e de lettres sur la musique. Est-ce en France ou en Italie que l’on
aime
le mieux la musique ? Il est des questions qui
qui excelle dans l’art musical, mais seulement quelle est celle qui l’
aime
le mieux. Quand cette question sera décidée, le l
sont pas un motif pour être chassé du théâtre. En Italie, quoiqu’on y
aime
le chant presqu’exclusivement, on n’y fait aucune
astes vont se récrier : mais quand ils auront affirmé qu’en Italie on
aime
mieux la musique, je leur demanderai encore dans
aime mieux la musique, je leur demanderai encore dans quel pays on l’
aime
de la meilleure façon ? je leur demanderai de plu
de plus, pourquoi ils quittent presque tous le pays où ils sont tant
aimés
; je leur demanderai enfin si leur désintéresseme
nez. Malgré ce manque d’attraits, il ne me déplaisait pas, du moins j’
aimais
ses yeux. Je les aimais et je les craignais à la
attraits, il ne me déplaisait pas, du moins j’aimais ses yeux. Je les
aimais
et je les craignais à la fois, car ils étaient vr
et j’effeuillai une marguerite de cette façon : Un coup sonna. — Je l’
aime
, fis-je. Deux. — Un peu. Trois. — Beaucoup. Quatr
— Beaucoup. Quatre. — Passionnément. Cinq. — Pas du tout. Six. — Je l’
aime
. La pendule s’arrêta. Je regardai les aiguilles,
a pendule s’arrêta. Je regardai les aiguilles, il était six heures. J’
aimais
M. Prosper à six heures. VIII J’aimais mon
, il était six heures. J’aimais M. Prosper à six heures. VIII J’
aimais
mon voisin à la verrue, j’aimais un vieillard ! C
. Prosper à six heures. VIII J’aimais mon voisin à la verrue, j’
aimais
un vieillard ! C’est qu’aussi il avait un drôle d
ondre… — Dites, vous plaît-elle ? Et l’œil brillait, brillait… — Je l’
aime
, fis-je en pleurant à chaudes armes. — Ma pendule
eul. Mon ami, tout cela est faux. Dieu ne nous permet pas seulement d’
aimer
, il nous le commande. S’il a mis en nous la flamm
rait sa froideur. En peu de temps, j’acquis la certitude qu’elle ne m’
aimait
pas. Je n’avais pas su me faire aimer. Je n’accus
quis la certitude qu’elle ne m’aimait pas. Je n’avais pas su me faire
aimer
. Je n’accusai que moi ; mais je ne compris pas en
d’aliments, jusqu’à rire de rien, pour le seul plaisir de rire. Je l’
aimais
toujours, elle ; mais son rire, je le haïssais. I
été sotte, je me suis laissé marier à un beau garçon excellent que j’
aime
bien, mais qui est studieux, baroque, sauvage et
ment j’étais ridicule et insupportable à ma femme, mais elle en avait
aimé
un autre qu’elle regrettait ! Je l’avais rencontr
ou l’original, que la lettre fût partie ou non, peu m’importait, je n’
aimais
plus ma femme, je la trouvais foncièrement égoïst
on père, je conduisis ma femme chez ses parents. Ils avaient beaucoup
aimé
les miens, ils me témoignèrent de l’affection. Ma
des piqueurs qui l’emportaient. Ma femme poussa des cris perçants. L’
aimait
-elle encore ? L’avait-elle réellement aimé ? Étai
ssa des cris perçants. L’aimait-elle encore ? L’avait-elle réellement
aimé
? Était-elle capable de ressentir et de nourrir u
« La femme est un enfant qu’il faut toujours amuser pour qu’elle vous
aime
, ou laisser à son confesseur pour qu’elle ne vous
r qu’elle vous aime, ou laisser à son confesseur pour qu’elle ne vous
aime
pas trop. » J’ai répondu : « Aimons pour être aim
son confesseur pour qu’elle ne vous aime pas trop. » J’ai répondu : «
Aimons
pour être aimés », et je n’ai pas rouvert ma plai
ur qu’elle ne vous aime pas trop. » J’ai répondu : « Aimons pour être
aimés
», et je n’ai pas rouvert ma plaie par d’inutiles
en doutez pas. Mais je ne veux pas refaire l’expérience, car j’ai mal
aimé
, et je ne saurais probablement pas aimer mieux. O
re l’expérience, car j’ai mal aimé, et je ne saurais probablement pas
aimer
mieux. On ne m’a pas appris à faire de l’amour un
’a laissé systématiquement ignorer les voluptés de la tendresse. J’ai
aimé
avec les sens, avant que mon cœur eût parlé et se
ne vous parlerai plus de ces choses, ne m’en parlez jamais, si vous m’
aimez
! Je fais bâtir parce que mon pauvre vieux manoir
I. Sur le même sujet. Avant de vous nommer, Monsieur, le peuple qui
aime
le mieux la musique, qui la cultive avec passion,
r les productions ; jugement bien propre à prouver que le peuple, qui
aime
le mieux la musique, n’est pas celui qui sait le
oncer sur les chefs-d’œuvre de la musique, et voyons si la nation qui
aime
le mieux cet art, et qui est la plus enthousiaste
au triomphe de ce chef-d’œuvre musical, il n’obtint de la nation, qui
aime
le mieux la musique, qu’un quart de succès. Nos c
mis de l’auteur : cette nouvelle circule dans tout Paris, ou ceux qui
aiment
le mieux la musique répandirent le dégoût dans le
ite lettre à part ; et je la terminerai en vous nommant la nation qui
aime
le plus passionnément et le plus constamment la m
sa flamme à une femme qui a su captiver votre cœur, entourer l’objet
aimé
de vos soins et chercher par des prévenances et d
X La blonde est délicate, faible, langoureuse, lymphatique. Elle
aime
la poésie, les soupirs étouffés, les clignements
s de la confrérie. XIII Or, avant : employer la poésie. Après :
aimer
les brunes. Passons à l’autre leçon. XIV La b
s victimes qu’ils ont faits, sont les plus belles choses du monde. On
aime
une blonde. On est fou d’une Andalouse. XVI
, le sans façons. Pendant : faire rimer beau jour avec amour. Après :
aimer
les rousses. XXII. La rousse. La rousse es
u laide à consoler mademoiselle X***. XXIV Pour devenir l’objet
aimé
