn
e : outre que les mouvemens qui se doivent faire de la tête & des
bras
ne sont pas si avantageux ; pour ceux qui se font
onse se dispose à recevoir sa promesse, Adèle tombe évanouie dans les
bras
de son père. On vole à son secours ; on la condui
urieux, en provoquant son rival au combat. Celui-ci se jette dans les
bras
de Renaud et le supplie de lui accorder le grade
e du spectacle. Adèle le rend surtout intéressant : soutenue dans les
bras
de son père, et les yeux élevés vers le ciel, ell
mations du peuple, un cri perçant d’Adèle qui tombe mourante dans les
bras
de son père, rallument le courage et la fureur de
d’Adèle. Elle revoit la lumière et son amant ; elle se jette dans ses
bras
pour n’en sortir jamais. Son père les unit. L’ass
isparoît avec lui. Seconde partie. La décoration représente un
bras
de l’Achéron ; de l’autre coté de ce fleuve on ap
hée revoit sa chere Euridice, tombe à ses pieds et la reçoit dans ses
bras
. Toutes les ombres se réunissent près des epoux e
mons, conduits par les furies, s’élancent sur elle et l’arrachent des
bras
de son époux ; l’Amour lui prête de l’énergie et
fois ; mais animés du désir de se rejoindre, ils se dégagent de leurs
bras
, et volent l’un à l’autre. Les furies irritées de
rritées de cette résistance parviennent enfin à arracher Euridice des
bras
d’Orphée, tandis que celui-ci est enveloppé par l
ument), exécuter leurs imitations. C’est pour cela qu’Ovide donne aux
bras
d’une danseuse l’épithète de Nombreux, au lieu d’
« Cette danseuse séduit par ses gestes, elle meut avec justesse ses
bras
nombreux : en inclinant avec un art enchanteur et
du cou doit perpendiculairement correspondre au pied ; si on place un
bras
en avant, elle sort de sa perpendiculaire sur les
onnement ; de sorte que celui qui veut sauter, élève avec vitesse les
bras
et les épaules qui se mettent simultanément en mo
is ce qui distingue Karsavina, c’est la grâce suprême de ces ports de
bras
qui font d’une préparation à la pirouette, qui es
s et s’achevant en arabesques vibrantes. Seule, Pavlova. Et comme les
bras
accompagnent harmonieusement les temps sautés en
beaux de l’Hymen et de l’Amour en torches funéraires, et se servir du
bras
de ses filles pour porter des coups plus assurés,
u massacre des enfans d’Egyptus ; plusieurs d’entre eux ont passé des
bras
du sommeil dans ceux de la mort ; quelques-uns de
s glacent le cœur de Lincée. Les cheveux hérissés des Danaïdes, leurs
bras
ensanglantés leurs physionomies, où la rage est i
ster à la violence de sa douleur, il tombe sans connoissance dans les
bras
d’Hypermnestre, elle l’entraîne avec le secours d
pendre ou détourner leurs coups ; il la saisit d’une main, et lève le
bras
pour lui plonger dans le sein le glaive dont il e
, voyant le danger d’Hypermnestre, se jette sur Danaüs, lui arrête le
bras
et le désarme ; un Officier de confiance saisissa
t révélé la beauté du mouvement. Je savais désormais, par elle, qu’un
bras
levé, que des jambes remuant des plis de tunique,
s pauvres filles quand elles lèvent la jambe, le pied, ou tendent les
bras
en corbeille. Oui, oui, c’est pour imiter les bas
gracieuse et noble les bas-reliefs de l’antiquité. Ces jambes et ces
bras
de pierre, ces draperies immobiles, sont les seco
les veulent imiter les tanagras, les filles d’opéra qui mettent leurs
bras
en cerceau au-dessus de leur tête, lèvent leurs j
souples et beaux, leurs longs cheveux bouclés et libres, leurs petits
bras
s’agitant au rythme des jambes et des pieds nus,
, levez (à la fin de votre dernier pas en revenant du côté gauche) le
bras
droit à la hauteur de la poitrine, la main en des
itrine, la main en dessous, de même qu’il est representé par ces deux
