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1 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89
ois personne de connaissance, et j’ai déjà soif. Un habitué , à son ami . Parole d’honneur ! tu n’es jamais venu ici, toi
é , à son ami. Parole d’honneur ! tu n’es jamais venu ici, toi ? L’ ami . Parole d’honneur ! L’habitué. C’est drôle ? Où
neur ! L’habitué. C’est drôle ? Où donc passes-tu tes soirées ? L’ ami . Dans ma famille. L’habitué , avec intérêt. Pa
mi. Dans ma famille. L’habitué , avec intérêt. Pauvre garçon ! L’ ami . Les femmes célèbres sont-elles déjà venues ? L
Pas encore. Je crois cependant avoir aperçu Alice la Provençale. L’ ami . Qu’est-ce que c’est qu’Alice la Provençale ? L
ilmuche, et que Marguerite la huguenote salue comme une collègue. L’ ami . Ah ! Marguerite la huguenote ? je la connais ; o
a maîtresse de ce Mané ? L’habitué. On dit que c’est son oncle. L’ ami . C’est donc cela ? — Est-ce qu’elle va venir ?
aincu. Les bals du Casino ne pourraient pas avoir lieu sans elle… L’ ami . Danse-t-elle vraiment bien ? L’habitué. Comme
i. Danse-t-elle vraiment bien ? L’habitué. Comme un ange1. Les deux amis , tout en causant, arrivent dans la salle des port
deux amis, tout en causant, arrivent dans la salle des portraits. L’ ami . Quelles sont ces femmes ? Les célèbres danseuses
dames sont mesdames Sévigné, de Girardin, etc. — Tu les flattes ! L’ ami . Tiens ! c’est vrai. L’habitué. C’est heureux q
eureux que tu aies dit cela tout bas, on se serait moqué de nous. L’ ami . Qui ça ? L’habitué. Les habitués. L’ami. C’e
erait moqué de nous. L’ami. Qui ça ? L’habitué. Les habitués. L’ ami . C’est cela qui m’est égal, que ces messieurs et
pas à moi… Tiens ! voilà Alice. — Veux-tu que je te la présente ? L’ ami . Je n’y tiens pas. L’habitué. Si, laisse donc f
ce qu’il y a ? L’habitué. Monsieur qui voulait te voir de près. L’ ami , confus. Mademoiselle, je… Alice. Il est vila
rès. L’ami , confus. Mademoiselle, je… Alice. Il est vilain, ton ami . — Monsieur ne vient pas souvent ici, n’est-ce pa
lain, ton ami. — Monsieur ne vient pas souvent ici, n’est-ce pas ? l’ ami . C’est la première fois, et je suis heureux, pour
x, pour une première visite, de… Alice. Payes-tu quelque chose ? l’ ami . Avec plaisir : c’est me faire beaucoup d’honneur
ler comme tu parles… C’est pas convenable, ça humilie les autres. L’ ami . Mais je ne parle pas mal, je crois.. Alice. Co
e ne parle pas mal, je crois.. Alice. Comment que tu t’appelles ? L’ ami rougit et ne répond pas. — Tu ne veux pas le dire
— ça m’est égal… Tu viens en incognito ; est-ce que tu es marié ? L’ ami . Pas encore. Alice. Tu l’es ! je vois ça… Eh bi
nant, je jouerais des rôles à M. Mélingue, si on me le demandait. L’ ami , bas à l’habitué. Quelle drôle de fille ! L’h
eux. Je suis avec un nouveau. Alida. Je monte, alors. Alice , à l’ ami . Çà t’est égal, mon vieux, qu’Alida vienne se ra
t’est égal, mon vieux, qu’Alida vienne se rafraîchir avec nous ? L’ ami . Au contraire, et je suis enchanté… Alice. T’es
ant. Bonjour, messieurs et la compagnie. — Garçon, de la bière ! L’ ami . C’est de la bière que vous voulez prendre, vous
ne glace ? Alida , le regardant. Monsieur n’habite pas Paris ? L’ ami . Pourquoi me demandez-vous cela ? Alida. Pour r
— Garçon, donnez-moi des échaudés alors, et de la bière anglaise. L’ ami . C’est vous qu’on nomme Alida ? Alida. Oui, mon
a ? Alida. Oui, monsieur, Alida Gambilmuche, de mon nom de bal. L’ ami . Vous êtes danseuse ? Alida. Par vocation, oui,
L’ami. Vous êtes danseuse ? Alida. Par vocation, oui, monsieur. L’ ami . Il y a longtemps que vous venez ici ? Alida. D
Alida. Depuis la fondation. — Monsieur est juge d’instruction ? L’ ami . Je suis négociant. Alice. Fais pas attention,
ître. Ça t’est égal que je le tutoie ? ça me gêne de dire vous !… L’ ami . — Tutoyez-moi… je n’y vois pas d’inconvénients.
argent. — Elle économise et tient beaucoup à se faire des rentes. L’ ami . — Elle a raison. Alida. — Ça dépend des tempér
L’ami. — Elle a raison. Alida. — Ça dépend des tempéraments. — Son amie , c’est Hortense, — Hortense la riche, comme on la
sé. On reçoit, mais on ne donne plus, c’est devenu mauvais genre. L’ ami . — C’est horrible, du reste. Alida. — Ça dépend
se ferait pas couper une mèche de cheveux pour dix mille francs. L’ ami . — Mais alors toutes ces dames sont riches. Ali
s billets de mille, mais ces gueux-là courent plus vite que nous. L’ ami . — Quel est ce monsieur qui donne le bras à Rosal
saute comme une sauterelle et qui n’en est pas plus fier pour ça. L’ ami . — En somme, tout cela est très-amusant. Alida.
me l’offrir, — à moins que tu ne veuilles me servir de cavalier. L’ ami . — Merci, je ne sais pas danser. Alida. — Alors
ir. — Viens-tu, Alice ? Alice. — Voilà. — (Saluant.) — Messieurs. L’ ami répond à ce salut par une respectueuse révérence.
vérence. — Une fois ces dames parties, l’habitué prend le bras de son ami . L’habitué. — Eh bien ! qu’en dis-tu ? L’ami.
