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1 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
l’Onde, Mais l’Air, le Ciel, et tout le monde ; Par ses grâces et ses beautés , Les plus nobles Coeurs sont domptés ; Et lorsque
t de ses attraits,39 Des Dieux, en ayant ordre exprès, Conduit cette Beauté divine Dans une superbe Machine, Digne Trône d’un
t l’Univers, N’aurait pas fait d’assez beaux Vers. Créqui, dont les beautés illustres De la Cour sont les plus beaux lustres,
l’Esprit pénétrant et clair. Gramont, l’agréable étrangère, Dont la beauté rare et sincère A fixé, par son air brillant, Le
propre et bien mise, Et que l’on peut, en vérité, Nommer un trésor de beauté . Brancas, cette chère Personne, Toute belle, to
2 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
ant dansèrent, Et, des mieux, le Roi secondèrent. Cinq jeunes et rare beautés , Sources de feux et de clartés, Dans leurs deux D
’un éclat vif et sans pareil, Dont Madame était le Soleil. Les autres Beautés renommées, Qu’ailleurs j’ai, toutefois, nommées,
jours jeune et brillante, Elle est, même, encore vivante : Mais cette beauté de renom, Est, du moins, morte par le nom, Qui n’
3 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 28 décembre. Madame Balachova. »
renversements éperdus sur les bras de son cavalier qui sont de toute beauté  : ces bras arrondis encadrent avec une grâce alou
comme on agite un mouchoir, au grand coup d’aile et à la douloureuse beauté de celle qui est le cygne : Pavlova. Et je reproc
4 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 novembre. L’école du critique. Une leçon de Zambelli. — Divagation sur quelques monstres. »
gothique ou la colonnade du Parthénon. C’est la fonction traduite en beauté . Et ramenez donc votre bras, vous, Mademoiselle,
e l’erreur. C’est pourquoi vous, qui avez du talent, du succès, de la beauté , qui serez demain étoile comme Zambelli, vous dit
tte même unité, de cette même conformité à sa destination qui fait la beauté saisissante d’une Citroën, d’un avion perfectionn
. Seulement, l’avion est conçu dans un sens utilitaire ; la notion de beauté s’y superpose. Quant à la danseuse classique, sa
euse serait donc une machine ? Eh oui ! Une machine à fabriquer de la beauté . J’ai vu récemment au Salon d’Automne, un portrai
5 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
ent, Dont la voix plaît infiniment, Et dont la personne excellente La Beauté même représente (Assez convenable rôlet) Dans ce
mettre notre Reine auguste, Dont l’agréable Majesté Est un modèle de Beauté . Il faut insérer après Elle Avec raison, Mademo
, Dignes des plus nobles amours. L’incomparable de Luynes, Dont les beautés , quasi divines, Font infinité d’Amoureux, Mais ne
sante à merveille, De prudence, d’honnêteté, D’esprit, de grâce et de beauté . Des-Autels, Fille de la Reine, Fort aimable, m
6 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
e chants du poème, et que j’ai été contraint de renoncer à toutes les beautés de détail, que la pantomime ne peut exprimer, pou
lé de fleurs odoriférantes. Scène II. Trois jeunes filles d’une beauté ravissante, accoutumées à orner de bouquets et de
être à craindre, si c’est l’amour. On adopte cette idée ; les jeunes beautés se débarrassent de leurs guirlandes, elles en com
De qui, leur dit-il, de qui l’amour peut-il attendre du secours si la beauté le fuit, si les Graces l’abandonnent ? il mêle de
ri des Graces, l’ornement de l’empire de Cythère ; vous embellirez la beauté même ; les arts, les talens, ne pourront plaire s
sœurs, et ces filles charmantes qui réunissent ce qu’ont de divin, la beauté simple, l’innocence naïve, la gaité modeste et la
ulent prendre sa défense, en vain, l’une vante sa candeur, l’autre sa beauté , celle-ci son innocence ; rien n’appaise Lycénion
Graces, trouve qu’il manque quelque chose à cette institution, que la beauté y est oubliée et que c’est une injustice qu’il fa
e ses compagnes, étoit celle qui avoit le plus de droit au prix de la beauté  ; le jeune Daphnis, aussi beau et aussi timide qu
tombe en pleurant aux genoux de Philis et il la conjure, au nom de la beauté , dont elle est l’image, de ne point le priver d’u
nné de roses ; il aborde les filles de Lycénion, et leur dit que leur beauté mériteroit la préference ; mais qu’il n’a qu’une
tombe à ses pieds.   Philis rougit ; elle prétend moins au prix de la beauté qu’au cœur de son amant ; un sentiment de justice
7 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
Sully, Au visage frais et joli. L’incomparable de Luynes, Dont les beautés presque divines, Les yeux, la gorge, et l’embonpo
e, Et qui, parmi ces qualités, Est fort noble des côtés. Castelnau, beauté singulière, Douce fleur, rose printannière, Dont
ui l’ai deux fois vue De divins agréments pourvue, Et d’une très rare beauté , Aux Ballets de Sa Majesté, Si quelqu’un s’en ven
As-tu rien vu de si mignon ? Je dirais hardiment que non. Outre ces Beautés éclatantes, La plupart des Dames importantes, Cin
8 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettre en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 décembre 1666 »
t avec Dépense Digne d’un MONARQUE de FRANCE, Est le Ballet des neufs BEAUTÉS Ou savantes DIVINITÉS De qui tout POÈTE au PARNAS
USES dansent, à leur tour, Sous le Visage et sous l’Atour D’autant de BEAUTÉS éclatantes Et qui me semblent plus charmantes.
