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1 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7
e de lettres sur la musique. Est-ce en France ou en Italie que l’on aime le mieux la musique ? Il est des questions qui
qui excelle dans l’art musical, mais seulement quelle est celle qui l’ aime le mieux. Quand cette question sera décidée, le l
sont pas un motif pour être chassé du théâtre. En Italie, quoiqu’on y aime le chant presqu’exclusivement, on n’y fait aucune
astes vont se récrier : mais quand ils auront affirmé qu’en Italie on aime mieux la musique, je leur demanderai encore dans
aime mieux la musique, je leur demanderai encore dans quel pays on l’ aime de la meilleure façon ? je leur demanderai de plu
de plus, pourquoi ils quittent presque tous le pays où ils sont tant aimés  ; je leur demanderai enfin si leur désintéresseme
2 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26
nez. Malgré ce manque d’attraits, il ne me déplaisait pas, du moins j’ aimais ses yeux. Je les aimais et je les craignais à la
attraits, il ne me déplaisait pas, du moins j’aimais ses yeux. Je les aimais et je les craignais à la fois, car ils étaient vr
et j’effeuillai une marguerite de cette façon : Un coup sonna. — Je l’ aime , fis-je. Deux. — Un peu. Trois. — Beaucoup. Quatr
— Beaucoup. Quatre. — Passionnément. Cinq. — Pas du tout. Six. — Je l’ aime . La pendule s’arrêta. Je regardai les aiguilles,
a pendule s’arrêta. Je regardai les aiguilles, il était six heures. J’ aimais M. Prosper à six heures. VIII J’aimais mon
, il était six heures. J’aimais M. Prosper à six heures. VIII J’ aimais mon voisin à la verrue, j’aimais un vieillard ! C
. Prosper à six heures. VIII J’aimais mon voisin à la verrue, j’ aimais un vieillard ! C’est qu’aussi il avait un drôle d
ondre… — Dites, vous plaît-elle ? Et l’œil brillait, brillait… — Je l’ aime , fis-je en pleurant à chaudes armes. — Ma pendule
3 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
eul. Mon ami, tout cela est faux. Dieu ne nous permet pas seulement d’ aimer , il nous le commande. S’il a mis en nous la flamm
rait sa froideur. En peu de temps, j’acquis la certitude qu’elle ne m’ aimait pas. Je n’avais pas su me faire aimer. Je n’accus
quis la certitude qu’elle ne m’aimait pas. Je n’avais pas su me faire aimer . Je n’accusai que moi ; mais je ne compris pas en
d’aliments, jusqu’à rire de rien, pour le seul plaisir de rire. Je l’ aimais toujours, elle ; mais son rire, je le haïssais. I
été sotte, je me suis laissé marier à un beau garçon excellent que j’ aime bien, mais qui est studieux, baroque, sauvage et
ment j’étais ridicule et insupportable à ma femme, mais elle en avait aimé un autre qu’elle regrettait ! Je l’avais rencontr
ou l’original, que la lettre fût partie ou non, peu m’importait, je n’ aimais plus ma femme, je la trouvais foncièrement égoïst
on père, je conduisis ma femme chez ses parents. Ils avaient beaucoup aimé les miens, ils me témoignèrent de l’affection. Ma
des piqueurs qui l’emportaient. Ma femme poussa des cris perçants. L’ aimait -elle encore ? L’avait-elle réellement aimé ? Étai
ssa des cris perçants. L’aimait-elle encore ? L’avait-elle réellement aimé  ? Était-elle capable de ressentir et de nourrir u
« La femme est un enfant qu’il faut toujours amuser pour qu’elle vous aime , ou laisser à son confesseur pour qu’elle ne vous
r qu’elle vous aime, ou laisser à son confesseur pour qu’elle ne vous aime pas trop. » J’ai répondu : « Aimons pour être aim
son confesseur pour qu’elle ne vous aime pas trop. » J’ai répondu : «  Aimons pour être aimés », et je n’ai pas rouvert ma plai
ur qu’elle ne vous aime pas trop. » J’ai répondu : « Aimons pour être aimés  », et je n’ai pas rouvert ma plaie par d’inutiles
en doutez pas. Mais je ne veux pas refaire l’expérience, car j’ai mal aimé , et je ne saurais probablement pas aimer mieux. O
re l’expérience, car j’ai mal aimé, et je ne saurais probablement pas aimer mieux. On ne m’a pas appris à faire de l’amour un
’a laissé systématiquement ignorer les voluptés de la tendresse. J’ai aimé avec les sens, avant que mon cœur eût parlé et se
ne vous parlerai plus de ces choses, ne m’en parlez jamais, si vous m’ aimez  ! Je fais bâtir parce que mon pauvre vieux manoir
4 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre III. Sur le même sujet. » pp. 19-23
I. Sur le même sujet. Avant de vous nommer, Monsieur, le peuple qui aime le mieux la musique, qui la cultive avec passion,
r les productions ; jugement bien propre à prouver que le peuple, qui aime le mieux la musique, n’est pas celui qui sait le
oncer sur les chefs-d’œuvre de la musique, et voyons si la nation qui aime le mieux cet art, et qui est la plus enthousiaste
au triomphe de ce chef-d’œuvre musical, il n’obtint de la nation, qui aime le mieux la musique, qu’un quart de succès. Nos c
mis de l’auteur : cette nouvelle circule dans tout Paris, ou ceux qui aiment le mieux la musique répandirent le dégoût dans le
ite lettre à part ; et je la terminerai en vous nommant la nation qui aime le plus passionnément et le plus constamment la m
5 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185
sa flamme à une femme qui a su captiver votre cœur, entourer l’objet aimé de vos soins et chercher par des prévenances et d
X La blonde est délicate, faible, langoureuse, lymphatique. Elle aime la poésie, les soupirs étouffés, les clignements
s de la confrérie. XIII Or, avant : employer la poésie. Après : aimer les brunes. Passons à l’autre leçon. XIV La b
s victimes qu’ils ont faits, sont les plus belles choses du monde. On aime une blonde. On est fou d’une Andalouse. XVI
, le sans façons. Pendant : faire rimer beau jour avec amour. Après : aimer les rousses. XXII. La rousse. La rousse es
u laide à consoler mademoiselle X***. XXIV Pour devenir l’objet aimé d’une rousse, on doit : Être châtain, Galant, Poë
que pour mémoire. Les tout jeunes gens qui ont encore la faiblesse d’ aimer les vieilles femmes deviennent de plus en plus ra
ux gris ne travaille pas dans la littérature, si vous vous mettez à l’ aimer , vous êtes sans excuse. Je ne connais qu’un seul
6 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 janvier : Les Amours de Jupiter et de Sémélé — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de La Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 17 janvier 1666 »
bout à l’autre voler Cette éclatante Renommée, Des honnêtes Gens tant aimée . Du Théâtre les changements, Décorations, ornemen
de leur présence, Avecque les plus Grands de la France. À moi, qui l’ aime dessus tous, Il m’en coûta jusqu’à cent sous, Soi
7 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
encore me croire dans le cher pays qui m’a vue naître. — Alors, vous aimez toujours l’Angleterre ? — Oh ! avez-vous jamais r
jours l’Angleterre ? — Oh ! avez-vous jamais rencontré un Anglais qui aime un autre pays plus que le sien ? — N’aimez-vous p
