V mes débuts aux folies-bergère
Paris
! Paris ! Enfin Paris !… Il me semblait que j’éta
V mes débuts aux folies-bergère Paris !
Paris
! Enfin Paris !… Il me semblait que j’étais sauvé
V mes débuts aux folies-bergère Paris ! Paris ! Enfin
Paris
!… Il me semblait que j’étais sauvée et que toute
ait que j’étais sauvée et que toutes mes tribulations allaient finir.
Paris
c’était le port après la tempête, le havre de grâ
la vie. Et je pensais, sans modestie, que j’allais conquérir ce grand
Paris
tant espéré, tant souhaité, tant désiré. En Améri
entre deux actes d’un opéra, et j’imaginais qu’il en serait de même à
Paris
. Aussi, dès mon arrivée — on était alors en octob
mon agent. — C’est déjà trop pour une danseuse qui, avant de venir à
Paris
, y a déjà des imitatrices. Influencé par la voix
te danseuse, répondit M. Marchand en français, parce que le Casino de
Paris
annonçait une danse serpentine, et que je ne pouv
, y a-t-il encore d’autres danseuses de ce genre dans les théâtres de
Paris
? — Non. Celle du Casino a manqué de parole. Moi,
ma cinquième danse. Quelques années plus tard seulement j’inaugurai à
Paris
la danse du feu et du lys, et cela une fois encor
s jolie qu’avec cet air d’extase… Et voilà l’histoire de mes débuts à
Paris
.
un des contrevenans, dont un tiers à Nous, un tiers à l’Hôtel-Dieu de
Paris
, l’autre tiers audit sieur Exposant, & de tou
ng sur le Registre de la Communauté des Libraires & Imprimeurs de
Paris
, & ce dans trois mois de la datte d’icelles ;
e, & Lettres à ce contraires ; Car tel est notre plaisir. Donné à
Paris
le quattriéme jour du mois de Juin l’an de grace
sur le Registre V. de la Communauté des Libraires & Imprimeurs de
Paris
, page 274, n° 550, conformément aux Reglemens, &a
x Reglemens, & notament à l’Arrest du Conseil du 13 Aoust 1703. A
Paris
le 19 Juin 1723. BALLARD, Syndic.
ie. — Ses débuts à Vienne. — Premiers succès en Allemagne. — Débuts à
Paris
. — Marie Taglioni et Perrot dans Flore et Zéphire
Qualités de Duponchel. — Les deux sœurs Elssler à Berlin. — Retour à
Paris
. — Première représentation des Huguenots, le 29 f
1836. — Vogue de l’Espagne et des danses espagnoles. — Grillparzer à
Paris
; son jugement sur les sœurs Elssler. — Première
sés. — La Fille du Danube. — Les sœurs Elssler à Bordeaux. — Retour à
Paris
; accident de voiture. — Grave maladie de Fanny…
ale du 22 octobre 1838. — La Gitana à Saint-Pétersbourg et la Gypsi à
Paris
. — Vogue de Chicard. — La Tarentule. — Nouvelle r
ésolution de partir pour l’Amérique ; le mirage américain. — Adieux à
Paris
le 30 janvier 1840. — Une lettre de Th. Gautier à
urope 320 CHAPITRE X le coucher de l’astre Fâcheux effet produit à
Paris
par les nouvelles d’Amérique ; violent article de
ondes contre Fanny. — Le procès de Fanny avec l’Opéra. — Rupture avec
Paris
. — Tournées en Europe. — Représentations de Fanny
ne union à la quelle il s’intéresse, ordonne à Mercure de la porter à
Paris
; il abandonne cette cause délicate au jugement d
. Scène i. Les Bergers et les Bergères s’empressent à féliciter
Paris
sur son retour au mont Ida ; ils l’accueillent, i
eurs jeux(1). Scène ii. Mercure descend des cieux ; il remet à
Paris
la pomme d’or. Ce Berger en lit l’inscription ; e
e Maître de son Choix ; Mercure disparoît. L’ordre qu’il a transmis à
Paris
, inquiéte et embarrasse le Berger ; il ne peut sa
Scène iii. Une musique céleste annonce l’arrivée des Immortelles.
Paris
tremblant et consterné se retire. Insensiblement
lante. Vénus lui offre sa ceinture ; l’Amour son arc et son carquois.
Paris
est ébloui par tontes les Grandeurs qui lui sont
e à sa mère, engage les Graces à lui présenter le portrait d’Hélène ;
Paris
frappé par une image aussi belle et aussi touchan
allas expriment leurs craintes et leurs inquiétudes ; l’indécision de
Paris
les offense et les met au désespoir. Ce Berger, b
du Timbre animent les Déesses ; leur colère s’exhale ; elles menaçent
Paris
de la plus cruelle vengeance et des plus grands m
t derniere. Ce spectacle se termine par une fête générale ; Vénus,
Paris
, l’Amour et les Graces exécutent un pas orné de c
ent du rivage ; et c’est à Sparte que la Reine des Amours va conduire
Paris
. FIN. (1). Il y a cinquante-trois ans que je
arce qu’elle brouilloit continuellement les Dieux ensemble. (1). Ici
Paris
doit conserver dans sa danse et dans son action l
le terrain perdu, un attentat politique jetait la consternation dans
Paris
et repoussait les affaires de théâtre à l’arrière
presse taglioniste lui sut peu de gré de sa complaisance. La Revue de
Paris
lui faisait compliment de sa beauté, en ajoutant
le formée de vingt-cinq canons de fusil. Pendant de longues semaines,
Paris
ne s’entretint que de l’attentat. La marche de l’
aient responsable du mal au genou de l’autre. Après l’été maussade de
Paris
, le séjour à Berlin fut réconfortant pour les sœu
t. Berlin était à la périphérie du monde théâtral ; le centre était à
Paris
. Ici se décidaient les destinées ; ici s’élaborai
Fanny comprit fort bien l’intérêt majeur qu’elle avait à retourner à
Paris
. Elle renonça volontiers aux joies des réunions f
a sœur. Le 20 janvier elle commença par une reprise de la Tempête, où
Paris
lui témoigna une joie sincère de la revoir, une a
remière représentation des Huguenots. La société la plus brillante de
Paris
, réunie ce soir-là à la salle de la rue Le Peleti
ence ! » Justement on pouvait, sans franchir les Pyrénées, admirer à
Paris
même la vie extraordinaire de la danse espagnole.
. L’importation avait paru audacieuse à beaucoup de gens. La Revue de
Paris
était déconcertée et quelque peu scandalisée de «
dmirable tragédie des Vagues de la mer et de l’amour, s’était rendu à
Paris
dans une de ses crises fréquentes de découragemen
qui, alléchée par leur succès, voulait à son tour tenter la chance à
Paris
. Elle entra en effet en pourparlers avec Duponche
n ne montre peut-être plus le déclin de cet art si beau de la danse à
Paris
que le succès énorme de mes compatriotes, succès
nnifiée. « Elle s’avance, dit Théophile Gautier, dans les Beautés de
Paris
, en basquine de satin rose garnie de larges volan
rnèrent à Fanny Elssler des certificats de bonne tenue. Le Journal de
Paris
la louait « d’adoucir l’expression un peu trop vo
ne montent pas jusqu’au ciel. Fanny Elssler n’avait pas encore quitté
Paris
pour se rendre à Bordeaux, qu’un important événem
uette de Portici, la Somnambule, Cendrillon, la Cachucha, les Jeux de
Paris
, ballet bordelais, la Sylphide, sans compter les
était beaucoup plus varié que celui que les deux sœurs exécutaient à
Paris
. Il est à remarquer qu’en province Fanny s’empara
en province de paraître accepter aveuglément les réputations faites à
Paris
, ils se tinrent sur la réserve les premiers soirs
théâtre : « Est-ce que je retrouverais ici le bon, le cher public de
Paris
? » Les petites minauderies que la critique paris
arantaine de jours, les deux sœurs reprirent directement le chemin de
Paris
. C’était le 24 octobre. Le froid était déjà vif.
êtée, et c’est grelottante de fièvre que la jeune femme fut ramenée à
Paris
. Son médecin, le Dr Boulu, ne crut pas d’abord à
e était sauvée, mais la convalescence allait être extrêmement longue.
Paris
avait suivi les phases de la maladie avec une vér
« Les prières, dit-il, sont montées à leur destination. » La Revue de
Paris
poussa un soupir de soulagement : « Encore une be
99. Le Courrier des Théâtres, 24 février 1835. 100. La Revue de
Paris
, t. XVI, avril 1835. 101. Gazette des Théâtres,
cdotique du Théâtre, t. II, p. 124. 103. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 223. 104. La Revue de Paris, t. XXX
Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t. III, p. 223. 104. La Revue de
Paris
, t. XXX, 1836, p. 206. 105. Th. Gautier, Histoir
ramatique, t. II, p. 135. 107. Voir notre ouvrage Franz Grillparzer,
Paris
, 1900, et notre étude Grillparzer in Frankreich,
arzer-Jahrbuch, t. XI, Vienne, 1901, p. 77-104. 108. Les Beautés de
Paris
, Paris, 1844, recueil d’articles de divers auteur
ahrbuch, t. XI, Vienne, 1901, p. 77-104. 108. Les Beautés de Paris,
Paris
, 1844, recueil d’articles de divers auteurs. Celu
se trouve aussi dans ses Souvenirs de théâtre, d’art et de critique,
Paris
, 1883. 109. Gazette des Théâtres, 6 juin 1836.
