ret, lettre du 16 février 1664 Mercredi, fut le premier jour Où le
beau
Ballet de la Cour, Agréable par excellence, Avec
, M’y fit placer commodément, Et tout contre, par bonne chance, D’une
Belle
, de connaissance. Ce Ballet des mieux composés,
Firent, entre eux, un Dialogue, Qui du sujet est le Prologue, Où ces
belles
Divinités, En Vers par elles récités, Prétendent
ut le plus Galant de léans, Montrant une si noble adresse, Que par le
bel
air et justesse, Dont ses pas étaient animés, Plu
ue par le bel air et justesse, Dont ses pas étaient animés, Plusieurs
beaux
yeux furent charmés. Maint Prince, Duc et Pair
rfait agrément, Y dansèrent pareillement ; Et comme elles sont toutes
belles
, Je vais spécifier icelles Dans un style simple e
imo, cette aimable Princesse, Qui de Soissons est la Comtesse, Un des
beaux
Esprits de la Cour, Digne d’honneur, digne d’amou
ang de Lorraine. Mademoiselle de Nemours, Qui, dans la fleur de ses
beaux
jours, Est un amas de belles choses, Et, surtout,
lle de Nemours, Qui, dans la fleur de ses beaux jours, Est un amas de
belles
choses, Et, surtout, de lys et de roses. Sa Cad
orable Duchesse, et qui Peut passer, dans toute croyance, Pour un des
beaux
Objets de France. La jeune Madame de Foix, Dont
intelligente, Dont la Personne a des appas, Et qui, surtout, fait de
beaux
pas, Étant parée, ou non parée, En dansant toujou
toujours admirée. L’agréable de Montespan, Que l’on peut nommer un
beau
plan De toutes les grâces touchantes Qui rendent
le vrai, Et bien parler comme il faut d’elle, À la gloire d’être fort
belle
, D’honnêtes Gens m’ont dit cela, Car je ne la vis
s un petit bonheur, Brancas, dont l’angélique face L’éclat des plus
beaux
lys efface, Fille qu’on aime, avec raison, Et d’i
lle qu’on aime, avec raison, Et d’illustre et bonne Maison. Grancé,
belle
et jeune Normande, Des plus aimables de sa bande,
ur attacher les mieux sensés. Dardennes, Fille ravissante, D’humeur
belle
et divertissante, Et qui porte dans ses beaux yeu
le ravissante, D’humeur belle et divertissante, Et qui porte dans ses
beaux
yeux De quoi charmer des demi-Dieux. D’Arquien,
ne sais quoi d’assez doux Pour mériter un digne Époux. Cologon, la
belle
inhumaine, Qu’on estime fort chez la Reine, Et qu
Les habits étaient admirables, Les perspectives agréables, Riches et
beaux
les ornements, Et, merveilleux, les changements.
us, la Gazette en Prose En rapporte aussi mainte chose. Du moins ce
beau
Ballet Royal, Et sérieux, et jovial, Si par hasar
Loret, lettre du 31 janvier 1665 Un Ballet,
beau
par excellence, Où règne la magnificence, Tout po
Frère, (Altesse qui nous est si chère) Y copie, au gré de la Cour, Le
bel
Astre du Point du Jour. Madame, avec son divin
es Coeurs sont domptés ; Et lorsque tous ceux du rivage Ont adoré son
beau
visage, Elle s’élève dans les Cieux, Afin d’y cha
s attrayants Sont frais, délicats et riants, Qui font la Cour à cette
Belle
, Et dansent un air avec Elle, Avec des grâces et
uit cette Beauté divine Dans une superbe Machine, Digne Trône d’un si
beau
Corps, Qui parut fort brillant alors, Ayant avec
que rare Qu’il en fût dans tout l’Univers, N’aurait pas fait d’assez
beaux
Vers. Créqui, dont les beautés illustres De la
x Vers. Créqui, dont les beautés illustres De la Cour sont les plus
beaux
lustres, Et dont la prudence et pudeur, Sont part
nte Comtesse, Qui dans la fleur de sa jeunesse, Outre sa grâce et son
bel
air, À l’Esprit pénétrant et clair. Gramont, l’
é, Nommer un trésor de beauté. Brancas, cette chère Personne, Toute
belle
, toute mignonne, Admirable pour sa fraîcheur, Et
croit fière et cruelle À ceux qui sont amoureux d’elle. Dampierre,
bel
et noble Objet, Qui, certes, n’a pas de sujet De
Qu’on ne le saurait trop louer. Mademoiselle de Fiennes, Une de nos
belles
Chrétiennes, (D’aucun, cela n’est contredit) Et d
, Qui, selon l’ordre de la Cour, Ne lui peuvent manquer un jour. La
belle
Comtesse de Guiche, Sur qui les yeux point on ne
ur n’est insensible, Astre d’honneur, astre d’amour, Et l’un des plus
beaux
de la Cour. Enfin, voici pour la dernière, De l
nfin, voici pour la dernière, De la Cour une autre lumière, Savoir la
belle
Rochefort, Que tout le monde estime fort. Outre
ny, dont le visage Charmerait le coeur du plus sage, Sont aussi de ce
beau
Ballet, Et dansent chacune son Rôlet. Mais, comme
léans, Le Maître et Patron de léans. Là, plus de dix-huit, ou vingt
Belles
, Qui sont les aimables Modèles Des plus adorables
nt les aimables Modèles Des plus adorables appas, Y font admirer leur
beaux
pas, Leurs grâces, leurs jolis corsages, Et les c
nts, Divinités de cent Galants, Que par elles l’Amour régente Sont de
belles
Tables d’attente Pour augmenter le nombre, un jou
it de broderies, D’argent, d’or, et de pierreries, Qui revêtant de si
beaux
corps, Ajoutaient trésors sur trésors ; Et leurs
es aimable Beauté41 Dont tu vois le nom à côté,42 Qui, comme jeune,
belle
et sage, Joue assez bien ce Personnage. Outre l
Et Monsieur son unique Frère, À qui le juste Ciel confère Toutes les
belles
qualités Qu’on souhaite aux Principautés, Un Prin
tes les belles qualités Qu’on souhaite aux Principautés, Un Prince du
beau
Sang de France43 Paraît aussi dans cette Danse,
rande harmonie, Dont Lully (ce crois-je) est Auteur, Et plusieurs, de
belle
hauteur, Disent que jamais les oreilles N’ouïrent
lus le coeur, C’est certain Angélique Choeur Formé des voix justes et
belles
, De trois illustres Demoiselles,45 Dont, selon m
s d’Amour et de Vénus, N’est pas un Sujet véritable, Mais un des plus
beaux
de la Fable. Le Théâtre et ses ornements, Ses m
finir mon rollet Touchant ce splendide Ballet, Les Vers en sont fort
beaux
à lire, Car Bensérade (c’est tout dire) Qui du Pa
e infortune) M’y plaça sur une Tribune, Où je fus mille fois ravi Des
belles
choses que je vis. 41. Mademoiselle de Fiennes
i qui se destinera à la danse sérieuse ou héroïque, doit posséder une
belle
taille et de belles formes ; son genre de danse e
à la danse sérieuse ou héroïque, doit posséder une belle taille et de
belles
formes ; son genre de danse exige absolument ces
ur64. [2] Un danseur sérieux doit être parfaitement tourné, avoir de
beaux
cous-de-pied, et une grande facilité dans les han
n placée, par des mouvements de bras parfaitement combinés, et par le
beau
fini des principes de son école. [3] Les beaux dé
ent combinés, et par le beau fini des principes de son école. [3] Les
beaux
développés, les grands temps, et les plus beaux p
de son école. [3] Les beaux développés, les grands temps, et les plus
beaux
pas de la danse, appartiennent à ce genre ; le da
rection de ses poses, de ses attitudes et de ses arabesques. Les plus
belles
pirouettes filées à la seconde, en attitudes et s
udes et sur le cou-de-pied ; les temps d’élévation, de vigueur, et un
bel
entrechat, sont de son ressort65. [4] Le danseur
. (Voyez la planc. XIV, fig. i ). 64. Il est malheureux que le plus
beau
genre de danse soit maintenant si négligé ; et je
tant à l’artiste qu’il appartiendrait de ramener le public au goût du
beau
, du vrai, en persistant dans l’exécution des vrai
e gai. Cependant le genre grave a aussi ses attraits particuliers. De
belles
poses, de beaux mouvements, donnent à l’art de la
le genre grave a aussi ses attraits particuliers. De belles poses, de
beaux
mouvements, donnent à l’art de la danse une impor
» Cette dernière phrase prouve combien est véritable la décadence du
beau
genre sérieux, puisque les jouissances que cette
on génie a produit. La statue de Mme Letizia se fait remarquer par la
belle
simplicité qui caractérise le ciseau grec. (a) «
hoses, Ni ce charme secret, dont l’œil est enchanté, Ni la grâce plus
belle
encor que la beauté. » La Fontaine . 67. D
9 octobre. Madame Joergen-Jensen dans « Coppélia ». C’est un
bel
et utile usage que renouvelle l’Opéra en recueill
pertoire. Et puis, c’est bon signe. Car tant d’hospitalité révèle une
belle
confiance en soi. Aussi nos Swanilda parisiennes
ère sa compatriote Lucile Grahn, cela ne tient pas uniquement à cette
belle
solidarité internationale qui est une vertu de la
ainsi de vraie souche française et nourri, en même temps, de la plus
belle
sève Scandinave. Mme Joergen-Jensen a donc interp
une traditionaliste convaincue. Mais elle ravive cette scène par son
beau
regard sombre et par de bien piquants jeux de phy
tale où le ballet danse un français si pur, où l’on peut voir la plus
belle
collection de sculpture française « extra muros »
excellente La Beauté même représente (Assez convenable rôlet) Dans ce
beau
Poème, ou Ballet ; Lequel Poème s’intitule En Fra
tous les Gens de qualité Etant près de Sa Majesté. L’Autrice de ce
bel
Ouvrage, Femme spirituelle et sage, S’appelle Mad
la grâce presque adorable A des charmes et des appâts, Que toutes les
Belles
