/ 93
1 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. Les Fêtes Saturnales chez les Romain
notre Carnaval, qu’on ne peut pas douter que ce ne soit de-là que le bal masqué tire son origine. Tite-Live nous apprend q
er les passans. Mais par la suite des tems l’on s’avisa d’établir des bals nocturnes, où l’on n’entroit que masqué après min
troit que masqué après minuit, pour laisser la liberté aux Maîtres du bal de souper & d’assembler leurs amis, parce que
r leurs amis, parce que les masques semblent se rendre les maîtres du bal , sitôt qu’ils y sont entrez, à moins que ce ne so
iens. On sçait aussi qu’il n’est pas permis de démasquer un masque au bal , quelque personne que ce puisse être : ce qui fai
que ce puisse être : ce qui fait connoître que ceux qui ont établi le bal masqué, n’ont pas manqué d’y joindre quelques pré
œurs de la nation. Le masque a même la liberté de prendre la Reine du bal pour danser, quand ce seroit une Princesse du San
cesse du Sang, quoique non masquée ; comme je l’ai vû arriver dans un bal que le Roi donnoit à Versailles, par un masque dé
ut aussi la complaisance de l’accepter, pour ne pas rompre l’ordre du bal  : on sçut depuis que ce masque n’étoit qu’un simp
cependant il n’en fut point blâmé, parce que c’est une licence que le bal masqué autorise. L’entrée du bal doit être libre
, parce que c’est une licence que le bal masqué autorise. L’entrée du bal doit être libre à tous les masques, pendant le Ca
s, est très-contraire à la liberté publique & à l’institution des bals masquez, parce que le plaisir du déguisement cons
onsiste à n’être point connu, & d’y entrer aussi librement qu’aux bals magnifiques que feu Monsieur donnoit au Palais Ro
es appartemens, Je me souviens, à propos de la liberté de l’entrée du bal pendant le Carnaval, d’un incident qui arriva au
incident qui arriva au Roi chez M. le Président de N.… qui donnoit un bal dans le cul-de-sac de la rue des Blancs-Manteaux,
près de cinquante ans. Le Roi qui se plaisoit quelquefois à courre le bal incognito, fut à celui du Président de N.… avec u
2 Tout le cortege entra dans la cour, & l’on vit paroître dans le bal une bande de douze masques magnifiquement parez,
z pour obliger M. de N … à réparer la faute ; il fit apporter dans le bal de grands bassins de confitures séches & de d
essentiment des Princes & des Princesses, du refus de l’entrée du bal  ; desorte qu’ils sortirent sans se faire connoîtr
l’action des masques, & dirent qu’il falloit que les entrées d’un bal fussent libres aux masques dans le tems du Carnav
e d’un Prince & des grands Seigneurs, quand ils veulent courir le bal incognito ou à l’ordinaire, d’être masquez noblem
us agréables & plus libres ; comme je l’ai rapporté au sujet d’un bal donné par Antiochus à toute sa Cour. L’Histoire n
les, l’an 160 de Jesus-Christ, étant à Lyon, & voulant aller à un bal masqué, s’avisa de se déguiser en Glaucus Dieu Ma
e, Tome IV. dit que le 29 Janvier 1393, la Duchesse de Berry donna un bal dans son Palais aux Gobelins, à l’occasion de la
tere dans leurs divertissemens. Il y a de l’apparence que l’usage des bals masquez pendant le Carnaval, est aussi ancien en
Gaules jusqu’à l’an 420. Mais l’on peut dire que la magnificence des bals masquez n’a jamais paru plus superbe que sous le
vons vû aussi des Princes Etrangers & des Ambassadeurs donner des bals masquez qui coutoient jusqu’à dix ou douze mille
Surennes, qui n’ont pas été moins magnifiques : la somptuosité de ces bals masquez, & la dureté des tems, sont cause que
fermée dans Paris, S.A.R. Monseigneur le Régent a permis d’établir un bal public dans la Salle de l’Opéra, trois fois la Se
uvé si fort au goût du Public & des Etrangers, que chaque jour de bal a produit jusqu’à mille écus, à ceux qui en ont l
édiens François, qu’ils en ont aussi obtenu un pareil, pour donner le bal dans la Salle de la Comédie Françoise, alternativ
ar la suite la corruption des mœurs de la jeunesse, veu l’origine des bals masquez pendant le Carnaval. Il y a à la fin des
, même des gens du premier ordre, se masquent, les uns pour courre le bal la nuit, d’autres pour courre le jour dans les ru
nt de force & de véhémence que font nos Prédicateurs, l’usage des bals masquez : cependant je ne laissai pas d’y mener m
2 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
pitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. Il est difficile de prouver pré
cérémonie. Il est difficile de prouver précisément l’origine des Bals de cérémonie, qui se font à l’occasion des réjoui
encore que l’usage en est aussi ancien que celui des festins, dont le bal termine ordinairement la fête : comme il est dit
re pour danser, comme nous le voyons encore pratiquer aujourd’hui. Le bal de cérémonie a ses régles & ses préceptes, qu
ine, Liv. 7, dit seulement que les Curétiens furent les inventeurs du bal de la guerre, & qu’il fut perfectionné par Py
rapporte aussi que nos premiers Rois donnoient des festins & des bals militaires à leurs Officiers Généraux dans leurs
es des Dieux, que les Anciens ont regardé Comus, comme la Divinité du bal & des festins, & l’ont représenté dans un
grand appareil, que les Anciens ont voulu nous faire entendre que les bals & les festins sont des dépenses qui se doiven
odigalitez, ont ajoûté quelquefois des Loteries aux festins & aux bals , dont les lots noires étoient distribuez gratis a
e Platon, les plus sévéres Philosophes ne dédaignoient pas d’aller au bal , & d’y danser après le festin, au rapport de
sophes. C’est pourquoi Platon fut blâmé d’avoir refusé de danser à un bal que Denis Roi de Syracuse donna après un grand fe
it un Maître à danser à l’âge de 59 ans, pour recorder ses danses. Le bal réglé passoit chez les Anciens pour un divertisse
ns pour un divertissement très respectable, & d’où la licence des bals masquez étoit absolument interdite, crainte d’en
e, donna un jour à toute sa Cour un repas superbe, qui fut suivi d’un bal de cérémonie, dont la magnificence répondoit à la
icence répondoit à la grandeur de ce Monarque. Une heure après que le bal fut commencé, Antiochus se sentant échaufé de vin
e, que tout ce qu’il y eut de personnes de considération sortirent du bal , comme par mépris pour le Roi, ne pouvant soufrir