prend le bras de son ami. L’habitué. — Eh bien ! qu’en dis-tu ? L’ ami . — Je dis que c’est charmant et que je suis encha
que je suis enchanté d’y être venu… L’habitué. — N’est-ce pas ? L’ ami . — Pour n’avoir plus à y revenir. 1. Je prie l
2 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
son nom. Aussi bien me suis-je toujours moins inquiétée du nom de mes amis que de mes amis eux-mêmes. Après la Jamaïque nous
ien me suis-je toujours moins inquiétée du nom de mes amis que de mes amis eux-mêmes. Après la Jamaïque nous retournâmes à N
olies-Bergère et qu’un monsieur élégant demanda à me parler, avec son ami le ministre des Finances de Haïti, il se trouva q
mois après une révolution qui avait éclaté à Haïti. Le père de notre ami , un des grands financiers de l’île, avait été ass
’il était resté à la Jamaïque il avait essayé de communiquer avec ses amis , via New-York, et il n’était pas arrivé à savoir
suis sûr, vous fera grand plaisir. Je peux vous présenter à mon vieil ami , Alexandre Dumas. Il ajouta, en souriant d’un jo
ta, en souriant d’un joli et bon sourire : — Je peux dire « mon vieil ami  », car mon père, déjà, était un vieil ami de son
— Je peux dire « mon vieil ami », car mon père, déjà, était un vieil ami de son père. — Vraiment ! dis-je, au comble de la
ntente de votre main serrée. » Je ne compris pas sa réponse, mais mon ami par la suite me dit que Dumas avait répliqué : — 
est pas serrée, mais je sais ce que vous voulez dire, mon enfant. Mon ami Poulle m’a raconté ses jours d’exil à la Jamaïque
e appartement. Je me souviens qu’il y avait là un M. Singer, un vieil ami de Dumas, qui demanda s’il était « indiscret », e
t me tendant sa main libre. — Indiscret ! Certainement non ! Tous mes amis doivent connaître Loïe et l’aimer. Lorsque je pri
s qu’il était enfant. Sur la photographie ces mots : « De votre petit ami Alexandre. » Et c’est un de mes plus précieux sou
3 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
de l’impatience. Un gandin brun. Tu es sûr qu’elle viendra ? Son ami . Parfaitement ! car elle a fait répondre que oui 
si changeantes ! Le gandin brun. Elle n’est pas encore sortie ? L’ ami . Pas encore. La pièce n’était pas finie que j’éta
lui suffit pas à se déshabiller. Le gandin. Elle est gentille.. L’ ami . Très-gentille ! on dit qu’elle est amusante en s
amusante en société. Le gandin. Me conseilles-tu de la garder ? L’ ami . Ça dépend. Ton père double-t-il enfin ta pension
dépend. Ton père double-t-il enfin ta pension ? Le gandin. Oui. L’ ami . Garde-la alors… Le gandin. On dit qu’elle s’ap
. L’ami. Garde-la alors… Le gandin. On dit qu’elle s’appelle ?… L’ ami lui dit le nom à l’oreille. Soyons discrets ! L
Le gandin. Elle n’est pas mal dans son costume du Radis-Noir ? L’ ami . Il lui va bien. Le gandin. Est-ce que les jamb
Il lui va bien. Le gandin. Est-ce que les jambes sont à elle ? L’ ami . Probablement ? On dit qu’elle est sage… Le gan
Je m’ennuie ici, à voir sortir tous ces figurants et ces acteurs. L’ ami . Ils ne font pas attention à toi ; ils sont habit
en riant, je suis sûr que j’ai l’air d’un gandin qui attend sa bonne amie … (Il s’éloigne un peu.) Il est une heure, le temp
4 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231
à laquelle j’aurais été heureuse de rendre service. A Paris ma grande amie , Névada, la célèbre chanteuse américaine me l’ava
, ses derniers mots furent ceux-ci : — Je serai charmée d’aider votre amie , puisque je pourrai ainsi vous être agréable. Je
. Je partis enchantée et reconnaissante, autant pour moi que pour mon amie . Puis j’allai à l’ambassade des Etats-Unis. Je v
aine enfin d’avoir un bon public, je retournai à l’hôtel et dis à mon amie que l’occasion si longtemps désirée par elle de s
e. Je décidai de donner une soirée pour la presse le jour même où mon amie paraîtrait en matinée devant la princesse et les
t cette soirée fut également un grand succès. Une dame enfin pria mon amie de danser chez elle. L’étoile demandait très cher
décourageai pas. Entre temps, j’ai oublié de le dire, la mère de mon amie nous avait rejointes à Vienne et au lieu d’un hôt
ingt représentations dans l’un des premiers théâtres de Budapest. Mon amie devait répéter dès le lendemain. Ce même jour j’e
tternich. Auprès de tous, j’ai dû passer pour une imposteuse, car mon amie continua à paraître en public dans ce que j’avais
5 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Épître à Monsieur F. A. Blasis mon Père, » pp. 1-4
de la Société du Muséum d’instruction publique de Bordeaux [1] Des amis qui s’intéressent à mon ouvrage, désiraient que j
r dans le choix de mon Mécène ? [4] J’ai donc écarté les idées de mes amis , que je remercie cependant, et je suis descendu d
placent votre nom à côté des artistes dont la mémoire sera chère aux amis des arts et de l’harmonie. Eh bien ! Ce sera sous
6 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
fit à Paris, le marquis et la marquise d’Oyley, qui étaient de grands amis du souverain et qui aimaient beaucoup ma danse, a
nte que possible puis je saluai, jusqu’à ce que le rideau tombât. Mes amis furent étonnés de voir que ma dernière danse avai
ens de sa suite, et lui raconter comment j’avais reçu le drapeau. Mes amis d’Oyley me consolèrent en me disant que mon attit
osition coloniale de Marseille, en 1907, je me trouvais avec quelques amis dans le pavillon d’un exposant, lorsqu’un superbe
tais ravie. Lorsque je fus devant le roi, je dis tranquillement à mes amis , à voix distincte et en français : — Quel beau sa
fâché ou non. Il sourit avec finesse et je sentis que nous devenions amis … Je dansais à Marseille à cette époque. Il vint a
-York, lorsque la suite de Li Hung Chang vint un soir au théâtre. Des amis me présentèrent à l’attaché militaire américain,
nqué, puis bientôt je n’y pensai plus. Un jour, à Londres, une de mes amies , se trouva à un dîner, placée auprès d’un très ha
arin, on en était venu à parler de moi et de mes danses colorées, mon amie dit à son voisin : — Vous ne connaissez sans dout
e pendis ma jaquette jaune et on vient seulement de me la rendre. Mon amie plaida ma cause, en alléguant l’état de santé de
ment à moi, au lieu de prévenir le directeur. Le même soir une de mes amies vint m’aviser qu’elle avait écrit la veille à la
ndra vos nouvelles danses célèbres dans le monde entier, me dit cette amie . Et la Reine viendra, j’en suis sûre, si cela lui
, si cela lui est possible. Au comble de la surprise, je regardai mon amie et m’écrirai : — Mais alors, c’est pour cela qu’e
venue à la matinée. Et en détail, je racontai toute l’histoire à mon amie . Elle ne comprenait toujours pas pourquoi la Rein
7 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
Marquet. — Ravel. — Son opinion sur les blondes. — En mot d’un de mes amis . — La brune. — Définition de la brune. — Comment
’est de la frapper de temps en temps quelque peu. XII Un de mes amis disait un jour : « Les blondes, c’est comme les œ
