Psyché et l’
Amour
. Ballet héroï-pantomime. Personnages.
Ballet héroï-pantomime. Personnages. Psyché . Vénus . L’
amour
. Adonis . L’hymen . Mercure . Les Graces.
Mercure . Les Graces. Nymphes, Jeux, Ris et Plaisirs ; troupes d’
Amours
et de Zéphyrs. Les Euménides. Les Parques. Tro
i jalouse, qu’elle employa tout son pouvoir pour la persécuter, que l’
Amour
frappé des charmes de Psyché, conçut pour elle la
our de douleur, elle y perdit encore ses charmes et sa beauté ; que l’
Amour
toujours tendre et toujours épris se fraya une ro
nité avec Psyché, qui recouvra sa fraîcheur et ses charmes : et que l’
Amour
l’épousa. Je préviendrai la critique juste et é
poëtes et les peintres donnent quelquefois à Psyché, et toujours à l’
Amour
; je dirai que chaque art a sa magie et ses règle
son m’a encore déterminé à supprimer les attributs que l’on prête à l’
Amour
. Dailleurs, dans cette circonstance, il a cessé d
xprimer l’excès de sa douleur et de son désespoir. Scène II. L’
Amour
, vivement épris des charmes de Psyché, ne peut êt
yché dans son palais. Zéphyre a bientôt atteint la cime du rocher ; l’
Amour
d’un seul geste le change en un char brillant, qu
Seconde partie. La décoration représente un sallon du palais de l’
Amour
embelli par ce que la richesse, le goût et l’élég
dre(1). Scène II. Un trait vif et brillant d’harmonie annonce l’
Amour
; ce bruit éveille Psyché. Dans le même instant u
instant un léger nuage s’élève à sa droite ; il est surmonté par des
Amours
et des Zéphyres. Deux Nymphes tenant un miroir s’
pierres précieuses ; elles ornent son habit de guirlandes de roses. L’
Amour
, caché derrière les Nymphes, jouit de la surprise
répète. Elle exprime tous les sentimens que l’influence secrète de l’
amour
lui inspire. Ce dieu paroît, et se place derrière
Ce dieu paroît, et se place derrière elle ; les traits aimables de l’
amour
s’impriment sur le miroir : Psyché, qui n’a rien
ien vu de si beau, trésaille d’admiration ; elle se retourne ; mais l’
Amour
a disparu. Elle ne voit plus que des Nymphes, et
d avec dépit et s’abandonne à ses réflexions. L’image séduisante de l’
Amour
la rappelle bientôt à la glace : elle n’y voit qu
: elle n’y voit qu’elle et les Graces ; mais les Graces ne sont pas l’
Amour
. Psyché est triste ; sa contenance annonce tout à
l’Amour. Psyché est triste ; sa contenance annonce tout à la fois son
amour
et son affliction : l’enfant de Cythère lui avoit
son image sur le miroir ; il a disparu, mais il est dans son cœur : l’
Amour
, vivement touché s’approche, et sa physionomie ré
nt qu’une surface polie, elle se retourne avec précipitation : mais l’
Amour
a disparu ; le jour baisse ; et ce dieu ordonne à
r, ou une issue pour sortir des ténèbres ; mais elle trouve bientôt l’
amour
qui la quitte d’instant en instant, pour augmente
vainement que Psyché le presse de se faire connoître ; les refus de l’
Amour
sont constans ; il veut jouir de l’incognito. A l
de décrire les situations variées et les tableaux qui en résultent, l’
Amour
se trouve soudainement accablé de sommeil. Morphé
n tremblant, elle examine avec admiration les traits enchanteurs de l’
Amour
, une éteincelle de la lampe tombe sur sa cuisse,
nt qu’elle le presse, qu’elle le prie, qu’elle tombe à ses genoux ; l’
Amour
est inéxorable ; il sait dailleurs, que la curios
aisissent d’elle avec fureur, et ne pouvant l’arracher du palais de l’
Amour
, elles l’enlèvent pour la précipiter dans le séjo
genoux tremblans se dérobent sous elle ; elle tombe et elle invoque l’
Amour
: puis apperçevant les Euménides et les Démons ét
rsuit sa proye et l’atteint : Tisiphone s’en saisit. Scène II. L’
Amour
, sensible aux larmes et aux maux de Psyché, s est
ve, et s’y jette à son tour ainsi que ses deux farouches compagnes. L’
Amour
exprime son désespoir ; il jure par le Styx qu’il
rt. Atropos se dispose à trancher le fil que Lachésis lui présente. L’
Amour
paroît. L’Enfer frémit ; Hercule lui a prêté ses
y vole, il emmène Psyché ; un rocher se change en un char brillant. L’
Amour
s’y place avec son amante. Les Démons se lèvent e
nt de toutes parts. Les Euménides et leur suite s’y précipitent, et l’
Amour
vainqueur des Enfers, fend les airs et disparoît
esse, est à ses pieds ; les Graces l’entourent et la couronnent : des
Amours
et des Zéphirs sont grouppés de différentes maniè
que le plaisir, l’expriment par des danses légères. Scène II. L’
Amour
et Psyché paroissent ; et leur présence inattendu
avoir enlevé par ses charmes une foule d’adorateurs et d’avoir ravi l’
Amour
à son empire. Ici, ce Dieu devient suppliant, Psy
e rien, elle repousse Psyché avec colère et dédaigne les prières de l’
Amour
; c’est vainement que les Graces, les jeux et les
nner une faute bien involontaire. Vénus la repousse avec colère, et l’
Amour
vivement offensé, releve Psyché, et l’arrache, po
ucit, en faisant grace à Psyché ; un baiser quelle lui donne et que l’
Amour
lui rend, forme le sceau de la réconciliation. Vé
mour lui rend, forme le sceau de la réconciliation. Vénus ordonne aux
Amours
de présenter à Psyché la robe nuptiale. Les Grace
r lui témoigner toute sa reconnoissance ; on la conduit à l’autel ; l’
Amour
allume son flambeau à celui de l’Hymen. L’encens
le embrasse l’autel de l’Hymen ; elle y fait serment de n’aimer que l’
Amour
; et ce Dieu, qui jure imprudemment de lui être f
urs ; Hébé leur présente la coupe nuptiale. Vénus, Adonis, l’Hymen, l’
Amour
, Psyché et toute la cour de Vénus se livrent à de
Les
Amours
de Vénus, ou les Filets de Vulcain. Petit ballet
e Vulcain. Petit ballet en action. Personnages. Vénus . L’
Amour
. Mars . Vulcain . Adonis . Les Graces. N
lon du palais de Vénus. Scène I. Vénus donne une fête à Mars. L’
Amour
, les Graces et les Nymphes y répandent leurs char
’on l’attend pour cueillir de nouveaux lauriers, avant d’abandonner l’
Amour
pour voler à la victoire, ce Dieu fait à Vénus le
attend. Scène III. La décoration représente une vaste forêt. L’
Amour
toujours malin engage les Nymphes à le suivre ; i
offre des bosquets délicieux. Scène I. Les Nymphes jouent avec l’
Amour
. Le Petit Dieu veut se venger de la plus jeune d’
son arc et de ses fléches, le met en joue pour lui en décocher une. L’
Amour
veut blesser, mais ne veut point l’être ; il bris
se saisir des Nymphes. Celles-ci ne font qu’une foible résistance ; l’
Amour
les unit aux Faunes, et se retire avec eux dans u
un bosquet. Les Nymphes sont inquiètes ; elles cherchent Vénus ; l’
Amour
qui sait tout et qui voit tout ce qui se passe da
unes et des Nymphes. Un Berger et une Bergère nouvellement unis par l’
Amour
viennent offrir à cette Déesse les premières rose
la fureur jalouse de ce Dieu. Il disparoît, et il est remplacé par l’
Amour
qui tombe aux genoux de sa mère dans l’attirail d
trement fait rire Vénus, mais elle lui reproche le départ d’Adonis. L’
Amour
lui jure que dans l’instant, il lui ramènera son
applaudit au travail avec distraction. D’un autre côté elle assure l’
Amour
qu’elle ne lui pardonnera jamais les méchans tour
ge et sort dans la résolution de se venger de Vénus, de Mars, et de l’
Amour
. Scène VI. Le divertissement devient généra
avec les Bergers et cache soigneusement sa passion. Venus, Mars et l’
Amour
s’assoient sur un gazon : dans le moment Vulcain
t à rire et à se moquer de lui. Vivement irrité, il prend la fuite. L’
Amour
fait disparoître les filets, les Faunes et les Ny
ent pas à tout le monde de jouer avec les Graces et de badiner avec l’
amour
il faut être comme M. Wieland, l’ami, le confiden
lon, qu’on peut suivre et atteindre le génie. Personnages. L’
Amour
. Les Graces , sous la forme de trois Bergères.