Au premier arrêt je descendis et sautai dans un train qui me ramena à
Paris
. Je trouvai ma mère plus malade, et je priai le d
s là, il y eut un autre beau tapage. Le directeur russe télégraphia à
Paris
, et je ne pus garder mon secret plus longtemps. C
e je voulais savoir quand je pourrais quitter le train et retourner à
Paris
. Je m’habillai en hâte, empaquetai mes affaires p
is même pas prendre, pour continuer mon voyage, un billet de Berlin à
Paris
. A la première station j’envoyai une dépêche à de
uveau inondèrent mes joues et je lui dis que ma mère était mourante à
Paris
. Il répéta les mots « mère » et « malade » en all
étaient à la gare. Avant mon arrivée, ils avaient même télégraphié à
Paris
pour avoir des nouvelles. On leur avait répondu q
core vingt-quatre heures d’attente et d’anxiété. Quand je débarquai à
Paris
, j’aperçus tout de suite la belle barbe blanche,
’espoir de guérison. Elle devait, sans s’être jamais remise, mourir à
Paris
, en février 1908. On me fit en Russie un long pro
de paris sous la direction véron L’homme qui dirigeait l’Opéra de
Paris
en 1834 et qui alla, cette année-là, chercher Fan
nviron 300 000 francs prélevée par l’Opéra sur les autres théâtres de
Paris
, l’administration était, au moment de la Révoluti
illeusement ses six volumes de souvenirs : Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
. Bourgeois, Véron l’était par ses origines. Fils
rale. La même année, il frappait un grand coup en fondant la Revue de
Paris
, qui fut de plusieurs mois l’aînée de la Revue de
utiquier étala un luxe indiscret de parvenu. Directeur de la Revue de
Paris
, il allait à la chasse aux collaborateurs dans un
ans écarlates. Ses dîners qu’il offrit, selon les époques, au Café de
Paris
, à la Maison Dorée, dans son appartement de la ru
le décrit Henri Heine : « Avez-vous jamais vu M. Véron ? Au Café de
Paris
ou sur le boulevard de Coblence, elle vous a cert
lants29. » Barbey d’Aurevilly flétrissait « le lépreux de la cité de
Paris
, le scrophuleux (sic) docteur Véron30 ». Dans une
ar antiphrase Modeste ; il le montrait sortant avec fracas du Café de
Paris
, se jetant dans sa voiture qui le dépose au théât
Opéra rivalisait avec Franconi qui faisait en ce temps-là courir tout
Paris
à ses splendides pantomimes équestres. Henri Hein
907), n°s 2 à 7. 25. Castil-Blaze, l’Académie impériale de Musique,
Paris
, 1855, t. II, p. 189. 26. Joseph d’Arçay, la Sal
II, p. 189. 26. Joseph d’Arçay, la Salle à manger du docteur Véron,
Paris
, 1868, p. 103. 27. Horace de Vieil-Castel, Mémoi
ur Véron, Paris, 1868, p. 103. 27. Horace de Vieil-Castel, Mémoires.
Paris
, 1883, t. I, p. 41. 28. Id., ibid., p. 134. 29
à Trébutien, du 22 février 1845, citée par J. Boulenger, les Dandys,
Paris
, 1907, p. 134. 31. Théodore de Banville, Odes fu
le, Odes funambulesques. 32. Dr L. Véron, Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 104. 33. Charles de Boigne, Petits M
, t. III, p. 104. 33. Charles de Boigne, Petits Mémoires de l’Opéra,
Paris
, 1857, p. 303. 34. Mémoires d’un Bourgeois de P
res de l’Opéra, Paris, 1857, p. 303. 34. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 257. 35. Mémoires d’un Bourgeois de
Bourgeois de Paris, t. III, p. 257. 35. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 180. 36. Th. Gautier, Portraits cont
de Paris, t. III, p. 180. 36. Th. Gautier, Portraits contemporains.
Paris
, 1874, p. 344. 37. Mémoires d’un Bourgeois de P
contemporains. Paris, 1874, p. 344. 37. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 176. 38. Henri Heine, Ueber die fran
les Contemporains, Meyerbeer, p. 83. 44. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 233-234. 45. Mémoires d’un Bourgeoi
rgeois de Paris, t. III, p. 233-234. 45. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 235. 46. La Mode, Revue du Monde él
iques que j’étais sûre d’obtenir en Europe. Il me conseilla d’aller à
Paris
où un public d’artistes ferait à mes danses l’acc
partir de ce moment ce fut pour moi une véritable hantise : danser à
Paris
. Puis le directeur du théâtre allemand me proposa
et ce fut pour ce motif que je partis pour ne plus revenir. L’idée de
Paris
s’empara dès lors de moi plus fortement que jamai
lieu de cinq cents !… Mais le but, après une tournée en Europe, était
Paris
!… Tandis que je dansais à New-York, j’avais comm
d’attendre un nouvel engagement qui viendrait peut-être. Je pensais à
Paris
plus que jamais. Ah ! si je pouvais y aller. Sur
humiliant que le voisinage de certains hommes. Enfin, je partis pour
Paris
!… Pour économiser le plus possible, il nous fall
st-ce que cela pouvait me faire ? Ce n’était qu’un détail. J’allais à
Paris
pour y réussir ou pour sombrer ! 2. Traduction
yaux d’Europe. Puis, après une tournée en Hollande, elle vint enfin à
Paris
. Les Japonais et Hanako restèrent avec moi pendan
dispersèrent. Quelques-uns retournèrent chez eux, d’autres allèrent à
Paris
ou ailleurs. Le temps passa, je n’entendis plus p
à son secours. L’un des acteurs de la troupe se trouvait justement à
Paris
et je l’envoyai à Anvers avec deux de mes amies.
bes japonaises dont elles étaient vêtues, elles prirent le train pour
Paris
. Hanako avait dû abandonner son amour de petit ch
veiller les soupçons du cabaretier, en l’emmenant. Elles arrivèrent à
Paris
, enveloppées dans des manteaux européens, que je
les, mais les dissimulaient complètement. Je me trouvai bientôt, dans
Paris
, l’impresario d’une des plus parfaites artistes j
si l’on ne voudrait pas engager Hanako, — alors totalement inconnue à
Paris
, — et une petite, très petite troupe, dans un thé
de grandes et sublimes leçons !… Lucile Grahn s’était donc exhibée à
Paris
. Son apparition, dans la Sylphide, fut le great e
s, Quittait la salle aimée où pleuvaient tant de fleurs, L’insouciant
Paris
aux amours infidèles Ne la vit pas partir sans ré
s aux amours infidèles Ne la vit pas partir sans répandre des pleurs.
Paris
vit succéder aux grâces éternelles, Aux pas aérie
, Plus belle que jamais de grâce et de jeunesse : De ses bravos encor
Paris
la saluera. Ou Marie ou Lucile, ange à l’aile rap
la Divinita. A Londres, où Fanny avait fait florès avant de venir à
Paris
, il avait ses poches pleines des vieux chaussons
Fanny Cerrito, veuve de M. Arthur Michel, dit Saint-Léon, demeurant à
Paris
, avenue d’Eylau, 149, a vendu à MM. Cadbury frère
à MM. Cadbury frères, de Birmingham, un agencement de boutique, sis à
Paris
, rue du Faubourg-Saint-Honoré, 90. » Nadedja
Née à Bologne en 1827, elle avait fait, en 1850, une apparition à
Paris
, dans la Tempesta, à la salle Ventadour. Elle n’é
de son appartement de la rue Laffitte et de faire une promenade dans
Paris
. Ce bon Paris, ce cher Paris, comme elle disait,
ement de la rue Laffitte et de faire une promenade dans Paris. Ce bon
Paris
, ce cher Paris, comme elle disait, elle l’avait q
Laffitte et de faire une promenade dans Paris. Ce bon Paris, ce cher
Paris
, comme elle disait, elle l’avait quitté au mois d
de gratitude envers le ciel qui la rendait à la vie, qui lui rendait
Paris
, elle alla se prosterner devant l’autel de l’égli
erni de l’église Notre-Dame-de-Lorette. *** En reprenant contact avec
Paris
, Fanny Elssler eut la satisfaction de s’apercevoi
vec sa souplesse nerveuse, avec son agilité et sa sûreté coutumières.