bras
: la tête étant tournée du côté droit en se regar
tours ; ensuite vous vous presentez les deux mains en levant vos deux
bras
à la hauteur de la poitrine, & le corps même
ituation avantageuse, & ne dandinera point. Quant au maintien des
bras
, il faut les laisser étendus à côté du corps en o
vant seulement que lorsque vous faites un pas du pied droit, c’est le
bras
gauche qui fait un petit mouvement en devant, ce
r son cœur ; le poignard lui échappe de la main, il se jette dans ses
bras
; il détache ses fers, et semble lui-même implore
le va se le plonger dans le sein, lorsque Pyrrhus vole, lui arrête le
bras
et la désarme. Ce Prince au comble du désespoir v
gards, et les larmes de cette Princesse ; il se laisse aller dans ses
bras
, et il se livre aux divers sentimens qui déchiren
amer ; l’autre offre Pyrrhus accablé de désespoir et évanoui dans les
bras
des guerriers empressés à le secourir, et à l’arr
retirent : il reste seul au milieu de ses femmes. Zélis vole dans ses
bras
, lui présente un bosquet ; l’Empereur le reçoit,
noux ; Zulmire se tourne tendrement vers lui et se précipite dans ses
bras
. L’instant où le voile de Zulmire est enlevé, est
les yeux, mais rencontrant ceux de sa rivale et se trouvant entre ses
bras
elle s’en échappe avec horreur, et fuit en exprim
Fatnie paroît vers le fond avec Zélis : elle cherche à raffermir son
bras
mal assuré, elle la pousse, pour ainsi dire, vers
’entrée de cette phalange de danseurs, au pas cocassement scandé, aux
bras
repliés et aux pouces détachés de la paume posée
ongez à ces éclats de rire, répercutés par l’orchestre, mimés par les
bras
, marqués par les pointes agiles ! Suit un dialogu
iles ! Suit un dialogue délicatement sensuel, où la rouée se pâme aux
bras
de l’ingénu, dialogue dont la contexture évoque L
ce ; ces différentes expressions donnent de la rudesse au visage. Les
bras
, qui n’acquièrent de l’agilité et de la grâce que
t être avancée sans que, pour cela, le ventre soit plus saillant. Les
bras
doivent être souples et décrire une forme arrondi
s maintenus dans un grand état de souplesse. Dans cette position, les
bras
présentent un moelleux qu’ils perdent lorsque la
rtée de leurs mains. Celles qui sont grandes et minces, tiendront les
bras
un peu avancés et écartés pour orner le corps dan
et si le ventre est fort, elles le masqueront en avancant un peu les
bras
; si au contraire la ceinture est saillante en ar
au contraire la ceinture est saillante en arrière, il faut tenir les
bras
en arrière, mais légèrement, pour ne pas leur don
eur donner de roideur. Si les formes sont égales, il faudra tenir les
bras
sur les côtés proportionnellement. Ainsi, les bra
l faudra tenir les bras sur les côtés proportionnellement. Ainsi, les
bras
étant placés comme nous venons de le démontrer, l
ain tournée en dessus en face de la poitrine, ayant soin de tenir les
bras
arrondis. Pour baisser le bras, on descend la mai
e la poitrine, ayant soin de tenir les bras arrondis. Pour baisser le
bras
, on descend la main en dedans, et le bras descend
s arrondis. Pour baisser le bras, on descend la main en dedans, et le
bras
descend continuellement à sa place. Pour lever al
scend continuellement à sa place. Pour lever alternativement les deux
bras
, au premier mouvement que l’un fait pour redescen
tems que l’autre vient en bas reprendre sa place. Pour lever les deux
bras
à la fois, on suit la même règle que pour un seul
rrondis. Quand ils sont à la hauteur de la poitrine, pour baisser les
bras
, les mains rentrent en dedans et les bras descend
poitrine, pour baisser les bras, les mains rentrent en dedans et les
bras
descendent à leur place. Ainsi, quand on donne la
