Personnages. L’Amour . Les Graces , sous la forme de trois
Bergères
. Lycénion , vieille Bergère qui a nourri les Gr
Les Graces , sous la forme de trois Bergères. Lycénion , vieille
Bergère
qui a nourri les Graces sans connoître leur origi
qui a nourri les Graces sans connoître leur origine. Damet , vieux
Berger
uni à Lycénion. Daphnis , Berger. Philis , je
ître leur origine. Damet , vieux Berger uni à Lycénion. Daphnis ,
Berger
. Philis , jeune Bergère. Troupe de Bergers Arc
t , vieux Berger uni à Lycénion. Daphnis , Berger. Philis , jeune
Bergère
. Troupe de Bergers Arcadiens. Troupe de Bergère
à Lycénion. Daphnis , Berger. Philis , jeune Bergère. Troupe de
Bergers
Arcadiens. Troupe de Bergères Arcadiennes. Vieu
r. Philis , jeune Bergère. Troupe de Bergers Arcadiens. Troupe de
Bergères
Arcadiennes. Vieux Arcadiens. Vieilles Arcadien
larmes à ses prières, et leur jure une reconnoissance éternelle. Les
Bergères
emües et attendries se reprochent leur cruauté et
’en former qu’une seule avec la quelle il s’enchaîne aux trois jeunes
Bergères
qui en tiennent l’extrémité. Le fils de Vénus, pa
r tour que ce dieu est leur frère. Un instant de réflexion ramène les
Bergères
à, leur devoir ; leur absence à été longue ; que
représente l’intérieur de la Cabane de Damet et de Lycénion. Ce vieux
Berger
et cette vieille Bergère, assis près d’une table
e la Cabane de Damet et de Lycénion. Ce vieux Berger et cette vieille
Bergère
, assis près d’une table sur la quelle est servi u
ur aux attraits du plaisir. Il transforme donc soudain Damet en jeune
Berger
et il opère le même prodige sur Lycénion ; par ce
s. Ce ne sont plus les jeunes Arcadiennes, ce ne sont plus de simples
Bergères
, ce sont des divinités : une jeunesse immortelle
s Graces ! Scène V. Tant de prodiges excitent la curiosité des
Bergers
et des Bergères ; ils accourrent en foule, et fra
Scène V. Tant de prodiges excitent la curiosité des Bergers et des
Bergères
; ils accourrent en foule, et frappés d’étonnemen
uent à jamais le jour fortuné qui l’a uni aux Graces ; il ordonne aux
Bergers
de le suivre ; les Bergères accompagnent de leur
né qui l’a uni aux Graces ; il ordonne aux Bergers de le suivre ; les
Bergères
accompagnent de leur côté les Graces et s’embelli
brât une fête annuelle, mêlée de jeux et de danses, dans la quelle le
Berger
le plus beau, le plus leste et le plus adroit ser
qu’il faut réparer ; il ordonne donc qu’à l’avenir la plus belle des
Bergères
recevra une couronne de roses de la main du Berge
a plus belle des Bergères recevra une couronne de roses de la main du
Berger
, qui aura remporté le prix accordé à l’élégance,
’élégance, à l’adresse et à l’agilité. Cet ordre est suivi : tous les
Bergers
applaudissent à l’idée de l’Amour ; toutes les Be
ivi : tous les Bergers applaudissent à l’idée de l’Amour ; toutes les
Bergères
en rougissent de plaisir et la joye et la reconno
ue se portant de là vers le sommet d’une montagne, elle y découvre un
Berger
occupé du tendre soin de couronner sa Bergère et
agne, elle y découvre un Berger occupé du tendre soin de couronner sa
Bergère
et de l’orner de fleurs, que le plaisir semble fa
aisir semble faire éclore autour d’elle. Un peu plus bas elle voit un
Berger
qui brise son chalumeau, et qui exprime ce que la
doute, moins fière et moins farouche ; l’Amour presse, il entraîne le
Berger
, mais sa timidité rallentit ses pas ; la crainte
mour voit qu’il lui faudroit trop de tems pour vaincre la timidité du
Berger
, s’approche doucement de la Bergère et se place à
e tems pour vaincre la timidité du Berger, s’approche doucement de la
Bergère
et se place à ses cotés. Philis, la tête appuyée
es ailes, et l’air frais et délicieux qu’elles répandent autour de la
Bergère
semble lui donner un nouvel être. Elle se retourn
l se transporte aux pieds de Philis ; elle l’apperçoit et rougit ; le
Berger
lui prend la main, elle le repousse d’un bras mal
objets tranquilles de la nature, s’arrêtent avec complaisance sur le
Berger
, dont les charmes lui paroissent nouveaux. Scè
si beau que Philis ; rien aux yeux de Philis n’est aussi beau que son
Berger
. Enivrés de leur bonheur mutuel ils se jurent une
ncé par une musique douce et champêtre, et le coteau se garnissant de
Bergers
et de Bergères, Philis et Daphnis se séparent pou
sique douce et champêtre, et le coteau se garnissant de Bergers et de
Bergères
, Philis et Daphnis se séparent pour joindre chacu
mer à jamais. Scène X. Déjà le coteau est rempli d’une foule de
Bergers
, qui, en le descendant, font place aux Bergères.