Paris
fit fête à l’artiste que la destinée lui rendait
ément de s’entendre avec Duponchel, la sylphide s’apprêtait à quitter
Paris
. A mesure que le moment du départ approchait, on
nt fait honneur au pays natal devant l’aréopage suprême, le public de
Paris
. Mais on se demandait en même temps si la conquêt
ne Theaterzeitung, ne sont pas, dans le tumulte des grandes capitales
Paris
et Londres, devenues sourdes à la voix de l’human
s furent faites pour les retenir à Vienne. Elles répondirent : « Non,
Paris
avant tout, Paris qui a été pour nous si bon, si
ur les retenir à Vienne. Elles répondirent : « Non, Paris avant tout,
Paris
qui a été pour nous si bon, si encourageant… Nous
d’unanimes regrets, auxquels se mêlait un sentiment de colère contre
Paris
, « l’heureux Paris, digne d’envie, disait l’Allge
, auxquels se mêlait un sentiment de colère contre Paris, « l’heureux
Paris
, digne d’envie, disait l’Allgemeine Theaterzeitun
po che Fanni ballava. *** Le 30 août 1837 Fanny faisait sa rentrée à
Paris
dans le Diable boiteux. A ce moment lui arriva l’
al pour lancer un livre inspiré par le Diable boiteux : Descarnado ou
Paris
à vol de Diable. La beauté de Fanny continuait de
duit l’effet attendu, les deux sœurs avaient lieu d’être satisfaites.
Paris
les avait récompensées, par une belle manifestati
précipités dans la Vistule. Pour le moment, elle ne s’arrêtait pas à
Paris
. Elle allait en Angleterre, et, d’un air de défi,
puis le 22 avril 1837, jour où Marie Taglioni avait fait ses adieux à
Paris
, recommença de plus belle. La victoire demeura in
it de nouveau respirer, en attendant la prochaine faillite. Revenue à
Paris
au mois d’août, Fanny Elssler ne fut pas délivrée
Jusque-là Fanny Elssler s’était soigneusement abstenue de paraître à
Paris
dans les rôles de Mlle Taglioni. Ce n’était qu’en
’une danseuse de beaucoup de talent ; nous n’avons plus de sylphide à
Paris
, elle a pris son vol vers les glaces du Nord, et
Taglioni. Le duel se poursuivit à distance par l’étude simultanée, à
Paris
et à Saint-Pétersbourg, d’un même ballet où chacu
e interprète aurait été, selon son habitude, incomparable. L’Opéra de
Paris
donna le ballet le 28 janvier. Le premier rôle ex
is. Toutes ces nouveautés dans le monde des théâtres captivaient trop
Paris
pour qu’il pût s’intéresser vivement à la Gypsi d
vait été que superficielle et précaire. Après cinq années de séjour à
Paris
, elle voyait la danse se développer sous ses form
ations ahurissantes. Etre obligée de partager les applaudissements de
Paris
avec ce vil acrobate ! Quelle humiliation pour Fa
de la bohémienne de la Gitana (style russe) ou de la Gypsi (style de
Paris
). Marie Taglioni avait eu l’ambition d’ajouter un
me, il n’est pas permis d’être enfant. » Lorsque Fanny fut rentrée à
Paris
, dans la seconde quinzaine d’août, la campagne me
ssait aussi le secret espoir de revenir avec une auréole rafraîchie à
Paris
qu’elle considérait comme sa patrie définitive. S
ns plusieurs villes importantes des Etats-Unis. Elle fit ses adieux à
Paris
, adieux qui, dans sa pensée, ne devaient pas être
es triomphes, entretenir son souvenir et lui garder la place chaude à
Paris
. Il lui donnait de sages conseils. Qu’elle se gar
s sont reproduits soit dans l’Histoire de l’Art dramatique en France,
Paris
, 7 vol., 1858-1859, soit dans les Portraits conte
nce, Paris, 7 vol., 1858-1859, soit dans les Portraits contemporains,
Paris
, 1874, soit encore dans les Souvenirs de théâtre,
874, soit encore dans les Souvenirs de théâtre, d’art et de critique,
Paris
, 1883. 129. Article reproduit dans les Portraits
oire des Œuvres de Théophile Gautier, par de Spoelberch de Lovenjoul,
Paris
, 1887, t. II, p. 543 et suivantes.
danseur doit beaucoup voir et bien examiner), et ce fut à l’Opéra de
Paris
, le plus beau temple qu’on ait élevé à Terpsicore
j’ai dansé à l’ Académie Royale de Musique . (a) Bordeaux est, après
Paris
, la première ville de France ou s’exécutent de gr
bons compositeurs et a fourni d’excellents danseurs même à l’Opéra de
Paris
. Depuis quelques années cette ville a donné trois
essentiel pour un jeune danseur de passer quelque temps à l’école de
Paris
; c’est là qu’il se perfectionnera dans son art.
ement. Voilà l’artiste achevé. 75. Je connais un maître qui jouit à
Paris
d’une grande réputation, et qui a le défaut de fa
e mème sujet. De toutes les fêtes, Monsieur, qui se sont données à
Paris
pendant le cours de la révolution, je n’en connoi
de, ils quittent St. Cloud dans le plus grand incognito, pour voler à
Paris
, chacun par une route différente ; les uns par Sè
ulogne, et ceux-là se jettent dans des barques de pêcheurs. Arrivés a
Paris
, n’ayant pour guide que la Peur, aucun deux n’ose
proverbe des Parisiens. Il fut réalisé ; en effet Mars en donna un à
Paris
qui n’étoit que le dénouement heureux de la fête
ux Folies-Bergère ; je ne connaissais personne, absolument personne à
Paris
. Figurez-vous donc ma surprise, en recevant un so
es créations et me suit partout, que ce soit à Londres, à New-York, à
Paris
ou à Berlin. *** Pour ces rares aventures, qui so
e ville sans que Loïe Fuller n’y soit déjà venue avant moi, et même à
Paris
, — à la foire de Neuilly ! — j’ai vu annoncer en
te que la choriste américaine, dont j’ai parlé tout à l’heure, vint à
Paris
, et qu’un beau jour son amant la planta là. Sur l
e marquait comme l’arrêt d’un organe de la vie parisienne. Le Café de
Paris
semblait dire : Un seul être me manque et tout e
ait plus élevée que celle de sa sœur. Fanny désirait beaucoup venir à
Paris
; elle m’accueillit avec bonne grâce. Ces deux ar
égulièrement. Thérèse, au contraire, redoutait pour elle des débuts à
Paris
, et jusqu’au dernier moment, elle résista à mes p
ojets, à leur donner une bonne idée de l’administration de l’Opéra de
Paris
. Je les invitai à dîner à Clarendon’s hôtel en ha
peine 6 000 à 8 000 francs. De tous ces bijoux, je rapportai aussi à
Paris
quelques parures destinées aux premiers sujets du
pendant le séjour qu’il vient de faire à Londres. Elles arriveront à
Paris
au mois de juillet prochain. Une de ces demoisell
ra au succès qu’on attend des débuts de l’une des demoiselles Esler à
Paris
. Quand cette artiste était au théâtre de Vienne,
que, dans la deuxième semaine de juillet, les sœurs Elssler vinrent à
Paris
, la réclame fit entendre de plus belle ses trompe
n. En vue de cette soirée mémorable, « vingt châteaux des environs de
Paris
ont déjà commandé des chevaux de poste », écrit C
d’œil. Un grand nombre de châtelains étaient accourus des environs de
Paris
pour assister à une solennité annoncée avec tant
e France et à ses loyaux et enthousiastes sujets de sa bonne ville de
Paris
. » Après ces tirades larmoyantes, Jules Janin en
blic enchanté. Il éprouvait le besoin de la promener en triomphe dans
Paris
et de s’exhiber avec elle. Le 16 octobre, le Théâ
lein cœur. Elle avait de chauds partisans qui épousèrent sa querelle.