et que l’instant qui suit, est l’époque de la reconnoissance entre l’
Amour
et les Graces, et celle du dénouement de l’intrig
même ; cependant, on y est insensiblement ramené par les fêtes que l’
Amour
institue, et par la présence de Vénus. Les Gra
es fleuris et de quelques cascades rustiques. Scène première. L’
amour
égaré, las et fatigué, se couche sous un rosier s
les apperçoivent que la terre en est couverte à l’endroit où repose l’
amour
; elles y volent avec empressement. Mais qu’elle
s’approcher ou fuir ; un charme inconnu les entraîne cependant vers l’
amour
, que les impressions agréables d’un songe embelli
t : Mes sœurs ! il a des ailes, c’est un oiseau, ou peut-être c’est l’
amour
. A ce mot, on tremble, on pâlit, on frissonne, on
se leur échapper, si c’est un oiseau ; ni être à craindre, si c’est l’
amour
. On adopte cette idée ; les jeunes beautés se déb
se cacher derrière un buisson de roses pour en attendre le succès. L’
Amour
en s’éveillant se trouve captif et cherche vainem
re au nom de Vénus de rompre ses liens. De qui, leur dit-il, de qui l’
amour
peut-il attendre du secours si la beauté le fuit,
ous faire un enfant ? elles avancent ; les larmes et les prières de l’
amour
remplissent leur ame de l’émotion la plus vive, e
elle, eh bien ! pour vous punir vous resterez enchaîné. A cet arrêt l’
amour
frémit, il prie, il presse, il répand quelques la
andant des charmes sur tous les objets, embellira jusqu’à la vertu. L’
amour
, pour les convaincre de son attachement, réunit p
la gaité modeste et la douce sérénité, prodiguent leurs caresses à l’
Amour
, comme si elles pressentoient à leur tour que ce
eroit une cruauté ; quel parti prendre ? L’enjouée Thalie propose à l’
Amour
de le mettre dans leur corbeille : nous l’emporte
urent ensuite avec précipitation vers la porte, oh elles ont laissé l’
Amour
. Elles présentent la corbeille à Lycénion ; elles
attendre sa réponse, elle la découvre elle-même. Lycénion reconnoît l’
Amour
et recule d’effroi ; elle frémit sur le danger qu
ce ses filles et leur fait de ce dieu la peinture la plus terrible. L’
Amour
qui est sorti de sa corbeille est effrayé du tabl
olution consterne les jeunes Arcadiennes et les pénetre de douleur. L’
Amour
témoin sensible de leur peine, va se servir de so
éger du Zéphyr. Ces deux êtres nouveaux se prosternent aux pieds de l’
Amour
, pour lui témoigner leur reconnoissance, et les t
entourées de pampres, de vignes, de guirlandes de roses et de lacs d’
Amour
formés de myrthe et de jasmin. A cette métamorpho
instants les filles de Lycénion ; insensiblement il se dissipe, et l’
Amour
voit les Graces. Ce ne sont plus les jeunes Arcad
ouronnes de roses, qu’elles viennent poser sur la tête des Graces : l’
Amour
enchanté se précipite dans leurs bras, et s’écrie
s, ils expriment leur admiration, leur ravissement et leur respect. L’
Amour
ne veut point abandonner l’heureux séjour de l’Ar
t couronné des premières roses du printems : ce jour étoit arrivé ; l’
Amour
inspiré par les Graces, trouve qu’il manque quelq
é. Cet ordre est suivi : tous les Bergers applaudissent à l’idée de l’
Amour
; toutes les Bergères en rougissent de plaisir et
feux et mille fois sa timidité l’avoit empêché de les lui dévoiler. L’
Amour
, avant de quitter l’heureux séjour de l’Arcadie e
uel sont perchées deux tendres tourterelles, image la plus belle de l’
Amour
et de la fidélité ; puis détournant les yeux, ell
t de lui offrir, seroit sans doute, moins fière et moins farouche ; l’
Amour
presse, il entraîne le Berger, mais sa timidité r
déplaire à Philis le fait fuir et il va se cacher dans le bosquet. L’
Amour
voit qu’il lui faudroit trop de tems pour vaincre
ivers qui remplissent son âme, ne voit et n’entend rien ; vainement l’
Amour
frappe du pied, tousse et soupire ; plongée dans
i donner un nouvel être. Elle se retourne en soupirant et apperçoit l’
Amour
. Dans sa surprise elle hésite et ne sait si elle
un sentiment qui lui est inconnu ; elle ne veut plus enfin quitter l’
Amour
, et la crainte qu’elle a, que cette espèce d’oise
e de lui couper les aîles. A l’aspect du danger dont il est menacé, l’
Amour
frémit, il tombe en pleurant aux genoux de Philis
ent qui lui est cher. Philis attendrie et touchée par les larmes de l’
Amour
ne peut résister à ses prières ; ses ailes sont c
conservées ; mais, par un autre caprice elle en arrache une plume. L’
Amour
pousse un cri, et Philis après s’être ornée le se
isse en jouant avec lui et en lui prodiguant d’innocentes caresses. L’
Amour
, pour se venger du mal qu’elle vient de lui faire
Philis jette un cri, pousse un soupir, se plaint de la noirceur de l’
Amour
et enveloppe le mal du coin de son tablier, en gé
de son tablier, en gémissant et en laissant couler quelques larmes. L’
Amour
appelle Daphnis qui d’un clin d’œil se transporte
bras mal assuré avec la fierté de l’innocence. Daphnis enhardi par l’
Amour
ne se rebute point ; Philis cède ; sa fierté se c
e Berger, dont les charmes lui paroissent nouveaux. Scène IX. L’
Amour
qui est allé chercher les Graces, pour les rendre
autre ce sentiment délicieux, qui n est vivement senti, que lorsque l’
Amour
règne sur le cœur de concert avec les Graces. L
la couronne au vainqueur ; les Bergères se rangent sur la colline. L’
Amour
et les Graces président à cette fête. Les jeux
eurs. Les Bergères descendent à leur tour du coteau, précédées par l’
Amour
et par les Graces ; Philis inquiète et tremblante
té mériteroit la préference ; mais qu’il n’a qu’une couronne et que l’
Amour
le rend injuste ; puis cherchant avec l’empressem
ois couronnes à leur offrir, elle marque son embarras, elle regarde l’
amour
, et par le pouvoir de ce dieu, sa couronne se mul
nte de Philis, elles la couronnent elles-mêmes de leur main divine. L’
Amour
qui applaudit au choix de Daphnis, l’enchaîne à P
t accompagnée des jeux, des ris, des plaisirs, et une foule de petits
Amours
s’empresse à la couronner. A cet aspect, le dieu
et leur fraye une route de fleur qui les conduit à la cour céleste. L’
Amour
je jette dans les bras de sa mère et lui présente
us les Bergers s’approchent du bois ; ils y cueillent les roses que l’
Amour
fait éclore ; ils en ornent les cheveux de leurs
s, Daphnis, Lycénion et Damet se prosternent aux pieds de Vénus, de l’
Amour
et des Graces ; tous les Bergers et toutes les Be
fêtes. Elles leur recommandent de célébrer tous les ans celle que l’
Amour
vient d’instituer, et les assure que la récompens
grouppe général enrichi de tous les accessoires que la puissance de l’
Amour
leur a prodigués pour orner leurs Bergères et pou
Personnages. Hyménée . Cryséïs . Jeunes Athéniennes . L’
Amour
, sans attributs, et sous la forme d’un enfant ord
t elles en sont arrachées. Hyménée fait dans ce combat, tout ce que l’
amour
peut lui suggérer pour secourir sa maîtresse et p
leurs chaînes et d’immoler leurs ravisseurs. Il est écouté ; c’est l’
Amour
qui l’inspire ; c’est lui qui fait naître le cour
frappe, tue les uns blesse dangereusement les autres. C’est encore l’
Amour
qui dirige les coups qu’il porte, et qui anime so
r déclarer qu’il est leur libérateur. Il part. Pendant son absence, l’
Amour
joue avec les jeunes Athéniennes. Elles se disput
; elle se blesse le doigt ; l’epine de cette rose est une flèche de l’
Amour
. Ce Dieu la console ; il ramasse la fleur échappé
un nouveau prodige, elles sont remplacées par un superbe vaisseau1. L’
Amour
les engage à s’y placer. Dans cet instant, Hyméné
. La troupe enjouée s’embarque : les Zéphirs dirigent la manœuvre ; l’
Amour
s’empare du gouvernail ; le vaisseau prend le lar
ompeux edifices. Le fond de cette place offre à la vue le temple de l’
Amour
. Le peuple attend avec impatience l’arrivée des j
ntouré par ses amis. Cette scène offre un tableau plein d’intérêt ; l’
amour
paternel et l’amour filial y éclatent de toutes p
Cette scène offre un tableau plein d’intérêt ; l’amour paternel et l’
amour
filial y éclatent de toutes parts. Le peuple péné
mphe : on danse autour de ce pavois, et on les conduit au temple de l’
Amour
. Ce Dieu qui avoit disparu, se montre avec tous l
x dont il va cimenter l’union. Ces deux amans tombent à ses pieds ; l’
Amour
les embrasse et les conduit dans son temple. On l
’elle vint visiter Antoine, et que le peuple la prit pour la mère des
Amours
.
et héroï-pantomime. Personnages. Orphée . Euridice . L’
Amour
. Pluton . Proserpine . Bacchus . Juges d
sa douleur, ne peut se consoler de la perte d’Euridice ; il invoque l’
Amour
et l’appelle à son secours. Ce dieu sensible à la
e le conduire aux Enfers et de lui rendre Euridice. Scène II. L’
Amour
paroît ; Orphée tombe à ses pieds, et les sons to
hans de sa Lyre expriment la reconnaissance. La terre s’entr’ouvre, l’
Amour
lui ordonne de le suivre. Guidé par ce dieu et éc
ge, et celui-ci le supplie de le passer à l’autre bord. Inspiré par l’
Amour
, il tourbe sa Lyre divine. Ses chants tendres et
ce à l’horreur que lui fait éprouver la vue des tristes lieux, où son
amour
l’a conduit. D’un coté, il ne voit que des antres
riminelles. La terreur glace ses sens, et l’arrête ; mais animé par l’
Amour
qui guide invisiblement ses pas, et par l’espoir
vue d’un mortel étonne les ombres heureuses : de jeunes amans morts d’
amour
quittent leurs berceaux de myrthe et d’amarantes
ureuses. Les accords de sa lyre retracent aux unes, les douceurs de l’
Amour
, aux autres les avantages de la gloire ; et chaqu
l’appelle et la nomme cent fois. Un enfant, et cet enfant, c’est l’
Amour
, transformé en ombre le conduit près d’un berceau
Juges des Enfers et la cour infernale l’environnent. Scène I. L’
Amour
a répandu sa douce influence. Orphée paroît et se
furies, s’élancent sur elle et l’arrachent des bras de son époux ; l’
Amour
lui prête de l’énergie et du courage : elle lutte
une légère vapeur, qui, en se dissipant insensiblement, laisse voir l’
Amour
et Euridice. La présence de ce Dieu charmant rani
e lorsqu’il s’apperçoit qu’Euridice lui est rendue par les mains de l’
Amour
; transporté de joye, il rend hommage à l’enfant
ommage à l’enfant de Cythère, et il partage sa reconnoissance entre l’
Amour
et Bacchus ; puis se retournant vers son épouse,
res s’unissent aux Bacchantes par des danses vives et voluptueuses. L’
Amour
et Bacchus prennent part à cette fête qui est l’o
anale et un grouppe général qui peint tout à la fois les charmes de l’
Amour
et les plaisirs de Bacchus. 1. Ce pas de deux
. Ce pas de deux est d’une composition aussi difficile que celui de l’
Amour
et de Psyché. La scène qui le suit offre les plus
Personnages. Pâris. Thétis. Pélée. Junon. Pallas. Vénus. L’
amour
. Les Grâces. Mercure. Les Divinités du ciel. Le
t Héroïnes. Les Jeux, les Ris et les Plaisirs. Troupe de Zéphirs et d’
Amours
. Les quatre heures du jour. La Discorde. avant
Thétis et Pélée sont devancés par un nombreux cortège ; l’Hymen et l’
Amour
conduisent les deux époux ; ils sont suivis par l
épieds et l’encens ; cette marche est fermée par la cour enjouée de l’
Amour
. Une musique céleste et majestueuse annonce l’arr
el ; l’Hymen allume son flambeau au feu vif et brillant de celui de l’
Amour
. Les Prêtresses de ce Dieu font brûler des parfum
des Zéphirs et couronne toute la colonnade ; en même tems une foule d’
amours
se grouppe sur les branches des arbres. Les Prêtr
se tomber une pomme d’or sur la quelle est écrit : à la plus belle. L’
Amour
, toujours attentif et toujours malin la ramasse ;
ativement des mains de Pallas dans celles de Junon, et des mains de l’
Amour
dans celles de sa mère. Ce Dieu fatigué et sachan
eaux et de l’air se réunissent aux Jeux, aux Ris et aux Plaisirs ; l’
Amour
, Vénus et les Graces embellissent cette fête ; Th