rempli d’une foule de Bergers, qui, en le descendant, font place aux
Bergères
. Lorsqu’ils ont gagné la plaine, ils se disposent
s au bas de la montagne, pour décerner la couronne au vainqueur ; les
Bergères
se rangent sur la colline. L’Amour et les Graces
des danses, formées autour des statues d’Apollon, et d’Hyacinte. Les
Bergères
peignent tour-à-tour leur tendre inquiétude, chac
nt tour-à-tour leur tendre inquiétude, chacune fait des vœux pour son
Berger
. Cependant le moment de la décision approche, les
les juges se lèvent et vont prononcer ; le trouble augmente parmi les
Bergères
; partagées en petits groupes, elles attendent av
es haubois, des flûtes et des chalumeaux porte au loin le triomphe du
Berger
; l’echo fait retentir son nom ; Philis le répéte
conduisent en triomphe, sous une espèce de baldaquin de fleurs. Les
Bergères
descendent à leur tour du coteau, précédées par l
eau que ce qu’on aime et qu’elle doit ne rien craindre du cœur de son
Berger
. Les danses commencent. Les Bergers sont placés
ne rien craindre du cœur de son Berger. Les danses commencent. Les
Bergers
sont placés sur le coteau pour voir les jeux ; le
ncent. Les Bergers sont placés sur le coteau pour voir les jeux ; les
Bergères
se disputent le prix de la course, d’autres celui
s pittoresques. Moins jalouses de plaire que de prêter de l’éclat aux
Bergères
, leur présence est plus marquée par les charmes q
nt de tracasserie, point d’amour-propre, point de coquéterie : chaque
Bergère
paroît moins s’enorgueillr de ses attraits que de
dige est opéré par les Graces ; ces sentiment sont leur ouvrage. Des
Bergers
descendent de la colline ; le beau Daphnis paroît
éesse les plus tendres caresses, se grouppent autour d’elle. Tous les
Bergers
s’approchent du bois ; ils y cueillent les roses
es roses que l’Amour fait éclore ; ils en ornent les cheveux de leurs
Bergères
, et des rameaux fleuris qu’ils arrachent, ils for
e prosternent aux pieds de Vénus, de l’Amour et des Graces ; tous les
Bergers
et toutes les Bergères s’empressent à leur rendre
s de Vénus, de l’Amour et des Graces ; tous les Bergers et toutes les
Bergères
s’empressent à leur rendre le même hommage ; les
la plus belle sera désormais le prix de la plus vertueuse. Tous les
Bergers
et toutes les Bergères étendent les bras vers ces
ormais le prix de la plus vertueuse. Tous les Bergers et toutes les
Bergères
étendent les bras vers ces divinités bienfaisante
représente enchaînées l’une à l’autre et se tenant par les mains. Les
Bergers
enchantés de ce nouveau prodige expriment leur jo
aces ; ils y déposent leurs couronnes ; ils se rejoignent ensuite aux
Bergers
et se livrent à des danses, qui caractérisent l’e
ssoires que la puissance de l’Amour leur a prodigués pour orner leurs
Bergères
et pour embellir leurs jeux.
