ois personne de connaissance, et j’ai déjà soif. Un habitué , à son
ami
. Parole d’honneur ! tu n’es jamais venu ici, toi
é , à son ami. Parole d’honneur ! tu n’es jamais venu ici, toi ? L’
ami
. Parole d’honneur ! L’habitué. C’est drôle ? Où
neur ! L’habitué. C’est drôle ? Où donc passes-tu tes soirées ? L’
ami
. Dans ma famille. L’habitué , avec intérêt. Pa
mi. Dans ma famille. L’habitué , avec intérêt. Pauvre garçon ! L’
ami
. Les femmes célèbres sont-elles déjà venues ? L
Pas encore. Je crois cependant avoir aperçu Alice la Provençale. L’
ami
. Qu’est-ce que c’est qu’Alice la Provençale ? L
ilmuche, et que Marguerite la huguenote salue comme une collègue. L’
ami
. Ah ! Marguerite la huguenote ? je la connais ; o
a maîtresse de ce Mané ? L’habitué. On dit que c’est son oncle. L’
ami
. C’est donc cela ? — Est-ce qu’elle va venir ?
aincu. Les bals du Casino ne pourraient pas avoir lieu sans elle… L’
ami
. Danse-t-elle vraiment bien ? L’habitué. Comme
i. Danse-t-elle vraiment bien ? L’habitué. Comme un ange1. Les deux
amis
, tout en causant, arrivent dans la salle des port
deux amis, tout en causant, arrivent dans la salle des portraits. L’
ami
. Quelles sont ces femmes ? Les célèbres danseuses
dames sont mesdames Sévigné, de Girardin, etc. — Tu les flattes ! L’
ami
. Tiens ! c’est vrai. L’habitué. C’est heureux q
eureux que tu aies dit cela tout bas, on se serait moqué de nous. L’
ami
. Qui ça ? L’habitué. Les habitués. L’ami. C’e
erait moqué de nous. L’ami. Qui ça ? L’habitué. Les habitués. L’
ami
. C’est cela qui m’est égal, que ces messieurs et
pas à moi… Tiens ! voilà Alice. — Veux-tu que je te la présente ? L’
ami
. Je n’y tiens pas. L’habitué. Si, laisse donc f
ce qu’il y a ? L’habitué. Monsieur qui voulait te voir de près. L’
ami
, confus. Mademoiselle, je… Alice. Il est vila
rès. L’ami , confus. Mademoiselle, je… Alice. Il est vilain, ton
ami
. — Monsieur ne vient pas souvent ici, n’est-ce pa
lain, ton ami. — Monsieur ne vient pas souvent ici, n’est-ce pas ? l’
ami
. C’est la première fois, et je suis heureux, pour
x, pour une première visite, de… Alice. Payes-tu quelque chose ? l’
ami
. Avec plaisir : c’est me faire beaucoup d’honneur
ler comme tu parles… C’est pas convenable, ça humilie les autres. L’
ami
. Mais je ne parle pas mal, je crois.. Alice. Co
e ne parle pas mal, je crois.. Alice. Comment que tu t’appelles ? L’
ami
rougit et ne répond pas. — Tu ne veux pas le dire
— ça m’est égal… Tu viens en incognito ; est-ce que tu es marié ? L’
ami
. Pas encore. Alice. Tu l’es ! je vois ça… Eh bi
nant, je jouerais des rôles à M. Mélingue, si on me le demandait. L’
ami
, bas à l’habitué. Quelle drôle de fille ! L’h
eux. Je suis avec un nouveau. Alida. Je monte, alors. Alice , à l’
ami
. Çà t’est égal, mon vieux, qu’Alida vienne se ra
t’est égal, mon vieux, qu’Alida vienne se rafraîchir avec nous ? L’
ami
. Au contraire, et je suis enchanté… Alice. T’es
ant. Bonjour, messieurs et la compagnie. — Garçon, de la bière ! L’
ami
. C’est de la bière que vous voulez prendre, vous
ne glace ? Alida , le regardant. Monsieur n’habite pas Paris ? L’
ami
. Pourquoi me demandez-vous cela ? Alida. Pour r
— Garçon, donnez-moi des échaudés alors, et de la bière anglaise. L’
ami
. C’est vous qu’on nomme Alida ? Alida. Oui, mon
a ? Alida. Oui, monsieur, Alida Gambilmuche, de mon nom de bal. L’
ami
. Vous êtes danseuse ? Alida. Par vocation, oui,
L’ami. Vous êtes danseuse ? Alida. Par vocation, oui, monsieur. L’
ami
. Il y a longtemps que vous venez ici ? Alida. D
Alida. Depuis la fondation. — Monsieur est juge d’instruction ? L’
ami
. Je suis négociant. Alice. Fais pas attention,
ître. Ça t’est égal que je le tutoie ? ça me gêne de dire vous !… L’
ami
. — Tutoyez-moi… je n’y vois pas d’inconvénients.
argent. — Elle économise et tient beaucoup à se faire des rentes. L’
ami
. — Elle a raison. Alida. — Ça dépend des tempér
L’ami. — Elle a raison. Alida. — Ça dépend des tempéraments. — Son
amie
, c’est Hortense, — Hortense la riche, comme on la
sé. On reçoit, mais on ne donne plus, c’est devenu mauvais genre. L’
ami
. — C’est horrible, du reste. Alida. — Ça dépend
se ferait pas couper une mèche de cheveux pour dix mille francs. L’
ami
. — Mais alors toutes ces dames sont riches. Ali
s billets de mille, mais ces gueux-là courent plus vite que nous. L’
ami
. — Quel est ce monsieur qui donne le bras à Rosal
saute comme une sauterelle et qui n’en est pas plus fier pour ça. L’
ami
. — En somme, tout cela est très-amusant. Alida.
me l’offrir, — à moins que tu ne veuilles me servir de cavalier. L’
ami
. — Merci, je ne sais pas danser. Alida. — Alors
ir. — Viens-tu, Alice ? Alice. — Voilà. — (Saluant.) — Messieurs. L’
ami
répond à ce salut par une respectueuse révérence.
vérence. — Une fois ces dames parties, l’habitué prend le bras de son
ami
. L’habitué. — Eh bien ! qu’en dis-tu ? L’ami.