Paris
fut divisé en elssléristes et en taglionistes. Un
auteurs du divertissement se sont montrés maladroits. » La Revue de
Paris
était taglioniste. Quoiqu’elle restât dévouée à s
délicatesse des poses qui ne s’apprennent pas. » D’après la Revue de
Paris
, le grand succès du 21 septembre aurait été entiè
urs, un pas nouveau et la salle meublée à toutes ses places de ce que
Paris
renferme de sommités sociales, voilà l’Opéra pour
eau ». Ça, c’était la vraie gloire. 93. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 181-182. 94. Ce mot, très souvent em
communément : cet opéra n’ira pas loin, il est en double. L’opéra de
Paris
est composé actuellement de dix-sept chanteurs ou
rement à ceux qui font profession de la danse. La danse de l’opéra de
Paris
est actuellement composée de huit danseurs et de
oubles, et ceux-ci ont les leurs à leur tour ; en sorte que l’opéra à
Paris
, quelque accident qui survienne, est représenté c
d’état de danser leurs entrées. Le nombre des sujets dont l’opéra de
Paris
est composé, son établissement stable, ses ressou
les troisièmes ; en sorte que quelque accident qui arrive, l’opéra de
Paris
est toujours représenté. Les acteurs en sous-ordr
t dégré. Dauberval, mon élève ou plutôt celui de la nature, arriva à
Paris
. Né avec de l’esprit, du goût, de l’intelligence,
uer plusieurs rôles dans mes ballets en action. Cette danseuse étonna
Paris
et la cour. Le svelte de ses contours, les charme
danse sérieuse. Le Picq quitta Naples un instant pour venir me voir à
Paris
où je le fis débuter. Les belles proportions de s
la Dlle. Allard, l’embélirent singulièrement. Je la donnai ensuite à
Paris
et à Fontainebleau. Le Picq fut fêté ; on le no
lables amusements. Ils voyaient une trop grande distance entre ce que
Paris
venait d’admirer, et ce que leur fortune ou la bi
éable. On peut mettre au nombre des Bals publics ceux que la Ville de
Paris
a donnés dans les occasions éclatantes, pour sign
us la main vivifiante d’un homme de génie. [Voir Fêtes de la Ville de
Paris
] 106. Elle fut inventée par un Moine. 107. Lor
étroite, son dos légèrement voûté. Lorsque son père l’eut conduite à
Paris
pour lui faire prendre les leçons de Coulon, ses
’école traditionaliste, lorsque Philippe Taglioni vint les propager à
Paris
. Véron trace le parallèle suivant entre l’enseign
diverses scènes d’Allemagne, Marie Taglioni vint tenter la fortune à
Paris
. En 1824, elle débutait au théâtre de la Porte Sa
it à ses filles comme un modèle de grâce et de bonne tenue. Cependant
Paris
continuait, malgré son premier échec, d’exercer s
appelait son engagement, Mlle Taglioni fit une troisième apparition à
Paris
au commencement de 1828. Elle confirma, en se mon
iner, les fleurs et les brins d’herbe. *** Marie Taglioni devint pour
Paris
et pour toute l’Europe une déesse vers qui montai
rêtresse de l’art chaste, elle prie des jambes86. » L’enthousiasme de
Paris
fut partagé par toute l’Europe. Une fièvre s’empa
Taglioni. Celle-ci conquérait son public, à Berlin, à Milan, comme à
Paris
, par sa légèreté éthérée. La décence de sa tenue
tôt à Berlin. — Si j’avais pu, disait-il, je serais allé vous voir à
Paris
. — Sire, les temps sont changés, répond Mlle Tagl
Petits Mémoires de l’Opéra, p. 43. 65. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 224. 66. Th. Gautier, Portraits cont
er, Portraits contemporains, p. 429. 67. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 223. 68. G. Monaldi, la Danza nel s
la Danse et les ballets depuis Bacchus jusqu’à Mademoiselle Taglioni,
Paris
, 1832. 70. Les Adieux à Mademoiselle Taglioni,
elle Taglioni, Paris, 1832. 70. Les Adieux à Mademoiselle Taglioni,
Paris
, 1837. 71. Th. Gautier, Histoire de l’Art dramat
X. p. 105. 74. Journal des Débats, 9 février 1835. 75. Ibid. 76.
Paris
, 1833-1834. 77. Guillaume Tell. 78. Robert le
de dramatique, t. IV, 1837. 82. Les Adieux à Mademoiselle Taglioni,
Paris
, 1837. 83. Ibid. 84. Les Adieux à Mademoisell
86. De Spoelberch de Lovenjoul, Histoire des Œuvres de Th. Gautier,
Paris
, 1887, t. II, p. 493. 87. Revue et Gazette des
clesiis, in cæmeteriis et processionibus. Conc. syn. d’Odon évêque de
Paris
, Const. 26. 33. Au chap. I du livre 5, il y a un
. Au chap. I du livre 5, il y a un Arrêt de Règlement du Parlement de
Paris
, du 3 sept. 1667 qui fait les mêmes défenses.
avancé cette opinion, le soin de résoudre ma question. Gluck parut à
Paris
avec l’éclat brillant d’un phénomène ; il captiva
aux instances des amis de l’auteur : cette nouvelle circule dans tout
Paris
, ou ceux qui aiment le mieux la musique répandire
ncore trente années pour que le bon goût de la musique se propageât à
Paris
; que la majorité du public, fréquentoit les spec
sans cette précaution ? Le soir, cette repartie était connue de tout
Paris
; on célébrait sur tous les tons la sage retenue
fenêtres ! commanda-t-il à ses laquais. Il faut que le bon peuple de
Paris
ait sa part de notre régal. On obéit… Les fenêtre
evoirs de lieutenant général des armées du roi avaient emmené loin de
Paris
, ne voulut pas paraître sur la scène : elle ne re
rince. Mademoiselle de Camargo quitta le théâtre en 1751, et mourut à
Paris
, en 1770, âgée de soixante ans et regrettée de to
pantomimes : Pygmalion et Ariane, qui furent plus tard représentés à
Paris
, mais à la Comédie-Italienne, les portes de l’Opé
nne-Fredérique Heinel arrivait de Stuttgard quand elle se produisit à
Paris
, à l’âge de dix-huit ans, en 1767. « Ses charmes
joindre. On la reconnut à la frontière, et la police la fit revenir à
Paris
. Plusieurs semaines se passèrent ; puis, M. de Cl
ualité. Cet accident obligea mademoiselle Allard à quitter un instant
Paris
. » On raconte qu’en 1767, un seigneur allemand,
recevoir la visite du roi de Danemark, lors du voyage de ce prince à
Paris
, en 1768, lui fit remettre une copie en miniature
age qu’elle avait fait à Londres, conduite à la Force, puis exilée de
Paris
pendant dix-huit jours. Mademoiselle Guimard
jours. Mademoiselle Guimard Marie-Madeleine Guimard naquit, à
Paris
, le 20 octobre 1743. Elle appartint d’abord au ba
Mémoires du temps le rendez-vous ordinaire des plus jolies filles de
Paris
et des plus aimables libertins. Il y avait des lo
t et fraternité. Mais si Mme Joergen-Jensen est reçue à son passage à
Paris
avec le même engouement que naguère sa compatriot
vement applaudie. Ce sont donc les meilleurs souvenirs de ce terrible
Paris
qu’elle pourra rapporter dans son admirable capit
iniste, et des peintres-décorateurs. Cette troupe d’artistes arriva à
Paris
en l’année 1644. et donna le 28. Février 1645. su
auprès de Gaston de France Duc d’Orléans, fût le premier qui offrit à
Paris
un opéra Français ; il en fit les paroles, Camber
ue ; il donna ce nouveau spectacle à Issy, village aux environs de de
Paris
, dans la maison de M. de la Haye. Ce spectacle ne
de Louis quatorze étant invariablement fixé, le Cardinal fit venir à
Paris
pour la troisième fois les talens les plus précie
détails et son ensemble. Il y éleva un grand théâtre, et fit venir de
Paris
les ouvriers qui lui étoient nécessaires. Il appe
ation. Cette tragédie d’un genre absolument neuf fut ensuite donnée à
Paris
en l’année 1661, et obtint tout le succès quelle
pre à loger un Directeur-Professeur, et les élèves qui remportoient à
Paris
les premiers prix dans ces trois arts. Ils y étoi
étroit des sciences, Dominique Cassini et Huygens. Ils se fixèrent à
Paris
et y obtinrent des pensions considérables, c’est
ons ni les remontrances. Le triomphe de l’amour fit autant de bruit à
Paris
qu’il en avoit fait à la cour. Le public voulut v
me et dix-huitième siècles. Louis Bœrne, qui était venu d’Allemagne à
Paris
, au lendemain de la révolution de Juillet, s’éton
1815. Voici quelles furent ses impressions, d’après sa 43e Lettre de
Paris
: « Tous les dieux de l’Olympe y figurent : Bacc
allet classique fut Théophile Gautier. A propos de la vogue obtenue à
Paris
par la danseuse espagnole Dolorès Serrai, il écri
s deux époux travaillèrent avec acharnement et voyagèrent ensemble. A
Paris
ils furent engagés par Anténor Joly au théâtre de
vec peine, paya généreusement les frais du voyage. Albertine revint à
Paris
au bout de trois mois, gravement malade, et mouru
nnie académique fut Marie Taglioni. 48. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 155. 49. Gazette des Théâtres, 16 a
, Petits Mémoires de l’Opéra, p. 79. 51. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 221. 52. Castil-Blaze, l’Académie i
mpériale de Musique, t. II, p. 205. 53. Henri Heine, Der Karneval in
Paris
, 1842. 54. Th. Gautier, Histoire de l’Art dramat
de l’Art dramatique, t. III, p. 222. 56. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 224. 57. L’Académie impériale de Mu
impériale de Musique, t. II, p. 153. 58. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, t. III, p. 214. 59. Petits Mémoires de l’Opéra
chard-Lafosse, Chroniques secrètes et galantes de l’Opéra, 1667-1845,
Paris
, 1846, t. IV, p. 356. 63. Le Monde dramatique,
omons, comme je l’ai vû pratiquer il y a trente ou quarante ans, dans
Paris
; d’autres couroient les rues la nuit & le jo
ux bals magnifiques que feu Monsieur donnoit au Palais Royal, où tout
Paris
se faisoit un plaisir d’aller superbement masqué,
mme si c’eût été un coup prémédité, si bien qu’il n’osa paroître dans
Paris
de plusieurs jours. Mais pour expier cette faute,
t cause que les Particuliers n’ont plus osé se hazarder d’en donner à
Paris
; l’on n’en vit pas une douzaine pendant le cours
comme depuis la mort de Louis XIV. toute la Cour s’est renfermée dans
Paris
, S.A.R. Monseigneur le Régent a permis d’établir
nt ; les Échos du Parnasse et du monde le répétèrent après eux. De là
Paris
, la Littérature, les Provinces, les Étrangers se
inault, n’aurait plus vu des Tragédies autres que les siennes occuper
Paris
. Il aurait applaudi sans peine Armide Opéra. Il é
t, au château d’Autremont. Lyon, le … Monsieur le duc, J’ai quitté
Paris
, comptant arriver chez vous après-demain, car je
je puis vous assurer que dans le mien, qui passe pour le plus beau de
Paris
, je connois très-peu de filles et même de garçons
se, avec plus de grace et de justesse que l’on ne chante à l’opéra de
Paris
; vous eussiez été surpris de rencontrer le soir
cet art y est généralement plus pur, plus répandu, plus éclairé qu’à
Paris
; et que les paroles n’y sont pas plus négligées
Chapitre X le coucher de l’astre «
Paris
est la ville la plus essentiellement oublieuse. T
oublieuse. Tant que vous êtes là, c’est bien. Vous partez : bonsoir !
