leau de la capitale. Je n’y fréquente, lorsque j’y vais, que quelques artistes estimables, quelques hommes de lettres ou des ama

uissance des vrais amateurs est plus vive et plus pure que celle de l’ artiste qui expose son ouvrage ; parceque la modestie, co

’instruire ; qui ont visité toutes les écoles ; qui ont vécu avec les artistes et qui ayant contracté l’habitude de voir et de c

es, séduisent souvent l’ennemi par la variété de leurs uniformes. Les artistes , obligés par état de copier, et de céder même à d

oureusement prononcée, les jolies femmes disoient que c’étoit le seul artiste , qui fut digne de multiplier leurs images ; que n

lons, dans les boudoirs et jusques sur les panneaux des voitures. Cet artiste trouva dans l’oubli de ses talens et de son goût,

’indécence ; tant de tableaux dégoutans ne peuvent-ils pas égarer les artistes et les éloigner de ce goût sage et raisonné qui d

différence sensible qui règne dans les chefs-d’œuvre des plus grands Artistes . Raphaël, Michel-Ange, le Titien, Paul Veronèse,

origine, et se vouer au triste et méprisable emploi de copiste ? les artistes n’ont-ils plus le goût et la nature pour guides ?

travagance d’autant plus dangeureuse qu’elle annonce le radotage de l’ artiste . Que veulent dire en effet huit ou dix figures pl

nvient pas toujours à un autre. Il faut, donc conclure que les jeunes artistes doivent être continuellement en garde contre les

petits pantins à cheveux d’ebène qui les environnent. Que ces jeunes artistes fixent leurs regards sur la nature ; qu’ils n’oub

ge. J’ajouterai que les sarcasmes, les critiques amères dégoûtent les artistes . Mais pourquoi montrent-ils ce qu’ils devroient c

la fécondité, mais sur la perfection de ses ouvrages. Que les jeunes artistes s’empressent donc de suivre les conseils précieux

ce qui s’oppose aux élans de l’imagination. Je sais encore que chaque artiste a son bazile et sa chenille ; le premier le fatig

 : il faut donc que le mérite écarte l’un et écrase l’autre ; que les artistes soignent attentivement leurs ouvrages. Ils sont l

fera élever de vastes édifices et de grands monumens, il trouvera des artistes capables de les exécuter ; et en immortalisant le

x, fabriqués par la main de la sottise ! c’est alors, dis-je, que les artistes auront des modèles propres à éterniser leurs pinc

in de danser une théorie d’art pour la faire admettre par un public d’ artistes . Je vous parle. Moi Vous ne faites que parler ?

puis plus. Que voulez-vous m’enseigner ? Que Mlle Taglioni a été une artiste incomparable ? J’en suis certain. J’ai en son gén

les Meistersinger pour répondre à des phrases de ce genre. Il y a des artistes assez entêtés pour exécuter même ce qu’ils ne veu

lame, je le développe, je le signe, et je le fais signer par tous les artistes . Défiez-m’en. La Danseuse Alors il suffit de… Moi

… Moi Non, il ne suffit pas ! mais c’est déjà beaucoup que lorsqu’une artiste prétend exprimer une émotion, elle l’éprouve elle

 ! Voilà une phrase que je n’attendais pas de vous. Moi Le devoir des artistes est de diriger cette mode et même de la brusquer,

ment un homme poétique, mais ce n’était pas un homme de guerre, ni un artiste . En art, il y a une mode à considérer, il n’y a p

bscons, où la formule remplace l’idée, où l’on ne sait même plus si l’ artiste comprend la valeur des gestes traditionnels qu’el

ar le réformateur et celui des chorégraphes classiques : « Comme les artistes des grandes époques de peinture, M. Taglioni père

préceptes de Philippe Taglioni. Parlant d’Emma Livry, la malheureuse artiste qui, enveloppée de flammes sur la scène, mourut d

aire valoir un style original. Dans le vieux cadre classique la jeune artiste plaçait des figures d’une libre fantaisie. Son co

échec, d’exercer sur elle la même fascination que sur tous les autres artistes de l’époque. Elle entreprit, une seconde fois, d’

ionnaire, soulignait l’avènement de quelque chose d’inédit. Parmi les artistes qui l’entouraient, Marie Taglioni fit école. On f

inistration ne put se décider à laisser repartir pour l’Allemagne une artiste aussi remarquable. Mlle Taglioni fut engagée à l’

classicisme du sujet et le romantisme de l’exécution. Non seulement l’ artiste avait un rôle conçu tout spécialement pour elle,

, la raison d’être du personnage. Elles n’étaient point portées par l’ artiste  ; elles la portaient. Elles maintenaient dans l’a

anger, la carrière la plus glorieuse qui se soit jamais ouverte à une artiste . Mais aucune création ultérieure ne réussit à eff

ration fanatique ne doit pas s’expliquer seulement par la valeur de l’ artiste  ; elle avait aussi pour cause le besoin qu’éprouv

me « la reine des airs qui fait honte à notre grossière nature72 ». L’ Artiste la définit « un sentiment, une pensée qui n’a rie

e, Rome prit la madone sainte Que toute famille adora : Aujourd’hui l’ artiste nous donne Le dieu pénate ou la madone Nés dans l

e sylphides. Ce véhicule faisait le service de Londres à Windsor où l’ artiste donnait des représentations ; l’honneur d’y prend

d’à-propos88. » La princesse Charles de Prusse présenta son album à l’ artiste pour qu’elle y laissât quelques lignes. Celle-ci

Inhalt 89. Le même auteur imaginait, pour caractériser le talent de l’ artiste , une formule qu’on a souvent citée, sans en indiq

grer les bras qui deviennent rouges, malgré la couche de blanc dont l’ artiste les recouvre. Mais Rahel reconnaît que les défaut

là payer d’avance, comme le voulaient les conventions, le cachet de l’ artiste , et celle-ci ne consentait pas à lui faire crédit

me énorme, si l’on songe que la même année le bénéfice de Nourrit, un artiste pourtant choyé du public, n’avait produit que 24 

caractère, une forte dose de patience et de philosophie. Cette grande artiste poussait à l’extrême les défauts les plus insuppo

reposer la fortune du ballet à l’Opéra sur le concours exclusif d’une artiste dont la carrière pouvait à tout moment être inter

rivale, qu’on pouvait se passer de ses services. Mais où trouver une artiste capable de partager la souveraineté avec une Tagl

. III, p. 225. 72. Gazette des Théâtres, 25 septembre 1836. 73. L’ Artiste , t. X. p. 105. 74. Journal des Débats, 9 févrie

, 1837. 83. Ibid. 84. Les Adieux à Mademoiselle Taglioni. 85. L’ Artiste , t. XIII, p. 7. 86. De Spoelberch de Lovenjoul,

rs sources primitives ; parce qu’elles sont leurs causes premières. L’ Artiste qui les ignore n’est qu’une machine grossière qui

uses : on jouit de l’expérience de tous les temps, et de la sienne. L’ Artiste instruit aperçoit la perfection et la saisit  : l

devenant plus florissant tous les jours par les efforts redoublés des Artistes , que la Théorie éclaire, voit augmenter à la fois