le extrêmement réservé, indifférent, et de faire la cour à une de ses amies . La brune est jalouse avant tout. Avant comme apr
aconter celle qu’il employa il y a quelques jours auprès d’une de mes amies  : Il ne la connaissait pas, ne l’avait jamais vue
ut sonner à sa porte. La bonne l’introduisit. Une fois en face de mon amie , il s’assit sans dire mol et la regarda avec des
s’assit sans dire mol et la regarda avec des yeux de somnambule. Mon amie rompit le silence la première. — Qu’y a-t-il pour
oins de la chambre. — Mais que cherchez-vous donc, monsieur ! fit mon amie véritablement effrayée. — Hélas ! mademoiselle, r
Cette habile naïveté eut le résultat que le malin en attendait. Mon amie se mit à rire aux éclats. Et elle lui indiqua le
8 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
appréhension disposé à traiter Juste Odoard comme un compagnon et un ami . Ce sont vos propres expressions. Vous m’avez dit
dre ma solitude moins austère en le traitant comme un compagnon et un ami . » Je reconnais bien là la bonté candide de vos j
être honnête et intelligent pour mériter de devenir le compagnon et l’ ami d’un homme tel que vous, dans la vie changeante e
vous ne l’y encouragez pas. Mais s’il est et votre compagnon et votre ami , vous le lui permettrez, et, en supposant que vou
rire. » Et il m’a quitté sans montrer aucun mécontentement. Donc, mon ami , vous êtes libre de suivre mon conseil ou de révo
9 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16
Le Théâtre représente un jardin agréable. Arlequin danse avec ses amis , leurs maitresses & la sienne, dont il est de
sses & la sienne, dont il est de plus-en-plus enchanté. Sa tendre amie , lorsqu’il ne s’en apperçoit pas, écoute avec pla
quin, qui, feignant d’en être touché, conjure encore le Magicien, son ami , de lui procurer les trésors renfermés dans les c
e parti de celui qui vient d’être puni par Arlequin. Combat entre les amis du mort & ceux d’Arlequin. Plusieurs sont tué
tre représente une Campagne arrosée d’une rivière. Arlequin & ses amis jettent dans la rivière les corps de ceux qu’ils
tisfait. Des femmes font entrer dans le mortier quelques-uns de leurs amis  : un d’eux, qu’on a pilé, apperçoit dans la foule
10 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
ien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. Je vous remercie, mon ami , et je suis sûr que votre choix est excellent. Je
à son propre père. Après le mien, vous êtes certainement mon meilleur ami . Eh bien, je ne vous ai rien dit, et lui, il est
; je ne vous dirai que ce qui fait l’objet de vos interrogations. Mon ami , ne faites pas fausse route ; ce n’est pas la cra
de rien deviner. Vous-même… mais je ne vous fais pas de reproche, mon ami . Vous ne saviez pas non plus ! Vous aviez vécu ca
créature l’amour sublime et complet que nous devons à Dieu seul. Mon ami , tout cela est faux. Dieu ne nous permet pas seul
ariage pour moi, parce que la mère de ma femme avait été la meilleure amie de ma mère. Cette personne excellente et charmant
seule. Ce n’étaient que des promenades dans le parc avec notre vieux ami Clairac pour écuyer. Mais je dus, au bout de peu
i professé ni la théorie du désespoir, ni celle du découragement. Mes amis se sont mariés autour de moi, je ne les en ai pas
s’agit de n’associer personne à mon mal. Vous me feriez souffrir, mon ami , si vous répondiez au fond de cette lettre et si
11 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
demandé, comme une véritable faveur, de venir à un bal donné par des amis à lui et d’ouvrir ce bal. Enchantée à l’idée de l
re Theater m’avait prié d’ouvrir. Je m’y rendis. On nous conduisit, l’ amie qui m’accompagnait et moi, dans un petit salon où
t bien vouloir dire. Cela me préoccupait malgré moi. Le lendemain mon amie m’apporta un journal dans lequel je trouvai en pr
retenu des places à bord d’un paquebot. Après avoir pris congé de mes amis , je m’en fus donc, pleine d’espoir et de désirs.
eait avec sa femme, une belle Américaine, qui était devenue ma grande amie , et qui lui fit les plus sanglants reproches à mo
12 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-
es repas mais sans faire plus ample connaissance. J’avais de nombreux amis autour de moi. Il était seul. Peu à peu mon cœur
aturellement. Comme je l’ai déjà dit, j’avais là-bas de très nombreux amis . Tout à coup, dans un angle de la salle de bal, j
bligée de quitter Nice. Au moment où mon train allait partir, mon bel ami monta dans mon wagon, et m’accompagna jusqu’à Mar
e affirmait son jeu indigne à mon égard, la correspondance de mon bel ami cessa. Je lui écrivis plusieurs lettres : elles d
ce. Mon cœur se mit à battre à coups précipités dans ma poitrine. Mon ami venait vers moi. Nous allions nous croiser. Il ne
13 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256
ce obéit à Minerve, et s’embarqua avec quelques troupes ; Pylade, son ami fidèle l’accompagna sur un autre vaisseau, et ce
nt Iphigénie, sœur d’Oreste, étoit grande prêtresse. Ce Prince et son ami Pylade, après avoir échapé au naufrage, sont arrê
’engage d’aller à Mycènes, et de rendre exactement la lettre dont son ami vent le charger. Oreste, au moment d’être sacrifi
it joint son vaisseau, que pour revenir avec ses soldats délivrer son ami ou périr avec lui, arrive dans l’instant où Thoas
ne court dans les bras de son père ; Oreste se jette dans ceux de son ami et ne les quitte que pour voler dans ceux de sa s
e de Diane. Oreste, Roi d’Argos et Mycènes. Pylade, Roi de Phocide, ami d’Oreste. Isménie, épouse de Thoas. Eumène, sec
débris encore flottans de celui d’Oreste. Il arrive au secours de son ami  ; l’un et l’autre font des prodiges de valeur ; i
uhaitent également de mourir ; chacun veut conserver les jours de son ami . Iphigénie, entrainée, sans le savoir, par la voi
un ne veut céder l’honneur de perdre la vie, pour sauver celle de son ami  ; tous deux se pressent et se sollicitent à prend
me résistance dans Pylade qui la presse de conserver les jours de son ami . Oreste, irrité du refus opiniâtre de Pylade, s’a
14 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-
ait devant mes yeux. C’était à Londres, quelques mois auparavant. Une amie m’avait demandé de venir dîner avec quelques offi
rte d’hommes qui vont au-devant de la mort comme on va au-devant d’un ami qu’on rencontre dans la rue. A cette époque, je n
er une danse ! Comment n’y avais-je encore jamais pensé ? Deux de mes amies , Mme Hoffman et sa fille, Mme Hossack, venaient d
ous ne parlâmes ni l’une ni l’autre. Mais quelques mois plus tard mon amie me dit que ce soir-là je ne cessai de faire enten
i comme danseuse, consentit négligemment, grâce à l’intervention d’un ami commun, à me laisser essayer ma danse devant lui.
tait debout. Parmi les spectateurs se trouvait l’un de mes plus vieux amis , Marshal P. Wilder, le petit humoriste américain.