is rencontré un Anglais qui aime un autre pays plus que le sien ? — N’ aimez -vous pas la Roumanie ? — Il est impossible de viv
 N’aimez-vous pas la Roumanie ? — Il est impossible de vivre ici sans aimer et les gens et le pays. Elle me montra ensuite un
quand vous serez à Berlin, et je tâcherai qu’il vienne vous voir. Il aime les choses artistiques, et il est lui-même un art
nseuse doit exprimer le chagrin qu’elle ressent de la perte d’un être aimé ou si elle doit montrer à des gens en deuil la ré
on se serait cru dans un minuscule musée. Je lui demandai ce qu’elle aimait le mieux parmi les choses qui étaient là, et elle
s Fuller. Je la regardai un long moment, puis je lui dis : — J’aurais aimé vous connaître sans savoir que vous étiez une pri
8 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
autant qu’on peut, d’être présent aux danses. Si l’on ne doit pas aimer à danser, on ne doit pas non plus aimer à voir da
anses. Si l’on ne doit pas aimer à danser, on ne doit pas non plus aimer à voir danser les autres. Prendre plaisir à être
faire, on sera facilement excité par l’exemple des autres, qu’on aura aimé à voir dans ce divertissement, à le rechercher et
les actions, suivroient notre exemple. » N’étant permis à personne d’ aimer à regarder les danses, que doit-on donc penser de
ter avec charité et avec douceur les personnes de la paroisse qui les aiment , à y renoncer ; d’être ferme et de ne point admet
9 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81
e. Juste Odoard ne s’y ennuiera pas, parce qu’il sera occupé et qu’il aime le travail avec passion ; mais il gardera, de la
e. Vous n’êtes point habitué à la discussion et je sais que vous ne l’ aimez pas. Laisserez-vous battre en brèche vos plus che
onseil ou de révoquer mon arrêt. Je vous demande de réfléchir et de m’ aimer toujours comme je vous aime. Melchior de Sainte-
êt. Je vous demande de réfléchir et de m’aimer toujours comme je vous aime . Melchior de Sainte-Fauste.
10 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
e je te les envoie. — Beau jeune homme, pourquoi dormir ? il faudrait aimer un peu le follet de la chaumière ! » Tel est le r
brûlant et soucieux. Dansez donc et soyez gai, dansez et laissez-vous aimer de votre cousine Effie ; dansez, et fi du rêve !
st amoureux d’une fille invisible ! » Elle pleure, et pourtant elle l’ aime encore, l’ingrat et le trompeur ! Resté seul, Jam
i et la vengeance ; elle se venge de celles qui sont belles, qui sont aimées , de celles qui aiment. Elle est la première qui a
le se venge de celles qui sont belles, qui sont aimées, de celles qui aiment . Elle est la première qui ait dit à la pauvre Eff
mière qui ait dit à la pauvre Effie : « James, ton jeune fiancé, ne t’ aime pas. » Puis elle est partie laissant ce doute cru
nvisible et présente, invisible pour tous, excepté pour celui qu’elle aime . À cette vue, James oublie toutes choses : plus d
, reviens dans ma cabane ; s’il se peut, je ne te dirai plus que je t’ aime , je n’effleurerai plus ta robe, même quand elle c
dernier adieu, d’adresser un dernier sourire à l’homme qu’elle a tant aimé  : — elle meurt pleurante et pleurée ! Elle quitte
et du ciel. Elle renonce, non pas sans larmes, à ce jeune homme tant aimé , enfant des montagnes d’Écosse, qu’elle avait ent
d’éloges plus unanimes ne s’est élevé sur les pas d’une artiste plus aimée  ; mais aussi jamais artiste plus complète ne l’a
11 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
donner la main et en faire son épouse. Julie lui répond qu’elle ne l’ aime point, qu’elle ne l’aimera jamais. Cet aveu irrit
re son épouse. Julie lui répond qu’elle ne l’aime point, qu’elle ne l’ aimera jamais. Cet aveu irrite le bailli ; il veut se sa
son bonheur ; il y est d’autant plus sensible qu’il le partage, qu’il aime Julie, qu’il en est aimé, que le choix du village
autant plus sensible qu’il le partage, qu’il aime Julie, qu’il en est aimé , que le choix du village justifie son goût, et qu
n qui craint moins la mort que la honte dont on veut couvrir ce qu’il aime , part en assurant Julie que dans peu il sera de r
an bleu ; on lui donne la bourse et la bague ; on l’unit à ce qu’elle aime  ; et cette fête, champêtre est terminée par des d
12 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IX. Objection : Si l’on défend les Danses, on abandonnera l’usage des sacremens. » pp. 206-207
dent que des chrétiens qui sont tellement attachés aux danses, qu’ils aiment mieux renoncer aux sacremens que de renoncer à un
mais celui de les profaner n’est-il pas encore plus grand ? Quiconque aime mieux se priver des sacremens que de céder à ce q
13 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »
partit pour le siège de Troie, il laissa auprès de Clytemnestre qu’il aimait , et dont il était aimé, un Danseur célèbre40, qu’
roie, il laissa auprès de Clytemnestre qu’il aimait, et dont il était aimé , un Danseur célèbre40, qu’il établit l’écuyer de
14 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
ix ; ils ont vingt théâtres, et nous n’en n’avons qu’un. Les Italiens aiment donc passionnément la musique, puisqu’ils ont une
nvenir que la musique a fait en France des progrès inouis, et qu’on y aime autant cet art aujourd’hui qu’en Italie. Si cela
i cela ne vous arrange pas, je m’engage à vous nommer le pays où l’on aime le mieux la musique, où elle est le plus générale
15 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100
es braves gens-là sont capables de tous les bons procédés, mais ils n’ aiment réellement personne. C’est tout simple, ils n’ont
ris : M. d’Autremont a été marié à vingt ans et veuf à vingt-un. Il a aimé sa femme qui ne l’aimait pas. Elle l’eût rendu ma
été marié à vingt ans et veuf à vingt-un. Il a aimé sa femme qui ne l’ aimait pas. Elle l’eût rendu malheureux. M. Champorel ne
eux Champorel est pour les vieux usages. Sans avoir de préjugés, il n’ aime pas que les anciennes classes se rapprochent trop
rer que j’ai eu le bonheur de le mettre au monde ! Ah ! comme tu m’as aimé , et qu’avais-je fait pour mériter cela ? Aussi, e
le sans-nom et l’ouvrier, pour ce haut personnage qui n’a jamais été aimé comme je le suis ! C’est pourquoi je me figure qu
! C’est pourquoi je me figure qu’il n’a jamais pu et ne pourra jamais aimer comme j’aime ! J’ai dormi deux heures, après quoi
oi je me figure qu’il n’a jamais pu et ne pourra jamais aimer comme j’ aime  ! J’ai dormi deux heures, après quoi j’ai été rév
16 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
pour avoir quelque prétexte de ne pas se rendre à des vérités qu’on n’ aime pas, et pour continuer à se croire permis ce à qu
résistoient opiniâtrément à sa parole : (Jean. 3, 10.) Ils ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvr
l’amour que les hommes ont naturellement pour la vérité, puisqu’ils n’ aiment point à être trompés, demande (Confess. l. 10, c.