éritablement apprécié que par les connaisseurs et les gens de goût. L’ artiste qui s’y distingue mérite le plus d’éloges. L’exéc

la même correction que l’on veut trouver dans le danseur héroïque. L’ artiste dont je parle, doit se distinguer en tenant la pa

plaisance, à plaire à d’ignorants spectateurs. Ce serait pourtant à l’ artiste qu’il appartiendrait de ramener le public au goût

danse grave ; et c’est une raison pour encourager le petit nombre des artistes qui se livreront à de pareils exercices. Peut-êtr

urd’hui est beaucoup plus compliquée que celle des anciens et que cet artiste doit posséder bien des qualités. 66. Je ne puis

eux des Michel-Ange, des Fiamingo, des Algardi, et de tous les autres artistes sublimes qu’a produit la glorieuse Italie. Canova

e de les élever et de déployer en eux les plus vastes conceptions ; l’ artiste , perpétuellement isolé, se laisse bercer par l’am

peintre ou doit l’être. Il faudroit qu’à son exemple il voyageât. Les artistes déjà instruits vont en Italie pour étendre le cer

nture, de la sculpture et de l’architecture ; c’est-là que les jeunes artistes , enflammés à la vue de tant de merveilles, les ét

n déposer les sucs parfumés dans leurs industrieuses habitations, les artistes reviennent dans leur patrie, et, l’imagination re

e la danse, le noté ingénieux de la musique, sont les plumes dont les artistes se servent pour imiter la nature et pour l’embell

vastes conceptions qu’il faut chercher un style riche et pompeux. Les artistes n’en n’ont point d’autre. Le tems qu’ils donnent

, que faut-il en penser ? ce que je ne conçois pas, c’est de voir des artistes célèbres se disputer le triste honneur d’exécuter

les petites passions qui dégradent les hommes, et qui avilissent les artistes , contribuent nécessairement à leur désunion, et s

opposent toujours à leurs progrès. J’ajouterai, cependant, que si les artistes n’ont pas brillé dans toutes nos fêtes, avec l’éc

ée aveuglement à l’intrigue et à l’ignorance. Comment trouve-t-on des artistes assés complaisants, pour se charger de l’exécutio

té ne peut exister sans proportions ; une imitation outrée, dégrade l’ artiste , et choque le bon goût. L’imitation de la belle n

s, tout fut dès lors confondu ; on n’aperçut plus de distance entre l’ Artiste , qui aurait dû seul professer l’art, et le Citoye

iarité au contraire, sans trop honorer l’art, dissipe, énerve, perd l’ Artiste . Que peut-on espérer d’un homme à talents que ses

de leur temps, s’avilirent eux-mêmes, sans donner de l’émulation aux Artistes . On ne cherche guère à plaire qu’à plus grand que

ls ne sont en proportion de la conduite, des progrès et des mœurs des Artistes . 75. Habebat illa (Quadratilla) pantomimos, fo

lesquels ont été depuis perfectionnés jusqu’au dernier degré, par les artistes qui honorent le siècle présent. [2] Le très petit

égères observations sur son mécanisme. Les excellentes lettres de cet artiste célèbre, sur les ballets, ont été écrites particu

ient jamais sortir de ses mains ; c’est cet ouvrage qui apprendra aux artistes danseurs les véritables règles dramatiques, et la

ré de l’intérêt que je prends à leurs progrès. Je crois aussi que les artistes formés et accoutumés aux applaudissements, verron

e tachent, dont le dégradent l’ignorance et le mauvais goût, tant des artistes médiocres que des spectateurs sans connaissance.

eurs, le vulgaire ignorant se méprend bien souvent lorsqu’il juge les artistes d’un talent réel ; cependant « Ingiusta lode non

de cette grâce qui séduit, qui charme, ne sera point regardé comme un artiste , et ne pourra jamais intéresser ni plaire. 1.

 proportionnellement — plus généreux envers les auteurs qu’envers les artistes . D’après le tarif fixé par lui, un ballet était

’Opéra, comptait, sur la fin de l’Empire, — 1869, — une soixantaine d’ artistes divisés en : Sujets principaux, — dont deux mime

chacun en deux sections : Premier quadrille, première section, — six artistes  ; Deuxième section, — douze artistes ; Deuxième

drille, première section, — six artistes ; Deuxième section, — douze artistes  ; Deuxième quadrille, première section, — huit ar

tion, — douze artistes ; Deuxième quadrille, première section, — huit artistes  ; Deuxième section, — onze artistes. Ajoutez les

adrille, première section, — huit artistes ; Deuxième section, — onze artistes . Ajoutez les « petites classes » et les marcheuse

onge, — qui avait succédé à celle-ci dans le poste de « concierge des artistes  » à l’Opéra, — ont fait asseoir quelqu’une de ces

riant et grave, est plein de charme et d’agrément. Cette éblouissante artiste se révèle une dame d’un sens juste et délient, do

ntraire, elle pénètre avec facilité dans les âmes les plus hautes des artistes et des savants. Je lui ai entendu dire les choses

imie, de physiologie. Mais en elle l’inconscient l’emporte. C’est une artiste . Je n’ai pu résister au plaisir de rappeler ma re

à donner à la musique en toutes ses parties ». Quatre cent cinquante artistes et amateurs lui apportaient un concours actif et

vec une vérité inquiétante. La troupe de Horchelt fut une pépinière d’ artistes . Là débutèrent la très belle Heberle qui fit une

orains regardaient comme un homme de génie. Au temps du Congrès, deux artistes français personnifiaient à ce théâtre les princip

comme un des exemplaires les plus irréprochables du type. En tant qu’ artiste , elle cultiva et développa des dons qu’elle tenai

enait bavard pour raconter des souvenirs de cette sereine existence d’ artiste . C’est à sa mémoire inépuisable que fit appel Ste

. Non content d’être dans sa spécialité un habile ouvrier, presque un artiste , il consacrait ses loisirs à la musique. Deux de

ille, directeur des chœurs à l’Opéra Royal. Berlioz eut affaire à cet artiste , lorsqu’en 1841-1842 il alla faire entendre à Ber

développera ce sens musical qui devait si grandement la servir. Ces artistes dont se composaient les familles Elssler et Prins

inconsciente, la formation de cette légende. D’abord on voulait que l’ artiste , dont la renommée remplissait le monde entier, fû

nne Teresa Monticini. La guerre âpre qui se poursuivit entre les deux artistes fut plus qu’une rivalité de personnes ; ce fut le

minante à l’Académie de danse fondée en 1815 à Milan pour fournir des artistes à la Scala. Enfin elle dirigea les compositeurs d

de sa nature impétueuse. Le danseur italien était plutôt virtuose qu’ artiste  ; il mettait sa gloire à exécuter des bonds démes

Pallerini était pour le Nord, la Brugnoli l’était pour le Sud. Cette artiste , l’étoile du théâtre San Carlo de Naples, se dist

is triviale. Le soleil d’Italie fit éclore chez elle les qualités des artistes latins. Ses créations appartiennent au genre clas

it une cour dont l’opinion, si peu fondée qu’elle fût, avait pour les artistes la valeur d’une sentence de vie ou de mort. L’hon

tini avait fait un institut musical de premier ordre. Pour les jeunes artistes un engagement à ce théâtre était le commencement

quelle souffrance la séparation causait à son ami. Mais la vocation d’ artiste exigeait un sacrifice qui fut consenti des deux c

mme que l’histoire banale du succès, comme l’ont connu des milliers d’ artistes . Il n’y manque même pas l’inévitable essai de cab

eindrait-elle point Paris, ce Paris qui apparaissait alors à tous les artistes d’Europe comme une Mecque sainte, but de toutes l

encore beaucoup moins favorable que Berlin au perfectionnement d’une artiste . Lorsque vers la fin de l’année 1833 Fanny fut en

se a été porté par Dauberval, Gardel, Vestris, et quelque autre grand artiste , à un si haut degré de perfection, qu’elle a dû s

egré de perfection, qu’elle a dû surprendre Noverre lui-même (a). Les artistes du siècle passé sont inférieurs à ceux des derniè