me par mépris pour le Roi, ne pouvant soufrir cette indignité dans un bal de cérémonie, où la bienséance doit toujours être
enséance doit toujours être observée ; ce qui est bien différent d’un bal masqué, où la licence est tolérée, comme je le fe
tens rapporter ici que quelques faits historiques, qui concernent les bals de cérémonie, je passe d’Antiochus à Louis XII, q
e passe d’Antiochus à Louis XII, qui étant à Milan, se trouva dans un bal , avec les Cardinaux de Narbonne & de Saint-Se
pour en faire encore autant ; afin de ne point interrompre l’ordre du bal , & pour ne pas passer pour un homme qui n’a p
est ce qui a fait dire à Pibrac dans l’un de ses quatrins, N’aille au bal qui n’y voudra danser. Ce n’est pas qu’un Cavalie
au, & une Dame en écharpe ; car alors il est contre les régles du bal de les prendre pour danser : comme fit Dom Juan d
exprès à Paris, pour voir incognito danser Marguerite de Valois à un bal de cérémonie, parce que cette Princesse passoit p
a environ quarante ans, chez Madame la Présidente ***, qui donnoit un bal au mariage de sa fille. Quatre jeunes Seigneurs d
après avoir soupé aux Bons-Enfans, s’aviserent d’aller incognito à ce bal , mais d’une maniere fort surprenante, puisqu’ils
re pour ce qu’ils étoient. La mariée qui ne sçavoit pas les régles du bal , crut qu’il étoit de la bienséance d’en aller pre
e Cavalier ne sçachant plus que lui répondre, entra dans le centre du bal  ; & laissant tomber son manteau, il fit voir
urs de cette indécence : ils s’excuserent néanmoins sur les régles du bal , pour ceux qui y vont incognito. Le Cardinal Pall
urent avec beaucoup d’éclat. La somptuosité du festin fut suivie d’un bal de cérémonie, dans le goût d’Italie, dont le pomp
inaux & autres grands Prélats qui se trouverent dans le cercle du bal . On peut inférer de-là que l’Eglise ne condamne p
e du Concile de Trente. On ne trouve point de régnes en France où les bals de cérémonie ayent été plus en vogue que sous Cha
s, par des divertissemens continuels, qui consistoient en festins, en bals deux fois le jour, & en spectacles ; elle leu
s ; on forma ensuite un grand cercle dans le centre du Salon, pour le bal de cérémonie, où toute la Cour se distingua par l
le Passepied, la Sissonne, &c. Mais par malheur, avant la fin du bal , le Ciel jaloux d’une fête si complette, envoya u
l’Hôtel de Ville de Paris donne une fête qui consiste en festins, en bals , & en grands feux d’artifice, dont la dépense
ur donna à l’Hôtel de Ville en pareille occasion, où les festins, les bals & les feux de joie répondoient à la magnifice
toute la Cour, d’une somptuosité surprenante. Le dîné fut suivi d’un bal de cérémonie ; Monseigneur fut Roi du bal, &
nte. Le dîné fut suivi d’un bal de cérémonie ; Monseigneur fut Roi du bal , & Madame la Dauphine la Reine : cette Prince
a Princesse de Conty, qui faisoit aussi un des principaux ornemens du bal . Quoique ce fût en plein jour, la magnificence de
oire de son régne ne nous fournit rien d’extraordinaire, touchant les bals de cérémonie, ni des bals masquez : je dirai seul
fournit rien d’extraordinaire, touchant les bals de cérémonie, ni des bals masquez : je dirai seulement que ce fut alors qu’
aumanoir. Enfin je ne puis donner au Lecteur une plus noble idée d’un bal de cérémonie, que de celui que j’ai vû à Versaill
de quatre pieds de hauteur ; la partie du milieu faisoit le centre du bal  : il y avoit une esttrade de deux marches, couver
n de la Cour & de la Ville ; à droite & à gauche du centre du bal , étoient des amphithéâtres pour placer les specta
utre sexe, de la Cour & de la Ville, avec ordre de ne paroître au bal qu’en habits décens, des plus riches & des pl
e digne d’admiration. Monsieur & Madame de Bourgogne ouvrirent le bal par une Courante : ensuite Madame de Bourgogne pr
ns ce tems-là, cette premiere cérémonie fut assez longue, pour que le bal fît une pause, pendant laquelle des Suisses précé
outes sortes de rafraîchissemens, qui furent placez dans le milieu du bal , où chacun eut la liberté d’aller manger & bo
ur vinrent voir cet appareil, pour s’y rafraîchir pendant la pause du bal  ; je les suivis aussi : ils prirent seulement que
e qu’on leur demandoit pour rafraichissemens, pendant tout le tems du bal qui dura toute la nuit, quoique le Roi en sortît
ne crois pas que dans quelque Cour que ce puisse être, on pût voir un bal de cérémonie plus superbe, plus brillant, mieux o
tout principe. Les jeunes Seigneurs de la Cour ont encore établi des bals champêtres, qui se font l’Eté dans le grand rond
nous apprend Gafarel dans ses Curiositez inouies, ch. 3, au sujet des bals  : il dit qu’Aléxandre III. Roi d’Ecosse fut avert
qu’Aléxandre III. Roi d’Ecosse fut averti du jour de sa mort dans un bal de cérémonie, par un spectre ou fantôme qui y dan
3 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre V. Des Bals Masqués »
Chapitre V. Des Bals Masqués On s’ennuyait à Rome dans les Bals de c
Chapitre V. Des Bals Masqués On s’ennuyait à Rome dans les Bals de cérémonie, et on s’amusait dans la célébration
pour le plaisir fit bientôt un seul de ces deux genres. On garda les Bals sérieux pour les occasions de grande représentati
sérieux pour les occasions de grande représentation, et on donna des bals masqués dans les circonstances où l’on voulut rir
ment à la mode pendant près de deux cents ans, on a surtout donné des Bals masqués magnifiques durant le règne de Louis XIV,
é des Bals masqués magnifiques durant le règne de Louis XIV, mais les bals publics, dont je parlerai bientôt, firent tomber
es n’en aient pas plutôt donné l’idée. La Danse simple est le fond du Bal masqué, aussi bien que des Bals de parade. On l’y
l’idée. La Danse simple est le fond du Bal masqué, aussi bien que des Bals de parade. On l’y emploie sans action ; mais on l
t déshonorait sans scrupule les plus honnêtes femmes de Rome. Dans un Bal Masqué que la Duchesse de Berry donna aux Gobelin
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
Chapitre IV. Des Bals Un Tableau de Philostrate100, nous représente C
re une foule de Joueurs d’Instruments, qu’on croit entendre. C’est un Bal en forme, auquel Comus préside. Le goût moderne n
parurent, pour faire place au sérieux, au bon ordre, à la dignité des Bals de cérémonie. Nous trouvons leur usage établi dan