Paris
, au fond, garde quelque rancune aux gloires qui s
à nos feuilletons qu’ils doivent toute leur fortune. Il est vrai que
Paris
se venge en inventant tout de suite une autre cél
irie prononcée le 24 août 1842 par Me Dupin, devant la Cour royale de
Paris
, les faits qui obligèrent Léon Pillet à traduire
anser cinquante-quatre fois pendant les neuf mois qu’elle resterait à
Paris
; plus encore trois mois de congé par an rachetab
it droit, du 1er juin 1840 au 1er juin 1841 ; elle devait donc être à
Paris
le 15 octobre 1840. Le 29 septembre 1840, nouvell
me de 60 000 fr. dans le cas où elle ne ferait pas acte de présence à
Paris
le 1er janvier 1841. Il était entendu, néanmoins,
y remplir les rôles de son emploi ; on répondit qu’elle n’était pas à
Paris
et qu’elle devait être à l’étranger. C’est alors
reine ! Elle fit appel. Le procès fut repris devant la Cour royale de
Paris
, sous la présidence de M. Séguier, dans l’audienc
ouvoir devenir… huissiers, dans le cas où Fanny Elssler reviendrait à
Paris
! » Léon Pillet fut galant homme. Au lieu d’user
on de la sentence. Il fit saisir le mobilier que Fanny avait laissé à
Paris
. Puis, en juillet 1843, lorsqu’elle alla danser à
n’avait pas touchée avant de partir pour l’Amérique. La rupture avec
Paris
était consommée. Elle était regrettable pour Pari
e. La rupture avec Paris était consommée. Elle était regrettable pour
Paris
, qui perdait une danseuse excellente. Elle ne l’é
e lui aliénait les sympathies éclairées qui avaient fait pour elle de
Paris
un séjour de délices. Enfin elle laissait obscurc
de l’Opéra. La nouvelle était malheureusement fausse. Ce n’est pas à
Paris
, c’est au théâtre allemand de Budapest que Fanny
ne femme sculpteur, née à Florence de parents français, fort connue à
Paris
dans le monde des arts, dans les cénacles romanti
, des pensionnaires à la promenade à Hyde-Park. En 1852, elle était à
Paris
et se rencontrait par hasard à dîner chez le duc
. Hippolyte Hostein, Historiettes et Souvenirs d’un homme de théâtre,
Paris
, 1878, p. 147. 146. Ludwig Speidel, Fanny Elssle
et ses nouvelles maisons, il est une chose que j’envie à Berlin pour
Paris
: c’est l’École de danse du Grünewald. Qu’est-ce
nseuse. J’avais vu son nom sur des affiches lorsqu’elle était venue à
Paris
, mais je m’étais refusé à l’aller voir danser. On
bre et forte, gracieuse et variée, les jolies ballerines de Milan, de
Paris
, de Saint-Pétersbourg, de Berlin et de Londres me
le du Grünewald, et qu’elle songerait à la faire émigrer en France, à
Paris
. Ce serait tant mieux pour nous, mais tant pis po
qu’on dit, se danse encore : Mais mon esprit se remémore, Qu’étant à
Paris
de retour, Lors que je parlai, l’autre-jour, De c
la Cour, nombreuse et gaie, Gîte en son Saint Germain en Laye, Dont à
Paris
, il déplaît fort, Ne pouvant avoir un doux Sort,
sieurs fois avec la collaboration de Scribe, des ballets à l’Opéra de
Paris
. L’autre était Mlle Bigottini. Cette belle Toulou
Bigottini. Cette belle Toulousaine avait débuté en 1801 à l’Opéra de
Paris
. Elle avait éclipsé une beauté fâcheusement célèb
française. Vigano et sa femme, la belle Maria Medina, avaient habité
Paris
et fréquenté beaucoup le maître de ballet Dauberv
ea les compositeurs de ballets dans le choix de leurs sujets. Comme à
Paris
, les fables mythologiques furent recherchées. Des
tes, comme faisait Marie Taglioni ? Pourquoi n’atteindrait-elle point
Paris
, ce Paris qui apparaissait alors à tous les artis
faisait Marie Taglioni ? Pourquoi n’atteindrait-elle point Paris, ce
Paris
qui apparaissait alors à tous les artistes d’Euro
tes d’Europe comme une Mecque sainte, but de toutes les ambitions, ce
Paris
dont le nom flamboyait en lettres de feu à l’hori
cours inespéré et réalisa son rêve secret. Le directeur de l’Opéra de
Paris
, le docteur Véron, à qui, dès 1831, Alphonse Roye
nt, si elle justifiait sa réputation. Avant de suivre Fanny Elssler à
Paris
, qu’on nous permette de revenir un instant en arr
. Voir le récit de cette lutte dans notre ouvrage, Franz Grillparzer,
Paris
, 1900, p. 183 et suivantes. 7. Voir Gino Monaldi
va Antologia, mai 1907. 8. Carlo Blasis, Manuel complet de la danse.
Paris
. 1830, p. 131. 9. Varnhagen von Ense. Vermischt
und Tübingen, 1832, p. 268. 11. Alphonse Royer, Histoire de l’Opéra,
Paris
, 1875, p. 174. 12. Revue Britannique, 1834, t.
GRATIS la Comédie À quiconque en avait envie, Et c’est-à-dire à tout
Paris
, Qui la voulut voir à ce prix, Qu’ils méritent bi
Des jolis endroits qu’il débitent, Et (sans à faux en discourir) Tout
Paris
y devrait courir, Car je ne crois pas que personn
je ne faudrai d’en mettre Un plus ample Article en ma Lettre. 158.
Paris
si le talent de Taïroff et de sa jeune compagnie, n’a sur la place de
Paris
ni cours ni change. Et l’on met en garde le publi
l le Mystère du Saint-Sacrement. Et l’audacieuse création de Phèdre à
Paris
est bien l’offrande du jongleur russe à Notre-Dam
Mais il ne faut pas que je die Le reste de la Comédie, Car bientôt
Paris
la verra, On n’ira pas, on y courra ; Et chacun p
se, Tout est de Carême prenant. On voit donc bien d’autres affaires À
Paris
, dans cette saison, Qu’on n’en voit dans votre ma
omporta deux œuvres inédites : La Belle au Bois dormant et Le Renard.