a main, c’est du coude que s’opère le premier mouvement pour lever le
bras
, ensuite l’avant-bras et la main ; pour baisser l
pour lever le bras, ensuite l’avant-bras et la main ; pour baisser le
bras
, c’est la main qui descend la première, et ensuit
baisser le bras, c’est la main qui descend la première, et ensuite le
bras
continuellement jusqu’à sa place. Lorsqu’on se do
e tête et d’épaules, qui doivent s’exécuter du côté où l’on porte les
bras
; la tête haute, les regards portés réciproquemen
ards portés réciproquement l’un vers l’autre. Lorsqu’on lève les deux
bras
à la fois, la tête et les épaules restent de face
ions ouvertes ; il protége encore le maintien général du corps et des
bras
, que l’on observera pour se familiariser avec l’e
main gauche soutienne la main droite de sa dame. Il faut soutenir les
bras
un peu arrondis, pour leur donner plus de grâces
se tenir éloignés l’un de l’autre autant que le permet l’étendue des
bras
, pour éviter de se rendre incommode l’un à l’autr
aissant un peu celle au centre de la danse, afin de découvrir l’autre
bras
, en observant la manière indiquée pour lever les
couvrir l’autre bras, en observant la manière indiquée pour lever les
bras
; ils enleveront en même tems le tems levé du pie
ied droit pour faire le tems levé et chassé, lèveront en même tems le
bras
qui est de ce côté, pour se donner la main droite
se en dessous la main droite en main droite si l’on veut), levant les
bras
et les tenant arrondis, selon qu’il est indiqué p
nconvénient que les autres présentent ; d’abord par les mouvemens des
bras
qu’il faut soigner, mais encore plus par les pers
i croient que la Danse ne consiste que dans une action quelconque des
bras
& des jambes, & qui dédaignent de s’envis
à toutes. Ce principe posé, l’Artiste doit suggérer relativement aux
bras
des mouvements différents à ses éleves. Cette att
rents à ses éleves. Cette attention est très-importante à faire ; les
bras
courts n’exigent que des mouvements proportionnés
urts n’exigent que des mouvements proportionnés à leur longueur ; les
bras
longs ne peuvent perdre de leur étendue, que par
yen des effacements du corps dérobent habilement la longueur de leurs
bras
; ils en font fuir une partie dans l’ombre. J’ai
, une jolie physionomie, de beaux yeux, une taille élégante & des
bras
voluptueux, sont des écueils inévitables contre l
ire en faisant tournoyer son arc au-dessus de la tête avec ce port de
bras
anguleux qui rend le mouvement cinglant, farouche
quittent leurs pôles respectifs ; le couple se reforme, s’enlace, les
bras
s’entrecroisent, et derechef un seul élan vertica
gueurs orientales. Mais je vois très bien Juliette Péri conduire, les
bras
entrelacés derrière la nuque et le torse ployé, l
implement cet art mécanique qui consiste à remuer alternativement les
bras
et les jambes au son d’un instrument, à se fatigu
s agréablement et contrastent mal avec les effacements du corps ; les
bras
ne seront plus dans des situations aisées, tout s
exactement que l’action des pieds, et s’il désigne les mouvements des
bras
, il n’exprime ni les positions, ni les contours q
insi, dans le nocturne, les doubles tours sur le cou-de-pied avec les
bras
relevés en couronne sont-ils d’une aisance exquis
colora subitement. Qu’elle surveille seulement les mouvements de ses
bras
dont la brusquerie côtoie le désordre et l’incohé
etite femme à l’aspect fatigué, et qui n’avait rien d’immatériel. Les
bras
tendus elle s’avançait en souriant. Les yeux de l
ne peut vraiment pas. Elle m’a dit seulement de vous prendre dans mes
bras
et de vous donner un baiser, un bon baiser pour e
iser, un bon baiser pour elle. A ces mots, la petite se jeta dans mes
bras
