s actions du caractère le plus bas ou du genre le plus libre furent à
Rome
l’objet de la Danse théâtrale jusqu’au règne d’Au
dans cet état misérable que Pylade et Bathylle trouvèrent la Danse à
Rome
lorsqu’ils y parurent. Ce dernier était esclave d
Alexandrie, et il avait vu Pylade en Cilicie. Il l’engagea à venir à
Rome
, après en avoir parlé à Mécène, qui aimait les Ar
hauffa l’Empereur, et promit de protéger Pylade. On élève un Théâtre.
Rome
accourt. Elle voit d’abord une Tragédie complète
ir, et l’illusion. Les actions qu’on représentait sur les Théâtres de
Rome
étaient ou tragiques, ou comiques, ou satiriques.
le. Un Danseur apprenait de son nom seul, qu’il ne pouvait être bon à
Rome
, qu’autant qu’il était tout Comédien 59. Aussi ce
’est la traduction du mot grec Pantomime, de laquelle on se servait à
Rome
comme du mot Grec même. 60. Athénée, Liv. I. ch.
Chapitre V. Des Bals Masqués On s’ennuyait à
Rome
dans les Bals de cérémonie, et on s’amusait dans
il a causé des malheurs. Néron masqué indécemment courait les rues de
Rome
pendant les nuits, tournait en ridicule la gravit
s Sénateurs, et déshonorait sans scrupule les plus honnêtes femmes de
Rome
. Dans un Bal Masqué que la Duchesse de Berry donn
e, où ils furent bannis de la Grèce, jusqu’à celle, où ils parurent à
Rome
, il est a présumer que ces productions furent oub
t de sa cendre ils réssuscitèrent pour ainsi dire, et se montrèrent à
Rome
avec éclat ; ils y déployèrent toutes leurs riche
t le souvenir de tous ses crimes ; le vainqueur d’Actium, le tyran de
Rome
et le fléau des Romains dût la gloire de son règn
mines moins par goût, que par politique ; il connoissoit le peuple de
Rome
, il savoit qu’il étoit inquiet, turbulent, et tou
ain accepta le défi ; le jour fut pris ; la ville et les faubourgs de
Rome
furent en mouvement, les uns parurent pour Pylade
instant, et ordonna qu’il fut fouetté dans tous les lieux publics de
Rome
. Cette correction humiliante ne changea pas son c
uche d’Auguste n’aimoit ni les talons, ni les théâtres ; il chassa de
Rome
tous les Baladins, et fit fermer les théâtres ; m
plaisirs que n’en ont imaginé la délicatesse d’Athènes, ou le luxe de
Rome
, et sur ce point les peuples contemporains les pl
moins d’embarras et plus d’agréments. Il s’établit dans Athènes et à
Rome
des Gens exercés qui jouaient de divers instrumen
ire recorder ses Danses, afin de paraître moins gauche dans un Bal de
Rome
.
ains montrèrent du goût pour les Arts, on les vit accourir en foule à
Rome
. Ils s’y reproduisirent, s’y formèrent, et s’y ét
e Rhinocéros qu’on va voir en foule à la Foire. Il arriva pour lors à
Rome
, ce qui arriverait à Paris dans un cas semblable.
r feront entendre mes volontés. Thymèle, du temps de Domitien, fut à
Rome
, ce que la fameuse Empuse avait été dans la Grèce
fet, aux désirs des Spectateurs auxquels ils ont intérêt de plaire. À
Rome
, ils avaient besoin d’un assemblage de talents be
ler, furent la peinture la plus licencieuse, et firent les délices de
Rome
. Elles étaient exécutées dans tous les mariages c
n sur ce point entre les plus grands noms et la plus vile canaille de
Rome
. On vit pendant le Règne de Domitien, jusqu’à des
ompa point dans ses conjectures. Il protégea Pylade et Bathylle63, et
Rome
bientôt occupée de ce seul objet, ne tourna plus
éâtre, comme l’avait prévu l’Empereur, étouffèrent toutes les autres.