e pressant Cas Tous les Danseurs firent leurs pas. C’étaient NYMPHES,
BERGERS
, BERGÈRES, Que l’on voit peu sur les fougères ; D
t Cas Tous les Danseurs firent leurs pas. C’étaient NYMPHES, BERGERS,
BERGÈRES
, Que l’on voit peu sur les fougères ; Des GENTILH
e de Monaco, Mesdemoiselles d’Elbeuf, de la Vallière et de Longueval.
BERGERS
: Monsieur, les Marquis de Louvigni et de la Vall
ueval. BERGERS : Monsieur, les Marquis de Louvigni et de la Vallière.
BERGÈRES
: Mesdemoiselles d’Elbeuf, d’Arquien et Longueval
Scène II. Vénus cherche Adonis ; elle exprime son impatience ; le
berger
paroît ; il se précipite à ses genoux ; il lui té
Scène III. Vénus se mêle aux jeux des Faunes et des Nymphes. Un
Berger
et une Bergère nouvellement unis par l’Amour vien
Vénus se mêle aux jeux des Faunes et des Nymphes. Un Berger et une
Bergère
nouvellement unis par l’Amour viennent offrir à c
rt d’Adonis. L’Amour lui jure que dans l’instant, il lui ramènera son
Berger
, mais il exige de sa mère un baiser pour prix de
e VI. Le divertissement devient général ; Adonis reparoît avec les
Bergers
et cache soigneusement sa passion. Venus, Mars et
aît, Par ses Récits, par ses Prologues, Et les amoureux Dialogues, De
Bergères
, et de Bergers, Constants en amour, non légers Ma
its, par ses Prologues, Et les amoureux Dialogues, De Bergères, et de
Bergers
, Constants en amour, non légers Mais c’est tout c
Discorde au milieu de l’assemblée, en forma le nœud ; et le choix du
Berger
en offre le dénouement Je ne puis m’empêcher de d
porter à Paris ; il abandonne cette cause délicate au jugement de ce
Berger
. Mercure traverse les airs et disparoît. On achèv
mer vaste et tranquille termine cette décoration. Scène i. Les
Bergers
et les Bergères s’empressent à féliciter Paris su
ranquille termine cette décoration. Scène i. Les Bergers et les
Bergères
s’empressent à féliciter Paris sur son retour au
ii. Mercure descend des cieux ; il remet à Paris la pomme d’or. Ce
Berger
en lit l’inscription ; et le Messager des Dieux l
isparoît. L’ordre qu’il a transmis à Paris, inquiéte et embarrasse le
Berger
; il ne peut sans danger désobéir au Maître du To
tudes ; l’indécision de Paris les offense et les met au désespoir. Ce
Berger
, blessé par l’Amour et séduit par Vénus refuse le
des plus grands malheurs. Vénus et l’Amour s’empressent à rassurer le
Berger
; ils lui promettent les jours les plus fortunés.