ans miracle. Mais, pour de ce noble Spectacle Concevoir bien mieux la beauté , Je leur conseille, en vérité, D’aller, pour livr
9 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
courage de le dire : c’est un spectacle exquis. En faisant mouvoir la beauté vivante selon le rythme musical, il associe deux
aient. Pour eux, la danse était une des révélations supérieures de la beauté . Qu’était-ce que les cortèges des Panathénées, si
stences moroses, lourdes d’ennui : les jeux légers du Rythme et de la Beauté . fin
10 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
’un Duc, de grand renom, Et d’une Mère fort charmante, Fille, dont la beauté naissante, Se rend digne, de jour en jour, D’admi
de merveille comblée, Chacun paraissant enchanté De sa danse et de sa beauté  ; Fille jeune, Fille brillante, Fille de mine rav
11 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189
ortrait d’une de ses favorites nommée Campaspe ; Apelles frappé de la beauté de son modèle, en devient amoureux. Campaspe part
l’Amour, la flèche, qui doit blesser Adonis. Alexandre enchanté de la beauté du tableau, de l’expression des figures, de la co
aginer de se servir du déguisement de ses élèves, pour rendre à cette beauté la séance plus variée, et moins ennuyeuse. Il ex
lant répandre une vapeur légère sur ce tableau et rendre hommage à la beauté qui l’enchante, fait brûler l’encens, et se prost
mpaspe. Apelles, s’étant livré à son enthousiasme et ayant rendu à la beauté qui l’enflamme l’hommage que son cœur lui devoit,
12 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
s et tristes, sont, aux yeux des paysans du voisinage, le symbole des beautés mortelles qu’une punition terrible a frappées. Si
leur étendard. Ce n’est plus, comme chez la sirène d’Homère, la seule beauté de la forme, la seule magie des accents, représen
s, et se balançant sous les buissons et les halliers. Il y a moins de beauté pure et complète, avouons-le, dans cette concepti
ermanique que dans la lumineuse création du symbole grec ; mais si la beauté est le domaine de l’Hellène, le monde merveilleux
dans les belles eaux de la rivière voisine. Il s’assied, charmé de la beauté du lieu, de la sérénité du temps ; et au moment o
fond de ses grottes humides, a reconnu le jeune Mattéo ; éprise de sa beauté , elle exerce sur lui la séduction surnaturelle do
puissance. Bientôt elle redevient visible au pauvre Mattéo, que cette beauté magique entraîne encore, et qui, les bras étendus
périr ; toutes les grâces de la jeune fille s’effeuillent ; toute sa beauté pâlit et languit. Mais la souveraine des eaux sou
autre soleil, en dehors de ce monde spécial, perdait sa couleur et sa beauté . La traduction de Lamotte-Fouqué eut peu de succè
13 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
sensation dans cette contrée où l’on donne une si grande valeur à la beauté . On raconte qu’une nuit, à un bal chez le viceroi
ant qu’ils étaient là pour danser, s’arrêtèrent et vinrent admirer sa beauté radieuse. Lorsqu’elle fut morte ceux qui l’enseve
s’inquiétèrent de moi auprès de la buraliste. La mère de Gab, que sa beauté rendait sympathique à tous, n’eut point de mal à
e se déchirant dans la nuit. Et nous demeurons le cœur poigné : de la Beauté qui passe. Ame des fleurs, âme du ciel, âme du f
nuit, ce décor des grandes choses, nulle tâche humaine n’amoindrit sa beauté . La Providence envers elle se montra pitoyable. A
e montra pitoyable. A son grand secret Loïe communia. Amoureuse de la Beauté qui resplendit dans la nature elle l’interroge de
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Préface » pp. -
and lis, éblouissante, nous révélant une forme auguste et neuve de la beauté . J’eus l’honneur de lui être présenté à un déjeun
’un trait vif et brillant les pauvres gens en qui elle trouve quelque beauté qui les grandit et les décore. Ce n’est pas qu’el
15 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
amoureux de la belle Cryséïs, se mêle à cette fête ; sa jeunesse, la beauté de la taille et celle de ses traits aident à son
t sa situation ; il tremble de froid, pleure, et intéresse ces jeunes beautés  ; il vole des bras des unes dans ceux des autres 
à entraîner le public à l’illusion. 1. Ce vaisseau doit égaler en beauté et en magnificence, celui qui portoit Cléopatre s
16 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — Première moitié d’octobre : Divertissement pour la reine — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 17 octobre 1666 »
notre belle REINE, Dans le PETIT PARC de VINCENNE Ayant assemblé les BEAUTÉS Qui sont toujours à ses côtés, Les fit danser sur
17 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 janvier. Trois vedettes. »
sans déboires. Mlle Isabelita Ruiz est une magnifique créature, à la beauté prenante et provocante, mais nous n’aimons pas so
Sa physionomie est originale, mais son exécution très pauvre et sans beauté , ses costumes prétentieux et sans charme. Les évo
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 9 janvier : Le Triomphe de Bacchus dans les Indes ou Ballet de Créqui — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 17 janvier 1666 »
, Agréablement préparées, Ne les divertirent pas mal, Non plus que la beauté du Bal. 
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 6 mai 1662 »
ers encore y retourne Pour l’agréable nouveauté D’y voir danser cette Beauté .