il est d’une ressource aisée, qui supplée au défaut d’imagination. Un Bal est sitôt ordonné, si facilement arrangé : il fau
d’inventer des choses nouvelles, qu’il était dans la nature, que les Bals de cérémonie une fois trouvés fussent les Fêtes d
qui ont vécu après lui, de ce qu’il dansait, comme un autre, dans les Bals de cérémonie d’Athènes. Platon, le divin Platon m
, le divin Platon mérita leur blâme, pour avoir refusé de danser à un Bal que donnait un Roi de Syracuse ; et le sévère Cat
e ses débris, retinrent tous cette institution ancienne. On donna des Bals de cérémonie jusqu’au temps où le génie trouva de
ais ces belles inventions n’anéantirent point un usage si connu ; les Bals subsistèrent et furent même consacrés aux occasio
trer toute la dignité de son rang, à la ville de Milan, il ordonna un bal solennel où toute la noblesse fut invitée. Le Roi
la manière dont le fils de l’Empereur Charles Quint y serait reçu. Un Bal de cérémonie fut délibéré à la pluralité des voix
invitées, et après un grand Festin, le Cardinal de Mantoue ouvrit le bal , où le Roi Philippe et tous les Pères du Concile,
eine qui voulait donner une haute idée de son administration donna le Bal deux fois le jour, Festins sur Festins, Fête sur
ure, et un Parquet de gazon furent mis en place, comme par magie : le Bal de cérémonie commença ; et la Cour s’y distingua
Assemblées. [Voir Fête (Beaux-Arts)] Ces sortes d’embellissements aux Bals de cérémonie, leur ont donné quelquefois un ton d
r le plaisir. En lisant la Description, que je vais copier ici104, du Bal que donna Louis XIV pour le Mariage de M. le duc
de quatre pieds de hauteur. La partie du milieu faisait le centre du Bal . On y avait placé une Estrade de deux marches, co
dération de la cour et de la Ville. À droite et à gauche du centre du bal étaient des Amphithéâtres occupés par la foule de
l’autre sexe de la cour et de la Ville, avec ordre de ne paraître au Bal qu’en habits des plus propres et des plus riches 
spectacle digne d’admiration. M. et Madame de Bourgogne ouvrirent le bal par une courante, ensuite Madame de Bourgogne pri
grand nombre, cette première cérémonie fut assez longue, pour que le Bal fît une pause, pendant laquelle des Suisses précé
tes sortes de rafraîchissements, qui furent, placés dans le milieu du bal , où chacun eut la liberté d’aller manger et boire
cour vinrent voir ces appareils et s’y rafraîchir pendant la pause du Bal . Je les suivis aussi. Ils prirent seulement quelq
qu’on leur demandait pour rafraîchissements, pendant tout le temps du bal qui dura toute la nuit. Le Roi en sortit à onze h
ntrainte, l’inaction de tout ce qui ne danse pas ; on trouvera que le Bal de cérémonie, est de tous les moyens de se réjoui
n poste de Bruxelles et vint à Paris incognito, pour voir danser à un Bal de cérémonie Marguerite de Valois, qui passait po
5 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
Chapitre VII. Des Bals publics Le nombre multiplié des Bals masqués pe
Chapitre VII. Des Bals publics Le nombre multiplié des Bals masqués pendant le règne de Louis XIV avait mis a
e qu’avait donné le Souverain. On vit au Palais-Royal et à Sceaux des Bals masqués où régnèrent le goût, l’invention, la lib
s brillantes, et la liberté la moins contrainte firent l’ornement des Bals masqués qu’ils donnèrent. Le Public en jouit ; ma
t cependant très funeste. Par une ordonnance du 31 décembre 1715, les Bals publics furent permis trois fois la semaine dans
veauté de ce spectacle, la commodité de jouir de tous les plaisirs du Bal sans soins, sans préparatifs, sans dépense, donnè
héâtre une pareille permission. Leur peu de succès les rebuta ; leurs Bals cessèrent, et l’Opéra depuis a joui seul de ce pr
de ce privilège. Mais la Danse qui fut l’objet, ou le prétexte de ces Bals publics, bien loin d’y gagner pour le progrès de
e simple, telle que les gens du monde l’apprennent et l’exercent. Les Bals étaient une espèce de Théâtre pour eux où il leur
me qui nous le fait trouver si agréable. On peut mettre au nombre des Bals publics ceux que la Ville de Paris a donnés dans
onstances les Illuminations, les Festins, les Feux d’artifice, et les Bals ont été presque toujours la tablature qu’on a sui
’ancienne Rubrique, et en conséquence ils délibèrent un Festin, et un Bal . Mais ils étaient sans fonds et ils demandèrent à
Louis XIV107, sut bien changer une cour irrégulière, en une salle de Bal la plus magnifique qu’on eut vue encore en Europe
6 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVII. De la maniere de se conduire avec politesse dans les Bals reglez. » pp. 55-59
Chapitre XVII. De la maniere de se conduire avec politesse dans les Bals reglez. Comme dans tout ce Traité je me suis p
onduire dans les endroits où l’usage du monde l’appelle, & que le Bal donne une certaine liberté, par la facilité que t
ls préviennent en leur faveur par une noble politesse. Comme dans les Bals reglez il y a un Roy & une Reine ; pour en su
ir faire la reverence avec vous, afin de ne point déranger l’ordre du Bal  ; mais si l’on vous pressoit de danser, quelque i
n vous fit, ayant refusé une fois, il ne faut pas danser dans tout le Bal , parce que ce seroit offenser la personne qui vou
’un sexe comme de l’autre : comme aussi ceux qui ont la conduite d’un Bal , d’être attentif que chacun danse à son tour, afi
outes ces précautions, tant de la part de ceux qui assistent dans les Bals , ou de ceux qui en font la convocation, ils ne se
p; d’amis, on doit y observer presque le même cérémonial que dans les Bals , qui est de sçavoir inviter une personne pour dan
7 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVI. Du Cérémonial que l’on observe au grand Bal du Roy. » pp. 49-54
Chapitre XVI. Du Cérémonial que l’on observe au grand Bal du Roy. J’ay cru ne pouvoir donner une descrip
e d’inspirer de l’attention pour les cérémonies, & les regles des Bals particuliers, que de faire d’abord une petite rel
Bals particuliers, que de faire d’abord une petite relation du grand Bal du Roy ; comme étant celui qui occupe le premier
pe le premier rang, & auquel on doit se conformer pour les autres Bals particuliers ; tant par l’ordre qui s’y garde, qu
a Majesté & sa Dame mene le branle, qui étoit la danse par où les Bals de la Cour se commençoient, tous les Seigneurs &a