Rome
se vit divisée en Pyladiens et en Bathylliens, en
u’après avoir reçu de la bouche même de l’Empereur l’ordre de quitter
Rome
, Pylade osa lui dire : Tu es un ingrat. Que ne le
l’exil d’un homme public, qui était devenu nécessaire aux plaisirs de
Rome
. Il ne lui restait plus de liberté que dans ses S
ser sa splendeur chez les Romains, avec les Arts qu’ils lui ravirent.
Rome
seule dès lors devint l’objet des regards de la T
plupart des successeurs d’Auguste méritèrent à peine le nom d’hommes.
Rome
, l’Italie dégénérèrent et déchurent. La dépravati
vains de l’antiquité n’avoient point été ensevelis sous les ruines de
Rome
, nous serions mieux instruits, et nous pourrions
arde, avec un geste varié et adapté à chaque opération ; il y avoit à
Rome
, dit-il, des écoles particulières pour cette espè
parfaitement connus. Ce langage muet étoit universellement entendu à
Rome
. Apulée fait la déscription d’une représentation
qui prouve que la danse proprement dite n’éxstoit ni à Athènes, ni à
Rome
. En voilà plus qu’il ne faut sur l’abus des mots,
èces parfaitement connues, et que le public savoit presque par coeur.
Rome
, à cette époque avoit perdu ses grands acteurs, e
ui me fait souvenir de rapporter ce qui arriva un jour à Térence dans
Rome
, au sujet des Danseurs de corde. Il fait mention
D’heigra, qu’étant prêt de faire jouer cette piéce sur le Théâtre de
Rome
, l’an 586 de sa Fondation, partie des places étan
oût de la jeunesse Romaine, que les Maîtres de Danses établirent dans
Rome
pour leur plaire, les danses Nuptiales pour la cé
usqu’au régne de Tibere, qui pour en réformer les abus, fit bannir de
Rome
par un Arrest du Sénat, la troupe des Danseurs de
s de corde, & tous les Maîtres de Danses qui étoient établis dans
Rome
depuis un fort long-tems pour l’éducation de la j
iolente pour la Danse, donna ses premiers soins pour la rétablir dans
Rome
, malgré l’Arrest du Sénat : il fit venir secrétem
e que vous avez eu trop de complaisance pour Tibere, en bannissant de
Rome
des gens dont la Profession étoit aussi utile à l
fut confirmé par un Arrest du Sénat, qui fit refleurir la Danse dans
Rome
plus que jamais. Mais il ne daigna pas faire ment
es Saliens 20. Toutes celles qui furent instituées dans les suites, à
Rome
et dans l’Italie, pour honorer les Dieux, dérivèr
er les Dieux, dérivèrent de cette première. Chacune des Divinités que
Rome
adopta, eut comme Mars des Temples, des Prêtres,
Gouvernement sur les Arts. Sous l’Empire de Constance, on chassa de
Rome
tous les Philosophes sur le prétexte d’une disett
a sa Femme, fit assassiner Pâris qui l’avait déshonorée, et chassa de
Rome
tous les Pantomimes, qu’il punissait ainsi de la
espèce elle appartenoit. Les spectacles pantomimes ne s’établirent à
Rome
qu’après la mort irréparable d’Esopus et de Rosci
te d’Esopus et de Roscius ait occasionné celle du théatre national de
Rome
? les talens étoient donc bien rares, l’émulation
uelque loi interdisoit aux femmes l’exercice du théâtre ; la nouvelle
Rome
, semble à cet égard s’être modelée sur l’ancienne
t une nouveauté que l’on dût au bon goût de Louis quatorze. L’antique
Rome
ainsi que la nouvelle, privoit ses spectacles des
ifique, crut pouvoir adoucir la rudesse de ses sujets, en jetant dans
Rome
les fondements d’une religion ; et c’est à lui qu
e des Saliens. Toutes les autres danses sacrées qui furent en usage à
Rome
et dans l’Italie, dérivèrent de cette première. C
et dans l’Italie, dérivèrent de cette première. Chacun des dieux que
Rome
adopta dans les suites eut des temples, des autel
t une espèce de théâtre séparé de l’autel, tel qu’on le voit encore à
Rome
aujourd’hui dans les églises de Saint-Clément et
imime, dans les funérailles des Romains. « On adopta successivement à
Rome
toutes les cérémonies des funérailles des Athénie
bles! (B) Danse nuptiale Danse nuptiale. Elle était en usage à
Rome
dans toutes les noces : c’était la peinture la pl
loin pendant le règne de Tibère, que le sénat fut forcé de chasser de
Rome
par un arrêt solennel tous les danseurs et tous l
n sur ce point entre les plus grands noms et la plus vile canaille de
Rome
. L’empereur Domitien enfin, qui n’était rien moin
) Danse du premier jour de Mai Danse du premier jour de Mai. A
Rome
et dans toute l’Italie, plusieurs troupes de jeun
tion, elles se précipitèrent avec rapidité dans une licence effrénée.