cien du Roi, Par une agréable boutade, Fit un Ballet, ou Mascarade De
Bergères
et de Bergers,1 Qui ne craignant plus les danger
r une agréable boutade, Fit un Ballet, ou Mascarade De Bergères et de
Bergers
,1 Qui ne craignant plus les dangers2 De la Guer
inture, La belle, et tendre Passion De Diane, et d’Endimion, Charmant
Berger
qu’aucun n’égale : Et cette Pièce musicale, Conti
nt, Dansent de joie, une Bourrée, Laquelle, grandement, agrée : Et le
Berger
, lors, éveillé, Qui, de la sorte, est enrôlé, Des
ux embarrasser, L’Amour, en son Art, un grand Maître, Fait, encor, le
Berger
paraître, Qui, derechef, lui plaît si fort, Que,
, Lequel se carre comme un Paon, Les Cupidons, avec leur Sire, Et les
Bergers
, pour vous tout dire, Viennent, par leurs Chants,
eurs qu’ici ? Mélina. Qu’il est bête !… Oscar. Voyons, allez… Les
bergers
entrent les premiers… Quelles sont celles qui fon
z… Les bergers entrent les premiers… Quelles sont celles qui font les
bergers
? Rose. Moi, monsieur. Oscar. Tiens, mais hie
s ? Rose. Moi, monsieur. Oscar. Tiens, mais hier vous faisiez une
bergère
. Rose. J’ai changé avec Gérard… Oscar. C’est
Rose. Ça le trompe… Oscar. Eh bien, allez, alors… Restez avec les
bergères
… Votre remplaçante est-elle là ? Rose. Non, mon
ui. oscar Bon… voilà une répétition qui va bien marcher.,. Sur seize
bergers
, il en manque quatorze… Il est impossible de mett
urnelle du chœur d’entrée. A ce moment, une dispute s’élève entre les
bergers
et les bergères. oscar, se levant. Qu’est-ce qu’
r d’entrée. A ce moment, une dispute s’élève entre les bergers et les
bergères
. oscar, se levant. Qu’est-ce qu’il y a encore ?
oir, celle des BASQUES, Dont, comme eux, les Pas sont fantasques, Des
BERGERS
et des BOHÉMIENS, La plupart étranges Chrétiens,
OÏNE à qui j’écris, Vous savez tout ce que je dis, Car, en qualité de
Bergère
, Vous avez, dedans le Ballet, Votre Entrée et vot
duite Et Madame, pareillement, Du Bal, le second Ornement, Vinrent en
Bergers
et Bergères, Revêtus d’étoffes légères, Et d’habi
dame, pareillement, Du Bal, le second Ornement, Vinrent en Bergers et
Bergères
, Revêtus d’étoffes légères, Et d’habits assez peu
pantomime ne peut exprimer que confusément. J’ai donné avec succès la
Bergère
des Alpes. Ces ballets naissent, ordinairement de
oluptueuses, courses légères, jeux de guirlandes, défis de tambourin,
bergères
enchainées avec des guirlandes, bergers couronnés
rlandes, défis de tambourin, bergères enchainées avec des guirlandes,
bergers
couronnés de roses et conduits en triomphe sous d
vue se portant de la vers le sommet d’une colline, elle y découvre un
berger
occupé du tendre soin de couronner sa bergère, et
line, elle y découvre un berger occupé du tendre soin de couronner sa
bergère
, et de l’orner des fleurs que le plaisir fait écl
e le plaisir fait éclore autour d’elle. Un peu plus bas, elle voit un
berger
qui brise son chalumeau et qui exprime ce que la
ffrir, est sans doute moins fière, moins farouche ; l’amour presse le
berger
; il l’entraîne vers sa bergère ; mais sa timidit
re, moins farouche ; l’amour presse le berger ; il l’entraîne vers sa
bergère
; mais sa timidité ralentit ses pas. La crainte d
percevant qu’il lui faudroit trop de tems pour vaincre la timidité du
berger
, s’approche doucement de la bergère et se place à
e tems pour vaincre la timidité du berger, s’approche doucement de la
bergère
et se place à ses côtés. Philis, la tête appuyée
ses ailes ; l’air frais et délicieux qu’elles répandent autour de la
bergère
semble lui donner un nouvel être.Elle se retourne
est transporté aux pieds de Philis ; elle l’apperçoit et rougit ; le
berger
lui prend la main ; elle le repousse d’un bras ma
objets tranquilles de la nature, s’arrêtent avec complaisance sur le
berger
dont les charmes lui paroissent nouveaux. L’Amour
si beau que Philis ; rien aux yeux de Philis n’est aussi beau que son
berger
. Enivrés de leur bonheur mutuel ils se jurent une
Les Euménides. Démons et spectres. Caron . Femmes de la Thrace.