prend le bras de son ami. L’habitué. — Eh bien ! qu’en dis-tu ? L’
ami
. — Je dis que c’est charmant et que je suis encha
que je suis enchanté d’y être venu… L’habitué. — N’est-ce pas ? L’
ami
. — Pour n’avoir plus à y revenir. 1. Je prie l
son nom. Aussi bien me suis-je toujours moins inquiétée du nom de mes
amis
que de mes amis eux-mêmes. Après la Jamaïque nous
ien me suis-je toujours moins inquiétée du nom de mes amis que de mes
amis
eux-mêmes. Après la Jamaïque nous retournâmes à N
olies-Bergère et qu’un monsieur élégant demanda à me parler, avec son
ami
le ministre des Finances de Haïti, il se trouva q
mois après une révolution qui avait éclaté à Haïti. Le père de notre
ami
, un des grands financiers de l’île, avait été ass
’il était resté à la Jamaïque il avait essayé de communiquer avec ses
amis
, via New-York, et il n’était pas arrivé à savoir
suis sûr, vous fera grand plaisir. Je peux vous présenter à mon vieil
ami
, Alexandre Dumas. Il ajouta, en souriant d’un jo
ta, en souriant d’un joli et bon sourire : — Je peux dire « mon vieil
ami
», car mon père, déjà, était un vieil ami de son
— Je peux dire « mon vieil ami », car mon père, déjà, était un vieil
ami
de son père. — Vraiment ! dis-je, au comble de la
ntente de votre main serrée. » Je ne compris pas sa réponse, mais mon
ami
par la suite me dit que Dumas avait répliqué : —
est pas serrée, mais je sais ce que vous voulez dire, mon enfant. Mon
ami
Poulle m’a raconté ses jours d’exil à la Jamaïque
e appartement. Je me souviens qu’il y avait là un M. Singer, un vieil
ami
de Dumas, qui demanda s’il était « indiscret », e
t me tendant sa main libre. — Indiscret ! Certainement non ! Tous mes
amis
doivent connaître Loïe et l’aimer. Lorsque je pri
s qu’il était enfant. Sur la photographie ces mots : « De votre petit
ami
Alexandre. » Et c’est un de mes plus précieux sou
de l’impatience. Un gandin brun. Tu es sûr qu’elle viendra ? Son
ami
. Parfaitement ! car elle a fait répondre que oui
si changeantes ! Le gandin brun. Elle n’est pas encore sortie ? L’
ami
. Pas encore. La pièce n’était pas finie que j’éta
lui suffit pas à se déshabiller. Le gandin. Elle est gentille.. L’
ami
. Très-gentille ! on dit qu’elle est amusante en s
amusante en société. Le gandin. Me conseilles-tu de la garder ? L’
ami
. Ça dépend. Ton père double-t-il enfin ta pension
dépend. Ton père double-t-il enfin ta pension ? Le gandin. Oui. L’
ami
. Garde-la alors… Le gandin. On dit qu’elle s’ap
. L’ami. Garde-la alors… Le gandin. On dit qu’elle s’appelle ?… L’
ami
lui dit le nom à l’oreille. Soyons discrets ! L
Le gandin. Elle n’est pas mal dans son costume du Radis-Noir ? L’
ami
. Il lui va bien. Le gandin. Est-ce que les jamb
Il lui va bien. Le gandin. Est-ce que les jambes sont à elle ? L’
ami
. Probablement ? On dit qu’elle est sage… Le gan
Je m’ennuie ici, à voir sortir tous ces figurants et ces acteurs. L’
ami
. Ils ne font pas attention à toi ; ils sont habit
en riant, je suis sûr que j’ai l’air d’un gandin qui attend sa bonne
amie
… (Il s’éloigne un peu.) Il est une heure, le temp
à laquelle j’aurais été heureuse de rendre service. A Paris ma grande
amie
, Névada, la célèbre chanteuse américaine me l’ava
, ses derniers mots furent ceux-ci : — Je serai charmée d’aider votre
amie
, puisque je pourrai ainsi vous être agréable. Je
. Je partis enchantée et reconnaissante, autant pour moi que pour mon
amie
. Puis j’allai à l’ambassade des Etats-Unis. Je v
aine enfin d’avoir un bon public, je retournai à l’hôtel et dis à mon
amie
que l’occasion si longtemps désirée par elle de s
e. Je décidai de donner une soirée pour la presse le jour même où mon
amie
paraîtrait en matinée devant la princesse et les
t cette soirée fut également un grand succès. Une dame enfin pria mon
amie
de danser chez elle. L’étoile demandait très cher
décourageai pas. Entre temps, j’ai oublié de le dire, la mère de mon
amie
nous avait rejointes à Vienne et au lieu d’un hôt
ingt représentations dans l’un des premiers théâtres de Budapest. Mon
amie
devait répéter dès le lendemain. Ce même jour j’e
tternich. Auprès de tous, j’ai dû passer pour une imposteuse, car mon
amie
continua à paraître en public dans ce que j’avais
de la Société du Muséum d’instruction publique de Bordeaux [1] Des
amis
qui s’intéressent à mon ouvrage, désiraient que j
r dans le choix de mon Mécène ? [4] J’ai donc écarté les idées de mes
amis
, que je remercie cependant, et je suis descendu d
placent votre nom à côté des artistes dont la mémoire sera chère aux
amis
des arts et de l’harmonie. Eh bien ! Ce sera sous
fit à Paris, le marquis et la marquise d’Oyley, qui étaient de grands
amis
du souverain et qui aimaient beaucoup ma danse, a
nte que possible puis je saluai, jusqu’à ce que le rideau tombât. Mes
amis
furent étonnés de voir que ma dernière danse avai
ens de sa suite, et lui raconter comment j’avais reçu le drapeau. Mes
amis
d’Oyley me consolèrent en me disant que mon attit
osition coloniale de Marseille, en 1907, je me trouvais avec quelques
amis
dans le pavillon d’un exposant, lorsqu’un superbe
tais ravie. Lorsque je fus devant le roi, je dis tranquillement à mes
amis
, à voix distincte et en français : — Quel beau sa
fâché ou non. Il sourit avec finesse et je sentis que nous devenions
amis
… Je dansais à Marseille à cette époque. Il vint a
-York, lorsque la suite de Li Hung Chang vint un soir au théâtre. Des
amis
me présentèrent à l’attaché militaire américain,
nqué, puis bientôt je n’y pensai plus. Un jour, à Londres, une de mes
amies
, se trouva à un dîner, placée auprès d’un très ha
arin, on en était venu à parler de moi et de mes danses colorées, mon
amie
dit à son voisin : — Vous ne connaissez sans dout
e pendis ma jaquette jaune et on vient seulement de me la rendre. Mon
amie
plaida ma cause, en alléguant l’état de santé de
ment à moi, au lieu de prévenir le directeur. Le même soir une de mes
amies
vint m’aviser qu’elle avait écrit la veille à la
ndra vos nouvelles danses célèbres dans le monde entier, me dit cette
amie
. Et la Reine viendra, j’en suis sûre, si cela lui
, si cela lui est possible. Au comble de la surprise, je regardai mon
amie
et m’écrirai : — Mais alors, c’est pour cela qu’e
venue à la matinée. Et en détail, je racontai toute l’histoire à mon
amie
. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi la Rein
Marquet. — Ravel. — Son opinion sur les blondes. — En mot d’un de mes
amis
. — La brune. — Définition de la brune. — Comment