Vénus paroît à son tour ; elle est placée sur un superbe vaisseau ; l’
Amour
est à ses côtés ; les Graces couronnées de roses
tés ; les Graces couronnées de roses sont grouppées à ses pieds ; des
Amours
tenant des cassolettes font bruler les parfums ;
or ; les voiles sont formées de tissus d’argent ; les Zéphirs et les
Amours
dirigent la manœuvre. Les Colombes et les Cygnes
leur essence particulière, et de leurs attributs. Pendant ces jeux, l’
Amour
s’est esquivé ; il est allé chercher Pâris pour l
s éclatants une réputation brillante. Vénus lui offre sa ceinture ; l’
Amour
son arc et son carquois. Paris est ébloui par ton
Il flotte entre les richesses, la réputation et les plaisirs. Mais l’
Amour
qui veut assurer une nouvelle victoire à sa mère,
vivement ému ne voit qu’Hélène, ne palpite que pour elle ; Vénus et l’
Amour
lui en promettent la possession. Pendant cette sc
de Paris les offense et les met au désespoir. Ce Berger, blessé par l’
Amour
et séduit par Vénus refuse les trônes et les gran
de la plus cruelle vengeance et des plus grands malheurs. Vénus et l’
Amour
s’empressent à rassurer le Berger ; ils lui prome
e. Ce spectacle se termine par une fête générale ; Vénus, Paris, l’
Amour
et les Graces exécutent un pas orné de couronnes
ué sur plusieurs plans. Les Graces portent le portrait d’Hélène ; les
Amours
montent sur les mâts et les échelles de fleurs. U
le éloigne le batiment du rivage ; et c’est à Sparte que la Reine des
Amours
va conduire Paris. FIN. (1). Il y a cinquante
Guerriers. 1 Elève d’Apelles. Jeunes élèves d’Apelles, déguisés en
amours
, zéphirs, lutteurs et gladiateurs. Femmes, escla
de la beauté de son modèle, en devient amoureux. Campaspe partage son
amour
; Alexandre s’en apperçoit, fait le sacrifice de
r la réception du quel il a tout préparé. Ses élèves sont déguisés en
amours
et en zéphirs ; d’autres en lutteurs et en gladia
Cette troupe riante est ingénieusement distribuée par l’artiste ; des
amours
broyent les couleurs ; d’autres essayent leurs cr
s de Flore s’offrent pour modèles ; les Graces forment grouppe avec l’
Amour
enfant ; elles lèvent mystérieusement le voile qu
e bontés. Il examine son portrait, les Graces le lui présentent ; des
Amours
se grouppent de différentes manières, et servent,
lui présente celui de Vénus, occupée à choisir dans le carquois de l’
Amour
, la flèche, qui doit blesser Adonis. Alexandre en
chefs d’œuvres qui composent la galerie d’Apelles. Scène IV. L’
amour
qu’Apelles a conçu pour Campaspe, lui fait imagin
e. Il examine son modèle, et le place dans plusieurs attitudes ; des
Amours
cherchent à les saisir et à les dessiner ; d’autr
hent un carquois ; on la couronne de feuillage. Apelles inspiré par l’
Amour
lui présente l’arc de ce Dieu, et une de ses flèc
e et brillante offre d’instans en instans des groupes pittoresques. L’
Amour
paroît ; Diane, en voulant le fuir, se trouve dan
roît ; Diane, en voulant le fuir, se trouve dans les bras d’Adonis. L’
Amour
la blesse ; le Berger est à ses genoux ; elle se
sparoît. Il aborde Campaspe avec le trouble et l’émotion qu’inspire l’
Amour
; il la supplie de pardonner à sa lenteur et à so
e pensée le détermine à peindre Campaspe sous la forme de la mère des
amours
. Il donne ses ordres à son élève chéri, et dans l
de ce vaste tableau. Apelles pose son modèle sur un lit de fleurs. L’
Amour
derrière elle mais plus élevé couronne Vénus. A l
e ce lit, mais sur des plans inégaux en hauteur, se place une foule d’
Amours
et de Zéphirs, tenant des corbeilles, des guirlan
le Campaspe ; il trace, il efface, tous ses traits sont imparfaits. L’
Amour
a amorti ses crayons, émoussé ses pinceaux, affoi
agination, son goût et son génie l’ont abandonné pour faire place à l’
Amour
. Honteux de lui-même il brise ses crayons, il jet
fin à celui de la générosité, oublie tout à la fois sa vengeance, son
amour
et fait grace aux perfides qui ont abusé de ses b
ensuite, rire : Et se mêle de lui prédire Qu’un jour, les Mystères d’
Amour
Pourront bien lui plaire à leur tour. Par là, f
que, Se voit Endimion qui dort, Jouissant d’un tranquil Sort : Mais l’
Amour
qui veut qu’il soupire, Vient, et l’un de ses Tra
upire, Vient, et l’un de ses Traits lui tire, Et, par d’autres petits
Amours
, Lesquels volent à son secours, Ce Dieu des plais
x, Il va, soudain, à la Déesse, Inspirer la même tendresse. Six des
Amours
, en ce miment, Tout-à-fait, agréablement, Dansent
r Dame Echo, de qui la voix Lui répond qu’il faut qu’il espère, Et qu’
Amour
lui sera prospère. Enfin, viennent des Fagoteur
la vue a charmé son Cœur, Auparavant, comme insensible, Et, bref, à l’
Amour
, invincible. Afin de charmer ses douleurs, Elle
rre, Viennent devant Elle, danser. Or, pour la mieux embarrasser, L’
Amour
, en son Art, un grand Maître, Fait, encor, le Ber
, ce me semble, est la Peinture, Du Triomphe de mon Héros, Si digne d’
amour
, et de los, Sur la belle et rare Princesse Qui v
t le Chant est beaucoup chéri, Qu’on nomme Mad’moiselle Aubry. Pour l’
Amour
, c’est un petit Ange Qui vaut un excès de louange
ce clair-obscur si nécessaire a la réussite des arts. Le temple de l’
Amour
me présente une multitude de tableaux voluptueux
ournit une esquisse d’un pas de deux marqué an coin du terrible, et l’
amour
s’unissant a ces deux furies me suggère l’idée d’
r l’action que pour la décoration. L’orage éxcité par le pouvoir de l’
amour
, donnera au peintre et au machiniste la faculté d
duire par des routes différentes ; il sera guidé par le flambeau de l’
Amour
; ce Dieu applaudira malignement à la noirceur de
ation de leurs âmes : leurs coeurs percés du même trait palpiteront d’
amour
; les images de la volupté et de sa suite détermi
sentimens qui les inspirent ; une troupe d’enfans, sous la forme des
Amours
, des Zéphirs, des Jeux et des Ris composeront plu
coeur fortement ébranlé, et flottant sans cesse entre la gloire et l’
amour
ne fuira qu’à pas lents l’objet qui l’a séduit. I
a évanouie dans les bras de ses femmes ; la volupté de concert avec l’
amour
volera à son secours. Henry vivement touché du dé
as de la sagesse et de Mornay, pour courir aux pieds de son amante. L’
Amour
, et la Volupté s’efforceront de fixer ce héros, q
se terminer par le désespoir de la belle Gabrielle et les larmes de l’
Amour
: Un coup de poignard produiroit sans doute le pl
t le désespoir sont les ressorts de ce ballet, qu’elles déterminent l’
Amour
à seconder leurs projets en blessant le coeur du
écoration changeroit ; les fantômes de la volupté disparoitroient ; l’
Amour
fuiroit en entrainant avec lui la belle Gabrielle
les formes agréables des Plaisirs , de Nymphes et de Nayades . L’
Amour
. La Haine , la Fureur , la Vengeance . Espri
es de Renaud, un sourire enchanteur tel que celui que le plaisir et l’
amour
impriment sur la physionomie, suspendent le coup
cortège enchanté et voluptueux ; es jeux, les plaisirs, les graces, l’
amour
et une foule d’amans fortunés composent leur suit
on la plus vive. Les tableaux animés du plaisir effacent de son ame l’
amour
de la gloire ; ils préfére les roses aux lauriers
à quitter la gloire pour s’abandonner aux plaisirs ; les Graces et l’
Amour
entourent Ubalde ; il ne resiste que bien foiblem
sur un sopha ; les Jeux, les Plaisirs, les Nymphes, les Graces et les
Amours
s’empressent à l’envi à exécuter des danses, et à
Armide. Cette magicienne tient un miroir qui lui a été présenté par l’
Amour
; elle y admire les traits réfléchis de Renaud ;
aud. Ce n’est qu’avec douleur qu’il voit cette absence momentanée ; l’
Amour
dont il brule pour Armide est si violent, que l’i
ux pieds de Renaud, qui, vivement ébranlé et le cœur flottant entre l’
amour
et la gloire, ne résiste que foiblement aux nouve
t et obéissent à sa voix. Armide brise le carquois et les Haches de l’
Amour
; elle met en pièces son bandeau, et s’armant du
x genoux de son amante, un grand baldaquin de fleurs supporté par des
Amours
et des Zéphirs descend des deux, et couvre toute
te la scène. Dans cet instant le grouppe devient général. Une foule d’
Amours
chargés des présens de flore, et une troupe de pe
Le pas qui lui succède est formé par Renaud, Armide, les Graces et l’
Amour
. Ce morceau composé de six personnes tenant des c
née , Prince Troyen. Jarbe , Prince Maure, et Roi des Gétuliens. L’
Amour
, sous la forme d’Ascagne. Junon . Vénus .
; en vain veut elle effacer de son âme, l’image de son vainqueur ; l’
Amour
sous la forme et sous la figure du jeune Ascagne,
n âme la passion la plus vive ; et à l’aide de cette méthamorphose, l’
Amour
établit son empire dans un cœur qui jusqu’à cet i
ène II. Enée, non moins sensible que Didon, cherche la solitude. L’
Amour
le conduit dans ce bois, sacré, pour y jouir de s
rince aborde Didon avec cet embarras et cette émotion qui décèlent un
amour
extrême. La Reine le reçoit avec ce trouble et ce
ent, mutuellement le secret de leurs âmes. Enée, qui ne respire que l’
amour
, se jette aux genoux de la Reine ; il lui jure un
on n’échappent point à l’œil pénétrant du Prince Maure. On sent que l’
amour
joue dans ce pas le principal personnage, un ball
instant de la défaite de Didon et du triomphe d’Enée, Junon, Vénus, l’
Amour
et l’Hymen prennent, ensemble des moyens pour con
mpête ; Vénus promet de conduire les deux amans dans une grotte, et l’
Amour
fait serment d’y rendre Enée le plus heureux des
de son ouvrage, paroît ; elle est accompagnée par Vénus, l’Hymen et l’
Amour
. Ici, tous les sentimens qui enflamment Enée et D
sont rendus avec les pinceaux et les couleurs les moins équivoques. L’
Amour
fournit les sujets des différens tableaux ; il es
don est caractérisée par un feu brillant qui embrâse le flambeau de l’
Amour
. Dans le même moment celui de l’Hymen s’allume ;
vive et moins éteincellante ne dure qu’un instant. Junon, Vénus et l’
Amour
se retirent en s’applaudissant du succès de leur
et leurs attitudes caractérisent leur bonheur, et ne respirent que l’
Amour
et la volupté. Scène V. Jarbe, enivré d’amo
e respirent que l’Amour et la volupté. Scène V. Jarbe, enivré d’
amour
et dévoré de jalousie, court à la vengeance, cher
drement dans ses bras, Enée regarde son triomphe comme l’ouvrage de l’
Amour
, et il en abandonne toute la gloire à Didon. Il s
e Délos à des jeux propres à leur inspirer bon goût de la guerre et l’
amour
des combats ; il lui faisoit tracer tous les déto
nstruit et pour le public qui ne l’est pas. Paris est indéterminé ; l’
Amour
le presse, Vénus l’engage, Junon le sollicite, Pa
s, des triomphes, une gloire immortelle ; Vénus offre sa ceinture ; l’
Amour
ses flèches et son carquois ; cette Déessé promet
ste de cette Princesse est présenté a Paris par les Graces et par les
Amours
; frappé de la beauté noble de cette Spartiate, s
n ; les attraits touchans des Graces présentent le buste d’Helène ; l’
Amour
semble dire à Paris, regarde la, comme elle est b
tueuse du grand-père et de la grand’mère pour leurs enfans ; marque d’
amour
et de tendresse pour leur petit-fils qui étale da
re, pour conserver la liberté à sa famille. Ce combat de générosité d’
amour
paternel et d’amour filial est suspendu par l’arr
a liberté à sa famille. Ce combat de générosité d’amour paternel et d’
amour
filial est suspendu par l’arrivée du chef des Miq
le-même cette fête. Du côté opposé, la Déesse des Plaisirs entourée d’
Amours
et de Zéphirs, est accompagnée par les Jeux, les
s et les Plaisirs. Des Nymphes charmantes embellissent cette fête ; l’
Amour
et la Volupté en règlent les danses, en fixent le
es de la forêt sont ornés de festons qui supportent les trophées de l’
Amour
et de Cypris ; le son des haubois, des flûtes et