nent pour la vérité tout ce que la dépravation de leur cœur leur fait aimer , quoique ce soit toute autre chose. Ainsi ce qu’i
r leur fait aimer, quoique ce soit toute autre chose. Ainsi ce qu’ils aiment au lieu de la vérité, et qu’ils prennent pour ell
eu de la vérité, et qu’ils prennent pour elle, la leur fait haïr. Ils aiment son éclat et sa beauté ; mais ils n’aiment point
le, la leur fait haïr. Ils aiment son éclat et sa beauté ; mais ils n’ aiment point ses remontrances et ses reproches : Amant e
(2. Thess. 2 , 10 et 11.) N’ayant pas reçu , dit le saint apôtre, et aimé la vérité afin d’être sauvés , c’est pour cela qu
aux passions qui en font craindre la lumière, et qui, tant qu’on les aime , rendent indigne d’en être éclairé. Saint Augusti
Un second moyen pour parvenir à la connoissance de la vérité, c’est d’ aimer à faire de saintes lectures, et en particulier ce
e ego vobiscum sum omnibus diebus, usquè ad consummationem seculi.  » Aimons donc à aller, le plus souvent que nous pourrons,
, des ténèbres vengeresses sur les criminelles passions auxquelles on aime à se livrer ! (Confess. l. 1, cap. 18, n.° 29.)
erdre son ame, en leur disant, après l’Ecriture sainte, que celui qui aime le péril ne manquera pas d’y tomber ; en leur rac
17 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
guère autre chose. La chaleur était insupportable. Mais j’ai toujours aimé la chaleur à raison du rhume que je possède depui
erie presque féminine. A déjeuner, un jour, quelqu’un me demanda si j’ aimais beaucoup M. Dumas, et je répondis en français, qu
ais, que je ne possédais encore qu’assez imparfaitement : — J’ai elle aime beaucoup : Dumas, tout secoué de rire, dit quelq
iscret ! Certainement non ! Tous mes amis doivent connaître Loïe et l’ aimer . Lorsque je pris congé de lui, il pressa un baise
18 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
le feu sacré, et elle devint une grande actrice. En Amérique nous l’ aimons comme si elle était une enfant du pays. Peu après
ns telle autre, et c’est si probant que tout le monde vous dira : « J’ aime cette couleur-ci et je n’aime pas “celle-là.” Ne
obant que tout le monde vous dira : « J’aime cette couleur-ci et je n’ aime pas “celle-là.” Ne dit-on pas aussi que telle ou
, et le merveilleux site de Juvisy mérite une visite de tous ceux qui aiment la belle nature. Le panorama que l’on découvre de
19 (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108
n aperçoit et les écoute d’un air légèrement maussade ; Therpsycore n’ aime pas les lions conscrits. Parlez-moi du lion qui e
ans la vie, et cependant, en fin de compte, on ne sait guère ce qu’on aime quand on aime une actrice. Est-ce la femme ou le
cependant, en fin de compte, on ne sait guère ce qu’on aime quand on aime une actrice. Est-ce la femme ou le rôle ? Est-ce
ce sont les actrices. Les seules créatures qui n’aient pas le temps d’ aimer , ce sont les actrices. La vie de l’actrice n’est
lle-là ! Comment voulez-vous que ces malheureuses trouvent le temps d’ aimer au milieu de tant de labeurs, de fatigues et de p
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 1er mars 1664 »
é, Pour la dernière fois dansé ; Et comme il est très véritable Que j’ aime fort le délectable, J’allai dans cet aimable Lieu
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — Janvier : Ballet royal — Lettres en vers au Roi de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, 2ème lettre du mois de janvier »
Au Château neuf fut l’autre jour, Avec encor Mademoiselle,131 Qui l’ aime , et la suit avec zèle, Pour ouïr un concert charm
22 (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24
ouver un homme, surtout s’il est riche et puissant, au bonheur d’être aimé pour lui-même, pour sa grâce et sa jeunesse, sans
rop chaud ! reposons-nous ! » il est toujours prêt à danser ; aussi l’ aime-t -elle de toute la force de son cher cœur. Quelle j
que s’il n’avait rien fait de sa vie ? À coup sûr il danse bien, mais aime-t -il aussi bien qu’il danse ? Les garçons d’aujourd
as un regard d’un bleu plus humide, un sein plus chastement ému. Il m’ aime , un peu, passionnément, pas du tout. Pas du tout 
Giselle jette par terre avec dépit ; mais Albrecht ou Loys, si vous l’ aimez mieux, ramasse la marguerite et corrige l’oracle.