’est de la frapper de temps en temps quelque peu. XII Un de mes
amis
disait un jour : « Les blondes, c’est comme les œ
le extrêmement réservé, indifférent, et de faire la cour à une de ses
amies
. La brune est jalouse avant tout. Avant comme apr
aconter celle qu’il employa il y a quelques jours auprès d’une de mes
amies
: Il ne la connaissait pas, ne l’avait jamais vue
ut sonner à sa porte. La bonne l’introduisit. Une fois en face de mon
amie
, il s’assit sans dire mol et la regarda avec des
s’assit sans dire mol et la regarda avec des yeux de somnambule. Mon
amie
rompit le silence la première. — Qu’y a-t-il pour
oins de la chambre. — Mais que cherchez-vous donc, monsieur ! fit mon
amie
véritablement effrayée. — Hélas ! mademoiselle, r
Cette habile naïveté eut le résultat que le malin en attendait. Mon
amie
se mit à rire aux éclats. Et elle lui indiqua le
appréhension disposé à traiter Juste Odoard comme un compagnon et un
ami
. Ce sont vos propres expressions. Vous m’avez dit
dre ma solitude moins austère en le traitant comme un compagnon et un
ami
. » Je reconnais bien là la bonté candide de vos j
être honnête et intelligent pour mériter de devenir le compagnon et l’
ami
d’un homme tel que vous, dans la vie changeante e
vous ne l’y encouragez pas. Mais s’il est et votre compagnon et votre
ami
, vous le lui permettrez, et, en supposant que vou
rire. » Et il m’a quitté sans montrer aucun mécontentement. Donc, mon
ami
, vous êtes libre de suivre mon conseil ou de révo
Le Théâtre représente un jardin agréable. Arlequin danse avec ses
amis
, leurs maitresses & la sienne, dont il est de
sses & la sienne, dont il est de plus-en-plus enchanté. Sa tendre
amie
, lorsqu’il ne s’en apperçoit pas, écoute avec pla
quin, qui, feignant d’en être touché, conjure encore le Magicien, son
ami
, de lui procurer les trésors renfermés dans les c
e parti de celui qui vient d’être puni par Arlequin. Combat entre les
amis
du mort & ceux d’Arlequin. Plusieurs sont tué
tre représente une Campagne arrosée d’une rivière. Arlequin & ses
amis
jettent dans la rivière les corps de ceux qu’ils
tisfait. Des femmes font entrer dans le mortier quelques-uns de leurs
amis
: un d’eux, qu’on a pilé, apperçoit dans la foule
ien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. Je vous remercie, mon
ami
, et je suis sûr que votre choix est excellent. Je
à son propre père. Après le mien, vous êtes certainement mon meilleur
ami
. Eh bien, je ne vous ai rien dit, et lui, il est
; je ne vous dirai que ce qui fait l’objet de vos interrogations. Mon
ami
, ne faites pas fausse route ; ce n’est pas la cra
de rien deviner. Vous-même… mais je ne vous fais pas de reproche, mon
ami
. Vous ne saviez pas non plus ! Vous aviez vécu ca
créature l’amour sublime et complet que nous devons à Dieu seul. Mon
ami
, tout cela est faux. Dieu ne nous permet pas seul
ariage pour moi, parce que la mère de ma femme avait été la meilleure
amie
de ma mère. Cette personne excellente et charmant
seule. Ce n’étaient que des promenades dans le parc avec notre vieux
ami
Clairac pour écuyer. Mais je dus, au bout de peu
i professé ni la théorie du désespoir, ni celle du découragement. Mes
amis
se sont mariés autour de moi, je ne les en ai pas
s’agit de n’associer personne à mon mal. Vous me feriez souffrir, mon
ami
, si vous répondiez au fond de cette lettre et si
demandé, comme une véritable faveur, de venir à un bal donné par des
amis
à lui et d’ouvrir ce bal. Enchantée à l’idée de l
re Theater m’avait prié d’ouvrir. Je m’y rendis. On nous conduisit, l’
amie
qui m’accompagnait et moi, dans un petit salon où
t bien vouloir dire. Cela me préoccupait malgré moi. Le lendemain mon
amie
m’apporta un journal dans lequel je trouvai en pr
retenu des places à bord d’un paquebot. Après avoir pris congé de mes
amis
, je m’en fus donc, pleine d’espoir et de désirs.
eait avec sa femme, une belle Américaine, qui était devenue ma grande
amie
, et qui lui fit les plus sanglants reproches à mo
es repas mais sans faire plus ample connaissance. J’avais de nombreux
amis
autour de moi. Il était seul. Peu à peu mon cœur
aturellement. Comme je l’ai déjà dit, j’avais là-bas de très nombreux
amis
. Tout à coup, dans un angle de la salle de bal, j
bligée de quitter Nice. Au moment où mon train allait partir, mon bel
ami
monta dans mon wagon, et m’accompagna jusqu’à Mar
e affirmait son jeu indigne à mon égard, la correspondance de mon bel
ami
cessa. Je lui écrivis plusieurs lettres : elles d
ce. Mon cœur se mit à battre à coups précipités dans ma poitrine. Mon
ami
venait vers moi. Nous allions nous croiser. Il ne
ce obéit à Minerve, et s’embarqua avec quelques troupes ; Pylade, son
ami
fidèle l’accompagna sur un autre vaisseau, et ce
nt Iphigénie, sœur d’Oreste, étoit grande prêtresse. Ce Prince et son
ami
Pylade, après avoir échapé au naufrage, sont arrê
’engage d’aller à Mycènes, et de rendre exactement la lettre dont son
ami
vent le charger. Oreste, au moment d’être sacrifi
it joint son vaisseau, que pour revenir avec ses soldats délivrer son
ami
ou périr avec lui, arrive dans l’instant où Thoas
ne court dans les bras de son père ; Oreste se jette dans ceux de son
ami
et ne les quitte que pour voler dans ceux de sa s
e de Diane. Oreste, Roi d’Argos et Mycènes. Pylade, Roi de Phocide,
ami
d’Oreste. Isménie, épouse de Thoas. Eumène, sec
débris encore flottans de celui d’Oreste. Il arrive au secours de son
ami
; l’un et l’autre font des prodiges de valeur ; i
uhaitent également de mourir ; chacun veut conserver les jours de son
ami
. Iphigénie, entrainée, sans le savoir, par la voi
un ne veut céder l’honneur de perdre la vie, pour sauver celle de son
ami
; tous deux se pressent et se sollicitent à prend
me résistance dans Pylade qui la presse de conserver les jours de son
ami
. Oreste, irrité du refus opiniâtre de Pylade, s’a
ait devant mes yeux. C’était à Londres, quelques mois auparavant. Une
amie
m’avait demandé de venir dîner avec quelques offi
rte d’hommes qui vont au-devant de la mort comme on va au-devant d’un
ami
qu’on rencontre dans la rue. A cette époque, je n
er une danse ! Comment n’y avais-je encore jamais pensé ? Deux de mes
amies
, Mme Hoffman et sa fille, Mme Hossack, venaient d
ous ne parlâmes ni l’une ni l’autre. Mais quelques mois plus tard mon
amie
me dit que ce soir-là je ne cessai de faire enten
i comme danseuse, consentit négligemment, grâce à l’intervention d’un
ami
commun, à me laisser essayer ma danse devant lui.