n’ont pas. D’Armagnac, cette autre Comtesse, Qu
l’âge de douze ans, Ravissait Cour et Courtisans. Deux jeunes Sœurs
belles
et sages, Qui charment tout par leurs visages, Me
ont le Père, assurément, Fut Homme de grand jugement. Créquy, cette
belle
Personne, Qui quoi que Femme est si mignonne, Qu’
re un teint d’enfant. La jeune Comtesse de Guiche, Douce, agréable,
belle
et riche, Ayant, par bonheur singulier, Pour Aïeu
Grand Chancelier. Rohan, admirable Pucelle, Si noble, si sage et si
belle
, Que quiconque l’épousera, Un grand Trésor posséd
en Cour fort bien son rang, Et qui vient d’un fort noble Sang. Ces
Belles
, tant Femmes que Filles, Représentaient quinze Fa
i,23 Où de mettre il n’a pas failli, Comme pour première parade, Les
beaux
Vers du Sieur Bensérade, Non seulement divertissa
et, lettre du 9 mars 1669 Enfin, Mardi, notre Grand SIRE, Dans son
beau
Palais qu’on admire, Fit aussi merveille à son to
environne, Couronna les autres Cadeaux Par le sien, qui fut des plus
beaux
. Je pense que je le puis dire, Sans qu’on ose me
les Indiens Bords. Son INFANTE, MADEMOISELLE, Cette jeune Grâce si
belle
, Ou cet Oriental Amour, L’accompagnait, en même A
ments Que les Modes les plus nouvelles Paraîtraient auprès bien moins
belles
. L’Illustre Dame de MARCÉ122 (Et de bonne part
onpareilles Et des surprenantes merveilles, D’un Ballet si rare et si
beau
, Et dont le genre est si nouveau, Que Spectateurs
ant, Était, illec, représentée Par Madame, alors, escortée De dix des
Belles
de la Cour, Qui sont autant d’Astres d’amour. S
après, Sous la figure de Cerès ; Puis il fit, sous autre visage, D’un
beau
Printemps le Personnage, Et dans l’une et l’autre
’un beau Printemps le Personnage, Et dans l’une et l’autre action, Sa
belle
disposition Parut, non seulement Royale, Mais, ce
Monsieur, d’habits d’or éclatants, Un Vendangeur représentant, D’un
bel
air, suivant la cadence, Fit admirer aussi sa dan
en cas de danse, Des mieux entendus de la France, Chacun d’eux, en ce
beau
Talent, Parut, tout à fait, excellent. Enfin, l
extrême Que j’ai ressenti dans moi-même, Revoyant, au Palais Royal Ce
beau
Spectacle sans égal, Car, laissant là, les flatte
l est vrai que ce grand Spectacle, Qui faisait là, crier miracle ! Ce
Beau
Spectacle tout royal, Est, encore, ici, sans égal
même, à plein. Une assez grande Damoiselle, Blondine, gracieuse et
belle
, Et d’assez bon air s’agitant, Représente Flore,
ontre Psiché, moult irritée, De voir sa Beauté plus vantée : Et cette
belle
Actrice là Fait, certe153, des merveilles là. D
de six et de dix ans, Et qui, bref, charment tous les Gens, Par leurs
beaux
Vers et par leurs grâces, Y sont, de Vénus, deux
et c’est, pour rire, Molière, qui fait ce Zéphire. Pour Psiché, la
belle
Psiché, Par qui maint cœur est alléché, C’est Mad
Par un Acteur brillant et leste, Mais achevons, vite, le reste. La
belle
Affligée a deux Sœurs, Qui, de ses maux, font leu
u là, c’est du Croisy, Qui hautement, couronne ainsi, L’Oeuvre, de la
belle
manière. Mais, achevant cette Matière, Je dois,
u fait des siennes. On visita la Grotte après, Dans lequel lieu, si
beau
, si frais, On ouit une belle Églogue, Où des Berg
ita la Grotte après, Dans lequel lieu, si beau, si frais, On ouit une
belle
Églogue, Où des Bergers, par Dialogue, Mille tend
virons, Qui, secondés par de grands Thermes, Pour qui me manquent les
beaux
termes, Produisirent, jusques au Ciel, Un beau jo
r qui me manquent les beaux termes, Produisirent, jusques au Ciel, Un
beau
jour artificiel Qui passait celui de Diane. Or
e Clermont En toutes Sciences fécond, ADRASTE, rare Tragédie Parut en
belle
compagnie ; Le Révérend Père JOBERT En Vers, en P
Vers, en Prose fort expert, Pieux et savant Personnage, A composé ce
bel
Ouvrage : Mais le Ballet bien inventé Fait sur la
qui la représentèrent Parfaitement s’en acquittèrent, Des Acteurs les
beaux
vêtements En augmentait les agréments ; De même t
que son coeur aime Aussi tendrement que lui-même, Choisissant le plus
bel
endroit, Dit qu’à Versailles on irait. Au bout de
longue allée, De feuillages épais voilée, Près du parterre aimable et
beau
, Devant la porte du Château, Il fit élever un Thé
omposé de la main savante De cette Personne charmante,51 Qui dans un
beau
corps féminin Enferme un esprit masculin. La Pièc
ir suivi, par son adresse, Avec tant de délicatesse, Les ordres et le
beau
dessein De notre puissant SOUVERAIN. 51. Madem
u’on ne s’y chême, Elle eut un Régale125 nouveau, Également galant et
beau
, Et même aussi fort magnifique, De Comédie et de
e dedans les Églogues, On s’entendait sur les douceurs Que produit le
beau
Dieu des Cœurs : Concluons que, sans lui, la Vie
ue, sans lui, la Vie N’est pas un Bien digne d’envie. On fut ravi des
belles
Voix Qui chantaient ses divines Loix.126 Force M
ire Tout ce qu’ici je viens d’écrire Se tait des Décorations Dans ses
belles
Narrations ; Mais, aux Fêtes du grand MONARQUE, P
e,17 Qui fut dernièrement jouée Avec ses agréments nouveaux, Dans la
belle
Maison de Vaux, Divertit si bien notre Sire, Et f
si bien notre Sire, Et fit la Cour tellement rire, Qu’avec les mêmes
beaux
apprêts, Et par commandement exprès, La Troupe Co
mique excellente Qui cette Pièce représente, Est allée, encor de plus
beau
, La jouer à Fontainebleau, Étant, illec, fort app
amedi dernier, Avec un plaisir singulier, Le Grand BALLET de ces NEUF
BELLES
Qu’on nomme les Doctes Pucelles, En partit, Diman
omme les Doctes Pucelles, En partit, Dimanche matin, Sans oublier son
beau
DAUPHIN, Pour aller faire dans VERSAILLES DU CARN
en vérité, Que l’on n’en vit jamais de telles, Ni si pompeuses, ni si
belles
, Et, bref, où l’on fût plus joyeux. MADAME, vous
ant de leur mieux) Pour des Déesses et des Dieux. Monsieur, avec sa
belle
Suite, Par les Grâce mêmes, conduite Et Madame, p
bans de toutes manières, De houlettes, de panetières, Que, certes, le
beau
Céladon, Qui, de charmer, avait le don ; Que, cer
Espagnols et Polonais, Et, quasi, de toutes Contrées Firent-là, leurs
belles
entrées. Mais, entre autres, il y survint Douze a
raître, En leurs cordons, en leur chapeaux, En leurs diamants nets et
beaux
, En leurs robes de fine soie, Qui coûtaient bien
ournée précédente. James, esprit moins grossier, rêve tout haut d’une
belle
vision qui l’obsède ; il voit en songe une forme
ge une forme aérienne, une tête au doux sourire, au doux regard. — Ce
beau
rêve, c’est l’image amoureuse, c’est la fée des c
émon de la cabane. Où est-elle ? que fait-elle ? qu’es-tu devenue, la
belle
image flottante de mes rêves d’amour ? Est-ce un
; les songes qui te plaisent le mieux, moi seule je te les envoie. —
Beau
jeune homme, pourquoi dormir ? il faudrait aimer
êve, et enfin la Sylphide a touché de sa lèvre tremblante le front du
beau
jeune homme ; ce baiser, c’est le réveil. James e
son jeune cousin. Ce jour, en effet, est un grand jour : James et la
belle
Effie seront mariés tout à l’heure. Les parents s
avec elle l’effroi et la vengeance ; elle se venge de celles qui sont
belles
, qui sont aimées, de celles qui aiment. Elle est
x stupides, mais jaloux, il découvre la légère Sylphide ; il prend ce
bel
oiseau ailé pour une femme de la terre ; il l’a v
rien ne trouble ces noces heureuses ! que la fête recommence de plus
belle
! Gurn est un méchant qui a menti, un jaloux qui
es ombres des bois et dans les nuages du ciel ! » — Horrible est le
beau
, agréable est l’horreur. Volons à travers le brou
cha, Fanny Elssler n’a jamais pu danser le pas du second acte ! — Une
belle
jeune fille de la Norwége, une enfant de la même
hneitzhoffer. Il a écrit, à propos de cette touchante élégie, de très
beaux
airs sur lesquels la danse va toute seule. — Cepe
poème de Nodier, ce gai Trilby, il faut y croire et surtout quand une
belle
jeune fille de vingt ans viendra prêter, à cette
ienfaisante jeunesse. Le malheur, c’est d’être obligé de raconter ces
belles
choses à ceux qui les ont vues, peut-être même à
t-être même à ceux qui les ont sous les yeux ; oui, ce soir, dans une
belle
loge à l’Opéra de Paris, ou à la Scala, ou bien a
e récit commencé ; c’en est fait, James reste seul sur la terre ; son
beau
rêve lui échappe à jamais, sa douce vision a disp
ide restera comme sa création la plus charmante. Depuis tantôt quinze
belles
années de succès et de triomphes, ce beau petit r
nte. Depuis tantôt quinze belles années de succès et de triomphes, ce
beau
petit récit que mademoiselle Taglioni racontait s
idées les plus charmantes ; c’est à Paris qu’elle a composé ses plus
beaux
drames : La Révolte au Sérail, la Fille du Danube
ses plus beaux drames : La Révolte au Sérail, la Fille du Danube, la
Belle
au bois dormant, la Sylphide, sont des créations
on qui est en lui, a composé la jolie chanson et la jolie danse : Un
bel
oiseau ne suivrait pas Tes pas !