triomphe sous des baldaquins de fleurs portés par une foule de petits
Amours
; groupes voluptueux formés par les Plaisirs à l’
u Héros ; tableaux variés par les Graces ; situations embéllies par l’
Amour
; tout enfin trace ce que les Plaisirs ont de plu
, ce que la Volupté conduite par les Graces a d’attraits, et ce que l’
Amour
d’accord avec le Plaisir peut avoir de plus touch
ans ceux de la Gloire. La Déesse des Plaisirs fuit, avec sa troupe. L’
Amour
piqué promet qu’il s’en vengera un jour. Hercule
variées, des situations et des tableaux agréables ; le sentiment et l’
Amour
doivent les dessiner ; les graces ingénues doiven
es sortes de ballets et porterie caractère du plaisir délicat et de l’
Amour
sans art. Je vais essayer de crayonner ici une sc
sayer de crayonner ici une scène de ce genre, telle que je la sens. L’
Amour
, avant de quitter l’heureux séjour de l’Arcadie e
uel sont perchées deux tendres tourterelles, image la plus belle de l’
amour
et de la fidélité ; puis détournant les yeux, ell
e vient de lui offrir, est sans doute moins fière, moins farouche ; l’
amour
presse le berger ; il l’entraîne vers sa bergère
e à Philis le fait fuir ; il court et va se cacher dans un bosquet. L’
Amour
s’appercevant qu’il lui faudroit trop de tems pou
ivers qui remplissent son âme, ne voit et n’entend rien ; vainement l’
Amour
frappe du pied, tousse et soupire : plongée dans
nner un nouvel être.Elle se retourne en soupirant et elle apperçoit l’
Amour
; dans sa surprise, elle hésite, et ne sait si el
un sentiment qui lui est inconnu ; elle ne vent plus enfin quitter l’
Amour
, et la crainte qu’elle a qu’il ne lui échappe, lu
naître l’idée de lui couper les ailes. A l’aspect du fer dangereux l’
Amour
frémit ; il tombe en pleurant aux genoux de Phili
er d’un ornement qui lui est cher. Philis touchée par les larmes de l’
Amour
ne peut résister à ses prières ; ses ailes sont c
conservées ; mais par un caprice nouveau elle en arrache une plume. l’
Amour
jette un cri, et Philis, après s’être orné le sei
isse en jouant avec lui et en lui prodiguant d’innocentes caresses. L’
Amour
, pour se venger du mal que Philis vient de lui fa
Philis jette un cri, pousse un soupir, se plaint de la noirceur de l’
amour
, elle enveloppe son doigt du coin de son tablier,
de son tablier, en gémissant et en laissant couler quelques larmes. L’
Amour
appéle Daphnis qui d’un coup d’aile est transport
bras mal assuré avec la fierté de l’innocence ; Daphnis enhardi par l’
Amour
, ne se rebute point ; Philis cède, sa fierté se c
omplaisance sur le berger dont les charmes lui paroissent nouveaux. L’
Amour
qui est allé chercher les Graces pour les rendre
l’autre ce sentiment délicieux qui n’est vivement senti que lorsque l’
amour
règne sur le coeur de concert avec les graces etc
ées du vainqueur de guirlandes de laurier et de branches d’olivier, l’
amour
, les jeux et les plaisirs formeront des couronnes
et choquante, si, pour caractériser la bienveillance d’un Prince, son
amour
pour les arts, ses soins à faire fleurir le comme
nne Archiducale ; ce couple heureux étoit devancé par la renommée ; l’
amour
et l’hymen les enchainoient avec des fleurs, et l
u’elle lui promettoit son cœur et samain ; le héros hésitoit, mais on
amour
triompha de ses scrupules, et il promit à Bradama
à cette fête noble et peignoient dans un pas de deux en action, leur
amour
et leur félicité. Cette fête préparatoire de l’un
ite de la Princesse, à qui on voulait plaire. Au lever de la toile, l’
Amour
parut et déchira son bandeau. Libre alors de la c
lui fut aisé de choisir la plus agréable. Junon entend les vœux de l’
Amour
, et les remplit. Iris vole par ses ordres dans le
s ordres dans les Airs ; elle y étale les couleurs les plus vives : l’
Amour
frappé de ce brillant spectacle, après en avoir j
e et la plus parfaite. Il veut qu’à l’avenir, il soit le symbole de l’
Amour
sans fin. Il ordonne que toutes les campagnes en
il dansa avec tous les Seigneurs & Dames de la Cour, au Balet des
Amours
d’Hercule : le Cardinal Mazarin fit venir exprès
nise. Le Roi en 1664 fit encore faire un Balet, dont le sujet fut les
Amours
déguisez, par rapport à ses nouvelles amours : il
t, dont le sujet fut les Amours déguisez, par rapport à ses nouvelles
amours
: il fut représenté au Louvre ; le Roi y dansa en
de parvenir. Balet des Néréïdes, représenté dans l’eau. Le triomphe d’
amour
sur la guerre. Le mariage forcé. Balet comique de
Plaisirs troublez, Mascarade donnée au Roi par M. le Duc de Guise. L’
Amour
malade, Balet du Roi dansé par Sa Majesté. Balet
dansé par le Roi. Balet d’Hercule, dansé au mariage du Roi. Balet des
Amours
déguisez, dansé par le Roi. Balet de Flore, dansé
t de Flore, dansé par le Roi. Pomone. Les peines & les plaisirs d’
amour
. Les Fêtes de l’Amour & de Bacchus. Cadmus.
le Roi. Pomone. Les peines & les plaisirs d’amour. Les Fêtes de l’
Amour
& de Bacchus. Cadmus. Alceste. Thésée. Le Ca
Balet. Atis. Isis. Psichée. Bellérophon. Proserpine. Le triomphe de l’
Amour
. Persée. Phaéton. Amadis de Gaules. Roland. L’Idi
don. Médée. Céphal & Procris. Circée. Téagene & Cariclée. Les
Amours
de Momus. Balet des Saisons. La Toison d’or, Jaso
-Catherine de Médicis, & le régne de Henri III. Mais le Balet des
amours
d’Hercule se trouva si beau, que Louis XIV. y dan
en 1654, en faveur de la prospérité des armes de la France. Celui des
amours
déguisez, qu’on appela par excellence le grand Ba
: ces trois Divinitez se chargerent de la conduite des intrigues des
amours
déguisez. Le premier acte représenta d’abord la g
ier acte représenta d’abord la grotte de Vulcain, d’où sortirent huit
Amours
si bien déguisez en Forgerons, qu’on ne les pouvo
avec tant de vitesse, n’étoient pas des Rameurs ordinaires, mais des
Amours
déguisez. Après cette entrée des Amours Rameurs,
Rameurs ordinaires, mais des Amours déguisez. Après cette entrée des
Amours
Rameurs, Venus fit encore paroître aux yeux de Me
aroître aux yeux de Mercure, les jardins de Cérès, & une troupe d’
Amours
, qui pour livrer plus aisément Proserpine à la pa
t fait sortir d’un château soigneusement fermé par sa mere : d’autres
Amours
, qui pour le même dessein avoient pris la ressemb
rder tout le respect du aux beautez de Proserpine, avoit emprunté six
Amours
qu’elle avoit fait vétir de sa livrée, pour favor
ment. Aussi-tôt après, dans l’avenue du Palais enchanté d’Armide, des
Amours
déguisez en Bergers, tâcherent par leurs chants,
ui le sont venus délivrer de cette agréable prison. Une autre bande d’
amours
, sous l’habit des Nymphes de Flore, se présentent
ur, de honte & de désespoir, se plaint & s’emporte contre les
Amours
qui l’ont si mal servie, & les chasse de son
n Palais enchanté, qu’elle détruit en un moment. Une troupe de petits
Amours
effrayez d’un accident si surprenant, sortent ave
vous, flots impétueux ; Vents, devenez respectueux : La mere des
Amours
sort de mon vaste Empire : THÉTIS. Voyez comm
posé pour feue Madame, ne consistoit qu’en une douzaine d’Entrées des
Amours
, de Jupiter, d’Apollon & de Bacchus, de Sacri
hommage, Grand Roy, de sa fertilité, Puisqu’ici loge la beauté, Et l’
amour
l’honneur de notre âge ; Il vient chercher la Vér
alet, le rendit d’une agréable représentation. L’Auteur feignit que l’
Amour
qui a toujours un bandeau sur les yeux, s’ennuyan
us. Junon qui est la Déesse de l’air, pour satisfaire les désirs de l’
Amour
, envoie Iris sa messagere étaler dans l’air ces c
sa messagere étaler dans l’air ces couleurs par plusieurs bandes : l’
Amour
, après les avoir considérées, choisit le gris de
la plus belle & la plus parfaite, & veut qu’elle signifie un
amour
sans fin, faisant de cette couleur la devise de c
signifie un amour sans fin, faisant de cette couleur la devise de cet
amour
constant & persévérant : il ordonne en même t
e dans le monde les ornemens des habits ; desorte que les ordres de l’
Amour
donnerent occasion à plusieurs Entrées, qui firen
admire en riant comme ma solution est de nature à satisfaire tous les
amours
propres. Les gens de bon sens diront qu’il est bi
ue prend fin, que le rêve de la poésie commence. Faut-il l’avouer ? L’
amour
, tel que l’homme l’a conçu, le cœur, la charité,
qu’au solitaire. La musique seule fait l’assemblée. Infini ou absolu,
Amour
enfin, Dieu sensible au cœur, voilà ce que l’art
ins. Elle lui a brodé une échappe, et elle se flatte que ce gage de l’
amour
, le rendra invulnérable ; elle charge Julie de po
Julie de porter à Curiace ses vœux, sa tendresse et ce tribut de son
amour
. Julie se dispose à remplir cet ordre lorsque Cur
les plus tendres adieux. Camille peint dans cette scène tout ce que l’
amour
, en opposition avec le devoir, peut exprimer ; so
; son cœur combattu par la tendresse qu’elle doit à ses frères, par l’
amour
qu’elle doit à son père et à sa patrie, par l’hon
nt la vie lui est si précieuse. Coriace enchanté regarde ce gage de l’
amour
, comme le présage heureux de sa victoire ; il tom
dire peut-être un éternel adieu. Ce moment est cruel pour Camille, l’
Amour
se taît, la nature parle ; la voix du sang et cel
. Le vieil Horace court à ses fils. Guidé par l’honneur, embrasé de l’
amour
de la patrie, il les conjure d’en être les défens
riomphe qui lui enlève son amant, se livre sans ménagement à ce que l’
amour
au désespoir peut inspirer de barbare ; elle insu
plus tendres adieux ; il part ; mais se rappellant tout-à-coup que l’
amour
de la patrie l’a entraîné au parricide, il s’élan
il a remportés. Il attend son jugement avec la fermeté d’un Romain. L’
amour
de la patrie ne ferme cependant pas son ame à la
et de l’y rejoindre, ou d’obtenir sa grace, et l’invite, par ce que l’
amour
a de plus tendre et de plus persuasif, de profite
Tullus lui envoyé, et qu’il doit autant à l’estime de son Roi qu’à l’
amour
du peuple. Il se précipite dans les bras de Procu
otre réputation et à notre subsistance : mais je ne l’aime point d’un
amour
effréné ; je ne dirai pas dans l’effervescence d’
sonne qui doit être immolée aux mânes de Lybas. L’Ombre de Lybas. L’
Amour
. L’Hymen . L’Amitié . Esclaves , qu’Euthyme
t nuptial. Il aborde Eucharis en tremblant. Celle-ci aussi pénétrée d’
amour
que de reconnoissance, vole à lui. Elle lui expri
t le couronner de ses propres mains. C’est envain qu’il se défend ; l’
amour
d’Eucharis, et l’amitié de ses compagnes l’engage
e des immortels. Un nuage doré, parsemé de fleurs et supporté par des
Amours
et des Zéphyrs, descend des cieux. Il s’entr’ouvr
hyrs, descend des cieux. Il s’entr’ouvre et l’on apperçoit l’hymen, l’
amour
et l’amitié : ces divinités bienfaisantes unissen
thyme à Eucharis. L’amitié allume le flambeau de l’hymen à celui de l’
amour
; ils enchaînent ces amans avec des Heurs. Le peu
on libérateur. Deux personnes de l’un et l’autre sexe s’attachent à l’
amour
; deux autres se livrent à l’hymen, et deux autre
nui, des dégoûts et cherchent à s’éviter. Ceux qui se sont livrés à l’
amour
, ne sont pas long-tems sans être tourmentés par l
coup plus modeste, Quoi qu’elle égale en ses Atours, Cette Déesse des
Amours
, Contre Psiché, moult irritée, De voir sa Beauté
voici les noms :154 Et deux petits Gars, fort mignons, En qualité d’
Amours
d’élite, Sont pareillement, à sa Suite.155 Son F
hire fort goguenard, Et qui, d’aimer, sait, très-bien, l’Art Aide à l’
Amour
: et c’est, pour rire, Molière, qui fait ce Zéph
Divinement, son rôle joue. Deux Princes sont de ses Amants, Outre l’
Amour
, des plus charmants, Et les Sieurs Hubert, et la
out céleste, Et vaut que la Ville, et la Cour, Aille admirer ce jeune
Amour
. J’en voudrais dire davantage, Mais déjà, trop
par la noblesse il fut, ce qu’il devoit être, l’école de l’héroïsme.