r que faire. Ma tête tournait. Je revins à la maison et consultai mes amies . Elles me conseillèrent d’aller voir un autre dir
mandai s’il n’était rien venu pour moi du Casino. Rien ! Le soir, mes amies allèrent au théâtre où elles purent contempler un
15 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
rs, obtint le divorce et mourut. Gentz traitait avec faste ses belles amies . Un auteur qui a publié en 1808 un Tableau de la
re était fier de pouvoir offrir, au cœur de l’hiver, à ses nombreuses amies . Une page de l’Autobiographie de Grillparzer nous
yalement payé. Après sa mort, Rothschild dit de lui : « C’était là un ami  ! Je n’en retrouverai jamais un pareil. Il m’a co
rrir la passion qu’elle lui inspirait. Un autre jour il dit à la même amie que la rencontre se fit dans l’hiver de 1829 par
éveiller en vous, pour un instant rapide, le souvenir de votre vieil ami . Si la centième partie seulement des vœux que je
agatelles » renfermées dans un carton, probablement des dentelles. Un ami avait désapprouvé son choix, mais il consulta une
tres encouragements encore. Il éprouve le besoin de savoir ce que ses amis pensent de son cas. Il va faire des confidences à
olonger les illusions du bel âge. » En souple diplomate autant qu’en ami indulgent, Prokesch-Osten endort les scrupules de
nces, Gentz vante les heures délicieuses qu’il passe avec sa nouvelle amie . Pour éviter le ridicule de paraître trop sérieus
combien je suis enclin aux pensées mélancoliques. Pardonne donc, mon amie adorée, si même aux délices de ce jour je mêle un
ses sentiments mieux qu’elle ne saurait le faire, et les envoie à son ami . Et lui s’extasie devant ce naïf griffonnage ; il
lequel il avait vécu, dont il avait vécu. Néanmoins, au milieu de ses amis consternés, il resta souriant et fut même joyeux.
a lui-même plus tard à Rahel qui s’en étonnait. En permettant que son amie s’éloignât, il montrait combien profond et désint
rôle. Rahel ne savait rien encore de la dernière passion de son vieil ami . Elle en apprit toute la force et les singuliers
t favorise cette liaison, du côté de Fanny en lui parlant de Gentz en amie dévouée, du côté de Gentz en exaltant les qualité
usions complètes. A cette première visite, Fanny séduisit sa nouvelle amie plutôt par l’harmonie de tout son être et par l’e
dente, à l’indulgente protectrice de ses amours : « Il n’y a pas deux amies comme vous au monde ! » La passion qui était main
dissèque. Rahel admirera sa précision d’anatomiste. « Oui, ma chère amie , écrit-il de Presbourg le 18 octobre 1830, il fau
Rahel lui avait demandé s’il ne craignait pas que sa charmante petite amie , devenue l’idole du public berlinois, ne se laiss
a dormi ma douce bien-aimée, mein süszes Lieb (pour parler avec notre ami Heine) et comment elle se porte aujourd’hui… J’es
t pas tous deux au même culte. Gentz, malgré l’action de son mystique ami Adam Müller, malgré ses sympathies secrètes pour
n dans une lettre du 15 juin où il rapporta des propos tenus par leur ami , six semaines avant sa mort, au comte Münch. « La
relle, de la part de la confidente qui veut faire plaisir à son vieil ami et qui le prend par son faible en chatouillant sa
erains, que les princes et les ambassadeurs s’honoraient d’avoir pour ami , celui qui était l’un des hôtes les plus brillant
anny Elssler. Elle joue le rôle que l’opinion publique attribuait à l’ amie de Gentz. « Juliette chez Roméo », comme dit le t
ir été dans l’intimité du duc. Sur une lettre qu’elle écrivit à cette amie , le 27 juin 1837, et qui est conservée au musée d
pée de politique ; elle n’avait pas à épouser les animosités dont son ami était l’objet, soit de la part des bonapartistes,
vec Gentz, et jusqu’à sa mort elle garda pieusement la mémoire de son ami parti depuis longtemps. » Elle évoquait la chère
16 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200
une main tremblante quelques fleurs sur la retraite momentanée de mon ami  ; et en vous entretenant de ses talens, de ses co
s, en Allemagne, et en Italie ; et lorsqu’il partoit, il disoit à ses amis  : « Je vais faire mes études, et on acquiéraut de
rick en applaudissant à l’imitation de Préville, lui dit : « mon cher ami , vous avez manqué une chose bien essentielle à la
— « C’est que vous avez oublié de faire boire vos jambes ; tenez, mon ami , je vais vous montrer un bon Anglais qui, après a
sa un cri d’effroi ; sa crainte augmenta encore lorsqu’il vit que son ami ne répondait à aucune de ses questions. Après avo
lle dans les bras. Celui-ci lui dit avec transport : « permettez, mon ami , que l’écolier embrasse son maître, et le remerci
lorsque je viens chez vous, c’est pour vous voir, et causer avec mon ami , et je n’y viendrois sûrement pas, si j’étois ass
snil, sans la copier servilement, j’ajouterai que son modèle, étoit l’ amie et la confidente de la nature ; que rien n’étoit
17 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-
ler ! Enfin je comprenais, il m’avait prise pour une de ses anciennes amies . — Je sais de qui vous voulez parler, répondis-je
it tout à fait inconnu. Mais ce monsieur pouvait m’être envoyé par un ami  : je le reçus donc. Un grand gentleman entra, et
à Paris, et qu’un beau jour son amant la planta là. Sur le pavé, sans amis , sans le sou, malade, elle m’envoya chercher… L’a
18 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
rits puisque je retrouve dans mes papiers ce billet signé d’un de mes amis , M. Auguste Masure : « Chère miss Loïe, « Nous a
princes, de petites princesses et de toute une petite suite de petits amis . Lorsque vint mon tour d’entrer en scène, les lum
nces, dans son somptueux appartement de l’avenue Wagram, pour que ses amis pussent applaudir la charmante enfant. A l’une de
belle jeune femme ; mais c’est toujours pour moi une bonne et fidèle amie . *** Lorsque j’avais seize ans, je fis la connais
19 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
donna des fêtes brillantes ; Hercule à l’exemple d’Apollon devient l’ ami et le Protecteur d’Admète ; mais Lycomède dont l’
ceux qu’elle croit le plus terdrement attachés à son époux ; mais ses amis fuient et l’abandonnent, alors elle prend la nobl
fans. Ismène exprime sa douleur, et Hercule promet à Alceste d’être l’ ami de sa famille. Cependant l’oracle est accompli ;
te. Hercule lutte contre eux, les terrasse, et enlève l’épouse de son ami . Cinquième partie. La décoration représente
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 27 février 1667 »
ici le dire ; Aussi, ne vais-je le décrire Qu’en faveur des Lecteurs Amis À qui, certe79, je l’ai promis, Car, ALTESSE, d’A
21 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249
: Je m’embarquais à Cherbourg, en compagnie de ma mère et de quelques amis , à destination de New-York. Pierre Mortier monta
orter ses vœux de bon voyage. Nous lui fîmes visiter nos cabines, mes amis et moi, et nous l’enfermâmes dans l’une d’elles.