Rome
, toute l’Italie étaient plongées alors dans une d
ice et dans les marches solennelles qu’ils faisaient dans les rues de
Rome
, en chantant des hymnes à la gloire de Mars. Leur
Chapitre IV. Troubles excités à
Rome
par les Pantomimes. Auguste se servit toujours
tôt Pantomime bon ou mauvais. C’est dans cet état que Caligula trouva
Rome
, lorsqu’il prit les rênes de l’Empire. J’ai dit q
uiller le lit de l’Empereur, enhardit ce Prince à les chasser tous de
Rome
. Cette peine qu’ils méritaient par leurs désordre
er son maître. Le défi fut accepté, le sujet choisi, et le jour pris.
Rome
entière en mouvement, sollicitée, poussée par la
équence ; ordonna qu’Hylas fût fouetté dans tous les lieux publics de
Rome
. Bel exemple de justice qui supposait dans l’Empe
les querelles qui subsistent depuis longtems entre leur république et
Rome
. Les Romains ont à leur tour nommé pour défenseur
mbat doit décider de celui de la patrie. Si les Horaces sont vaincus,
Rome
est asservie, s’ils sont victorieux, Camille perd
entimens de la tendresse ; elle s’oppose à leur départ ; elle insulte
Rome
et les Dieux ; elle se précipite alternativement
Albains. Un autel est dressé à l’endroit qui sépare le territoire de
Rome
, d’avec celui d’Albe. Les troupes sont sons les a
sulte son père qui fait de vains efforts pour la calmer ; elle maudit
Rome
et les Romains : puis s’élançant sur son frère, a
Acte V. La décoration représente la principale place publique de
Rome
, ornée vers le fond de deux amphithéâtres 1. Les
es à Comus36. [Voir Cordace, Cycinnis, Danse des Lapithes, Emmelie] À
Rome
et dans toute l’Italie, le premier jour du mois d
, elles se précipitèrent avec rapidité dans la plus effrénée licence.
Rome
, toute l’Italie furent plongées dans la plus hont
de son Oncle. Un grand Spectacle qu’il venait de donner au Peuple de
Rome
, où il n’avait épargné ni soins, ni dépense, et q
ependant que le zèle d’un Cardinal tout puissant ne put ébaucher dans
Rome
, était sur le point de s’accomplir dans une des m
ne sont que des branches de ces deux tiges principales. [Voir Ballet]
Rome
, pour s’associer en quelque sorte à la gloire de
e, qui excelloient déja dans les danses lascives, pour aller porter à
Rome
, dans un faubourg de laquelle ils s’établirent, l
e cette fête, l’abolit sous peine de mort l’an 668 de la Fondation de
Rome
. Un semblable motif fit abolir sous l’empire de T
introduites étoient devenues trop licentieuses ; & l’on bannit de
Rome
tous les Maîtres de Danse, pour avoir composé des
nt les rares Apprêts, Qui ne se font pas sans beaux frais, Que jamais
Rome
, ni la Grèce, En ses plus grands jours d’allégres
us avancez, d’après des rapports infidèles : qu’il est actuellement à
Rome
et à Naples des jeunes gens, qui n’ont jamais rie
ur impudence ne peut s’étendre sur ces chefs-d’œuvre ni à Turin, ni à
Rome
, ni à Milan, ni enfin sur les grands théâtres des
e l’offenser, pour négocier, lier, ou rompre les tendres commerces de
Rome
. Avec ces secours, il ne pouvait pas manquer de s
nd soupait vraisemblablement dans les petites maisons des environs de
Rome
, ne songeait qu’au plaisir, et avait l’adresse de
dément ; mon imagination éxaltée me transporta eu Italie. J’arrivai à
Rome
, et je déscendis dans les voûtes souterraines, où
es théâtres aussi vastes et aussi spacieux que ceux, qui éxistoient à
Rome
? étoient-ils nobles, et décents ? L’ombre ne me