Amour
de la patrie, dévouement pour son Roi, religion,
ade de chevalier. Si les jeux institués dans la Grèce firent germer l’
amour
de la gloire et de la patrie ; si l’espérance d’u
ymond. Alphonse les surprend dans le moment, où ils se déclarent leur
amour
. Ce chevalier, violent et emporte, se livre sans
e dans son cœur les loix austères de la vertu avec les égaremens de l’
Amour
; elle veut reprendre sa lettre ; mais Raymond, a
ec empressement, et se précipite à ses genoux, pour lui témoigner son
amour
et sa reconnoissance. Scène III. Alphonse p
et guerrières. Le nouveau chevalier, animé par la gloire, armé par l’
Amour
, impatient, de venger Adèle et son père, part ave
e à des danses ; et cette fête qui est le triomphe de la beauté, de l’
amour
et de la valeur, se termine par un pas général, q
; et je commence par celui de la toilette de Venus, ou des ruses de l’
Amour
, ballet heroï-pantomime. Le théatre représente un
ce qui peut servir à sa parure ; les Graces arrangent ses cheveux ; l’
Amour
lace un de ses brodequins ; de jeunes Nymphes son
nes à composer des guirlandes, les autres à arranger un casque pour l’
amour
; celles-ci à placer des fleurs sur l’habit et su
x-là la boité à mouches, le bouquet, le collier, les bracelets etc. L’
Amour
, dans une attitude élégante, se saisit du Miroir,
mouvemens, ses attitudes, ses regards, sont l’image des plaisirs de l’
amour
même. Les Nymphes vivement émues s’efforcent de l
, et de saisir toutes les nuances qu’elle employe pour les séduire. L’
Amour
témoin de l’impression, profite de l’instant ; il
la plus vive et la plus variée. Celle qui la suit, lie l’intrigue. L’
Amour
paroît seul ; d’un geste et d’un regard il anime
ce qui y règne, les glacent d’effroi. Elles reculent en tremblant ; l’
Amour
aussitôt les rassure, il les invite à le suivre ;
pour leur porter le dernier coup. Lorsque six Nymphes conduites par l’
Amour
les arrêtent, et leur présentent une couronne de
ur la terre. Vénus et les Graces touchées de leurs peines, engagent l’
Amour
à leur être propice : ce Dieu voltige autour d’eu
ouronnes de fleurs dont ils se glorifioient ; mais par un charme de l’
Amour
ces couronnes se partagent en deux : cet évenneme
les Nymphes présentent la main à ceux qui viennent de succomber, et l’
Amour
unit enfin les Nymphes aux Faunes. Là, le ballet
iques de l’art se déploient sur une grande chaconne, dans la quelle l’
Amour
, Vénus, les Graces, les Jeux et les Plaisirs dans
ent de l’action ; mais j’ai saisi l’instant où Vénus ayant enchainé l’
Amour
avec des fleurs, le mène en lesse pour l’empêcher
r les bienséances et ne pas rendre trop sensibles les remarques que l’
Amour
fait faire à sa mère sur cette disparition, je fa
ée du Sultan, ce changement subit, cette opposition de sentimens, cet
amour
que toutes les femmes témoignent pour elles-mêmes
amp; je commence par celui de la Toilette de Vénus, ou des Ruses de l’
Amour
, Ballet héroï-pantomime. Le Théatre représente un
ce qui peut servir à sa parure ; les Graces arrangent ses cheveux ; l’
Amour
lace un de ses brodequins ; de jeunes Nymphes son
nes à composer des guirlandes, les autres à arranger un casque pour l’
Amour
; celles-ci à placer des fleurs sur l’habit &
la boîte à mouches, le bouquet, le collier, les brasselets, &c. L’
Amour
dans une attitude élégante se saisit du miroir &a
mouvements, ses attitudes, ses regards sont l’image des plaisirs de l’
Amour
même. Les Nymphes vivement émues s’efforcent de l
amp; de saisir toutes les nuances qu’elle emploie pour les séduire. L’
amour
témoin de l’impression profite de l’instant ; il
plus vive & la plus variée. Celle qui la suit, lie l’intrigue. L’
Amour
paroît seul ; d’un geste & d’un regard il ani
ence qui y regne les glacent d’effroi. Elles reculent en tremblant, l’
Amour
aussitôt les rassure, il les invite à le suivre ;
pour leur porter le dernier coup, lorsque six Nymphes conduites par l’
Amour
les arrêtent & leur présentent une couronne d
la terre. Vénus & les Graces touchées de leurs peines engagent l’
Amour
à leur être propice ; ce Dieu voltige autour d’eu
ouronnes de fleurs dont ils se glorifioient ; mais par un charme de l’
Amour
ces couronnes se partagent en deux : cet événemen
Nymphes présentent la main à ceux qui viennent de succomber, & l’
Amour
unit enfin les Nymphes aux Faunes. Là le Ballet S
niques de l’Art se déploient sur une grande Chaconne, dans laquelle l’
Amour
, Vénus, les Graces, les jeux, & les plaisirs
ment de l’action, mais j’ai saisi l’instant où Vénus ayant enchaîné l’
Amour
avec des fleurs, le mene en laisse pour l’empêche
s bienséances, & ne pas rendre trop sensibles les remarques que l’
Amour
fait faire à sa mere sur cette disparition, je fa
e du Sultan, ce changement subit, cette opposition de sentiments, cet
amour
que toutes les femmes témoignent pour elles-mêmes
n Mignature85 Et comme dans leur plus beau jour, Et la Jalousie et l’
Amour
. Ce Sicilien, que Molière Représente d’une mani
stratagème Pour voir ce rare Objet qu’il aime (Car, comme on sait, l’
Amour
est fin), Fait si bien qu’il l’enlève enfin, Par
ne Belle, de connaissance. Ce Ballet des mieux composés, S’intitule
Amours
Déguisés. Après la première Musique Qui fut tou
, En Vers par elles récités, Prétendent donner la victoire, L’une à l’
Amour
, l’autre à la Gloire : Pallas, avec son sage Espr
oux charmes À qui tant de cœurs font la cour, Ne parla qu’en faveur d’
Amour
, Chacune dans leurs contreverses, Alléguant des r
ez charmant brille, Et mieux que ses riches atours, Était la Mère des
Amours
, Dont tous trois de l’honneur acquirent, Et firen
a Comtesse, Un des beaux Esprits de la Cour, Digne d’honneur, digne d’
amour
, Et (ce qui vaut mieux qu’on Domaine) Surintendan
atte de savoir. Le Ballet dont je vais vous entretenir a pour titre l’
Amour
Corsaire, ou l’Embarquement pour Cythere. La Scen
eaux ; un vaisseau richement orné paroît sur la Mer.12 Il aborde ; l’
Amour
fait jetter l’ancre ; il descend de son bord ; le
ogyniens reviennent de l’extase & de l’immobilité dans laquelle l’
Amour
les avoit plongés. Un de ses regards rappelle à l
& leur fureur contre lui, mais que peuvent les mortels, lorsque l’
Amour
commande ? un seul de ses regards suspend tous le
, & un baldaquin artistement enrichi & porté par un grouppe d’
Amours
descend des cieux ; les extrêmités en sont souten
nité renversée & de leur culte profané entrent en fureur ; mais l’
Amour
ne leur permet de faire éclater leur colere que p
s & des regards pleins de tendresse & de volupté. Cependant l’
Amour
ordonne à celles-ci de combattre & de vaincre
cordent leur grace en les enchaînant avec des guirlandes de fleurs. L’
Amour
satisfait unit Clairville à Constance, les Misogy
l’ouverture de ce Ballet, les Nymphes menent en laisse les vaincus, l’
Amour
ordonne des fêtes & le divertissement général
ie de Fernand. Le François toujours pétulant & plus occupé de son
amour
que des inquiétudes d’Inès, se jette à ses genoux
; il prend sa compassion pour de la tendresse, ses craintes pour de l’
amour
; excité par les images que la jalousie porte dan
autre siege. Les deux amants offrent l’image du désespoir & de l’
amour
en courroux. Leurs yeux se cherchent & s’évit
ttre de son sein ; Fernand l’imite ; chacun y lit les sentiments de l’
amour
le plus tendre, mais tous deux se croyant trompés
x se croyant trompés, déchirent avec dépit ces premiers gages de leur
amour
. Egalement piqués de ces marques de mépris, ils r
ne à Béatrix sa reconnoissance, mais comme rien ne ressemble plus à l’
amour
que l’amitié, Inès qui le surprend tandis qu’il b
sente trois Tableaux à la fois ; c’est l’amitié, la tendresse & l’
amour
que l’on veut désunir, ce sont des liens tissus p
ont le cœur est susceptible de sentiment & de délicatesse. 12. L’
Amour
sous la forme d’un Corsaire le commande ; les Jeu
e de la poitrine, des bras & des jambes étoit couleur de chair. L’
Amour
n’étoit reconnu que par ses ailes, & étoit vê
etraçait tous les ans dans les Fêtes Hyménées, qu’un trait héroïque d’
amour
avait fait instituer. Un jeune homme d’Athènes d’
deste, ses traits animés, et peut-être l’air tendre que lui donnait l’
amour
, le firent recevoir sans examen et sans obstacle.
ite après avoir pourvu aux besoins et à la sûreté de ce qu’il aime. L’
Amour
à qui il devait le courage qu’il venait de faire
. J’en atteste les Dieux qui vous les ont conservées. J’en jure par l’
Amour
qui m’a inspiré assez de courage pour les sauver.
atte de savoir. Le ballet dont je vais vous entretenir a pour titre l’
Amour
Corsaire, ou l’Embarquement pour Cythère. La scèn
s eaux ; un vaisseau richement orné paroit sur la mer2. Il aborde ; l’
Amour
fait jetter l’ancre, il descend de son bord ; les
ogyniens reviennent de l’extase et de l’immobilité dans les quelles l’
Amour
les avoit plongés. Un de ses regards rappelle à l
e et leur fureur contre lui ; mais que peuvent les mortels, lorsque l’
Amour
commande ? un seul de ses regards suspend tous le
autel, et un baldaquin artistement enrichi, et porté par un groupe d’
Amours
, descend des cieux. Les extrémités en sont souten
ivinité renversée et de leur culte profané entrent en fureur ; mais l’
Amour
ne leur permet de faire éclater leur colère que p
graces et des regards pleins de tendresse et de volupté. Cependant l’
Amour
ordonne à celles-ci de combattre et de vaincre ce
cordent leur grâce en les enchainant avec des guirlandes de fleurs. L’
Amour
satisfait unit Clairville à Constance, les Misogy
’ouverture de ce ballet ; les Nymphes mènent en lesse les vaincus ; l’
Amour
ordonne des fêtes, et le divertissement général c
usie de Fernand. Le François toujours pétulant, et plus occupé de son
amour
que des inquiétudes d’Inès, se jette à ses genoux
; il prend sa compassion pour de la tendresse, ses craintes pour de l’
amour
: excité par les images que la jalousie porte dan
r un autre siège. Les deux amans offrent l’image du désespoir et de l’
amour
en courroux. Leurs yeux se cherchent et s’évitent
lettre de son sein, Fernand l’imite ; chacun y lit les sentimens de l’
amour
le plus tendre ; mais tous deux se croyant trompé
x se croyant trompés, déchirent avec dépit ces premiers gages de leur
amour
, également piqués de ces marques de mépris, ils r
e à Béatrix sa reconnoissance ; mais comme rien ne ressemble plus à l’
amour
que l’amitié, Inès qui le surprend tandis qu’il b
ux dont le cœur est susceptible de sentiment et de délicatesse. 2. L’
Amour
sous la forme d’un corsaire, le commande ; les je
artie de la poitrine des bras et des jambes étoit couleur de chair. L’
Amour
n’étoit reconnu que par ses ailes, et étoit vêtu
ieux soldat et le marquis. — C’est mon père naturel ! — Les jeux de l’
amour
et du hasard. — Une fine mouche. — Papa et galant
t pas eu — comme mademoiselle Emma Livry — le privilège de naître des
amours
d’une rose de l’Opéra et d’un papillon du Jockey-
d’un ancien soldat. Elle et le marquis de X…, un abonné s’aimaient d’
amour
tendre. Un soir, Mlle F. S… ne rentra pas, pour l
de M. de Z…, des Ganaches : — C’est mon père naturel. Les jeux de l’
amour
et du hasard ont été même, plus d’une fois, habil
du petit banc et de la location. A deux ans et demi, elles ont fait l’
Amour
dans une féerie. Plus tard, elles continuent.