tait debout. Parmi les spectateurs se trouvait l’un de mes plus vieux
amis
, Marshal P. Wilder, le petit humoriste américain.
r que faire. Ma tête tournait. Je revins à la maison et consultai mes
amies
. Elles me conseillèrent d’aller voir un autre dir
mandai s’il n’était rien venu pour moi du Casino. Rien ! Le soir, mes
amies
allèrent au théâtre où elles purent contempler un
rs, obtint le divorce et mourut. Gentz traitait avec faste ses belles
amies
. Un auteur qui a publié en 1808 un Tableau de la
re était fier de pouvoir offrir, au cœur de l’hiver, à ses nombreuses
amies
. Une page de l’Autobiographie de Grillparzer nous
yalement payé. Après sa mort, Rothschild dit de lui : « C’était là un
ami
! Je n’en retrouverai jamais un pareil. Il m’a co
rrir la passion qu’elle lui inspirait. Un autre jour il dit à la même
amie
que la rencontre se fit dans l’hiver de 1829 par
éveiller en vous, pour un instant rapide, le souvenir de votre vieil
ami
. Si la centième partie seulement des vœux que je
agatelles » renfermées dans un carton, probablement des dentelles. Un
ami
avait désapprouvé son choix, mais il consulta une
tres encouragements encore. Il éprouve le besoin de savoir ce que ses
amis
pensent de son cas. Il va faire des confidences à
olonger les illusions du bel âge. » En souple diplomate autant qu’en
ami
indulgent, Prokesch-Osten endort les scrupules de
nces, Gentz vante les heures délicieuses qu’il passe avec sa nouvelle
amie
. Pour éviter le ridicule de paraître trop sérieus
combien je suis enclin aux pensées mélancoliques. Pardonne donc, mon
amie
adorée, si même aux délices de ce jour je mêle un
ses sentiments mieux qu’elle ne saurait le faire, et les envoie à son
ami
. Et lui s’extasie devant ce naïf griffonnage ; il
lequel il avait vécu, dont il avait vécu. Néanmoins, au milieu de ses
amis
consternés, il resta souriant et fut même joyeux.
a lui-même plus tard à Rahel qui s’en étonnait. En permettant que son
amie
s’éloignât, il montrait combien profond et désint
rôle. Rahel ne savait rien encore de la dernière passion de son vieil
ami
. Elle en apprit toute la force et les singuliers
t favorise cette liaison, du côté de Fanny en lui parlant de Gentz en
amie
dévouée, du côté de Gentz en exaltant les qualité
usions complètes. A cette première visite, Fanny séduisit sa nouvelle
amie
plutôt par l’harmonie de tout son être et par l’e
dente, à l’indulgente protectrice de ses amours : « Il n’y a pas deux
amies
comme vous au monde ! » La passion qui était main
dissèque. Rahel admirera sa précision d’anatomiste. « Oui, ma chère
amie
, écrit-il de Presbourg le 18 octobre 1830, il fau
Rahel lui avait demandé s’il ne craignait pas que sa charmante petite
amie
, devenue l’idole du public berlinois, ne se laiss
a dormi ma douce bien-aimée, mein süszes Lieb (pour parler avec notre
ami
Heine) et comment elle se porte aujourd’hui… J’es
t pas tous deux au même culte. Gentz, malgré l’action de son mystique
ami
Adam Müller, malgré ses sympathies secrètes pour
n dans une lettre du 15 juin où il rapporta des propos tenus par leur
ami
, six semaines avant sa mort, au comte Münch. « La
relle, de la part de la confidente qui veut faire plaisir à son vieil
ami
et qui le prend par son faible en chatouillant sa
erains, que les princes et les ambassadeurs s’honoraient d’avoir pour
ami
, celui qui était l’un des hôtes les plus brillant
anny Elssler. Elle joue le rôle que l’opinion publique attribuait à l’
amie
de Gentz. « Juliette chez Roméo », comme dit le t
ir été dans l’intimité du duc. Sur une lettre qu’elle écrivit à cette
amie
, le 27 juin 1837, et qui est conservée au musée d
pée de politique ; elle n’avait pas à épouser les animosités dont son
ami
était l’objet, soit de la part des bonapartistes,
vec Gentz, et jusqu’à sa mort elle garda pieusement la mémoire de son
ami
parti depuis longtemps. » Elle évoquait la chère
une main tremblante quelques fleurs sur la retraite momentanée de mon
ami
; et en vous entretenant de ses talens, de ses co
s, en Allemagne, et en Italie ; et lorsqu’il partoit, il disoit à ses
amis
: « Je vais faire mes études, et on acquiéraut de
rick en applaudissant à l’imitation de Préville, lui dit : « mon cher
ami
, vous avez manqué une chose bien essentielle à la
— « C’est que vous avez oublié de faire boire vos jambes ; tenez, mon
ami
, je vais vous montrer un bon Anglais qui, après a
sa un cri d’effroi ; sa crainte augmenta encore lorsqu’il vit que son
ami
ne répondait à aucune de ses questions. Après avo
lle dans les bras. Celui-ci lui dit avec transport : « permettez, mon
ami
, que l’écolier embrasse son maître, et le remerci
lorsque je viens chez vous, c’est pour vous voir, et causer avec mon
ami
, et je n’y viendrois sûrement pas, si j’étois ass
snil, sans la copier servilement, j’ajouterai que son modèle, étoit l’
amie
et la confidente de la nature ; que rien n’étoit
ler ! Enfin je comprenais, il m’avait prise pour une de ses anciennes
amies
. — Je sais de qui vous voulez parler, répondis-je
it tout à fait inconnu. Mais ce monsieur pouvait m’être envoyé par un
ami
: je le reçus donc. Un grand gentleman entra, et
à Paris, et qu’un beau jour son amant la planta là. Sur le pavé, sans
amis
, sans le sou, malade, elle m’envoya chercher… L’a
rits puisque je retrouve dans mes papiers ce billet signé d’un de mes
amis
, M. Auguste Masure : « Chère miss Loïe, « Nous a
princes, de petites princesses et de toute une petite suite de petits
amis
. Lorsque vint mon tour d’entrer en scène, les lum
nces, dans son somptueux appartement de l’avenue Wagram, pour que ses
amis
pussent applaudir la charmante enfant. A l’une de
belle jeune femme ; mais c’est toujours pour moi une bonne et fidèle
amie
. *** Lorsque j’avais seize ans, je fis la connais
donna des fêtes brillantes ; Hercule à l’exemple d’Apollon devient l’
ami
et le Protecteur d’Admète ; mais Lycomède dont l’
ceux qu’elle croit le plus terdrement attachés à son époux ; mais ses
amis
fuient et l’abandonnent, alors elle prend la nobl
fans. Ismène exprime sa douleur, et Hercule promet à Alceste d’être l’
ami
de sa famille. Cependant l’oracle est accompli ;
te. Hercule lutte contre eux, les terrasse, et enlève l’épouse de son
ami
. Cinquième partie. La décoration représente
ici le dire ; Aussi, ne vais-je le décrire Qu’en faveur des Lecteurs
Amis
À qui, certe79, je l’ai promis, Car, ALTESSE, d’A
: Je m’embarquais à Cherbourg, en compagnie de ma mère et de quelques
amis
, à destination de New-York. Pierre Mortier monta
orter ses vœux de bon voyage. Nous lui fîmes visiter nos cabines, mes
amis
et moi, et nous l’enfermâmes dans l’une d’elles.