Paris
ne verra pas, cette fois-ci, l’œuvre maîtresse de
erçu bien sommaire d’une soirée très remplie. Mme Véra Tréfilova, que
Paris
a applaudie hier, pour la première fois, est une
ande Troupe, ou Famille De Comédiens de Castille Se sont établis dans
Paris
, Séjour des jeux, danses et ris. Pour considérer
overre, art. « Courante », Encyclopédie méthodique. Arts académiques,
Paris
, Panckoucke, Liège, Plomteux, 1786, p. 415 ; voir
overre, art. « Courante », Encyclopédie méthodique. Arts académiques,
Paris
, Panckoucke, Liège, Plomteux, 1786, p. 409 ; voir
overre, art. « Courante », Encyclopédie méthodique. Arts académiques,
Paris
, Panckoucke, Liège, Plomteux, 1786, p. 409 ; voir
overre, art. « Courante », Encyclopédie méthodique. Arts académiques,
Paris
, Panckoucke, Liège, Plomteux, 1786, p. 409 ; voir
nouvelle fonte, Dont, par hasard, à ce qu’on conte, L’Original est à
Paris
, En colère autant que surpris De s’y voir dépeint
as que vous ne fassiez des vœux pour qu’il s’en forme de semblables à
Paris
et dans toutes les cours de l’Europe. Depuis lon
nce, d’humanité et de reconnoissance envers les artistes, se formât à
Paris
! Nous ne verrions plus de gens de mérite, qui n’
redressons les torts, Toi, de l’esprit, et moi, du corps ; Tous deux,
Paris
nous a vu naître, Et dans son art, chacun de nous
laisir ignoré. Des pélerins, dit-on, une troupe grossière En public à
Paris
y monta la première ; &c. Art de la danse
é. Succédant aux tournois, la Danse encor grossière, Chez nos rois, à
Paris
, y monta la première1 ; Lorsque Circé parut, en c
n talent. De ce couple, voyez l’éternel sautillage ; Il danse dans
Paris
, comme on danse au village. Ses pas lourds et gro
irrite, appaise une maîtresse. Ainsi dans ce ballet6 qui charma tout
Paris
, Hylas guette un baiser sur les lèvres d’Iris, Qu
isputer le prix, Voulez-vous sur la scène étaler des ouvrages Où tout
Paris
en foule apporte ses suffrages, Et qui toujours p
isputer le prix, Voulez-vous sur la scène étaler des ouvrages Où tout
Paris
en foule apporte ses suffrages, Et qui toujours p
ble et connaissez l’histoire ; C’est par-là que Noverre a charmé tout
Paris
, Et de son art peut-être eût remporté le prix, Si
nt proportionnée. Il dansait à merveille les pas de Deux. Il débuta à
Paris
en 1778, dans les Caprices de Galatée, ballet de
quantité de mesures de musique. 14. Des danseurs Italiens vinrent à
Paris
danser dans un opéra intitulé les Paladins ; leur
égoûta. 15. Slins’byk, Anglais, vint danser l’anglaise à l’Opéra de
Paris
dans un acte turc, il y a envion vingt-cinq ans ;
rre bondit moelleusement. 21. Mlle Théodore (Mad. Dauberval), née à
Paris
en 1759, morte en 1798. Elle fut une desplus char
son art. On peut dire que sa Danse était spirituelle. Il charma tout
Paris
, sans jamais faire un tour de force. 32. Grac
559, à Henri ii. Voici des fragmens de ces lettres-patentes données à
Paris
en mars 1661 ; elles s’expriment ainsi : « Loui
pourra ; nous avons jugé à propos d’établir dans notre bonne ville de
Paris
une Académie royale de Danse composée de treize d
dans tout ce qu’il fait ». 17. Marcel, célèbre maître à danser de
Paris
, mort en 1759. Il était singulier par la ridicule
rs ii, chapitre premier. Un danseur anglais, fort célèbre, arrive à
Paris
, descend chez Marcel. Je viens, lui dit-il, vous
: « Monsieur, l’on saute dans les autres pays ; mais on ne Danse qu’à
Paris
». Helvetius, de l’Esprit ; Discours 4, chapitre
dée de faire un ballet sur ce sujet. Il obtint un très-grand succès à
Paris
en 1778. 7. Ballets de la composition de Garde
nel et un jeune danseur nommé Ferville, vinrent de Stutgard débuter à
Paris
. Ils étonnaient tant par cette nouveauté, que tou
n novices dans cet art. Roscius à Rome, Garrick à Londres, Préville à
Paris
, sont les trois plus célèbres comédiens cités pou
re, donné pour la première fois en 1762 à la Cour de Wirtemberg, et à
Paris
en 1780, fut un des premiers grands ballets d’act
ra. 4. Psyché, ballet pantomime de la composition de Pierre Gardel (
Paris
, décembre 1790). Ce ballet, du plus grand effet,
allet : il fut exécuté à l’Opéra en 1791. Il fit très-grand plaisir.
Paris
, troisième ballet de la composition de Pierre Gar
rre Gardel. 10. Gargantua, farce donnée, il y a sept ou huit ans à
Paris
. 11. Resserrez l’action, retranchez tout dialog
et art étale ses chefs-d’œuvre par toute l’Italie. En France, excepté
Paris
et quelques grandes villes de nos départemens, le
ons aujourd’hui avec autant d’humeur que de jalousie. Nous n’avions à
Paris
, en 1732 qu’un violon concertant, le Clerc ; ses
solidement occupé avant le vrai, le décisif assaut — qui sera livré à
Paris
. Car ce retour de M. de Diaghilev en arrière est
ent montré aux auditions du maître russe, — si ce n’était qu’il visât
Paris
! Cette lettre franchira le détroit1 telle une es
se. Formidable enjeu ! Mais, comme je l’ai dit tout de suite, c’est à
Paris
que sera jouée la partie suprême dont dépend l’av
ns ce royaume avant le cardinal Mazarin. Dès 1645, l’opéra existait à
Paris
. A cette époque, le cardinal Mazarin fit représen
re à l’intronisation définitive de l’opéra français sur un théâtre de
Paris
. Le préjugé contre la difficulté de chanter des p
; Perrin voulait éviter la foule. Il y réussit mal ; car la route de
Paris
à Issy fut couverte de carrosses. Ces tentatives
t des lettres-patentes, « portant permission d’établir en la ville de
Paris
et autres du royaume, des académies de musique, p
Deux excellens articles, publiés par M. Castil-Blaze dans la Revue de
Paris
au mois d’août dernier, ont si bien résumé cette
s de la régie de l’Opéra ; enfin, en 1749, le roi donna à la ville de
Paris
la direction générale de l’Académie royale de Mus
age, prevôt des marchands, assisté du greffier de l’hôtel-de-ville de
Paris
et officiers et archers, alla, le 27 du mois d’av
exes sur la scène fut si fort goûtée, que lorsqu’on donna ce ballet à
Paris
, sur le théâtre de l’Opéra, on y introduisit les
y parut un soir, cherchant, disait-il, une de ses parentes, arrivée à
Paris
sans qu’il eût eu avis de sa demeure. Témoin de s
epuis son introduction en France : tantôt administrée par la ville de
Paris
elle-même, tantôt par ses délégués, tantôt par le
es de la chambre, en 1791, elle avait été rendue à la municipalité de
Paris
. Elle raya de l’affiche le titre d’Académie royal
i qu’appartenait le premier rôle de séduction publique. La commune de
Paris
, en 1792, avait succédé à tous les directeurs de
faut bien le dire, que celle des ballets du grand roi. La Commune de
Paris
ne négligea rien pour conserver aux arts cette de
er. Vienne, Naples et Milan sont, sous ce rapport, les tributaires de
Paris
, qui, à son tour, emprunte à l’Allemagne et à l’I
hevaux blancs, fut une véritable apothéose que toute la population de
Paris
voulut saluer de ses acclamations. Combien toutes
rt, de Weber et de Rossini, l’Opéra a dépensé plus de 100,000 fr., et
Paris
a joui du plus beau spectacle du monde7. Mainten
scène. L’Opéra est actuellement l’établissement le plus populaire de
Paris
. Pour arriver là, il fallait fermer les portes à
ux que sa réputation : c’est un libertin converti. Eugène BRIFFAULT.
Paris
, le 20 décembre 1834. 1. Aujourd’hui, une ordon
arie Taglioni Éducation. — Début à Vienne. — L’Héberlé. — Début à
Paris
. — Le bouquet de Duponchel. — Robert le Diable. —
phes. — A Milan. — Le général, les grenadiers et la polka. — Retour à
Paris
. — Le banquet aux Frères-Provençaux. — Les vers d
question du ballerin. Sur ces entrefaites, le père Taglioni revint à
Paris
et entreprit de former et de réformer lui-même la
e eut lieu le 14 mars 1832. Le lendemain, le quatrain suivant courait
Paris
et, rappelant une des situations principales de l
ses cadres. L’engagement ne fut point renouvelé. Cet événement remua
Paris
comme une émeute. Dans les cercles, dans les café
sés. Marie-Amélie et tous les membres de la famille royale présents à
Paris
s’étaient empressés de venir applaudir aux fugiti
le préférait le lustre de l’Opéra ! En 1840 et en 1844, elle revint à
Paris
. Hélas ! les magnats, les ducs, les archiducs, le
ccès. Elle l’avait donc laissé voleter tranquillement de Schœnbrunn à
Paris
. M. Véron offrit aux sœurs Elssler un engagement
iani et la Manuelita Dubinon n’étaient point parvenues à acclimater à
Paris
l’adorable furie des chorégraphies espagnoles. Le
t aventureux décida qu’elle chanterait, qu’elle danserait devant tout
Paris
. Tout Paris, en effet, se précipita à la Renaissa
décida qu’elle chanterait, qu’elle danserait devant tout Paris. Tout
Paris
, en effet, se précipita à la Renaissance pour ent
tes de l’auteur — comme on disait jadis — en faveur de son humilité.
Paris
, avril 1860.
Léonidoff » qui se produisent actuellement sur la plus belle scène de
Paris
ne causent qu’une profonde stupeur. C’est là du D
, une danseuse, à laquelle j’aurais été heureuse de rendre service. A
Paris
ma grande amie, Névada, la célèbre chanteuse amér
mouvements extraordinaire. Lorsque la princesse était ambassadrice à
Paris
on avait réédité pour elle le surnom d’Adélaïde d
amplifiait encore en disant : « Je suis le singe le mieux habillé de
Paris
. » je me demande si la princesse a jamais pu être
d’un art qui lamentablement s’étiolait sur son sol natal, l’Opéra de
Paris
, se réalisât, il avait fallu qu’il fût enrichi, r
ais. Mais elle a su s’acquitter. Le triomphe des « Saisons Russes » à
Paris
n’est pas une invasion. C’est une restitution. Et
er. L’essentiel est qu’on veut en avoir. Or il y a à peine dix ans, à
Paris
, on ne s’en souciait guère. À la veille de quitte
plus les temps où la rivalité d’Auguste Vestris et de Duport divisait
Paris
et suscitait des poèmes épiques en six chants. La
u un opéra – sont orthographiés avec majuscule (p. ex. « Tricotées de
Paris
»). En revanche, les noms communs qui désignent l
G. Noverre, art. « Bras », Encyclopédie méthodique. Arts académiques,
Paris
, Panckoucke, Liège, Plomteux, 1786, p. 376.] (a
G. Noverre, art. « Bras », Encyclopédie méthodique. Arts académiques,
Paris
, Panckoucke, Liège, Plomteux, 1786, p. 374-375.]