sont livrés au sommeil : cela ne doit-il pas exclure toute suite ? L’
amour
seul pourroit être de la partie ; mais des paysan
y jouoient le personnage de la chasteté ; elles vouloient massacrer l’
Amour
et le Berger ; mais Diane, moins vertueuse qu’ell
sion, s’opposoit à leur fureur, et voloit au devant de leurs coups. L’
Amour
, pour les punir de cet excès de vertu, les rendoi
fié à l’effet, et que la scène des fléches en l’air prêtes à percer l’
Amour
, l’avoit séduit ; mais cette scène étoit déplacée
i se passoit en sa faveur, paroissoit moins tendre qu’indifférent : L’
Amour
n’étoit qu’un enfant craintif, que le bruit intim
sans embarras l’histoire d’un prince dont la mémoire est gravée par l’
amour
et la reconnoissance, dans le cœur de tous les fr
sont livrés au sommeil ; cela ne doit-il pas exclure toute suite ? L’
amour
seul pouvoit être de la partie ; mais des Paysans
y jouoient le personnage de la chasteté ; elles vouloient massacrer l’
Amour
& le Berger ; mais Diane, moins vertueuse qu’
, s’opposoit à leur fureur, & voloit au-devant de leurs coups : l’
Amour
pour les punir de cet excès de vertu les rendoit
à l’effet, & que la Scene des fleches en l’air, prêtes à percer l’
Amour
, l’avoit séduit ; mais cette Scene étoit déplacée
i se passoit en sa faveur, paroissoit moins tendre qu’indifférent ; l’
Amour
n’étoit qu’un enfant craintif, que le bruit intim
sans embarras l’Histoire d’un Prince dont la mémoire est gravée par l’
amour
& la reconnaissance dans le cœur de tous les
elles plus piquantes. Les Danses de Bacchus devinrent les Danses de l’
Amour
, et successivement les danses de l’Amour furent l
us devinrent les Danses de l’Amour, et successivement les danses de l’
Amour
furent le tableau de la plus effrénée licence. Le
e Cadmus ; mais il jette au milieu d’eux une manière de grenade que l’
Amour
lui a apportée, qui se brise en plusieurs éclats,
e Lecteur me permette de lui rappeler la marche théâtrale d’Armide. L’
amour
le plus tendre déguisé sous les traits du plus vi
er coup de pinceau qui nous frappe dans cette belle composition. Si l’
amour
l’emporte sur la gloire, sur le dépit, sur les pl
ous faire connaître immense) pour soutenir les intérêts d’un si grand
amour
! Dans le premier Acte, le cœur d’Armide est le j
elle vole à la vengeance : le fer brille, elle est prête à frapper. L’
amour
l’arrête, et il triomphe. L’Amante et l’Amant son
lle avait cru suivre, et qui ne servait cependant que de prétexte à l’
amour
. Les efforts redoublés de cette Divinité barbare
ente un Superbe sallon du palais d’Hercule. Déjanire qui a remarqué l’
amour
d’Hilias et qui a cru découvrir qu’Jolé n’y étoit
r ; en vain cherche-t-il à détruire ses soupçons et à la calmer : son
amour
plus fort que son désaveu, le trahit à chaque ins
ntre une colonne, pénétré tout à la fois de jalousie, de remords et d’
amour
. Scène V. Philoclète reparoît ; il rappelle
es reproches dont son ami l’accable ; il lui jure qu’il renonce à son
amour
, qu’il va rendre son cœur à Déjanire, et qu’il va
cène VI. Ces deux amans paroissent : Hercule frémit à leur vue ; l’
amour
et la jalousie triomphent de sa résolution. Philo
hant, qui pourroit de nouveau le faire succomber sous le pouvoir de l’
amour
, et amollir dans son ame les sentimens de gloire
les différens. 194. 23. l’émutation, lisés : l’émulation. 218. 6. son
amour
là conduit, lisés : son amour l’a conduit. id. 15
ation, lisés : l’émulation. 218. 6. son amour là conduit, lisés : son
amour
l’a conduit. id. 15. l’ébranle, lisés : l’ébranle
âgé alors de soixante-cinq ans, couronnait par un merveilleux roman d’
amour
une vie de travail et de plaisir. Ce n’était pas
s’enhardit auprès de la comtesse Eléonore Fuchs ; il lui confessa son
amour
dans une lettre qui est un chef-d’œuvre de pruden
-même, puisque tu as compris depuis longtemps combien est immense mon
amour
pour toi. Les petits cadeaux que je t’envoie ci-j
e tous les biens de la terre l’amitié par laquelle tu récompenses mon
amour
. Tu sais combien je suis enclin aux pensées mélan
spondance : c’est la sécurité parfaite avec laquelle Gentz jouit de l’
amour
de Fanny. Nous sommes surpris de l’entendre dire
; il la sait sans duplicité, sans vice. Il lui a donné la preuve d’un
amour
extraordinaire, fondé sur l’estime autant que sur
o dans toutes les profondeurs de mon cœur. Adieu, toi que j’aime d’un
amour
inexprimable ; je ne veux point, par mes larmes a
re de tristesse ; je veux vivre, de même que toi tu vis, et, avec mon
amour
, braver tous les coups du destin, la mort même. M
c’est pour quelques jours seulement, quelques jours, c’est trop. « L’
amour
fera le compte de son temps par heures et non par
mie s’éloignât, il montrait combien profond et désintéressé était son
amour
pour elle. Le souci de son avenir d’artiste exige
ers conquis au dehors. Le voyage à Berlin offrait des avantages que l’
amour
de Gentz ne pouvait remplacer. Il n’avait pas de
mps que le goût du monde, que le culte de la beauté féminine et que l’
amour
, Fanny a réveillé en lui le goût de la poésie. Il
i et qu’il ait dit à la confidente, à l’indulgente protectrice de ses
amours
: « Il n’y a pas deux amies comme vous au monde !
a bonne explication. C’est uniquement par la puissance magique de mon
amour
que je l’ai conquise. Lorsqu’elle a fait ma conna
ce, elle ne savait pas, elle ne soupçonnait pas qu’il y eût un pareil
amour
, et cent fois elle m’a avoué que par la manière d
me suis comporté avec elle et, dans la suite, par la révélation d’un
amour
ni fréquent, ni vulgaire, qu’elle n’aurait jamais
inspirer un sentiment flottant entre l’amitié, la reconnaissance et l’
amour
, et j’ai véritablement réussi (car l’homme réussi
eau parleur. Son assurance se fonde uniquement sur les mérites de son
amour
dont la profondeur et le désintéressement ont plu
! Si vous saviez combien je l’idolâtre ! Sans doute vous connaissez l’
amour
comme peu de personnes. Mais néanmoins vous serie
fille, et à certains égards elle l’est. Par suite vous tolérerez mon
amour
pour elle avec un peu plus d’indulgence encore qu
le monde s’écroulait, de ses débris s’élèveraient les flammes de mon
amour
. « Et lorsque je t’aurai aimée jusqu’à l’heure de
de ma mort, j’emporterai dans la tombe éternelle la grande blessure d’
amour
. « Voilà, chère Fanny, ma vraie profession de foi
un lien magique qui existe. Ce dont nous vivons, c’est plus que de l’
amour
. Tu as été créée pour moi, et tu le sens. Si la d
ets de l’année précédente où Gentz traitait de fredaines ses tardives
amours
! Celles-ci sont maintenant quelque chose de sacr
mé l’accès des plus hauts postes. Or, maintenant son grave et profond
amour
pour Fanny le faisait incliner vers une résolutio
r pour épouser Huon de Bordeaux, dit ceci : « Changer de religion par
amour
est un peu profane ; mais le christianisme est te
le qu’il trouvât la pensée, la conversion intérieure par l’effet de l’
amour
ne lui suffisait point. Il songeait à la cérémoni
ncore une fois Gentz se résigna ; il donna une nouvelle preuve de son
amour
en laissant à celle qu’il aimait une entière libe
à celle d’une héroïne de Gœthe, de Claire, la fille du peuple, dont l’
amour
est exalté par l’orgueil, lorsqu’elle voit devant
sentiment complexe, « flottant entre l’amitié, la reconnaissance et l’
amour
», comme disait Gentz à Rahel. Laissons la parole
e. Ce rival ne fut autre que le duc de Reichstadt. *** La légende des
amours
du fils de Napoléon et de Fanny Elssler se répand
mémoire. Ces tableaux animés excitaient dans l’âme de Clytemnestre l’
amour
de la gloire, éloignaient d’elle l’esprit d’intri
s, les soins, ni les soupirs d’Égisthe. Ce Prince éclairé enfin par l’
amour
, pénétra quel était l’obstacle qui s’opposait à s
de Pélias ; il jouissoit paisiblement des douceurs de son union, de l’
amour
de son peuple, de la tendresse de ses enfans et d
rre frappe la terre : elle sentrouvre et offre une route à Hercule. L’
Amour
paroît avec son flambeau pour le guider et éclair
lles se disposent à obéir, la terre s’en-trouvre ; on voit Hercule, l’
Amour
et l’Hymen grouppés à l’entour d’Alceste qui est
et se jette dans ses bras : l’Hymen rallume son flambeau à celui de l’
Amour
; Admète et Alceste se prosternent aux pieds de c
Admète et Alceste se prosternent, et lui expriment leur gratitude. L’
Amour
a appelé les Jeux, les Ris, les Plaisirs et la Co
s ce beau Poème, ou Ballet ; Lequel Poème s’intitule En Français, Les
Amours
d’Hercule, Et dans sa naturalité Se nomme Ercole
là, Chacun approuvant fort cela. Monsieur le Duc, son cher Ouvrage, D’
Amour
, y fait le Personnage. Monsieur de Guise, Jupiter
par leurs visages, Mesdemoiselles de Nemours, Dignes des plus nobles
amours
. L’incomparable de Luynes, Dont les beautés, qu
de nouveaux dans les Annales moins anciennes d’Athènes. Tels sont les
amours
d’Athamas et de Laodice, de Démophon et de Phylli
Hypsipyle, le serpent qui dévora le jeune Archémore, la prison et les
amours
de Danaé, la naissance de Persée, son combat cont
te de Lacédémone, et c’est là que le fond le plus riche l’attend. Les
amours
d’Hyacinthe, dont Zéphire est le rival ; le coup
d’Ulysse, sa folie supposée, son triomphe sur Ajax, ses voyages, ses
amours
; Circé, Calypso, Télégone, Éole, les Vents, et t
A lvy mesme. La cour se va mouuent aux regles de ta danse, L’
Amour
du hault des Cieux tes leue des autelz, Et Venu
rs, escortée De dix des Belles de la Cour, Qui sont autant d’Astres d’
amour
. Si tôt que les Récits cessèrent, Ces Aimables
leurs pas concertés des mieux,16 Et Jules Du Pin avec Elle, Qui de l’
Amour
portait les ailes, Finirent agréablement Ce rare
n moi dans les ténèbres de l’entendement. Nul ne m’avait dit ce que l’
amour
doit développer en nous de délicatesse et de gran
mais consolé de sa perte. Il n’a pas voulu m’éclairer. Il a cru que l’
amour
est d’autant plus grand et plus beau qu’il est un
s l’emportement de la passion longtemps contenue une sauvagerie que l’
amour
seul doit vaincre. La religion ne nous enseigne p
ser qu’en vue de la paternité et de ne point accorder à la créature l’
amour
sublime et complet que nous devons à Dieu seul. M
de mon âme, j’étais prêt à lui rendre toute la ferveur de mon premier
amour
, elle fondit en larmes ; c’est la seule fois que
lma autant qu’il était en elle. Mais elle ne savait pas les paroles d’
amour
et de foi qui apaisent et relèvent. Elle fut pour
urais probablement pas aimer mieux. On ne m’a pas appris à faire de l’
amour
un idéal et une poésie. On m’a laissé systématiqu
er frédéric de gentz Le caractère de Gentz. — Sa vie à Berlin. — Ses
amours
à Vienne. — Son activité politique. — Sa prodigal
. — Sa mort. — Nature des sentiments de Fanny pour lui. — Légende des
amours
de Fanny et du duc de Reichstadt ; les Mohicans d
de la presse. — Incompétence de Jules Janin. — Encore la légende des
amours
du duc de Reichstadt et de Fanny Elssler. — Orgue
sentimental de sa nature, qui préfère un cachemire à la déclaration d’
amour
la plus galamment troussée, et qui se nourrit, au
la porte d’un paradis sans fruit défendu : l’actrice a été le premier
amour
de tous les débutants dans la vie, et cependant,
nt cette chaste indignation de sa mère, se prendra à rêver un monde d’
amours
, de coquetteries, de chants, de parfums à faire d
plaident chaque soir devant la rampe, les actrices poussent souvent l’
amour
de la justice jusqu’à plaider à tout propos, et s
ntérêts que de leurs plaisirs, et moins jalouses de leurs plus belles
amours
que de leur moindre rôle.