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — 5 janvier : La Pastorale comique — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 janvier 1667 »
tre GRAND PORTE-DIADÈME, Je fus vraiment sollicité Par une obligeante BEAUTÉ De demeurer à ce Spectacle ; Mais, par un malheur
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre de la fin février 1670 »
erre l’admire, Et qu’on y court de tous côtés Pour voir ces pompeuses beautés , Dont les surprenantes merveilles Charment les ye
22 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
mes lettres moi-même. — Madame Louise Colet. — La baronne de B… — Sa beauté . — Les beautés de la veille. — les bons mouvement
oi-même. — Madame Louise Colet. — La baronne de B… — Sa beauté. — Les beautés de la veille. — les bons mouvements de la baronne
olies avant leur naissance. Leurs traits sont beaux et rappellent une beauté passée ; en les détaillant on se rend parfaitemen
les sont laides. Genre de femmes que je me permettrai d’appeler : les beautés de la veille. XIV La baronne est une bonne
23 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
. (v. 5.) N’arrêtez point vos regards sur une fille, de peur que sa beauté ne vous devienne un sujet de chute. (v. 8.) Dét
. 8.) Détournez vos yeux d’une femme parée, et ne regardez point une beauté étrangère. (v. 9.) Plusieurs se sont perdus par
point une beauté étrangère. (v. 9.) Plusieurs se sont perdus par la beauté d’une femme : car c’est par là que la concupiscen
-Esprit dit encore : (c : 25, v. 28.) Ne faites point attention à la beauté d’une femme, et ne la considérez point parce qu’e
a force de ses charmes. (v. 11.) Plusieurs ayant été surpris par la beauté d’une femme étrangère, ont été rejetés de Dieu ;
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 7 août : Ballet de la Vérité, accompagnant la tragédie de collège Thésée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 août 1663 »
Jouèrent, l’autre jour, Thésée, Pièce en Vers Latin composée Selon la beauté du Sujet, Par le docte Père Bouchet, Qui par des
25 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458
agréables parties de la décoration. L’effet serait de la plus grande beauté , si on y faisait servir la lumière à rendre aux y
t pas plus considérables, peut-être même seraient-ils moindres. Cette beauté ne dépend que du soin et de l’art. Les plafonds c
i tiennent si fort à la décoration, lui prêteront encore de nouvelles beautés  ; mais comment imaginer des machines, si on ignor
génie qu’on lui suppose, n’imagine que d’après le plan donné. Que de beautés ne doivent pas résulter du concours du poète et d
ls spectacles, ne trouve à produire en machines et en décorations des beautés nouvelles, capables d’étonner les spectateurs et
le ; mieux soignées, elles le rendraient infiniment plus agréable. La beauté d’un ensemble dépend toujours de l’attention qu’o
26 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222
rius, Statira, lui tend les bras et implore sa clémence. Frappé de sa beauté et de ses grâces naïves et touchantes, le Prince
iomphe de toutes ses réflexions. Tel est l’empire de la valeur sur la beauté . Statira consent à tout ce qu’exige Alexandre. Ce
27 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse Dauphine à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou Subligny — Subligny, seconde semaine, lettre du 17 février 1667 »
-temps vulgaires. Quoi que MONSIEUR DE PÉRIGNY Ait rendu du BALLET la beauté sans seconde, Vous ne voyez point là de BELLE SÉV
28 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 3 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
lle se rassemble Ce qui plus aux Anges ressemble, Et c’est à dire ces Beautés Par qui les Cœurs sont si tentés. Les Momons de
29 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
vigoureux et souples, un sens instinctif du rythme, enfin un souci de beauté qui préside à toutes les évolutions. De tous les
ait fait briller, aux débuts du dix-neuvième siècle, son talent et sa beauté  ; c’était l’Espagnole Maria Medina, femme de Viga
saine avait débuté en 1801 à l’Opéra de Paris. Elle avait éclipsé une beauté fâcheusement célèbre, la danseuse Clotilde Mafleu
ent Autrichienne, et tout dans sa personne rappelait ses origines. Sa beauté était celle de la Viennoise. L’harmonie et l’élég
ités provinciales, en les affinant dans l’ambiance de la capitale. La beauté vigoureuse de Jean-Florian Elssler et la grâce ca
primât toute exubérance et soumît toutes les attitudes aux lois de la beauté . Pénétrée encore de l’esprit du dix-septième sièc
danse frémissante de vie et palpitante d’action. Elle comprit que la beauté de son art n’était pas dans une froide et savante
ormules rigides ; c’est l’art classique, expression harmonieuse de la beauté vivante. *** Quand Fanny Elssler revint à Vienne
, mais où l’esprit d’analyse gardait ses droits. Après avoir vanté la beauté de Fanny et son excellente tenue sur la scène, el
e au naturel tout ce que l’on voudra de noble… Cette apparition d’une beauté , d’une noblesse absolue, obtint, grâce à un art c
as, comme celle de sa sœur, la copie d’une statue antique ; c’est une beauté moins olympienne, plus humaine, plus moderne. Sa
30 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre VI. De la troisiéme Position. » pp. 15-16
dre les genoux, & assujettit à cette regularité qui fait toute la beauté de cet Art.