d’une rousse, on doit : Être châtain, Galant, Poë
que pour mémoire. Les tout jeunes gens qui ont encore la faiblesse d’
aimer
les vieilles femmes deviennent de plus en plus ra
ux gris ne travaille pas dans la littérature, si vous vous mettez à l’
aimer
, vous êtes sans excuse. Je ne connais qu’un seul
bout à l’autre voler Cette éclatante Renommée, Des honnêtes Gens tant
aimée
. Du Théâtre les changements, Décorations, ornemen
de leur présence, Avecque les plus Grands de la France. À moi, qui l’
aime
dessus tous, Il m’en coûta jusqu’à cent sous, Soi
encore me croire dans le cher pays qui m’a vue naître. — Alors, vous
aimez
toujours l’Angleterre ? — Oh ! avez-vous jamais r
jours l’Angleterre ? — Oh ! avez-vous jamais rencontré un Anglais qui
aime
un autre pays plus que le sien ? — N’aimez-vous p
is rencontré un Anglais qui aime un autre pays plus que le sien ? — N’
aimez
-vous pas la Roumanie ? — Il est impossible de viv
N’aimez-vous pas la Roumanie ? — Il est impossible de vivre ici sans
aimer
et les gens et le pays. Elle me montra ensuite un
quand vous serez à Berlin, et je tâcherai qu’il vienne vous voir. Il
aime
les choses artistiques, et il est lui-même un art
nseuse doit exprimer le chagrin qu’elle ressent de la perte d’un être
aimé
ou si elle doit montrer à des gens en deuil la ré
on se serait cru dans un minuscule musée. Je lui demandai ce qu’elle
aimait
le mieux parmi les choses qui étaient là, et elle
s Fuller. Je la regardai un long moment, puis je lui dis : — J’aurais
aimé
vous connaître sans savoir que vous étiez une pri
autant qu’on peut, d’être présent aux danses. Si l’on ne doit pas
aimer
à danser, on ne doit pas non plus aimer à voir da
anses. Si l’on ne doit pas aimer à danser, on ne doit pas non plus
aimer
à voir danser les autres. Prendre plaisir à être
faire, on sera facilement excité par l’exemple des autres, qu’on aura
aimé
à voir dans ce divertissement, à le rechercher et
les actions, suivroient notre exemple. » N’étant permis à personne d’
aimer
à regarder les danses, que doit-on donc penser de
ter avec charité et avec douceur les personnes de la paroisse qui les
aiment
, à y renoncer ; d’être ferme et de ne point admet
e. Juste Odoard ne s’y ennuiera pas, parce qu’il sera occupé et qu’il
aime
le travail avec passion ; mais il gardera, de la
e. Vous n’êtes point habitué à la discussion et je sais que vous ne l’
aimez
pas. Laisserez-vous battre en brèche vos plus che
onseil ou de révoquer mon arrêt. Je vous demande de réfléchir et de m’
aimer
toujours comme je vous aime. Melchior de Sainte-
êt. Je vous demande de réfléchir et de m’aimer toujours comme je vous
aime
. Melchior de Sainte-Fauste.
e je te les envoie. — Beau jeune homme, pourquoi dormir ? il faudrait
aimer
un peu le follet de la chaumière ! » Tel est le r
brûlant et soucieux. Dansez donc et soyez gai, dansez et laissez-vous
aimer
de votre cousine Effie ; dansez, et fi du rêve !
st amoureux d’une fille invisible ! » Elle pleure, et pourtant elle l’
aime
encore, l’ingrat et le trompeur ! Resté seul, Jam
i et la vengeance ; elle se venge de celles qui sont belles, qui sont
aimées
, de celles qui aiment. Elle est la première qui a
le se venge de celles qui sont belles, qui sont aimées, de celles qui
aiment
. Elle est la première qui ait dit à la pauvre Eff
mière qui ait dit à la pauvre Effie : « James, ton jeune fiancé, ne t’
aime
pas. » Puis elle est partie laissant ce doute cru
nvisible et présente, invisible pour tous, excepté pour celui qu’elle
aime
. À cette vue, James oublie toutes choses : plus d
, reviens dans ma cabane ; s’il se peut, je ne te dirai plus que je t’
aime
, je n’effleurerai plus ta robe, même quand elle c
dernier adieu, d’adresser un dernier sourire à l’homme qu’elle a tant
aimé
: — elle meurt pleurante et pleurée ! Elle quitte
et du ciel. Elle renonce, non pas sans larmes, à ce jeune homme tant
aimé
, enfant des montagnes d’Écosse, qu’elle avait ent
d’éloges plus unanimes ne s’est élevé sur les pas d’une artiste plus
aimée
; mais aussi jamais artiste plus complète ne l’a
donner la main et en faire son épouse. Julie lui répond qu’elle ne l’
aime
point, qu’elle ne l’aimera jamais. Cet aveu irrit
re son épouse. Julie lui répond qu’elle ne l’aime point, qu’elle ne l’
aimera
jamais. Cet aveu irrite le bailli ; il veut se sa
son bonheur ; il y est d’autant plus sensible qu’il le partage, qu’il
aime
Julie, qu’il en est aimé, que le choix du village
autant plus sensible qu’il le partage, qu’il aime Julie, qu’il en est
aimé
, que le choix du village justifie son goût, et qu
n qui craint moins la mort que la honte dont on veut couvrir ce qu’il
aime
, part en assurant Julie que dans peu il sera de r
an bleu ; on lui donne la bourse et la bague ; on l’unit à ce qu’elle
aime
; et cette fête, champêtre est terminée par des d
dent que des chrétiens qui sont tellement attachés aux danses, qu’ils
aiment
mieux renoncer aux sacremens que de renoncer à un
mais celui de les profaner n’est-il pas encore plus grand ? Quiconque
aime
mieux se priver des sacremens que de céder à ce q
partit pour le siège de Troie, il laissa auprès de Clytemnestre qu’il
aimait
, et dont il était aimé, un Danseur célèbre40, qu’
roie, il laissa auprès de Clytemnestre qu’il aimait, et dont il était
aimé
, un Danseur célèbre40, qu’il établit l’écuyer de
ix ; ils ont vingt théâtres, et nous n’en n’avons qu’un. Les Italiens
aiment
donc passionnément la musique, puisqu’ils ont une
