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1 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7
Question d’un homme de lettres sur la musique. Est-ce en France ou en Italie que l’on aime le mieux la musique ?
es gens aisés ou riches cultiver cet art, au moins comme amateurs. En France , l’étude de la musique est si générale, que des a
instrumentale y est souvent négligée, je veux dire moins estimée. En France , le chant proprement dit, la symphonie, la partie
ne grave que rarement les partitions même des plus grands maitres. En France , on grave tout ; tout se conserve, et au bout de
de Piccini. Les ouvrages s’y succèdent et s’effacent tour à tour. En France on joue un opéra aussi long-tems que le public le
ve que les poëmes de leurs opéras, en exceptant le seul Métastase. En France , on pardonne à la musique d’être vraie, analogue
et de style différens, pour composer ce qu’on nomme un pasticcio. En France , on respecte assez le talent et le style de chaqu
l’on jase comme dans une place publique, ou dans un café bruyant. En France , on écoute tout avec attention, plaisir ou patien
2 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
J’ai réfléchi profondément, Monsieur, sur votre question : Est-ce en France ou en Italie que l’on aime le mieux la musique ?
t point trompé soi-même. Sans doute, votre prévention en faveur de la France , ne peut avoir qu’un motif louable, l’amour de la
iré qu’à Paris ; et que les paroles n’y sont pas plus négligées qu’en France , ou le plus bel opéra ne se soutient que par la p
ent par les cinq voyelles. Pauvres poëtes, comme on vous arrange ! En France , dites-vous, on grave tout ; tant pis, Monsieur ;
grave tout ; tant pis, Monsieur ; n’auriez-vous pas pu ajouter qu’en France on imprime tout : c’est encore une folie ; la sot
par les vendre à la livre. Il en est de même de l’imprimerie ; car en France on imprime tout, comme on grave tout. C’est bien
u’on imprimât tous ces opéras. Nous n’en donnons que deux ou trois en France par an ; on les grave. Reste à savoir, s’ils en m
s grave. Reste à savoir, s’ils en méritent la peine et la dépense. En France , dîtes-vous, on joue un opéra autant que le publi
3 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France , depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 Les Tournois
usels, ces Fêtes guerrières et magnifiques avaient causé à la cour de France en l’année 1559 un événement trop tragique, pour
ontemporain les détails que je vais écrire. [Voir Fêtes de la Cour de France ] « Le Lundi dix-huit Septembre 1581, le Duc de J
ne, Princesses et Dames tant richement vêtues, qu’il n’est mémoire en France d’avoir vu chose si somptueuse. Les habillements
tura remansit. Il change en vain ; il est le même. Ainsi la Cour de France troublée par la mauvaise politique de la Reine, d
rt d’Henri II jusqu’en l’année 1612 il n’y eut que quatre Tournois en France  ; le premier à Orléans en 1560 où Henri de Bourbo
avec l’Infante d’Espagne, et du Roi Philippe avec la seconde Fille de France . Le nombre des Mascarades et des Ballets qui fure
eur de ce ballet ; c’est un mensonge grossier. Nous datons de loin en France pour les vols Littéraires. 95. Journal d’Henri I
4 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France , depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 On p
qu’en lui substituant un défaut contraire. [Voir Fêtes de la Cour de France ] Aussi ne cessa-t-on d’être triste à la Cour de L
ne avait proposé au Cardinal de Savoie, qui était pour lors chargé en France des négociations de sa Cour, de donner au Roi une
ontagnards, pour divertir une Cour aussi polie que l’était la Cour de France . On dit au Cardinal de Savoie les propos courants
ns un genre, que les Français avaient gâté. [Voir Fêtes de la Cour de France ] Le Cardinal de Richelieu portait dans tout ce qu
l le 7 Février 1641 : il eut pour titre La Prospérité des Armes de la France . On en publia le sujet avec cet avertissement amp
ttaquent et les forcent. La Fortune les suit, portant les Armes de la France , et fait la quatrième Entrée. Aussitôt, et sans a
matière) que le sujet de ce ballet est La Prospérité des Armes de la France , je cherche ce sujet dans les entrées des Tritons
ute leur haine, ils étaient forcés d’admirer. C’est faire beaucoup en France pour un Art, que de lui donner aux yeux de la mul
5 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
de la Comédie ; la Tragédie, que Pierre Corneille n’avait trouvée en France qu’à son berceau, s’élevait rapidement dans ses m
ontinuelles, qu’on avait véritablement envie de rendre éclatantes. La France sera toujours un terroir fertile en talents, lors
’Europe vêtue en Reine en sortit la première suivie de ses filles, la France , l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, et la Grèce. L
avait trois Pages caractérisés par les habits de leurs provinces. La France menait avec elle un Basque, un Bas-Breton, un Ara
rties isolées et sans choix du Ballet des prospérités des armes de la France , et on aura une idée juste des effets divers que
6 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136
ar sa barbarie, fument encore. Les torrens de sang dont il innonda la France ne sont point taris ; le tems n’a pu effacer celu
reviens à mon sujet. Le but de toutes les fêtes qui fûrent données en France , depuis la mort de Louis XIV, fut toujours manqué
ur célébrer un événement qui fixera le bonheur et la prospérité et la France , tel que celui d’une paix générale, il faut alors
e triomphes, qui la donne. Il faut que les talens qui embellissent la France , y déployent à l’envi tous les trésors des arts q