ades, Les gaies et vertes Dryades, La jeune Flore et les Zéphirs, Les
Amours
, les Jeux, les Plasirs, Les Labyrinthes, la Verdu
es ; Car, en un mot, jusqu’en ce jour, Soit pour Bacchus, soit pour l’
Amour
, On n’en avait point fait de telles ; C’est comme
, Et les amoureux Dialogues, De Bergères, et de Bergers, Constants en
amour
, non légers Mais c’est tout ce que j’en puis dire
onçant la sagesse de ses loix, la douceur de son gouvernement, et son
amour
pour tout ce qui portoit le caractère imposant du
n peuple, qui attachoit une partie de sa gloire et de son bonheur à l’
amour
qu’il avoit pour les beaux arts. Les Grecs ne bor
, sa sagesse, et ses vertus héroïques, captiva pendant quarante ans l’
amour
des Athéniens ; je vois, dis-je, cet homme aussi
Il n’est pas le moins agréable ; Je souhaiterais, par ma foi, Pour l’
amour
de son jeune Roi, Que la chose fût véritable.
de mariage légitime. L’enviée et la maîtresse font deux en matière d’
amour
non autorisé. XXI Donc : Avant : manier l’i
l’indifférence, le sans façons. Pendant : faire rimer beau jour avec
amour
. Après : aimer les rousses. XXII. La rousse.
ous mettez à l’aimer, vous êtes sans excuse. Je ne connais qu’un seul
amour
qui puisse aller aux grises et aux blanches. C’es
qu’un seul amour qui puisse aller aux grises et aux blanches. C’est l’
amour
filial. Passé cela, c’est parfaitement ridicule.
te, Près de certains Messieurs de Cour, Qui pour nos Vers ont quelque
amour
. 7. Mrs Vincent et de la Barre. 8. Premier Va
t voir, sans mouiller la semelle, Comment JUPITER et SÉMÉLÉ Se font l’
amour
, sur nouveaux frais. Dans les Machines du Marais.
ue Femmes, Dont étaient plusieurs belles Dames Dignes de respect et d’
amour
, Et maints grands Seigneurs de la Cour, Seigneurs
es flambeaux de l’Hyménée. La Princesse hésite, elle balance ; mais l’
Amour
triomphe de toutes ses réflexions. Tel est l’empi
s cette ville en triomphateur. A ses côtés est le nouvel objet de son
amour
. La pompe, la magnificence Asiatique éclatent de
Dieux et Déesses. Ô Que par Elles, quelque jour, Fleurira l’empire d’
Amour
! Ô Que ces rares Créatures Causeront de vives po
ntre elles, Récréèrent bien des prunelles, Causèrent mainte émotion D’
amour
et d’admiration, Et comme elles ne sont encore Qu
vainqueur, etc. d’Hésione, est un canevas ancien. Ma bergère fuyait l’
amour
, etc. des Fêtes de l’hymen, en est un moderne ; p
ent aussi pour rappeler les malheurs de la jeune Calycé, qui mourut d’
amour
pour l’insensible Evaltus : Thespis barbouillé de
e Sapho n’étaient que des chansons vives et passionnées ; le feu de l’
amour
qui la consumait, animait son style et ses vers.
port à l’autre. Les sujets des scolies se tiraient non seulement de l’
amour
et du vin, comme aujourd’hui, mais encore de l’hi
ux, et le succès de leurs exploits annonça votre puissance. C’est par
amour
pour vous qu’Achille et Ajax allèrent dans l’empi
sse qu’on passe avec ses amis ». Quant aux scolies qui roulent sur l’
amour
et le vin, on en peut juger par les soixante et d
: mais dans ces sortes de chansons même on voyait encore briller cet
amour
de la patrie et de la liberté dont les Grecs étai
ce celle des filles ; ces deux dernières étaient aussi des chansons d’
amour
. Pour des occasions particulières, ils avaient la
ns sont de plusieurs espèces ; mais en général elles roulent ou sur l’
amour
, ou sur le vin, ou sur la satire : les chansons d
lent ou sur l’amour, ou sur le vin, ou sur la satire : les chansons d’
amour
sont les airs tendres, qu’on appelle encore airs
; la flatterie le fit servir à la louange des chefs des nations, et l’
amour
à l’expression de la tendresse. Voilà les différe
ien, sur le dessein donné, et sur la manière dont il a été exécuté. L’
amour
le plus tendre, déguisé sous les traits du dépit
uissante, est le premier tableau qui nous frappe dans cet opéra. Si l’
amour
l’emporte sur là gloire, sur le dépit, sur tous l
rt de nous faire connaître immense) pour soutenir les intérêts de son
amour
? Dans le premier acte, son cœur est le jouet tou
le vole à la vengeance, le fer brille, le bras est prêt à frapper ; l’
amour
l’arrête, et il triomphe. L’amant et l’amante son
haine qu’elle avait cru suivre, et qui ne servait que de prétexte à l’
amour
. Les efforts redoublés de cette divinité barbare
en contre-sens, qu’il irait très bien pour exprimer le portrait que l’
amour
triomphant ferait de lui-même. On ne représente i
était sa naissance mystérieuse19, les amusements de son enfance, ses
amours
avec la Déesse Isis. Ils le peignaient ensuite en
rminé par des Danses vives et gaies qui faisaient passer la joie et l’
amour
dans le cœur d’un peuple innombrable qui en avait
jets mignons et brillants, Divinités de cent Galants, Que par elles l’
Amour
régente Sont de belles Tables d’attente Pour augm
s plus véritables charmes, Sujet par qui nous sont connus Les faits d’
Amour
et de Vénus, N’est pas un Sujet véritable, Mais u
17 janvier 1666 Le commencement et le cours Et la fin des tendres
Amours
De Jupiter et de Sémelle Font d’une manière si be
de jadis, Tout rit aux sens et les enchante, Mais où pas un Serpent d’
Amour
, Dieu, comme on sait, suivant la Cour, Et qui ne
se de Savoie, à laquelle la fête était donnée. Au lever de la toile l’
Amour
déchire son bandeau ; il appelle la lumière, et l
entes, il puisse choisir la plus agréable. Junon entend les vœux de l’
Amour
, et les remplit ; Iris vole par ses ordres dans l
ordres dans les airs, elle y étale l’éclat des plus vives couleurs. L’
Amour
frappé de ce brillant spectacle, après l’avoir co
e et la plus parfaite ; il veut qu’à l’avenir il soit le symbole de l’
amour
sans fin. Il ordonne que les campagnes en ornent
1658 ; des Saisons, exécuté à Fontainebleau le 23 Juillet 1661 ; des
Amours
déguisés, en 1664, etc. Les ballets de l’ancienn
Ce fut en 1671, qu’on représenta à Paris les Fêtes de Bacchus et de l’
Amour
, cette nouveauté plût ; et en 1681, le Roi et tou
autés : mais il faut attendre la reprise des Fêtes de l’Hymen et de l’
Amour
, pour décider si ce genre est le véritable. De to
allets d’une ressource certaine ; l’Europe galante, les Eléments, les
Amours
des Dieux, et peut-être les Fêtes Grecques et Rom
mmes le génie et les qualités extérieures ; l’application, l’étude, l’
amour
de la gloire, leur avaient développé toutes les r
disparut de l’affiche. On conserva au contraire Nina ou la folle par
amour
, œuvre pathétique, tirée en 1813, par Milon et Pe
les dieux de l’Olympe y figurent : Bacchus, Flore, Zéphire, Vénus, l’
Amour
, l’Hyménée, avec plusieurs divinités bourgeoises,
Parce que Zéphire portait des ailes dans le dos, je l’ai pris pour l’
Amour
. Sans doute, je fus frappé de sa haute taille, ma
de sa haute taille, mais je me dis : Voilà vingt ans que je n’ai vu l’
Amour
; il a pu grandir depuis. Le programme m’apprenai
usique par Schneitzhœffer, exposaient, avec profusion de nymphes et d’
amours
, l’aventure de l’adultère céleste, contée par Hom
les classiques, cette démarche onduleuse et brisée, ces yeux noyés d’
amour
, ces bras morts de volupté, cette tête qui s’incl
iberté : il faut que, pendant et après votre pas, vous inspiriez de l’
amour
, et que le parterre et l’orchestre… » On lira la
Lise Noblet une liaison dont la durée inspirait un certain respect. L’
amour
de ce général ne s’éteignit qu’avec sa vie. Quand
té de se suicider. La chose était exacte. Meurtrie par des chagrins d’
amour
, Louise avait fait infuser de la monnaie de cuivr
ier. Orphée en fit l’ouverture. Il conduisait l’Hymen et une troupe d’
Amours
: les Grâces qui les suivaient entouraient la Foi
Époux, ordonna à ces Reines criminelles de disparaître. À sa voix les
Amours
dont elle était accompagnée, fondirent par une Da
res qui développèrent la pensée, firent germer le goût et croître cet
amour
du travail si nécessaire aux succès des talens et
s. Le calme bien rétabli, le goût des plaisirs, naturel à l’homme ; l’
amour
, sa première passion ; la richesse, qui appelle l
tudié les goûts variés de leurs protecteurs, dont ils connoissoient l’
amour
pour le luxe, la magnificence, et généralement po
e sais parfaitement, c’est que les premiers sujets qui avoient fixé l’
amour
et les applaudissemens du public pendant trente a
ts Vergers, fait place : Où la Déesse, aussi-tôt, vient, Et, contre l’
Amour
, s’entretient, Avec les Nymphes, qui comme elle,
isant, Elle en accepte le Présent, Et qui paressait n’aguiére, Envers
Monsieur Amour
son frère. Vertumne, d’aise transporté, Fait, l
trop d’honneur à la Henriade, de vouloir bien prendre le temple de l’
Amour
pour un de vos sujets ; vous ferez un tableau viv
fait-elle ? qu’es-tu devenue, la belle image flottante de mes rêves d’
amour
? Est-ce un rêve ? Non, ce n’est pas un rêve, la
rmantes ; ou du moins, si je n’ai pas de place dans tes domaines, mon
amour
aérien, rends-moi le foyer d’où je pouvais t’ente
, le martinet, nous annonce que l’haleine des cieux les cherche avec
amour
. Partout où ces oiseaux nichent et se voient fréq
nte amoureuse : « Où est-elle ? Qu’est-elle devenue, la fugitive ? L’
amour
que j’ai pour toi n’est pas une affection de la t
est pas une affection de la terre, et tu ne sais pas combien il y a d’
amour
hors de la vie, et combien cet amour est calme et
tu ne sais pas combien il y a d’amour hors de la vie, et combien cet
amour
est calme et pur ! » Pourtant James est inquiet,
este ; attends que revienne la Sylphide, elle reviendra ramenée par l’
amour
. En effet, la voilà, tout là-haut dans le nuage,
I Toute danse appelle l’
amour
. Tout ballet laisse un regret : l’âme un instant
la taille et la danse, Comblèrent, en ce temps de Paix, Les cœurs, d’
amour
, plus que jamais. Dans mon autre dernière Lettr
on INFANTE, MADEMOISELLE, Cette jeune Grâce si belle, Ou cet Oriental
Amour
, L’accompagnait, en même Atour, Et la GRANDE et p
ssacre de ses fils ; il veut changer les flambeaux de l’Hymen et de l’
Amour
