l’Onde, Mais l’Air, le Ciel, et tout le monde ; Par ses grâces et ses
beautés
, Les plus nobles Coeurs sont domptés ; Et lorsque
t de ses attraits,39 Des Dieux, en ayant ordre exprès, Conduit cette
Beauté
divine Dans une superbe Machine, Digne Trône d’un
t l’Univers, N’aurait pas fait d’assez beaux Vers. Créqui, dont les
beautés
illustres De la Cour sont les plus beaux lustres,
l’Esprit pénétrant et clair. Gramont, l’agréable étrangère, Dont la
beauté
rare et sincère A fixé, par son air brillant, Le
propre et bien mise, Et que l’on peut, en vérité, Nommer un trésor de
beauté
. Brancas, cette chère Personne, Toute belle, to
ant dansèrent, Et, des mieux, le Roi secondèrent. Cinq jeunes et rare
beautés
, Sources de feux et de clartés, Dans leurs deux D
’un éclat vif et sans pareil, Dont Madame était le Soleil. Les autres
Beautés
renommées, Qu’ailleurs j’ai, toutefois, nommées,
jours jeune et brillante, Elle est, même, encore vivante : Mais cette
beauté
de renom, Est, du moins, morte par le nom, Qui n’
renversements éperdus sur les bras de son cavalier qui sont de toute
beauté
: ces bras arrondis encadrent avec une grâce alou
comme on agite un mouchoir, au grand coup d’aile et à la douloureuse
beauté
de celle qui est le cygne : Pavlova. Et je reproc
gothique ou la colonnade du Parthénon. C’est la fonction traduite en
beauté
. Et ramenez donc votre bras, vous, Mademoiselle,
e l’erreur. C’est pourquoi vous, qui avez du talent, du succès, de la
beauté
, qui serez demain étoile comme Zambelli, vous dit
tte même unité, de cette même conformité à sa destination qui fait la
beauté
saisissante d’une Citroën, d’un avion perfectionn
. Seulement, l’avion est conçu dans un sens utilitaire ; la notion de
beauté
s’y superpose. Quant à la danseuse classique, sa
euse serait donc une machine ? Eh oui ! Une machine à fabriquer de la
beauté
. J’ai vu récemment au Salon d’Automne, un portrai
ent, Dont la voix plaît infiniment, Et dont la personne excellente La
Beauté
même représente (Assez convenable rôlet) Dans ce
mettre notre Reine auguste, Dont l’agréable Majesté Est un modèle de
Beauté
. Il faut insérer après Elle Avec raison, Mademo
, Dignes des plus nobles amours. L’incomparable de Luynes, Dont les
beautés
, quasi divines, Font infinité d’Amoureux, Mais ne
sante à merveille, De prudence, d’honnêteté, D’esprit, de grâce et de
beauté
. Des-Autels, Fille de la Reine, Fort aimable, m
e chants du poème, et que j’ai été contraint de renoncer à toutes les
beautés
de détail, que la pantomime ne peut exprimer, pou
lé de fleurs odoriférantes. Scène II. Trois jeunes filles d’une
beauté
ravissante, accoutumées à orner de bouquets et de
être à craindre, si c’est l’amour. On adopte cette idée ; les jeunes
beautés
se débarrassent de leurs guirlandes, elles en com
De qui, leur dit-il, de qui l’amour peut-il attendre du secours si la
beauté
le fuit, si les Graces l’abandonnent ? il mêle de
ri des Graces, l’ornement de l’empire de Cythère ; vous embellirez la
beauté
même ; les arts, les talens, ne pourront plaire s
sœurs, et ces filles charmantes qui réunissent ce qu’ont de divin, la
beauté
simple, l’innocence naïve, la gaité modeste et la
ulent prendre sa défense, en vain, l’une vante sa candeur, l’autre sa
beauté
, celle-ci son innocence ; rien n’appaise Lycénion
Graces, trouve qu’il manque quelque chose à cette institution, que la
beauté
y est oubliée et que c’est une injustice qu’il fa
e ses compagnes, étoit celle qui avoit le plus de droit au prix de la
beauté
; le jeune Daphnis, aussi beau et aussi timide qu
tombe en pleurant aux genoux de Philis et il la conjure, au nom de la
beauté
, dont elle est l’image, de ne point le priver d’u
nné de roses ; il aborde les filles de Lycénion, et leur dit que leur
beauté
mériteroit la préference ; mais qu’il n’a qu’une
tombe à ses pieds. Philis rougit ; elle prétend moins au prix de la
beauté
qu’au cœur de son amant ; un sentiment de justice
Sully, Au visage frais et joli. L’incomparable de Luynes, Dont les
beautés
presque divines, Les yeux, la gorge, et l’embonpo
e, Et qui, parmi ces qualités, Est fort noble des côtés. Castelnau,
beauté
singulière, Douce fleur, rose printannière, Dont
ui l’ai deux fois vue De divins agréments pourvue, Et d’une très rare
beauté
, Aux Ballets de Sa Majesté, Si quelqu’un s’en ven
As-tu rien vu de si mignon ? Je dirais hardiment que non. Outre ces
Beautés
éclatantes, La plupart des Dames importantes, Cin
t avec Dépense Digne d’un MONARQUE de FRANCE, Est le Ballet des neufs
BEAUTÉS
Ou savantes DIVINITÉS De qui tout POÈTE au PARNAS
USES dansent, à leur tour, Sous le Visage et sous l’Atour D’autant de
BEAUTÉS
éclatantes Et qui me semblent plus charmantes.