de ce lieu triste et ténébreux ; je traversai péniblement l’ancienne
Rome
; j’étois entouré de décombres ; mais au milieu d
chimime dans les funérailles des Romains On adopta successivement à
Rome
toutes les cérémonies des funérailles des Athénie
la Musique les mêmes tentatives que le Cardinal Riari avait faites à
Rome
pour les Spectacles en général. Baïf était sans p
f opera buffa ou plus exactement d’un intermezzo qui fut représenté à
Rome
. Nous aurons à revenir sur le talent de musicien
ndée sur l’intime liaison du geste et du rythme. Après avoir débuté à
Rome
comme danseur, Salvatore partit avec son oncle Gi
de surnaturel et de grotesque à la Hoffmann. « Viganò, écrit-il dans
Rome
, Naples et Florence 23, a avancé l’expression dan
vec laquelle il a guidé et aidé nos recherches iconographiques. 12.
Rome
, Naples et Florence, I, 395. Une curieuse lettre
notre collection. 13. Lettre à de Mareste du 22 décembre 1820. 14.
Rome
, Naples et Florence, I, 395. 15. Fokine a réalis
e Ravel). La pantomime de cette scène est rythmée musicalement. 16.
Rome
, Naples et Florence, I, 395. 17. Vie de Rossini
l’occasion. Cf. D’Ortigues, Le Balcon de l’Opéra, 1833, p. 242. 27.
Rome
, Naples et Florence, I, 395. 28. On pourra juge
icéron, le plus célèbre des orateurs et des philosophes de l’ancienne
Rome
, exprime non-seulement son sentiment particulier,
uve un sentiment plus vif encore, lorsqu’en parcourant les Annales de
Rome
, je vois le Peuple, les Sénateurs, la Noblesse co
s pour en faire tant. C’est une planipes, comme l’on disait naguère à
Rome
, une danseuse pédestre. Ces jambes nues ne savent
it obligé de rechercher dans les opéras connus. Il est actuellement à
Rome
et à Naples des jeunes gens, qui n’ont jamais rie
plaisir infini, Grâces au Sieur Bigarany,49 De Modène, et non pas de
Rome
, Et fort habile et galant Homme. Enfin, pour fi
e. Ses successeurs furent familiers avec les plus grands seigneurs de
Rome
: ils étaient compagnie chez les Dames de la Cour
ut le reste, se heurte, se mêle, se pousse. Ce sont les Saturnales de
Rome
qu’on renouvelle, ou le Carnaval de Venise qu’on
e. Tite-Live nous apprend que les Fêtes Saturnales furent célébrées à
Rome
pour la premiere fois, sous le Consulat de Simpro
r. Mais depuis Auguste, l’Empereur Tibere voulant réformer le luxe de
Rome
, & les fêtes licentieuses qu’on y célébroit d
douze personnes et plusieurs milliers de kilos de bagages à emmener à
Rome
où je débutais le jour de Pâques. Pour arriver à
oyage fut plein de tribulations. Retards, angoisses. Enfin, arrivée à
Rome
où mes débuts durent être remis jusqu’à ce que l’
émoins irréprochables, que la Danse produisait de si grands effets. À
Rome
, dans les beaux jours de l’art, tous les sentimen
ntu et faltatione. Ap. Alex. 89. Tous les Royaumes Catholiques ont à
Rome
un cardinal qui se mêle de leurs affaires Ecclési
e ce que leurs prédécesseurs avoient fait jadis pour Athènes, et pour
Rome
. Le bonheur est éphémère ; les guerres qui survin
illantes productions du génie ; les arts prirent de nouveau la fuite,
Rome
fut saccagée, Florence fut asservie, et la guerre
l’architecture, il fit agréer au Roi l’etablissement d’une Académie à
Rome
; on y fit construire un palais propre à loger un
en espèce de théâtre. Tels sont ceux qu’on voit encore aujourd’hui à
Rome
, dans les Églises de Saint-Clément et de Saint-Pa
e les Autrichiens. — Fanny à Venise ; sa glorification par Prati. — A