, enfin que les calamités les plus effrayantes n’ont pu, enlever à la France cette troupe d’artistes célèbres, qui, dans les b
qui, font fleurir et prospérer l’agriculture, première richesse de la France , source intarissable du bonheur, de la sécurité e
7 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
e Bouffons. La Reine Catherine de Médicis porta ce genre à la Cour de France , et ne l’y fit servir qu’à une espèce de manège d
dant le cours de l’ambassade de Lazare Baïf son père, et de retour en France après sa mort, y fit pour la Musique les mêmes te
al Riari un Léon X ; et à Baïf un Louis XIV. [Voir Fête de la Cour de France ] Pour qu’un bel établissement soit goûté, s’achèv
8 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
hapitre IX. Du Ballet Moderne Lors de l’Établissement de l’Opéra en France , on conserva le fond du grand Ballet dont on fit
on des grands Ballets. La disette des sujets était alors si grande en France , que notre Opéra fut exécuté pendant plus de dix
essemblé aux Opéras de Quinault. Ce genre appartient tout à fait à la France . Les Grecs, les Romains n’eurent aucun Spectacle
ns heureuses de se développer, si ces deux Arts avaient fait alors en France des progrès proportionnés à ceux de tous les autr
9 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « A Monseigneur le duc de Rets, pair de France, et capitaine des gardes du corps. » pp. -
A Monseigneur le duc de Rets,pair de France ,et capitaine des gardes du corps. MONSEIGNEUR
ualitez qui vous font estimer & aimer personnellement de toute la France . Dans le désir ardent que j’ai toujours eu de v
10 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre i. sur les fêtes nationales. » pp. 109-115
rofondément sentir sa misère ; mais je n’ai pas encore vu de fêtes en France , où la moralité fut unie au plaisir, où la décenc
s de toutes les parties de l’Europe, apportoient beaucoup d’argent en France  ; mais l’orgueil national étoit seul satisfait. R
e, il traceroit cette fête mémorable et unique, qui enchaînerait à la France l’admiration de toutes les nations. C’est à cette
déployer toutes leurs richesses, et de prouver à l’Europe, que si la France est la patrie des héros, elle est encore celle du
11 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
L’Électeur de Bavière, le Prince Emanuel de Portugal vinrent alors en France , et ils prirent le ton qu’ils trouvèrent établi.
son amour pour nos rois ou pour célébrer les événements glorieux à la France . Dans ces circonstances les Illuminations, les Fe
astes l’honorent. Lorsque les Suisses furent sur le point de venir en France , pendant le règne de Henri IV pour renouveler leu
12 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 La Minorité de Louis XIV fut en France l’aurore du goût et des beaux Arts. Soit que l’es
enir prodiguer sa voix sur un théâtre, etc. [Voir Fêtes de la Cour de France ] Je ne m’étendrai point sur les Fêtes trop connu
ues de ce Règne éclatant. On sait, dans les Royaumes voisins comme en France , qu’il est l’époque de la grandeur de cet État, d
’injure de Benserade par une autre. [Voir Ballet, Fêtes de la Cour de France ] Les Poètes, les gens de Lettres, les Artistes ne
13 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Privilege du roy. » pp. -
és mains de notre tres-cher & féal Chevalier Garde des Sceaux de France le sieur Fleuriau d’Armenonville, & qu’il en
ans celle de notre tres-cher & féal Chevalier Garde des Sceaux de France le sieur Fleuriau d’Armenonville ; le tout à pein
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
flatté, Comme on les tient, en cas de danse, Des mieux entendus de la France , Chacun d’eux, en ce beau Talent, Parut, tout à f
ent Ce rare Divertissement, Que Saint-Aignan, illustre Comte, Dont la France cent biens raconte, A très agréablement inventé P
15 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -
qu’à la naissance des Opera. Lully, Italien de Nation, étant venu en France à l’âge de neuf ans ; y appris la Musique : &
en quelque façon sa Patrie, & fit si bien par ses travaux que la France triompha sans peine & pour toûjours de l’Ital
t des Airs caracterisez pour la Danse, il fit choix de tout ce que la France avoit de plus habiles Danseurs. Beauchamp qui éto
ur sa reputation, mais qui auroit encore pû augmenter la gloire de la France par les nouveaux ouvrages, qu’il étoit en état de
16 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
l-de-ville, le 8 Septembre 1745, après les mémorables victoires de la France . Le cérémonial de tous ces festins est toujours l
u-dessous et sur l’entablement du premier ordre, étaient les armes de France et de Navarre, soutenues par des génies aux deux
la fête de Bergonce de Botta ; et Catherine de Médicis en portant en France le germe des beaux-arts qu’elle avait vu renaître
e ; plusieurs autres princes étrangers, étaient accourus à la cour de France , qui était aussi magnifique que nombreuse. La rei
’Europe vêtue en reine en sortit la première suivie de ses filles, la France , l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, et la Grèce :
avait trois pages caractérisés par les habits de leurs provinces. La France menait avec elle un Basque, un Bas-Breton ; l’Esp
qui les causent. Voyez Fêtes de la Cour, de la Ville, des Princes de France , etc. Festins royaux, Illuminations [Article non
[Article non rédigé], etc. Feu d’Artifice.(B) Fêtes de la Cour de France Fêtes de la Cour de France. Les tournois et l
d’Artifice.(B) Fêtes de la Cour de France Fêtes de la Cour de France . Les tournois et les carrousels, ces fêtes guerri
ls, ces fêtes guerrières et magnifiques, avaient produit à la cour de France en l’année 1559 un événement trop tragique pour q