Bergers
et Bergères. Bacchantes. Faunes, Satyres et Sil
des. Démons et spectres. Caron . Femmes de la Thrace. Bergers et
Bergères
. Bacchantes. Faunes, Satyres et Silvains.
andes ; les oiseaux s’empressent, à répéter les chants d’Orphée ; des
bergers
et des Bergères quittent leurs hameaux pour se li
eaux s’empressent, à répéter les chants d’Orphée ; des bergers et des
Bergères
quittent leurs hameaux pour se livrer aux transpo
tiers l’absence d’exégèse psychologique dans le ballet français. « Un
berger
, disait-il à peu près, offre un ruban à une bergè
let français. « Un berger, disait-il à peu près, offre un ruban à une
bergère
et l’on danse à propos de ce ruban. » Formule adm
ante, vraimi. C’est elle qui, sur la Fougère, Quand notre HÉROÏNE est
BERGÈRE
, Dans le grand BALLET des Neufs SŒURS, Fait tremb
Par le DIALOGUE excellent D’un CHŒUR et charmant et brillant, Tant de
BERGERS
que de BERGÈRES, Qui ne foulent point les Fougère
excellent D’un CHŒUR et charmant et brillant, Tant de BERGERS que de
BERGÈRES
, Qui ne foulent point les Fougères, Six desquels,
mp; des Faunes. De la danse des Laboureurs. De la danse champêtre des
Bergers
& des Bergeres. De la danse des Vendangeurs.
n de si facile, Monsieur, et je vais vous le prouver clairement. Deux
bergers
, par exemple, épris d’une bergère, la pressent de
is vous le prouver clairement. Deux bergers, par exemple, épris d’une
bergère
, la pressent de se décider et de faire un choix :
sent de se décider et de faire un choix : Thémire, c’est le nom de la
bergère
, hésite, balance, elle n’ose nommer son vainqueur
sieurs coups ; à ce tableau touchant, l’action devient générale ; des
bergers
et des bergères accourent de toutes parts. Thémir
à ce tableau touchant, l’action devient générale ; des bergers et des
bergères
accourent de toutes parts. Thémire désesperée d’a
is une action aussi noire, veut s’en punir et se percer le cœur ; les
bergères
s’opposent à un dessin si cruel ; Aristée partagé
court à Tircis et s’empresse de lui donner du secours ; il invite les
bergers
à en prendre soin. Thémire désarmée, mais accablé
passionné, semble chérir le coup qui va le priver de la lumière. Les
bergères
attendries arrachent Thémire de ce lieu, théatre
a douleur et de la plainte : elle tombe evanouie dans leurs bras. Les
bergers
de leur coté, entrainent Tircis ; il est près d’e
dans l’exécution : car rien n’est si ridicule que de voir danser les
bergers
de Tempé, comme les divinités de l’Olimpe. Les ha
es de l’opéra ; il préside en souverain à ce spectacle. Grec, Romain,
Berger
, Chasseur, Guerrier, Faune, Sylvain, Jeux, Plaisi
ans lequel lieu, si beau, si frais, On ouit une belle Églogue, Où des
Bergers
, par Dialogue, Mille tendres choses chantaient De
e « fable bocagère » ne se tut complètement. L’Aminta du Tasse, suave
berger
à houlette fleurie qui modula sa tendre et extrav
verie rétrospective ? Or l’histoire de la nymphe farouche qui aima le
berger
Aminta pour avoir essayé de le tuer eut la chance
. Je ne vous parlerai point, Madame, des directions des Bontemps, des
Berger
, des St. Germain, des Tresfontaine, des Thuret, d
ouverne les Peuples Gaulois, Avec des grâces sans pareilles, Y fit le
Berger
, à merveilles. Plusieurs Princes et Grands Seigne
re associée au genre sérieux. Galathée désespère continuellement deux
bergers
par ses caprices ; elle accepte leurs dons avec t
s caprices ont toujours diverses nuances et diverses gradations : les
Bergers
feignent d’adresser leurs vœux à une autre bergèr
s gradations : les Bergers feignent d’adresser leurs vœux à une autre
bergère
, et de lui offrir les présens destinés à celle qu