eare un passage qui exprime assez bien l’effet produit par une de ces
belles
représentations de la Sylphide, quand mademoisell
ait mettre dans le dénouement de son drame ; on eût dit l’agonie d’un
beau
lis ; elle mourait peu à peu, lentement, d’une mo
Arts, les Lettres, et la Science : Mais pour parler sincèrement De ce
beau
divertissement, Il était rempli de merveilles Pou
it toute lumière, Tant par ses habits précieux Que par l’éclat de ses
beaux
yeux ; On ne pouvait, sans allégresse, Voir danse
r icelle Princesse, Et rien n’égalait les appas De sa grâce et de ses
beaux
pas : C’est ce qu’on ne lui peut débattre ; Voici
ion et d’amour, Fille, enfin, le rare modèle D’une âme si noble et si
belle
, Qu’on peut nommer l’âme et le corps, Deux incomp
cadence, En Amazone, avec la lance, Ayant le port et la fierté D’une
Belle
de qualité. Cévigny, pour qui l’Assemblée Était
d’hui, jour de Samedi, Je marque d’abord, que Mardi, Vous fûtes, avec
belle
Suite, Et maintes Personnes d’Elite, Au grand Spe
Eloge, et caresse. L’autre est cet étonnant Sauteur, Qui, d’une si
belle
hauteur, Se culebute, et pirouette, Sans toucher
ut l’air, tout l’agrément, Le jugement, la suffisance, La douceur, la
belle
prestance, Et, bref, les agitations, Et toutes le
Et, de vous, assez bien connue ; Qui, dans deux jours avait appris Ce
beau
Rôle qu’elle avait pris De la grande Actrice choi
qu’elle avait pris De la grande Actrice choisie, Beauval, qui, d’un
beau
feu, saisie, Sait jouer, admirablement, Sur tout,
nifique et si charmant, Fut Lundi, pour la fois dernière, Dansé de la
belle
manière : Je ne l’avais point encor vu D’un si br
hardis de la Salle. Quoi que ce ne fût qu’un ébat, Il s’y fit un fort
beau
combat, Avec diverses sortes d’armes, Qui pour no
hautes chaises montés, Etaient en triomphe portés : Ce qui formait si
beau
spectacle, Que j’en pensai crier, miracle : Et ce
Que leur seule déduction, (C’est-à-dire description) Est digne qu’une
belle
Plume Les consacrât dans un Volume. Mais le pas
s ravissantes, Dont, certes, les jeunes appâts, La gaie humeur et les
beaux
pas, Les grâces et les gentillesses, Pourraient c
our ! Ô Que ces rares Créatures Causeront de vives pointures ! Que la
belle
et chère Toussy Remplira les cœurs de souci ! Que
ant toute Nouvelle à part, Soit bien, soit mal, à tout hasard, Par ce
beau
Ballet je débute, Sans qu’en un mot je me rebute
e BENSERADE, Lequel jamais ne se dégrade Dedans un Champ d’Honneur si
beau
, Quoi qu’il en dise en son Rondeau, Mais y fait v
n incomparable Portrait ; Mais, au défaut de son Altesse, De SULLY la
belle
Duchesse Tient illec son illustre Rang, Par un ho
sse, avec la Beauté, L’Abondance et Félicité, Que représentent quatre
Belles
,107 Que l’on peut bien prendre pour Elles, Et ch
hance, Est le Mari de l’ABONDANCE ; Et ce Printemps, si verdoyant, Si
beau
, si sage, et si ruant, Mène deux Amours à sa suit
Rendent ensemble leurs respects À ce divin Recueil d’Attraits, Cette
belle
et royale ALTESSE À qui mes Missives j’adresse. D
, Et que l’on a trois fois dansé, Cela s’entend, en la Présence De la
belle
REINE de FRANCE Et de son DAUPHIN, si charmant, Q
Ait rendu du BALLET la beauté sans seconde, Vous ne voyez point là de
BELLE
SÉVIGNY À bons grands coups de poings faire battr
L’un d’eux accordait bien qu’elle avait l’air charmant, Qu’elle était
belle
assurément, Mais, ajoutait-il, pas tant belle. Pa
charmant, Qu’elle était belle assurément, Mais, ajoutait-il, pas tant
belle
. Pareille impiété ne méritait pas moins Sans dout
t ni Comtes, ni Marquis, Mais des Gens de mérite exquis, Et des Dames
belles
et bonnes, Deux desquelles sont fort Mignonnes, E
Dédale De cette Demeure Royale, Du jardin les charmants attraits, Les
belles
Chambres, les Portraits, Nous fîmes grande manger
ngerie, Nous vîmes la Ménagerie, Dont les chères commodités, Dont les
belles
diversités, Dont les raretés infinies Réjouissent
tique et du mouvement à la musique et au poème, peuvent faire la plus
belle
et la plus riche des œuvres d’art. À mon gré, la
n’en est que plus fidèle à la musique. Le bon serait que l’on vit de
belles
figures mimer les êtres ou l’action, et qu’on ent
t de belles figures mimer les êtres ou l’action, et qu’on entendît de
beaux
chants, sans qu’ils fussent visibles. Wagner n’es
ns. Pour la musique, tout poème doit être plus ou moins mystique. Les
beaux
mimes faisant voir l’action, les voix invisibles
Robinet, lettre du 21 juillet 1668 Dans le PARC de ce
beau
VERSAILLE, Qui n’est pas un Lieu de Broussaille,
rinthes, la Verdure, L’Art, en un mot, et la Nature Fassent par leurs
beaux
Agréments Le doux charme de tous les Sens ; Là, d
t, pour en gros ne rien ommettre Dans les limites de ma Lettre, En ce
beau
Rendez-vous des Jeux, Un Théâtre auguste et pompe
e Génie (Et je dis tout, disant cela) Était aussi, par-ci, par-là, De
beaux
Pas de Ballet mêlée, Qui plûrent fort à l’Assembl
’Amour, On n’en avait point fait de telles ; C’est comme dire d’aussi
belles
. Et, pour plaisir, plutôt que tard, Allez voir ch
mmé Hyménée, d’une naissance obscure, mais éperduement amoureux de la
belle
Cryséïs, se mêle à cette fête ; sa jeunesse, la b
D’autres Corsaires paroissent, qui disputent aux premiers une aussi
belle
capture ; le combat s’engage, et les jeunes Athén
nes dans ceux des autres ; mais il revient sans cesse dans ceux de la
belle
Cryséïs ; il se couche sur son sein, l’embrasse e
c’est lui enfin, qui a résolu de faire le bonheur d’Hyménée et de la
belle
Cryséïs, en les unissant l’un à l’autre. Les jeun
aroît non comme une jeune Athénienne, mais comme un jeune homme aussi
beau
qu’Adonis. Il tombe aux pieds de Cryséïs qui se j
éniennes. Il couronne le brave et intrépide Hyménée. Les parens de la
belle
Cryséïs l’unissent à son libérateur, et, par un m
ctuellement maître des ballets de Sa Majesté l’Empereur de Russie. Ce
beau
danseur avoit à cette époque les talens, les grac
chez le DUC de CRÉQUI, Où, beaucoup mieux que chez Mandoce, Se fit le
beau
Festin de Noce. Outre qu’il est autant et plus Ma
brillant, Poli, copieux et galant, Et de l’Hôtel la noble Hôtesse, La
belle
et charmante DUCHESSE, L’Aimant délicieux des Cœu
, Qui semble avoir le vent en poupe, Représenta l’ANTIOCHUS, Poème si
beau
que rien plus, La dernière des Doctes Veiles Du p
ssant Fils des Dieux, Qu’on doit notre Heur, & notre Joie, Et ces
beaux
jours filez de soie. Une, de Masques non follet
e enchanta Tant de Mâles que des Femelles, Qui, certe, les trouvèrent
belles
. Si vous désirez les savoir, Vous pourrez aisémen
ARD. Où vous verrez, de part en part, Le reste de la Mascarade Et les
beaux
vers de BENSERADE, Qui, des Muses favorisé, Fait
aintien sans égal, Il finit ce Ballet Royal. La REINE, aussi sage que
belle
, Digne d’une gloire immortelle, Était présente co
belle, Digne d’une gloire immortelle, Était présente constamment À ce
beau
divertissement. Nos Princes les plus remarquables
quables, Les Princesses les plus aimables, Les Envoyés, Ambassadeurs,
Belles
Dames et grands Seigneurs Agréablement s’y trouvè
ien de plat. Beauchamp rempli d’intelligence, Comme on sait, pour la
belle
Dance, Avait pris soin de ce Ballet, Demi-sérieux
toutes merveilles Pour les Yeux, & pour les Oreilles, Quoi que le
beau
Sexe enchanteur, Qui plaît le plus au Spectateur,