e, princesses, et dames tant richement vêtues, qu’il n’est mémoire en France d’avoir vu chose si somptueuse. Les habillements
historique, IIe partie, livre II, chap. 2, « Des Fêtes de la Cour de France , depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »] Le triomph
natura remansit ; Il change en vain, il est le même. Ainsi la cour de France , troublée par la mauvaise politique de la reine,
re III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France , depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »] Il
s XIII et le ministère du plus grand génie qui ait jamais gouverné la France , n’offrent rien sur cet article, qui mérite d’êtr
ne avait proposé au cardinal de Savoie, qui était pour lors chargé en France des négociations de sa cour, de donner au roi une
ontagnards, pour divertir une cour aussi polie que l’était la cour de France . On dit au cardinal de Savoie les propos courants
re III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France , depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »] Ce
Mais cette nuit et ses sombres nuages ne faisaient que préparer à la France ses plus beaux jours, et la minorité de Louis XIV
es de ce règne éclatant ; on sait dans les royaumes voisins, comme en France , qu’elles furent l’époque de la grandeur de cet é
règne florissant de Louis XIV. Voyez Fêtes des Princes de la Cour de France , etc. Elle s’est ainsi soutenue dans toutes les
ent à la cour l’homme aimable du siècle, aux Arts un protecteur, à la France un général. En attendant ces temps de trouble, où
belle, la plus élégante, la plus commode salle de spectacle, dont la France eût encore joui. Le théâtre était vaste ; le cadr
ement et avec dignité les chefs-d’œuvre immortels qui ont illustré la France , autant que l’étendue de son pouvoir, et plus, pe
la plus noble et de la plus puissante musique, assemblage nouveau en France de grandes images et de tableaux ridicules, ouvra
allet de La Félicité, allégorie ingénieuse de celle dont jouissait la France , parut ensuite sous l’administration de M. le duc
r hérité du secret de ce magistrat célèbre. Voyez Fêtes de la Cour de France . Bal de la ville de Paris, donné dans son hôtel l
servir, et le défendre. (B) Fêtes des grandes Villes du Royaume de France Fêtes des grandes Villes du Royaume de France
illes du Royaume de France Fêtes des grandes Villes du Royaume de France . C’est ici qu’on doit craindre les dangers d’une
montrer leur adresse et leur amour. On trouverait dans le cœur de la France , sous les yeux toujours ouverts de nos Parlements
ante pieds de hauteur, au-dessus duquel étaient accolées les armes de France et celles d’Espagne, soutenues par deux dauphins,
tendant de Guyenne prévoyant le passage de l’auguste princesse que la France attendait, fit au travers de ces landes aligner e
étendard de 27 pieds de hauteur sur 36 de largeur, avec les armes de France et d’Espagne. Les entre-pilastres au pourtour éta
ient les emblèmes suivants. Dans l’un, vers la campagne, on voyait la France tenant d’une main une fleur-de-lis, et de l’autre
e à l’antique, avec un diadème sur la tête et un écusson des armes de France à ses pieds. L’Espagne était à la gauche, en habi
rnelle ; dans l’exergue était écrit, Hispania, Gallia ; l’Espagne, la France . Dans l’autre, aussi vers la campagne, la ville d
ux lions, couronnée de tours, tenant dans sa main droite les armes de France , et dans sa gauche une tige de lis. Pour légende,
et bronze, richement orné de peintures et dorures, avec les armes de France et d’Espagne accompagnées de plusieurs trophées e
llies étaient d’une élégante proportion. Quatre écussons aux armes de France et d’Espagne étaient posés aux quatre clés des ci
le dossier étaient ornés dans leurs milieux des écussons des armes de France et d’Espagne, d’une magnifique broderie en or et
te de guirlandes de fleurs semblables, et on y avait mis les armes de France et d’Espagne, et de Monseigneur le Dauphin, celle
ronton et le tympan enrichi de sculpture, représentaient les armes de France et d’Espagne ornées de festons : le tout en génér
me de la gauche représentait deux amours qui soutenaient les armes de France et d’Espagne, avec ces mots, propagini imperii ga
20 pieds de hauteur, sur 30 pieds de largeur, où étaient les armes de France et d’Espagne. Cette colonne était feinte de marbr
n ; la poupe décorée sur toute la hauteur et la largeur, des armes de France et d’Espagne, avec une grande couronne en relief 
ief ; les bouteilles étaient en forme de grands écussons aux armes de France , dont les trois fleurs-de-lis étaient d’or sur un
sait embellir les efforts de la richesse. (B) Fêtes des Princes de France Fêtes des Princes de France. Nos princes, dan
richesse. (B) Fêtes des Princes de France Fêtes des Princes de France . Nos princes, dans les circonstances du bonheur d
ux heures par la meute du Roi ; le comte de Toulouse, grand veneur de France , en habit uniforme, piquant à la tête. S. M. parc
ite à tous égards d’être mieux connue, et qui rappellera à la cour de France le souvenir d’une aimable princesse, qui en était
sandis, je meurs de faim ; on vit donc de l’air à la cour des rois de France ? A ces deux originaux, en succédèrent quelques au
ents, des contrastes du feu artificiel : pourquoi, dans le sein de la France , ne pourrions-nous pas, en adoptant tout ce que c
diamètre, sur 70 de haut, en y comprenant les étendards aux armes de France et d’Espagne, qu’on y avait arborés à un petit mâ
l’honneur du très auguste et très heureux mariage de Louis dauphin de France , et de Marie-Thérèse infante d’Espagne.