ans miracle. Mais, pour de ce noble Spectacle Concevoir bien mieux la
beauté
, Je leur conseille, en vérité, D’aller, pour livr
courage de le dire : c’est un spectacle exquis. En faisant mouvoir la
beauté
vivante selon le rythme musical, il associe deux
aient. Pour eux, la danse était une des révélations supérieures de la
beauté
. Qu’était-ce que les cortèges des Panathénées, si
stences moroses, lourdes d’ennui : les jeux légers du Rythme et de la
Beauté
. fin
’un Duc, de grand renom, Et d’une Mère fort charmante, Fille, dont la
beauté
naissante, Se rend digne, de jour en jour, D’admi
de merveille comblée, Chacun paraissant enchanté De sa danse et de sa
beauté
; Fille jeune, Fille brillante, Fille de mine rav
ortrait d’une de ses favorites nommée Campaspe ; Apelles frappé de la
beauté
de son modèle, en devient amoureux. Campaspe part
l’Amour, la flèche, qui doit blesser Adonis. Alexandre enchanté de la
beauté
du tableau, de l’expression des figures, de la co
aginer de se servir du déguisement de ses élèves, pour rendre à cette
beauté
la séance plus variée, et moins ennuyeuse. Il ex
lant répandre une vapeur légère sur ce tableau et rendre hommage à la
beauté
qui l’enchante, fait brûler l’encens, et se prost
mpaspe. Apelles, s’étant livré à son enthousiasme et ayant rendu à la
beauté
qui l’enflamme l’hommage que son cœur lui devoit,
s et tristes, sont, aux yeux des paysans du voisinage, le symbole des
beautés
mortelles qu’une punition terrible a frappées. Si
leur étendard. Ce n’est plus, comme chez la sirène d’Homère, la seule
beauté
de la forme, la seule magie des accents, représen
s, et se balançant sous les buissons et les halliers. Il y a moins de
beauté
pure et complète, avouons-le, dans cette concepti
ermanique que dans la lumineuse création du symbole grec ; mais si la
beauté
est le domaine de l’Hellène, le monde merveilleux
dans les belles eaux de la rivière voisine. Il s’assied, charmé de la
beauté
du lieu, de la sérénité du temps ; et au moment o
fond de ses grottes humides, a reconnu le jeune Mattéo ; éprise de sa
beauté
, elle exerce sur lui la séduction surnaturelle do
puissance. Bientôt elle redevient visible au pauvre Mattéo, que cette
beauté
magique entraîne encore, et qui, les bras étendus
périr ; toutes les grâces de la jeune fille s’effeuillent ; toute sa
beauté
pâlit et languit. Mais la souveraine des eaux sou
autre soleil, en dehors de ce monde spécial, perdait sa couleur et sa
beauté
. La traduction de Lamotte-Fouqué eut peu de succè
sensation dans cette contrée où l’on donne une si grande valeur à la
beauté
. On raconte qu’une nuit, à un bal chez le viceroi
ant qu’ils étaient là pour danser, s’arrêtèrent et vinrent admirer sa
beauté
radieuse. Lorsqu’elle fut morte ceux qui l’enseve
s’inquiétèrent de moi auprès de la buraliste. La mère de Gab, que sa
beauté
rendait sympathique à tous, n’eut point de mal à
e se déchirant dans la nuit. Et nous demeurons le cœur poigné : de la
Beauté
qui passe. Ame des fleurs, âme du ciel, âme du f
nuit, ce décor des grandes choses, nulle tâche humaine n’amoindrit sa
beauté
. La Providence envers elle se montra pitoyable. A
e montra pitoyable. A son grand secret Loïe communia. Amoureuse de la
Beauté
qui resplendit dans la nature elle l’interroge de
and lis, éblouissante, nous révélant une forme auguste et neuve de la
beauté
. J’eus l’honneur de lui être présenté à un déjeun
’un trait vif et brillant les pauvres gens en qui elle trouve quelque
beauté
qui les grandit et les décore. Ce n’est pas qu’el
amoureux de la belle Cryséïs, se mêle à cette fête ; sa jeunesse, la
beauté
de la taille et celle de ses traits aident à son
t sa situation ; il tremble de froid, pleure, et intéresse ces jeunes
beautés
; il vole des bras des unes dans ceux des autres
à entraîner le public à l’illusion. 1. Ce vaisseau doit égaler en
beauté
et en magnificence, celui qui portoit Cléopatre s
notre belle REINE, Dans le PETIT PARC de VINCENNE Ayant assemblé les
BEAUTÉS
Qui sont toujours à ses côtés, Les fit danser sur
sans déboires. Mlle Isabelita Ruiz est une magnifique créature, à la
beauté
prenante et provocante, mais nous n’aimons pas so
Sa physionomie est originale, mais son exécution très pauvre et sans
beauté
, ses costumes prétentieux et sans charme. Les évo
, Agréablement préparées, Ne les divertirent pas mal, Non plus que la
beauté
du Bal.