plupart du Temps, du Théâtre, N’agisse ni peu, ni prou là, Dedans ces
beaux
Spectacles là. 160. sic
machiniste la faculté de déployer leurs talens, pour représenter une
belle
horreur. Henri égaré, et dans l’obscurité se lais
de Cithère ; il paraîtra dégagé de ses attributs ; il annoncera à la
belle
Gabrielle l’arrivée du Monarque, il ouvrira son c
upe enjouée sera conduite par la volupté. L’entrevüe de Henri avec la
belle
Gabrielle décélera la situation de leurs âmes : l
is composeront plusieurs grouppes distribués autour de Henri et de la
belle
Gabrielle ; ces enfans formeront des jeux avec le
rché. A cette scène variée succédera un pas de deux entre Henri et la
belle
Gabrielle, il offrira tous les agrémens du dialog
barrassera des bras de son amante pour voler dans ceux de son ami. La
belle
Gabrielle employera l’éloquence de ses charmes, p
aussi varié que celui-ci, ne peut se terminer par le désespoir de la
belle
Gabrielle et les larmes de l’Amour : Un coup de p
a volupté disparoitroient ; l’Amour fuiroit en entrainant avec lui la
belle
Gabrielle ; la Discorde, et la Rage s’envoleroien
Momeries, Le Divertissement Royal Fut, encor, le digne Régal De notre
belle
Cour Française : Et j’ay su de Gens plus de seize
: Et j’ay su de Gens plus de seize, Que ce Spectacle si brillant, Si
beau
, si pompeux, si galant, Etait fourmillant de merv
t admirable Génie132 Que nous a fourni l’Italie, Pour travailler, en
bel
arroi, À ces grands Spectacles de Roi, Avait de s
harmantes Merveilles Qui ravissaient en ce dernier, Dont il mérite un
beau
Loyer. 132. Le Sr Vigarani
s moscovites. La première de jeudi comporta deux œuvres inédites : La
Belle
au Bois dormant et Le Renard. Paris ne verra pas,
rare ; L’Oiseau bleu, qu’on connaissait, d’ailleurs, est une des plus
belles
pages signées Petipa. Dans les contes de fées, on
elle introduit une série de 32 fouettés (la plus difficile et la plus
belle
des pirouettes), tirée du Lac des Cygnes, et dont
s, participé aux plus hauts faits du ballet russe ; Tchernicheva a la
belle
prestance décorative ; Schollar et Doubrovska, qu
adimiroff, qui avait pris à Pétrograd la place de Nijinski ; Viltzac,
bel
et bon danseur ; trop de portraits à faire pour u
s, capables de remplir avec succès les premières places dans les plus
beaux
théâtres de l’Europe, et qu’ils en feraient les d
t la danse de l’opéra, beaucoup trop nombreuse, n’en seroit pas moins
belle
. L’absence de sept ou huit sujets produiroit une
cessera de sacrifier à sa marotte, elle sera le modèle parfait de la
belle
danse et d’un genre perdu qu’elle seule peut fair
oint qu’il n’en faut au théâtre et dans un genre surtout qui exige de
belles
proportions. Cependant la Dlle. Allard étoit deve
n éloge. Cette danseuse a une taille noble et majestueuse ; c’est une
belle
Diane. Sa danse est fière, son exécution est fran
Mlle. Heinel et Rose. Leur brillante exécution étoit compassée ; les
belles
proportions y règnoient ; une harmonie enchantere
cessera de sacrifier à sa marotte, elle sera le modèle parfait de la
belle
danse et d’un genre perdu qu’elle seule peut fair
roche voisine de la Nue, Afin d’établir leur Séjour En son aimable et
belle
COUR. La DÉESSE de la MÉMOIRE,60 Qui de l’OUBL
fameux HÉROS, Pour chanter du NÔTRE le LOS, Ouvre la SCÈNE, des plus
belles
, Par un Dialogue avec Elles ;61 Toutes s’expli
ement, Ce qui donne de l’enjouement, Est comiquement divertie Par une
belle
Comédie Dont MOLIÈRE, en cela Docteur, Est le trè
noble CALIOPE, Sans le Secours de qui l’on chope Dans la Structure du
beau
Vers, Des POÈTES de talents divers La divertissen
a FOUDRE, Enfin de tout vient en découdre, En changeant ces Objets si
beaux
, Pour leur châtiment, en Oiseaux. Mais, comme d
t un terme à sa brillante carrière. Ce fut le 17 Février 1673, que ce
beau
génie fut enlevé aux arts et à sa patrie. Ce théâ
ns une des ailes du Château des Tuilleries. Ce vaste théâtre, le plus
beau
de l’Europe, le plus ingénieusement machiné avoit
Enfin, Madame, l’opéra quitta le Boulevard, et alla s’établir sur un
beau
théâtre que la Dlle. Montansier avoit fait élever
travagante, ils s’égarèrent sans s’en appercevoir, et sacrifièrent le
beau
talent qu’ils possédoient à la mode et aux capric
ine d’étoiles. Plante et fleur. — Grands sujets. — Inconvénients d’un
beau
titre. Nous avons à maintes reprises exposé ici
e que les symboles astronomiques usités ? Rien ne ressemble plus à un
beau
développé à la seconde ou en arabesque que l’éclo
er le cercle par elle tracé en spirale — voici les autres raisons des
beaux
succès de Mlle de Craponne. Pourtant, c’est Mlle
s se présente de profil ; c’est une leçon de choses. C’est aussi très
beau
de pureté graphique. Et il faut voir Mlle Roussea
encore de caractère ; c’est ce qu’on appelle, en cinématographie, un
beau
fondu. Reprocherons-nous à la danseuse la plus be
nématographie, un beau fondu. Reprocherons-nous à la danseuse la plus
belle
chose au monde : la jeunesse ? Que non ! Mais nou
Robinet, lettre du 17 octobre 1666 L’autre Jour, notre
belle
REINE, Dans le PETIT PARC de VINCENNE Ayant assem
la charmante de TOUSSI, (XXX.) Déjà de maints Cœurs le Souci, De ses
beaux
Pieds fit des Merveilles Qui passèrent pour nonpa
s automates, et que ceux qui les composent seront mieux organisés. Un
beau
tableau n’est qu’une copie de la nature ; un beau
mieux organisés. Un beau tableau n’est qu’une copie de la nature ; un
beau
ballet est la nature même, embellie de tous les c
peut avoir sur l’âme, et quelle ne s’attache qu’a plaire aux yeux. Un
beau
ballet est jusqu’à présent un être imaginaire ; c
ulte qui règnera au dedans de nous-mêmes. Il ne faut à la danse qu’un
beau
modèle, un homme de génie, et les ballets changer
e vous aurez faites ; copiez, mais ne copiez que la nature ; c’est un
beau
modèle, elle n’égare jamais ceux qui l’ont suivie
er ; que vos ballets soient des poèmes ; apprenez l’art d’en faire un
beau
choix. N’entreprenez jamais de grands dessins, sa
la marche : Songez que les tableaux et les situations, sont les plus
beaux
momens de la composition : faites danser vos figu
Caton) Que, sans mentir, on trouva telles Qu’un chacun les jugea très
belles
. Ce fut le Roi qui commença, Et si parfaitement
ent Avec d’autres Danseurs mêlés, Tous choisis et tous signalés. La
Belle
Giraud11, dont la taille Agrée en quelque part qu
Sire. Si les Danseurs firent des mieux Pour plaire à tout plein de
beaux
yeux, Les instruments pour les oreilles Ne firent
illes Ne firent pas moins de merveilles ; Les huit Récits furent fort
beaux
, Animés par des airs nouveaux, Et par des voix in
presque tout contre, Le considérant de plus près, J’en remarquai les
beaux
attraits, De la Reine, et de chaque Belle, Qui fa
us près, J’en remarquai les beaux attraits, De la Reine, et de chaque
Belle
, Qui faisaient Entrée avec Elle.
le Théâtre est si chéri, Représenta le FAVORI, Pièce divertissante et
belle
D’une fameuse Demoiselle Que l’on met au rang des
és d’Instruments et d’Airs ; Si bien que le tout pris ensemble Fit un
bel
effet, ce me semble, Et causa beaucoup d’enjoueme
dmira. On y voit, comme en Mignature, Et très délicate Peinture, La
belle
, et tendre Passion De Diane, et d’Endimion, Charm
, parmi-eux, se présente, Et, les raillant, derechef, chante, Puis le
beau
Goguenard s’enfuit, Et, par là, cet Acte finit.