8 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Catalogue. Des Danses dont je fais mention dans cette Histoire. » p. 212
& de l’art Gymnastique & des sauts périlleux. De la danse des Bals de cérémonie. De la danse des Bals masquez. De l’
s sauts périlleux. De la danse des Bals de cérémonie. De la danse des Bals masquez. De l’origine des danses Baladoires. De l
9 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 5 ou 6 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
son beau Palais qu’on admire, Fit aussi merveille à son tour, Donnant Bal à toute la COUR, Et ce charmant PORTE-COURONNE, Q
érénades, Ainsi qu’en leur Centre Royal, Vinrent fondre dans ce grand Bal , Et mon HÉROÏNE et PRINCESSE, Nonobstant sa chère
10 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
re gloire, laissez-moi en divulguer quelques-uns. XIII Dans les bals , par exemple, leur adresse n’a rien d’égal. Après
léger besoin. Quel est le garçon tailleur, l’épicier en noce égaré au bal de l’Opéra qui oserait refuser cinquante centimes
une cinquantaine de fois dans la nuit, les femmes se font par chaque bal une petite rente de quinze à vingt francs. Cela p
nts. XIV Et la grande histoire du cachemire ! Elles arrivent au bal munies d’un châle des Indes soigneusement plié. A
et acte de confiance contient une multitude de promesses. A la fin du bal , il est prié de mettre le comble à son obligeance
u’on ne le connaît pas, et « qu’il se glisse bien des filous dans les bals . La galerie jette déjà des regards soupçonneux su
11 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 21 février : Mascarade de Bergers et de Bergères — Lettres en vers à Madame de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
Loret, lettre du 14 février 1665 […] Lorsque le Bal fut commencé, Et, mêmement, bien avancé, Suivi d’
elle Suite, Par les Grâce mêmes, conduite Et Madame, pareillement, Du Bal , le second Ornement, Vinrent en Bergers et Bergèr
12 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
cial. C’est gentil, ici. — Qu’est-ce qui croirait jamais que c’est un bal public, c’est plus joli que notre mairie. Alida
ela ? — Est-ce qu’elle va venir ? L’habitué. Sois-en convaincu. Les bals du Casino ne pourraient pas avoir lieu sans elle…
res danseuses dont nous venons de parler, probablement. Décidément ce bal est trés-galant ; il est entièrement dédié aux da
omme Alida ? Alida. Oui, monsieur, Alida Gambilmuche, de mon nom de bal . L’ami. Vous êtes danseuse ? Alida. Par vocat
salba ? Alida. — C’est Charles le danseur, — une réputation mâle du bal , — un Brididi rajeuni. Il danse bien, mais il a t
13 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
dis-je. A ce moment une femme accourut de l’autre bout de la salle de bal . Elle poussa un cri, et s’empara de l’enfant. Tou
, il faut qu’elle y reste. A partir de cet instant jusqu’à, la fin du bal le bébé devint le « clou » de la soirée. Elle rou
couverture, et je fus emballée dans un traîneau qui me transporta au bal . Lorsque nous fûmes arrivés, on crut que, comme u
14 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des moyens de conserver le talent de la danse. » pp. 133-137
oit aussi s’abstenir autant qu’il est possible de trop danser dans un bal  : cette habitude est nuisible à une bonne exécuti
e genre barbare d’exécution. C’est aux parens qui souvent donnent des bals pour fournir à leurs enfans l’occasion de stimule
essaire, pour exécuter cette règle, que les personnes qui donnent des bals prissent, à cet effet, un homme initié dans la da
15 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
blit à son retour en Egypte la Danse des Festins, qui a rapport à nos Bals de cérémonie pour les réjouissances publiques ; q
en attribue l’invention à Comus, comme Dieu des Festins, desquels le Bal faisoit l’accomplissement de la fête chez les Gre
ces fêtes, inventerent sous l’empire de Néron, des Mascarades ou des Bals masquez, dont nous avons retenu l’usage pendant l
ns les assemblées nocturnes : je fais aussi quelques descriptions des Bals de céremonie donnez dans les Cours de l’Europe, a
16 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
directeur m’avait demandé, comme une véritable faveur, de venir à un bal donné par des amis à lui et d’ouvrir ce bal. Ench
ble faveur, de venir à un bal donné par des amis à lui et d’ouvrir ce bal . Enchantée à l’idée de lui être agréable, j’accep
faire connaître ma décision. Quelques jours après eut lieu le fameux bal que l’associé du directeur de Madison Square Thea
or j’atteignis l’estrade que l’on avait élevée au fond de la salle du bal . Il faisait terriblement sombre et la seule lumiè
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — Fin février : Mascarade — La Muse de la Cour à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou de Subligny — Subligny, troisième semaine, lettre du 24 février 1667 »
Subligny, troisième semaine, lettre du 24 février 1667 Ballets, Bals , Mascarade, Courses, Et d’autres plaisirs infinis
18 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 9 janvier : Le Triomphe de Bacchus dans les Indes ou Ballet de Créqui — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 17 janvier 1666 »
ment préparées, Ne les divertirent pas mal, Non plus que la beauté du Bal
19 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — Fin janvier : Mascarade — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 31 janvier 1671 »
semblable, Ce qui veut dire, incomparable, Et bref, on eut, encor, le Bal , Où tout le beau Congrès Royla, Composait une Mas
20 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Avx cavaliers et avx dames, par luy mesme. »
s par luy mesme. Qvi desire scauoir les premiers Elemens, Et le bal mesuré d’une parfaite danse : Quil lise la Meth
21 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
ressa à M. le comte de Bussi-Rabutin, pour savoir ce qu’il pensoit du bal . Voici ce que lui répondit ce courtisan détrompé
ue M. de Bussi donna à ses enfans, page 420.) « J’ai toujours cru les bals dangereux ; ce n’a pas été seulement ma raison qu
ufferoient des anachorètes. Les vieilles gens qui pourroient aller au bal sans intéresser leur conscience, seroient ridicul