ers encore y retourne Pour l’agréable nouveauté D’y voir danser cette
Beauté
.
tre GRAND PORTE-DIADÈME, Je fus vraiment sollicité Par une obligeante
BEAUTÉ
De demeurer à ce Spectacle ; Mais, par un malheur
erre l’admire, Et qu’on y court de tous côtés Pour voir ces pompeuses
beautés
, Dont les surprenantes merveilles Charment les ye
mes lettres moi-même. — Madame Louise Colet. — La baronne de B… — Sa
beauté
. — Les beautés de la veille. — les bons mouvement
oi-même. — Madame Louise Colet. — La baronne de B… — Sa beauté. — Les
beautés
de la veille. — les bons mouvements de la baronne
olies avant leur naissance. Leurs traits sont beaux et rappellent une
beauté
passée ; en les détaillant on se rend parfaitemen
les sont laides. Genre de femmes que je me permettrai d’appeler : les
beautés
de la veille. XIV La baronne est une bonne
. (v. 5.) N’arrêtez point vos regards sur une fille, de peur que sa
beauté
ne vous devienne un sujet de chute. (v. 8.) Dét
. 8.) Détournez vos yeux d’une femme parée, et ne regardez point une
beauté
étrangère. (v. 9.) Plusieurs se sont perdus par
point une beauté étrangère. (v. 9.) Plusieurs se sont perdus par la
beauté
d’une femme : car c’est par là que la concupiscen
-Esprit dit encore : (c : 25, v. 28.) Ne faites point attention à la
beauté
d’une femme, et ne la considérez point parce qu’e
a force de ses charmes. (v. 11.) Plusieurs ayant été surpris par la
beauté
d’une femme étrangère, ont été rejetés de Dieu ;
Jouèrent, l’autre jour, Thésée, Pièce en Vers Latin composée Selon la
beauté
du Sujet, Par le docte Père Bouchet, Qui par des
agréables parties de la décoration. L’effet serait de la plus grande
beauté
, si on y faisait servir la lumière à rendre aux y
t pas plus considérables, peut-être même seraient-ils moindres. Cette
beauté
ne dépend que du soin et de l’art. Les plafonds c
i tiennent si fort à la décoration, lui prêteront encore de nouvelles
beautés
; mais comment imaginer des machines, si on ignor
génie qu’on lui suppose, n’imagine que d’après le plan donné. Que de
beautés
ne doivent pas résulter du concours du poète et d
ls spectacles, ne trouve à produire en machines et en décorations des
beautés
nouvelles, capables d’étonner les spectateurs et
le ; mieux soignées, elles le rendraient infiniment plus agréable. La
beauté
d’un ensemble dépend toujours de l’attention qu’o
rius, Statira, lui tend les bras et implore sa clémence. Frappé de sa
beauté
et de ses grâces naïves et touchantes, le Prince
iomphe de toutes ses réflexions. Tel est l’empire de la valeur sur la
beauté
. Statira consent à tout ce qu’exige Alexandre. Ce
-temps vulgaires. Quoi que MONSIEUR DE PÉRIGNY Ait rendu du BALLET la
beauté
sans seconde, Vous ne voyez point là de BELLE SÉV
lle se rassemble Ce qui plus aux Anges ressemble, Et c’est à dire ces
Beautés
Par qui les Cœurs sont si tentés. Les Momons de
vigoureux et souples, un sens instinctif du rythme, enfin un souci de
beauté
qui préside à toutes les évolutions. De tous les
ait fait briller, aux débuts du dix-neuvième siècle, son talent et sa
beauté
; c’était l’Espagnole Maria Medina, femme de Viga
saine avait débuté en 1801 à l’Opéra de Paris. Elle avait éclipsé une
beauté
fâcheusement célèbre, la danseuse Clotilde Mafleu
ent Autrichienne, et tout dans sa personne rappelait ses origines. Sa
beauté
était celle de la Viennoise. L’harmonie et l’élég
ités provinciales, en les affinant dans l’ambiance de la capitale. La
beauté
vigoureuse de Jean-Florian Elssler et la grâce ca
primât toute exubérance et soumît toutes les attitudes aux lois de la
beauté
. Pénétrée encore de l’esprit du dix-septième sièc
danse frémissante de vie et palpitante d’action. Elle comprit que la
beauté
de son art n’était pas dans une froide et savante
ormules rigides ; c’est l’art classique, expression harmonieuse de la
beauté
vivante. *** Quand Fanny Elssler revint à Vienne
, mais où l’esprit d’analyse gardait ses droits. Après avoir vanté la
beauté
de Fanny et son excellente tenue sur la scène, el
e au naturel tout ce que l’on voudra de noble… Cette apparition d’une
beauté
, d’une noblesse absolue, obtint, grâce à un art c
as, comme celle de sa sœur, la copie d’une statue antique ; c’est une
beauté
moins olympienne, plus humaine, plus moderne. Sa
dre les genoux, & assujettit à cette regularité qui fait toute la
beauté
de cet Art.