en torches funéraires, et se servir du bras de se
s Danaïdes et des fils d’Egyptus ; un autel consacré à l’Hymen et à l’
Amour
est élevé au milieu de cet édifice ; les prêtres,
s l’aveu de leur père, que ces statues sont celles de l’Hymen et de l’
Amour
. Scène i. Danaüs devancé par deux Officiers
rouppe mystérieux qu’elles regardoient comme celui de l’Hymen et de l’
Amour
, représente la haine et la vengeance armées de po
lettre du 16 janvier 1666 […] Ensuite les deux Fiancés, Dans leurs
Amours
bien avancés, Furent avec la Parantelle Et toute
es Nymphes des eaux, la troisième. La quatrième, le Printemps, Avec l’
amour
et les doux vents. Le ROI terminant la dernière,
îtres de Musique, et ils concertèrent ensemble une espèce d’Opéra des
amours
d’Apollon et de Daphné qui fut représenté dans la
ovanelli] Teofilo, et tous les autres grands Maîtres les imitèrent. L’
amour
de la Musique se répandit ainsi avec une rapidité
: Puis les Heures seront nommées. Primo, Madame de Bouillon, Qui d’
amour
est un aiguillon, Et qui, dès sa plus tendre enfa
isible, Pour qui nul coeur n’est insensible, Astre d’honneur, astre d’
amour
, Et l’un des plus beaux de la Cour. Enfin, voic
ce Printemps, si verdoyant, Si beau, si sage, et si ruant, Mène deux
Amours
à sa suite,110 Qui sont d’un excellent mérite Et
voir conjointement Que, pour le certain, il ne semble Voir Vénus et l’
Amour
ensemble. 107. La Princesse d’Harcourt, la Duc
s d’extases, Ils achèvent de pompeux Vases Pour un beau Palais dont l’
Amour
Consacre à Psiché, le Séjour, L’aimant, & tra
amp; son Fils, les rixes, Et par ses Soins, des plus propices, Rend l’
Amour
, Epoux de Psiché, Dont il est, tendrement, touché
Balets que d’autres où il y a moins de mouvemens ou moins d’action. L’
amour
demande des empressemens & des tendresses, un
apables de l’altérer. Il faut qu’il paroisse de la contrainte dans un
amour
naissant, de la hardiesse dans ses progrès, &
e, tandis que ces ombres ou les démons feront diverses postures ; des
amours
peuvent forger des dards, & d’autres s’amuser
les coutumes et les maximes du monde, ou même, parce que, livrés à l’
amour
de ces dangereux plaisirs, leur cœur ne peut s’en
illes à l’égard des hommes, les étincelles ou plutôt les flammes de l’
amour
impur, pour faire de leurs cœurs une fournaise de
de malice se réjouissent à la vue de ceux qu’ils ont engagés dans cet
amour
impur ! » Vincent de Beauvais, de l’ordre de sai
e dont les sauterelles sortent, c’est le fond de l’enfer, parce que l’
amour
de la danse est inspiré par les démons dont l’enf
e déréglé qui ne peut être vu des yeux du corps. Ceux qui ont quelque
amour
pour la modestie, doivent soigneusement prendre g
el il a donné pour titre : Ethica amoris, c’est-à-dire la morale de l’
amour
, traitant, par rapport au sixième commandement, d
orale de l’amour, traitant, par rapport au sixième commandement, de l’
amour
qui doit réprimer la concupiscence, emploie un ch
nète est taciturne, N’est pour moi nullement un jour De société, ni d’
amour
, De jeux, de spectacles, de danses, Ni d’aucunes
Où la Cour rit et fit gogailles. On s’y promena dans le Parc, Où l’
Amour
vint jouer de l’Arc Parmi nos charmantes Chrétien
Ce fut en 1671 qu’on représenta à Paris les Fêtes de Bacchus et de l’
Amour
137. Cette nouveauté plut, et en 1681, le Roi et
sous cette mascarade dans les Fêtes de ce Spectacle. Le Triomphe de l’
Amour
138 fut le premier ouvrage en Musique où quatre v
à houlette fleurie qui modula sa tendre et extravagante complainte d’
amour
devant les « femmes savantes » de la cour de Ferr
orbent presque tout l’intérêt ; Mlle Daunt (Diane), Mlle de Craponne (
Amour
) en sont réduites à des figurations peu important
me les biches franches, cela repose des femmes du monde. IV Mon
amour
pour la vérité m’a attiré une infinité de haines.
ur la femme distinguée. Une faute. Ce qui détruira les biches c’est l’
amour
de la distinction. Après avoir fait tout ce qu’il
lle-même, le fit habiller avec élégance, et pendant un mois ce fut un
amour
maternel effréné ; tout le monde s’entretenait de
nces ; et se divise quelque part entre les passions et les raisons. L’
amour
en a besoin comme la haine ; et ma joie et mon am
AQUE Je n’aime rien tant que ce qui va se produire ; et jusque dans l’
amour
, je ne trouve rien qui l’emporte en volupté sur l
e… Tout à l’heure, par exemple, l’Athikté me paraissait représenter l’
amour
. — Quel amour ? — Non celui-ci, non celui-là ; et
ure, par exemple, l’Athikté me paraissait représenter l’amour. — Quel
amour
? — Non celui-ci, non celui-là ; et non quelque m
ce qu’il y a de réel dans le réel ?… Elle était donc l’être même de l’
amour
! — Mais quel est-il ? — De quoi est-il fait ? —
Comment le définir et le peindre ? — Nous savons bien que l’âme de l’
amour
est la différence invincible des amants, tandis q
ndre visible par ses beaux actes. Toute, Socrate, toute, elle était l’
amour
!… Elle était jeux et pleurs, et feintes inutiles
Nulle chose, cher Phèdre. Mais toute chose, Éryximaque. Aussi bien l’
amour
comme la mer, et la vie elle-même, et les pensées
t pas, sur toute chose, une image des emportements et des grâces de l’
amour
, je le trouve presque insupportable à ouïr… SOCRA
sses qui n’aient point leur source dans le vin ? ÉRYXIMAQUE Certes. L’
amour
, la haine, l’avidité, enivrent !… Le sentiment de
ce sera le sentiment profond de la reconnaissance, du respect et de l’
amour
, etc., etc., de Votre Fils affectionné Charles Bl
sité, l’élévation de son âme avaient rendu l’objet du respect et de l’
amour
de la Patrie, semblait reparaître aux yeux de ses
le prix de la sagesse, ni les avantages du plaisir. L’humeur et non l’
amour
de l’ordre avait dicté ses deux Décrets. Il prosc
en de la peine à lui faire supporter : oserait-on le de dire ? plus l’
amour
que les Romains70 avaient pour Trajan rendait fac
d’un jeune Danseur en qui j’aurais aperçu de l’intelligence, quelque
amour
pour la gloire, et un véritable talent, je lui di
et une opinion dont la plupart des esprits sont préoccupés, et que l’
amour
qu’on a pour tout ce qui flatte les sens, porte à
es. Sichem, fils d’Hémor, prince de ce pays, l’ayant vue, conçut de l’
amour
pour elle, l’enleva et la déshonora. Dina, en sor
pressions ? Ce qui se chante alors n’exprimant pour l’ordinaire qu’un
amour
impur, en porte facilement les dangereuses étince
e leur inconstance et de leur injustice ; ils les surpassèrent dans l’
amour
qu’ils eûrent pour les théâtres ; mais la passion
e et Hilas, célèbres pantomimes dans des genres opposés captivèrent l’
amour
des grands, et fixèrent sur eux l’engouement du p
iléges, des distinctions honorables et des récompenses. Mais malgré l’
amour
apparent qu’Auguste témoignoit pour ces spectacle
ies ou des pommes, — toute l’envolée de ces charmantes créatures, les
amours
et le plaisir du Paris de ce temps-là, qui étaien
oux devant — et derrière ! Vous la rappelez-vous dans le maillot de l’
Amour
, du ballet de Pierre de Médicis ? — Saprebleu ! d
erre de Médicis ? — Saprebleu ! disait Aubryet, je prendrais bien cet
amour
de fiocre à l’heure ! Pilatte Bonne perso
évention en faveur de la France, ne peut avoir qu’un motif louable, l’
amour
de la patrie : sous ce rapport, on vous rendra la
que vous pensez et que vous écrivez en bon français ; mais il est un
amour
devant le quel il faut que tous les autres fléchi
urage, furent les vertus des premiers héros. Les qualités de l’âme, l’
amour
de l’ordre, le désir du bonheur des hommes ont ét
’être admirées, Où Princes et Grands de la Cour, Et nôtre Roi digne d’
amour
, En comblant nos cœurs d’allégresse, Font éclater
d’enfantillage ; Giannina, moins rassurée, s’effraie encore pour son
amour
, et les occupations de la chaumière reprennent le
e mutuelle, les fiancés se rapprochent, et leurs regards se parlent d’
amour
; ils maudissent l’hallucination passagère qui le
e qui aura lieu demain, et le rend au sentiment de lui-même et de son
amour
. Les caresses de Giannina et la bénédiction de la
comme cette rose, à me flétrir comme elle et avec elle, pourvu que l’
amour
de Mattéo m’appartienne un jour ! » Mais les visi
ier de reprendre ses droits à la vie magique, et de répudier le fatal
amour
qui l’enchaîne aux conditions de la décadence hum
courage d’exécuter, une égalité parfaite, des exercices continus, un
amour
constant pour la Patrie, réunirent sous les mêmes
l aveugle qui entraîne l’Artiste dans le précipice : le second est un
amour
vif pour la gloire qui l’élève tôt ou tard au plu
aimables Présents des Cieux, Avec une charmante Gorge, Où des mieux l’
Amour
fait son orge. Et SÉVIGNY, bref, est le Nom De ce
l’affoiblit : Les commençans au théâtre sont l’image des enfans que l’
amour
trop aveugle et trop tendre de leurs parents perd
ité, lorsque vous serez affectés, et remplis de vos modèles. Portez l’
amour
de votre art jusqu’à l’enthousiasme. On ne réussi
n’ôse nommer son vainqueur ; sollicitée vivement, elle cede enfin à l’
amour
, elle donne la préférence à Aristée, elle fuit da
éfend, mais soit que l’excès du bonheur énerve le courage, soit que l’
amour
satisfait soit enfant de la paix, il est prêt à s
de leurs houlettes ; les fleurs & les guirlandes composées par l’
amour
& destinées pour la volupté deviennent les tr
se sa passion. Fait-elle des efforts pour dégager son amant ? C’est l’
amour
en courroux, c’est l’amour méchant qui les lui fa
s efforts pour dégager son amant ? C’est l’amour en courroux, c’est l’
amour
méchant qui les lui fait faire. Furieuse, elle se
s Bergeres s’opposent à un dessein si cruel ; Aristée partagé entre l’
amour
& l’amitié, vole vers Thémire, la prie, la pr
lle autres avec succès. Il est sûr que les pleurs d’Andromaque, que l’
amour
de Junie & de Britannicus, que la tendresse d
endresse de Mérope pour Egiste, que la soumission d’Iphigénie & l’
amour
maternel de Clytemnestre toucheront bien davantag
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