nvenir que la musique a fait en France des progrès inouis, et qu’on y
aime
autant cet art aujourd’hui qu’en Italie. Si cela
i cela ne vous arrange pas, je m’engage à vous nommer le pays où l’on
aime
le mieux la musique, où elle est le plus générale
es braves gens-là sont capables de tous les bons procédés, mais ils n’
aiment
réellement personne. C’est tout simple, ils n’ont
ris : M. d’Autremont a été marié à vingt ans et veuf à vingt-un. Il a
aimé
sa femme qui ne l’aimait pas. Elle l’eût rendu ma
été marié à vingt ans et veuf à vingt-un. Il a aimé sa femme qui ne l’
aimait
pas. Elle l’eût rendu malheureux. M. Champorel ne
eux Champorel est pour les vieux usages. Sans avoir de préjugés, il n’
aime
pas que les anciennes classes se rapprochent trop
rer que j’ai eu le bonheur de le mettre au monde ! Ah ! comme tu m’as
aimé
, et qu’avais-je fait pour mériter cela ? Aussi, e
le sans-nom et l’ouvrier, pour ce haut personnage qui n’a jamais été
aimé
comme je le suis ! C’est pourquoi je me figure qu
! C’est pourquoi je me figure qu’il n’a jamais pu et ne pourra jamais
aimer
comme j’aime ! J’ai dormi deux heures, après quoi
oi je me figure qu’il n’a jamais pu et ne pourra jamais aimer comme j’
aime
! J’ai dormi deux heures, après quoi j’ai été rév
pour avoir quelque prétexte de ne pas se rendre à des vérités qu’on n’
aime
pas, et pour continuer à se croire permis ce à qu
résistoient opiniâtrément à sa parole : (Jean. 3, 10.) Ils ont mieux
aimé
les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvr
l’amour que les hommes ont naturellement pour la vérité, puisqu’ils n’
aiment
point à être trompés, demande (Confess. l. 10, c.
nent pour la vérité tout ce que la dépravation de leur cœur leur fait
aimer
, quoique ce soit toute autre chose. Ainsi ce qu’i
r leur fait aimer, quoique ce soit toute autre chose. Ainsi ce qu’ils
aiment
au lieu de la vérité, et qu’ils prennent pour ell
eu de la vérité, et qu’ils prennent pour elle, la leur fait haïr. Ils
aiment
son éclat et sa beauté ; mais ils n’aiment point
le, la leur fait haïr. Ils aiment son éclat et sa beauté ; mais ils n’
aiment
point ses remontrances et ses reproches : Amant e
(2. Thess. 2 , 10 et 11.) N’ayant pas reçu , dit le saint apôtre, et
aimé
la vérité afin d’être sauvés , c’est pour cela qu
aux passions qui en font craindre la lumière, et qui, tant qu’on les
aime
, rendent indigne d’en être éclairé. Saint Augusti
Un second moyen pour parvenir à la connoissance de la vérité, c’est d’
aimer
à faire de saintes lectures, et en particulier ce
e ego vobiscum sum omnibus diebus, usquè ad consummationem seculi. »
Aimons
donc à aller, le plus souvent que nous pourrons,
, des ténèbres vengeresses sur les criminelles passions auxquelles on
aime
à se livrer ! (Confess. l. 1, cap. 18, n.° 29.)
erdre son ame, en leur disant, après l’Ecriture sainte, que celui qui
aime
le péril ne manquera pas d’y tomber ; en leur rac
guère autre chose. La chaleur était insupportable. Mais j’ai toujours
aimé
la chaleur à raison du rhume que je possède depui
erie presque féminine. A déjeuner, un jour, quelqu’un me demanda si j’
aimais
beaucoup M. Dumas, et je répondis en français, qu
ais, que je ne possédais encore qu’assez imparfaitement : — J’ai elle
aime
beaucoup : Dumas, tout secoué de rire, dit quelq
iscret ! Certainement non ! Tous mes amis doivent connaître Loïe et l’
aimer
. Lorsque je pris congé de lui, il pressa un baise
le feu sacré, et elle devint une grande actrice. En Amérique nous l’
aimons
comme si elle était une enfant du pays. Peu après
ns telle autre, et c’est si probant que tout le monde vous dira : « J’
aime
cette couleur-ci et je n’aime pas “celle-là.” Ne
obant que tout le monde vous dira : « J’aime cette couleur-ci et je n’
aime
pas “celle-là.” Ne dit-on pas aussi que telle ou
, et le merveilleux site de Juvisy mérite une visite de tous ceux qui
aiment
la belle nature. Le panorama que l’on découvre de
n aperçoit et les écoute d’un air légèrement maussade ; Therpsycore n’
aime
pas les lions conscrits. Parlez-moi du lion qui e
ans la vie, et cependant, en fin de compte, on ne sait guère ce qu’on
aime
quand on aime une actrice. Est-ce la femme ou le
cependant, en fin de compte, on ne sait guère ce qu’on aime quand on
aime
une actrice. Est-ce la femme ou le rôle ? Est-ce
ce sont les actrices. Les seules créatures qui n’aient pas le temps d’
aimer
, ce sont les actrices. La vie de l’actrice n’est
lle-là ! Comment voulez-vous que ces malheureuses trouvent le temps d’
aimer
au milieu de tant de labeurs, de fatigues et de p
é, Pour la dernière fois dansé ; Et comme il est très véritable Que j’
aime
fort le délectable, J’allai dans cet aimable Lieu
Au Château neuf fut l’autre jour, Avec encor Mademoiselle,131 Qui l’
aime
, et la suit avec zèle, Pour ouïr un concert charm
ouver un homme, surtout s’il est riche et puissant, au bonheur d’être
aimé
pour lui-même, pour sa grâce et sa jeunesse, sans
rop chaud ! reposons-nous ! » il est toujours prêt à danser ; aussi l’
aime-t
-elle de toute la force de son cher cœur. Quelle j
que s’il n’avait rien fait de sa vie ? À coup sûr il danse bien, mais
aime-t
-il aussi bien qu’il danse ? Les garçons d’aujourd
as un regard d’un bleu plus humide, un sein plus chastement ému. Il m’
aime
, un peu, passionnément, pas du tout. Pas du tout
Giselle jette par terre avec dépit ; mais Albrecht ou Loys, si vous l’
aimez
mieux, ramasse la marguerite et corrige l’oracle.