de la haine, et qu’éprouvent les mauvaises natures, incapables d’être aimées  ; cette haine, c’est de l’amour aigri. Hilarion,
Bathilde et tous les seigneurs. Hélas ! douce Giselle, celui que vous aimiez n’était pas ce qu’il paraissait être, comme on di
jolie mort. Ce n’est pas d’eux que l’on peut dire avec le poète : Il aimait trop le bal, c’est ce qui l’a tué ! Voici venir
Giselle qu’à demi, et seulement sur sa qualité. En lui disant qu’il l’ aimait , il était complètement sincère, et son âme se tro
23 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre premier » pp. 6-15
, c’est le champagne, la gaieté et la permission de tout dire, nous n’ aimons le luxe que parce que nos « protecteurs sérieux »
de tulle, à la robe de jaconas et à l’amour dans une mansarde ? Nous aimons toutes Béranger. C’est peut-être un tort, mais à
ent, je me suis retrouvée au Casino-Cadet, à seize ans. J’ai toujours aimé la danse ; mon père soutenait que ma mère avait e
24 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29
ent célébrés, tous deux étrangers, tous deux nés dans le pays où l’on aime le mieux la musique, d’Hayden et de Mozart. Nous
urs grands opéras, qui obtinrent le suffrage unanime d’une nation qui aime passionnément la musique. Un de ses derniers ouvr
ards et notre admiration. J’ai à vous nommer maintenant le peuple qui aime le mieux la musique, qui la cultive le plus habit
25 (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17
Dialogue sur la danse La Danseuse Et qui vous fait tant aimer les danses de caractère ? Moi Ah ! Mademoiselle,
voulez, Mlle R. B. : elle vous battra dans le style classique qu’elle aime le moins. Quant à Mme Isadora Duncan… La Danseuse
s danses de caractère, c’est qu’elles sont nationales et que vous les aimez surtout en raison de leur exotisme. Vous n’aimez
ales et que vous les aimez surtout en raison de leur exotisme. Vous n’ aimez point les danses françaises parce qu’elles parlen
26 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
le rappeler à la vie. » Enfin l’empereur François, qui pourtant ne l’ aimait pas, se décida vers la fin de sa vie à porter son
est une chose dont je suis fier : pour apprendre comment on peut vous aimer et comment on doit vous aimer, si l’on veut être
r : pour apprendre comment on peut vous aimer et comment on doit vous aimer , si l’on veut être digne d’être aimé en retour pa
s aimer et comment on doit vous aimer, si l’on veut être digne d’être aimé en retour par vous (à condition toutefois d’avoir
urs un écho dans toutes les profondeurs de mon cœur. Adieu, toi que j’ aime d’un amour inexprimable ; je ne veux point, par m
ant rapide conduit au bonheur ; un instant seulement y mène celui qui aime . « C’est pour cela que je quitte, le cœur accablé
ontre laquelle il avait lutté pendant plus de trente ans. Quoiqu’il n’ aimât point Charles X, la chute de ce souverain était l
t assez folle pour me permettre, en ma qualité actuelle d’homme, de l’ aimer malgré mes années, vous lui pardonneriez cette fo
ui pardonneriez cette folie, surtout si je n’exigeais point qu’elle m’ aimât en retour. » Tout le monde répondit : « Naturelle
e pas également tous les morceaux, mais il en est qui sont délicieux. Aimer une danseuse, à son âge, et sympathiser avec Hein
ue je n’ai jamais eu la folle prétention de m’attendre à ce qu’elle m’ aimât en retour, dans l’étroite acception du mot ; je n
ucun mortel ne peut se débarrasser, et moins que tout autre celui qui aime la flatterie au même point que vous et moi ; imag
nait de confiance. La lettre à Rahel exprime la même certitude d’être aimé que celles que Gentz écrit, soit à la comtesse Fu
t l’envoie à Fanny en y ajoutant quatre vers de sa façon : « Je t’ai aimée et je t’aime encore, et si le monde s’écroulait,
anny en y ajoutant quatre vers de sa façon : « Je t’ai aimée et je t’ aime encore, et si le monde s’écroulait, de ses débris
ébris s’élèveraient les flammes de mon amour. « Et lorsque je t’aurai aimée jusqu’à l’heure de ma mort, j’emporterai dans la
dans le courant de la journée, chère Fanny, serait-ce très tard. Tu n’ aimes pas les explications ; mais après la soirée d’hie
el il a dit à sa maîtresse qu’il a, depuis quelque temps, essayé de l’ aimer un peu moins. Mais il s’est convaincu que cette t
« A maintes heures, je m’imagine que je serais plus heureux, si je l’ aimais un peu moins. Plus tranquille peut-être. Mais peu
is le christianisme est tellement la religion du cœur, qu’il suffit d’ aimer avec dévouement et pureté, pour être déjà convert
; il donna une nouvelle preuve de son amour en laissant à celle qu’il aimait une entière liberté. Elle en profita pour retour
our-propre. Gentz avait éprouvé ce sentiment ; il était flatté d’être aimé d’une jeune danseuse. Celle-ci, de son côté, pouv
ande de sa beauté. « Encore dans sa vieillesse, dit Betty Paoli, elle aimait à se rappeler les jours passés avec Gentz, et ju
27 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 juin. « Shéhérazade ». — Le pas de deux de la « Belle ». »
grènent sur ce fond d’émeraude et de saphir les eunuques orangés, les aimées roses, les nègres patinés ! Et comme j’aime ce tr
s eunuques orangés, les aimées roses, les nègres patinés ! Et comme j’ aime ce trio des odalisques qui, assises au premier pl
28 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
présent trop indulgens pour les danses et pour les personnes qui les aiment , parce qu’ils ne les ont point envisagées sous le
par sa propre faute après ce qu’il a si expressément dit : Celui qui aime le péril, y périra ? (Ecclés. c. 3, v. 27.) Le S
celui qui est par nécessité dans le péril, y périra, mais celui qui l’ aime , (et on l’aime, quand on le recherche). Dieu veut
ar nécessité dans le péril, y périra, mais celui qui l’aime, (et on l’ aime , quand on le recherche). Dieu veut bien nous aide
29 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 janvier 1662 »
saurait pas être En même temps, en divers lieux, Durant ce jour-là j’ aimai mieux Aller à la suite des Reines, Voir sans emba
30 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
son : (2. Thess. c. 2, vv. 10 et 11.) Parce qu’ils n’ont pas reçu et aimé la vérité pour être sauvés, c’est pour cela que D
’en seront déclarés les ennemis ; qui craignent de la connoître ; qui aiment ceux qui, pour les flatter et leur plaire, la leu
31 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 mai. Pétrouchka. L’Après-midi d’un faune. Soleil de nuit. »