17 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 31 août : Ballet de L’Arc-en-ciel Fils du Soleil , accompagnant la tragédie de collège La Mort des Enfants de Säul — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 3 septembre 1661 »
t dansés, Se trouvant, illec, d’assurance, Un des adroits Danseurs de France .20 19. La Mort des Enfants de Saül. 20. Le s
18 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
les aux Italiens pour l’invention ; Perrin en 1659 la mit en usage en France  : mais l’on sçait aussi que les Italiens n’ont im
omposé en trois actes, comme nous l’avons vû quelquefois pratiquer en France depuis le régne de François premier. En 1582 il f
norité de Louis XIV. on fit un Balet de la prospérité des armes de la France , dans lequel le Roi devoit danser masqué avec tou
cle précédent ; sans parler de ceux qui se sont faits de nos jours en France depuis l’établissement de l’Opéra, dont ceux de l
viron l’an 1450, jusqu’en 1723. Balet des prosperitez des armes de la France . L’Autel de Lyon, consacré à Auguste. Les destiné
quinziéme siécle, la composition des Balets n’étoit guéres connue en France  ; il y avoit peu d’imagination en la plûpart de c
rt beaux, à l’imitation des Italiens : ce qui donna lieu à la Cour de France de danser dans quelques-uns, ce qu’on n’avoit poi
partie de sa Cour en 1654, en faveur de la prospérité des armes de la France . Celui des amours déguisez, qu’on appela par exce
d’Angleterre ; & attendu qu’elle avoit passé la mer pour venir en France , le sujet fut la naissance de Venus, par rapport
ouvrit, l’Europe en sortit vêtue en Reine avec cinq de ses filles, la France , l’Espagne, l’Allemagne, l’Italie & la Gréce,
& Archéloüs : chaque Princesse avoit trois Pages à sa suite ; la France , un Basque, un Bas-Breton & un Lorrain ; l’Es
19 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre IV. État actuel de la Danse Théâtrale en France »
Chapitre IV. État actuel de la Danse Théâtrale en France Le personnage le plus recommandable de la Chine
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
ement, Où Beauchamp, Danseur d’importance, L’un des plus dispos de la France , (Et l’incomparable, dit-on,) Représentant du Die
21 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Avx cavaliers et avx dames, par luy mesme. »
amp; les enseignemens, Dont Lauze a bien huré l’Angleterre & la France .   Les Dames y verront parmi leurs pas diuers
22 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 10 juillet 1661 »
Loret, lettre du 10 juillet 1661 […] Dans cette Noble Cour de France , Abondance en réjouissance, On prépare un Ballet
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — La Muse Dauphine à Monseigneur le Dauphin d’Adrien Perdou Subligny — Subligny, seconde semaine, lettre du 17 février 1667 »
gens d’épée, Pour venger un objet digne de mille Autels, Et de qui la France est charmée ! Ah ! cruel Édit des Duels !
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — Juillet : Ballets des comédiens espagnols à Paris — La Muse historique de Loret — Loret, lettre du 24 juillet 1660 »
t venus, de si loin, Avecque Comédie et danse, Donner du plaisir à la France .
25 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 janvier : Les Amours de Jupiter et de Sémélé — Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de La Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 17 janvier 1666 »
’honneur De l’honorer de leur présence, Avecque les plus Grands de la France . À moi, qui l’aime dessus tous, Il m’en coûta jus
26 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
la danse, IIe partie, livre I, chap. VI : « Des Ballets Moraux »]. En France , en Italie, en Angleterre, on a représenté une tr
omme mis à sa place, ou d’un homme oublié. Les ballets représentés en France jusqu’en l’année 1671, furent tous de ce grand ge
our. Les plus célèbres sont le Ballet des Prospérités des armes de la France , dansé peu de temps après la majorité de Louis XI
re III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France , depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »]. Ce
1643 jusqu’en l’année 1672 »] Lors de l’établissement de l’opéra en France , on conserva le fond du grand ballet : mais on en
on vient de parler. La danse figurée, ou la danse simple reprirent en France la place qu’elles avaient occupée sur les théâtre
remière fois des danseuses sur ce théâtre. Quinault qui avait créé en France l’opéra, qui en avait aperçu les principales beau
ourd’hui sur le théâtre lyrique. Ce genre appartient tout à fait à la France , et l’Italie n’a rien qui lui ressemble. On ne ve
es spectacles, forment un ensemble charmant, qui plaît également à la France et aux étrangers. Cependant parmi le grand nombre
27 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
uvre des beaux arts. Enfin après un long intervalle ils trouvèrent en France un azile constant et durable, et une continuité d
l’ambition de fixer les regards du Monarque devinrent universels. La France donna le ton à l’Europe, et son exemple enfanta p
blimité du génie avec autant, de discernement que de magnificence. La France devint le modèle des cours étrangères, et celle d
n’existe plus, l’inconstance et la frivolité ont été naturalisées en France . Depuis longtems on abbat de grands monuments et
mable ; il lui légua Colbert son intendant. Ce legs, en assurant à la France un accroissement de prospérité et de grandeur, pr
es, et sa proposition fut agréée. Il obtint encore celle d’attirer en France deux grands hommes capables d’étendre le cercle a
entière.   Je suis, etc. (1). Ce Ministre qui faisoit honneur à la France , qui avoit rendu a son Roi des services signalés,