31 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 17 avril. « En bateau ». — Le préjugé du rythme. »
r un œil contemporain, épris de « constructivité », de discipline, de beauté intellectuelle, il y a plus de beauté dans un sim
tructivité », de discipline, de beauté intellectuelle, il y a plus de beauté dans un simple développé à la seconde de Mlle Zam
32 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre IX. Des Actions convenables à la Danse Théâtrale »
que temps de la Farce de delà les monts. Chacune de ces actions a des beautés ou des agréments qui lui sont particuliers, et le
33 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 janvier. Esquisse pour un portrait de Mlle Camille Bos. — les Ballets Léonidoff. — « l’automne » et les « chansons arabes ». »
n puisse imaginer. Sur le plateau de l’Opéra, l’abstraite et hautaine beauté de la danse classique se mêle trop souvent, quoiq
à son expression la plus simple ; les difficultés qui sont aussi des beautés sont soigneusement élaguées ; de cette façon, la
pui, est barrée par l’horizontale du bas de la jambe croisée, doit sa beauté tectonique au jeu des angles et des lignes brisée
34 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — II »
qu’à embellir un art qui a fait son temps. Ils rendent à la mode une beauté démodée : le ballet de Nijinski ressuscite le bal
35 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre III. Sur le même sujet. » pp. 19-23
mieux la musique, n’est pas celui qui sait le mieux en apprécier les beautés . Le goût exagéré est-il bon, est-il utile au prog
il donna son opéra ; mais l’esprit de parti triompha du charme, de la beauté et de la grace qui règnoient dans cette productio
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
fait la Déesse Vénus, Mais montrant ses Membres moins nus, Que ladite Beauté céleste, Comme étant beaucoup plus modeste, Quoi
rs, Cette Déesse des Amours, Contre Psiché, moult irritée, De voir sa Beauté plus vantée : Et cette belle Actrice là Fait, cer
37 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »
ur beaucoup dans cet engouement, ou plutôt dans cette idolâtrie. Sans beauté , avec sa figure d’institutrice sympathique, son t
euse extase, admirablement placée sur un cou élégant ; celle de Lisa, beauté vénitienne, blonde aux sourcils noirs qui semble
se rare. J’œuvre humblement à rééduquer cette faculté de percevoir la beauté chorégraphique. Je m’enorgueillis déjà de maintes
38 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
mbe ; les roses de la modestie et de l’innocence ajoutent encore à la beauté . Le Sophi frappé de tant d’éclat recule de surpri
n, oublie son rang pour la secourir. Le frère de Zulmire frappé de la beauté de Zélis, lui prodigue les plus tendres soins ; e
Zulmire y déploie toutes les grâces de son âge et toutes celles de la beauté , dans un pas de trois dialogué entre elle, le Sop
39 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre V. Des Ballets Allégoriques »
res, le Ciel, l’Air, la Terre et l’Eau, afin qu’en leur donnant mille beautés différentes, par la variété des couleurs, il lui
40 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
de vigueur. Toutes les jeunes filles de Sparte, parées de leur propre beauté et sans autre voile que leur pudeur, venaient imm
és par des mains habiles. Ces arbres vous paraissent tous d’une égale beauté . Chacun de leurs rameaux s’élève vers le ciel : i
41 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
. Tous ces objets ne sont rien moins qu’aisés à remplir : mais que de beautés résultent aussi dans ces sortes d’ouvrages de la
que Quinault a eue en créant ce genre, est le germe des plus grandes beautés de ce spectacle. (Voyez Opéra [Article de Jaucour
ements qui étonnent, et tous ces différents ressorts y produisent des beautés qui peuvent faire illusion, lorsqu’ils sont condu
n’en est pas l’effet, est donc vicieux, et ne saurait produire qu’une beauté hors de place ; cette espèce de merveilleux ne do
les défauts de leur genre, et n’atteignirent à presqu’aucune de leurs beautés . En France, lorsque Corneille et Molière créèrent
s eurent assez de génie et de goût pour se rendre propres les grandes beautés des Grecs, et pour en produire de nouvelles, que
42 (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162
terait incomplète et tant soit peu faussée. Contenant des éléments de beauté impérissable le ballet 1830 est bien de son temps
les aspirations d’une époque, sa pensée philosophique, son besoin de beauté . Transformation magique ! La danse dite classique
. Par tous ces contacts une conception plus vaste, plus intense de la beauté plastique est bientôt instaurée ; devant la pléni
espèces-types de la danse : la danse voluptueuse et robuste, faite de beauté plastique et d’émotion passionnée incarnée par Fa
remarquable « portrait écrit » qu’il fait d’elle à ce propos dans Les beautés de l’Opéra, album où Jules Janin se charge du pan
ensemble qu’il avait publié au Figaro en 1837. On n’analyse jamais la beauté des actrices, on ne les envisage jamais sous le c
43 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
puis trois. Du premier coup j’avais été pris : elle m’avait révélé la beauté du mouvement. Je savais désormais, par elle, qu’u
nt ému. La vue de la pureté, de l’innocence, de la candeur unies à la beauté et à la grâce, procure aux vieux pécheurs une émo
nts et de gens du monde s’est fondé pour l’aider à gérer son œuvre de beauté , mais l’appui financier qu’il lui faudrait ne s’e
44 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 21 février : Mascarade de Bergers et de Bergères — Lettres en vers à Madame de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
Madonte, Dont tant de choses l’on raconte, Dans le plus fort de leur beauté , Assurément n’eussent été Auprès de ces rares Per