âces et de charmes (qualités qui n’ont jamais existé chez nos anciens artistes ), les plus beaux temps d’aplomb, d’équilibre, éta

tes, n’embellissaient pas encore l’art naissant ; et l’exécution de l’ artiste était bornée par la plus grande simplicité (b). I

jours se destinent à tous les genres, il est difficile de trouver un artiste parfait. « Qui trop embrasse mal étreint. » (a)

ités que cela dans la manière de se poser en tournant ? Car lorsque l’ artiste est parvenu à filer, à pirouetter, le travail peu

ice. Cet honneur sait aux arts mériteroit d’être célébré par tous les artistes de nos jours. Sire, le cœur sensible de votre Maj

ronne et dont les vertus du Monarque relévent la splendeur. Sire, les artistes qui ont besoin d’être encouragés, iront se réfugi

des plaisirs. Cette troupe riante est ingénieusement distribuée par l’ artiste  ; des amours broyent les couleurs ; d’autres essa

xandre par des peintures vivantes, veut augmenter l’enthousiasme de l’ Artiste , il ordonne à Campaspe de marcher et de déployer

nt la douleur que lui cause sa blessure. C’est dans cet instant que l’ artiste se saisit de ses crayons, qu’il trace et retrace

qui lui semble céleste ; il applaudit à l’imagination brillante de l’ artiste  ; il voit qu’il a été trompé, et il sort pour ne

our ne point distraire Apelles de son travail. Eperduement épris, cet artiste ne voit que la belle Campaspe ; il trace, il effa

nérosité.   Alexandre, non content d’avoir pardonné à Campaspe et à l’ artiste , veut encore les unir et leur ordonne de le suivr

nne n’ignore que cette cérémonie auguste doit être pompeuse. 1. L’ artiste avoit peint ce Prince sous la forme de Jupiter te

e ceux-là dans leur art, ne pourront jamais être considérés comme des artistes . [4] Soignez la tenue du corps et le port des bra

u mime, aussi bien que dans celle du peintre qu’a voulu instruire cet artiste sublime19. [7] Celui qui aura mis en usage ces c

us réunirez tous les suffrages, et mériterez le glorieux nom de grand artiste . [11] Voyez avec attention, examinez beaucoup, et

mbades, et par de ridicules pirouettes. Le triomphe de ces misérables artistes ne sera pas de longue durée, «              …………

doit avoir sa couleur et son nom. » Horace. [15] Les plus grands artistes , soit peintres, soit poètes, ou musiciens, se son

En les imitant, faites preuve d’un bon goût, et vous serez alors des artistes . [16] Étudiez bien la composition des pas22 : che

t qu’on veut professer ; sans cela on sera confondu dans la foule des artistes médiocres, ou l’on manquera le but, sans jamais o

isonnement académique sur la danse que j’eus avec M. Gardel, ce grand artiste m’a dit que pour connaître un bon danseur il fall

’instant où il s’est enlevé, pour battre quelque Temps ; si alors cet artiste se trouve placé dans les vrais principes, et que

osés de plantes, d’arbustes, de branches légères et de fleurs, dont l’ artiste forme des tableaux, et décore des compartiments,

21. Je ne blâme vraiment la confusion des genres, que parce que des artistes médiocres, voulant singer le plus cher des favori

récompenses sont les ressorts les plus sûrs des actions des hommes. L’ Artiste qu’on punit ou qu’on récompense à propos, va touj

lus glorieux de ressembler, honorer l’art dans la personne des grands Artistes  ; mais j’éprouve un sentiment plus vif encore, lo

cres74 tremblant toujours qu’on ne fasse trop en saveur des meilleurs Artistes . Cette différence est l’ouvrage constant de la na

un Expert qui enseigne à faire des lettres. Un Maître à danser est un Artiste qui montre à faire des pas. Le premier n’est pas

a l’avantage d’y réussir, est sûr de la gloire ; et il est rare qu’un Artiste qu’il couronne ait longtemps à se plaindre de la

lents que doit posséder celui qui veut mériter d’être rangé parmi les artistes . Il faut que les bras soient sans cesse arrondis

cousses, ni par saccades, ce serait un grand défaut qui dégraderait l’ artiste le plus parfait dans l’exercice de ses jambes. [

ns-nous vue toujours être elle-même un objet de controverse parmi les artistes . Essayons de la rendre moins obscure. L’oppositio

et s’exempter les difficultés de l’étude qu’ils exigent. Ces faibles artistes se trompent ; ils seront justement appréciés, et

é absolue et naturelle de la forme plastique à la vie intérieure de l’ artiste . Dès que l’étoile paraît, ce rayonnement, mitigé

e jusqu’aux pointes brèves et carrées, est sculpté par un merveilleux artiste  : la danse classique. Artiste qui ne se contente

carrées, est sculpté par un merveilleux artiste : la danse classique. Artiste qui ne se contente pas de couler la matière humai

écoulée. Et pourtant j’ai encore bien des choses à dire sur la grande artiste , deux fois compatriote, qui incarne le génie de m

ement riche de leurs chefs-d’oeuvre immortels auroit-il abandonné les artistes , qui avoient contribué à sa gloire ? ou la renomm

bsolument mais, ce qui n’est point conjectural, c’est que ce peuple d’ artistes et de savans quitta l’Egypte, et se réfugia à Ath

 ; tels étoient, Monsieur, les degrés que les Athéniens élevoient aux artistes , pour les faire monter sans peine et sans inquiet

que le génie peut s’élever ; et c’est à la gêne, et à l’infortune des artistes que l’on doit souvent le maigre, le décousû, et l

de l’intrigue, de la jalousie et de la cabale qui règnent, parmi les artistes , ils auroient dit que rien n’y est bien, que rien

et entretenue par un train de vie scandaleux, oppose aux progrès des artistes une barrière insurmontable. De là naît cette mono

esprit et à un amour-propre bien entendu, qui dit perpétuellement à l’ artiste , sois original, deviens modèle, et n’imite que la

plication continue, et par l’amour de la gloire. Il faut encore que l’ artiste ait l’immuable constance de résister aux séductio

rs l’existence sans en avoir la certitude. Elle a embrassé le « genre artiste  » à l’instar de mille jeunes filles crédules auxq

n’en fait plus. Mais faut-il en somme décourager à ce point une jeune artiste dont la bonne volonté et la conviction sont évide

or, ces grands souvenirs, qui auraient écrasé n’importe quels autres artistes , nos deux danseurs ont su les exalter et les raje

abille. On a pu voir ce que produit le sens du style appliqué par une artiste complète aux choses les plus futiles. Sa polka ma

s situations. Il faut encore ajouter à tout cela les séductions d’une artiste jeune et belle, qui danse mieux et autrement que

Les quatre médecins de semaine, chargés de visiter à tour de rôle les artistes qui se disaient malades, vérifiaient si le cas ét

graine. Enfin Véron fut toujours à la chasse de cet oiseau rare : « l’ artiste jeune et belle, qui danse mieux et autrement que

ilement ourdies et des prétextes à superbes décors, il était trop peu artiste pour apporter à un musicien des idées fécondes et

age ne dansait pas. Les grandes dames avaient des tendresses pour ces artistes . Les duchesses les disputaient aux marquises. Com

ujours sur les affiches de l’Opéra vers 1830 était celui de Mazilier, artiste consciencieux, utile, mais sans personnalité. Le

nt excellents. L’Opéra ne sut point garder une si précieuse recrue. L’ artiste congédié voyagea. Il rencontra une jeune fille qu

faisaient pleurer de jalousie ses camarades du corps de ballet. Cette artiste faillit se moderniser. Vers la fin de sa carrière

aître de grandes espérances. On avait salué en cette jolie personne l’ artiste qui remplacerait Mlle Bigottini. Elle montra un t

nnée par une fin moins tragique fut la carrière de la mieux douée des artistes de la nouvelle floraison. Les histoires de Louise

avait répandue avec son petit arrosoir, l’instrument inséparable des artistes au foyer de la danse. La volage élève ne sut pas

à l’Opéra. Ce ne fut pas pour longtemps. La même année sa carrière d’ artiste eut un dénouement de conte de fées, amené par le

ses camarades jeunes ou vieilles du corps de ballet, ce qui fait les artistes créateurs, le feu sacré qui excite à diriger tout

Chapitre III. Objet de cet Ouvrage. Les Artistes en général n’ont que des traditions incertaines :

tous partie de la multitude, qui prend le ton, sans s’en douter, des Artistes , des Amateurs, et de la bonne Compagnie12. Ainsi