. — Oh ! dit-elle, embrassez la belle fée pour moi
rendre des expressions variées et combiner d’harmonieux mouvements de
bras
et de corps. La mignonne eut un tel succès, auprè
orne uniquement au méchanisme des pas, et au mouvement méthodique des
bras
; dèslors, elle ne peut être regardée que comme u
ndirent dans leur langage ; je ne compris rien aux mouvemens de leurs
bras
, et de leurs mains ; je m’apperçus de la triviali
i repondis-je, ce mouvement accéléré des doigts, ce jeu perpétuel des
bras
pouvoient-ils être apperçus, et sentis dans des t
mimes, ou plutôt les mouvemens accélérés de leurs mains, et de leurs
bras
à ceux que l’ingénieux Abbé de l’Epée a imaginés
èvements. Le bondissement de la danseuse, projetée et soutenue par le
bras
du danseur qui seconde et suit l’impulsion donnée
ivre avec abandon. Elle se serre, câline, contre la mesure, jette ses
bras
gracieux et ses cheveux châtains au vent, tandis
d’Opéra » que naguère elle fut, quelques temps timidement sautés, des
bras
et un torse traduisant avec insistance le mouveme
e et le buste, doivent être soutenus, et ornés par les mouvements des
bras
, et ils doivent les suivre avec grâce, pour que t
roideur, mais flexible suivant tous les mouvements des jambes et des
bras
. Celui qui pendant sa danse ferait mouvoir le cor
t d’un contour captivant dans leur exagération même ; tels « ports de
bras
», encadrant sa petite tête de camée, sa face blê
oyer les tiges flexibles des filles-fleurs, et, triomphant, emporte à
bras
tendus la Nuée. Mais pourquoi toujours la tête da
à toutes. Ce principe posé, l’artiste doit suggérer, relativement aux
bras
, des mouvemens différens à ses éléves. Cette atte
érens à ses éléves. Cette attention est très importante à faire ; les
bras
courts n’exigent que des mouvemens proportionnés
ourts n’exigent que des mouvemens proportionnés à leur longueur ; les
bras
longs ne peuvent perdre de leur étendue que par l
yen des effacemens du corps, dérobent habilement la longueur de leurs
bras
; ils en font fuir une partie dans l’ombre. J’ai
eur, une jolie physionomie, de beaux yeux, une taille élégante et des
bras
voluptueux sont des écueils inévitables contre le
esque et monstrueux de celui-ci ne lui permettoit aucun mouvement des
bras
; mais un pantomime, vêtu sans doute plus lesteme
le de l’objet qu’il adore. Eucharis, voyant son amant, court dans ses
bras
, et il vole dans ceux d’Eucharis. Ils s’expriment
l’autel, s’y précipite et sollicite le coup mortel. Euthyme arrête le
bras
du sacrificateur prêt à frapper ; il offre une se
on le menace. Il entraîne Eucharis de l’autel, et la tenant dans ses
bras
, il défie tous les Témessiens de venir la lui rav
ambe en l’air et elle est dans l’action d’une femme qui vole dans les
bras
de son amant. Zéphir qui la reçoit dans les siens
sques. L’Amour paroît ; Diane, en voulant le fuir, se trouve dans les
bras
d’Adonis. L’Amour la blesse ; le Berger est à ses
Berger est à ses genoux ; elle se laisse aller et se penche dans les
bras
des Nymphes, en exprimant la douleur que lui caus
abusé de ses bontés et de sa confiance. Roxane se précipite dans les
bras
d’Alexandre ; elle vole au secours d’une rivale q
force imprévus et elle évite toute surcharge technique. Ses ports de
bras
sont très noblement dessinés mais peu variés. Sou
et Cappart. Dans une sorte de pantomime mesurée, elle fait jouer ses
bras
, balance son torse ; elle marche et court ses dan
se développe dans l’espace, s’épanouit en arabesques, portée par les
bras
tendus de son danseur, érigée en trophée, offerte
venant du côté gauche, & en allant à la Demoiselle, vous levez le
bras
droit, comme je l’ai déja dit, dans la maniere de