28 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Seconde lettre. Sur le même sujet. » pp. 14-18
siteurs et que cet art étale ses chefs-d’œuvre par toute l’Italie. En France , excepté Paris et quelques grandes villes de nos
sans offenser les parties, c’est de convenir que la musique a fait en France des progrès inouis, et qu’on y aime autant cet ar
29 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
rtiments Qu’un Ballet de cette importance, Qu’un Ballet de la Cour de France , Et parfaitement éclairé, Doit avoir pour être ad
uillon, Et qui, dès sa plus tendre enfance, Charmait toute la Cour de France . La jeune Princesse d’Elbeuf, Pour qui, feu Mon
30 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69
n des Balets qu’il nous a donnez depuis l’établissement de l’Opéra en France , & que le sieur Pecourt son éleve a continué
tinguer dans les occasions. Depuis que les Balets ont été rétablis en France , nos Rois, nos Reines & les grands Seigneurs
ls l’ayent emporté sur ceux que nous avons vûs depuis quarante ans en France , & sur les Danseurs & les Danseuses que n
31 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
ses & les danses Sacrées ne laisserent pas de reprendre racine en France  : l’abus s’en trouva si considérable, que les Evê
cette coutume s’est depuis abolie. Limoges n’est pas le seul lieu en France où l’usage de la danse Sacrée subsiste encore, su
e regne de Charles V, l’an 1373, au rapport de Mezeray, qui dit qu’en France le peuple fut attaqué d’une passion maniaque ou p
plus grand en Flandres qu’ailleurs. Cette punition a bien anéanti en France les danses qui se faisoient les Dimanches & l
nos Rois pour la suppression des fêtes & des danses Baladoires en France . ARREST de la Cour de Parlement, portant que co
32 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « A, son altesse royale. Monseigneur. le duc d'Orléans, petit-fils de France. » pp. -
Ason altesse royaleMonseigneurle duc d'Orléans,petit-fils de France . MONSEIGNEUR, Le goût universel que Votre Alt
33 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VI. Des Mascarades »
lle, Passerat, Baïf, Ronsard, Benserade, signalèrent leurs talents en France dans ce genre, qui n’est qu’un abrégé des grands
34 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
qui me regarde, personnellement, je puis dire que Rodin est, avec le maître Anatole France , un des hommes qui, en France, m’ont le plus impr
e que Rodin est, avec le maître Anatole France, un des hommes qui, en France , m’ont le plus impressionnée. Anatole France a bi
35 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 mars. Pour le ballet français. Ballets russes ; ballets français. — Une variation de « Sylvia ». — « Fox-Péri ». — Juliette Péri. »
de Tiberio Fiorillo, le fameux Scaramouche. Fût-ce pour introduire en France la comédie improvisée à l’italienne ? Plutôt pour
tuer une discipline. Se connaître, se restreindre. Puis créer, car la France ayant, dans l’histoire donné à la danse son expre
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
, Plusieurs beaux yeux furent charmés. Maint Prince, Duc et Pair de France , Qui savent aussi bien la danse, Que le Métier de
et qui Peut passer, dans toute croyance, Pour un des beaux Objets de France . La jeune Madame de Foix, Dont chacun dit, à ha
37 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 juin. Le gala Karsavina. »
ussie. Vous avez dansé au profit des intellectuels russes réfugiés en France . À cette tâche généreuse vous étiez appelée. Vous
38 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Table des principaux sujets traités par ordre alphabétique » pp. 121-124
pos, 5. B Bacchanale, 67, 95. Ballets, leur origine, quand connus en France , 7, 39. Bras, 57. C Cadence, 36. Canova, son gén
39 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Preuves de la possibilité de la Danse en action »
ait par-delà les monts dans le bas, ne saurait lui être impossible en France dans le noble ; puisqu’elle y est très supérieure
40 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse moderne »
es de bas comique. Le bon goût semblait avoir banni des spectacles de France ces sortes de caractères, qui y étaient autrefois
e des mœurs. Recueil d’édits, ordonnances et déclarations des Rois de France . (B) Bocane Bocane, s. f. danse grave, ain
anse des brandons ; on exécutait cette danse dans plusieurs villes de France , le premier dimanche de carême, autour des feux q
rt brillante à quatre ; mademoiselle Lany est la première danseuse en France qui l’ait passé au théâtre à six. J’ai entendu da
41 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VI. Des Ballets Moraux »
s galante, qu’ils paraissaient faire partie de l’action théâtrale. En France , en Angleterre, en Italie, on a représenté, dans
42 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre III. Suite du Précédent »
s dansé, et qu’ils se sont le mieux battus. [Voir Fêtes de la Cour de France ] 97. Mém. de Sully. Liv. 1. 98. L’Hiver de 1
43 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre V. Préjugés contre la Danse en Action »
o ? [Voir Entrechat] Ce discours ridicule qu’on a tenu constamment en France , depuis la mort de Lully, en l’appliquant success
44 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 24 février 1663 »
e on aime et l’on honore, À savoir Monsieur de Créqui, Ambassadeur de France , et qui N’avait, à cause de l’absence, Vu ce Ball
45 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
s pour un moment que nous n’avons jamais ouï parler des Spectacles de France , d’Italie, de Rome et d’Athènes. Dépouillons tout
et le ton de dédain dont les critiques du dernier siècle ont écrit en France , des Ouvrages Lyriques de Quinault. Examinons, en