’élève l’esprit, le sentiment, le charme de son art, pour en faire un artiste accompli76. Il faut qu’il lui démontre bien sa di

s, et voulant accélérer mes progrès, me mirent entre les mains de cet artiste , élevé à l’école des grands maîtres, et qui s’éta

; c’est là qu’il se perfectionnera dans son art. 71. J’ai connu des artistes sortis d’une bonne école, et qui, par quelques ci

ve, qui entraîne le spectateur, et le ravisse délicieusement. Voilà l’ artiste achevé. 75. Je connais un maître qui jouit à Pa

e premier sentiment est un mouvement d’orgueil aveugle qui entraîne l’ Artiste dans le précipice : le second est un amour vif po

rs qu’ils n’ont pas. Détruire un préjugé qui refroidit la chaleur des Artistes , est un des plus utiles secours qu’on puisse prêt

erie gracieuse et de la ravissante expression du modèle99 ». Un autre artiste , Danois, rendait avec assez de bonheur, dans une

vous l’avez fait jusqu’à présent. Vous êtes si bon ! vous rendez les artistes si heureux par votre bienveillance ! Vous trouver

ne formule insignifiante le succès de pantomime remporté par Fanny. L’ Artiste plaisanta : « Fanny, disait-il, déploie toutes le

ulisses, il en usait galamment avec les gens, en particulier avec les artistes , sans avoir cependant pour aucune de ses pensionn

brillants, les heures amères furent plus nombreuses. Les abonnés, les artistes et la presse l’accablèrent de vexations. C’est qu

n, d’éloigner celle des deux sœurs qui était véritablement une grande artiste du seul lieu où elle pouvait remplir toute sa mis

ude des directeurs des grandes scènes de Londres. Un certain nombre d’ artistes , dont Marie Taglioni et Fanny Elssler, avaient pl

ous les traits d’un « joli petit jeune homme, éveillé, égrillard ». L’ Artiste disait : « Le triomphe de Mlle Fanny Elssler a ét

et de trop primitif, cet essai d’importation n’eût pas réussi110. » L’ Artiste comprenait aussi fort bien que les danses populai

institut national, et, tout en regrettant la contrainte imposée à nos artistes officiels, il admirait la retenue de Fanny Elssle

on journal de longs plaidoyers pour la défense de la cachucha et de l’ artiste qui la dansait. Il fut soutenu par plusieurs jour

les de la maison. Une farandole fut menée avec une telle fougue qu’un artiste , porteur d’un nom sympathique à tous les amis de

ppe et Marie-Amélie, peu prodigues en général d’amabilités envers les artistes , moins prodigues encore de leurs deniers, offrire

ue. Roger de Beauvoir, faisant allusion à la longue claustration de l’ artiste , inscrit comme épigraphe d’un article qu’il publi

te pénétrée de délire pindarique porta aux nues les deux plus grandes artistes qu’eussent jamais vues les rives de la Gironde.

il s’était effrayé du danger que courait une de ses plus ravissantes artistes . Une récente catastrophe l’avait fortement impres

! s’écriait-il ; car il s’agit d’une jeune et excellente femme, d’une artiste du premier mérite, de l’appui, du bonheur de plus

10. Th. Gautier, Histoire de l’Art dramatique, t. I, p. 283. 111. L’ Artiste , t. XI, 1836, p. 241 et 312. 112. Petits Mémoir

’Auteur croit devoir prier le Public de ne point le confondre avec un artiste du même nom, qui, depuis quelque tems, fait annon

rès ce long détour, revenons à Mlle Bos. C’est donc là une très belle artiste qui sera une grande artiste le jour où elle saura

à Mlle Bos. C’est donc là une très belle artiste qui sera une grande artiste le jour où elle saura astreindre les divers éléme

nous voulons avec préméditation exclure du théâtre de danse tous les artistes de talent qui n’ont pas dès leur enfance profité

de se produire à Paris quand on vient de n’importe où ? Cependant un artiste , un chercheur, voire un maître parisien, n’a pres

rage sans le savoir. Lorsque j’appris que Sarah allait jouer pour les artistes , je dis à ma mère : — Maintenant, je vais la voir

es, je dis à ma mère : — Maintenant, je vais la voir. — Il y a tant d’ artistes célèbres à New-York, répondit ma mère, comment ve

e, ma voix qui disait d’un ton ferme : — Voilà, monsieur. Je suis une artiste , et je voudrais venir, avec ma mère, à la matinée

s, un peu ironique, et il dit : — Alors vous croyez que vous êtes une artiste  ? Sa remarque me blessa jusqu’au fond de l’âme, m

 Je n’ai jamais pensé cela, répondis-je. Mais je voudrais devenir une artiste … un jour… si je le pouvais. — Et c’est pour cela

milieu des fauteuils d’orchestre Autour de nous il n’y avait que des artistes américains. Dans les loges, il y avait les direct

Je m’étais imaginé je ne sais quoi, parce que Sarah Bernhardt est une artiste de génie. Mais elle est aussi une femme, et il m’

l agréé de Fanny, Me Châle, développait l’argumentation suivante : Un artiste n’est pas un négociant ; un engagement d’artiste

tation suivante : Un artiste n’est pas un négociant ; un engagement d’ artiste ne peut être apprécié que par les tribunaux civil

es tribunaux civils, n’étant pas l’acte de quelqu’un qui spécule ; un artiste n’est pas un facteur, ni un commis du directeur.

mmis des marchands ou leurs serviteurs… ; « Que chacun des acteurs ou artistes engagés à l’administration d’un théâtre concourt

un témoignage de sympathie, plus encore que d’admiration, à l’aimable artiste , sortie du peuple viennois. Comme Fanny abandonna

nt à Covent-Garden contre une catastrophe imminente. Il fit appel à l’ artiste qui, avant son départ pour l’Amérique, avait fait

population exaltée se jeta sur la voiture et reconduisit la généreuse artiste en triomphe à son hôtel. Trois jours après, Fanny

entendre. Il s’excuse d’avoir laissé éclater un enthousiasme joyeux d’ artiste en des jours sombres où le malheur de Venise devr

on rêve il associe la reine de l’Adriatique, redevenue glorieuse, à l’ artiste qui a embelli les jours d’amertume. « Oh ! s’écr

derantur. De toutes les villes d’Italie, la plus dangereuse pour une artiste étrangère était Milan. En général, le public de l

deuil. Fanny dansait « sur un volcan ». La sympathie dont jouissait l’ artiste fit place à la haine que soulevait l’Autrichienne

public appréciateur ». La veille de la représentation d’adieux, les artistes des troupes impériales, russe et française, lui o

irent un bracelet avec ces deux inscriptions : « A Fanny Elssler, les artistes de Moscou ». — « Au cœur le plus noble, au talent

nt à pleurer dans le paroxysme d’une chaude sympathie pour la célèbre artiste au moment le plus doux de son triomphe, et, on pe

s tours de force, évidemment faits pour éblouir un public primitif, l’ artiste obtint ces marques d’une faveur extraordinaire. «

surnaturel qui nous dominait tous avec tant de force et de lien. Nul artiste , parmi les aimés, n’a été, n’importe où et quand,

s Yelva, l’orpheline russe, fit une impression profonde sur une jeune artiste qui jouait à côté d’elle, Louise Neumann, la fill

e, ineffaçable, par leurs productions vraiment géniales, et ces trois artistes furent : la Malibran, dans l’opéra ; Rachel, dans

rait en pleine gloire, voulant éviter la compassion qui s’attache aux artistes , quand leur déclin commence sans qu’ils s’en aper

Fanny intervint plusieurs fois dans l’étude de pièces nouvelles. Des artistes venaient lui demander conseil. Elle enseignait à

toutes les grandes idées et présentoit sans cesse à l’imagination des artistes , des obstacles que le génie ne pouvoit surmonter.