à de trop grands périls. Ainsi, je tiens qu’il ne faut point aller au bal quand on est chrétien ; et je crois que les direc
onduire à l’égard de leurs pénitens et pénitentes qui fréquentent les bals et autres assemblées de danses. Après cela accuse
ticles de doctrine, imprimés chez Estienne, parlant des comédies, des bals et des danses, s’exprime ainsi dans l’art. 73 de
c’est un péché que d’y assister : il faut porter le même jugement des bals  ; et généralement toutes sortes de danses doivent
iisque interesse peccatum est ; idem judicandum de choreis quæ vulgò bals vocantur : cœtera verò saltationum genera pericul
22 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 3 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
ttre du 9 mars 1669 […] Le Dimanche, au PALAIS ROYAL, Fut aussi le Bal général Dans l’Appartement de MADAME, Où tout all
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — Avril (2ème moitié) : La Grotte de Versailles ou L’Églogue de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 28 avril 1668 »
es beaux Concerts dans la Grotte, Afin que tout d’ordre je cotte, Les Bals et somptueux Festins Pour les Compères Intestins,
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettre en vers et en prose au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 10 mars 1669 »
habiles surpasse. Le passe-temps du Carnaval, Masquarade, Ballet, ni Bal , N’empêchent point votre prudence Et votre juste
25 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XV. Des Reverences en entrant dans un appartement, ou dans une assemblée. » pp. 47-48
struction necessaire à cette noble Jeunesse, à lui donner une idée du Bal & la maniere de s’y comporter avec politesse,
26 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 9 janvier : Le Triomphe de Bacchus dans les Indes ou Ballet de Créqui — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 16 janvier 1666 »
e Sirène HILAIRE, Fit merveille avec d’ESTIVAL. Enfin, par un aimable BAL , On finit la Réjouissance,
27 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
c ses invités à partir de quatre heures. — Moi. — Mes succès dans les bals . — Mon envie d’entrer au théâtre. — Henri Delaage
Markouski fait tout ce qu’il est humainement possible pour rendre son bal aristocratique. Jusqu’à présent il n’est parvenu
Les Espagnols sont plus comme il faut. — C’est samedi, votre nouveau bal  ? — Samedi prochain. — Les mardis et les samedis
28 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
y faire servir souvent dans les réjouissances solennelles. Ainsi les Bals , les Mascarades, et surtout les Ballets qui n’ent
ces vices pour arriver à ses fins. Elle mit en jeu, les Festins, les Bals , les Mascarades, les Ballets, les Femmes les plus
vols Littéraires. 95. Journal d’Henri III. 96. Henri III courait le Bal en habit de Fille. Il donna un festin entre autre
29 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
[Épigraphe] Le bal est une poésie muette, et la poésie un bal parlan
[Épigraphe] Le bal est une poésie muette, et la poésie un bal parlant. ………… Tout vieil que je suis, encore sçay
nt cet art faisait les délassemens ; ensuite il se transporte dans un bal , pour y critiquer le maintien et les défauts des
lle ; Athène a vu Socrate, et Rome a vu Caton6, Souvent ouvrir le bal , sans manquer au bon ton. Au siècle des beaux-
trouver. Plein de grace et d’ardeur, le jeune adolescent Vole de bal en bal, et triomphe en dansant15. L’agilité franç
r. Plein de grace et d’ardeur, le jeune adolescent Vole de bal en bal , et triomphe en dansant15. L’agilité française en
t-on admirer deux ou trois entre mille : &c. A peine dans nos bals , dont abonde la ville, En peut-on admirer un ou d
rythme à deux temps. Chacun réglant ses pas au gré de son caprice, Le bal devint bientôt une arène, une lice ; Enfin, pour
s, La mode admit les pas de vingt peuples divers, Et couvrit dans nos bals , d’une teinte française, La Walse aux mille tours
c. Par les graces bientôt dansé plus décemment, Vint enrichir nos bals d’un nouvel ornement : Ainsi, plus d’un auteur no
; Vengeons le vrai talent, de l’ignorance altière, Et chassons de nos bals la Danse grimacière. A quelques traits d’humeur,
rsqu’aux loix du bon goût on sait être docile. Mais laissons-là le bal , et fifre et tambourins, Petits pas, petits airs
rance le goût des tournois, les grands ballets, les mascarades et les bals furent l’unique ressource de la gaîté française »
s qui ont vécu après lui, de ce qu’il dansait comme un autre dans les bals de cérémonies d’Athènes ; il tenait à honneur d’y
r se faire recorder ses Danses, afin de paraître moins gauche dans un bal de Rome. Traité historique de la Danse par Cahusa
e comédies qu’il faisait représenter dans son palais. Non compris les bals solennels et les bals ordinaires, le roi Louis xi
it représenter dans son palais. Non compris les bals solennels et les bals ordinaires, le roi Louis xiv dansa vingt-sept gra
ent Danse de ville. 14. Danse de Ville, est celle qu’on exécute au bal . 15. L’usage des bals est établi dans l’antiqui
4. Danse de Ville, est celle qu’on exécute au bal. 15. L’usage des bals est établi dans l’antiquité la plus reculée. « La
ntrer toute la dignité de son rang à la ville de Milan, il ordonna un bal solennel où toute la noblesse fut invitée. Le Roi
la manière dont le fils de l’empereur Charles-Quint y serait reçu. Un bal de cérémonie y fut délibéré à la pluralité des vo
ité des voix. Après un grand festin, le cardinal de Mantoue ouvrit le bal où le roi Philippe et tous les Pères du concile d
dans différens divertissemens d’opéra. Elle fut dansée quelquefois au bal . 25. Voûtés, c’est lorsque le dos se courbe.
30 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 11 août : Fête à Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 17 août 1669 »
us grand préambule, Théâtre, Salle et Vestibule ; Où la Comédie et le Bal , Et même un Cadeau tout royal, Avec des Concerts
31 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 »
mille était le nombre), Dissipèrent tout à fait l’ombre. […] Après le Bal , la Comédie Divertit bien la Compagnie, Ouvrage p
32 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
de Véron. — La claque ; Auguste. — La presse ; Charles Maurice. — Les bals de l’Opéra. — Véron jugé par ses contemporains. 