r un œil contemporain, épris de « constructivité », de discipline, de
beauté
intellectuelle, il y a plus de beauté dans un sim
tructivité », de discipline, de beauté intellectuelle, il y a plus de
beauté
dans un simple développé à la seconde de Mlle Zam
que temps de la Farce de delà les monts. Chacune de ces actions a des
beautés
ou des agréments qui lui sont particuliers, et le
n puisse imaginer. Sur le plateau de l’Opéra, l’abstraite et hautaine
beauté
de la danse classique se mêle trop souvent, quoiq
à son expression la plus simple ; les difficultés qui sont aussi des
beautés
sont soigneusement élaguées ; de cette façon, la
pui, est barrée par l’horizontale du bas de la jambe croisée, doit sa
beauté
tectonique au jeu des angles et des lignes brisée
qu’à embellir un art qui a fait son temps. Ils rendent à la mode une
beauté
démodée : le ballet de Nijinski ressuscite le bal
mieux la musique, n’est pas celui qui sait le mieux en apprécier les
beautés
. Le goût exagéré est-il bon, est-il utile au prog
il donna son opéra ; mais l’esprit de parti triompha du charme, de la
beauté
et de la grace qui règnoient dans cette productio
fait la Déesse Vénus, Mais montrant ses Membres moins nus, Que ladite
Beauté
céleste, Comme étant beaucoup plus modeste, Quoi
rs, Cette Déesse des Amours, Contre Psiché, moult irritée, De voir sa
Beauté
plus vantée : Et cette belle Actrice là Fait, cer
ur beaucoup dans cet engouement, ou plutôt dans cette idolâtrie. Sans
beauté
, avec sa figure d’institutrice sympathique, son t
euse extase, admirablement placée sur un cou élégant ; celle de Lisa,
beauté
vénitienne, blonde aux sourcils noirs qui semble
se rare. J’œuvre humblement à rééduquer cette faculté de percevoir la
beauté
chorégraphique. Je m’enorgueillis déjà de maintes
mbe ; les roses de la modestie et de l’innocence ajoutent encore à la
beauté
. Le Sophi frappé de tant d’éclat recule de surpri
n, oublie son rang pour la secourir. Le frère de Zulmire frappé de la
beauté
de Zélis, lui prodigue les plus tendres soins ; e
Zulmire y déploie toutes les grâces de son âge et toutes celles de la
beauté
, dans un pas de trois dialogué entre elle, le Sop
res, le Ciel, l’Air, la Terre et l’Eau, afin qu’en leur donnant mille
beautés
différentes, par la variété des couleurs, il lui
de vigueur. Toutes les jeunes filles de Sparte, parées de leur propre
beauté
et sans autre voile que leur pudeur, venaient imm
és par des mains habiles. Ces arbres vous paraissent tous d’une égale
beauté
. Chacun de leurs rameaux s’élève vers le ciel : i
. Tous ces objets ne sont rien moins qu’aisés à remplir : mais que de
beautés
résultent aussi dans ces sortes d’ouvrages de la
que Quinault a eue en créant ce genre, est le germe des plus grandes
beautés
de ce spectacle. (Voyez Opéra [Article de Jaucour
ements qui étonnent, et tous ces différents ressorts y produisent des
beautés
qui peuvent faire illusion, lorsqu’ils sont condu
n’en est pas l’effet, est donc vicieux, et ne saurait produire qu’une
beauté
hors de place ; cette espèce de merveilleux ne do
les défauts de leur genre, et n’atteignirent à presqu’aucune de leurs
beautés
. En France, lorsque Corneille et Molière créèrent
s eurent assez de génie et de goût pour se rendre propres les grandes
beautés
des Grecs, et pour en produire de nouvelles, que
terait incomplète et tant soit peu faussée. Contenant des éléments de
beauté
impérissable le ballet 1830 est bien de son temps
les aspirations d’une époque, sa pensée philosophique, son besoin de
beauté
. Transformation magique ! La danse dite classique
. Par tous ces contacts une conception plus vaste, plus intense de la
beauté
plastique est bientôt instaurée ; devant la pléni
espèces-types de la danse : la danse voluptueuse et robuste, faite de
beauté
plastique et d’émotion passionnée incarnée par Fa
remarquable « portrait écrit » qu’il fait d’elle à ce propos dans Les
beautés
de l’Opéra, album où Jules Janin se charge du pan
ensemble qu’il avait publié au Figaro en 1837. On n’analyse jamais la
beauté
des actrices, on ne les envisage jamais sous le c
puis trois. Du premier coup j’avais été pris : elle m’avait révélé la
beauté