gligente n’était pas faite pour apaiser l’humeur belliqueuse de notre
ami
: il sonna derechef et, cette fois, trois fois de
sa la chaussure à terre et disparut… Au paroxysme de la fureur, notre
ami
s’habilla en un tour de main et gagna le bureau d
’était donc soixante-quinze francs qu’il lui fallait débourser. Notre
ami
était persuadé que le concierge avait payé la cou
rendu les bijoux. Et je me demande parfois ce que doivent penser mes
amies
de quelques heures d’une femme qui a osé accepter
s expressions énergiques que je ne rends pas : délivrez moi donc, mon
ami
, de la peine où je suis, donnez par charité du mo
’intéressoient en leur faveur. Les soldats gagnés à l’avance, par les
amis
de Lyncée, se rangeoient du côté de l’innocence.
et mêloit ses larmes à ses prières. Le coup étoit suspendu ; mais les
amis
de Lyncée arrivoient furtivement ; l’un d’eux arr
itre à la solliciter auprès de ce grand Prince protecteur des arts et
ami
des sciences. Ce Monarque déploye chaque jour en
ssance que le Picq, mon élève a fait éclater envers son maître et son
ami
; sentimens rares qui s’allument et brillent un i
. Ils leur donnaient cinq minutes pour se préparer. Mon père était un
ami
intime des personnes chez lesquelles on se rendai
consiste, aux États-Unis, à se rendre, la nuit et en groupe, chez des
amis
qu’on n’a point prévenus d’une telle visite. On r
ent tous les ans les fonds qui y sont destinés. Des hommes opulens et
amis
des arts firent un prospectus, dans le quel ils p
, que la mort a enlevé à son art, aux amateurs, à sa famille et à ses
amis
, m’a assuré qu’indépendemment des bienfaits de la
« s’enrichir » qui feraient leurs réputations s’ils étaient dévoilés.
Amies
, dans l’intérêt de votre gloire, laissez-moi en d
t la durée de la fête, le cachemire a été retiré du vestiaire par une
amie
intelligente et remplacé par le tartan en questio
st dans la vie privée que les femmes sont vraiment fortes. Une de mes
amies
, que je ne nommerai pas pour ne point lui faire d
horégraphie en Italie. Stendhal s’efforçait de faire comprendre à ses
amis
parisiens l’abîme qui séparait Viganò des autres
se rencontre à donner les raisons de son admiration. Il envoie à ses
amis
des scénarios, mais en même temps prend soin de l
à l’amour, regarde sans plaisir au cours du festin que lui offre son
ami
Murena, les danses de deux esclaves grecs. Viganò
ilanais blâmèrent fort Viganò d’avoir donné ce spectacle immoral d’un
ami
entraînant au mal son ami. Le troisième acte se p
anò d’avoir donné ce spectacle immoral d’un ami entraînant au mal son
ami
. Le troisième acte se passe à l’intérieur du temp
iés aux ressources de la comédie muette qu’est le cinématographe. Les
amis
de Stendhal qui ne connaissaient d’autres ballets
. Il passait la nuit à travailler avec sa troupe ou à causer avec des
amis
et ne se couchait jamais avant le jour. Il était
était très généreux et tenait table ouverte. Une foule de parents, d’
amis
et d’amis de ses amis vivaient à ses crochets, sa
s généreux et tenait table ouverte. Une foule de parents, d’amis et d’
amis
de ses amis vivaient à ses crochets, sans qu’il s
t tenait table ouverte. Une foule de parents, d’amis et d’amis de ses
amis
vivaient à ses crochets, sans qu’il s’en émût. Un
document relatif à Viganò m’a été signalé par mon savant collègue et
ami
Giorgio Banni qui connaît mieux que personne les
la rappelle, et la rend toute haletante à sa nature de femme et à son
ami
… PHÈDRE Miracle !… Merveilleux homme !… Presque u
ans ce qui n’est pas possible !… Comme nos âmes sont pareilles, ô mes
amis
, devant ce prestige, qui est égal et entier, pour
Socrate, tu ne peux donc jamais jouir que de toi-même ? SOCRATE Ô mes
amis
, qu’est-ce véritablement que la danse ? ÉRYXIMAQU
oint de théâtre ! Non, non ! point de fiction ! Pourquoi feindre, mes
amis
, quand on dispose du mouvement et de la mesure, q
ortable à ouïr… SOCRATE Je n’ai rien dit de si cruel encore ! — Ô mes
amis
, je ne fais que vous demander ce que c’est que la
tièrement en elle-même, mais principalement en nous. Quant à moi, mes
amis
, mon incertitude est intacte !… Mes pensées sont
de l’éternuement ou de la nausée, tue ou vivifie ; dis-moi donc, cher
ami
Éryximaque, et des iâtres le plus versé dans la m
tefois !… Chose vive et divine !… Mais qu’est-ce qu’une flamme, ô mes
amis
, si ce n’est le moment même ? — Ce qu’il y a de f
amme est l’acte de ce moment qui est entre la terre et le ciel. Ô mes
amis
, tout ce qui passe de l’état lourd à l’état subti
’éther, furieusement gronde et se précipite, — la grande Danse, ô mes
amis
, n’est-elle point cette délivrance de notre corps
r cette possession et cette facilité de tout son corps… SOCRATE Ô mes
amis
, ne vous sentez-vous pas enivrés par saccades, et
es personnalités représentatives de la danse théâtrale contemporaine.