astreint à un mouvement mécanique, limité, anguleux. Mais Pétrouchka aime  ; il en devient presque un être humain ; il tâche
belle sous le vêtement archaïque. Et pour finir, le Soleil de Nuit. J’ aime beaucoup le récitatif mimé et dansé par Mlle Niem
32 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre V. Sur le même sujet. » pp. 30-34
ue l’Allemagne est de tous les pays, celui où l’on cultive et où l’on aime le mieux la musique. Vous en voyez la raison ; c’
ai éprouvé le charme et les effets séducteurs. Il ne faut avoir, pour aimer la musique et en sentir tout le prix qu’une oreil
33 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VI. Sur le même sujet. » pp. 35-39
voulois la résoudre et ne vous laisser aucun doute. Je sais que vous aimez les arts avec passion, et je n’ignore point que v
nvenir avec moi, que l’Autriche et l’Angleterre sont les pays où l’on aime le mieux la musique ; puisque ce sont ceux qui as
34 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIII. » pp. 73-76
vé tous ces orages. Dès ce moment on se défia de lui et on cessa de l’ aimer . Il mît le répertoire de l’opéra à l’instar de la
ançaise. Il y avoit toujours six opéras sur pied. Le public qui paye, aime la variété et ne s’embarrasse pas des efforts que
35 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du samedi 18 avril 1671 »
ui, le cœur rebelle, Le traitent de Peste, et font vœu, De ne jamais, aimer son Jeu, Quoi que Flore, Sœur de Pomone, Très for
ette Vieille dépitée De voir sa figure empruntée Par Vertumne qu’elle aime , aussi, Et qui, d’elle, n’a nul souci, Veut décou
36 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Réponse de Voltaire » pp. 8-9
Je crois que votre mérite sera bien senti en Angleterre parce qu’on y aime la nature ; mais ou trouverrez vous des acteurs c
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — 14 février : Le Sicilien ou L’Amour peintre — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 19 juin 1667 »
ses Lois, Se servant de tout stratagème Pour voir ce rare Objet qu’il aime (Car, comme on sait, l’Amour est fin), Fait si bi
38 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VI. Définition, et Division de la Danse sacrée »
s’éloigne encore aujourd’hui, que parce qu’on l’ignore autant qu’on l’ aime .
39 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 13 janvier 1663 »
nt charmant au dernier point) Ne l’ayant vu ni peu, ni point. Comme j’ aime les choses belles, Pour, après, jaser un peu d’el
40 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
art ensuite après avoir pourvu aux besoins et à la sûreté de ce qu’il aime . L’Amour à qui il devait le courage qu’il venait
ouvre, se nomme, et demande pour récompense la jeune Athénienne qu’il aime . Un applaudissement universel lui répond du conse
41 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
este Drôle : Et comme Homme fait, et formé, Par ce jeune Acteur, tant aimé , Qui par tout, le Baron se nomme, Et lequel, des
quel, des mieux, joue, en somme. Un Zéphire fort goguenard, Et qui, d’ aimer , sait, très-bien, l’Art Aide à l’Amour : et c’est
42 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59
Chapitre IV Sommaire. — Pourquoi on aime notre monde. — L’indépendance de la femme. — Pour
m’explique parfaitement l’amour des jeunes gens pour nous. Ce qu’ils aiment , c’est l’irrégularité de notre existence, la bohé
istes ont cherché bien loin la cause de la débauche des femmes. Elles aiment l’air, voilà tout. VI Mais trouvent-elles l
43 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120
rs un spectacle intéressant, lorsqu’il sera présenté à une nation qui aime l’honneur et qui chérit la gloire. C’est à ces de
clination que son cœur a combattue, mais qu’il n’a jamais pu vaincre, aime tendrement Raymond. Alphonse les surprend dans le
pre l’hymen malheureux qui doit l’arracher pour toujours à ce qu’elle aime . Elle confie ce billet à une de ses femmes, dont
44 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97
à résonner, disant des mots que je ne pouvais pas comprendre. « Je t’ aime  ! je t’aime ! » C’était aussi comme du cristal qu
disant des mots que je ne pouvais pas comprendre. « Je t’aime ! je t’ aime  ! » C’était aussi comme du cristal qui tintait da
ine qu’elle lui avait faite. Elle était « désolée », et cela me fit l’ aimer davantage. Sa flamme, trop vive, trop ardente, av
dais dire, dans ma langue maternelle, qu’elle était heureuse, et je l’ aimais toujours. *** Un jour, à Paris, tout dernièreme
étais tombée malade bien subitement. La chose me blessa au vif, car j’ aimais toujours Sarah. Le lendemain j’allai chez elle et
45 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « Préface de l’auteur »
Préface de l’auteur « Un livre comme je ne les aime pas, ceux épars et privés d’architecture… L’excus
46 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 15 février : La Fête de Vénus — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 7 juillet 1668 »
où chacun fait son Rôle, Sans nul doute, admirablement. Ah ! que j’ aime le Testament Que dict l’ARLEQUIN malade, Cet Acte
47 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »
icie. Il l’engagea à venir à Rome, après en avoir parlé à Mécène, qui aimait les Arts. Ces deux hommes, l’un d’un génie mâle e
tés à moins jusqu’à ce jour ; et nous croyons de bonne foi connaître, aimer , posséder la Danse. Combien de fois n’ai-je pas o
48 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 juillet. Le répertoire : « Sylvia » »
et de rêverie rétrospective ? Or l’histoire de la nymphe farouche qui aima le berger Aminta pour avoir essayé de le tuer eut
récision infaillible. L’accompagnement des bras juste et sobre. Que j’ aime cette retenue, cette pureté adamantine ; cette co
49 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 novembre. Échos du temps passé. Éloge de Rameau. »
e, Mlle Aida Boni, dont il sied d’évoquer ici le souvenir charmant. J’ aime particulièrement le quatrième acte ; ce séjour él
e. Boucher, qui fit le dernier décor de Pollux, aurait, il me semble, aimé une telle Hébé. Au troisième acte enfin, une dans
50 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 janvier. Le « vendredi » de Mlle Nérys. »
it fortuit ; non un parti pris mais une défaillance. Ainsi nous avons aimé le costume de l’infante Vélasquez vu à travers Po
51 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 13 juin : Le Favori — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 21 juin 1665 »