vue embrasse, de là, un des plus beaux points de vue des environs de
Paris
. La vue que l’on a de l’Observatoire de Flammario
ier 1908, le maître de Meudon. « Toutes les villes où elle a passé et
Paris
lui sont redevables des émotions les plus pures ;
les accepta, se mettant ainsi dans l’impossibilité d’être de retour à
Paris
pour le 15 août, qui lui avait été fixé comme « t
ional de Bunker-Hill. Pressée de nouveau par Léon Pillet de rentrer à
Paris
, elle négocia, obtint un sursis, alla visiter le
t une réception chaleureuse à la brillante pensionnaire de l’Opéra de
Paris
. Le 11 mai 1841, après le spectacle donné au béné
t ainsi leur toilette qui, au dire du marchand, venait directement de
Paris
. Dans la salle les tons rutilants des étoffes éta
ler. Ils ne se seraient pas permis de discuter un talent proclamé par
Paris
. Leurs journaux, qui s’inspiraient de ceux d’Euro
e de sympathie. « Dans toutes les grandes villes d’Europe, à Londres,
Paris
, Berlin et Vienne, des ressources permanentes ont
tre ces Béotiens du Nouveau-Monde et le public si fin, si cultivé, de
Paris
! Sa pensée revenait sans cesse vers la France, s
endie dévorait une grande partie de Hambourg. Sur le chemin de fer de
Paris
à Versailles se produisait un accident effroyable
e récit de cette mort soudaine et brutale la bouleversa profondément.
Paris
, son cher Paris, était maintenant pour elle le Pa
mort soudaine et brutale la bouleversa profondément. Paris, son cher
Paris
, était maintenant pour elle le Paradis perdu. L’e
oire des Œuvres de Théophile Gautier, par de Spoelberch de Lovenjoul,
Paris
, 1887, t. II. 138. Le Siècle, 28 juillet 1840.
ention du marquis de Sourdéac, a été adoptée par tous les théâtres de
Paris
. Elle est fort simple, et l’exécution en est auss
sort de toutes les autres, par la sage administration de la ville de
Paris
, chargée désormais de ce magnifique spectacle. Vo
par la cinquième, selon l’état de la scène. Au théâtre de l’Opéra de
Paris
, il n’y a que six coulisses ou châssis de chaque
c’est de-là qu’elle a pris son nom. La ferme au théâtre de l’Opéra de
Paris
, se place pour l’ordinaire après le sixième châss
ompliments ont dû voir que je ne demandais pas mieux que de revenir à
Paris
sous deux mois au plus tard pour contribuer avec
ont le droit d’établir leurs productions sur le théâtre de l’Opéra de
Paris
, quel est l’homme à talent qui voudra rester atta
is de mai. J’aimerais pourtant bien aussi venir faire un petit tour à
Paris
. Je verrai s’il n’y a pas moyen d’arranger cela.
ments le long des notaires de province et des « bons jeunes gens » de
Paris
, — soit un lieu où l’on « fasse des mots » comme
qu’elle espère y danser elle-même le jour où elle quittera l’Opéra de
Paris
. De l’Asie, de l’Afrique, elle ne sait rien ; ell
de musique et de danse, ces superbes créatures, — racolées à travers
Paris
, dans l’atelier, dans le bastringue, à même la bo
t de leurs économies, de ci, de là, à la campagne, et d’autres qui, à
Paris
, dans des immeubles de rapport, jouissent du sort
le Roi fit une Mascarade de Sorciers, et alla voir les compagnies de
Paris
. Il fut sur la Présidente Saint-André, sur Zamet
x. Ce danseur ne réussira entièrement que dans les pas de Mercure, de
Paris
, de Zéphire, d’un Faune, et dans la danse, et dan
s l’exécution des vrais principes de l’art. Dans l’un des journaux de
Paris
qui parlait de mes débuts à l’Académie royale de
ion à la place de maître des ballets de l’opéra, Télémaque, Psiché et
Paris
. Ces trois ballets ont obtenu le plus brillant su
; ma réponse sera courte, j’habite une petite ville a cinq lieues de
Paris
; à mon âge on se déplace difficilement. Je vais
ccupé mademoiselle Bourgoin, de la Comédie-Française. A cette époque,
Paris
singeait Athènes et Rome, et le boudoir des court
ait épousé Boïeldieu ; elle se retira du théâtre en 1819, et mourut à
Paris
, en 1822, dans l’aisance, — mais dans l’oubli.
les-Saint-Thomas lui accorda la sépulture chrétienne. L’archevêque de
Paris
donna raison à ce dernier en infligeant au premie
ur l’Opéra. L’amant délaissé se vengea par un couplet qui courut tout
Paris
sur le vaudeville de circonstance : A soixante an
dit à la police ; mais la police déclara qu’il ne se commettait pas à
Paris
un seul enlèvement sans sa permission, et qu’elle
nnées plus tard, lady H…, qui tenait la tête de la colonie anglaise à
Paris
, mourut, laissant libre une dame de compagnie ren
s. L’avenir s’offrait à elle sous de riantes couleurs ; elle revint à
Paris
; mais elle n’y revint pas seule : elle rapportai
zo du grand canal de Venise et sa villa du lac de Côme pour revoir ce
Paris
qu’on n’oublie jamais et qu’on regrette toujours.
he, dans le tems qu’il étoit Vice-Roi des Pays-Bas, qui vint exprès à
Paris
, pour voir incognito danser Marguerite de Valois
our pour sortir, sans coup férir. Cette histoire fit grand bruit dans
Paris
, le Roi la sçut ; & sans la faveur, il eût en
reize Cantons avoient envoyé un très-grand nombre de Bourguemestres à
Paris
, pour renouveler leurs alliances ; ce qui se fait
onds dans ce tems-là pour survenir à cette dépense ; le Gouverneur de
Paris
, le Prevôt des Marchands & les Echevins s’avi
Notre-Dame pour rendre graces à Dieu de sa guérison, le Gouverneur de
Paris
& le Prevôt des Marchands allerent prier le R
ient servis, lises : ne leur avoient servi. 217. 18. Parisa, lises :
Paris
. id. 28. des hommes, lisés : des honneurs. 219. 6
-dire, Le Ballet du Roi notre Sire, Qui sous son Règne glorieux, Dans
Paris
et maints autres lieux, Fait refleurir par excell
it en coupant la balle, on en la prenant de volée. Masson, paumier de
Paris
pouvoit servir de modèle à ses confrères par la m
fisantes ou développement de mes idées. Dans le ballet du jugement de
Paris
j’ai eu recours à un épisode qui fut d’autant plu
us de clarté dans le sujet et prêtoit à l’action de nerveux ressorts.
Paris
donne la pomme à Vénus. Je dois travailler pour l
ravailler pour le public instruit et pour le public qui ne l’est pas.
Paris
est indéterminé ; l’Amour le presse, Vénus l’enga
einture ; l’Amour ses flèches et son carquois ; cette Déessé promet à
Paris
des plaisirs et la possession de la beauté la plu
Hélène : Voici l’Episode. Le buste de cette Princesse est présenté a
Paris
par les Graces et par les Amours ; frappé de la b
chans des Graces présentent le buste d’Helène ; l’Amour semble dire à
Paris
, regarde la, comme elle est belle ! C’est l’image
iale assez médiocre, mais Brichanteau a été de tout temps fasciné par
Paris
, la ville tentaculaire, dispensatrice de gloire.
ice de gloire. Pourquoi faut-il qu’il soit si facile de se produire à
Paris
quand on vient de n’importe où ? Cependant un art
ieur, Bien des gens s’imaginent qu’on ne peut être grand Auteur qu’à
Paris
; vous êtes la preuve du contraire. Le génie est
n peut, je crois, comparer à nos Lekin, malgré l’enthousiasme de tout
Paris
; cet Acteur si admirable & si naturel, doit
ble la Pantomime que je vous envoie. Depuis six mois, je cours tout
Paris
, afin de la lire de cercle en cercle, de société
ant vanté a paru en effet sous le titre de l’Art du Théâtre, &c. (
Paris
, Cailleau). Il n’a pas eu tout le succès qu’on lu
inq mois de la belle saison, il en profitoit et faisoit des voyages à
Paris
, en Allemagne, et en Italie ; et lorsqu’il partoi
parfait que Mademoiselle Dangeville. Dans un autre voyage qu’il fit à
Paris
, il fut étonné de voir Lisette et Marton métamorp
autres grands valets de son emploi ; d’après l’aveu des comédiens de
Paris
qui méprisoient ceux de la province, Garick fut s
mand, et il disoit qu’il étoit bien étrange que l’on n’eût pas fixé à
Paris
, par les plus grands avantages, cet acteur, vraim
Mauri. — Chez elle. — Croquis pris au vol. — En Espagne. — Arrivée à
Paris
. — Commencements difficiles. — Etudes. — Succès.
it là-bas, à Burgos ou à Séville, — et voyez-vous tout un quartier de
Paris
encombré d’amoureux, de guitares et de sérénades
ment manifestée. L’année suivante, le père et l’enfant débarquaient à
Paris
, hôtel de Saragosse, rue Lafayette. On avait là,
et j’ai débuté là-bas dans un ballet intitulé : Le Songe du Vizir. A
Paris
, je me suis produite dans le divertissement de Po
rimée. Ces perruques ont passé de la ville à l’opéra. Les habitans de
Paris
ayant adopté ces éxtravagantes mascarades, sont a
leur que de vérité qu’il ne m’a pas été possible pendant mon séjour à
Paris
de subordonner aucun premier sujet aux lois sages
et l’homme de goût qui vouloit être transporté à deux mille lieues de
Paris
est tout étonné de se trouver dans l’eglise de St
le faire croire pour quelques instants que tu n’as pas encore quitté
Paris
, la ville de joie ! C’était un bal de nuit, la fê
es gens consciencieux. Mais trop souvent il en est qui font faillite.