reste encore deux parties essentielles qui sont l’oreille, & les
bras
, pour cette premiere, si l’on n’a pas cette facil
s l’avoir saisie humblement par la main, après s’être suspendue à ses
bras
, la danse trahit la musique. Elle lui demande ce
toute notre amabilité consistaient en révérences et à faire aller nos
bras
de-ci de-là avec des airs entendus, mais dès que
onté ses jours d’exil à la Jamaïque, et je vous ouvre mon cœur et mes
bras
. Son geste est la seule chose dont je me souvienn
indiscret », et qui se leva pour prendre congé. Dumas le prit par le
bras
et me tendant sa main libre. — Indiscret ! Certai
r faire bref : Le tutu n’est qu’un signe, celui du rond de jambe, des
bras
en l’air, du sourire collé au visage humain, comm
r un imposant thorax, s’avança noblement vers moi, me cueillit par le
bras
et me traîna vers la sortie en tenant des propos
u’elle est de nos jours. Aujourd’hui, danse signifie : mouvements des
bras
et des jambes. Un mouvement convenu, d’abord avec
vements des bras et des jambes. Un mouvement convenu, d’abord avec un
bras
et une jambe, puis répétition de cette figure ave
ec un bras et une jambe, puis répétition de cette figure avec l’autre
bras
et l’autre jambe. S’il y a accompagnement de musi
parce que la grace d’vne Courante consiste en partie en l’action des
bras
, il faut par apres apprendre à marquer les cadenc
t, & en se releuant pour former le premier pas, ouurir vn peu les
bras
, dont les mouuemens soient doux & sans force,
stre doit prendre garde qu’en ce bransle l’Escolier n’y tienne pas le
bras
gauche tousiours roide & tendus, comme quelqu
ou ply, qui se doit faire quasi comme insensiblement sans ouurir les
bras
, que tres peu apres ledit mouuement. On doit pren
udra apprendre (& non plustost,) de quelle sorte le mouuement des
bras
doit accompagner l’action des pieds, c’est qu’en
tion des pieds, c’est qu’en sautant le premier pas il faut ouurir les
bras
esgalement chacun de son costé, & en mesme te
ir d’vne table, ou de deux chaises pour se soustenir sur la force des
bras
, puis venant à s’exercer sans appuy en s’esleuant
r faire vn saut, & à la seconde, les descendre ouurant vn peu les
bras
, & ainsi continuer, tenant tousiours la veuë
la ceinture, & ainsi (sans baisser la teste qu’auec le corps) le
bras
droict bien estendu, descendre le tout esgalement
cent ; on fuit en confusion ; le bailli prend son petit-fils dans ses
bras
, entre précipitament dans sa maison qui est un vi
jets qui lui sont ravis. Le fils du Bailly tenant son enfant dans ses
bras
, s’élance hors d’une fenêtre dans le moment qu’on
ouchantes de l’autre, il ne peut faire un choix. Il se jette dans les
bras
des deux Déesses ; mais jalouses l’une de l’autre
s violent effort qu’il abandonne le plaisir et qu’il s’échappe de ses
bras
, pour se précipiter dans ceux de la Gloire. La Dé
il semble engager la Gloire, en la serrant plus étroitement dans ses
bras
, à ajouter encore à ses attraits pour triompher s
et se place à ses côtés. Philis, la tête appuyée sur un de ses beaux
bras
et livrée aux sentimens divers qui remplissent so
ilité succède bientôt à l’admiration : elle serre tendrement dans ses
bras
l’aimable enfant, et elle se sent animée par un s
ètement si lele est aiguë, l’enfant malin qui la guette lui pousse le
bras
et la fait entrer dans le bout du doigt. Philis j
rçoit et rougit ; le berger lui prend la main ; elle le repousse d’un
bras
mal assuré avec la fierté de l’innocence ; Daphni
armure, son bouclier et ses armes, et se précipitoit ensuite dans les
bras
de la vérité ; toutes les vertus qui font la gloi
iée et en tendant l’autre ; il porte son torse à gauche et imprime au
bras
un mouvement qui, tantôt se réduit à faire jouer