e la devance et s’en saisit encore pour les jetter de même. Alors les
Bergers
abandonnent Galathée pour la rappeller à eux ; il
s de quatre de la dédaigner et de paroitre fortement épris de l’autre
bergère
, la capricieuse humiliée se livre au chagrin et à
portant le Nectar qu’elle verse aux Dieux. Elle était accompagnée des
bergers
d’Arcadie chargés de toutes les espèces de laitag
e si facile, Monsieur, & je vais vous le trouver clairement. Deux
Bergers
, par exemple, épris éperduement d’une Bergere, la
lusieurs coups. A ce Tableau touchant, l’action devient générale, des
Bergers
& des Bergeres accourent de toutes parts ; Th
court à Tircis : il s’empresse à lui donner du secours, il invite les
Bergers
à en prendre soin. Thémire désarmée, mais accablé
ouleur & de la plainte ; elle tombe évanouie dans leurs bras. Les
Bergers
de leur côté entraînent Tircis ; il est prêt d’ex
dans l’exécution : car rien n’est si ridicule, que de voir danser les
Bergers
de Tempé, comme les Divinités de l’Olympe. Les ha
es de l’Opéra ; il préside en Souverain à ce Spectacle. Grec, Romain,
Berger
, Chasseur, Guerrier, Faune, Silvain, Jeux, Plaisi
erbe d’un héros peut vanter les exploits ; Racan, chanter Philis, les
bergers
et les bois. Mais souvent un esprit qui se flatte
vers Au contraire cet autre, abject en son langage, Fait parler ses
bergers
comme on parle au village. Ses vers plats et gros
, les champs, Pomone, les vergers ; Au combat de la flûte animer deux
bergers
; &c… Elle peint des amans la joie et la tr
Flore, au milieu des vergers, Elle peint les combats, et les jeux des
bergers
, Retrace des amans la joie et la tristesse, Flatt
tre danseur ; il faut être amoureux. Chant II, vers Telle qu’une
bergère
, au plus beau jour de fête, De superbes rubis ne
Elle effleure9 l’eau, glisse, et court en sautillant. Telle qu’une
bergère
, au plus beau jour de fête, De superbes rubis ne
parer, Et sans pointe un amant n’osa plus soupirer ; On vit tous les
bergers
, dans leurs plaintes nouvelles, Fidèles à la poin
en parer, Et sans tourner, l’amant n’osa plus soupirer. On vit chaque
berger
, dans sa danse nouvelle, Fidèle à la pirouette, e
nchanter les yeux, Et non les effrayer par des tours périlleux. Les
Bergers
sont galans, les Faunes sont sauvages ; A de dive
s ciseaux ; D’empêcher que Caron, dans la fatale barque, Ainsi que le
berger
ne passe le monarque : &c… Et que tout ce
iseaux ; Et que toujours Caron, dans la fatale barque, Passe l’humble
berger
, ainsi que le monarque. Chant III, vers La f
et l’adresse. C’est le bouquet du feu d’artifice. 5. Le genre des
bergers
est un des plus aimables en Danse ; il prête à la
re associée au genre sérieux. Galathée désespere continuellement deux
Bergers
par ses caprices ; elle accepte leurs dons avec t
aprices ont toujours diverses nuances & diverses gradations : les
Bergers
feignent d’adresser leurs vœux à une autre Berger
la devance & s’en saisit encore pour les jeter de même. Alors les
Bergers
abandonnent Galathée pour la rappeller à eux ; il
au langage classique. M. Aveline est très à son aise, dans le rôle du
berger
dans cette mythologie galante. C’est un parfait c
n’a jamais eu de rivaux. Depuis sa retraite, je n’ai pas encore vu un
berger
dans aucun ballet villageois. J’observerai que da
& la moisson : comment le Dieu Pan & les Faunes apprirent aux
Bergers
les Danses Champêtres au son de la flute & de
ès, dans l’avenue du Palais enchanté d’Armide, des Amours déguisez en
Bergers
, tâcherent par leurs chants, leurs danses & l
ent à cette nouvelle Divinité. Flore & Pallas, avec une troupe de
Bergers