Europe, et qui ne doivent peut-être leur grande réputation120 qu’à la France , où on ne les représente jamais, ce Poète, dis-je
46 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
ns son histoire du Concile de Trente. On ne trouve point de régnes en France où les bals de cérémonie ayent été plus en vogue
autres la Pavanne d’Espagne, le Pazzemeno d’Italie, les Courantes de France , la Bourée, le Passepied, la Sissonne, &c. Ma
desseins, dans toutes les fêtes qu’elle imaginoit. C’est un usage en France , qu’à toutes les occasions des réjouissances publ
rs cramoisi, garnis de grandes crépines d’or, pour placer les Rois de France & d’Angleterre, avec la Reine, Madame de Bour
contre-danses nous vient d’un Maître à danser d’Angleterre, arrivé en France il y a douze ou quinze ans ; elles passent chez c
47 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 27 mai. Les Ballets russes »
ien possible. Jules Perrot, Perrot-l’aérien, le plus grand sauteur de France , n’avait-il pas, avant d’aborder l’Opéra, été tro
48 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
en Espagne, en Portugal, & même encore dans quelques Provinces de France , malgré les défenses de l’Eglise & contre les
e, avec des preceptes pour leur usage, comme je les ai vû observer en France & dans les Cours Etrangeres. Et comme les Ins
49 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VIII. Suites du Vice primitif »
dérivent presque tous du vice primitif. La Danse était au berceau en France lors de l’établissement de l’Opéra : l’habitude,
50 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XII. » pp. 70-72
t point dans le principe déstiné pour l’opéra qui n’existoit point en France . Il fût cédé à Molière en 1660, et ce peintre de
51 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-
t la joie de servir de trait d’union entre deux si claires étoiles de France . Peu de gens savent que Flammarion ne se contente
nature. Le panorama que l’on découvre de là est un des plus beaux de France . Le château, qui date d’avant les projets de Loui
52 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 février 1661 »
irai Que tous ces Danseurs d’importance Sont la Fleur des Danseurs de France  ; Et jusques au petit Dupin, Pas guères plus gran
53 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
n. Ce ne fut qu’au ballet du Triomphe de l’Amour qu’on introduisit en France des danseuses dans les représentations en musique
cle s’est accrue ; depuis enfin que le ballet (genre tout entier à la France , le plus piquant, le plus vif, le plus varié de t
de leur genre, et n’atteignirent à presqu’aucune de leurs beautés. En France , lorsque Corneille et Molière créèrent la tragédi
’une variété agréable soutiendraient réellement? On parle beaucoup en France de l’opéra italien : croit-on le connaître ? Voye
54 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VIII. Témoignages des Païens même contre les Danses. » pp. 99-101
ns d’avoir entendu dire que quelques personnes arrivées depuis peu en France , ayant vu des femmes danser, en furent si effrayé
55 (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268
r que je lui devais doublement dans cette soirée, et j’enviai pour la France la gloire de ressusciter un tel art. Mais elle me
er son École du Grünewald, et qu’elle songerait à la faire émigrer en France , à Paris. Ce serait tant mieux pour nous, mais ta
56 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques »
ons entourés de guirlandes de fleurs, et que dans plusieurs villes de France on plante le premier jour de Mai, au-devant des m
57 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre I. Naissance du Théâtre »
le n’a reparu à sa renaissance que faible et languissante. Devenue en France une partie essentielle d’un nouveau spectacle, qu
58 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pylade chez Roscius. »
Phèdre à Paris est bien l’offrande du jongleur russe à Notre-Dame de France . Quant à moi, en exaltant l’effort de ce théâtre
59 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXV. Des contre-tems du Menuet, & la maniere de les faire. » pp. 104-109
n’est pas de même de plusieurs contre-danses que l’on a introduit en France depuis quelque temps, & qui ne sont pas du go
60 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »
s forcent leurs voix pour le surprendre. On reviendra tôt ou tard, en France , de l’erreur des grandes voix ; mais il faut atte
que l’embellir, et qui quelquefois l’exagère, n’a pas encore porté en France la manie de forcer la voix humaine par delà les s
our en établir la qualité et en apprécier la valeur. Nos Musiciens en France n’ont consulté que la nature, et voici la divisio
me inutiles les concordants et les faussets. Nous n’admettons donc en France dans la composition de notre musique vocale, que
e et la moins lourde basse-taille que la nature eût encore offerte en France à l’art de nos Musiciens. Ce chanteur parcourait
61 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
bre, un jour, Des hautes Dames de la Cour : J’ai vu trente Ballets en France , Mais en ceux de plus d’importance, (Que je meure
62 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189
ce prodige enfantin, dont toutes les convoitises se portaient vers la France , — cette France qui donne, quand il lui plaît, au
tin, dont toutes les convoitises se portaient vers la France, — cette France qui donne, quand il lui plaît, aux comédiens et a
63 (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428
rit, un visage. Boileau, Art poétique. L’origine des spectacles en France , et ce qu’on pourrait appeler la naissance des pi
s de charmes dans les résultats qu’elle doit produire ? Telle est, en France , l’histoire de l’opéra ; cette gloire de notre pa