et taglionistes. — Reprise de la Sylphide. — Débuts de Thérèse. — Le bal de Gustave. — Les deux sœurs dans Don Juan. — Les
33 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Des différents genres de la danse »
s particulières – qui étaient à l’origine insérées dans un ballet, un bal ou un opéra – sont orthographiés avec majuscule (
34 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
e III, l’opéra de Scribe et d’Auber, dont le cinquième acte, celui du bal masqué où le roi de Suède tombait frappé d’un cou
ut ménagé, dit Véron, pour donner de l’éclat à la mise en scène de ce bal  ; les quadrilles furent des plus variés et des pl
inies attira l’attention publique sur lui et sur l’Opéra au moyen des bals qui s’y donnèrent sous son règne. Avec le concour
t le boute-en-train des fêtes de ce genre, il essaya de galvaniser le bal traditionnel en habits noirs et d’introduire à la
ortunes extraordinaires. Des divertissements variés agrémentaient ces bals , par exemple, des pas dansés par le corps de ball
Thiers appelle Véron et lui signifie qu’il a décidé l’interdiction du bal . Le directeur expose alors au ministre que la jeu
rêts que léserait une mesure de rigueur. Après beaucoup d’efforts, le bal est autorisé. *** C’est avec ces moyens que Véron
ose dans les chancelleries du continent, nous le devons aux pompes du bal de Gustave, aux prodiges de la Tempête, aux mérit
35 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
croire le livret, la salle du grand Opéra de Madrid, décorée pour un bal . Ce ne sont que colonnes, dorures, cristaux, cons
. Don Cléofas Zambulo, écolier d’Alcala, est venu chercher fortune au bal  ; et, comme c’est un gaillard de bonne mine, tail
e porte même avec tant de grâce et de naturel qu’à sa rentrée dans le bal , don Gil et Bellaspada, le prenant réellement pou
de lui montrer les trois charmantes inconnues qu’il a rencontrées au bal . Asmodée trace dans l’air avec une de ses béquill
sente. La fillette veut savoir si le jeune homme qui l’a courtisée au bal l’aime d’un amour sincère, et comme elle est, en
lle de n’aimer et de n’épouser que le jeune inconnu qui lui a pris au bal un nœud de ruban, et qui est, ajoute-t-il pour as
olier n’a pas de peine à obtenir sa grâce. Il évoque les souvenirs du bal , rappelle ce qui s’est passé la veille chez l’alc
u plafond, aux pieds de Florinde, la rose qu’elle lui avait donnée au bal  ! Le troisième acte nous transporte dans un carre
36 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
 : elle est folle de danse, elle ne songe qu’à cela, elle ne rêve que bals sous la feuillée, valses interminables et valseur
mourir, et quand tu seras morte, tu deviendras une wili ; tu iras au bal de minuit avec une robe de clair de lune et des b
t de gazon. Mourir à quinze ans, après avoir à peine été cent fois au bal et valsé tout au plus deux mille valses ! Comment
la nuit ! Ce n’est pas la vie qu’on regrette à quinze ans ; c’est le bal , c’est l’amour ; et le moyen de ne pas sortir de
ce où tourne la ronde des wilis ? C’est là, en effet, que se tient le bal magique. Regardez ! le gazon tressaille, le cœur
n’est pas d’eux que l’on peut dire avec le poète : Il aimait trop le bal , c’est ce qui l’a tué ! Voici venir les danseus
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VI. Des Mascarades »
nt deux à deux ou quatre à quatre, et entraient ainsi masqués dans le bal . Telle fut la Mascarade en Sauvage du Roi Charles
38 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
lle est née, et vous recevez au carnaval des lettres d’invitation aux bals , signées madame de Toulouse, madame de Bourges, m
dinand, à trois heures je reviendrai à l’Opéra ; à quatre je serai au bal chez Grignon, à cinq chez Deffieux, à six aux Ven
….. jusqu’à la mi-carême, cette trinité infatigable a été vue dans 87 bals  ; on élève à 1,700 le nombre des contredanses que
lesquelles on peut compter hardiment 1,370 galops. Et à propos de bals , vous qui ne dansez pas le cancan, et qui ne pous
ettre votre nom sur ma liste de souscription. Je donne jeudi un grand bal dans le salon de Grignon. — Ah ! — Tout le monde
ncs. On se réunira à 11 heures précises. Un prince grec assistera au bal . Nota. Une lettre particulière adressée à chaque
ndiquera le jour et le lieu de la soirée. La Lorette place à chaque bal d’Opéra cinquante à soixante billets. Le nez de c
uscrit. Enfin il reçoit la circulaire promise : le jour est fixé ; le bal aura lieu dans les salons du Veau qui tette, plac
de l’établissement lui dit qu’en effet il était question de donner le bal chez lui ; mais qu’ayant eu avec madame de Longch
s une difficulté le matin même, il a rompu le marché : il sait que le bal se donne chez son confrère des Vendanges de Bourg
un petit carton imprimé sur lequel on lit : Les personnes invitées au bal de madame de Longchamps sont prévenues qu’il est
trouver. La Lorette a des créanciers : ils ont su qu’elle donnait un bal par souscription, ils sont venus l’assaillir et o
onnes envahissent le logis de madame… ; tout le monde est en tenue de bal  : chacun se regarde, car rien ne semble préparé p
tenue de bal : chacun se regarde, car rien ne semble préparé pour un bal . La maîtresse du logis, avertie enfin, prend la c
’il y avait lieu de se retirer à jeun. Le nez de carton a renoncé aux bals par souscription. Excentricités. Dema
tout bas : « Si tu veux, au carnaval nous irons faire une partie de bal Chicard. » Le maire répond : « Monsieur le préfe
39 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Plan du ballet] »
ns le second Acte Don Juan donne chez lui un grand repas, précédéd’un bal , à ses amis et à ses Maîtresses. Lorsqu’on a dans
40 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 23 octobre. Valses. Chopin à l’opéra. — Le sang viennois. »
our mais qu’on dirait ensorcelés ; on n’en vient pas à bout. Voyez le bal absolument lugubre, quoique réglé par M. Staats,
isante » dont Isadora affuble Chopin ; elle préfère sa petite robe de bal . Ses jambes sont rigoureusement nues ; mais ses p
41 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des manières de civilités. » pp. 138-159
res cas. De la manière de se présenter et de se comporter dans un bal . Lorsqu’on se présente pour entrer dans un bal
e comporter dans un bal. Lorsqu’on se présente pour entrer dans un bal , si le bal n’est point commencé et que la société
dans un bal. Lorsqu’on se présente pour entrer dans un bal, si le bal n’est point commencé et que la société soit assem
nous l’avons démontré pour une grande assemblée ; si au contraire le bal était commencé, et que son mouvement éblouissant
oit par complaisance ; et si l’on ne pouvait rester jusqu’à la fin du bal , on ira se présenter aux maîtres de la maison pou
42 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
t en se donnant un branle continuel. On commençait autrefois tous les bals par un grand branle : on les commence aujourd’hui
de pas différents, selon la nature des airs sur lesquels on danse. Au bal de l’Opéra on danse dans les deux bouts de la sal
de la salle des contredanses différentes. On n’exécute guère dans les bals ni dans les assemblées, la Bretagne, l’Allemande,
à deux. [Auteur inconnu.] C’est par cette danse qu’on commençait les bals anciennement. Elle est purement française. Les me
43 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre III. Suite du Précédent »
quatre-vingts grands Ballets, depuis 1689 jusqu’en 1610, beaucoup de Bals magnifiques, et un très grand nombre de Mascarade
44 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IV. Vices du grand Ballet »
des frais immenses, ne procurait donc à la Danse rien de plus que les Bals masqués. Il fallait qu’on sût, pour y réussir, dé
45 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 17 janvier : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 21 janvier 1668 »
Robinet, lettre du 21 janvier 1668 Le lendemain, se fit un Bal Dedans le beau Palais Royal, Non à Huis clos, mai
46 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXVI. Discours sur la Courante en general. » pp. 110-114
s qu’après les Branles qui sont, ou qui étoient les danses par où les Bals de la Cour se commençoient, comme je l’ai deja di
47 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 février 1670 »
, Jour de Crapule, et de grand Repas, De Bacchanales, et d’Orgies, De Bals , Ballets, et Momeries, Le Divertissement Royal Fu
48 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
ts que tu n’as pas encore quitté Paris, la ville de joie ! C’était un bal de nuit, la fête était charmante. Je venais de da
lement vrai, que j’ai des émotions avant d’entrer en scène ou dans un bal . Le cœur me bat comme s’il s’agissait d’un début
49 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
e ne pouvais plus effacer son sourire de ma mémoire. Un soir il y eut bal à l’hôtel. J’y fus invitée, naturellement. Comme
-bas de très nombreux amis. Tout à coup, dans un angle de la salle de bal , je découvris mon voisin de table. Il ne parlait
50 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
r se faire recorder ses Danses, afin de paraître moins gauche dans un Bal de Rome.