irant agréablement Donner un divertissement À la REINE, que son coeur aime Aussi tendrement que lui-même, Choisissant le plu
52 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
ù. — Ma fille, me disait-elle en prenant sa prise, souviens-toi qu’on aime les biches franches, cela repose des femmes du mo
i-même. Outre que je suis une femme qui a de la « littérature », je n’ aime pas à raconter mes affaires à des étrangers. J’ai
XIV La baronne est une bonne fille ; bohême par instinct, elle aime la liberté et le sans-façon. Capricieuse comme le
53 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « A Monseigneur le duc de Rets, pair de France, et capitaine des gardes du corps. » pp. -
us, & de raconter toutes les qualitez qui vous font estimer & aimer personnellement de toute la France. Dans le dés
54 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre I. Époque du plus haut point de gloire de l’Art »
ressentit ces effets. Il commença par mettre la Danse à la mode. Il l’ aimait , ou, ce qui revient au même pour le Public, lorsq
qui revient au même pour le Public, lorsqu’on règne, il feignit de l’ aimer . De ce moment, il parut honorable de s’en occuper
55 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 juin. Lettre à Mlle ***, de l’Opéra. »
rles Maurras, qui porte ce titre révélateur : Quand les Français ne s’ aimaient pas. Eh bien, le temps quand « les danseurs class
’aimaient pas. Eh bien, le temps quand « les danseurs classiques ne s’ aimaient pas » est, heureusement, révolu. Car l’esprit nou
56 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448
gens parfaits doivent trouver tous les autres au-dessous d’eux. Tu m’ aimes pourtant, toi ; il n’y a que cela qui me donne un
ai pas qu’il est un peu triste, je sais qu’il est navrant ; mais je l’ aime ainsi, et sauf quelques réparations peut-être néc
57 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Ressource unique des Danseurs modernes »
era pas à vous dédommager de vos peines. Connaissez votre siècle : il aime les Arts. Tout ce qu’ils tentent pour lui plaire,
58 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
ouvre celle du cœur, lui parle, et s’en fait obéir ; parce qu’il fait aimer ce qu’il enseigne, et qu’il donne la force de le
59 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
es bergers et les bois. Mais souvent un esprit qui se flatte et qui s’ aime 20 Méconnaît son génie et s’ignore soi-même : Ai
r les amoureux ébats7. Mais souvent un danseur qui se flatte et qui s’ aime Méconnaît son talent et s’ignore soi-même. Ainsi
ix légère Passer du grave au doux, du plaisant au sévère ! Son livre, aimé du ciel, et chéri des lecteurs, Est souvent chez
auteurs de ce temps sert encor de modèle. Marchez donc sur ses pas ; aimez sa pureté, Et de son tour heureux imitez la clart
Marchons donc sur ses pas ; imitons sa clarté, Et de son tact précis aimons la pureté. Sur-tout, qu’en chaque pas, la grâc
i court en rimant, Marque moins trop d’esprit, que peu de jugement. J’ aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arène, Dans u
nt rien de brillant ; Ils montrent peu de goût et jamais de talent. J’ aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arêne, Dans u
, Et son ami Sully se plaisaient à la Danse4 : On peut, sans déroger, aimer cet art joyeux, Lecteur, ouvrez l’histoire et nos
a Chaconne, un ordre méthodique ; Chant III, vers 275 Oh ! que j’ aime bien mieux cet auteur plein d’adresse, Qui, sans
compas, Asservit tristement leurs gestes et leurs pas. Oh ! que j’ aime bien mieux ce danseur plein d’adresse Qui, toujou
 ; A de diverses mœurs, prêtez divers visages. Chant III, vers J’ aime sur le théâtre un agréable auteur Qui, sans se di
parterre17, Ne passez pas le but : la Danse est l’art de plaire. J’ aime sur le théâtre un élégant danseur Qui, sans se di
mprunté : Chaque genre est brillant de sa propre beauté. Si vous n’ aimez votre art d’un amour idolâtre, Gardez-vous, croye
ompeux et plaisant ; 290 Et je hais un sublime ennuyeux et pesant. J’ aime mieux Arioste et ses fables comiques, Que ces aut
pompeux et plaisant, Et je hais tout spectacle ennuyeux et pesant. J’ aime mieux don Quichotte et son valet comique12, Qu’un
nt que de retomber à terre, nous prouve que de tout temps le public a aimé qu’on l’étonnât. Cependant son genre ordinaire ét
igne seigneur, disoit-elle de lui, mais il ne donne jamais envie de l’ aimer  ». Elle avait alors du goût pour Pécour, célèbre
7. Le spectacle public de l’Opéra n’existait pas encore. Louis xiv aimait beaucoup la Danse théatrale, et depuis son enfanc
les en Danse qu’on ait vus en Europe. 16. La foule des spectateurs aime qu’on l’étonne. Les pirouettes ont succédé aux éq
’Ane d’or, en fait une description brillante. On voit que les anciens aimaient comme nous les grands spectacles à machines. Her
60 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
s réponse. Voici ce qu’elles disaient : « Quand on vous voit, ou vous aime  : « Quand on vous aime, où vous voit-on ? » VI
elles disaient : « Quand on vous voit, ou vous aime : « Quand on vous aime , où vous voit-on ? » VII Le porteur de ces
en es amoureux ? Deuxième gandin. Moi ! allons donc ! Est-ce qu’on aime des actrices ?… Premier gandin. Pourquoi les fr
61 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
spectacles. De plus, vous avez une femme et des enfans ; si vous les aimez comme vous le devez, pourrez-vous trouver de plus
nue, qu’y a-t-il de plus agréable que des enfans pour un père qui les aime  ? Et quoi de plus doux, pour un mari qui veut men
ame vraiment chrétienne : (Ps. 118, v. 85.) Les pécheurs (ceux qui aiment le monde) me racontent des fables, des mensonges
62 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
e du 7 juin 1868 : « Tous les goûts sont dans la nature. Richelieu a aimé les chats ; Henri III, les chiens ; madame Sass,
esse qu’ait jamais éprouvée mademoiselle Villeroy : elle a tendrement aimé , pendant plusieurs années, un petit hérisson qui,
avers, Bélardel, Jousset, Accolas, Vauthier, Desvignes ; Gauguin, qui aimait tant Régnier, de l’Ambigu ; Guénia, que Faure pro
63 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 13 février. Danses de Mlle Ellen Sinding et M. Iril Gadescow. »
à 18 ans, il vaut mieux se méfier et travailler pour pouvoir durer. J’ aime moins le danseur, M. Gadescow, qui est, comme tou
64 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