Amis
et ennemis ont bien voulu attribuer à ce modeste
Chapitre dernier. Au public I
Ami
lecteur, je suis forcée d’arrêter ici mes Mémoire
respect et de plaisance, Pour la dernière fois se danse. J’ai su d’un
Ami
cordial, Qu’il n’est rien de plus jovial, Et que
dmirateurs, des partisans, des enthousiastes, et ne pouvait avoir des
amis
. Son génie, le feu de ses compositions, la vérité
it pas manquer de se faire un nombre infini de partisans, une foule d’
amis
et autant de protecteurs qu’il y avait pour lors
louse de moi. Elle veut me supplanter. Comme si c’était possible. Ses
amis
lui jurent que sa danse tombe la mienne, qu’elle
reste avec religion. XI Ont-ils tort ? Ma foi, non. Une de mes
amies
a fait un jour la réponse suivante à son protecte
ue le petit fit d’une manière si touchante, que les assistants — deux
amies
et un Saint-Gaudens abâtardi — faillirent pleurer
elle Legros, « bien différente de ces ministres qui accordent à leurs
amis
des emplois dont ils touchent les émoluments sans
e repose, et fait vite, en échange, Partir aux champs son fils ou ses
amis
. Dans ton jardin, quand la plante s’effeuille Et
La Restauration, — qui venait, cependant, de prononcer le mot : Mes
amis
, plus de hallebardes ! — avait placé aux portes d
e ménager la presse et faire bon commerce avec elle : « Mon bon petit
ami
, « Je rentre ce soir, et je n’ai pu danser le pa
mps je ne puis douter de l’intérêt que vous me portez. Adieu, mon bon
ami
, recevez de moi deux bons gros baisers, que j’ira
Une danseuse qui ne fait jamais de faux pas, qui préfère le cercle d’
amis
à la foule des amants, qui vient au théâtre à pie
vu échouer toutes ses batteries devant elle. Il répondit à un de ses
amis
qui lui demandait si son hommage avait été accept
que de M. Mazillier. Après le cinquième acte, M. Montalivet dit à son
ami
Romieu : — C’est ennuyeux, ça ne finit pas ; mais
inage de Taglioni, des Elssler et de Carlotta. Lors de ses débuts, un
ami
la recommandait en ces termes à Théophile Gautier
mbât tout le magasin de Froment-Meurice ou de Fontana. Soyez certain,
ami
lecteur, que pour peu qu’elle vous connût, elle v
es pièces que joue Sada Yacco ? me demanda un jour un écrivain de mes
amis
. — Kawakami, son mari. — Vraiment, mais alors il
ans mon pied. Cet homme était Victorien Sardou. Un mot encore sur mes
amis
les Japonais. Kawakami a un fils qui avait cinq a
plus grand plaisir que d’être avec eux ? Vous avez une maison et des
amis
; n’y a-t-il pas du plaisir et même du profit à s
isir et même du profit à se trouver avec eux ? Et lorsque ce sont des
amis
sages et fidèles, que le commerce que l’on a avec
nt des amis sages et fidèles, que le commerce que l’on a avec de tels
amis
est accompagné de tempérance et de retenue, qu’y
t. Nous partîmes. Dans la voiture qui nous ramenait je demandai à mes
amis
s’ils pouvaient décrire leurs impressions, leurs
trouvée dans une lettre que le grand sculpteur a écrite à une de mes
amies
. Et ce n’est point par vanité que je la reprodui
d Acte Don Juan donne chez lui un grand repas, précédéd’un bal, à ses
amis
et à ses Maîtresses. Lorsqu’on a dansé on se met
e, par la sagesse qu’il sut opposer aux dérèglements de sa femme. Ses
Amis
(car Marc-Antonin quoique sur le trône, mérita d’
lle voulut le suivre, disant que ce pauvre homme sans famille et sans
amis
dans Rome ne devait pas aller seul au cimetière.
urs ». Dès notre première étape, il rencontra un autre danseur de ses
amis
, qui l’invita à dîner et lui demanda si j’étais q
nt qui était là depuis le commencement de l’acte. Amené par un de ses
amis
qui était propriétaire du théâtre et qui avait in
blessé immobile et pâle comme s’il était mort, étendu sur un divan. L’
ami
qui l’avait amené et deux médecins étaient là, ai
d’Autremont fut emporté sur un brancard et conduit au domicile de son
ami
où j’allai prendre de ses nouvelles dans l’après-
sont misurati comme aurait dit ce Salvatore Vigano qu’admire tant mon
ami
Henri Prunières. Et l’on constate quelle source d
s’en alla, les uns avec leurs femmes, les autres avec celles de leurs
amis
, ceux-là comme ils étaient venus. Seuls, les troi
ir aux Italiens. — Il me proposa d’entrer aux Délassements. Un de ses
amis
, — Arthur Delavigne, — y faisait répéter une pièc
à me voir. C’était la comtesse Wolska, Polonaise également et grande
amie
de Madjeska. Elle aussi était en exil avec son pè
us drôle toutefois, c’est que ce même soir j’avais rencontré quelques
amies
et que j’avais été à deux doigts de ne pas rentre
Quelques jours plus tard, Rachel Boyer me mena, avec une autre de ses
amies
, voir la collection, la fameuse collection de M.
ir. Un jour, le conservateur du musée de Bucarest vint à Paris, et un
ami
commun me l’amena. Entre autres choses il me parl
e mon esprit & de mon stile, pour rappeller ma reputation que mes
amis
trouuoient engagee dans vne iniure insuportable.
lles, & qui ordinairement ne sont composées que de parens & d’
amis
, on doit y observer presque le même cérémonial qu
e ; assez comédienne pour se la faire pardonner. Léonide Leblanc, son
amie
, lui a appris à se tenir avec les personnes comme
ne fausse légère. Par exemple, un œil, une langue, un entregent ! Des
amis
partout ! Jusque sur les marches des trônes ! Au
ysique entre le zist et le zest. Je lis dans Panserose : « Elle a un
ami
et un enfant… Elle a déclaré l’un… L’autre n’a pa
œud de cravate au-dessus d’un gilet en cœur. Aussi a-t-elle pris pour
ami
un gentleman qui, au point de vue des goûts de la
une mélodie charmante d’Hérold, dans un opéra de Planard. Une de ses
amies
ne m’a-t-elle pas affirmé lui avoir entendu soupi
ons en étaient bientôt ornées. Les Pères, les Mères, les Parents, les
Amis
, attendaient toutes ces troupes différentes dans
t pas besoin que je nomme, Homme, envers-moi, de coeur humain, Et mon
ami
, de longue main, (Que Dieu gard50. de toute infor
oyer est très-restreint. On les compte. Ce sont quelques privilégiés,
amis
ou parents du directeur, un ou deux journalistes
s blondes sont en majorité, et que j’y danse. Cela tient à ce que ses
amis
soutiennent que je suis son portrait frappant. Le
étré de honte et de repentir, ne peut soutenir les reproches dont son
ami
l’accable ; il lui jure qu’il renonce à son amour
t enfin ces deux amans. Il se précipite aussitôt dans les bras de son
ami