51 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 février. Affaires courantes. »
peu moins d’impersonnalité correcte et un peu plus d’abandon. De ce «  bal blanc » de Clustine, elle semble ne pas être l’hô
52 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
es autres, par leurs talens seulement. Les concerts spirituels et les bals dont l’Académie royale de Musique avait été dotée
main, faire de la salle même une dépendance de ses appartemens, et du bal , le prologue de ses soupers intimes. A la suite d
 ; le prince meurt à l’Opéra assiégé par les masques accourus pour le bal . Le salle fut fermée ; toute représentation théât
hiffre ne monte qu’à 660,327 fr., dont 70,000 furent produits par les bals masqués : ce fut pour ces réunions l’année la plu
 : ce fut pour ces réunions l’année la plus florissante ; en 1793 les bals masqués n’existaient pas. En présence de ces résu
lte indispensable entre la salle à manger et le salon. L’histoire des bals masqués semble former une appendice nécessaire à
semble former une appendice nécessaire à celle de l’Opéra ; mais les bals masqués, depuis leur origine, offrent peu de trai
Né sous la Régence, pour favoriser les débauches du Palais-Royal, le bal masqué de l’Opéra fut d’abord brillant et animé ;
ergondage, les agaceries et les honteux marchés prirent possession du bal masqué ; dans la suite il ne présenta plus que l’
s à autre durant le carnaval. Pendant la révolution il n’y eut pas de bals masqués ; ils reprirent faveur sous l’empire, et
epuis le désir jusqu’à la possession. Cette tentative a échoué. Si le bal de l’Opéra eût admis de telles mœurs, aux yeux de
53 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
e de saint François de Sales : (c. 23 et 24.) « Que les danses et les bals sont des choses indifférentes de leur nature ; et
, dit-il, que les meilleurs ne valent rien. Je vous en dis autant des bals et des danses. Ces sortes de divertissemens ridic
54 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
elle je réponds, on prétend que, dans les réjouissances publiques, le bal et les danses, qui y sont ordinaires, et qui font
 ; mais lorsqu’aux cantiques d’actions de grâces on fait succéder les bals , les danses et d’autres divertissemens profanes,
apprendront si l’occasion d’une réjouissance publique peut rendre les bals et les danses plus légitimes qu’en tout autre tem
55 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
ine qui voulait donner une haute idée de son administration, donna le bal deux fois le jour, festins sur festins, fête sur
avarre. [voir Traité historique, IIe partie, livre II, chap. 4, « Des Bals  »] Dans une petite île située dans la rivière de
rdure et un parquet de gazon furent mis en place comme par magie : le bal de cérémonie commença, et la cour s’y distingua p
rvices, en dansant des ballets formés de leurs divers caractères3. Un bal éclairé avec beaucoup de goût, dans des salles pr
y faire servir souvent dans les réjouissances solennelles. Ainsi les bals , les mascarades, et surtout les ballets qui n’ent
ces vices pour arriver à ses fins : elle mit en jeu les festins, les bals , les mascarades, les ballets, les femmes les plus
rave, le sévère, l’exact Sully, qui eut l’intendance des ballets, des bals , des mascarades, de toutes les fêtes, en un mot,
squ’on y avait exécuté le ballet de maître Galimathias, pour le grand bal de la douairière de Billebahaut, et de son Fanfan
se métamorphosait à la volonté en une salle étendue et magnifique de bal . Peu de moments après y avoir vu la représentatio
vu la représentation pompeuse et touchante d’Amide, on y trouvait un bal le plus nombreux et le mieux ordonné. Les amuseme
duc de Gesvres, et il la remplit de la manière la plus glorieuse. Les bals parés et masqués donnés avec l’ordre le plus dési
œil changeait une belle salle de spectacle en une magnifique salle de bal  : 2°. celle qui servit aux travaux et à la chute
dont se servit alors feu M. Turgot. Il trouva le secret de donner un bal magnifique qui amusa la Cour et Paris toute la nu
du secret de ce magistrat célèbre. Voyez Fêtes de la Cour de France. Bal de la ville de Paris, donné dans son hôtel la nui
atifs à l’objet de la fête. Au fond de cette cour changée en salle de bal , on avait construit un magnifique balcon en amphi
asques a monté à plus de 12000 depuis les huit heures du soir, que le bal commença, jusqu’à huit heures du matin. Toute cet
ur le Dauphin, ont été célébrés par des fêtes, des illuminations, des bals , des feux d’artifice ; mais un trait éclatant, su
un goût différent. Après le souper de Madame la Dauphine, il y eut un bal dans la salle de spectacle ; et comme cette salle
rmes, y resta jusqu’à huit heures. Le soir Madame la Dauphine alla au bal , habillée en domino bleu ; elle se plaça dans la
élevé seulement d’une marche : ce milieu était destiné à une salle de bal  ; et on n’avait rien oublié de ce qui pouvait la
Opéra, appuyés sur la balustrade, masqués en domino ou autre habit de bal , dont les couleurs étaient très éclatantes ; ce q
la Duval, danseuse ; et pour marchandise, des masques, des habits de bal , et des dominos de toutes les couleurs et de tout
neuf heures du soir. Alors le Roi passa sur le parquet de la salle du bal , située au milieu de la foire, et se plaça dans u
chœur le Roi alla souper, et les masques s’emparèrent de la salle du bal . Ensuite on distribua à ceux qui se trouvaient al
ants. Elle se rendit ensuite à l’orangerie, qu’on avait ornée pour un bal paré : il commença et dura jusqu’à l’heure du fes
56 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
ur l’éducation de la jeunesse pour la danse Théâtrale, & pour les bals de cérémonie. L’art Gymnastique dont Tuccaro fais
ion mémorable, les Magistrats de la Ville menerent Judith en pompe au bal où la fête étoit préparée ; elle y dansa la premi
ù la fête étoit préparée ; elle y dansa la premiere comme la Reine du bal . Cette illustre veuve étant sans ostentation, ell
57 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Apologie de la danse. » pp. 11-24
nde disposition à la danse, que les inanimées mesmes se ioignoyent au bal , animées des charmes de sa lire : & ne tirera
que la difference du danser de ces anciennes Eglises, à celuy de nos bals & de nos assemblées (qu’on feint autant de te
erniers Roys qui faisoit quelque fois admirer ses perfections dans vn bal auec autant d’auantage sur ses Courtisans, comme
58 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
des plaisirs et des ris, Est rempli de réjouissances, De Cadeaux, de Bals et de Danses, D’admirables Collations, Contenant
59 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
ncan ; elle n’existait plus entre Lola Montès et Pomaré, la gloire du bal Mabille. Les délicats gémissaient de cette déchéa
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
toute la science consistait à montrer les Danses nécessaires dans les Bals de cérémonie, ou un nombre fort borné de pas de c