gligente n’était pas faite pour apaiser l’humeur belliqueuse de notre ami  : il sonna derechef et, cette fois, trois fois de
sa la chaussure à terre et disparut… Au paroxysme de la fureur, notre ami s’habilla en un tour de main et gagna le bureau d
’était donc soixante-quinze francs qu’il lui fallait débourser. Notre ami était persuadé que le concierge avait payé la cou
rendu les bijoux. Et je me demande parfois ce que doivent penser mes amies de quelques heures d’une femme qui a osé accepter
22 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
s expressions énergiques que je ne rends pas : délivrez moi donc, mon ami , de la peine où je suis, donnez par charité du mo
’intéressoient en leur faveur. Les soldats gagnés à l’avance, par les amis de Lyncée, se rangeoient du côté de l’innocence.
et mêloit ses larmes à ses prières. Le coup étoit suspendu ; mais les amis de Lyncée arrivoient furtivement ; l’un d’eux arr
itre à la solliciter auprès de ce grand Prince protecteur des arts et ami des sciences. Ce Monarque déploye chaque jour en
ssance que le Picq, mon élève a fait éclater envers son maître et son ami  ; sentimens rares qui s’allument et brillent un i
23 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
. Ils leur donnaient cinq minutes pour se préparer. Mon père était un ami intime des personnes chez lesquelles on se rendai
consiste, aux États-Unis, à se rendre, la nuit et en groupe, chez des amis qu’on n’a point prévenus d’une telle visite. On r
24 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VI. Sur le même sujet. » pp. 35-39
ent tous les ans les fonds qui y sont destinés. Des hommes opulens et amis des arts firent un prospectus, dans le quel ils p
, que la mort a enlevé à son art, aux amateurs, à sa famille et à ses amis , m’a assuré qu’indépendemment des bienfaits de la
25 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
« s’enrichir » qui feraient leurs réputations s’ils étaient dévoilés. Amies , dans l’intérêt de votre gloire, laissez-moi en d
t la durée de la fête, le cachemire a été retiré du vestiaire par une amie intelligente et remplacé par le tartan en questio
st dans la vie privée que les femmes sont vraiment fortes. Une de mes amies , que je ne nommerai pas pour ne point lui faire d
26 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
horégraphie en Italie. Stendhal s’efforçait de faire comprendre à ses amis parisiens l’abîme qui séparait Viganò des autres
se rencontre à donner les raisons de son admiration. Il envoie à ses amis des scénarios, mais en même temps prend soin de l
à l’amour, regarde sans plaisir au cours du festin que lui offre son ami Murena, les danses de deux esclaves grecs. Viganò
ilanais blâmèrent fort Viganò d’avoir donné ce spectacle immoral d’un ami entraînant au mal son ami. Le troisième acte se p
anò d’avoir donné ce spectacle immoral d’un ami entraînant au mal son ami . Le troisième acte se passe à l’intérieur du temp
iés aux ressources de la comédie muette qu’est le cinématographe. Les amis de Stendhal qui ne connaissaient d’autres ballets
. Il passait la nuit à travailler avec sa troupe ou à causer avec des amis et ne se couchait jamais avant le jour. Il était
était très généreux et tenait table ouverte. Une foule de parents, d’ amis et d’amis de ses amis vivaient à ses crochets, sa
s généreux et tenait table ouverte. Une foule de parents, d’amis et d’ amis de ses amis vivaient à ses crochets, sans qu’il s
t tenait table ouverte. Une foule de parents, d’amis et d’amis de ses amis vivaient à ses crochets, sans qu’il s’en émût. Un
document relatif à Viganò m’a été signalé par mon savant collègue et ami Giorgio Banni qui connaît mieux que personne les
27 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
la rappelle, et la rend toute haletante à sa nature de femme et à son ami … PHÈDRE Miracle !… Merveilleux homme !… Presque u
ans ce qui n’est pas possible !… Comme nos âmes sont pareilles, ô mes amis , devant ce prestige, qui est égal et entier, pour
Socrate, tu ne peux donc jamais jouir que de toi-même ? SOCRATE Ô mes amis , qu’est-ce véritablement que la danse ? ÉRYXIMAQU
oint de théâtre ! Non, non ! point de fiction ! Pourquoi feindre, mes amis , quand on dispose du mouvement et de la mesure, q
ortable à ouïr… SOCRATE Je n’ai rien dit de si cruel encore ! — Ô mes amis , je ne fais que vous demander ce que c’est que la
tièrement en elle-même, mais principalement en nous. Quant à moi, mes amis , mon incertitude est intacte !… Mes pensées sont
de l’éternuement ou de la nausée, tue ou vivifie ; dis-moi donc, cher ami Éryximaque, et des iâtres le plus versé dans la m
tefois !… Chose vive et divine !… Mais qu’est-ce qu’une flamme, ô mes amis , si ce n’est le moment même ? — Ce qu’il y a de f
amme est l’acte de ce moment qui est entre la terre et le ciel. Ô mes amis , tout ce qui passe de l’état lourd à l’état subti
’éther, furieusement gronde et se précipite, — la grande Danse, ô mes amis , n’est-elle point cette délivrance de notre corps
r cette possession et cette facilité de tout son corps… SOCRATE Ô mes amis , ne vous sentez-vous pas enivrés par saccades, et
28 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « Préface de l’auteur »
es personnalités représentatives de la danse théâtrale contemporaine. Amis et ennemis ont bien voulu attribuer à ce modeste
29 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre dernier. Au public » pp. 186-188
Chapitre dernier. Au public I Ami lecteur, je suis forcée d’arrêter ici mes Mémoire
30 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 12 février : Réception faite à un Gentilhomme de Campagne — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
respect et de plaisance, Pour la dernière fois se danse. J’ai su d’un Ami cordial, Qu’il n’est rien de plus jovial, Et que
31 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre II. Détails sur Pylade et Bathylle »
dmirateurs, des partisans, des enthousiastes, et ne pouvait avoir des amis . Son génie, le feu de ses compositions, la vérité
it pas manquer de se faire un nombre infini de partisans, une foule d’ amis et autant de protecteurs qu’il y avait pour lors
32 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
louse de moi. Elle veut me supplanter. Comme si c’était possible. Ses amis lui jurent que sa danse tombe la mienne, qu’elle
reste avec religion. XI Ont-ils tort ? Ma foi, non. Une de mes amies a fait un jour la réponse suivante à son protecte
ue le petit fit d’une manière si touchante, que les assistants — deux amies et un Saint-Gaudens abâtardi — faillirent pleurer
33 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
elle Legros, « bien différente de ces ministres qui accordent à leurs amis des emplois dont ils touchent les émoluments sans
e repose, et fait vite, en échange, Partir aux champs son fils ou ses amis . Dans ton jardin, quand la plante s’effeuille Et
La Restauration, — qui venait, cependant, de prononcer le mot : Mes amis , plus de hallebardes ! — avait placé aux portes d
e ménager la presse et faire bon commerce avec elle : « Mon bon petit ami , « Je rentre ce soir, et je n’ai pu danser le pa
mps je ne puis douter de l’intérêt que vous me portez. Adieu, mon bon ami , recevez de moi deux bons gros baisers, que j’ira
Une danseuse qui ne fait jamais de faux pas, qui préfère le cercle d’ amis à la foule des amants, qui vient au théâtre à pie