qu’il regarde comme un asyle où il est sûr de tri
nd elle y battit ses prodigieux entrechats, elle y retrouva d’anciens
amis
. Dès 1838, plus d’un habitué de la salle de la ru
, le présent, l’avenir y recueillirent les mêmes bravos… D’imprudents
amis
faillirent bien, par exemple, compromettre, en ce
: 185 L’ignorance toujours est prête à s’admirer. Faites-vous des
amis
prompts à vous censurer. &c. Un sage ami, tou
rer. Faites-vous des amis prompts à vous censurer. &c. Un sage
ami
, toujours rigoureux, inflexible, 200 Sur vos fau
e est équivoque ; il le faut éclaircir. C’est ainsi que vous parle un
ami
véritable. Mais souvent sur ses vers un auteur in
ique : L’ignorance toujours est prête à s’admirer. Faites-vous des
amis
prompts à vous censurer. Un sage ami, toujours ri
à s’admirer. Faites-vous des amis prompts à vous censurer. Un sage
ami
, toujours rigoureux, inflexible, Sur vos fautes j
jambe en l’air, le bras ne répond pas. C’est ainsi que vous parle un
ami
véritable ; N’allez point, par orgueil, devenir i
N’allez point, par orgueil, devenir intraitable. Mais distinguez l’
ami
du sot admirateur, Et discernez sur-tout l’intére
orné nos ballets. Ce roi si valeureux, si chéri de la France, Et son
ami
Sully se plaisaient à la Danse4 : On peut, sans d
-fois danseur, musicien, poète, Ingénieux Gardel 7, mon maître et mon
ami
, Combien, en te perdant, Terpsicore a gémi ! L
p souvent l’amour-propre en cet art fait décheoir : Par les yeux d’un
ami
cherchez donc à vous voir. Jeunes gens, vainement
ses écrits, Peut-être de son art eût remporté le prix, 395 Si, moins
ami
du peuple, en ses doctes peintures Il n’eût pas f
é tout Paris, Et de son art peut-être eût remporté le prix, Si, moins
ami
du peuple, en ses vives peintures Il n’eût fait q
i eut un grand succès à l’Opéra. Ingénieux Gardel, mon maître et mon
ami
, Combien, en te perdant, Terpsicore a gémi ! Voy
uteur qui n’est pas protégé, ou qui n’a pas l’honneur d’être de leurs
amis
, & refusent presque tout, dans la crainte de
leur nature. Voilà ce que j’avais promis À tous Lecteurs, nos bons
Amis
, Et j’en suis quitte sans miracle. Mais, pour de
resse, Chantons en ce beau jour L’amour. Ou… Restons jusqu’à demain
Amis
, le verre en main, Pour boire à sa hautesse (ou b
audeville je dirais en langue du terroir et sur un air nouveau de mon
ami
Thys dont la modeste timidité est presque évangél
autre commençait ainsi une pétition au roi des Français : Cire. Une
amie
lui fit observer qu’elle était dans une fausse ro
e vous invite. La première fois on ne paye pas, on est reçu à titre d’
ami
; la seconde fois c’est différent. La spéculatric
agents de change, 15 francs pour les étrangers, et 10 francs pour les
amis
. — Voulez-vous me permettre de me compter au nomb
r les amis. — Voulez-vous me permettre de me compter au nombre de vos
amis
? demande le rusé nez de carton. — Comment donc,
ortir d’embarras : huit jours suffisent pour réparer l’échec. Une des
amies
de madame de Longchamps occupe, rue Laffitte, un
e fait imprimer de nouvelles invitations et indique la demeure de son
amie
comme lieu de la réunion. Au jour dit, madame
t-monstre et lui demande la permission de lui amener le soir quelques
amis
, sans façon. Le soir arrivé, trois cents personne
iation non interrompue de malades qui considèrent le docteur comme un
ami
. On vient causer avec lui santé ou maladie comme
d’inventer des mascarades nocturnes ; chacun alloit déguisé chez ses
amis
, où il y avoit festin ou assemblée, y portoient d
isser la liberté aux Maîtres du bal de souper & d’assembler leurs
amis
, parce que les masques semblent se rendre les maî
e mes sentiments pour le Comité, et me croire pour la vie ton sincère
ami
, N° 2 Haymarket. VESTRIS. Voici une lettre de
uger par ce fragment d’une lettre non datée adressée de Londres à une
amie
: Un mot sur les théâtres d’ici. D’abord nous s
teur des bâtiments civils. Les témoins du marié étaient deux de ses
amis
personnels. Rosita Mauri Rue de Provence
u bonhomme ne s’élevaient qu’à une couple de centaines d’écus ! Notre
ami
Montjoyeux nous a laissé le croquis exact de ces
rrosses et d’avoir tabouret en sa cour ; la maman Sacré, une ancienne
amie
de Montmartre, qui s’en va sans cesse répétant :
t reconstituer des danses du temps jadis. Et voilà qu’une très grande
amie
de la « victime » m’honore, à ce propos, d’une le
it pouvoir les persifler. Et si l’aveugle leur préfère décidément son
ami
le paralytique, qui s’en étonnerait ?
d’Echo et Narcisse, d’en faire la musique ; il céda aux instances des
amis
de l’auteur : cette nouvelle circule dans tout Pa
our où les personnes, dont le mariage rassemble leurs parens et leurs
amis
, ont reçu un sacrement : ceux et celles qui ont a
crement il se fait quelque banquet, s’il y a assemblée de parens et d’
amis
, et quelque réjouissance ; ce sont des choses qui
autre prit le lièvre ; et lors il leur dit : Vous voyez, Citoyens mes
amis
, comme ces deux chiens étant nés d’un même père e
vif et liant, formèrent le plan d’un Spectacle nouveau, qui frappa l’
ami
d’Auguste. Il affranchit Bathylle, il échauffa l’
rait manqué de vraisemblance et de génie ? comment Mécène qui était l’
ami
de Virgile, se serait-il contenté d’un Spectacle
it l’avantage de se faire copier à son tour. Ce Poète, dont un de ses
amis
a dit, que sa mort même n’avait rien fait pour sa
— Et maintenant nous allons avoir le plaisir d’entendre notre petite
amie
, Loïe Fuller, réciter une poésie intitulée : « Ma
limens du lendemain, ils vont directement frapper à la porte de leurs
amis
particuliers, et solliciter l’hospitalité. Encore
nger) croit reconnoître à l’approche de cette chaloupe sa sœur et son
ami
. Il regarde attentivement ; son cœur est pénétré
amant d’Inès ; Clitandre petit-maître François est amant de Béatrix,
amie
d’Inès : voilà les personnages sur les quels roul
Est-il possible que le génie créateur soit toujours persécuté ? soyez
ami
de la vérité, c’est un titre qui révolte tous ceu
issent s’égarer ; on dédaigne de le suivre. M. Diderot, ce philosophe
ami
de la nature, c’est à dire, du vrai et du beau si
r) croit reconnoître à l’approche de cette chaloupe sa sœur & son
ami
. Il regarde attentivement ; son cœur est pénétré
amant d’Inès ; Clitandre, petit Maître François, est amant de Béatrix
amie
d’Inès ; voilà les Personnages sur lesquels roule