du mouvement. Je savais désormais, par elle, qu’u
nt ému. La vue de la pureté, de l’innocence, de la candeur unies à la
beauté
et à la grâce, procure aux vieux pécheurs une émo
nts et de gens du monde s’est fondé pour l’aider à gérer son œuvre de
beauté
, mais l’appui financier qu’il lui faudrait ne s’e
Madonte, Dont tant de choses l’on raconte, Dans le plus fort de leur
beauté
, Assurément n’eussent été Auprès de ces rares Per
es entrées163 Les Concerts les mieux concertez En un mot, toutes les
beautés
Qui, le plus, notre Cour, charmèrent Pendant le t
avec elle. Mais il émanait, hélas ! de ces images une si surprenante
beauté
que je n’aurais su les oublier et qu’aujourd’hui
e la nôtre, magnifiquement tendue vers ces choses essentielles. Mais,
beauté
suprême, la danse ayant pour instrument le corps
busqué, ses sourcils finement fusinés sont autant de caractères de la
beauté
sémitique. Elle danse, dans un joli costume popul
la fable ; comme elles, ils gâlent tout, ils empoisonnent tout, et la
beauté
sous leurs mains crochues acquiert tous les trait
à l’harmonie générale, et dont le concert mutuel peut seul former la
beauté
, l’illusion, le charme de l’ensemble. Il était do
rents emplois de la Danse, on voit distinctement les divers degrés de
beauté
que peut lui donner l’art : car ce qu’il a pu dan
serait possible de détruire l’enchantement dans lequel son art et sa
beauté
ont plongé son heureux Amant. Ubalde cependant et
toutes les Déesses ainsi que les mortelles, ont des prétentions à la
beauté
, enlève la pomme et la présente à Jupiter. Ce Die
s est extrême. Les Déesses impatientes d’obtenir le prix décerné à la
beauté
, le pressent de s’expliquer ; Junon, qui dispose
usie et la vengeance des deux Déesses, il donne à Vénus le prix de la
beauté
. Junon et Pallas sont consternées et anéanties. L
iques, Novikoff montre cette superbe et pathétique fougue qui fait la
beauté
de certaines sculptures baroques. Il « enlève » l
pianiste redoutable ne parvint pas à détruire la farouche et pesante
beauté
de sa « danse albanaise ». Novikoff danse jambes
le théâtre de l’opéra ; cet ouvrage rempli de science et de goût, de
beautés
musicales et imitatives, étonna par l’abondance e
e cet ouvrage toute la perfection qu’il méritoit, en apprécièrent les
beautés
; et dans l’enthousiasme de leur admiration ils é
que personne ne cherchait à contester à Fanny, c’était son succès de
beauté
. Dès 1834 la gravure répandait son portrait. L’Av
ré de sa complaisance. La Revue de Paris lui faisait compliment de sa
beauté
, en ajoutant avec perfidie qu’elle avait « d’autr
hucha personnifiée. « Elle s’avance, dit Théophile Gautier, dans les
Beautés
de Paris, en basquine de satin rose garnie de lar
et par-dessus tout la grâce sensuelle, l’abandon lascif, la plastique
beauté
d’Elssler, furent très appréciés des télescopes d
volupté, avec une force qui n’avait d’autre frein que les lois de la
beauté
. Une vie ardente faisait irruption dans le ballet
squ’à l’invisible, pour soulever le voile mystique qui lui dérobe une
beauté
surnaturelle. Sa beauté, à elle, c’est celle de l
soulever le voile mystique qui lui dérobe une beauté surnaturelle. Sa
beauté
, à elle, c’est celle de la beauté externe et de l
dérobe une beauté surnaturelle. Sa beauté, à elle, c’est celle de la
beauté
externe et de la forme matérielle, les nuances du
sur les planches. Les journaux préparaient sa rentrée en célébrant sa
beauté
, son talent et son dévouement. Mais ni d’un côté
s le Grillparzer-Jahrbuch, t. XI, Vienne, 1901, p. 77-104. 108. Les
Beautés
de Paris, Paris, 1844, recueil d’articles de dive
efrains populaires de Mme Litvine, sa grande allure et sa monumentale
beauté
slave ; Mlle Svirskaya, costumée en bayadère de B
aration à la pirouette, qui est une nécessité mécanique, une chose de
beauté
. Elle a aussi dansé les Sylphides en restituant à
Et les concerts mélodieux Me semblèrent dignes des Dieux. Outre la
beauté
des spectacles, L’harmonie y fit des miracles, Ca
s de perfectionner. Car on s’occupe de tout, avant de s’occuper de la
beauté
. La beauté en effet ne sert qu’à la beauté. Aussi
tionner. Car on s’occupe de tout, avant de s’occuper de la beauté. La