Monsieur, sur votre question : Est-ce en France ou en Italie que l’on aime le mieux la musique ? comme nous ne sommes pas d’
cal ? cette fureur de graver tout, peut-elle prouver que les Français aiment mieux la musique que les Italiens ? En Italie on
65 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre III. Objet de cet Ouvrage. »
ercles aimables qui en jouissent, des âmes vives et délicates qui les aiment . Ainsi un ouvrage qui rassemblerait les moyens de
66 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre premier. Réponses aux objections qu’on fait pour affoiblir, et détruire même, s’il étoit possible, ce qui a été dit contre les Danses. » pp. 149-150
, et de dissiper, s’il est possible, les ténèbres dans lesquelles ils aiment à s’envelopper, nous portera à les suivre dans to
67 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 juillet. Les adieux des Ballets russes. »
ne ambiance de rêve. Au point de vue métier pur, je n’ai pas beaucoup aimé l’« adage ». L’allure véloce qu’imprimait à l’orc
68 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
éhensibles et immuables, qui sont réservés dans le ciel pour ceux qui aiment Dieu. Si nous savons nous aimer nous-mêmes, ne no
réservés dans le ciel pour ceux qui aiment Dieu. Si nous savons nous aimer nous-mêmes, ne nous mettrons-nous pas plutôt en p
69 (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31
ux lui ont jeté au passage deux éclairs brûlants. « Beau domino, je t’ aime , je n’aime que toi ! » fait l’écolier derechef et
jeté au passage deux éclairs brûlants. « Beau domino, je t’aime, je n’ aime que toi ! » fait l’écolier derechef et en étayant
La fillette veut savoir si le jeune homme qui l’a courtisée au bal l’ aime d’un amour sincère, et comme elle est, en sa qual
e Dorotea. Mais l’écolier, tirant celle-ci à part, lui conseille de n’ aimer et de n’épouser que le jeune inconnu qui lui a pr
porte le nombre des convives à un chiffre assez honnête, ou, si vous aimez mieux, assez malhonnête. Pour le bouquet de la fê
lui crie dans la langue du ballet : « Halte-là, beau cavalier ! vous aimez doña Dorotea, je l’aime aussi ; donc nous allons,
du ballet : « Halte-là, beau cavalier ! vous aimez doña Dorotea, je l’ aime aussi ; donc nous allons, si vous le voulez bien,
70 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
renouvellement ; Et pour d’autres Messieurs, encore, Qu’au Louvre on aime et l’on honore, À savoir Monsieur de Créqui, Amba
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
l’admiration, et qui vous méprise. Hommes privilégiés par la nature, aimez -vous mutuellement ; estimez-vous, encouragez-vous
s intéresse, employez le présent à mériter les suffrages de l’avenir. Aimez la gloire, et ne haïssez que l’envie ; mais ne la
72 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
sonnes d’un sexe différent, surtout avec celles qui sont volages, qui aiment à rire et à se divertir, et dont les discours ne
stoire des Rois, (L. 3, c. 11.) que les femmes étrangères que Salomon aima passionnément, corrompirent à un tel point le cœu
ister ? J’en prends à témoins les personnes qui ont autrefois le plus aimé ce pernicieux divertissement, mais que la grâce a
73 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
plus occupée que du désir de lui plaire, et que du bonheur d’en être aimée . Scène II. Enée, non moins sensible que Did
r fait serment d’y rendre Enée le plus heureux des amans. L’Hymen qui aime la pompe et l’appareil ne promet rien. Scène I
jette à ses genoux, se repent de sa barbarie et veut sauver ce qu’il aime  : mais Didon, au comble du désespoir, vole vers l
74 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VIII. Des Moralités »
e transformer aussi les autres Étoiles en autant de Dames qui avaient aimé ces Chevaliers. Incontinent, ces Étoiles changées
75 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 9 octobre. Madame Joergen-Jensen dans « Coppélia ». »
n liés, désinvoltes, très sensibles à la mesure : ainsi j’ai beaucoup aimé ses jetés en tournant. Elle « dit » la ballade de
76 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « Épître dédicatoire à Madame **** »
! il fallait bien une fois répondre aux détracteurs d’un art que vous aimez , et que j’ai le faible mérite d’avoir cultivé tou
77 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
laisir, dit encore Plutarque, parce que bien que naturellement nous n’ aimions pas à voir les emportemens des furieux, ni le dés
vagances des fous & de ceux qui sont pris de vin ; néanmoins nous aimons à les voir représenter par des Balets & dans
78 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108
mphe sons la forme et la figure de Lucinde, jeune Danoise, tendrement aimée du chevalier, l’aborde avec l’empressement du dés
d’un cœur fortement épris, et qui sacrifie à son devoir l’objet qu’il aime . Ce héros s’éloigne à pas lents en regardant sans
79 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
mant son désespoir. Le Sophi touché de la sensibilité de Zulmire l’en aime davantage ; et, pour faire diversion à cette scèn
ne peut voir sans intérêt le désespoir d’une femme qu’il à tendrement aimée . Zélis, accompagnée de Fatnie, Sultane impérieuse
80 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
cation, il y avait appris la Musique, qu’il avait depuis cultivée. Il aimait les arts en Philosophe, il aurait voulu les répan
81 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 15 janvier. Trois vedettes. »
magnifique créature, à la beauté prenante et provocante, mais nous n’ aimons pas son style. Car, à la base de son exécution, n
82 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 22 janvier. Prose morose. »
languit, s’étiole comme cette autre Cydalise, la grisette diaphane qu’ aima Théophile Gautier aux jours bénis de l’impasse du
83 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 février 1661 »
ses louanges oyait, Donnait, par ses yeux, mainte marque Combien elle aimait ce Monarque. Plusieurs, de haute qualité, Dansa
84 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre II. De la Danse théâtrale des Grecs »
talents qui les fait naître : on les voit toujours en foule où on les aime . 50. On la nomma la Danse de la Grue, parce que
85 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
uis pas la Loïe Fuller. La fée m’a envoyé vous dire combien elle vous aime et combien elle regrette de ne pouvoir vous emmen
lés de la grâce de l’enfant, celle-ci leur dit paisiblement : — Vous aimez ces danses ? Alors, il faut aller voir « ma Loïe 