Rome
; Pie IX et la danseuse. — Foligno et Naples. — A
a aussi eu des femmes excellentes Pantomimes, entre autres Thymele à
Rome
, du tems de Domitien. L’on tient même que Rhea ou
r soi. Mais comme ces sortes de fêtes causerent quelque désordre dans
Rome
, elles furent abolies sous le régne de Tibere ; c
dès ce tems, la Danse avoit déja perdu sa réputation originelle dans
Rome
, autant par la prophanation des danses Sacrées, q
re, et de Platon, de Solon, et de Lycurgue. Il donna ses Obélisques à
Rome
, ses loix à la Grèce, ses institutions religieuse
e succédèrent-ils pas aux comédiens, lorsque ceux-ci furent bannis de
Rome
? ne commencérent-ils pas à représenter en Pantom
notre théatre ? serions-nous moins bien organisés que les danseurs de
Rome
? et ce qui s’est fait du temps d’Auguste, ne peu
las ne succéderent-ils pas aux Comédiens, lorsqu’ils furent bannis de
Rome
; ne commencerent-ils pas à représenter en Pantom
notre Théatre ? Serions-nous moins bien organisés que les Danseurs de
Rome
, & ce qui s’est fait du temps d’Auguste ne pe
rogrès de l’art pantomime ; obstacles que l’on ne connoissoit point à
Rome
; je vous ai dit que le langage des gestes et des
allets de son temps ; puisque ce genre, comme on l’a vu, embrassait à
Rome
toutes les grandes parties de la Tragédie et de l
ue Numa Pompilius, après avoir été déclaré Roi des Romains l’an 40 de
Rome
, institua une danse Sacrée en l’honneur du Dieu M
s javelots de l’autre, lorsqu’ils alloient en dansant par la ville de
Rome
une danse composée exprès, & chantant des hym
rvir les Chrétiens à de semblables spectacles, après l’embrasement de
Rome
, pour tâcher de se disculper de l’incendie par le
pour toûjours de l’Italie, par le charme de ces mêmes spectacles que
Rome
& Venise avoient inventez. Il ne se borna poi
rès peu de choses quelques restes de peinture antique que l’on voit à
Rome
: comme en effet l’Histoire remarque qu’en 1240 l
faisoient l’exercice de leur Religion, & ces lieux se trouvent à
Rome
& en d’autres lieux de l’Italie. Baronius dit
oires. En effet Bosius & Severan qui ont écrit de gros volumes de
Rome
souterraine, nous découvrent dans les peintures q
, Danaé & pour Léda, que les deux tableaux que le Corege a fait à
Rome
, & dont M. Alvarès m’a dit en avoir voulu don
e secret était mort pour nous. Ainsi, peu à peu, après Athènes, après
Rome
, l’art de la danse s’était perdu, ou du moins, tr
tait à Naples, où elle était portée aux nues ; puis elle revenait par
Rome
et je me trouvais là, faisant mes études. Le hasa
le suivre, disant que ce pauvre homme sans famille et sans amis dans
Rome
ne devait pas aller seul au cimetière. Ému de son
fussent les Fêtes de tous les temps. Ils se multiplièrent en Grèce, à
Rome
et dans l’Italie. On y dansait froidement des Dan
ent des vieillards, à la conservation et à la corruption des mœurs. À
Rome
, elle devint partie de l’Art dramatique, et march
qui fait les délices de nos spéctacles, n’éxistoit ni à Athènes, ni à
Rome
, et je lui accorde une préférence obsoluë sur ces
ez les Grecs dans sa création, mais tel qu’il existoit à Athènes et à
Rome
, dans le tems de sa perfection, si le geste étoit
ance des Oracles. On trouve encore que Cicéron qui vivoit l’an 706 de
Rome
, a fait un Traité de la nature des Dieux, & q
nous n’avons jamais ouï parler des Spectacles de France, d’Italie, de
Rome
et d’Athènes. Dépouillons toute prédilection pour