temps, plaindre, De ce qu’elle se sent contraindre, À brûler pour le
beau
Chasseur, Dont la vue a charmé son Cœur, Auparava
inture, Du Triomphe de mon Héros, Si digne d’amour, et de los, Sur la
belle
et rare Princesse Qui va, de sa Royale Altesse,
ts, Tout de même, en très-peu de temps. Leviez, dont la voix est plus
belle
Que n’est celle de Philomelle, Y représente Endim
s Affaires Ici, Il m’en fallut sevrer ainsi. Mais j’appris de la même
Belle
, Comme un Ange spirituelle81, Que l’excellente d’
, Comme un Ange spirituelle81, Que l’excellente d’EUDICOURT, L’un des
beaux
Astres de la Cour, Dedans ce Ballet escarpine82
Robinet, lettre du 16 février 1669 Clio, dont le
beau
Feu me brûle, Et par qui sans fin je pullule Et j
t Univers. […] J’avais pensé, dans cette Épître, Tracer un simple et
beau
Chapitre Du BALLET de notre HÉROS ; Mais, en duss
récédente, du triomphe des arts ; j’en ai fixé la brillante époque au
beau
siècle de Périclès ; mais je ne vous ai rien dit
ement, et son amour pour tout ce qui portoit le caractère imposant du
beau
, et de l’utile, les auroit-elle séduits au point
et de la barbarie de l’ignorance, les sources rares et pures du vrai
beau
en tout genre. Ces progrès, et cette perfection s
t en foule dans ce premier âge, que l’on peut appeller l’âge d’or des
beaux
arts ; leurs talens étoient couronnés et par les
partie de sa gloire et de son bonheur à l’amour qu’il avoit pour les
beaux
arts. Les Grecs ne bornoient point leurs récompen
rts. Une grande injustice commise par un gouvernement efface ses plus
belles
actions ; c’est une tache que le tems, et les siè
années ont porté leur art à la perfection. Vestris le père hérita du
beau
talent de Dupré et de son sobriquet ; on le procl
premiers personnages. Sa retraite de l’opéra porta un coup fatal à la
belle
danse : privée de ce beau modèle, on l’a vue s’ég
traite de l’opéra porta un coup fatal à la belle danse : privée de ce
beau
modèle, on l’a vue s’égarer dans les confins de l
abord par les graces, il devint gros et musculeux. Mais l’étude de la
belle
danse conduit à tous les genres ; elle en est la
à son retour de Berlin, et son début fut un triomphe. Taille superbe,
beau
Balon, danse écrite avec perfection, nerf, élévat
aples un instant pour venir me voir à Paris où je le fis débuter. Les
belles
proportions de sa taille, la noblesse de sa figur
utomates, & que ceux qui les composent seront mieux organisés. Un
beau
Tableau n’est qu’une copie de la nature ; un beau
mieux organisés. Un beau Tableau n’est qu’une copie de la nature ; un
beau
Ballet est la nature même, embellie de tous les c
avoir sur l’ame, & qu’elle ne s’attache qu’à plaire aux yeux. Un
beau
Ballet est jusqu’à présent un être imaginaire, c’
ulte qui régnera au-dedans de nous-mêmes. Il ne faut à la Danse qu’un
beau
modele, un homme de génie, & les Ballets chan
e vous aurez faites : copiez, mais ne copiez que la nature ; c’est un
beau
modele, il n’égara jamais ceux qui l’ont exacteme
er ; que vos Ballets soient des Poëmes ; apprenez l’Art d’en faire un
beau
choix. N’entreprenez jamais de traiter de grands
a marche : songez que les Tableaux & les situations sont les plus
beaux
moments de la composition : Faites danser vos fig
e peut s’écarter sans se perdre, où s’egarer, c’est l’imitation de la
belle
nature. Les productions qui ne portent point cett
Ici, c’est, un grand ballet d’une longueur mortelle, le sujet en est
beau
et intéressant ; il prête à l’action pantomime, e
llement, privée de ce clair-obscur, si nécessaire aux productions des
beaux
arts, elle est sans effet. Les trois morceaux de
que-t-il donc pour plaire ? que faudrait-il y ajouter pour les rendre
belles
et intéressantes ? quelques bagatelles ; de l’esp
e peut fixer, veut-on saisir les teintes harmonieuses et divines d’un
beau
couchant ? il faut avoir en ses mains les couleur
ai, d’après un critique moderne que les hardiesses sont les ailes des
beaux
arts. Mais il arrive souvent que l’imbécillité le
l’Ode ? « Son style impétueux souvent marche au hazard Chez elle un
beau
désordre est un effet de l’art. Loin ces Rimeurs
alors que l’artiste animé par ce feu divin enfante dans son délire le
beau
et le sublime ; que délivré des règles il s’élève
et s’il n’eût pas eu l’esprit d’en étendre le cercle trop étroit. Ce
beau
danseur servit de modèle à Vestris le père ; celu
qu’il en résultoit un déhanchement désagréable, propre à détruire ce
bel
ensemble cette harmonie, cette grace simple, et c
ette harmonie, cette grace simple, et cette élégance qui constitue la
belle
danse. On s’apperçut enfin que les cinq fausses p
e Marcel, danseur très-médiocre ; il étoit grand, bienfait, avoit une
belle
physionomie et chantoit très agréablement. (Preuv
les seigneurs et les étrangers, eût recours à un vaste sallon orné de
belles
glaces, et parfaitement éclairé. Assis dans un gr
es follets Étaient des Danses et Ballets. Je crois que la chose était
belle
, Mais d’en faire un récit fidèle, C’est ce qui ne
cteur bénévole, Il ne m’a pas tenu parole ; Ainsi, je te dis, bien et
beau
, Que je ne puis faire un tableau De cette Action
qu’Italiens, Ont, depuis, témoigné leur zèle De façon si noble et si
belle
, Et sans aucun égard aux frais, (Car on en fait,
re telle, Tant en violons qu’en chandelle) ; Ils ont, dis-je, d’un si
bel
air Leur affection fait briller, Donnant GRATIS l
à merveilles. Par divers ornements nouveaux Le Théâtre était des plus
beaux
; Les Scolares fort bien jouèrent, Et quatre Ball
ssement. Plus de six mille Hommes, que Femmes, Dont étaient plusieurs
belles
Dames Dignes de respect et d’amour, Et maints gra
m’escrime des Doigts, Mardi, pour la seconde fois, Avec sa jeune, et
belle
Infante, Déjà si vive, et si brillante : Et deux
al Se faisait, ainsi qu’on le prône, De par la Déesse Pomone, Qui, de
beaux
Fruits de son Jardin, Voulut les régaler soudain,
emtchinova, « étoile intérimaire », elle a dansé le pas de deux de La
Belle
au Bois dormant. On connaît cette faculté de Kars
nt des séries de pirouettes. Ces poses sur les demi-pointes sont fort
belles
par le jeu harmonieux des muscles et le sentiment
s Egorova et Chollar, le parti que sait tirer Mme Tchernitcheva de sa
belle
personnalité scénique, et certains « anonymes » d
le Cour de France, Abondance en réjouissance, On prépare un Ballet si
beau
, Et d’un appareil si nouveau, Que ce Palais incom
’or et d’argent brilleront, Pour les Danseurs qui danseront, Pour les
belles
Voix ordinaires, Et pour tous les Instrumentaires
e fougueux qui joignait à quelque esprit un penchant naturel pour les
beaux
Arts, tint dans un mouvement continuel l’adresse,
s Festins, les Bals, les Mascarades, les Ballets, les Femmes les plus
belles
, les Courtisans les plus libertins. Elle endormit
sser du Louvre aux Pré-aux-Clercs, en pompe moult solennelles, car ce
beau
Char triomphant, devait être tiré par-dessus l’ea
s Patin Peintre du Roi fut chargé des Décorations. Le Lundi 16, en la
belle
et grande Lice dressée et bâtie au Jardin du Louv
et Clairons, y ayant été dressés cinq mois auparavant. Tout cela fut
beau
et plaisant ; mais la grande excellence qui se vi
e à M. de Chaussin, sur laquelle était gravée une Baleine, avec cette
belle
maxime : Cui sat nil ultrà. Avoir assez, c’est
s. La Reine lui rendit la pareille par un autre où les Dames les plus
belles
firent le même office, la gorge découverte et les
12 juin. « Shéhérazade ». — Le pas de deux de la «
Belle
». J’ai voulu revoir cette Shéhérazade de Bakst
naissable entre tous. J’ai revu également, pour la quatrième fois, la
Belle
et si je dis la Belle je veux dire « le pas de de
J’ai revu également, pour la quatrième fois, la Belle et si je dis la
Belle
je veux dire « le pas de deux ». Car dans son ens
toujours faire mieux, qui anime les Russes, contamine et déforme ces
beaux
restes. Des épisodes charmants, tel le Chaperon r
eur Pièce première, Donnant à leur Portier, tout Franc, La somme d’un
bel
écu blanc. Je n’entendis point leurs paroles ; Ma
allets, Tantôt graves, tantôt follets ; Leurs femmes ne sont pas fort
belles
, Mais paraissent spirituelles, Leurs sarabandes e
Où tout alla de la grand’ gamme, Comme d’ordinaire tout va Chez cette
belle
ALTESSE-là, Où, porche d’elle se rassemble Ce qui
notre bienheureux Destin, Et leurs admirable DAUPHIN Vinrent à cette
belle
Fête, Étant, des pieds jusqu’à la Tête, Vêtus en
Divertissement Était, avecque bienséance, Mêlé fort agréablement D’un
beau
BALLET de l’INNOCENCE, Où, par des Ennemis félons
Où, par des Ennemis félons, Dont se trouvaient les faux Soupçons, La
Belle
était persécutée ; Et puis, malgré la rage, enver
Robinet, lettre du 28 avril 1668 Depuis toute cette semaine, Notre
belle
COUR se promène Dans ce terrestre Paradis, Où, co
ur d’autres plus délicats, Dont je fais beaucoup plus de cas. Or, les
beaux
Concerts dans la Grotte, Afin que tout d’ordre je
eudi, leurs Écoliers jouèrent, Ou, pour mieux dire, ils récitèrent Un
beau
Sujet Latin, en Vers, Tout rempli d’incidents div
a foi Que cette Action dramatique, Et le Théâtre magnifique, Des plus
beaux
et plus éclatants, Plurent fort aux sieurs Assist
elon ce qu’on en écrit (Dont l’EMPEREUR fut moult contrit). On mit de
belle
et bonne sorte Le Ballet derrière la Porte, C’est
Mais, après aussi ledit terme, On s’en divertit fort et ferme, Et ce
beau
Divertissement Agréa d’autant plus vraiment Aux S
ras levé, que des jambes remuant des plis de tunique, au rythme d’une
belle
musique, qu’une main se tendant vers une fleur in
s une fleur invisible, qu’un cou incliné, peuvent vous paraître aussi
beaux
, vous émouvoir aussi profondément que la plus nob
nt pas de la voir, ni mon esprit de suivre le sien à la recherche des
beaux