t-dix ans, tout près de deux siècles, que l’opéra a été naturalisé en France , il a toujours été regardé comme le plus brillant
lles de Perruzzi. A cette époque, on faisait des ballets à la cour de France  ; on y mettait des récits et des dialogues en plu
ente-deux ans après la première représentation, en 1682, qu’on fit en France le premier pas vers ce qu’on a si pompeusement ap
parlement le 27 juin 1672. Tel fut le long enfantement de l’opéra en France . Comme théâtre, sa naissance est toute religieuse
’août dernier, ont si bien résumé cette brillante période de l’art en France , que nous croyons rendre un service véritable à n
y nomma des inspecteurs, et, en 1715, on voit le duc d’Antin, pair de France , chargé, pour le secrétaire d’état ayant le dépar
it été dirigée par des mains bien diverses depuis son introduction en France  : tantôt administrée par la ville de Paris elle-m
ers, qui s’obstinent encore à croire que c’est là qu’il faut juger la France , nous eussions apparu comme un peuple en état de
64 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VI. Causes de la Décadence de l’Art »
rrompus. Quelle erreur funeste par exemple, si on en venait jamais en France , jusqu’à regarder les mœurs comme sans conséquenc
65 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre V. Sur le même sujet. » pp. 30-34
nt. Mais je découvre une cause qui me semble encore plus décisive. En France , nos relations commerciales sont un motif assez p
66 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du samedi 18 avril 1671 »
ible, & grand, Va, par telle persévérance Combler la Gloire de la France , Où ces rares Spectacles-ci, Ne s’étaient point v
67 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
e des Gaules, dont il étoit le Général. Mezeray, dans son Histoire de France , Tome IV. dit que le 29 Janvier 1393, la Duchesse
que l’usage des bals masquez pendant le Carnaval, est aussi ancien en France que l’établissement de la Monarchie, & que no
68 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200
t ; nous ne connoissons plus celle du créateur de la bonne comédie en France . Fierville mort à l’âge de 106 ans, et qui fut co
s’échappèrent de ses yeux. Dans le premier voyage que Garrick fit en France , il vit — Mademoiselle Clairon à Lille. Elle chan
ême, et je le regarde comme le créateur de l’art de la déclamation en France . Le Kain ne me parloit de Garrick qu’avec l’entho
69 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
res insistait particulièrement sur les effets de lumière, inconnus en France jusqu’à ce jour. La Tempête, disait-il, exigeant
y avait Fanny Elssler, l’Allemande, dont le nom chez nous autres, la France de 1834, ira s’inscrire tout au bas de ces listes
e théâtre et pour découvrir dans la salle quelques étrangers venus de France  ; pour saluer à la fois du même regard Fanny et l
rs venus de France ; pour saluer à la fois du même regard Fanny et la France , ses deux amours ; depuis qu’elle était tombée de
en à faire à Vienne. A présent elle appartenait à son beau royaume de France et à ses loyaux et enthousiastes sujets de sa bon
70 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
re. La réforme wagnérienne, qui eut parmi ses premiers adversaires en France une danseuse, Mme Ferraris, le bannit de l’opéra.
71 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
s séduisantes qui, après avoir été portées dans les beaux jours de la France à un haut degré de perfection, furent, dans des t
72 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261
ation approchait, lorsqu’un effroyable événement remplit d’horreur la France entière et couvrit le bruit qu’on essayait de fai
’étaient atteints, mais on relevait quinze morts, dont un maréchal de France , Mortier, et une trentaine de blessés. La décharg
t du monde. Dans la deuxième semaine de janvier 1836 elle rentrait en France avec sa sœur. Le 20 janvier elle commença par une
i les impressions que le poète consigna dans son Journal du voyage en France et en Angleterre : « Enfin le ballet la Tempête
. La Russie essaya de l’attirer. Fanny résolut de passer son congé en France . Elle conclut un arrangement avec Solomé, directe
si poétiquement traduite par Alfred de Musset, ce malheur provoqua en France . C’est au milieu de cette espèce de deuil public
73 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 juillet. Le répertoire : « Sylvia » »
iècles ; ce grand vent d’Italie qui, chaud et parfumé, souffla sur la France au temps de Ronsard, l’apporta comme une graine d
74 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
espréaux ; mais les illuminations et les artifices furent toujours en France le fond principal des fêtes que l’on y donna. Il
75 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
s quatre admirer. Il représentait en sa danse, En l’une, la Maison de France  ; Puis Pluton, Mars et le Soleil, Le dernier dans
76 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »
tous les jours que la nouveauté dans les productions des Arts que la France cultive, peut seule nous causer une certaine émot
sque l’Abbé Du Bos écrivait on était très persuadé, ainsi que lui, en France , que la Danse de notre Opéra était parvenue au po
77 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184
goût. Le mot costume, que l’on doit aux Italiens, s’est naturalisé en France  : il n’étoit employé jadis que pour la peinture,
mot, lorsqu’on apprendra qu’il n’y à plus d’ouvriers ni d’artisans en France , et que par un miracle de la folie, ils ont été t
78 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
arabes], pendant lesquelles on danse dans le chœur et dans la nef. En France même, au milieu du dernier siècle, on voyait enco