mbiné ; en voulant embelir la beauté, on la fit minauder, et quelques artistes donnèrent successivement dans des abus très-préju

e mépris qu’elles méritent. Les règles furent créées par les prémiers artistes , qui las de ne produire que des ébauches grimaciè

osoient à la marche rapide, et aux élans du génie. Il appartient à l’ artiste médiocre et routinier de se cramponner servilemen

marbre inanimé. Elle indique aux connoisseurs le travail pénible de l’ artiste , et les soins accumulés, qu’il s’est donnés pour

’un autre coté c’est une symphonie à grand orchestre éxécutée par les artistes les plus célèbres, elle est longue, et chargée de

es de la nuit enveloppent tout à la fois le Phénomène brillant ; et l’ artiste obscur. Malheur à ces compositeurs froids qui s’a

gles isolées sont des bâtons propres à guider les pas mal assurés des artistes à vüe basse. Mais si les règles ont été insuffisa

produisent ce volcan que l’on nomme enthousiasme ; c’est alors que l’ artiste animé par ce feu divin enfante dans son délire le

e à l’ignorance des hommes en place, à la honteuse condescendance des artistes et des gens de lettres qui encensaient les idoles

et de génie ; à son retour les arts sortiront de leur léthargie ; les artistes heureux et tranquilles reprendront leurs brillans

s bluets et des pavots, mais qui cultivés par l’esprit et le goût des artistes , s’embelliront des plus riches productions. Si vo

quoi nos jeunes élèves ne suivraient-ils pas l’exemple de Dupré ? Cet artiste , qui avait l’habitude de danser en improvisant su

r en les perfectionnant. [13] M. Gardel, en me parlant de nos anciens artistes , me vanta cette manière de danser de Dupré, qui t

lle dansait comme un ange (a). Il n’y a que trois ans que cette jeune artiste n’est plus. (a) Le Josepin disait : nous autres

et le tableau des effets étonnants opérés par le talent combiné de l’ artiste qui exécute et du compositeur habile qui asservit

l’exécution, il suffit d’avoir vu danser Vestris, et quelques autres artistes , pour juger que cette exécution est parfaite. Les

strumentale doit lui communiquer. Muni de toutes ces connaissances, l’ artiste peut se livrer hardiment à l’effort de son génie 

tance enchanta, Soutenu de deux Théorbistes Des meilleurs et des plus artistes .7 Ensuite on dansa le Ballet Peu sérieux, mais t

roit à desirer, qu’on élevât un monument digne d’elle, qui permit aux artistes de donner l’essor à leur imagination, et qui rass

que j’écris et que je soumets mes réflexions aux gens de goût et aux artistes . Elles me paroissent d’autant plus solides, qu’el

ale, et les progrès des arts en général. Je ne pardonnerai jamais aux artistes de vouloir faire briller leurs talens aux dépens

impossible de préssentir, qui échappent souvent aux combinaisons de l’ artiste mais qui ne se dérobent point à l’œil de l’expéri

nt isolé comme lui, par deux galleries couvertes qui conduiroient les artistes à la droite et à la gauche du théâtre. Ce corps d

’opéra n’étoit point admissible ; quelle différence entre le nombre d’ artistes qui compose la comédie et celui qui est emploié a

ie des grands talens adopta mon avis ; il est bien malheureux que cet artiste célébre en dépit de l’envie n’ait pas eu le coura

nt de règle fixe, et qui se prêle, par conséquent à la fantaisie de l’ artiste  ? Il me semble qu’il rempliroit parfaitement cet

commodité, à la sûreté des salles de spectacles. C’est au talent de l’ artiste à tirer de tout ce que j’ai dit ce qui pourra s’a

monument élevé aux arts et dont la construction peut immortaliser les artistes . Loin de mon imagination les petites choses ; il

péra dans la masse générale des dépenses du gouvernement ? la foule d’ artistes et de talens en tous genres qui le composent, enf

ction d’une salle d’opéra, est environné d’un nuage, que le génie des artistes pourra seul dissiper. Ce ne sera pas la première

r, refuse-t-il chaque jour des portraits de même espèce, car tous les artistes sollicitent l’honneur dont Mlle Fanny Elssler est

l’honneur dont Mlle Fanny Elssler est digne à tant de titres120. » L’ Artiste , tout en s’abandonnant à des réflexions amères su

il montrait dans son meilleur rôle, le mieux approprié à sa nature. L’ Artiste en publiait une reproduction par Léon Noël. C’est

rveuse, avec son agilité et sa sûreté coutumières. Paris fit fête à l’ artiste que la destinée lui rendait après une crise alarm

ion à l’adresse de l’administration qui se séparait d’une si éminente artiste . La soirée d’adieux, qui fut donnée à son bénéfic

e modèle que celle de Fanny Elssler, et du même auteur, Barre fils. L’ Artiste félicita le jeune sculpteur d’avoir su rendre le

araison s’imposait entre cette statuette et celle de Fanny Elssler. L’ Artiste ne manqua pas de la faire, et ce fut le point de

er ténor, Duponchel, avec le consentement de l’éminent et sympathique artiste , avait engagé Duprez. Mais le partage causa bient

bonheurs de sa carrière théâtrale. Elle excita l’admiration d’un pur artiste , d’un prince des lettres, qui se constitua le hér

oètes des visions de beauté antique. Elle réalisait un de ses rêves d’ artiste , lorsque, par les danses du Diable boiteux, elle

enfant, et sa répugnance vaincue se réveille encore un moment ; mais, artiste , elle se rappelle son rôle, elle rougit de sa fai

emps que celui du duc d’Orléans. Par une curieuse rencontre, un autre artiste fit à la même époque le portrait des deux mêmes p

nt crié à l’anarchie, à la profanation. Vous vous êtes indigné qu’une artiste se fût permis d’employer à peindre les superbes j

otestations s’élevèrent et des applaudissements nourris rassurèrent l’ artiste interdite. Pendant l’entr’acte Auguste, le chef d

’égale de Marie Taglioni, et il fit une fois de plus de la séduisante artiste un de ces délicats portraits où il excellait : «

la raideur disgracieuse de ses poses, tous ces défauts font de cette artiste une des plus grandes médiocrités du corps de ball

e à son bénéfice le 30 janvier 1840. Le programme fut quelconque. Des artistes de la Comédie-Française jouèrent des scènes du Bo

Gypsi, leurs applaudissements dédommageaient aujourd’hui largement l’ artiste . Fanny avait conquis l’Angleterre, avant de conqu

et p. 236. 120. Le Courrier des Théâtres, 5 décembre 1836. 121. L’ Artiste , 1836, n° 23. Le médaillon qui orne la couverture

de son obligeance. 122. Journal des Débats, 24 avril 1837. 123. L’ Artiste , 1837, n° 11. 124. Allgemeine Theaterzeitung, n

ucubration d’un primaire mégalomane, aurait pu suffire pour classer l’ artiste . Nous n’avons pas voulu tenir compte de ce fastid

générale de Peer Gynt, dont elle régla les danses. Je ne savais pas l’ artiste si prétentieuse ; je me suis donc tu. D’ailleurs,

haut fait saurait-il s’imposer au public ? Sans doute, si c’est là un artiste complet qui condense dans son numéro les ressourc

rmations voulues et qui font saillir la grâce ingénue de Ley tirent l’ artiste de ce mauvais pas. Sa « gueuse » en cheveux qui t

iration au dilettantisme, intelligent et hautain, de cette singulière artiste , Ève artificielle, qui eût laissé rêveur Villiers

 » une jambe, est charmant ; je reviendrai longuement sur cette jeune artiste à propos de la Tragédie de Salomé. Je reviendrai