86 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre V. Honneurs et Privilèges accordés à la Danse »
mais pour principe que le talent supérieur ou les vertus éminentes. J’ aime à voir Auguste et Marc-Aurèle, qui sont de tous l
87 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXV. Des contre-tems du Menuet, & la maniere de les faire. » pp. 104-109
depuis quelque temps, & qui ne sont pas du goût de tous ceux qui aiment la belle danse. Il est vrai, qu’il y en a plusieu
88 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
Un genre fort curieux à étudier, c’est le genre Arthur qui veut être aimé pour lui-même. Craignant qu’on puisse attribuer u
triomphe à une influence de fortune, cet Arthur laisse jeûner l’objet aimé le plus long-temps possible, il voit d’un œil sec
ne sa lionne sans fourrure ni bournous. Si l’Arthur craint qu’on l’ aime pour son tilbury, il va en omnibus ; s’il craint
qu’on l’aime pour son tilbury, il va en omnibus ; s’il craint qu’on l’ aime pour ses aïeux, il se fait appeler bâtard dans le
te une pensée sur l’arrière de sa vie, il songe à la Vendômoise qui l’ aimait si bien et qui écrivait si mal ; et, comme s’il é
tient ce produit : Tu n’ai qu’un nainfidèle, maiche tème (mais je t’ aime ). La fin du travail donnait pour résultat la nou
thur : Viens de bonne heure, le mien est de te voir. Une autre, qui aimait beaucoup les officiers, répondait à une déclarati
d, vous insultez madame, vous lui devez des excuses. — Des excuses, j’ aimerais mieux m’en aller sans payer mon dîner, La maîtres
s soupçons, ses amours, qui ont leurs formules spéciales. La Lorette aime le cigare, c’est une confession que nous avons dé
mille divans gratuits que la philanthropie entretient pour ceux qui n’ aiment pas à mourir à domicile. — Mais vous n’êtes pas i
ns vous faire admettre à l’Hôtel-Dieu. — A l’Hôtel-Dieu… Diable !.. j’ aime mieux autre chose. — A la Charité ? — La Charité
89 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
Schwarz et Jeanne Barbier. Comme Marguerite de Navarre, la danseuse aime mieux les poulets en papier que les poulets en fr
d’observation ironique. Un abonné, le marquis de M… et une coryphée s’ aimaient d’amour tendre. Un soir la petite ne reparut pas 
sire, pas trop ! — Comment ? — Il m’a payée en livres, j’aurais mieux aimé en francs. » * * * Le foyer de la danse avait eu
r quadrille murmura, un peu mélancolique : « Moi aussi, j’aurais bien aimé mourir sage ! Mais je n’en avais pas le moyen. »
90 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre VII. Sur le même sujet. » pp. 40-55
s, il ne les voyoit que couleur de rose. Je reviens aux amateurs. Ils aiment également tous les arts. Ils gémissent à la vue d
ou antipathiques entre elles ; et on les emploie indifféremment : ou aime le bizare et les nuances fortement prononcées : A
décence, attributs ordinaires du beau sexe. En dérobant tout ce qu’on aime à voir, et tout ce qu’il ne faut pas montrer ; el
91 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 3 mai. « Artémis troublée ». »
elques mots encore sur l’autre inédit de la soirée : Frivolant. Que j’ aime ce rafraîchissant vocable qui sert de titre à un
92 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 mai. Le répertoire : « La Tragédie de Salomé ». »
en tournant ? Son « training » est solide ; sa technique honnête ; j’ aime voir son dos droit, son pied retombant avec la po
93 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 20 mai. Le retour des « Ballets russes ». »
lui sache gré de cette émotion. Un pas de deux — et c’est tout. Qu’on aimerait voir la Tréfilova interpréter les chefs-d’œuvre d
94 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Euthyme et Eucharis. Ballet héroï-pantomime. » pp. 51-63
t, qui n’articule que des mots sans suite et souvent mal prononcés. J’ aime mon art ; on doit chérir l’objet qui contribue à
ui contribue à notre réputation et à notre subsistance : mais je ne l’ aime point d’un amour effréné ; je ne dirai pas dans l
95 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
ire, pas trop ! — Comment ? — Il m’a payée en livres : j’aurais mieux aimé en francs. Mademoiselle Bigottini, qui était dev
cet acrostiche : Nouveau caprice, enfant, s’empare de mon cœur. Amour aime la danse ; il veut, dans son ardeur, Ne prendre d
it à l’un de ces vieux seigneurs en off : — Vous prétendez que vous m’ aimez  ?… — Soit. — Mais m’aimez-vous autant que cent mi
gneurs en off : — Vous prétendez que vous m’aimez ?… — Soit. — Mais m’ aimez -vous autant que cent mille francs. Le lendemain
de loin par la tendresse et le dévouement du prince qui l’avait tant aimée . » Delphine et Louise Marquet Elles rapp
r quadrille murmurer dans un gros soupir : — Moi aussi, j’aurais bien aimé mourir sage !… Mais je n’en avais pas le moyen !
96 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39
, de sorte que l’une dans son exécution ne le cède point à l’autre. J’ aime à les voir lutter d’égale force, et que toutes de
, et trop éloigné de ce que l’on attend de lui. Étudiez le ballon ; j’ aime à vous voir parfois bondir dans un pas et faire p
es aussitôt en exécution, pour les imprimer dans votre esprit. « ……… Aimez qu’on vous censure, « Et, souple à la raison, cor
97 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
t et mangeant , et vous dites : C’est un homme de bonne chère et qui aime à boire. C’est avec raison, conclut saint Ambroi
n’a rien oublié, lorsqu’il a dit : (épit. 1, c. 2, vv. 15 et 16.) N’ aimez point le monde ni ce qui est dans le monde. Si qu
6.) N’aimez point le monde ni ce qui est dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du père n’est point en lui ; ca
98 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des moyens de conserver le talent de la danse. » pp. 133-137
se mettre en place, parce que sentant eux-mêmes leur incapacité, ils aiment à se confondre dans la foule, et par ce moyen dér
99 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
a belle Comtesse de Guiche, Sur qui les yeux point on ne fiche Sans l’ aimer et sans l’admirer, Non pas (même) sans soupirer.
100 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 novembre : Les Amours de Diane et d’Endimion — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 14 novembre 1671 »
éveillé, Qui, de la sorte, est enrôlé, Dessous le Dieu, par qui l’on aime , S’en plaint comme d’un mal extrême. Il est con
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