de la haine, et qu’éprouvent les mauvaises natures, incapables d’être
aimées
; cette haine, c’est de l’amour aigri. Hilarion,
Bathilde et tous les seigneurs. Hélas ! douce Giselle, celui que vous
aimiez
n’était pas ce qu’il paraissait être, comme on di
jolie mort. Ce n’est pas d’eux que l’on peut dire avec le poète : Il
aimait
trop le bal, c’est ce qui l’a tué ! Voici venir
Giselle qu’à demi, et seulement sur sa qualité. En lui disant qu’il l’
aimait
, il était complètement sincère, et son âme se tro
, c’est le champagne, la gaieté et la permission de tout dire, nous n’
aimons
le luxe que parce que nos « protecteurs sérieux »
de tulle, à la robe de jaconas et à l’amour dans une mansarde ? Nous
aimons
toutes Béranger. C’est peut-être un tort, mais à
ent, je me suis retrouvée au Casino-Cadet, à seize ans. J’ai toujours
aimé
la danse ; mon père soutenait que ma mère avait e
ent célébrés, tous deux étrangers, tous deux nés dans le pays où l’on
aime
le mieux la musique, d’Hayden et de Mozart. Nous
urs grands opéras, qui obtinrent le suffrage unanime d’une nation qui
aime
passionnément la musique. Un de ses derniers ouvr
ards et notre admiration. J’ai à vous nommer maintenant le peuple qui
aime
le mieux la musique, qui la cultive le plus habit
Dialogue sur la danse La Danseuse Et qui vous fait tant
aimer
les danses de caractère ? Moi Ah ! Mademoiselle,
voulez, Mlle R. B. : elle vous battra dans le style classique qu’elle
aime
le moins. Quant à Mme Isadora Duncan… La Danseuse
s danses de caractère, c’est qu’elles sont nationales et que vous les
aimez
surtout en raison de leur exotisme. Vous n’aimez
ales et que vous les aimez surtout en raison de leur exotisme. Vous n’
aimez
point les danses françaises parce qu’elles parlen
le rappeler à la vie. » Enfin l’empereur François, qui pourtant ne l’
aimait
pas, se décida vers la fin de sa vie à porter son
est une chose dont je suis fier : pour apprendre comment on peut vous
aimer
et comment on doit vous aimer, si l’on veut être
r : pour apprendre comment on peut vous aimer et comment on doit vous
aimer
, si l’on veut être digne d’être aimé en retour pa
s aimer et comment on doit vous aimer, si l’on veut être digne d’être
aimé
en retour par vous (à condition toutefois d’avoir
urs un écho dans toutes les profondeurs de mon cœur. Adieu, toi que j’
aime
d’un amour inexprimable ; je ne veux point, par m
ant rapide conduit au bonheur ; un instant seulement y mène celui qui
aime
. « C’est pour cela que je quitte, le cœur accablé
ontre laquelle il avait lutté pendant plus de trente ans. Quoiqu’il n’
aimât
point Charles X, la chute de ce souverain était l
t assez folle pour me permettre, en ma qualité actuelle d’homme, de l’
aimer
malgré mes années, vous lui pardonneriez cette fo
ui pardonneriez cette folie, surtout si je n’exigeais point qu’elle m’
aimât
en retour. » Tout le monde répondit : « Naturelle
e pas également tous les morceaux, mais il en est qui sont délicieux.
Aimer
une danseuse, à son âge, et sympathiser avec Hein
ue je n’ai jamais eu la folle prétention de m’attendre à ce qu’elle m’
aimât
en retour, dans l’étroite acception du mot ; je n
ucun mortel ne peut se débarrasser, et moins que tout autre celui qui
aime
la flatterie au même point que vous et moi ; imag
nait de confiance. La lettre à Rahel exprime la même certitude d’être
aimé
que celles que Gentz écrit, soit à la comtesse Fu
t l’envoie à Fanny en y ajoutant quatre vers de sa façon : « Je t’ai
aimée
et je t’aime encore, et si le monde s’écroulait,
anny en y ajoutant quatre vers de sa façon : « Je t’ai aimée et je t’
aime
encore, et si le monde s’écroulait, de ses débris
ébris s’élèveraient les flammes de mon amour. « Et lorsque je t’aurai
aimée
jusqu’à l’heure de ma mort, j’emporterai dans la
dans le courant de la journée, chère Fanny, serait-ce très tard. Tu n’
aimes
pas les explications ; mais après la soirée d’hie
el il a dit à sa maîtresse qu’il a, depuis quelque temps, essayé de l’
aimer
un peu moins. Mais il s’est convaincu que cette t
« A maintes heures, je m’imagine que je serais plus heureux, si je l’
aimais
un peu moins. Plus tranquille peut-être. Mais peu
is le christianisme est tellement la religion du cœur, qu’il suffit d’
aimer
avec dévouement et pureté, pour être déjà convert
; il donna une nouvelle preuve de son amour en laissant à celle qu’il
aimait
une entière liberté. Elle en profita pour retour
our-propre. Gentz avait éprouvé ce sentiment ; il était flatté d’être
aimé
d’une jeune danseuse. Celle-ci, de son côté, pouv
ande de sa beauté. « Encore dans sa vieillesse, dit Betty Paoli, elle
aimait
à se rappeler les jours passés avec Gentz, et ju
grènent sur ce fond d’émeraude et de saphir les eunuques orangés, les
aimées
roses, les nègres patinés ! Et comme j’aime ce tr
s eunuques orangés, les aimées roses, les nègres patinés ! Et comme j’
aime
ce trio des odalisques qui, assises au premier pl
présent trop indulgens pour les danses et pour les personnes qui les
aiment
, parce qu’ils ne les ont point envisagées sous le
par sa propre faute après ce qu’il a si expressément dit : Celui qui
aime
le péril, y périra ? (Ecclés. c. 3, v. 27.) Le S