France, et que par un miracle de la folie, ils ont été transformés en artistes . Il faut espérer pour leur gloire qu’ils auront u

t mille autres circonstances aussi affligeantes pour l’art que pour l’ artiste  ; mais l’histoire de la sottise ne pouvant intére

oignent absolument de celles que nous donnent nos manufactures et nos artistes ingénieux. Quel est le théâtre qui puisse se vant

oncours de plusieurs arts ; mais par une fatalilé trop commune chaque artiste adopte un goût et une manière de faire, qui dégén

r l’ordre Corinthien. Voilà le spectateur chez lui par l’inéptie de l’ artiste  : et l’homme de goût qui vouloit être transporté

ion, à l’encouragement, et à l’instruction des gens de Lettres et des Artistes . J’ai dit que Benserade était chargé de la compos

l’un sont comme une statue toute nue exposée au sortir des mains de l’ Artiste aux regards critiques de la multitude, des connai

let, Fêtes de la Cour de France] Les Poètes, les gens de Lettres, les Artistes ne seront-ils jamais persuadés, par les exemples

conventionnel du peintre-potier qu’évoquent les pas et les poses des artistes . Mais si l’on reproduit grandeur nature, — me dis

gnement de cette voix si fraîche qui monte de l’orchestre. Les autres artistes sont assis en rond, formant l’enceinte du terrain

une variété absolument ruineuse, et fatigante à l’excès pour tous les artistes employés à ce grand spectacle. Les Srs. Breton et

on fait et des sommes que l’on dépense pour la lui procurer. Tous les artistes harassés d’études, de répétions, ne receuilloient

pris, redoutables pour la direction, plus redoutables encore pour les artistes qui avaient à compter avec leurs caprices. Ces li

secs. Des libéralités inattendues récompensaient quelquefois ceux des artistes dont il était particulièrement satisfait. Par exe

aux mains robustes, soutien de la fortune indécise des auteurs et des artistes . « Il égaye, écrivait Théophile Gautier, et rend

pouvait vivre qu’à l’Opéra : le jour, dans la cour, causant avec les artistes qui lui témoignaient la plus cordiale déférence ;

ollaborateurs déterminaient ensemble le sort qui serait fait à chaque artiste . « Tous les premiers rôles devaient être fêtés, r

elés, redemandés, c’était de droit ; mais, lorsque nous arrivions aux artistes de second ordre, il me répugnait de traduire nett

demandât la fermeture, par mesure de salubrité publique. Malheur à l’ artiste qui ne partageait pas avec le flibustier ses appo

qui exaltent la gloire et la magnificence du dieu. Les auteurs et les artistes sont loués ou maltraités, selon qu’ils ont passé

de la Tempête, aux mérites de Robert le Diable et de Don Juan 46. » L’ Artiste fait des réflexions analogues, et non moins mélan

. 46. La Mode, Revue du Monde élégant, 1834, 18e livraison. 47. L’ Artiste , t. IX, 1835, p. 292.

s, sa place, n’en doutons point, lui sera marquée dans l’histoire des Artistes fameux, à côté des Pylades et des Bathylles ; et

mais n’est pas invraisemblable ; et l’on peut croire aisément que les artistes n’ont produit que des caricatures informes de la

de tentatives infructueuses, d’études et de recherches avant que les artistes pûssent s’élever au degré de perfection, et de su

ichissoient ces pompeux édifices si propres à perpétuer la gloire des artistes , et à porter leurs noms au temple de l’immortalit

se que je n’entends point, et dont la langue ne sera jamais celle des artistes .   Je suis, etc.

ique ». L’interprétation ? Comment en juger dans ces conditions ? Les artistes se débattent contre l’impossible. Ainsi Diane (Ml

Sur l’ artiste Décorateur Décorateur, s. m. (Spectacle.)

truire. 2°. Que celle dont il s’agit est infiniment préjudiciable aux Artistes et aux Arts. 3°. Que c’est aplanir des routes qui

Arts est l’ouvrage de la raison, cette découverte élèvera l’âme de l’ artiste , en lui donnant une opinion plus glorieuse encore

uisibles à la gloire des beaux-arts sont pour jamais détruits, et les Artistes triomphent. On pourra désormais être poète excell

en maîtres dans la société, seront peut-être à la fin persuadés qu’un artiste , qu’un homme de lettres tiennent dans l’ordre des

permettre. Sans enthousiasme point de création, et sans création les Artistes et les Arts rampent dans la foule des choses comm

a Grisi et Fanny Cerrito. Malgré leur charme et leur talent, ces deux artistes ne réussirent pas à conjurer la dépravation du go

nous apercevons avec joie et nous saluons avec respect une cohorte d’ artistes , de poètes et de rêveurs. A côté du Veau d’or la

rager le vrai mérite qu’à le soutenir et à l’encourager. Croire qu’un artiste de quelque genre qu’il soit, lorsqu’il est embrâs

ssi agréable qu’heureusement contrasté. Malgré cet accord de tous les artistes , qui s’étoient fait une gloire de contribuer au t

tés les plus effrayantes n’ont pu, enlever à la France cette troupe d’ artistes célèbres, qui, dans les beaux jours de la paix, c

fait dans une ville où les ressources sont immenses en ouvriers et en artistes de toute espèce. Je veux dire que, deux jours ava

étruire, et qui honoreroit autant la nation qui la donneroit, que les artistes qui l’exécuteroient. Enfin, Chaillot et Passy ser

n en resta là. Voici, du reste, un spécimen de l’orthographe de cette artiste pris dans un billet qu’elle envoyait à l’un de se

e danseuse qui ait exécuté un ballet pantomime avec Balon, comme elle artiste à l’Opéra. La scène choisie fut la dernière d’Hor

riginaire d’Espagne. Son père, prétend au contraire la Biographie des artistes belges, était un ancien maître de danse flamand a

e. On n’avait pas, d’ailleurs, le loisir de la remarquer, tellement l’ artiste était vive et légère. Puis, sa physionomie change

te qu’en 1767, un seigneur allemand, fort riche, voulut épouser cette artiste , et que sur le refus qu’il en reçut, il signifia

triomphants, et, ajoute un contemporain, « non moins enivrés que les artistes qu’ils venaient d’applaudir. » Mademoiselle T

emaine : l’un composé des seigneurs de la cour ; l’autre d’acteurs, d’ artistes et de savants ; enfin le troisième, véritable pri

âgée de soixante-treize ans. Mademoiselle Peslin fut une des artistes qui, en compagnie de mesdemoiselles Guimard, Alla

aussi des gros sous et des piastres que des spectateurs envoient à l’ artiste , à défaut de fleurs, pour lui exprimer leur admir

inie. Elle se prolonge dans la rue. La foule infatigable accompagne l’ artiste à son domicile. Sa voiture se fraye difficilement

e marchande rivalisa avec la marine de guerre de prévenances envers l’ artiste . Le paquebot le Président la reçut en grande pomp

ses locomotives. Un autre service public eut des gracieusetés pour l’ artiste  : l’administration pénitentiaire. A Philadelphie,

tirèrent, glorieux de leur victoire, en criant : « Vive notre célèbre artiste  ! Vive Fanny Elssler ! Vive notre patrie ! » A l

orcos. Ils ne sentaient point ce qui constituait la personnalité de l’ artiste . La danse de Fanny Elssler était pour eux ce qu’e

ceux d’Europe, sonnaient à l’envi les louanges de Fanny. Le nom de l’ artiste retentissait comme une fanfare de victoire, même

qui connaissait ses compatriotes. Il savait que, si les mérites de l’ artiste devaient leur échapper, les séductions de la femm

ille, il fallait une volonté qui fût d’acier comme les jarrets. Que l’ artiste retirât de ces rudes campagnes un bénéfice coloss

k du haut de la scène, la fondation d’une caisse de pensions pour les artistes dramatiques. Elle avait exposé ses vues dans une

souffrances que ne peut soulager l’assistance individuelle. Combien d’ artistes âgés et infirmes qui ont longtemps survécu au pou

ument. Je me présente comme l’un des membres de la grande famille des artistes qui regarderaient comme une faveur, comme un priv