gestes et des lignes pures. Je songeais, en la re
gné de se mouvoir ainsi, de donner à tout son corps simultanément les
belles
lignes des statues en marche, de ne jamais bouger
dence ? C’est dans son simple génie que naquit ce miracle. Car elle a
beau
passer sa vie à décomposer les gestes des statues
e, ces draperies immobiles, sont les secondes admirablement fixées de
beaux
mouvements humains dont le secret était mort pour
r en marquer la qualité rare et noble. Ces corps d’enfants souples et
beaux
, leurs longs cheveux bouclés et libres, leurs pet
; mais je puis vous assurer que dans le mien, qui passe pour le plus
beau
de Paris, je connois très-peu de filles et même d
s auriez entendu à Vénise de simples gondoliers chanter en ramant les
beaux
vers du Tasse, de l’Orlande Furioso, de Métastase
que les paroles n’y sont pas plus négligées qu’en France, ou le plus
bel
opéra ne se soutient que par la perfection du poë
antité prodigieuse de partitions gravées sans choix, et ce mélange du
beau
et du médiocre, qui peut faire pencher la balance
, Monsieur, que cette méthode est plus sage que la notre. Le vraiment
beau
de chaque compositeur demeure, et ce qu’ils ont f
a dà pure alle membra una bella disposizione, che accresce aria ed un
bel
portamento al nostro corpo. Non pretendo dire che
ta, che in essi non giungonsi ad osservare e distinguere tutte quelle
belle
disposizioni e misure che sono dalla natura distr
Loret, lettre du 13 janvier 1663 En cette Maison noble et
belle
, Que Palais Royal on appelle, Lundi dernier, Jeud
ernier point) Ne l’ayant vu ni peu, ni point. Comme j’aime les choses
belles
, Pour, après, jaser un peu d’elles, À dessein j’y
ants148 pas des Gens d’extases, Ils achèvent de pompeux Vases Pour un
beau
Palais dont l’Amour Consacre à Psiché, le Séjour,
des Pas légers & prompts, Apportent ces Vases superbes Dignes des
Beaux
Vers des Malherbes. Des Furies, & des Lutin
siché, Qui, ceci soit dit sans péché, Mériterait mieux les Caresse De
beaux
Galants, à blondes Tresses. Apollon, avec les n
& brillants Nuages, Disposez à triples Etages, Célèbrent, par de
beaux
Concerts, Par des Danses, & par des Airs, La
euses contrées, qui offroient aux voyageurs les tableaux variés de la
belle
nature, et les chefs-d’oeuvre des beaux arts. Enf
urs les tableaux variés de la belle nature, et les chefs-d’oeuvre des
beaux
arts. Enfin après un long intervalle ils trouvère
ccourroient pour s’y former, et pour y jouir du spectacle pompeux des
beaux
arts. Toutes ces merveilles avoient été préparées
grands hommes, Richelieu et Mazari. Ils furent les précurseurs de ce
beau
règne, et tous deux s’empréssèrent à encourager l
ns les quels la routine l’avoit emmaillotée, qu’en lui fournissant de
beaux
modèles : elle étoit pauvre, et languissante ; so
illeries le magnifique théatre des machines, le plus vaste et le plus
beau
de l’Europe ; tous les arts s’empressèrent de l’e
arini, et machinée en grande partie par M. le Marquis De Sourdéac Ce
beau
monument élevé aux arts n’existe plus, l’inconsta
qui s’occupoit de tout et qui ne perdoit point de vüe les progrès des
beaux
arts, auroit ardemment desiré de venir au secours
oix, l’exécution précise et brillante de deux cens musiciens, tant de
belles
choses réunies offrirent un spectacle digne de la
nouveau Mécène seconda l’amour que l’Auguste de la France portoit aux
beaux
arts. Aussi jaloux de la gloire de son maitre que
s, les lettres et les sciences que l’on doit l’observatoire, et celle
belle
Méridienne prolongée jusqu’à l’extremité du Rouss
e spectacle magnifique que l’on vit paraître pour la première fois le
beau
sèxe dans les ballets. M. le Dauphin, et Me la Da
adémie Royale de Musique. Ce prodigieux assemblage produisit les plus
beaux
effets ; la richesse et l’élégance des vêtemens l
nnuelle, mêlée de jeux et de danses, dans la quelle le Berger le plus
beau
, le plus leste et le plus adroit seroit couronné
injustice qu’il faut réparer ; il ordonne donc qu’à l’avenir la plus
belle
des Bergères recevra une couronne de roses de la
avoit le plus de droit au prix de la beauté ; le jeune Daphnis, aussi
beau
et aussi timide que Philis étoit belle et insensi
eauté ; le jeune Daphnis, aussi beau et aussi timide que Philis étoit
belle
et insensible, l’aimoit avec ardeur et la suivoit
au sur le quel sont perchées deux tendres tourterelles, image la plus
belle
de l’Amour et de la fidélité ; puis détournant le
ergère et se place à ses cotés. Philis, la tête appuyée sur un de ses
beaux
bras, et livrée aux sentimens divers qui rempliss
e avec admiration et avec plaisir l’enfant dangereux ; il est le plus
beau
et le plus touchant qu’elle ait vu jusqu’alors ;
rté se change en pitié et bientôt cette pitié devient tendresse : ses
beaux
yeux, qui n’étoient ouverts que pour se fixer ave
les objets de nouveaux attraits. Rien aux yeux de Daphnis n’est aussi
beau
que Philis ; rien aux yeux de Philis n’est aussi
nis n’est aussi beau que Philis ; rien aux yeux de Philis n’est aussi
beau
que son Berger. Enivrés de leur bonheur mutuel il
dans ses bras et la rassure, en lui faisant entendre, qu’on ne trouve
beau
que ce qu’on aime et qu’elle doit ne rien craindr
ntiment sont leur ouvrage. Des Bergers descendent de la colline ; le
beau
Daphnis paroît couronné de roses ; il aborde les
, et les assure que la récompense qui vient d’être accordée à la plus
belle
sera désormais le prix de la plus vertueuse. To
Une dernière étape des « Ballets russes » : La
Belle
au Bois Dormant, par André Levinson Spectacle
André Levinson Spectacle émouvant entre tous que la première de La
Belle
au Bois dormant à Londres ! C’est que cette victo
de la danse moderne que ce cahier est appelé à dresser ? Eh bien, La
Belle
au Bois dormant n’est aucunement une évocation ré
matelots « en corvée »… Le 3 janvier 1890, jour de la première de la
Belle
, fut une des plus grandes dates de la « période h
gé. Ce que réalisa Bakst importe à tel point pour les destinées de La
Belle
que je ne saurais le passer sous silence. Lui non
tes ces appréciations au jour où paraîtra sur une scène parisienne La
Belle
au Bois dormant ; c’est alors également que les s
uté par ce pas si brillant de la Favorite, qui est encore un des plus
beaux
fleurons de sa couronne chorégraphique. On se sou
re. Une voix fraîche, pure et juste, une danse légère et correcte, de
beaux
yeux bleus d’une douce naïveté, voilà ce que Carl
rideau, vous apercevez, doré par un chaud rayon de soleil, un de ces
beaux
coteaux du Rhin dans toutes les magnificences de
dans des intentions moins féroces, le jeune comte Albrecht, garçon de
bel
air et de bonne mine. Du haut de son rocher, le m
si vous l’aimez mieux, ramasse la marguerite et corrige l’oracle. Les
beaux
garçons font toujours dire aux fleurs ce qu’ils v
leur rose de l’âme, s’épanouit de nouveau sur la bouche fraîche de la
belle
enfant, qui part pour la vendange avec ses compag
onnée de pampres et portée en triomphe. Une fête rustique ! voilà une
belle
occasion de danser. Tout le monde en profite, et
; cependant elle a l’air si bon, que l’on oublie presque qu’elle est
belle
, et riche, et noble, et puissante. La petite vill
t de toute son affabilité de grande dame, passe au cou de Giselle une
belle
, longue et lourde chaîne d’or. La pauvre enfant,
à immobile de surprise, et vous ne pouvez vous empêcher de la trouver
belle
. Chez les femmes, la raison est dans le cœur ; cœ
d’Hilarion, morte à quinze ans, à l’âge de Juliette et de toutes les
belles
amoureuses. — Mais à quoi pensent ces francs chas
e tient le bal magique. Regardez ! le gazon tressaille, le cœur d’une
belle
de nuit s’entrouvre ; il en jaillit une blanche v
vre ; il en jaillit une blanche vapeur qui se condense bientôt en une
belle
jeune fille pâle et froide comme un clair de lune
ra sauvée, et, sublime abnégation, la pauvre ombre tâche d’être moins
belle
et moins séduisante. Peine inutile ! le jeune hom
occasion toujours la même de montrer les grâces de la figure, et les
belles
proportions du corps. Dans cette succession histo
les plus dignes du Théâtre. Mais en parcourant les compositions de ce
beau
génie, on ne peut le soupçonner de cette méprise.
e du secours des machines, ait jamais eu, pour déployer tous les plus
beaux
ressorts de l’Art. Que résulte-t-il cependant dan
poser mes conjectures sur deux de ce genre, ou si je ne me trompe, ce
beau
génie a été aussi mal entendu, que servi. La prem
daigne suspendre toute prévention. Je crois avoir aperçu dans un des
beaux
opéras de Quinault un trait singulier de génie qu
et l’exécution. [Voir Expression] Or je crois apercevoir ici le plus
beau
dessein de la part de Quinault. Si ma découverte
puissante, est le premier coup de pinceau qui nous frappe dans cette
belle
composition. Si l’amour l’emporte sur la gloire,
une décente volupté dans ses attitudes75. [5] Ceux qui possèdent une
belle
taille seront destinés, par le maître, au genre s
eaucoup voir et bien examiner), et ce fut à l’Opéra de Paris, le plus
beau
temple qu’on ait élevé à Terpsicore, que je vis j
es modernes, me montra par ses productions toutes les richesses de ce
beau
talent, et ce fut encouragé et aidé par ses conse
diverses pirouettes, suivent les premiers exercices. Ces temps de la
belle
danse formeront le danseur, et le feront parvenir
dans la composition des pas et l’instruire dans le dessin et dans le
beau
de la choréographie. b. [NdE] Luigi Riccoboni, D
s un de ses élèves qu’on nommait Hylas. Ce jeune homme joignait à une
belle
figure beaucoup d’ambition, qu’on prit pour du zè
transportée de ce coup de génie, crie au miracle. Les Dames les plus
belles
battent des mains. On admire, on se passionne, on
e ; ordonna qu’Hylas fût fouetté dans tous les lieux publics de Rome.