61 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
les se font la nuit ; et c’est ainsi que se font celles qu’on appelle bals . Tout le monde sait que la nuit contribue ordinai
t accompagnées de déguisement, comme il est encore très-ordinaire aux bals . Si, comme je viens de le marquer, les ténèbres d
62 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
ices, en dansant des Ballets formés de leurs divers caractères114. Un Bal éclairé avec beaucoup de goût, dans des Salles pr
63 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
On trouve les traces de ces trois qualités distinctives dans tous les Bals et les grands Ballets qui furent faits sous ses y
64 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
ues, en partie, puisqu’on en renforce les effets en me menant dans un bal , en plein hiver et alors que j’étais à peine âgée
65 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
ge de les proscrire du théâtre, et ils n’osent plus se montrer qu’aux bals  ; J’ai toujours regardé ces masques de bois ou de
66 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
la chute du corps : & presque toutes les danses que l’on danse au Bal & aux assemblées, sont sans aucune expression
67 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »
ience. Celle d’un ballet classique qui s’épanouit dans cette salle de bal houleuse, dans cette atmosphère fauve de poussièr
68 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
que le générique du personnage dont elle prenait les habits. Dans les Bals de cérémonie, elle n’était qu’un mouvement sans o
69 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
n lui remet en même temps la somme de 25 livres ; ensuite on forme un bal champêtre. Plusieurs Rois de France ont honoré de
70 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
: celle-ci, la femme qui sait le mieux recevoir de Paris, — un de ses bals a assez fait de tapage dans Landerneau, — celle-l
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
squ’on y avait exécuté le ballet de Maître Galimathias, pour le grand bal de la Douairière de Billebahault et de son Fanfan
72 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
xtraordinaire de la danse espagnole. On en avait vu des spécimens aux bals de l’Opéra, où une troupe espagnole avait exécuté
a Fille mal gardée ce qu’est une kermesse de paysans par rapport à un bal aux Tuileries. » Ce jugement appelle plusieurs o
écolier d’Alcala, jeune homme élégant et de fière tournure, noue, au bal du Grand-Opéra de Madrid, une triple intrigue ave
73 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
ils dansaient des danses de divers genres : c’étaient des espèces de bals où éclataient la joie, la magnificence et l’adres
nous la devons à Terpsichore. Quoi qu’il en soit, voilà l’origine des bals en règle qui se perd dans l’antiquité la plus rec
74 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
st. — La Camargo. — Caleçon et précaution. — Le festin de Gruer. — Un bal décolleté. — Ingénieuse idée de Roger de Beauvoir
tre n’y verra rien. Je m’en charge. Roger tint parole : Le soir de ce bal déc… olleté, il amena au docteur Véron tous les m
75 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
donne une si grande valeur à la beauté. On raconte qu’une nuit, à un bal chez le viceroi dont elle était l’invitée, son en
76 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
re fois, j’entendis cet air qui devait devenir si populaire : Loin du bal . Une troupe nouvelle répétait l’Oncle Célestin d
77 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144
blance.   Je ne puis mieux le comparer qu’à ce que l’on voit dans les bals masqués, ou il y a des jeux publics, mais princip
78 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71
ces de présentations à la cour, ou des menuets dansés dans les grands bals parés lui étoient payés trois cens francs. L’hist
79 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
, par toutes sortes de parfums, d’eaux de senteur et d’onguents… A un bal des Tuileries, la maréchale de M… répondait, en z
ce de la blessée. Elle quêta, en outre, au profit de celle-ci dans un bal aux Tuileries. Toute la cour impériale tint parei
80 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
ère, presque dure. Il y avait là une partie entamée. Une fois dans le bal , il faut valser. M. Mauri était beau joueur. Quan
81 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
ent tranquillement que leurs pénitens et leurs pénitentes aillent aux bals et aux danses ? Et si le silence des prédicateurs
82 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215
Mariée du Village, des Fêtes du Vauxhall, des Recrues Prussiennes, du Bal paré, et d’un nombre considérable, peut-être trop
83 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434
Mariée de Village, des Fêtes de Vauxhall, des Recrues Prussiennes, du Bal paré & d’un nombre infini & & peut-êt
84 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
en sorte que le mot ballet est venu de celui de balle : on en a fait bal , ballet, ballade, et baladin ; le ballar et ballo
85 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
n cette fin de décembre 1836, on inaugurait rue Vivienne une salle de bal vaste et luxueuse, la salle Musard, dont Barthéle
èrent au coin des rues. L’élégant cavalier la fredonnait en allant au bal  ; l’ouvrier la sifflait à l’atelier. Les restaura
86 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
s, des Spadacins, &c. Enfin l’on voyoit dans cette représentation Bal , Balet, Comédie, Festins, Concert, sabat, toutes
87 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
ège, où ses concerts alternèrent pendant la durée du Congrès avec les bals et les carrousels. Beethoven, déjà morose, se dér
88 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
ente, disait le prospectus, portant une légère doublure pour robes de bals , soirées, et fabriquée par un procédé nouveau ».
89 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
à la paume ; le mot ballet, dérive donc du mot balle. Ils en ont fait bal , ballet, ballon, ballade, baladin et baladoire. J
90 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
es, Ainsi que pour la Reine eût roulé le tambour, Pour qui, durant le bal et sous quatre lanternes, Les marquis se seraient
91 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
e mèche lui est présentée et l’air retentit d’une canonnade de 24. Un bal improvisé termina la journée138. » Les marins d
92 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
r elle-même de ses mains souveraines des garnitures pour costumes de bal avec des dentelles, des fils de laiton et des rub
93 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92
n maître de mettre en peu de tems un élève en état de figurer dans un bal  ; mais alors il faut renoncer pour jamais à se pe
/ 93