celui qui est par nécessité dans le péril, y périra, mais celui qui l’
aime
, (et on l’aime, quand on le recherche). Dieu veut
ar nécessité dans le péril, y périra, mais celui qui l’aime, (et on l’
aime
, quand on le recherche). Dieu veut bien nous aide
saurait pas être En même temps, en divers lieux, Durant ce jour-là j’
aimai
mieux Aller à la suite des Reines, Voir sans emba
son : (2. Thess. c. 2, vv. 10 et 11.) Parce qu’ils n’ont pas reçu et
aimé
la vérité pour être sauvés, c’est pour cela que D
’en seront déclarés les ennemis ; qui craignent de la connoître ; qui
aiment
ceux qui, pour les flatter et leur plaire, la leu
astreint à un mouvement mécanique, limité, anguleux. Mais Pétrouchka
aime
; il en devient presque un être humain ; il tâche
belle sous le vêtement archaïque. Et pour finir, le Soleil de Nuit. J’
aime
beaucoup le récitatif mimé et dansé par Mlle Niem
ue l’Allemagne est de tous les pays, celui où l’on cultive et où l’on
aime
le mieux la musique. Vous en voyez la raison ; c’
ai éprouvé le charme et les effets séducteurs. Il ne faut avoir, pour
aimer
la musique et en sentir tout le prix qu’une oreil
voulois la résoudre et ne vous laisser aucun doute. Je sais que vous
aimez
les arts avec passion, et je n’ignore point que v
nvenir avec moi, que l’Autriche et l’Angleterre sont les pays où l’on
aime
le mieux la musique ; puisque ce sont ceux qui as
vé tous ces orages. Dès ce moment on se défia de lui et on cessa de l’
aimer
. Il mît le répertoire de l’opéra à l’instar de la
ançaise. Il y avoit toujours six opéras sur pied. Le public qui paye,
aime
la variété et ne s’embarrasse pas des efforts que
ui, le cœur rebelle, Le traitent de Peste, et font vœu, De ne jamais,
aimer
son Jeu, Quoi que Flore, Sœur de Pomone, Très for
ette Vieille dépitée De voir sa figure empruntée Par Vertumne qu’elle
aime
, aussi, Et qui, d’elle, n’a nul souci, Veut décou
Je crois que votre mérite sera bien senti en Angleterre parce qu’on y
aime
la nature ; mais ou trouverrez vous des acteurs c
ses Lois, Se servant de tout stratagème Pour voir ce rare Objet qu’il
aime
(Car, comme on sait, l’Amour est fin), Fait si bi
s’éloigne encore aujourd’hui, que parce qu’on l’ignore autant qu’on l’
aime
.
nt charmant au dernier point) Ne l’ayant vu ni peu, ni point. Comme j’
aime
les choses belles, Pour, après, jaser un peu d’el
art ensuite après avoir pourvu aux besoins et à la sûreté de ce qu’il
aime
. L’Amour à qui il devait le courage qu’il venait
ouvre, se nomme, et demande pour récompense la jeune Athénienne qu’il
aime
. Un applaudissement universel lui répond du conse
este Drôle : Et comme Homme fait, et formé, Par ce jeune Acteur, tant
aimé
, Qui par tout, le Baron se nomme, Et lequel, des
quel, des mieux, joue, en somme. Un Zéphire fort goguenard, Et qui, d’
aimer
, sait, très-bien, l’Art Aide à l’Amour : et c’est
Chapitre IV Sommaire. — Pourquoi on
aime
notre monde. — L’indépendance de la femme. — Pour
m’explique parfaitement l’amour des jeunes gens pour nous. Ce qu’ils
aiment
, c’est l’irrégularité de notre existence, la bohé
istes ont cherché bien loin la cause de la débauche des femmes. Elles
aiment
l’air, voilà tout. VI Mais trouvent-elles l
rs un spectacle intéressant, lorsqu’il sera présenté à une nation qui
aime
l’honneur et qui chérit la gloire. C’est à ces de
clination que son cœur a combattue, mais qu’il n’a jamais pu vaincre,
aime
tendrement Raymond. Alphonse les surprend dans le
pre l’hymen malheureux qui doit l’arracher pour toujours à ce qu’elle
aime
. Elle confie ce billet à une de ses femmes, dont
à résonner, disant des mots que je ne pouvais pas comprendre. « Je t’
aime
! je t’aime ! » C’était aussi comme du cristal qu
disant des mots que je ne pouvais pas comprendre. « Je t’aime ! je t’
aime
! » C’était aussi comme du cristal qui tintait da
ine qu’elle lui avait faite. Elle était « désolée », et cela me fit l’
aimer
davantage. Sa flamme, trop vive, trop ardente, av
dais dire, dans ma langue maternelle, qu’elle était heureuse, et je l’
aimais
toujours. *** Un jour, à Paris, tout dernièreme
étais tombée malade bien subitement. La chose me blessa au vif, car j’
aimais
toujours Sarah. Le lendemain j’allai chez elle et
Préface de l’auteur « Un livre comme je ne les
aime
pas, ceux épars et privés d’architecture… L’excus
où chacun fait son Rôle, Sans nul doute, admirablement. Ah ! que j’
aime
le Testament Que dict l’ARLEQUIN malade, Cet Acte
icie. Il l’engagea à venir à Rome, après en avoir parlé à Mécène, qui
aimait
les Arts. Ces deux hommes, l’un d’un génie mâle e
tés à moins jusqu’à ce jour ; et nous croyons de bonne foi connaître,
aimer
, posséder la Danse. Combien de fois n’ai-je pas o
et de rêverie rétrospective ? Or l’histoire de la nymphe farouche qui
aima
le berger Aminta pour avoir essayé de le tuer eut
récision infaillible. L’accompagnement des bras juste et sobre. Que j’
aime
cette retenue, cette pureté adamantine ; cette co
e, Mlle Aida Boni, dont il sied d’évoquer ici le souvenir charmant. J’
aime
particulièrement le quatrième acte ; ce séjour él
e. Boucher, qui fit le dernier décor de Pollux, aurait, il me semble,
aimé