maintenue dans les bonds de sa danse de dieu guerrier. Mais le jeu du
bras
, du poignet, des jambes n’épuise point ces ressou
celui qui veut réunir l’art aux mouvemens combinés des pieds, et des
bras
; si ce danseur est favoisé par la nature, ses pr
erd l’adresse et la souplesse si nécessaires aux mouvemens variés des
bras
. Voilà l’homme robuste et vigoureux, l’homme mach
e l’économie animale : Voilà pourquoi les jambes d’un danseur, et les
bras
d’un maître d’escrime ont tant de prestesse et d’
un bosquet, vole vers sa proye pour lui porter mille coups ; mais son
bras
est arrêté par un charme plus puissant que tous s
r côté tout ce qui peut le ramener à son devoir : ils l’arrachent des
bras
d’Armide, à la quelle il fait les plus tendres ad
e son cœur idolâtre, tombe évanouie. A cette vue Renaud se dégage des
bras
des deux chevaliers pour voler aux genoux de sa m
c une robe de clair de lune et des bracelets de perles de rosée à tes
bras
blancs et froids ; tu entraîneras les voyageurs d
endue par Carlotta, elle tombe morte, la main sur son cœur, entre les
bras
de Bathilde et de Berthe, au profond désespoir d’
lui ; on le presse, on l’entoure, on se le passe de main en main, de
bras
en bras ; ses jambes fléchissent, la respiration
n le presse, on l’entoure, on se le passe de main en main, de bras en
bras
; ses jambes fléchissent, la respiration lui manq
ux visage que je ne croyais revoir qu’au ciel ! » et il s’élance, les
bras
étendus, mais il ne saisit que des roseaux et des
e, la suit et se mêle à ses poses, heureux encore de mourir entre les
bras
d’une ombre si chère. Cette danse éblouissante, v
avré de douleur, brisé d’émotion, il tombe sans connaissance dans les
bras
de Bathilde et de Wilfrid, que l’inquiétude avaie
petit Dieu applaudit à sa beauté, il se jette avec transport dans ses
bras
; et cette première scène offre ce que la volupté
un casque et un miroir ; il se couvre, il se mire ; il vole dans les
bras
de sa mère, et il médite en soupirant le dessein,
torieux ; ils foulent d’un pied leurs ennemis terrassés, et lèvent le
bras
pour leur porter le dernier coup. Lorsque six Nym
anime et les rappelle à la vie : On les voit lever insensiblement des
bras
mourans, et invoquer le fils de Vénus, qui, par s
ignard, elle veut s’arracher la vie ; mais ses compagnes arrêtent son
bras
et se hatent de la détourner de ce dessein barbar
’esquive adroitement ; elle se saisit de ce même poignard, et lève le
bras
pour en frapper Zaïde. Les femmes du Sérail se pa
t à l’autre ; Zaïde désarmée profite de l’instant où son ennemie a le
bras
arrêté, elle se jette sur le poignard que Zaïre p
petit Dieu applaudit à sa beauté, il se jette avec transport dans ses
bras
, & cette premiere Scene offre ce que la volup
n casque & un miroir ; il se couvre, il se mire, il vole dans les
bras
de sa mere & il médite en soupirant le dessei
rieux ; ils foulent d’un pied leurs ennemis terrassés & levent le
bras
pour leur porter le dernier coup, lorsque six Nym
me & les rappelle à la vie ; on les voit lever insensiblement des
bras
mourants, & invoquer le fils de Vénus qui par
oignard, elle veut s’arracher la vie, mais ses compagnes arrêtent son
bras
& se hâtent de la détourner de ce dessein bar
squive adroitement, elle se saisit de ce même poignard, & leve le
bras
pour en frapper Zaïde. Les femmes du Serrail se p
p; à l’autre. Zaïde désarmée profite de l’instant où son ennemie a le
bras
arrêté, elle se jette sur le poignard que Zaïre p
a le corps des derniers torses de jeunes filles que Rodin exposa. Ses
bras
maigriots, mais ronds, aux coudes de fillette enc
autre secours que les pas, les positions du corps, les mouvements des