beauté
en effet ne sert qu’à la beauté. Aussi ne faut-il
, avant de s’occuper de la beauté. La beauté en effet ne sert qu’à la
beauté
. Aussi ne faut-il pas s’étonner que le sens de la
t imitateur suit servilement son sujet. Il court sans cesse après des
beautés
fugitives, et passagères que son imagination ne p
ré tous ces miracles ; je consulte ma raison, et elle m’assure que la
beauté
, la grace et l’élégance ne peuvent être leurs ouv
’éclat d’une brillante aurore, et ne durent qu’un instant. Toutes ces
beautés
fugitives passent et s’éclipsent ; elles ne peuve
e, les Dauberval, et les le Picq, avoient invariablement fixés par la
beauté
, l’élégance, et la perfection de leur exécution ;
es mieux l’Amour fait son orge. Et SÉVIGNY, bref, est le Nom De cette
Beauté
de Renom. 88. Les Filles d’honneur. 89. Monsi
t à ce genre ; le danseur doit fixer l’attention du spectateur par la
beauté
du dessin, par la correction de ses poses, de ses
secret, dont l’œil est enchanté, Ni la grâce plus belle encor que la
beauté
. » La Fontaine . 67. Dans le genre demi-ca
secours, qui ont embelli mon art, et le théatre Anglais m’a prêté des
beautés
très propres à l’action pantomime. Je croirois, M
riade ; c’est cette entreprise qui doit couronner mes travaux, et les
beautés
que j’y moissonnerai prêteront à ma composition c
âtre impérial du Kærnthner-Thor, dont la jeunesse toute fraîche et la
beauté
harmonieuse étaient illuminées par les premiers r
e monde où l’on s’amuse. Il s’affichait avec une actrice d’une grande
beauté
, Christine Eigensatz, qui cependant ne l’enchaîna
» Les Viennoises n’eurent point de peine à faire oublier à Gentz les
beautés
de Berlin. Ce n’est pas qu’il fût toujours très d
florissante, dont jamais une mortelle ait joui, sera la vôtre. Votre
beauté
et vos talents vous gagnent des admirateurs en fo
e soir au ballet et vous verrez combien elle est belle ! Cependant sa
beauté
ne suffit pas pour expliquer l’incendie qu’elle a
plus fortunées. Je suis fier d’avoir reconnu toute ta valeur, dont ta
beauté
et ton art ne sont que des parties, et j’apprécie
extraordinaire, fondé sur l’estime autant que sur l’admiration de sa
beauté
. Elle a été sensible à cet hommage, et, en échang
un autre aveu. En même temps que le goût du monde, que le culte de la
beauté
féminine et que l’amour, Fanny a réveillé en lui
tion d’une liaison qui aurait pu ou la scandaliser ou l’inquiéter. La
beauté
, le caractère et le talent de la jeune fille lui
ut son être et par l’expression de son visage que par le détail de sa
beauté
. Sa toilette avait empêché Rahel d’analyser sa pe
t c’est moi qu’elle a choisi. Je n’avais à lui offrir ni jeunesse, ni
beauté
, ni richesse, rien de ce qui pouvait captiver une
aussi sa vie intérieure qui obéissait aux lois de la mesure et de la
beauté
. Cette particularité de son tempérament me paraît
es qu’on lui rendait s’adressaient exclusivement à son talent et à sa
beauté
; mais qui donc s’était jamais soucié de sa digni
le ne rougit d’avoir répondu à tant de bienfaits par l’offrande de sa
beauté
. « Encore dans sa vieillesse, dit Betty Paoli, el
es traits, les caractères, les formes, les délails et l’ensemble. Les
beautés
de cet art sont fuyantes et passagères ; on les a
l’etude de l’histoire et de la mythologie, se pénétrer de toutes les
beautés
de la poésie, lire Homère, Virgile, l’Arioste et
le sixième livre de l’Eneïde de Virgile ; il y trouvera une foule de
beautés
, mais elles ne sont que descriptives et historiqu
seul qu’ils indiquoient avec chaleur les caractères des figures et la
beauté
de la composition. J’ai cru devoir faire précéder
eau que l’auteur avoit joués lui-même ; et il me dévoila une foule de
beautés
que les autres acteurs m’avoit dérobées sous le m
pouvoir transmettre à la posterité, à l’aide de certains signes, les
beautés
fugitives de la déclamation, les charmes passager
ectateur, l’effroi, l’épouvante, la douleur et l’admiration ; tant de
beautés
réunies, disoit Garrick, m’ont frappé d’étonnemen
coûté infiniment de peine à acquérir. Elle ne doit à la nature que la
beauté
de son organe ; tout le reste appartient à l’art.