& de Bergeres, protestent de ne recevoir jama
tes sortes de personnes, des Divinitez, des Héros, des Chasseurs, des
Bergers
& des Bergeres, des Bandits, des Marchands, d
ni plus familier aux paysans, que les tours joués à la ménagère et au
berger
par ces êtres malicieux et souples. On les retrou
orail, de nacre et de porphyre, se déploient en songe devant le jeune
berger
sicilien. Voici les cavernes profondes où germe l
e personnage de la chasteté ; elles vouloient massacrer l’Amour et le
Berger
; mais Diane, moins vertueuse qu’elles, et emport
ersonnage de la chasteté ; elles vouloient massacrer l’Amour & le
Berger
; mais Diane, moins vertueuse qu’elles, & emp
ant le fuir, se trouve dans les bras d’Adonis. L’Amour la blesse ; le
Berger
est à ses genoux ; elle se laisse aller et se pen
ce genre s’occupent à représenter des intrigues amoureuses entre des
Bergers
, des Jardiniers, des Villageois, et des Ouvriers
ence, s’apparut à lui jouant d’un chalumeau fait de canne ; plusieurs
Bergers
y accoururent, & des soldats abandonnerent le
s élégantes, et un minois qui n’est ni fripon ni futé comme celui des
bergères
de Watteau, ni douceâtre ni sentimental comme cel
des bergères de Watteau, ni douceâtre ni sentimental comme celui des
bergères
de Gessner ; mais spirituel, ardent, taquin ; — d
ncrède ; aimable vainqueur, etc. d’Hésione, est un canevas ancien. Ma
bergère
fuyait l’amour, etc. des Fêtes de l’hymen, en est
nsons pour les diverses professions : telles étaient les chansons des
bergers
, dont une espèce appelée bucoliasme, était le vér
e route, le laboureur au milieu des champs, le matelot sur la mer, le
berger
en gardant ses troupeaux, l’artisan dans son atel
je commencerais par douter. C’est l’éternelle histoire du Loup et du
Berger
. La Fontaine a décidément du bon… même en Amériqu
danges, la manière rustique d’arroser une fleur, de la présenter à sa
bergère
, de dénicher des oiseaux, de jouer du chalumeau,
rands seigneurs dansaient, représentant des divinités, des héros, des
bergers
, et d’autres personnages. Benserade se distingua
privilége fut cédé à M. de Thuret. En 1744 il passa dans les mains de
M. Berger
; en 1747, après la mort de celui-ci, les sieurs
un Olympe, d’une mythologie en poudre, en mouches et en paniers ; les
bergères
satinées et pailletées, les houlettes enrubannées
aste cheminée, Gurn le montagnard est endormi du profond sommeil d’un
berger
qui a travaillé toute la journée précédente. Jame
qu’elle est, elle sait parfaitement que les rois n’épousent plus les
bergères
, même dans le monde du ballet, le pays le moins v
De Camargo. Entre les trois la victoire balance ; Mais si j’étais le
berger
fabuleux, Je ne sais quoi de grand, de merveilleu
d’un art » ; il prit son luth et chanta : Près des lacs aux blondes
bergères
Rossini, dessinant tes pas, T’inonda de notes lég
ent, lorsque je trouverrai dans les Grecs, dans les Romains, dans les
Bergers
, dans les Matelots, dans les jeux, dans les Ris,
ement lorsque je trouverai dans les Grecs, dans les Romains, dans les
Bergers
, dans les Matelots, dans les Jeux, dans les Ris,
ortant le nectar qu’elle verse aux dieux ; elle était accompagnée des
bergers
d’Arcadie chargés de toutes les espèces de laitag
ontaine qu’on trouve avant le grand berceau des oiseaux. Là plusieurs
bergers
et bergères divisés par quadrilles, coururent en
on trouve avant le grand berceau des oiseaux. Là plusieurs bergers et
bergères
divisés par quadrilles, coururent en dansant au-d
elle se rappelle avoir vu dans les contes pas mal de rois épouser des
bergères
, elle sait que l’antique usage était d’envoyer le
▲