une telle Hébé. Au troisième acte enfin, une dans
it fortuit ; non un parti pris mais une défaillance. Ainsi nous avons
aimé
le costume de l’infante Vélasquez vu à travers Po
irant agréablement Donner un divertissement À la REINE, que son coeur
aime
Aussi tendrement que lui-même, Choisissant le plu
ù. — Ma fille, me disait-elle en prenant sa prise, souviens-toi qu’on
aime
les biches franches, cela repose des femmes du mo
i-même. Outre que je suis une femme qui a de la « littérature », je n’
aime
pas à raconter mes affaires à des étrangers. J’ai
XIV La baronne est une bonne fille ; bohême par instinct, elle
aime
la liberté et le sans-façon. Capricieuse comme le
us, & de raconter toutes les qualitez qui vous font estimer &
aimer
personnellement de toute la France. Dans le dés
ressentit ces effets. Il commença par mettre la Danse à la mode. Il l’
aimait
, ou, ce qui revient au même pour le Public, lorsq
qui revient au même pour le Public, lorsqu’on règne, il feignit de l’
aimer
. De ce moment, il parut honorable de s’en occuper
rles Maurras, qui porte ce titre révélateur : Quand les Français ne s’
aimaient
pas. Eh bien, le temps quand « les danseurs class
’aimaient pas. Eh bien, le temps quand « les danseurs classiques ne s’
aimaient
pas » est, heureusement, révolu. Car l’esprit nou
gens parfaits doivent trouver tous les autres au-dessous d’eux. Tu m’
aimes
pourtant, toi ; il n’y a que cela qui me donne un
ai pas qu’il est un peu triste, je sais qu’il est navrant ; mais je l’
aime
ainsi, et sauf quelques réparations peut-être néc
era pas à vous dédommager de vos peines. Connaissez votre siècle : il
aime
les Arts. Tout ce qu’ils tentent pour lui plaire,
ouvre celle du cœur, lui parle, et s’en fait obéir ; parce qu’il fait
aimer
ce qu’il enseigne, et qu’il donne la force de le
es bergers et les bois. Mais souvent un esprit qui se flatte et qui s’
aime
20 Méconnaît son génie et s’ignore soi-même : Ai
r les amoureux ébats7. Mais souvent un danseur qui se flatte et qui s’
aime
Méconnaît son talent et s’ignore soi-même. Ainsi
ix légère Passer du grave au doux, du plaisant au sévère ! Son livre,
aimé
du ciel, et chéri des lecteurs, Est souvent chez
auteurs de ce temps sert encor de modèle. Marchez donc sur ses pas ;
aimez
sa pureté, Et de son tour heureux imitez la clart
Marchons donc sur ses pas ; imitons sa clarté, Et de son tact précis
aimons
la pureté. Sur-tout, qu’en chaque pas, la grâc
i court en rimant, Marque moins trop d’esprit, que peu de jugement. J’
aime
mieux un ruisseau qui, sur la molle arène, Dans u
nt rien de brillant ; Ils montrent peu de goût et jamais de talent. J’
aime
mieux un ruisseau qui, sur la molle arêne, Dans u
, Et son ami Sully se plaisaient à la Danse4 : On peut, sans déroger,
aimer
cet art joyeux, Lecteur, ouvrez l’histoire et nos
a Chaconne, un ordre méthodique ; Chant III, vers 275 Oh ! que j’
aime
bien mieux cet auteur plein d’adresse, Qui, sans
compas, Asservit tristement leurs gestes et leurs pas. Oh ! que j’
aime
bien mieux ce danseur plein d’adresse Qui, toujou
; A de diverses mœurs, prêtez divers visages. Chant III, vers J’
aime
sur le théâtre un agréable auteur Qui, sans se di
parterre17, Ne passez pas le but : la Danse est l’art de plaire. J’
aime
sur le théâtre un élégant danseur Qui, sans se di
mprunté : Chaque genre est brillant de sa propre beauté. Si vous n’
aimez
votre art d’un amour idolâtre, Gardez-vous, croye
ompeux et plaisant ; 290 Et je hais un sublime ennuyeux et pesant. J’
aime
mieux Arioste et ses fables comiques, Que ces aut
pompeux et plaisant, Et je hais tout spectacle ennuyeux et pesant. J’
aime
mieux don Quichotte et son valet comique12, Qu’un
nt que de retomber à terre, nous prouve que de tout temps le public a
aimé
qu’on l’étonnât. Cependant son genre ordinaire ét
igne seigneur, disoit-elle de lui, mais il ne donne jamais envie de l’
aimer
». Elle avait alors du goût pour Pécour, célèbre
7. Le spectacle public de l’Opéra n’existait pas encore. Louis xiv
aimait
beaucoup la Danse théatrale, et depuis son enfanc
les en Danse qu’on ait vus en Europe. 16. La foule des spectateurs
aime
qu’on l’étonne. Les pirouettes ont succédé aux éq
’Ane d’or, en fait une description brillante. On voit que les anciens
aimaient
comme nous les grands spectacles à machines. Her
s réponse. Voici ce qu’elles disaient : « Quand on vous voit, ou vous
aime
: « Quand on vous aime, où vous voit-on ? » VI
elles disaient : « Quand on vous voit, ou vous aime : « Quand on vous
aime
, où vous voit-on ? » VII Le porteur de ces
en es amoureux ? Deuxième gandin. Moi ! allons donc ! Est-ce qu’on
aime
des actrices ?… Premier gandin. Pourquoi les fr
spectacles. De plus, vous avez une femme et des enfans ; si vous les
aimez
comme vous le devez, pourrez-vous trouver de plus
nue, qu’y a-t-il de plus agréable que des enfans pour un père qui les
aime
? Et quoi de plus doux, pour un mari qui veut men
ame vraiment chrétienne : (Ps. 118, v. 85.) Les pécheurs (ceux qui
aiment
le monde) me racontent des fables, des mensonges
e du 7 juin 1868 : « Tous les goûts sont dans la nature. Richelieu a
aimé
les chats ; Henri III, les chiens ; madame Sass,