me dispenser d’en donner un programme. On sait que Psyché étoit d’une
beauté
rare ; que Vénus en devint si jalouse, qu’elle em
ver dans ce séjour de douleur, elle y perdit encore ses charmes et sa
beauté
; que l’Amour toujours tendre et toujours épris s
ses. L’Amour, caché derrière les Nymphes, jouit de la surprise, de la
beauté
et des graces de l’objet qui l’enchante ; mais qu
hétérophonies » savantes. Car ce sont là des lois essentielles de la
beauté
qui se révèlent à nous par le langage des formes
eux. Tout étoit sage et heureusement combiné ; en voulant embelir la
beauté
, on la fit minauder, et quelques artistes donnère
noble assurance d’un héros qui va combattre pour l’honneur et pour la
beauté
. Adèle inquiète sur le succès du combat, ne peut
n. On se livre à des danses ; et cette fête qui est le triomphe de la
beauté
, de l’amour et de la valeur, se termine par un pa
eux, est conduite à Pyrrhus. Elle lui est présentée dans les fers. La
beauté
de cette Princesse, son air majestueux, et cette
main. Pyrrhus, frappé d’un courage si héroïque, et encore plus de sa
beauté
, n’est plus maître de résister à l’impression que
ds, le luxe des magasins, l’élégance des équipages, le sourire que sa
beauté
faisait naître sur le visage des passants. Voici
devaient répondre aux rumeurs d’après lesquelles les adorateurs de sa
beauté
n’auraient pas tous été malheureux. Un de ces for
ur artiste, d’un prince des lettres, qui se constitua le héraut de sa
beauté
, le paladin de sa gloire. C’était Théophile Gauti
. Elle évoquait devant le plus plastique de nos poètes des visions de
beauté
antique. Elle réalisait un de ses rêves d’artiste
s, où il y a cette particularité à relever : c’est qu’en décrivant la
beauté
de Fanny, l’auteur fait quelques critiques qu’il
s reins. Deux natures et deux tempéraments se combattent en elle : sa
beauté
gagnerait à se décider pour l’un de ces deux type
spiré par le Diable boiteux : Descarnado ou Paris à vol de Diable. La
beauté
de Fanny continuait de tenter les peintres et les
lle Fanny Elssler tient dans ses blanches mains le sceptre d’or de la
beauté
; elle n’a qu’à paraître pour produire dans la sa
la femme et non pas à l’actrice, et l’on est toujours plus fier de la
beauté
qui vous vient de Dieu que du talent qui vient de
ou la statue de l’Apolline ; ce rapport s’étend à tout le reste de sa
beauté
que cette délicieuse ambiguïté rend plus attrayan
utôt prudente que cupide, elle prévoyait l’avenir, l’étiolement de sa
beauté
, le repos imposé, prématurément peut-être, par le
et établies pour l’éternité. Mais alors, tout cela aura été « inutile
beauté
» ? Que nous reste-t-il du spectacle cambodgien a
Sempronia, qui étoit une femme distinguée par sa naissance et par sa
beauté
, qui savoit très-bien le grec et le latin ; mais
s que l’on rencontre quelquefois dans ces sortes de compositions, des
beautés
de détail, et quelque éteincelles de génie ; mais
ueurs, partage agréablement les regards, et concourt unanimement à la
beauté
, et à la perfection de ces chefs d’œuvre ; chaque
s que l’on rencontre quelquefois dans ces sortes de compositions, des
beautés
de détail, & quelques étincelles de génie ; m
rs, partage agréablement les regards, & concourt unanimement à la
beauté
& à la perfection de ces chef-d’œuvres ; chaq
térieur, l’agaçante94 finesse de son regard, le dessin de son col, la
beauté
de ses épaules, la grâce de ses bras, l’élégance
reté surnaturelle, un murmure d’admiration salua tant de jeunesse, de
beauté
et de grâce. Quand on vit cette forme charmante a
ce. Après avoir dit l’impression de joyeux étonnement produite par sa
beauté
, il continuait en ces termes : « Le plaisir est
la loge la plus en vue avait été réservée aux sœurs Elssler. Entre la
beauté
imposante de Thérèse et la perfection délicate de
de Dieu qu’avait déterminée l’éclatante révélation du talent et de la
beauté
de Fanny Elssler fut de courte durée. Des passion
n classique avait habituée à dessiner des lignes précises, à fixer la
beauté
concrète. Enfin l’on avait exposé la débutante à
ois ; cette Déessé promet à Paris des plaisirs et la possession de la
beauté
la plus rare ; quelle est cette beauté ? C’est Hé
laisirs et la possession de la beauté la plus rare ; quelle est cette
beauté
? C’est Hélène : Voici l’Episode. Le buste de cet
est présenté a Paris par les Graces et par les Amours ; frappé de la
beauté
noble de cette Spartiate, sur de posséder un obje
, et donne la pomme à Vénus, en regardent moins cette divinité que la
beauté
qui a fixé son choix et dont la possession doit f
le est belle ! C’est l’image de ma mère, c’est le chef d’oeuvre de la
beauté
; Vénus enfin, pour triompher des deux Déesses, e
tombe en pleurant aux genoux de Philis, et il la conjure au nom de la
beauté
dont elle est l’image de ne point le priver d’un
n épisodique paraîtra toujours, lorsqu’elle sera bien rendue, une des
beautés
piquantes du Théâtre Lyrique. [Voir Enchantement]
harmonieux aux linéaments lourds en faisant saillir un torse dont la
beauté
massive vaut par ses proportions heureuses. Cepen
ource suprême savamment ménagée par le maître, multiplie et exalte la
beauté
intrinsèque de ce saut latéral ! La suite s’ouvre
thme avec justesse… Et cependant tout cela apparaît stérile ; inutile
beauté