bras
, on voit représenter successivement les amours de
ur de croire qu’une adresse habituelle, qu’un exercice journalier des
bras
, des jambes et des pieds, fussent les seuls talen
ux des Spectateurs. Leurs mouvements, leurs pieds, leurs mains, leurs
bras
, n’étaient que les diverses parties du tableau, a
s nous avons de même des pieds excellents, des jambes brillantes, des
bras
admirables. Quel dommage, que l’Art de la Danse n
lle se cambre hardiment sur ses reins et qu’elle jette en arrière ses
bras
enivrés et morts de volupté, on croit voir une de
ées. « Mademoiselle Elssler », continue-t-il dans son éloge, « a des
bras
ronds, bien tournés, ne laissant pas percer les o
pas percer les os du coude et n’ayant rien de la misère de formes des
bras
de ses compagnes… « … Quant au caractère de la tê
la sueur perle sur le front, les muscles se tendent avec effort, les
bras
et la poitrine rougissent : tout à l’heure c’étai
erpsichore qui se cache sous ce travestissement trop évident ; et ces
bras
sous la toile grossière, mais ce sont ceux qui ma
vision va finir, la Péri se laisse tomber du haut d’un nuage dans les
bras
de son amant. « Si ce n’était qu’un tour de force
déjeunent en travaillant. A cet effet, elles ont — généralement — au
bras
un sac ou un panier. Il y a là dedans, du pain, u
seules engraissent. Quelquefois même elles engraissent trop. Mais les
bras
, mais les épaules, mais la poitrine, tout cela es
age de flanelle, de percale ou de piqué, qui laisse à découvert leurs
bras
et leurs épaules ; d’un caleçon de même étoffe, q
ps, ou de marcher avec grâce, et sans perdre l’équilibre, d’avoir les
bras
moelleux, et des attitudes pittoresques et élégan
nnaissance de ses éléments. En effet, les pas, les sauts, le port des
bras
, l’à plomb, les attitudes ne sont que l’Alphabet
in sait faire avec ses doigts, ils le font avec les pieds et avec les
bras
; mais comme le premier est bien éloigné de pouvo
que la Danse Pantomime véritable, ou l’art de mouvoir les pieds, les
bras
, le corps en cadence au son des instruments, et d
ye les rideaux s’ouvrir encore et les Danaïdes les cheveux épars, les
bras
sanglans et armés de poignards fuir le lien de le
ue les satellites de Danaiis lui aménent le fugitif. Il vole dans les
bras
de son épouse ; il reçoit ses embrassemens ; mais
is les amis de Lyncée arrivoient furtivement ; l’un d’eux arrêtoit le
bras
de Danaiis et le dèsannoit, tandis qu’un autre lu
re, ils ne sortent de cette attitude respectueuse que pour élever les
bras
vers le ciel ; mais dans cet instant, le dieu du
lomb, la tête droite, le menton en arrière, les épaules effacées, les
bras
tendus naturellement sur les côtés, et le tout sa
oux qui a surpris ce manège, accourt en grognant arracher la belle du
bras
de Cléofas. — Qu’à cela ne tienne ! le volage vie
belle rouvre les yeux, daigne pardonner à don Gil, et, lui prenant le
bras
, elle s’éloigne en faisant à l’écolier des signes
, une foulure, tout ce que vous voudrez, et se laisse tomber dans les
bras
des comparses. Le spectacle est forcément interro
Comme elle se plie ! quel feu ! quelle volupté ! quelle ardeur ! Ses
bras
pâmés s’agitent autour de sa tête qui penche, son
moment d’entrer chez la veuve, Cléofas sent une main se poser sur son
bras
, et entend une voix qui lui crie dans la langue d
eu ce jour-là. L’offre étant acceptée, l’écolier va pour s’emparer du
bras
de la maîtresse de la maison, afin de pouvoir s’e
les cendres d’un amour éteint. Cléofas, en voyant la veuve passer au
bras
de don Gil, s’est senti une recrudescence de pass
une les plumes de paon dont le geai s’était paré, tire sa sœur par le
bras
et s’éclipse discrètement. Florinde, elle, ne s’e
▲