Paris
est plein de gens qui n’ont pas encore payé leur
Ce palais de la chorégraphie fantaisiste et du langage élégant ? Tout
Paris
y va. Nonobstant je vais me permettre d’en donner
pas plutôt une glace ? Alida , le regardant. Monsieur n’habite pas
Paris
? L’ami. Pourquoi me demandez-vous cela ? Ali
anda de revenir. Un jour, le conservateur du musée de Bucarest vint à
Paris
, et un ami commun me l’amena. Entre autres choses
l dit à son visiteur de venir le voir chaque fois qu’il passerait par
Paris
. En m’en allant, je dus promettre de revenir bien
ouviendrai toujours, et avec quelle joie, de ma 600e représentation à
Paris
. J’étais alors au théâtre de l’Athénée. La salle
’un roi de l’industrie internationale et des plus connus aussi bien à
Paris
, qu’à Saint-Pétersbourg ou à Vienne. Tout de suit
des Chanoines de l’Eglise Royale & Collégiale de Ste Opportune à
Paris
, Prieur-Seigneur de l’Hôpital, &c. Censeur Ro
ges, les douceurs, les délices de la Société. Un simple particulier à
Paris
, qui sait unir le goût à l’opulence, est le maîtr
’une bonne renommée. Le Fils, dis-je, d’un pareil ministre, n’avait à
Paris
, que la moitié d’un mauvais lit de deux pieds, qu
ation de leurs filles, et l’on ne seroit pas embarrassé de trouver, à
Paris
seulement, vingt mille personnes des deux sexes,
s est un type qui tend à se généraliser. Il y a deux mille Lorettes à
Paris
qui disent être filles de colonels de la grande a
sonne… A ce sujet, voici ce qui arriva à une Lorette très-connue dans
Paris
. Au moment de quitter Paris pour une excursion, e
qui arriva à une Lorette très-connue dans Paris. Au moment de quitter
Paris
pour une excursion, elle anticipe sur les pensées
lune… enfin, comme les peintres, elle fait son paysage sans sortir de
Paris
; elle a déjà répété cinq fois : Il est minuit, j
voiture de la Lorette s’étant brisée à la barrière, la dame revient à
Paris
, et, sans rentrer chez elle, va au spectacle. La
ille des environs de Vendôme, arrachée au chalet de son père, vient à
Paris
, et, après quelques transformations, est reçue et
dar moscovite, et qu’avant de partir elle déposait chez un notaire de
Paris
100,000 francs, monnaie de France, que le parrain
ent la carte du menu quotidien ; elle a les meilleurs fournisseurs de
Paris
, un sommelier du roi lui donne du vin en contreba
l y a là-haut un mécanicien qui entend joliment son affaire. Il y a à
Paris
trois jolies Lorettes : Lorettes d’élite, Lorette
ent pas à un degré égal beaucoup de dames non lorettes. De nos jours,
Paris
est une atmosphère au tabac. Ceci est incontestab
de la Lorette où la misanthropie la pousse à fuir tous les hommes… de
Paris
; elle croit que le paradis terrestre avec ses an
t en émoi les habitants du château. Une révolution venait d’éclater à
Paris
; le trône était renversé, Charles X prenait le c
il fallait empêcher les journaux de faire connaître les événements de
Paris
, il fallait réprimer tout mouvement libéral en Au
st que, la veille du jour où arrivaient à Kœnigswart les nouvelles de
Paris
, il avait reçu de Fanny une lettre contenant des
e fée, l’ouvrage est gracieux comme s’il arrivait à l’instant même de
Paris
; c’est ingénieux, et il n’y a qu’un caractère to
qui avait renseigné les hommes d’Etat anglais, rédigé les traités de
Paris
et les résolutions de Carlsbad, envoyé des instru
éditée en France à tel point que, lorsque cette année-là Fanny vint à
Paris
, les bonapartistes concertèrent une manifestation
sont confirmées par celles de Fanny elle-même. Lorsqu’à son arrivée à
Paris
les journaux célébrèrent en elle la fée qui avait
voir à quoi s’en tenir. Il écrit, dans ses Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
: « Le bruit se répandit par quelques journaux al
ur elle n’était qu’un conte fait à plaisir22. » Pendant son séjour à
Paris
, Fanny se lia d’amitié avec Mme de Mirbel, miniat
m Herzog von Reichstadt. 22. Dr L. Véron. Mémoires d’un Bourgeois de
Paris
, Paris, Librairie Nouvelle, 1856, t. III, p. 183.
g von Reichstadt. 22. Dr L. Véron. Mémoires d’un Bourgeois de Paris,
Paris
, Librairie Nouvelle, 1856, t. III, p. 183. 23. L
Soleil de Perse. — Pendant une des visites que le Shah de Perse fit à
Paris
, le marquis et la marquise d’Oyley, qui étaient d
Fuller. Je vous ai applaudie bien des fois. J’ai fait mon éducation à
Paris
. Je ne pus retenir un cri : — Mon Dieu ! Alors, v
que le Roi et la Reine d’Angleterre allaient passer quelques jours à
Paris
. Je dansais alors à l’Hippodrome et, en me souven
ctions américaines étaient incombustibles. — C’est ce qu’on raconte à
Paris
, mais ces sortes de maisons sont tout à fait rare
e à très petits bords, un de ces chapeaux de paille dits américains à
Paris
, et comme on n’en avait jamais porté en Amérique
rait trouvée tout à fait bien que si elle eût ressemblé tout à fait à
Paris
. Ne ressemblait-il pas en cela, lui-même, après t
overre, art. « Courante », Encyclopédie méthodique. Arts académiques,
Paris
, Panckoucke, Liège, Plomteux, 1786, p. 414 ; voir
ne manière Qui n’est pas toujours coutumière, Il est très certain que
Paris
, Séjour des plaisirs et des ris, Est rempli de ré
a ces derniers, mais il eût lieu de s’en repentir. Un pantomime nommé
Paris
eût l’audace de souiller le lit de cet Empereur.
a de nouveau l’arrêt de bannissement, répudia sa femme, fit massacrer
Paris
, et assassiner son éleve, parceque ses traits avo
te l’envolée de ces charmantes créatures, les amours et le plaisir du
Paris
de ce temps-là, qui étaient la lumière, le mouvem
llevois et Carabin : celle-ci, la femme qui sait le mieux recevoir de
Paris
, — un de ses bals a assez fait de tapage dans Lan
ir au Théâtre. À l’Ouverture, on est surpris De voir le Quartier de
Paris
, Le plus riant qui s’y découvre, Savoir le beau Q
ntenant à l’Opéra. L’établissement d’une Académie royale de musique à
Paris
date du seizième siècle. Jean-Antoine Baïf, né à
aire, mais elle a un immense avantage sur toutes les autres salles de
Paris
: elle est très-sonore. Nous ne sommes plus au fo
e. Or les Comédiens de Province n’ont-ils pas la liberté de débuter à
Paris
& d’y jouer trois Rôles différents & à le
tribué long-temps aux plaisirs d’un Public aussi éclairé que celui de
Paris
, est & sera toujours cher à celui qui aime &a
-mêmes. Les productions ingénieuses que la Danse enfante si souvent à
Paris
& dont ils auroient pu donner au moins quelqu
eptibles de plaisanterie et de gaieté ; comme les Ballets des cris de
Paris
, des passe-temps du Carnaval. La division ordinai
Conclusion Après que Fanny Elssler eut quitté
Paris
, les grandes traditions de la danse furent contin
etc. Les sujets fabuleux sont pris de la fable, comme le jugement de
Paris
, les noces de Thétis et Pelée, la naissance de Vé
aines choses ordinaires. De ce nombre étaient les ballets des cris de
Paris
, de la foire Saint-Germain, des passe-temps, du c
nse n’y fut plus qu’en sous-ordre. Ce fut en 1671, qu’on représenta à
Paris
les Fêtes de Bacchus et de l’Amour, cette nouveau
Idée des spectacles anciens et nouveaux de l’abbé de Pure, imprimé à
Paris
en 1667. Voyez Ballet. (B) Danse Danse, s.
en foule à la Foire. Il arriva pour lors à Rome, ce qui arriverait à
Paris
dans un cas semblable. La multitude discuta les A
La Danse n’y fut qu’en sous-ordre. Ce fut en 1671 qu’on représenta à
Paris
les Fêtes de Bacchus et de l’Amour 137. Cette nou
révalu cette fois sur la justesse ordinaire des Spectateurs ; et tout
Paris
n’a applaudi dans cette occasion qu’un contresens
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