gné avec les prodiges que le Chant et la Danse ont opérés autrefois à
Rome
et dans Athènes ; que d’ailleurs il était intimem
62
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
Bathilde, les plus fameux Pantomimistes qui aient jamais parus. Tout
Rome
, rempli d’admiration, partagea son estime entre c
her pour exemple. Ce peintre, né avec le génie de son art, revient de
Rome
; il annonce un beau talent. Les premiers tableau
et. — Emma Livry. Emilia Bigottini Ce siècle avait deux ans ;
Rome
remplaçait Sparte ; Déjà Napoléon perçait sous Bo
n, de la Comédie-Française. A cette époque, Paris singeait Athènes et
Rome
, et le boudoir des courtisanes, comme celui des g
ibe et Mélesville ; la musique avait été commandée à un jeune prix de
Rome
, Montfort. Mais il fallut attendre longtemps enco
s secrets de la fameuse pyrrhique. Horace et Properce l’ont chantée à
Rome
, Néron en fit sa danseuse favorite ; on la vit pa
iaisement transformé. La musique de Montfort prouvait que les prix de
Rome
ne sont pas toujours des génies. L’infortuné Dupo
in comme une inspiration divine, toutes ces expressions en Grèce et à
Rome
étaient synonymes aux mots dont nous avons formé
e qu’elle était dans la Grèce ; mais nous savons qu’elle florissait à
Rome
, sous les premiers Empereurs. Aurait-elle été por
re de ces hommes rares, qui firent jadis l’admiration d’Athènes et de
Rome
. Ses gestes sont éloquents, parce qu’ils ne sont
Français, né malin, forma le Vaudeville ; Athène a vu Socrate, et
Rome
a vu Caton6, Souvent ouvrir le bal, sans manquer
ire recorder ses Danses, afin de paraître moins gauche dans un bal de
Rome
. Traité historique de la Danse par Cahusac, tome
teurs connaissaient le langage des mains des pantomimes. Il y avait à
Rome
des écoles publiques, pour apprendre cet art. Ce
sionomie, prouve que nous sommes bien novices dans cet art. Roscius à
Rome
, Garrick à Londres, Préville à Paris, sont les tr
ancien de la vraie pantomime qui faisoit les délices d’Athènes et de
Rome
. PERSONNAGES. Thoas, Chef de la Tauride. Iph
sur les ondes et qui pour nous consoler nous berce et nous endort. »
Rome
en 1846 était dans la lune de miel du pontificat
rituelle rendaient extrêmement populaire le nouveau pape… Qui depuis
Rome
alors admirait ses vertus. Fanny Elssler avait o
portèrent au plus haut degré de perfection. Il ne fut plus question à
Rome
que des spectacles de Pylade et de Batyle. Le pre
nin Une santé florissante comme l’Athènes de Périclès ou comme la
Rome
des Césars. Une chevelure brune, ondée et profond
t un personnage épique, une figure d’imperator, comme son homonyme de
Rome
. Toute une littérature nous rapporte ses bataille
s furent recherchées. Des ballets politiques comme Le général Colli à
Rome
, où l’on voyait le pape examinant avec les cardin
s Faits de marbre, d’argile ou d’or. En les chassant de son enceinte,
Rome
prit la madone sainte Que toute famille adora : A
urs. Je tâche en vain de découvrir le tems de l’origine des masques à
Rome
; recherche inutile. Dioméde dit bien que ce fût
rs. Je tâche en vain de découvrir le temps de l’origine des masques à
Rome
, recherche inutile. Dioméde dit bien que ce fut u
ue des billets de loterie. *** En 1840, les deux sœurs partirent pour
Rome
. Elles passèrent de là en Amérique, où elles se f
sainte-Chapelle ; etc. Pendant le séjour de l’empereur Charlemagne à
Rome
en l’an 789, les chantres de sa chapelle qui le s
▲