45 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 1er ou 2 décembre : Le Ballet des ballets — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 20 février 1672 »
es entrées163 Les Concerts les mieux concertez En un mot, toutes les beautés Qui, le plus, notre Cour, charmèrent Pendant le t
46 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 avril. Pour une danseuse morte. — Anniversaire. – Bilan. »
avec elle. Mais il émanait, hélas ! de ces images une si surprenante beauté que je n’aurais su les oublier et qu’aujourd’hui
e la nôtre, magnifiquement tendue vers ces choses essentielles. Mais, beauté suprême, la danse ayant pour instrument le corps
47 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 7 mars. Spectacle de danse de Mlle Brociner. »
busqué, ses sourcils finement fusinés sont autant de caractères de la beauté sémitique. Elle danse, dans un joli costume popul
48 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Avertissement. » pp. -1
la fable ; comme elles, ils gâlent tout, ils empoisonnent tout, et la beauté sous leurs mains crochues acquiert tous les trait
49 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
à l’harmonie générale, et dont le concert mutuel peut seul former la beauté , l’illusion, le charme de l’ensemble. Il était do
rents emplois de la Danse, on voit distinctement les divers degrés de beauté que peut lui donner l’art : car ce qu’il a pu dan
serait possible de détruire l’enchantement dans lequel son art et sa beauté ont plongé son heureux Amant. Ubalde cependant et
50 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182
toutes les Déesses ainsi que les mortelles, ont des prétentions à la beauté , enlève la pomme et la présente à Jupiter. Ce Die
s est extrême. Les Déesses impatientes d’obtenir le prix décerné à la beauté , le pressent de s’expliquer ; Junon, qui dispose
usie et la vengeance des deux Déesses, il donne à Vénus le prix de la beauté . Junon et Pallas sont consternées et anéanties. L
51 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Une grande danseuse russe. Mme Véra Tréfilova. — Émotion et abstraction. — Mélodie continue. — Exotisme transposé. — Deux Moscovites : Novikoff, Clustine. »
iques, Novikoff montre cette superbe et pathétique fougue qui fait la beauté de certaines sculptures baroques. Il « enlève » l
pianiste redoutable ne parvint pas à détruire la farouche et pesante beauté de sa « danse albanaise ». Novikoff danse jambes
52 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29
le théâtre de l’opéra ; cet ouvrage rempli de science et de goût, de beautés musicales et imitatives, étonna par l’abondance e
e cet ouvrage toute la perfection qu’il méritoit, en apprécièrent les beautés  ; et dans l’enthousiasme de leur admiration ils é
53 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
que personne ne cherchait à contester à Fanny, c’était son succès de beauté . Dès 1834 la gravure répandait son portrait. L’Av
ré de sa complaisance. La Revue de Paris lui faisait compliment de sa beauté , en ajoutant avec perfidie qu’elle avait « d’autr
hucha personnifiée. « Elle s’avance, dit Théophile Gautier, dans les Beautés de Paris, en basquine de satin rose garnie de lar
et par-dessus tout la grâce sensuelle, l’abandon lascif, la plastique beauté d’Elssler, furent très appréciés des télescopes d
volupté, avec une force qui n’avait d’autre frein que les lois de la beauté . Une vie ardente faisait irruption dans le ballet
squ’à l’invisible, pour soulever le voile mystique qui lui dérobe une beauté surnaturelle. Sa beauté, à elle, c’est celle de l
soulever le voile mystique qui lui dérobe une beauté surnaturelle. Sa beauté , à elle, c’est celle de la beauté externe et de l
dérobe une beauté surnaturelle. Sa beauté, à elle, c’est celle de la beauté externe et de la forme matérielle, les nuances du
sur les planches. Les journaux préparaient sa rentrée en célébrant sa beauté , son talent et son dévouement. Mais ni d’un côté
s le Grillparzer-Jahrbuch, t. XI, Vienne, 1901, p. 77-104. 108. Les Beautés de Paris, Paris, 1844, recueil d’articles de dive
54 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 16 janvier. Une soirée à l’hôtel Charpentier. »
efrains populaires de Mme Litvine, sa grande allure et sa monumentale beauté slave ; Mlle Svirskaya, costumée en bayadère de B
55 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juillet. Les adieux des Ballets russes. »
aration à la pirouette, qui est une nécessité mécanique, une chose de beauté . Elle a aussi dansé les Sylphides en restituant à
56 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 19 février 1661 »
Et les concerts mélodieux Me semblèrent dignes des Dieux. Outre la beauté des spectacles, L’harmonie y fit des miracles, Ca
57 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71
s de perfectionner. Car on s’occupe de tout, avant de s’occuper de la beauté . La beauté en effet ne sert qu’à la beauté. Aussi
tionner. Car on s’occupe de tout, avant de s’occuper de la beauté. La beauté en effet ne sert qu’à la beauté. Aussi ne faut-il
, avant de s’occuper de la beauté. La beauté en effet ne sert qu’à la beauté . Aussi ne faut-il pas s’étonner que le sens de la
58 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71
t imitateur suit servilement son sujet. Il court sans cesse après des beautés fugitives, et passagères que son imagination ne p
ré tous ces miracles ; je consulte ma raison, et elle m’assure que la beauté , la grace et l’élégance ne peuvent être leurs ouv
’éclat d’une brillante aurore, et ne durent qu’un instant. Toutes ces beautés fugitives passent et s’éclipsent ; elles ne peuve
e, les Dauberval, et les le Picq, avoient invariablement fixés par la beauté , l’élégance, et la perfection de leur exécution ;