pêchait son bonheur d’être complet. Elle avait une nature trop fine d’ artiste pour ne pas sentir que l’encens brûlé devant elle

s : il suffit de les avoir approfondis, pour en écrire avec fruit. Un Artiste entraîné par cette espèce d’instinct, que la Natu

e étoile. Nous nous demandons quel genre de satisfaction peut tirer l’ artiste , qui détient ce rôle, de l’interprétation de pas

et agenouillement est un petit mélo qui détonne fâcheusement chez une artiste si intelligente. Eh bien, toutes ces chances sont

arborés par Mlle Nérys entravaient plutôt les mouvements indiqués à l’ artiste par le maître Clustine qu’ils ne les secondaient

vec ma troupe japonaise, Sada Yacco en tête. Il y avait avec nous une artiste , une danseuse, à laquelle j’aurais été heureuse d

du corps diplomatique. J’envoyai donc des invitations aux principaux artistes et critiques d’art de Vienne. Le jour venu tout f

ut le monde pût m’entendre : — J’ai oublié de vous dire combien notre artiste est aimable. Les malles sur lesquelles elle compt

et vous manquerez longtemps encore des qualités qui font l’art et les artistes la fantaisie, le goût, la grâce et la liberté. Il

manque d’un produit nécessaire, elle l’importe. Nous importerons des artiste . Vous nous prenez nos musiciens, vous imitez notr

erlin. Ce jour-là, on ne pourra plus dire que la Prusse ne fait pas d’ artistes . Elle s’exténue à lutter, car elle est à peu près

ussi lorsque d’un côté je recueillois les éloges et les suffrages des artistes de tout genre, j’étois de l’autre en butte à l’en

it insensiblement des réformes ; et je me vis bientôt secondé par des artistes dont le goût et l’imagination étant au dessus de

avois enseignées, lorsqu’il les vit en pratique à Stuttgard, tous ces artistes devenus depuis si célèbres, cedèrent à l’évidence

, Monsieur, le travail le plus opiniâtre n’offre-t-il aux plus grands artistes qu’une lumière souvent importune qui les éclaire

quelques réflexions sur l’entêtement la négligence et la paresse des artistes , et sur la facilité du public à céder aux impress

enser.   Je sais que la crainte frivole d’innover arrête toujours les artistes pusillanimes ; je n’ignore point encore que l’hab

s par une servile imitation ! Combien de dispositions étouffées, et d’ artistes ignorés pour avoir quitté le genre et la manière

souvent imparfait et dont la copie ne peut plaire.   Questionnez les artistes  ; demandez leur pourquoi ils ne s’appliquent poin

on est générale ; il n’est point d’amnistie qui puisse déterminer les artistes à revenir sous ses étendards et à se rallier sous

le de s’en tenir là que d’essayer de les jouer ; au moyen de quoi les artistes ont raison, et les auteurs sont imbécilles. Leurs

n genre de vie et de dissipation qui dégradent l’art, et avilissent l’ artiste . Cette mauvaise conduite trop justement reprochée

i Monsieur, le travail le plus opiniâtre n’offre-t-il aux plus grands Artistes qu’une lumiere souvent importune qui les éclaire

lques réflexions sur l’entêtement, la négligence & la paresse des Artistes , & sur la facilité du Public à céder aux impr

penser. Je sais que la crainte frivole d’innover arrête toujours les Artistes Pusillanimes ; je n’ignore point encore que l’hab

par une servile imitation ? Combien de dispositions étouffées & d’ Artistes ignorés pour avoir quitté le genre & la manie

souvent imparfait & dont la copie ne peut plaire. Questionnez les Artistes  ; demandez leur pourquoi ils ne s’appliquent poin

on est générale ; il n’est point d’amnistie qui puisse déterminer les Artistes à revenir sous ses étendards & à se rallier s

le de s’en tenir là que d’essayer de les jouer ; au moyen de quoi les Artistes ont raison & les Auteurs sont des imbécilles.

e vie & de dissipation qui dégradent l’Art & qui avilissent l’ Artiste . Cette mauvaise conduite trop justement reprochée

acher un peu moins à l’histoire de l’Art et beaucoup plus à celle des Artistes  ; mais je n’ai point cherché à rendre cet Ouvrage

s effets ne peut provenir que de deux causes. La supériorité de leurs artistes sur les nôtres est la première. Notre sensibilité

ur nous les choses déjà faites avec quelque succès dans les Arts. Les Artistes qui n’y sont que trop attachés craignent encore d

s en évidence, il n’en saurait plus résulter aucun danger ni pour les Artistes ni pour l’Art ; et on osera danser sur notre Théâ

c, que vous avez produits pour la scène, placent votre nom à côté des artistes dont la mémoire sera chère aux amis des arts et d

à la « grandeur et servitude » classiques. Vous les croyez trop peu «  artistes  ». Je ne vous le reprocherai pas ! Car pendant vi

la veille de son triomphe : mais j’ai tout espoir en votre instinct d’ artiste . Et si je vous écris avec cette franchise véhémen

concernent l’art de la danse. Cet objet eût été mieux rempli par des artistes éclairés que par M. de Cahusac. La partie histori

ot un tel ouvrage soutenû du crayon et du burin de ces deux illustres artistes , seroit une source où l’on pourroit puiser, et je

e de vous répondre. 1°. Je ne propose pas deux mercenaires, mais deux artistes qui traiteront l’académie avec ce dèsinteressemen

er, de voler à l’immortalité, que celui d’emprûnter les aîles de deux artistes faits pour graver à jamais au temple de mémoire,

rces inépuisables de cette variété immense qui distingue le véritable artiste du Chorégraphe. Je suis, etc. 1. Thoynot Arbea

t à s’appercevoir de la monotonie de cet art, et de la négligence des artistes . Saint Augustin lui-même, en parlant des ballets,

orieuse du triomphe des beaux arts, de l’émulation et des progrès des artistes n’ait point été celle d’une révolution dans la da

en œuvre, et ne lui prête mille formes nouvelles. La main habile d’un artiste peut attacher un prix inestimable aux choses les

es architectures nobles de l’hôtel Choiseul. Je revoyais l’entrée des artistes , étroite comme un tuyau d’égout ; la loge qu’empl

ança et fut assez heureux pour étouffer ce commencement d’incendie. L’ artiste en fut quitte pour quelques brûlures le long des

grâce on a substitué l’énergie et la force, il faut savoir gré à une artiste de ne pas tomber dans ces excès fâcheux et de che

s belles productions ; dignes tout à la fois de servir de modèles aux artistes et de leçons aux jeunes compositeurs. L’Oratorio

lumières qui blessent et offensent des vues foibles et délicates. Les artistes qui composent le brillant orchestre de l’opéra, a

iberté illimitée ouvrit aux arts la porte du temple de la folie ; les artistes en devinrent les ministres, proscrivirent le goût

nulle pour les plaisirs du public, je vous entretiendrai, Madame, des artistes actuels, et principalement de ceux qui peuvent se

, 66. Appendice à l’ouvrage, 108. Arabesques, 24,, 64, 68. Arqué, 45. Artiste , 17, 23, 71. Attitude (l’), 67. Attitudes, 64. —

e méfier un peu de sa première impression. Eh bien, c’est une fameuse artiste , cette « estrella de Sevilla », et sa renommée im

rès grand nombre. L’exécution gracieuse appartient toute au goût de l’ artiste , et c’est à lui à en savoir faire un bon usage, e

tant la statue de Mercure. 53. Voyez la note (2), pag. 24. 54. Les artistes doivent aussi apprendre à se dessiner d’après ces

tendoit, ils se ferment, et nous font éprouver bientôt le dégoût. Les artistes ont oublié, dans la fête des victoires, que c’éto

choses également extravagantes et impossibles. C’est en vain que les artistes ont fait de pénibles efforts pour donner à de fro

s’appercevoir de la monotonie de cet Art, & de la négligence des Artistes  ; St. Augustin lui-même, en parlant des Ballets,

euse du triomphe des beaux Arts, de l’émulation & des progrès des Artistes , n’ait point été celle d’une révolution dans la D