Est-il possible que le Génie Créateur soit toujours persécuté ? Soyez
ami
de la vérité, c’est un titre qui révolte tous ceu
issent s’égarer ; on dédaigne de le suivre. Mr. Diderot ce Philosophe
ami
de la nature, c’est-à-dire, du vrai & du beau
rzer. — Séjour à Hambourg. — Fanny retirée à Vienne ; sa maison ; ses
amis
. — Bonheur de sa vieillesse. — Sa mort le 27 nove
re ; celle-là embrasse sa sœur ; le jeune Hyménée est entouré par ses
amis
. Cette scène offre un tableau plein d’intérêt ; l
accordéon et demandant l’aumône. Et mon accordéon devint mon meilleur
ami
. Mais je trébuchais par les chemins. C’est alors
s nus, en février, dans la neige, par un froid intense. Avec quelques
amis
je visitais le quartier pauvre d’une ville provin
oux de son père ; le vieil Horace serre dans ses bras son fils et son
ami
; Procule, qui veut que ce moment soit l’époque d
mpagné par Procule et Fulvie, par des chevaliers Romains et des dames
amies
de Fulvie. Le char s’arrête au milieu de la place
vous raconte ma vie ? Ça serait intéressant si j’imitais une foule d’
amies
à moi qui ont inventé sur elles un las d’histoire
vit heureux et tranquille, s’occupe de son jardin et cultive quelques
amis
. Il a tout ce qu’il faut pour en avoir et pour se
s un domestique qui remplissait son service auprès de lui, c’était un
ami
fidèle qui par sa sollicitude et sa vigilance s’e
érite une étude à part) quelle souffrance la séparation causait à son
ami
. Mais la vocation d’artiste exigeait un sacrifice
alent propre de chacune des deux Viennoises. Pour faire plaisir à son
ami
Gentz, elle avait assisté, le 8 octobre, à la rep
z, la traitait avec peu de ménagements. La protection de cet illustre
ami
la mettait à peine à l’abri du besoin. Alphonse R
oute la salle résumé dans son applaudissement désiré. *** Un jour, un
ami
me mena chez Sarah Bernhardt : Cela se réalisait,
mes séances, les spectateurs étaient dans l’obscurité, et une de mes
amies
, qui s’était placée auprès de Sarah pour entendre
voya sa loge pour le Théâtre-Français. Je m’y rendis avec de nombreux
amis
: nous étions douze, parmi lesquels la femme du c
que le prince Bojidar Karageorgevitch, un bon, un brave, un excellent
ami
, voulut bien adapter en français, travail laborie
ffeur s’appelait Pointe. Pointe n’était pas seulement le confident, l’
ami
, le fournisseur et le petit journal des sujets et
hestre. Or, ces fauteuils sont occupés, — jusqu’au dernier, — par des
amis
privilégiés de l’auteur, du ministère ou de l’adm
ions différentes ; la première excita le sourire, mais scandalisa les
amis
des mœurs ; l’autre fit bailler les gens de goût
raitent de pair à compagnon avec le bon Dieu, qui est certainement un
ami
plus intéressant et un camarade plus gentil que l
u m’appelais ton fils, je te disais : Maman devant tout le monde. Tes
amies
ne t’approuvaient pas. Tu leur répondais : Laisse
vous en donnent l’occasion ; car quand vous aurez été appelé par vos
amis
, et que vous serez là avec eux tant qu’il vous se
se se débarrassera des bras de son amante pour voler dans ceux de son
ami
. La belle Gabrielle employera l’éloquence de ses
haque année à celle du Duc de Wurtemberg ; on trouvoif chez ce Prince
ami
des arts, des talens et de le magnificence, la da
ses, les sourires égrillards, les œillades incendiaires. « Mes bonnes
amies
, leur disait-il, soyez charmantes, coquettes ; mo
iorité de l’une ou de l’autre déesse. Toutes deux eurent de puissants
amis
dans l’armée. Tandis que Lise Noblet s’appuyait s
e se changèrent en fontaines, en fleuves. Sa vie parut en danger. Son
ami
ne trouva d’autre moyen de la sauver que de l’épo
. Vous lui ressemblez beaucoup. Osez-lui ressembler davantage. — Cher
ami
, vous n’y pensez pas ! La décence… ma position… l
milieu d’un joyeux souper que mademoiselle Dorival terminait avec des
amis
. La danseuse et le danseur se réconcilièrent, le
Elle avait soixante-quatre ans, lorsque, cédant aux sollicitations d’
amis
intimes, elle consentit à donner pour eux seuls u
olonté. Mais la bonne volonté, comme disait une ancienne biche de mes
amies
, c’est insuffisant. Ça ressemble à la monnaie des
nante que le siècle d’Auguste fut celui de l’éloquence. Cicéron fut l’
ami
de Roscius ; c’est faire l’eloge de cet acteur. M
ler la règle, la régularité, la méthodique. Un esprit libéral, de mes
amis
, affirme que le cancan est, lui aussi, un produit
fois je n’étais plus une inconnue, comme en 1892, j’avais de nombreux
amis
parisiens dans la salle. Il en vint beaucoup sur
trouvait justement à Paris et je l’envoyai à Anvers avec deux de mes
amies
. Après de nombreuses difficultés, et grâce à la p
ire. Elle amenait, affirmait-on, une renaissance. J’ai, en Russie, un
ami
très cher : un de nos plus subtils critiques. Une
que foiblement aux nouveaux pièges, que la volupté lui présente. Ses
amis
, honteux de sa foiblesse, emploient de leur côté
eut le rapprocher, que dis-je, le faire arriver. Je le souhaite ; les
amis
de l’humanité forment le même vœu ; il est généra
édecins et chirurgiens ordinaires et extraordidaires de l’Opéra : mes
amis
de Guise, Roux, MM. Marjolin et Magendie ; la con
ioni resta plusieurs mois sans danser. Trois ou quatre ans après, mon
ami
Adam fut appelé comme compositeur à Saint-Pétersb
es sœurs Elssler. Elles y retrouvaient leur frère et tout un cercle d’
amis
. Le souvenir de leurs anciens succès y était rest
e telle fougue qu’un artiste, porteur d’un nom sympathique à tous les
amis
de la danse, le jeune Mérante, fut lancé par-dess
oment favorable pour lier conversation avec l’Ondin, dont il devint l’
ami
, et qui lui rendit visite dans sa chaumière, le p
engloutir, on peut lire la joie et l’orgueil du triomphe, lorsque les
amis
de Mattéo accourent et l’arrachent à cette situat
poussé par la fantaisie, la seule muse qui l’ait trouvé docile, notre
ami
Charles Nodier s’en va visiter les montagnes de l
t parti. Effie, indignée, accable Gurn de ses mépris, elle rend à son
ami
ses grâces les plus charmantes, elle est toute pr
’est dans cet état d’esprit que j’arrivai à Berlin. Heureusement, mes
amis
étaient à la gare. Avant mon arrivée, ils avaient
i fixèrent par leurs talens l’admiration d’un peuple enthousiaste, et
ami
des arts ; ces tristes monuments n’étoient éclair
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