59 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 17 janvier : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
es mieux l’Amour fait son orge. Et SÉVIGNY, bref, est le Nom De cette Beauté de Renom. 88. Les Filles d’honneur. 89. Monsi
60 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95
t à ce genre ; le danseur doit fixer l’attention du spectateur par la beauté du dessin, par la correction de ses poses, de ses
secret, dont l’œil est enchanté, Ni la grâce plus belle encor que la beauté . » La Fontaine . 67. Dans le genre demi-ca
61 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre première. À Voltaire. » pp. 2-7
secours, qui ont embelli mon art, et le théatre Anglais m’a prêté des beautés très propres à l’action pantomime. Je croirois, M
riade ; c’est cette entreprise qui doit couronner mes travaux, et les beautés que j’y moissonnerai prêteront à ma composition c
62 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
âtre impérial du Kærnthner-Thor, dont la jeunesse toute fraîche et la beauté harmonieuse étaient illuminées par les premiers r
e monde où l’on s’amuse. Il s’affichait avec une actrice d’une grande beauté , Christine Eigensatz, qui cependant ne l’enchaîna
» Les Viennoises n’eurent point de peine à faire oublier à Gentz les beautés de Berlin. Ce n’est pas qu’il fût toujours très d
florissante, dont jamais une mortelle ait joui, sera la vôtre. Votre beauté et vos talents vous gagnent des admirateurs en fo
e soir au ballet et vous verrez combien elle est belle ! Cependant sa beauté ne suffit pas pour expliquer l’incendie qu’elle a
plus fortunées. Je suis fier d’avoir reconnu toute ta valeur, dont ta beauté et ton art ne sont que des parties, et j’apprécie
extraordinaire, fondé sur l’estime autant que sur l’admiration de sa beauté . Elle a été sensible à cet hommage, et, en échang
un autre aveu. En même temps que le goût du monde, que le culte de la beauté féminine et que l’amour, Fanny a réveillé en lui
tion d’une liaison qui aurait pu ou la scandaliser ou l’inquiéter. La beauté , le caractère et le talent de la jeune fille lui
ut son être et par l’expression de son visage que par le détail de sa beauté . Sa toilette avait empêché Rahel d’analyser sa pe
t c’est moi qu’elle a choisi. Je n’avais à lui offrir ni jeunesse, ni beauté , ni richesse, rien de ce qui pouvait captiver une
aussi sa vie intérieure qui obéissait aux lois de la mesure et de la beauté . Cette particularité de son tempérament me paraît
es qu’on lui rendait s’adressaient exclusivement à son talent et à sa beauté  ; mais qui donc s’était jamais soucié de sa digni
le ne rougit d’avoir répondu à tant de bienfaits par l’offrande de sa beauté . « Encore dans sa vieillesse, dit Betty Paoli, el
63 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIII. » pp. 122-133
es traits, les caractères, les formes, les délails et l’ensemble. Les beautés de cet art sont fuyantes et passagères ; on les a
l’etude de l’histoire et de la mythologie, se pénétrer de toutes les beautés de la poésie, lire Homère, Virgile, l’Arioste et
le sixième livre de l’Eneïde de Virgile ; il y trouvera une foule de beautés , mais elles ne sont que descriptives et historiqu
64 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Avertissement. » pp. 33-34
seul qu’ils indiquoient avec chaleur les caractères des figures et la beauté de la composition. J’ai cru devoir faire précéder
65 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200
eau que l’auteur avoit joués lui-même ; et il me dévoila une foule de beautés que les autres acteurs m’avoit dérobées sous le m
pouvoir transmettre à la posterité, à l’aide de certains signes, les beautés fugitives de la déclamation, les charmes passager
ectateur, l’effroi, l’épouvante, la douleur et l’admiration ; tant de beautés réunies, disoit Garrick, m’ont frappé d’étonnemen
coûté infiniment de peine à acquérir. Elle ne doit à la nature que la beauté de son organe ; tout le reste appartient à l’art.
66 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134
me dispenser d’en donner un programme. On sait que Psyché étoit d’une beauté rare ; que Vénus en devint si jalouse, qu’elle em
ver dans ce séjour de douleur, elle y perdit encore ses charmes et sa beauté  ; que l’Amour toujours tendre et toujours épris s
ses. L’Amour, caché derrière les Nymphes, jouit de la surprise, de la beauté et des graces de l’objet qui l’enchante ; mais qu
67 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 14 juillet. « La Maladetta ». »
 hétérophonies » savantes. Car ce sont là des lois essentielles de la beauté qui se révèlent à nous par le langage des formes
68 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XII. » pp. 70-72
eux. Tout étoit sage et heureusement combiné ; en voulant embelir la beauté , on la fit minauder, et quelques artistes donnère
69 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
noble assurance d’un héros qui va combattre pour l’honneur et pour la beauté . Adèle inquiète sur le succès du combat, ne peut
n. On se livre à des danses ; et cette fête qui est le triomphe de la beauté , de l’amour et de la valeur, se termine par un pa
70 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214
eux, est conduite à Pyrrhus. Elle lui est présentée dans les fers. La beauté de cette Princesse, son air majestueux, et cette
main. Pyrrhus, frappé d’un courage si héroïque, et encore plus de sa beauté , n’est plus maître de résister à l’impression que
71 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
ds, le luxe des magasins, l’élégance des équipages, le sourire que sa beauté faisait naître sur le visage des passants. Voici
devaient répondre aux rumeurs d’après lesquelles les adorateurs de sa beauté n’auraient pas tous été malheureux. Un de ces for