vu échouer toutes ses batteries devant elle. Il répondit à un de ses amis qui lui demandait si son hommage avait été accept
que de M. Mazillier. Après le cinquième acte, M. Montalivet dit à son ami Romieu : — C’est ennuyeux, ça ne finit pas ; mais
inage de Taglioni, des Elssler et de Carlotta. Lors de ses débuts, un ami la recommandait en ces termes à Théophile Gautier
mbât tout le magasin de Froment-Meurice ou de Fontana. Soyez certain, ami lecteur, que pour peu qu’elle vous connût, elle v
34 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
es pièces que joue Sada Yacco ? me demanda un jour un écrivain de mes amis . — Kawakami, son mari. — Vraiment, mais alors il
ans mon pied. Cet homme était Victorien Sardou. Un mot encore sur mes amis les Japonais. Kawakami a un fils qui avait cinq a
35 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
plus grand plaisir que d’être avec eux ? Vous avez une maison et des amis  ; n’y a-t-il pas du plaisir et même du profit à s
isir et même du profit à se trouver avec eux ? Et lorsque ce sont des amis sages et fidèles, que le commerce que l’on a avec
nt des amis sages et fidèles, que le commerce que l’on a avec de tels amis est accompagné de tempérance et de retenue, qu’y
36 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
t. Nous partîmes. Dans la voiture qui nous ramenait je demandai à mes amis s’ils pouvaient décrire leurs impressions, leurs
trouvée dans une lettre que le grand sculpteur a écrite à une de mes amies . Et ce n’est point par vanité que je la reprodui
37 (1761) Le Festin de Pierre. Ballet Pantomime « [Plan du ballet] »
d Acte Don Juan donne chez lui un grand repas, précédéd’un bal, à ses amis et à ses Maîtresses. Lorsqu’on a dansé on se met
38 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VII. Influence constante du bon ou du mauvais Gouvernement sur les Arts. »
e, par la sagesse qu’il sut opposer aux dérèglements de sa femme. Ses Amis (car Marc-Antonin quoique sur le trône, mérita d’
39 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445
lle voulut le suivre, disant que ce pauvre homme sans famille et sans amis dans Rome ne devait pas aller seul au cimetière.
urs ». Dès notre première étape, il rencontra un autre danseur de ses amis , qui l’invita à dîner et lui demanda si j’étais q
nt qui était là depuis le commencement de l’acte. Amené par un de ses amis qui était propriétaire du théâtre et qui avait in
blessé immobile et pâle comme s’il était mort, étendu sur un divan. L’ ami qui l’avait amené et deux médecins étaient là, ai
d’Autremont fut emporté sur un brancard et conduit au domicile de son ami où j’allai prendre de ses nouvelles dans l’après-
40 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 juin. « Les Femmes de bonne humeur ». »
sont misurati comme aurait dit ce Salvatore Vigano qu’admire tant mon ami Henri Prunières. Et l’on constate quelle source d
41 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
s’en alla, les uns avec leurs femmes, les autres avec celles de leurs amis , ceux-là comme ils étaient venus. Seuls, les troi
ir aux Italiens. — Il me proposa d’entrer aux Délassements. Un de ses amis , — Arthur Delavigne, — y faisait répéter une pièc
42 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
à me voir. C’était la comtesse Wolska, Polonaise également et grande amie de Madjeska. Elle aussi était en exil avec son pè
us drôle toutefois, c’est que ce même soir j’avais rencontré quelques amies et que j’avais été à deux doigts de ne pas rentre
43 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XII, la collection de m. groult » pp. 124-133
Quelques jours plus tard, Rachel Boyer me mena, avec une autre de ses amies , voir la collection, la fameuse collection de M.
ir. Un jour, le conservateur du musée de Bucarest vint à Paris, et un ami commun me l’amena. Entre autres choses il me parl
44 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Aduertissement. » pp. 1-3
e mon esprit & de mon stile, pour rappeller ma reputation que mes amis trouuoient engagee dans vne iniure insuportable.
45 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XVII. De la maniere de se conduire avec politesse dans les Bals reglez. » pp. 55-59
lles, & qui ordinairement ne sont composées que de parens & d’ amis , on doit y observer presque le même cérémonial qu
46 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
e ; assez comédienne pour se la faire pardonner. Léonide Leblanc, son amie , lui a appris à se tenir avec les personnes comme
ne fausse légère. Par exemple, un œil, une langue, un entregent ! Des amis partout ! Jusque sur les marches des trônes ! Au
ysique entre le zist et le zest. Je lis dans Panserose : « Elle a un ami et un enfant… Elle a déclaré l’un… L’autre n’a pa
œud de cravate au-dessus d’un gilet en cœur. Aussi a-t-elle pris pour ami un gentleman qui, au point de vue des goûts de la
une mélodie charmante d’Hérold, dans un opéra de Planard. Une de ses amies ne m’a-t-elle pas affirmé lui avoir entendu soupi
47 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques »
ons en étaient bientôt ornées. Les Pères, les Mères, les Parents, les Amis , attendaient toutes ces troupes différentes dans
48 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
t pas besoin que je nomme, Homme, envers-moi, de coeur humain, Et mon ami , de longue main, (Que Dieu gard50. de toute infor
49 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137
oyer est très-restreint. On les compte. Ce sont quelques privilégiés, amis ou parents du directeur, un ou deux journalistes
s blondes sont en majorité, et que j’y danse. Cela tient à ce que ses amis soutiennent que je suis son portrait frappant. Le
50 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Mort d’Hercule. Ballet tragique. » pp. 157-168
étré de honte et de repentir, ne peut soutenir les reproches dont son ami l’accable ; il lui jure qu’il renonce à son amour
t enfin ces deux amans. Il se précipite aussitôt dans les bras de son ami qu’il regarde comme un asyle où il est sûr de tri
51 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
nd elle y battit ses prodigieux entrechats, elle y retrouva d’anciens amis . Dès 1838, plus d’un habitué de la salle de la ru
, le présent, l’avenir y recueillirent les mêmes bravos… D’imprudents amis faillirent bien, par exemple, compromettre, en ce
52 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
: 185 L’ignorance toujours est prête à s’admirer. Faites-vous des amis prompts à vous censurer. &c. Un sage ami, tou
rer. Faites-vous des amis prompts à vous censurer. &c. Un sage ami , toujours rigoureux, inflexible, 200 Sur vos fau
e est équivoque ; il le faut éclaircir. C’est ainsi que vous parle un ami véritable. Mais souvent sur ses vers un auteur in
ique : L’ignorance toujours est prête à s’admirer. Faites-vous des amis prompts à vous censurer. Un sage ami, toujours ri
à s’admirer. Faites-vous des amis prompts à vous censurer. Un sage ami , toujours rigoureux, inflexible, Sur vos fautes j
jambe en l’air, le bras ne répond pas. C’est ainsi que vous parle un ami véritable ; N’allez point, par orgueil, devenir i
N’allez point, par orgueil, devenir intraitable. Mais distinguez l’ ami du sot admirateur, Et discernez sur-tout l’intére