! Le génie de la race est absent de cette copie c
& pour ménager cet accord entre vous deux, qui fait en partie la
beauté
de la danse. De plus, c’est que les contre-tems s
L’Estrade, Sur qui l’on jeta mainte œillade. Certes, ces naissantes
Beautés
, Ces jeunes sources de clartés, Ou, pour le moins
es, mais à tout le monde. Dans ce raisonnement Aristote qui mesure la
beauté
de ces deux arts par le plaisir qu’ils donnent, p
qu’on a dit des ouvrages du Guide & de Lalbane, sur l’idée de la
Beauté
. C’est aussi dans ce sens-là que Charles-Quint fa
t au bon goût, à la connoissance des autres arts, & à juger de la
beauté
de tous les objets du monde ; il visitoit souvent
ès des choses qui regardoient la Peinture. Pline dit que touché de la
beauté
de l’une de ses Esclaves appelée Compespé, qu’il
mp; les Sculpteurs ont toujours vêcu dans une louable jalousie sur la
beauté
& sur l’estime de leurs ouvrages, comme ils f
faits avec des plumes ajustées si au naturel, qu’ils surpassoient la
beauté
de la peinture ordinaire : ils ont tant de patien
vrages, que l’on ne montre que rarement, & qui enchantent pour la
beauté
. Pour commencer par l’Histoire-Sainte, quelle joi
ses & le son de leurs instrumens, de retenir Regnaud auprès de la
beauté
dont il étoit aimé : mais ce guerrier détrompé pa
amp; n’ont pas un meilleur succès, quoiqu’elles étalent à l’envi leur
beauté
& l’agrément de leur danse. Armide voyant tou
eur récit, la gloire qu’ils avoient, qu’une Déesse d’une incomparable
beauté
, qui devoit régner dans tout l’Univers, fût née d
Philosophes, de Poëtes, de Héros, d’Héroïnes, soumis à l’empire de la
beauté
, aussi-bien qu’Orphée, qui va chercher son Euridi
e vient faire hommage, Grand Roy, de sa fertilité, Puisqu’ici loge la
beauté
, Et l’amour l’honneur de notre âge ; Il vient che
. Revenons à mon sujet, il faut qu’un maître de ballets connoisse les
beautés
et les imperfections de la nature. Cette étude le
; cependant ce ballet fût rendu avec toute la précision possible. La
beauté
du théatre lui donnoit une élégance et une nettet
ois, dans la représentation de la forêt enchantée, spectacle plein de
beauté
, et tiré du Tasse. Un pont fort éloigné étoit pla
trouvé les plus heureuses dispositions dans les uns, et une foule de
beautés
et de perfections dans les autres ? Deux tableaux
Cette heureuse métamorphose, ce retour à la pudeur qui embellit la
beauté
même, inspirera aux hommes cette politesse, ces é
es modèles propres à éterniser leurs pinceaux. Ils immortaliseront la
beauté
simple et touchante d’un essaim de femmes charman
Revenons à mon sujet ; il faut qu’un Maître de Ballets connoisse les
beautés
& les imperfections de la nature. Cette étude
; cependant ce Ballet fut rendu avec toute la précision possible. La
beauté
du Théatre lui donnoit une élégance & une net
ois, dans la représentation de la Forêt enchantée, Spectacle plein de
beauté
& tiré du Tasse. Un pont fort éloigné étoit p
grâce, de la souplesse, de l’abandon, sans jamais lui faire perdre la
beauté
de sa pose, en conservant rigoureusement la puret
est saccadé, les linéaments déchiquetés, les raccourcis souvent sans
beauté
; le dos, très long, se casse et ondule. En somme
somme, un vaste divertissement, où il y a de vieilles choses de toute
beauté
(on en jugera quand le spectacle sera tout à fait
e, l’incarnation par le danseur. Au concert, l’œuvre, avec toutes ses
beautés
, reste, du moins selon son créateur, incomplète.
qui moins, qui mieux, Les âmes, les coeurs et les yeux. Outre leurs
beautés
et leur Danse, Leurs qualités et leur naissance I
et les acteurs de l’antiquité ! Les uns s’appliquoient à embellir la
beauté
, et les autres ne s’occupoient qu’à l’enlaidir et
que c’est un mérite de faire ressortir par la déclamation toutes les
beautés
de la poésie ; car combien ces belles productions
e répand sur les autres. La chaîne est rompue, et le tableau, quelque
beauté
qu’il ait d’ailleurs, est sans aucun mérite théât
et à gauche un promontoire praticable, rectangle qui se découpe, sans
beauté
, sur ce fond. L’action se passe sur le proscénium
ir que tenoit le Sultan. L’éclat de l’or, des diamans, et celui de la
beauté
réunis aux grâces et aux talens, offroient aux re
lent à un autre, qui se fait plus vivement, ce qui fait en partie la
beauté
de la danse, lorsque l’on sçait faire tous ces di
te, toute entière, Et, par tant de diversités, Jugez quelles sont ses
Beautés
. Dedans les quatre autres, Vertumne, Busquant,
pposer à la perfection d’un ouvrage qui exige autant de détails et de
beautés
différentes que l’opéra. J’ai toujours regardé un
ce, qui dessine et qui met à proportion de son génie plus ou moins de
beautés
plus ou moins d’action, et parconséquent plus ou
niste : tous cinq doivent également concourir à la perfection et à la
beauté
de l’ouvrage, en suivant exactement l’idée primit
utres. Mademoiselle Lany a effacé toutes celles qui brilloient par la
beauté
, la précision et la hardiesse de leur exécution ;
néralement, Monsieur, les entrées seules de l’opéra ; j’en admire les
beautés
souvent dispersées, mais j’en voudrois moins. Le
seules, dansées par les premiers sujets ; ils y déployent toutes les
beautés
mécaniques des mouvemens harmonieux du corps : ma
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