esse qu’ait jamais éprouvée mademoiselle Villeroy : elle a tendrement
aimé
, pendant plusieurs années, un petit hérisson qui,
avers, Bélardel, Jousset, Accolas, Vauthier, Desvignes ; Gauguin, qui
aimait
tant Régnier, de l’Ambigu ; Guénia, que Faure pro
à 18 ans, il vaut mieux se méfier et travailler pour pouvoir durer. J’
aime
moins le danseur, M. Gadescow, qui est, comme tou
Monsieur, sur votre question : Est-ce en France ou en Italie que l’on
aime
le mieux la musique ? comme nous ne sommes pas d’
cal ? cette fureur de graver tout, peut-elle prouver que les Français
aiment
mieux la musique que les Italiens ? En Italie on
ercles aimables qui en jouissent, des âmes vives et délicates qui les
aiment
. Ainsi un ouvrage qui rassemblerait les moyens de
, et de dissiper, s’il est possible, les ténèbres dans lesquelles ils
aiment
à s’envelopper, nous portera à les suivre dans to
ne ambiance de rêve. Au point de vue métier pur, je n’ai pas beaucoup
aimé
l’« adage ». L’allure véloce qu’imprimait à l’orc
éhensibles et immuables, qui sont réservés dans le ciel pour ceux qui
aiment
Dieu. Si nous savons nous aimer nous-mêmes, ne no
réservés dans le ciel pour ceux qui aiment Dieu. Si nous savons nous
aimer
nous-mêmes, ne nous mettrons-nous pas plutôt en p
ux lui ont jeté au passage deux éclairs brûlants. « Beau domino, je t’
aime
, je n’aime que toi ! » fait l’écolier derechef et
jeté au passage deux éclairs brûlants. « Beau domino, je t’aime, je n’
aime
que toi ! » fait l’écolier derechef et en étayant
La fillette veut savoir si le jeune homme qui l’a courtisée au bal l’
aime
d’un amour sincère, et comme elle est, en sa qual
e Dorotea. Mais l’écolier, tirant celle-ci à part, lui conseille de n’
aimer
et de n’épouser que le jeune inconnu qui lui a pr
porte le nombre des convives à un chiffre assez honnête, ou, si vous
aimez
mieux, assez malhonnête. Pour le bouquet de la fê
lui crie dans la langue du ballet : « Halte-là, beau cavalier ! vous
aimez
doña Dorotea, je l’aime aussi ; donc nous allons,
du ballet : « Halte-là, beau cavalier ! vous aimez doña Dorotea, je l’
aime
aussi ; donc nous allons, si vous le voulez bien,
renouvellement ; Et pour d’autres Messieurs, encore, Qu’au Louvre on
aime
et l’on honore, À savoir Monsieur de Créqui, Amba
l’admiration, et qui vous méprise. Hommes privilégiés par la nature,
aimez
-vous mutuellement ; estimez-vous, encouragez-vous
s intéresse, employez le présent à mériter les suffrages de l’avenir.
Aimez
la gloire, et ne haïssez que l’envie ; mais ne la
sonnes d’un sexe différent, surtout avec celles qui sont volages, qui
aiment
à rire et à se divertir, et dont les discours ne
stoire des Rois, (L. 3, c. 11.) que les femmes étrangères que Salomon
aima
passionnément, corrompirent à un tel point le cœu
ister ? J’en prends à témoins les personnes qui ont autrefois le plus
aimé
ce pernicieux divertissement, mais que la grâce a
plus occupée que du désir de lui plaire, et que du bonheur d’en être
aimée
. Scène II. Enée, non moins sensible que Did
r fait serment d’y rendre Enée le plus heureux des amans. L’Hymen qui
aime
la pompe et l’appareil ne promet rien. Scène I
jette à ses genoux, se repent de sa barbarie et veut sauver ce qu’il
aime
: mais Didon, au comble du désespoir, vole vers l
e transformer aussi les autres Étoiles en autant de Dames qui avaient
aimé
ces Chevaliers. Incontinent, ces Étoiles changées
n liés, désinvoltes, très sensibles à la mesure : ainsi j’ai beaucoup
aimé
ses jetés en tournant. Elle « dit » la ballade de
! il fallait bien une fois répondre aux détracteurs d’un art que vous
aimez
, et que j’ai le faible mérite d’avoir cultivé tou
laisir, dit encore Plutarque, parce que bien que naturellement nous n’
aimions
pas à voir les emportemens des furieux, ni le dés
vagances des fous & de ceux qui sont pris de vin ; néanmoins nous
aimons
à les voir représenter par des Balets & dans
mphe sons la forme et la figure de Lucinde, jeune Danoise, tendrement
aimée
du chevalier, l’aborde avec l’empressement du dés
d’un cœur fortement épris, et qui sacrifie à son devoir l’objet qu’il
aime
. Ce héros s’éloigne à pas lents en regardant sans
mant son désespoir. Le Sophi touché de la sensibilité de Zulmire l’en
aime
davantage ; et, pour faire diversion à cette scèn
ne peut voir sans intérêt le désespoir d’une femme qu’il à tendrement
aimée
. Zélis, accompagnée de Fatnie, Sultane impérieuse
cation, il y avait appris la Musique, qu’il avait depuis cultivée. Il
aimait
les arts en Philosophe, il aurait voulu les répan
magnifique créature, à la beauté prenante et provocante, mais nous n’
aimons
pas son style. Car, à la base de son exécution, n
languit, s’étiole comme cette autre Cydalise, la grisette diaphane qu’
aima
Théophile Gautier aux jours bénis de l’impasse du
ses louanges oyait, Donnait, par ses yeux, mainte marque Combien elle
aimait
ce Monarque. Plusieurs, de haute qualité, Dansa
talents qui les fait naître : on les voit toujours en foule où on les
aime
. 50. On la nomma la Danse de la Grue, parce que
uis pas la Loïe Fuller. La fée m’a envoyé vous dire combien elle vous
aime
et combien elle regrette de ne pouvoir vous emmen