orné nos ballets. Ce roi si valeureux, si chéri de la France, Et son ami Sully se plaisaient à la Danse4 : On peut, sans d
-fois danseur, musicien, poète, Ingénieux Gardel 7, mon maître et mon ami , Combien, en te perdant, Terpsicore a gémi ! L
p souvent l’amour-propre en cet art fait décheoir : Par les yeux d’un ami cherchez donc à vous voir. Jeunes gens, vainement
ses écrits, Peut-être de son art eût remporté le prix, 395 Si, moins ami du peuple, en ses doctes peintures Il n’eût pas f
é tout Paris, Et de son art peut-être eût remporté le prix, Si, moins ami du peuple, en ses vives peintures Il n’eût fait q
i eut un grand succès à l’Opéra. Ingénieux Gardel, mon maître et mon ami , Combien, en te perdant, Terpsicore a gémi ! Voy
53 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Discours préliminaire, préface, avis au lecteur, ou tout ce qu'on voudra . » pp. -
uteur qui n’est pas protégé, ou qui n’a pas l’honneur d’être de leurs amis , & refusent presque tout, dans la crainte de
54 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettre en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 décembre 1666 »
leur nature. Voilà ce que j’avais promis À tous Lecteurs, nos bons Amis , Et j’en suis quitte sans miracle. Mais, pour de
55 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
resse, Chantons en ce beau jour L’amour. Ou… Restons jusqu’à demain Amis , le verre en main, Pour boire à sa hautesse (ou b
audeville je dirais en langue du terroir et sur un air nouveau de mon ami Thys dont la modeste timidité est presque évangél
autre commençait ainsi une pétition au roi des Français : Cire. Une amie lui fit observer qu’elle était dans une fausse ro
e vous invite. La première fois on ne paye pas, on est reçu à titre d’ ami  ; la seconde fois c’est différent. La spéculatric
agents de change, 15 francs pour les étrangers, et 10 francs pour les amis . — Voulez-vous me permettre de me compter au nomb
r les amis. — Voulez-vous me permettre de me compter au nombre de vos amis  ? demande le rusé nez de carton. — Comment donc,
ortir d’embarras : huit jours suffisent pour réparer l’échec. Une des amies de madame de Longchamps occupe, rue Laffitte, un
e fait imprimer de nouvelles invitations et indique la demeure de son amie comme lieu de la réunion. Au jour dit, madame
t-monstre et lui demande la permission de lui amener le soir quelques amis , sans façon. Le soir arrivé, trois cents personne
iation non interrompue de malades qui considèrent le docteur comme un ami . On vient causer avec lui santé ou maladie comme
56 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
d’inventer des mascarades nocturnes ; chacun alloit déguisé chez ses amis , où il y avoit festin ou assemblée, y portoient d
isser la liberté aux Maîtres du bal de souper & d’assembler leurs amis , parce que les masques semblent se rendre les maî
57 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
e mes sentiments pour le Comité, et me croire pour la vie ton sincère ami , N° 2 Haymarket. VESTRIS. Voici une lettre de
uger par ce fragment d’une lettre non datée adressée de Londres à une amie  : Un mot sur les théâtres d’ici. D’abord nous s
58 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-
teur des bâtiments civils. Les témoins du marié étaient deux de ses amis personnels. Rosita Mauri Rue de Provence
u bonhomme ne s’élevaient qu’à une couple de centaines d’écus ! Notre ami Montjoyeux nous a laissé le croquis exact de ces
rrosses et d’avoir tabouret en sa cour ; la maman Sacré, une ancienne amie de Montmartre, qui s’en va sans cesse répétant :
59 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 mai. Peut-on reconstituer une danse antique. »
t reconstituer des danses du temps jadis. Et voilà qu’une très grande amie de la « victime » m’honore, à ce propos, d’une le
60 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 25 septembre. Raden Mas Jodjana, danseur classique. »
it pouvoir les persifler. Et si l’aveugle leur préfère décidément son ami le paralytique, qui s’en étonnerait ?
61 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre III. Sur le même sujet. » pp. 19-23
d’Echo et Narcisse, d’en faire la musique ; il céda aux instances des amis de l’auteur : cette nouvelle circule dans tout Pa
62 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
our où les personnes, dont le mariage rassemble leurs parens et leurs amis , ont reçu un sacrement : ceux et celles qui ont a
crement il se fait quelque banquet, s’il y a assemblée de parens et d’ amis , et quelque réjouissance ; ce sont des choses qui
63 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
autre prit le lièvre ; et lors il leur dit : Vous voyez, Citoyens mes amis , comme ces deux chiens étant nés d’un même père e
64 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
vif et liant, formèrent le plan d’un Spectacle nouveau, qui frappa l’ ami d’Auguste. Il affranchit Bathylle, il échauffa l’
65 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »
rait manqué de vraisemblance et de génie ? comment Mécène qui était l’ ami de Virgile, se serait-il contenté d’un Spectacle
66 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
it l’avantage de se faire copier à son tour. Ce Poète, dont un de ses amis a dit, que sa mort même n’avait rien fait pour sa
67 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
— Et maintenant nous allons avoir le plaisir d’entendre notre petite amie , Loïe Fuller, réciter une poésie intitulée : « Ma
68 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
limens du lendemain, ils vont directement frapper à la porte de leurs amis particuliers, et solliciter l’hospitalité. Encore
69 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
nger) croit reconnoître à l’approche de cette chaloupe sa sœur et son ami . Il regarde attentivement ; son cœur est pénétré
amant d’Inès ; Clitandre petit-maître François est amant de Béatrix, amie d’Inès : voilà les personnages sur les quels roul
Est-il possible que le génie créateur soit toujours persécuté ? soyez ami de la vérité, c’est un titre qui révolte tous ceu
issent s’égarer ; on dédaigne de le suivre. M. Diderot, ce philosophe ami de la nature, c’est à dire, du vrai et du beau si
70 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
r) croit reconnoître à l’approche de cette chaloupe sa sœur & son ami . Il regarde attentivement ; son cœur est pénétré
amant d’Inès ; Clitandre, petit Maître François, est amant de Béatrix amie d’Inès ; voilà les Personnages sur lesquels roule
Est-il possible que le Génie Créateur soit toujours persécuté ? Soyez ami de la vérité, c’est un titre qui révolte tous ceu
issent s’égarer ; on dédaigne de le suivre. Mr. Diderot ce Philosophe ami de la nature, c’est-à-dire, du vrai & du beau
71 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
rzer. — Séjour à Hambourg. — Fanny retirée à Vienne ; sa maison ; ses amis . — Bonheur de sa vieillesse. — Sa mort le 27 nove
72 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
re ; celle-là embrasse sa sœur ; le jeune Hyménée est entouré par ses amis . Cette scène offre un tableau plein d’intérêt ; l
73 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-
accordéon et demandant l’aumône. Et mon accordéon devint mon meilleur ami . Mais je trébuchais par les chemins. C’est alors