œuvre & ne lui prête mille formes nouvelles. La main habile d’un Artiste célebre peut attacher un prix inestimable aux cho

un poëte, un machiniste, et des peintres-décorateurs. Cette troupe d’ artistes arriva à Paris en l’année 1644. et donna le 28. F

ra offrit ce que le goût et la somptuosité ont de plus recherché. Les artistes avoient fait l’impossible pour l’embellir. Décora

nécessaires. Il appella des peintres-décorateurs, des doreurs et des artistes de tous les genres ; il les logea, nourrit et déf

r la multitude des chefs-d’oeuvre qu’elle renferme offroit aux jeunes artistes des modèles parfaits dans tous les genres, bien p

i de la sculpture rivalisoient. en talons et en génie avec ce que les artistes Grecs et Romains créèrent de plus parfait, dans u

phale et Procris, Anacréon et Panurge en sont les menumens. Parmi les artistes , Sophie Arnould et Laguerre, Guimard, Saint-Huber

ie royale de Musique : elle y substitua celui d’Opéra 2. Les noms des artistes du chant et de la danse qui prenaient part à la r

tacles pour l’année 1794, que des despotes ou de vils courtisans. Les artistes de ce théâtre avaient été autorisés à se gouverne

qui depuis si long-temps contribuait à l’émulation et aux progrès des artistes . Une loi du 18 brumaire an II (8 novembre 1793) c

III, il fut organisé. Cet établissement était composé de cent quinze artistes , divisés en trois classes, et chargés de former g

art dans toutes ses parties ; qu’elles ont doté le Théâtre Français d’ artistes dont nous pouvons nous glorifier sous les yeux de

sis : jusque-là, il s’était tenu debout. Jusqu’en l’an VI (1799), les artistes de ce théâtre s’étaient gouvernés eux-mêmes, en r

ce temps-là d’assez bon goût à la Cour de mal parler de l’Opéra. Les artistes en étaient peu saillans, presque tous achevaient

jours qui lui permettaient d’y accourir, en stimulant l’émulation des artistes  ; en un mot, en faisant de l’Opéra, théâtre, sall

ublier les spectacles de l’Opéra, tantôt par sa générosité envers les artistes , tantôt par l’heureuse et productive idée des rep

gants jaunes, se presse aux avant-scènes ; l’orchestre rassemble les artistes de tous les cultes et de toutes les bannières ; l

elant de contrastes. Ministres, pairs, députés, écrivains, marchands, artistes , étrangers et nationaux se heurtent et se coudoie

gations qu’il impose au directeur dans l’intérêt du Gouvernement, des artistes et des plaisirs du public ; elle doit surtout fai

itement la détermination d’aller attendre la danseuse à la sortie des artistes , afin de lui faire, à eux seuls, un petit succès

es s’étant joints à nous) à la petite porte sombre par où sortent les artistes . C’était un défilé de vilains comparses, de laide

parents ! » Cependant, au bas de l’escalier, nous trouvâmes quelques artistes de passage qui connaissaient les Fiori et qui, pr

érieux, et je dois dire que le père Fiori était bien véritablement un artiste . S’il avait un grand avantage matériel à retirer

vait m’empêcher d’apercevoir, c’était surtout parce que je voyais des artistes sacrifier leur idéal d’avenir à la réalité grossi

nt fort réjouissant. L’exécution est pleine d’entrain : l’on voit les artistes qui hier encore « sabotaient » inconsciemment le

n. Non, j’en conviens, chez ces dames du corps de ballet, mais chez l’ artiste qui chantait Lescaut. C’est que M. Baugé ne se co

ropre intérêt, j’en ai donné la majeure partie à mes élèves, ou à des artistes à qui ils pouvoient être utiles. Je pense que le

beaucoup venir à Paris ; elle m’accueillit avec bonne grâce. Ces deux artistes ne touchaient à Londres que de faibles appointeme

la légèreté de sa danse et le charme de son mérite promettent à cette artiste un succès… véronien. » En même temps qu’il donna

attend des débuts de l’une des demoiselles Esler à Paris. Quand cette artiste était au théâtre de Vienne, on voulait savoir qu’

le. Ellébore. » Autre bruit de coulisses, le 3 septembre : « Plus les artistes de l’Opéra voient aux répétitions danser Mlle Fan

ui qui frappait du pied gauche. Il vint présenter ses compliments à l’ artiste et ajouta : « N’importe, Mamzelle Fanny, désormai

oléon (puisqu’il faut le nommer) n’a vu ni au théâtre, ni ailleurs, l’ artiste pour laquelle on lui a prêté de si tendres sentim

lui suffisait pas de savourer tout le bien que la presse disait de l’ artiste devinée par lui, engagée par lui. Ce n’était pas

forcer et baisser les pointes pour la rendre vive et brillante. [3] L’ artiste doit s’attacher à nuancer ses pas le plus qu’il l

’est la variété et la nouveauté qu’on doit rechercher ; il faut que l’ artiste en étudie soigneusement la composition et que son

inture & de la Poésie, l’immortalité lui est également assurée. L’ Artiste a ici, j’ose le dire, plus d’obstacles à surmonte

st l’ame, c’est moins, je le répete, la faute de l’Art que celle de l’ Artiste  : ignoreroit-il que la Danse est un Art d’imitati

articles qui concernent l’Art. Cet objet eût été mieux rempli par des Artistes éclairés que par Monsieur de Cahusac ; la partie

un tel ouvrage soutenu du crayon & du burin de ces deux illustres Artistes seroit une source où l’on pourroit puiser, &

pondre. Je ne propose pas en premier lieu deux Mercenaires, mais deux Artistes qui traiteront l’Académie avec ce désintéressemen

rces inépuisables de cette variété immense qui distingue le véritable Artiste du Chorégraphe inepte & matériel. Je suis, &

x de quelques articulations, s’étendent à toutes. Ce principe posé, l’ artiste doit suggérer, relativement aux bras, des mouveme

1. Les observations de ce genre ne peuvent être faites que par des artistes qui cherchent à decouvrir la cause de chaque effe

plupart des hommes ; mais analyser les jouissances, est le fait de l’ artiste observateur ; et cette analyse contribue à l’accr

ent de l’Opéra : l’habitude, l’usage, la tradition, seules règles des Artistes bornés, l’y ont depuis retenue comme emmaillotée.

rétablissant l’aplomb après coup. Mais chercher querelle à une telle artiste n’est-ce pas confirmer son admiration ? Je dois e

15 décembre. La revanche de la danse2. On a vu depuis peu maintes artistes , théoriciennes ou spontanées, exécuter des danses

ne classe de perfectionnement pour les étoiles, dirigée par de grands artistes ayant pris leur retraite ou des maîtres étrangers

e d’obtenir en Europe. Il me conseilla d’aller à Paris où un public d’ artistes ferait à mes danses l’accueil qu’elles méritaient

es mêmes galeries, je rejoignis, par le petit corridor, une salle des artistes où je m’habillai avant de partir. Devant la porte

tier, à l’esprit et à l’expression, il mérite légitimement le titre d’ artiste  : il est tout à la fois bon danseur et excellent

tant de prestesse et d’agilité ; voilà pourquoi les mains de certains artistes acquièrent par la répétition des mouvemens une de

ière qui pût être utile à l’Art, et prévenir désormais la fatuité des Artistes . L’insolence du jeune Pantomime ne fit pas attend

l’étendue du terrain sur lequel on allait l’élever. Tout ce peuple d’ Artistes , qui ne vit dans Quinault qu’un Poète peu considé

tion du spectateur est lassée par mainte longueur. Or la diction de l’ artiste est si admirablement articulée qu’on croit l’ente