lés de la grâce de l’enfant, celle-ci leur dit paisiblement : — Vous
aimez
ces danses ? Alors, il faut aller voir « ma Loïe
mais pour principe que le talent supérieur ou les vertus éminentes. J’
aime
à voir Auguste et Marc-Aurèle, qui sont de tous l
depuis quelque temps, & qui ne sont pas du goût de tous ceux qui
aiment
la belle danse. Il est vrai, qu’il y en a plusieu
Un genre fort curieux à étudier, c’est le genre Arthur qui veut être
aimé
pour lui-même. Craignant qu’on puisse attribuer u
triomphe à une influence de fortune, cet Arthur laisse jeûner l’objet
aimé
le plus long-temps possible, il voit d’un œil sec
ne sa lionne sans fourrure ni bournous. Si l’Arthur craint qu’on l’
aime
pour son tilbury, il va en omnibus ; s’il craint
qu’on l’aime pour son tilbury, il va en omnibus ; s’il craint qu’on l’
aime
pour ses aïeux, il se fait appeler bâtard dans le
te une pensée sur l’arrière de sa vie, il songe à la Vendômoise qui l’
aimait
si bien et qui écrivait si mal ; et, comme s’il é
tient ce produit : Tu n’ai qu’un nainfidèle, maiche tème (mais je t’
aime
). La fin du travail donnait pour résultat la nou
thur : Viens de bonne heure, le mien est de te voir. Une autre, qui
aimait
beaucoup les officiers, répondait à une déclarati
d, vous insultez madame, vous lui devez des excuses. — Des excuses, j’
aimerais
mieux m’en aller sans payer mon dîner, La maîtres
s soupçons, ses amours, qui ont leurs formules spéciales. La Lorette
aime
le cigare, c’est une confession que nous avons dé
mille divans gratuits que la philanthropie entretient pour ceux qui n’
aiment
pas à mourir à domicile. — Mais vous n’êtes pas i
ns vous faire admettre à l’Hôtel-Dieu. — A l’Hôtel-Dieu… Diable !.. j’
aime
mieux autre chose. — A la Charité ? — La Charité
Schwarz et Jeanne Barbier. Comme Marguerite de Navarre, la danseuse
aime
mieux les poulets en papier que les poulets en fr
d’observation ironique. Un abonné, le marquis de M… et une coryphée s’
aimaient
d’amour tendre. Un soir la petite ne reparut pas
sire, pas trop ! — Comment ? — Il m’a payée en livres, j’aurais mieux
aimé
en francs. » * * * Le foyer de la danse avait eu
r quadrille murmura, un peu mélancolique : « Moi aussi, j’aurais bien
aimé
mourir sage ! Mais je n’en avais pas le moyen. »
s, il ne les voyoit que couleur de rose. Je reviens aux amateurs. Ils
aiment
également tous les arts. Ils gémissent à la vue d
ou antipathiques entre elles ; et on les emploie indifféremment : ou
aime
le bizare et les nuances fortement prononcées : A
décence, attributs ordinaires du beau sexe. En dérobant tout ce qu’on
aime
à voir, et tout ce qu’il ne faut pas montrer ; el
elques mots encore sur l’autre inédit de la soirée : Frivolant. Que j’
aime
ce rafraîchissant vocable qui sert de titre à un
en tournant ? Son « training » est solide ; sa technique honnête ; j’
aime
voir son dos droit, son pied retombant avec la po
lui sache gré de cette émotion. Un pas de deux — et c’est tout. Qu’on
aimerait
voir la Tréfilova interpréter les chefs-d’œuvre d
t, qui n’articule que des mots sans suite et souvent mal prononcés. J’
aime
mon art ; on doit chérir l’objet qui contribue à
ui contribue à notre réputation et à notre subsistance : mais je ne l’
aime
point d’un amour effréné ; je ne dirai pas dans l
ire, pas trop ! — Comment ? — Il m’a payée en livres : j’aurais mieux
aimé
en francs. Mademoiselle Bigottini, qui était dev
cet acrostiche : Nouveau caprice, enfant, s’empare de mon cœur. Amour
aime
la danse ; il veut, dans son ardeur, Ne prendre d
it à l’un de ces vieux seigneurs en off : — Vous prétendez que vous m’
aimez
?… — Soit. — Mais m’aimez-vous autant que cent mi
gneurs en off : — Vous prétendez que vous m’aimez ?… — Soit. — Mais m’
aimez
-vous autant que cent mille francs. Le lendemain
de loin par la tendresse et le dévouement du prince qui l’avait tant
aimée
. » Delphine et Louise Marquet Elles rapp
r quadrille murmurer dans un gros soupir : — Moi aussi, j’aurais bien
aimé
mourir sage !… Mais je n’en avais pas le moyen !
, de sorte que l’une dans son exécution ne le cède point à l’autre. J’
aime
à les voir lutter d’égale force, et que toutes de
, et trop éloigné de ce que l’on attend de lui. Étudiez le ballon ; j’
aime
à vous voir parfois bondir dans un pas et faire p
es aussitôt en exécution, pour les imprimer dans votre esprit. « ………
Aimez
qu’on vous censure, « Et, souple à la raison, cor
t et mangeant , et vous dites : C’est un homme de bonne chère et qui
aime
à boire. C’est avec raison, conclut saint Ambroi
n’a rien oublié, lorsqu’il a dit : (épit. 1, c. 2, vv. 15 et 16.) N’
aimez
point le monde ni ce qui est dans le monde. Si qu
6.) N’aimez point le monde ni ce qui est dans le monde. Si quelqu’un
aime
le monde, l’amour du père n’est point en lui ; ca
se mettre en place, parce que sentant eux-mêmes leur incapacité, ils
aiment
à se confondre dans la foule, et par ce moyen dér
a belle Comtesse de Guiche, Sur qui les yeux point on ne fiche Sans l’
aimer
et sans l’admirer, Non pas (même) sans soupirer.
éveillé, Qui, de la sorte, est enrôlé, Dessous le Dieu, par qui l’on
aime
, S’en plaint comme d’un mal extrême. Il est con
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