s nus, en février, dans la neige, par un froid intense. Avec quelques amis je visitais le quartier pauvre d’une ville provin
74 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50
oux de son père ; le vieil Horace serre dans ses bras son fils et son ami  ; Procule, qui veut que ce moment soit l’époque d
mpagné par Procule et Fulvie, par des chevaliers Romains et des dames amies de Fulvie. Le char s’arrête au milieu de la place
75 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
vous raconte ma vie ? Ça serait intéressant si j’imitais une foule d’ amies à moi qui ont inventé sur elles un las d’histoire
76 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XV. » pp. 83-88
vit heureux et tranquille, s’occupe de son jardin et cultive quelques amis . Il a tout ce qu’il faut pour en avoir et pour se
77 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36
s un domestique qui remplissait son service auprès de lui, c’était un ami fidèle qui par sa sollicitude et sa vigilance s’e
érite une étude à part) quelle souffrance la séparation causait à son ami . Mais la vocation d’artiste exigeait un sacrifice
alent propre de chacune des deux Viennoises. Pour faire plaisir à son ami Gentz, elle avait assisté, le 8 octobre, à la rep
z, la traitait avec peu de ménagements. La protection de cet illustre ami la mettait à peine à l’abri du besoin. Alphonse R
78 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
oute la salle résumé dans son applaudissement désiré. *** Un jour, un ami me mena chez Sarah Bernhardt : Cela se réalisait,
mes séances, les spectateurs étaient dans l’obscurité, et une de mes amies , qui s’était placée auprès de Sarah pour entendre
79 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
voya sa loge pour le Théâtre-Français. Je m’y rendis avec de nombreux amis  : nous étions douze, parmi lesquels la femme du c
que le prince Bojidar Karageorgevitch, un bon, un brave, un excellent ami , voulut bien adapter en français, travail laborie
80 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53
ffeur s’appelait Pointe. Pointe n’était pas seulement le confident, l’ ami , le fournisseur et le petit journal des sujets et
hestre. Or, ces fauteuils sont occupés, — jusqu’au dernier, — par des amis privilégiés de l’auteur, du ministère ou de l’adm
81 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii » pp. 96-101
ions différentes ; la première excita le sourire, mais scandalisa les amis des mœurs ; l’autre fit bailler les gens de goût 
82 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
raitent de pair à compagnon avec le bon Dieu, qui est certainement un ami plus intéressant et un camarade plus gentil que l
u m’appelais ton fils, je te disais : Maman devant tout le monde. Tes amies ne t’approuvaient pas. Tu leur répondais : Laisse
83 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
vous en donnent l’occasion ; car quand vous aurez été appelé par vos amis , et que vous serez là avec eux tant qu’il vous se
84 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre première. À Voltaire. » pp. 2-7
se se débarrassera des bras de son amante pour voler dans ceux de son ami . La belle Gabrielle employera l’éloquence de ses
85 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XII. » pp. 115-121
haque année à celle du Duc de Wurtemberg ; on trouvoif chez ce Prince ami des arts, des talens et de le magnificence, la da
86 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
ses, les sourires égrillards, les œillades incendiaires. « Mes bonnes amies , leur disait-il, soyez charmantes, coquettes ; mo
iorité de l’une ou de l’autre déesse. Toutes deux eurent de puissants amis dans l’armée. Tandis que Lise Noblet s’appuyait s
e se changèrent en fontaines, en fleuves. Sa vie parut en danger. Son ami ne trouva d’autre moyen de la sauver que de l’épo
87 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87
. Vous lui ressemblez beaucoup. Osez-lui ressembler davantage. — Cher ami , vous n’y pensez pas ! La décence… ma position… l
milieu d’un joyeux souper que mademoiselle Dorival terminait avec des amis . La danseuse et le danseur se réconcilièrent, le
Elle avait soixante-quatre ans, lorsque, cédant aux sollicitations d’ amis intimes, elle consentit à donner pour eux seuls u
88 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119
olonté. Mais la bonne volonté, comme disait une ancienne biche de mes amies , c’est insuffisant. Ça ressemble à la monnaie des
89 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
nante que le siècle d’Auguste fut celui de l’éloquence. Cicéron fut l’ ami de Roscius ; c’est faire l’eloge de cet acteur. M
90 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75
ler la règle, la régularité, la méthodique. Un esprit libéral, de mes amis , affirme que le cancan est, lui aussi, un produit
91 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
fois je n’étais plus une inconnue, comme en 1892, j’avais de nombreux amis parisiens dans la salle. Il en vint beaucoup sur
92 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
trouvait justement à Paris et je l’envoyai à Anvers avec deux de mes amies . Après de nombreuses difficultés, et grâce à la p
93 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »
ire. Elle amenait, affirmait-on, une renaissance. J’ai, en Russie, un ami très cher : un de nos plus subtils critiques. Une
94 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108
que foiblement aux nouveaux pièges, que la volupté lui présente. Ses amis , honteux de sa foiblesse, emploient de leur côté
95 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136
eut le rapprocher, que dis-je, le faire arriver. Je le souhaite ; les amis de l’humanité forment le même vœu ; il est généra
96 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
édecins et chirurgiens ordinaires et extraordidaires de l’Opéra : mes amis de Guise, Roux, MM. Marjolin et Magendie ; la con
ioni resta plusieurs mois sans danser. Trois ou quatre ans après, mon ami Adam fut appelé comme compositeur à Saint-Pétersb
es sœurs Elssler. Elles y retrouvaient leur frère et tout un cercle d’ amis . Le souvenir de leurs anciens succès y était rest
e telle fougue qu’un artiste, porteur d’un nom sympathique à tous les amis de la danse, le jeune Mérante, fut lancé par-dess
97 (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22
oment favorable pour lier conversation avec l’Ondin, dont il devint l’ ami , et qui lui rendit visite dans sa chaumière, le p
engloutir, on peut lire la joie et l’orgueil du triomphe, lorsque les amis de Mattéo accourent et l’arrachent à cette situat
98 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
poussé par la fantaisie, la seule muse qui l’ait trouvé docile, notre ami Charles Nodier s’en va visiter les montagnes de l
t parti. Effie, indignée, accable Gurn de ses mépris, elle rend à son ami ses grâces les plus charmantes, elle est toute pr
99 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VII, un voyage en russie. — un contrat rompu » pp. 72-81
’est dans cet état d’esprit que j’arrivai à Berlin. Heureusement, mes amis étaient à la gare. Avant mon arrivée, ils avaient
100 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
i fixèrent par leurs talens l’admiration d’un peuple enthousiaste, et ami des arts ; ces tristes monuments n’étoient éclair
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