ur artiste, d’un prince des lettres, qui se constitua le héraut de sa beauté , le paladin de sa gloire. C’était Théophile Gauti
. Elle évoquait devant le plus plastique de nos poètes des visions de beauté antique. Elle réalisait un de ses rêves d’artiste
s, où il y a cette particularité à relever : c’est qu’en décrivant la beauté de Fanny, l’auteur fait quelques critiques qu’il
s reins. Deux natures et deux tempéraments se combattent en elle : sa beauté gagnerait à se décider pour l’un de ces deux type
spiré par le Diable boiteux : Descarnado ou Paris à vol de Diable. La beauté de Fanny continuait de tenter les peintres et les
lle Fanny Elssler tient dans ses blanches mains le sceptre d’or de la beauté  ; elle n’a qu’à paraître pour produire dans la sa
la femme et non pas à l’actrice, et l’on est toujours plus fier de la beauté qui vous vient de Dieu que du talent qui vient de
ou la statue de l’Apolline ; ce rapport s’étend à tout le reste de sa beauté que cette délicieuse ambiguïté rend plus attrayan
utôt prudente que cupide, elle prévoyait l’avenir, l’étiolement de sa beauté , le repos imposé, prématurément peut-être, par le
72 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juin. Le ballet cambodgien. »
et établies pour l’éternité. Mais alors, tout cela aura été « inutile beauté  » ? Que nous reste-t-il du spectacle cambodgien a
73 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
Sempronia, qui étoit une femme distinguée par sa naissance et par sa beauté , qui savoit très-bien le grec et le latin ; mais
74 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre III. » pp. 17-24
s que l’on rencontre quelquefois dans ces sortes de compositions, des beautés de détail, et quelque éteincelles de génie ; mais
ueurs, partage agréablement les regards, et concourt unanimement à la beauté , et à la perfection de ces chefs d’œuvre ; chaque
75 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE III. » pp. 30-46
s que l’on rencontre quelquefois dans ces sortes de compositions, des beautés de détail, & quelques étincelles de génie ; m
rs, partage agréablement les regards, & concourt unanimement à la beauté & à la perfection de ces chef-d’œuvres ; chaq
76 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
térieur, l’agaçante94 finesse de son regard, le dessin de son col, la beauté de ses épaules, la grâce de ses bras, l’élégance
reté surnaturelle, un murmure d’admiration salua tant de jeunesse, de beauté et de grâce. Quand on vit cette forme charmante a
ce. Après avoir dit l’impression de joyeux étonnement produite par sa beauté , il continuait en ces termes : « Le plaisir est
la loge la plus en vue avait été réservée aux sœurs Elssler. Entre la beauté imposante de Thérèse et la perfection délicate de
de Dieu qu’avait déterminée l’éclatante révélation du talent et de la beauté de Fanny Elssler fut de courte durée. Des passion
n classique avait habituée à dessiner des lignes précises, à fixer la beauté concrète. Enfin l’on avait exposé la débutante à
77 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
ois ; cette Déessé promet à Paris des plaisirs et la possession de la beauté la plus rare ; quelle est cette beauté ? C’est Hé
laisirs et la possession de la beauté la plus rare ; quelle est cette beauté  ? C’est Hélène : Voici l’Episode. Le buste de cet
est présenté a Paris par les Graces et par les Amours ; frappé de la beauté noble de cette Spartiate, sur de posséder un obje
, et donne la pomme à Vénus, en regardent moins cette divinité que la beauté qui a fixé son choix et dont la possession doit f
le est belle ! C’est l’image de ma mère, c’est le chef d’oeuvre de la beauté  ; Vénus enfin, pour triompher des deux Déesses, e
tombe en pleurant aux genoux de Philis, et il la conjure au nom de la beauté dont elle est l’image de ne point le priver d’un
78 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre II. Division de la Danse Théâtrale »
n épisodique paraîtra toujours, lorsqu’elle sera bien rendue, une des beautés piquantes du Théâtre Lyrique. [Voir Enchantement]
79 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 novembre. Le débat de la musique et du silence. »
harmonieux aux linéaments lourds en faisant saillir un torse dont la beauté massive vaut par ses proportions heureuses. Cepen
80 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 décembre. Quinault, Rowe. »
ource suprême savamment ménagée par le maître, multiplie et exalte la beauté intrinsèque de ce saut latéral ! La suite s’ouvre
81 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 février. Les périls du music-hall. »
thme avec justesse… Et cependant tout cela apparaît stérile ; inutile beauté  ! Le génie de la race est absent de cette copie c
82 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXV. Des contre-tems du Menuet, & la maniere de les faire. » pp. 104-109
& pour ménager cet accord entre vous deux, qui fait en partie la beauté de la danse. De plus, c’est que les contre-tems s
83 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
L’Estrade, Sur qui l’on jeta mainte œillade. Certes, ces naissantes Beautés , Ces jeunes sources de clartés, Ou, pour le moins
84 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
es, mais à tout le monde. Dans ce raisonnement Aristote qui mesure la beauté de ces deux arts par le plaisir qu’ils donnent, p
qu’on a dit des ouvrages du Guide & de Lalbane, sur l’idée de la Beauté . C’est aussi dans ce sens-là que Charles-Quint fa
t au bon goût, à la connoissance des autres arts, & à juger de la beauté de tous les objets du monde ; il visitoit souvent
ès des choses qui regardoient la Peinture. Pline dit que touché de la beauté de l’une de ses Esclaves appelée Compespé, qu’il