Bel
exemple de justice qui supposait dans l’Empereur
es ridicules, au lieu de donner des copies nobles et raisonnées de la
belle
nature. Prenons Boucher pour exemple. Ce peintre,
peintre, né avec le génie de son art, revient de Rome ; il annonce un
beau
talent. Les premiers tableaux qu’il fit à Paris,
rs tableaux qu’il fit à Paris, étoient d’une composition riche, d’une
belle
ordonnance, d’un dessin pur et d’une couleur auss
res hommes. Lorsque les prés et les arbres étaloient l’éclat des plus
beaux
verds, il ne les voyoit que couleur de rose. Je r
est Jérome Pointu. Ces amateurs pénétrent-ils dans l’intérieur de ces
belles
maisons habitées par les nouveaux riches , ils y
uveaux riches , ils y trouvent tout soi-disant à la Grecque. Les plus
belles
choses imaginées pour décorer l’extérieur des pal
uré, déplacé, raccourci et mutilé tout ce que les anciens ont crée de
beau
et de sage, qu’on ne les reconnoît plus. La mode
ment ; elle ne vise point à la multiplicité des productions. Quelques
beaux
tableaux assurent l’immortalité à celui qui leur
aginer que la sculpture et l’architecture ne peuvent rien produire de
beau
. Nous avons dans ce premier art des hommes justem
ors on reverra briller le goût et la décence, attributs ordinaires du
beau
sexe. En dérobant tout ce qu’on aime à voir, et t
jeunesse réunie paraissait dans les rues sans autre ornement que les
belles
proportions dont elle était redevable à la nature
ue46, avaient été la source des plus grands malheurs. Hélène, la plus
belle
et la plus dangereuse de toutes les femmes de la
ectateurs un propos délibéré, et une ardente volonté de faire quelque
belle
chose47. » Telle est dans un État la force de l’é
tagieux n’en dérangent point les effets48. Parcourez la forêt la plus
belle
, voyez que de troncs difformes, que de tiges faib
a pris l’habit : le blanc tutu, vêtement séraphique. Considérez la si
belle
Variation sur un thème slave ; vous y verrez ceci
ument concertant, indique le mouvement, simple temps d’exercice, mais
beau
de sérénité, de logique constructive : grand batt
e m’en vais en guerre contre le travesti, Mlle Soutzo joue Franz ; sa
belle
prestance aurait fait mettre bas les armes à quel
e crinière dégagent un charme sensuel très direct. Elle fait voir son
beau
torse café au lait (un soupçon de café !) d’Asiat
omplète, et aussi à rendre hommage à ce vaillant M. Ricaux qui par le
bel
entrain de ses cabrioles, par la netteté des temp
y trouvera l’intelligence, le goût, et les graces ; la régularité des
belles
proportions, le charme et la puissance de l’éxpré
s éprouvent, et des passions qui les agitent. En vous entretenant des
beaux
arts, je ne prétends pas, Monsieur, me donner un
e j’ai pour les arts. Le spectacle ravissant que m’offrirent les plus
belles
galleries, et les cabinets les plus précieux le f
ue j’ai observée ; qu’ils sachent enfin que sans l’amour et étude des
beaux
arts, ils ne pourront enfanter que des ouvrages i
it, de variété, et de cette imitation de là nature, qui est l’âme des
beaux
arts. Il est tems de vous parler des deux obstacl
e voyois encore de magnifiques colonnes, de superbes portiques, et de
belles
statues échappés à la main destructive des barbar
genre énergique présente au maître de ballets de grands traits et de
beaux
caractères, des situations à dessiner, des groupp
de seize exécutés par les hommes sur des airs marqués, présentent un
bel
ensemble, et sont parfaitement composés ; mais ce
pes. Un ballet bien composé par le maître et qui devroit présenter de
beaux
effets, n’offre dans ses détails et dans son ense
pouvoit s’étendre. Gluck, Piccini, Sacchini parurent ensuite, et ces
beaux
génies, lorsqu’ils composèrent pour la danse, se
noble, sage, heureusement combinée, intéressante par son fini et ses
belles
proportions ; elle offroit successivement à l’oei
danseur se déployaient ; ce mélange artistement combiné présentoit de
beaux
contrastes : Ils étoient l’image d’un temps doux
utillés, des pas hachés et un trépignement acceléré, qui deshonore ce
bel
art et lui ote sa parure. On me dira que ce genre
ieuse ; les parties s’enchaînent sans intervalles. La composition est
belle
et sévère. Quinault y renonce à tous les subterfu
civilisation. Les anciens l’ignoraient. Or je ne connais rien de plus
beau
, que tels mouvements identiques, simultanés, para
plus délicat humour. Et l’adage réunit bon nombre de groupes les plus
beaux
que Quinault ait construits. Un Russe auquel vous
dompte la critique. Elle tourne, bercée par la valse du Danube ; ses
beaux
bras accompagnent le tournoiement du corps et qua
à l’Olympia que j’ai vu Mme Yurieva. C’est une jeune femme grande et
belle
qui exécuta le fameux adage du Cygne et plusieurs
e Yurieva exécute une longue série de pirouettes à la grande seconde,
bel
enchaînement plutôt masculin, d’une grande allure
sous tous les rapports. Ayant déjà fait plusieurs fois l’éloge de ce
beau
danseur, je me bornerai à vous dire, Madame, que
ce beau danseur, je me bornerai à vous dire, Madame, que c’étoit une
belle
machine, parfaitement organisée, mais à la quelle
isée, mais à la quelle il manquoit une âme. Il devoit à la nature les
belles
proportions de son corps ; et de cette excellente
alens en hommes qu’en femmes. C’est tout le contraire aujourd’hui. Le
beau
sexe l’emporte ; il triomphe, il lutte de force,
e, et que ceux de Tancrède, d’Argant et d’Ismenor sont des rôles fort
beaux
de basse-taille. Les Magiciens, les Tyrans, les A
des chants nouveaux, n’appartient qu’à l’homme de génie ; trouver de
beaux
chants, appartient à l’homme de goût. (S) Le chan
tions de l’Art, comme de toutes les autres de la nature. Une vraiment
belle
femme, de quelque nation qu’elle soit, le doit pa
le doit paraître dans tous les pays où elle se trouve ; parce que les
belles
proportions ne sont point arbitraires. Un concert
les entendent. Le plus ou le moins d’impression que produisent et la
belle
femme de tous les pays, et la bonne musique de to
ruit agréable et harmonieux qui charme et remplisse les oreilles : un
beau
chœur est le chef-d’œuvre d’un habile compositeur
faut un trop grand nombre de musiciens pour l’exécuter. (S) Il y a de
beaux
chœurs dans Tancrède ; celui de Phaéton, Allez ré
chœur O l’heureux temps, etc. du prologue du même opéra. Mais le plus
beau
qu’on connaisse maintenant à ce théâtre, est le c
oin qu’il semble qu’elle puisse l’être : presque tous ses chœurs sont
beaux
, et il en a beaucoup qui sont sublimes. (B) Co
; et à l’entrée de la nuit on forme un grand concert composé des plus
belles
symphonies des anciens maîtres Français. C’est un
la nouvelle, et par cette raison moins propre aujourd’hui à former un
beau
concert, est pourtant la seule qu’on exécute dans
rmé à M. Royer, maître à chanter des Enfants de France. C’est le plus
beau
concert de l’Europe, et il peut fort aisément dev
n’est que là, au reste, et à la chapelle du Roi, qu’on peut jouir des
beaux
motets de M. Mondonville. Ce célèbre compositeur
dit d’une actrice de l’opéra et d’une chanteuse de concert, c’est un
beau
dessus, pour dire une belle voix de dessus. Les c
ra et d’une chanteuse de concert, c’est un beau dessus, pour dire une
belle
voix de dessus. Les chœurs de femmes à l’opéra so
sible, n’était encore lorsqu’il mourut qu’aux premiers éléments. On a
beau
quelquefois sur cet article employer la charlatan
la chanson, sinon le musicien a manqué son but ; et le chant, quelque
beau
qu’il soit d’ailleurs, n’est qu’un contre-sens fa
t donner à la Musique. On sait qu’on peut citer dans les opéras de ce
beau
génie des ritournelles qui sont à l’abri de cette
qu’on décide ensuite s’il est possible à un poète d’imaginer un plus
beau
plan, et à un musicien de le manquer d’une façon
ue ses vers pussent être bons. On entendait des chants qu’on trouvait
beaux
, le chanteur ajoutait l’expression de l’action à
le pas une chimère ? ne suffit-il pas qu’un chant pour être bon, soit
beau
, facile, noble, et qu’il fasse passer agréablemen
uaient, et qu’on était en possession d’admirer. 4°. Un chant, quelque
beau
qu’il soit, doit paraître difforme, lorsqu’appliq
llons-nous, on chante ceux-ci endormons-nous, on aura trouvé une très
belle
expression : mais avec les premières paroles on n
es premières paroles on ne chante qu’un contre-sens, et ce chant très
beau
devient insoutenable à qui sait connaître, distin
théâtrale, la grâce que répandent sur les paroles les inflexions d’un
bel
organe, l’impression que doit produire un geste n
faut encore ajouter à tout cela les séductions d’une artiste jeune et
belle
, qui danse mieux et autrement que celles qui l’on
on fut toujours à la chasse de cet oiseau rare : « l’artiste jeune et
belle
, qui danse mieux et autrement que celles qui l’on
s situations poétiques qui auraient fait du ballet une œuvre vraiment
belle
. La chorégraphie traditionnelle était en oppositi
rts à angle droit de l’école française. Dans ce temps-là, les gens du
bel
air trouvaient la danse de Dolorès bizarre, sauva
des gargouillades, des flicflacs et des pas de Zéphire, voilà qui est
beau
, noble, académique, majestueux, français ! Ce sou
ilibre des ménages. Réduire la part faite au théâtre à ces favoris du
beau
sexe eût été, au dix-huitième siècle, un acte tém
56. Encore si le vieux polisson s’était contenté de professer d’aussi
belles
théories ; il n’y aurait eu que demi-mal. Ce qui
nt aux danseuses, un danseur pouvait se tailler une part encore assez
belle
, et la réputation qu’il se fit le consola certain
x militaires, dont chacun voulait obtenir, pour sa protégée, les plus
beaux
rôles ou le plus de passe-droits, il y eut une lu
firent du bruit dans le Landerneau des coulisses. Cette jeune fille,
belle
et intelligente, avait une mère, comme toutes les
raître sur la scène sans bijoux, alors que Lise Noblet en avait de si
beaux
, soit qu’elle sollicitât de lui toute autre faveu
agne. On chercha partout, même à la Morgue. On finit par découvrir la
belle
enfant dans un couvent. Elle était déjà fatiguée
nouvel épisode romanesque mit en émoi les nombreux admirateurs de la
belle
et spirituelle danseuse. Ils apprirent qu’elle av
gnifiantes créatures. Leurs aspirations ne s’élevaient point vers une
belle
conception d’art qu’elles se seraient efforcées d
ns l’établissement de leur Opéra la Fête de Bergonce de Botta, et les
belles
compositions des anciens Poètes tragiques. La for
rebutée des prestiges de la Magie, des esprits forts pour qui la plus
belle
machine ne serait qu’un jeu d’enfants. Mais Homèr
n qui fut la base de leurs ouvrages, et qui sera toujours l’âme de la
belle
Poésie, serait souffert encore par des Spectateur
la mode, lui fournissaient trop de preuves journalières du charme des
belles
machines, pour qu’il négligeât les avantages que
avantages que la Mécanique pouvait procurer à son établissement. Les
beaux
traits d’Histoire ne sont pas les seuls qui doive
le cours d’une représentation animée, dans des régions enchantées. Ce
beau
dessein, n’est point une vaine conjecture imaginé
imaginé de plus ingénieux pendant le cours successif des progrès des
beaux
Arts, mais il n’est pas moins certain que le plai
fis un dessein courageux De voir ses pompes et ses jeux : Mais, de ce
beau
Château, l’entrée Ne fut point par moi pénétrée ;
rre. Le troisième jour, aux flambeaux, Un grand Ballet, et des plus
beaux
, Dont était, en propre Personne, Notre digne Port
qualités qui n’ont jamais existé chez nos anciens artistes), les plus
beaux
temps d’aplomb, d’équilibre, étaient ignorés ; le
ps d’aplomb, d’équilibre, étaient ignorés ; les poses gracieuses, les
belles
attitudes, les séduisants arabesques, n’étaient p
dû en avoir la preuve convaincante ; il s’est trouvé aussi à la plus
belle
époque des progrès de la danse, et il n’y a que t
autre pirouette qui est d’une grande difficulté, et qui est d’un très
bel
effet, est cette autre que j’ai faite : pour cela
ude de la statue de J. Bologne (voyez la fig. i, planc. IX) ; cette
belle
position est très difficile ; et si l’on n’est po
élire et dans le cours de sa convalescence, ne pouvoient le mettre en
belle
humeur. Le prestige de la liberté et de l’égalité
es accidens graves en seroient les suites, et changeraient bientôt ce
beau
jour, en un jour de calamité et de deuil. On ne p
, enlever à la France cette troupe d’artistes célèbres, qui, dans les
beaux
jours de la paix, consacreront leurs plumes, leur
et le goût des accessoires, considéré l’elégance, la richesse, et le
bel
ordre de cette marche ; que lui resteroit-il de m
ixièmement, septièmement, huitièmement. Avouez, Monsieur, que tant de
belles
choses réunies par le goût et par le génie des ar
plie44. [2] Si la nature ne vous a point favorisé, en vous donnant de
beaux
bras arrondis et bien faits, vous ne sauriez alor
mière attitude. 44. Très peu de danseurs se sont distingués par la
belle
manière de faire agir les bras, Cela provient et
en ayant une brillante exécution des jambes, ils peuvent se passer du
bel
ornement des bras, et s’exempter les difficultés
elle n’est faite de façon qu’elle puisse convenir au tableau, quelque
beau
qu’il soit, il n’est pas si apparent : ainsi, que
xte IV avait tenté d’inspirer à ce Souverain Pontife du goût pour ces
beaux
établissements, mais Sixte reçut avec assez de fr
ntrée noble qui exprimait leur admiration à la vue d’une Princesse si
belle
, et d’un Prince si digne de la posséder. Cette Tr
r. Une foule d’Oiseaux a volé pour m’entendre. Je les offre à la plus
belle
Princesse de la Terre ; puisque la charmante Eury
magnificence, et généralement pour tout ce qui portoit l’empreinte du
beau
. Ces directeurs, prévenus sans doute à l’avance d
avoir une excellente figurante ; mais le charme eut lieu. Rien de si
beau
, de si séduisant à l’œil et a l’imagination, que
a l’imagination, que de voir vingt jeune Sultanes plus jolies et plus
belles
les unes que les autres, se disputer par leurs gr
voir le Quartier de Paris, Le plus riant qui s’y découvre, Savoir le
beau
Quartier du Louvre : Et l’on ne l’est pas, encore
ui, des mieux, connaît le Terrain, Du Mont sublime du Parnasse, De ce
bel
Ouvrage, on doit grâce. C’est elle qui persévéran
st un Marquis de Sourdiac, Lequel, des Fonds de sa Finance, A tiré la
belle
Dépense Nécessaire dans un tel Cas, De, deux fois
er leur noble adresse ; Je laisse les Concerts galants, Et les habits
beaux
et brillants, J’omets les deux Egyptiennes Ou, si
rendait les Gens ébaudis Par ses appas, par sa prestance, Et par ses
beaux
pas et sa danse ; Enfin, je ne décide rien De ce
OUVRIER d’ARMÉE, De très illustre renommée ; La Femme, d’aspect assez
beau
, Du Capitaine du Château, Et (faisant son Éloge e
ui passe pour assez grand PRINCE, Ayant son Épouse avec lui, L’un des
beaux
ASTRES d’aujourd’hui, Mais qui pour un Autre, et
nt on ne manque presque jamais dans les jugements qu’on porte sur les
Beaux
Arts et sur les talents, de faire descendre ou d’
oche de la Grotesque, autant celle de demi-caractère s’avoisine de la
belle
, ou de la haute danse : les Bergeries, les Romans
ernier genre du côté de l’expression, chacun sait qu’elle est la plus
belle
, la plus élégante, mais aussi la plus difficile.
atteintes passagères de volupté, telles qu’on les ressent lorsque la
belle
nature parée de ses grâces naïves, et aidée de ce
énements tragiques est sans contredit la plus sublime. Tout ce que la
belle
danse exige des Dupré, des Vestris, celle-ci le d
ême degré doit accompagner le majestueux, l’élégant, le délicat de la
belle
danse, et cela ne suffit pas encore : il faut, co
ter ; car annonceriez-vous dès l’âge le plus tendre, des formes aussi
belles
, aussi parfaites que celles de l’Apollon ou de l’
et netteté. Travaillez pour acquérir une élévation facile ; c’est une
belle
qualité chez le danseur, et qui lui est nécessair
au. [12] Ne vous écartez jamais des vrais principes ; soyez amant du
beau
, et gardez-vous de vous laisser entraîner par l’e
ela on le perdrait. Dans l’art du chant la chose est différente ; une
belle
voix, de la facilité naturelle dans le gosier, et
antiques propres à la pastorale ; et ces attitudes qui rappellent les
belles
Bacchantes que l’on voit sur les bas-reliefs anti
ute entière. 17. Trattato della Pittura. C’est, peut-être, le plus
bel
ouvrage que nous ayons sur cet art divin. Léonard
, sous un maître éclairé, qui surtout l’applique à la connaissance du
beau
idéal, que ce danseur, dis-je, à mérite égal en d
l pour une composition faite sur un air ; ainsi on dit : il a fait un
beau
pas sur une telle chaconne, sur une telle gigue.
llent cadences. (b) Le Menuet, la Chaconne et la Gigue, sont les plus
beaux
genres de pas de la danse de nos anciens maîtres.
le comique et la farce avec la même supériorité ; il joint à la plus
belle
diction le ton et les accents vrais de la nature,
on ; la crainte qu’il a de rester court l’enchaine au milieu des plus
belles
tirades, et des couplets les plus intéressants ;
urs froids et infidèles, en n’offrant que la charge grossière du plus
beau
talent, augmentèrent encore les regrets du public
les beautés fugitives de la déclamation, les charmes passagers d’une
belle
voix, les graces et les contours de la danse ; ce
es êtres rares, qui embellissoient les arts, qui en faisoient le plus
bel
ornement, et leurs noms, et leurs talons sont pou
nds théâtres de Londres étant fermés pendant quatre à cinq mois de la
belle
saison, il en profitoit et faisoit des voyages à
le a méprisé tous les secours d’un art étranger ; ses yeux, sans être
beaux
, disoient tout ce que les passions vouloient leur
Les principes d’un art étranger auroient fait grimacer la nature ; ce
beau
désordre, qui l’embellit, et que l’art s’éfforce
lus grands avantages, cet acteur, vraiment fait pour être un des plus
beaux
ornemens de la scène française. Je lui répondis q
la toccata en fa que Bach a écrite pour orgue. Y a-t-il rien de plus
beau
, dites-le ? Moi Rien de plus beau. La Danseuse Et
e pour orgue. Y a-t-il rien de plus beau, dites-le ? Moi Rien de plus
beau
. La Danseuse Et qu’est-ce que cela veut dire ? Mo
ait une signification quand la musique même qui nous anime peut être
belle
et sans pensée ? Moi Parce que nous ne sommes plu
jusqu’à la poitrine et fait avec la jambe droite un pas lent d’un si
beau
caractère tragique… La Danseuse Oui. Vous compren
z-vous mon sentiment le plus sincère ? La Stratonice est presque plus
belle
que les plus hauts chefs-d’œuvre du romantisme, e
e Maître de Musique de l’Église de Saint-Marc, il y fit connaître ces
belles
compositions. Giovenelli [Giovanelli] Teofilo, et
onservées de la Danse des Anciens, et par les idées que fit naître la
belle
fête de Bergonce Botta, ce genre de Spectacle par
é, à la décoration, et au surplus de l’ensemble83? Telles étaient les
belles
parties de ces Spectacles superbes consacrés à la
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