mp; les Sculpteurs ont toujours vêcu dans une louable jalousie sur la beauté & sur l’estime de leurs ouvrages, comme ils f
faits avec des plumes ajustées si au naturel, qu’ils surpassoient la beauté de la peinture ordinaire : ils ont tant de patien
vrages, que l’on ne montre que rarement, & qui enchantent pour la beauté . Pour commencer par l’Histoire-Sainte, quelle joi
85 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
ses & le son de leurs instrumens, de retenir Regnaud auprès de la beauté dont il étoit aimé : mais ce guerrier détrompé pa
amp; n’ont pas un meilleur succès, quoiqu’elles étalent à l’envi leur beauté & l’agrément de leur danse. Armide voyant tou
eur récit, la gloire qu’ils avoient, qu’une Déesse d’une incomparable beauté , qui devoit régner dans tout l’Univers, fût née d
Philosophes, de Poëtes, de Héros, d’Héroïnes, soumis à l’empire de la beauté , aussi-bien qu’Orphée, qui va chercher son Euridi
e vient faire hommage, Grand Roy, de sa fertilité, Puisqu’ici loge la beauté , Et l’amour l’honneur de notre âge ; Il vient che
86 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VI. » pp. 40-55
. Revenons à mon sujet, il faut qu’un maître de ballets connoisse les beautés et les imperfections de la nature. Cette étude le
 ; cependant ce ballet fût rendu avec toute la précision possible. La beauté du théatre lui donnoit une élégance et une nettet
ois, dans la représentation de la forêt enchantée, spectacle plein de beauté , et tiré du Tasse. Un pont fort éloigné étoit pla
87 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VII. Sur le même sujet. » pp. 40-55
trouvé les plus heureuses dispositions dans les uns, et une foule de beautés et de perfections dans les autres ? Deux tableaux
  Cette heureuse métamorphose, ce retour à la pudeur qui embellit la beauté même, inspirera aux hommes cette politesse, ces é
es modèles propres à éterniser leurs pinceaux. Ils immortaliseront la beauté simple et touchante d’un essaim de femmes charman
88 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VI. » pp. 78-109
Revenons à mon sujet ; il faut qu’un Maître de Ballets connoisse les beautés & les imperfections de la nature. Cette étude
 ; cependant ce Ballet fut rendu avec toute la précision possible. La beauté du Théatre lui donnoit une élégance & une net
ois, dans la représentation de la Forêt enchantée, Spectacle plein de beauté & tiré du Tasse. Un pont fort éloigné étoit p
89 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre troisième. Étude du corps » pp. 52-56
grâce, de la souplesse, de l’abandon, sans jamais lui faire perdre la beauté de sa pose, en conservant rigoureusement la puret
90 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 3 mai. « Artémis troublée ». »
est saccadé, les linéaments déchiquetés, les raccourcis souvent sans beauté  ; le dos, très long, se casse et ondule. En somme
91 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 mai. Le retour des « Ballets russes ». »
somme, un vaste divertissement, où il y a de vieilles choses de toute beauté (on en jugera quand le spectacle sera tout à fait
92 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 31 juillet. Notes de vacances sur quelques souvenirs de la saison. »
e, l’incarnation par le danseur. Au concert, l’œuvre, avec toutes ses beautés , reste, du moins selon son créateur, incomplète.
93 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
qui moins, qui mieux, Les âmes, les coeurs et les yeux. Outre leurs beautés et leur Danse, Leurs qualités et leur naissance I
94 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
et les acteurs de l’antiquité ! Les uns s’appliquoient à embellir la beauté , et les autres ne s’occupoient qu’à l’enlaidir et
que c’est un mérite de faire ressortir par la déclamation toutes les beautés de la poésie ; car combien ces belles productions
95 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse »
e répand sur les autres. La chaîne est rompue, et le tableau, quelque beauté qu’il ait d’ailleurs, est sans aucun mérite théât
96 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 mai. Pétrouchka. L’Après-midi d’un faune. Soleil de nuit. »
et à gauche un promontoire praticable, rectangle qui se découpe, sans beauté , sur ce fond. L’action se passe sur le proscénium
97 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIII. » pp. 73-76
ir que tenoit le Sultan. L’éclat de l’or, des diamans, et celui de la beauté réunis aux grâces et aux talens, offroient aux re
98 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXVII. Des Tems de Courantes, ou pas graves. » pp. 115-121
lent à un autre, qui se fait plus vivement, ce qui fait en partie la beauté de la danse, lorsque l’on sçait faire tous ces di
99 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du samedi 18 avril 1671 »
te, toute entière, Et, par tant de diversités, Jugez quelles sont ses Beautés . Dedans les quatre autres, Vertumne, Busquant,
100 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96
pposer à la perfection d’un ouvrage qui exige autant de détails et de beautés différentes que l’opéra. J’ai toujours regardé un
ce, qui dessine et qui met à proportion de son génie plus ou moins de beautés plus ou moins d’action, et parconséquent plus ou
niste : tous cinq doivent également concourir à la perfection et à la beauté de l’ouvrage, en suivant exactement l’idée primit
utres. Mademoiselle Lany a effacé toutes celles qui brilloient par la beauté , la précision et la hardiesse de leur exécution ;
néralement, Monsieur, les entrées seules de l’opéra ; j’en admire les beautés souvent dispersées, mais j’en voudrois moins. Le
seules, dansées par les premiers sujets ; ils y déployent toutes les beautés mécaniques des mouvemens harmonieux du corps : ma
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