79 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIX, sardou et kawakami » pp. 214-
l salua en Kawakami le premier artisan de l’union littéraire entre la France et le Japon. Il félicité chaudement Kawakami d’av
80 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Preface. » pp. 5-10
, des Mores les Morisques, à Paris & plusieurs autres lieux de la France , nous auons la diuersité des Bransles & Coura
81 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 avril 1922. Comme quoi la danse est un art — ce qui s’en suit —. Un centenaire français célébré en Russie. »
songe en évoquant pieusement la mémoire d’un grand Français ignoré en France . Du reste la reprise de sa Belle au bois dormant
82 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 30 octobre. Le danseur et le préjugé au travesti. »
Gautier considérait Perrot-l’aérien comme le dernier représentant en France de cette tradition. Un Lucien Petipa n’était plus
83 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre ii. sur le même sujet. » pp. 116-121
s, la confiance et la protection des hommes en place. On sait que la France est la patrie et le sol des arts et des talens en
84 (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247
enus Desportes et Bertaut. Enfin Malherbe vint, et, le premier, en France , Fit sentir dans les vers une juste cadence, D’un
ers Chez nos dévots aïeux le théâtre abhorré Fut long-temps dans la France un plaisir ignoré. Des pélerins, dit-on, une trou
Chez nos dévots aïeux, le théâtre abhorré Fut long-temps, dans la France , un plaisir ignoré. Succédant aux tournois, la Da
enri-Quatre ont orné nos ballets. Ce roi si valeureux, si chéri de la France , Et son ami Sully se plaisaient à la Danse4 : On
ait se délasser du poids du diadême, Dans ces ballets brillans que la France admirait7, Entouré de sa cour, lui-même il figura
uie la critique du philosophe. Le comte de Chois…, depuis maréchal de France , fut un des amans de la célèbre Ninon. Il ne put
me un homme. 1. « La mort tragique de Henri ii ayant fait perdre en France le goût des tournois, les grands ballets, les mas
ntations, qu’on ne parlait que de lui. Recherches sur les Théâtres de France , tome 3, p. 30. – Histoire de l’Opéra, page 13.  
té au Louvre en 1656.   Copie d’une liste des Danseurs de la Cour de France , dont j’ai le manuscrit original entre les mains,
au parlement le 30 mars 1662. Ce fut la deuxième Académie établie en France . La raison pour laquelle Louis xiv établit cette
85 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »
ates sont tout à fait passées de modes en Italie, et elles suivent en France le même chemin. On leur a substitué les cantatill
gleterre, c’est l’Ecosse ; en Italie, c’est Venise. L’usage établi en France d’un commerce libre entre les femmes et les homme
hœurs qui se pratique assez souvent en Italie, n’est guère d’usage en France  ; on trouve qu’elle ne fait pas un bien grand eff
est actuellement affermé à M. Royer, maître à chanter des Enfants de France . C’est le plus beau concert de l’Europe, et il pe
un autre. L’art s’est depuis développé : les progrès qu’il a faits en France sont en proportion avec ceux qu’il a faits en Ita
M. Rameau a saisi le moment : il a porté l’exécution déjà préparée en France par le travail et l’expérience de plus de soixant
86 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre neuvième. Le maître » pp. 96-103
yale de Musique . (a) Bordeaux est, après Paris, la première ville de France ou s’exécutent de grands ballets. Son superbe thé
87 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
yent bien dégénéré depuis ces tems-là, ayant toujours été regardez en France comme un spectacle puérile & convenable à la
même qu’aujourd’hui tous les grands Seigneurs de l’Europe viennent en France pour se perfectionner dans les exercices convenab
88 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364
e douloureuse du départ ! A l’Allemagne, patrie de ma naissance, à la France , ma patrie adoptive, je dois beaucoup : mais comm
départ coïncide avec le vôtre, je veux, belle Fanny, vous conduire en France sur mon navire. » « Ses manières, ses mouvements
se réunirent à l’hôtel Saint-Charles en un souper où le champagne de France émut joyeusement les cœurs. Dans la rue l’orchest
ans un hôtel de cette ville, Fanny fit la connaissance du ministre de France , M. de Bacourt. Celui-ci ayant demandé du lait av
si fin, si cultivé, de Paris ! Sa pensée revenait sans cesse vers la France , sa vraie patrie artistique. Un moment, grisée pa
89 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XII. » pp. 115-121
téressants de la nature. Vest ris le père avoit obtenu de la cour de France la permission de passer trois mois de chaque anné
90 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155
rès avoir élargi à l’infini le champ de la musique, où pénétraient en France les accents si frais, si vigoureux de Freyschütz.
. » Tels étaient, à peu près, les discours de tout le monde ; car, en France , on tient beaucoup à la dignité du corps de balle
val in Paris, 1842. 54. Th. Gautier, Histoire de l’Art dramatique en France , t. I, p. 282. 55. Th. Gautier, Histoire de l’Ar
91 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
achitique. L’éducation chorégraphique de la fillette eut donc lieu en France . Mais son premier début s’effectua à Vienne. On j
lerine avait accepté les hommages — intéressés — du fils d’un pair de France , le comte Gilbert des Voisins. La famille de celu
nt empressés de venir applaudir aux fugitifs aspects de celle dont la France ne se séparait qu’avec tant de dépit, d’efforts e
i, l’âme de la danse, La grâce unie à la beauté ; Cerrito qui dota la France D’un talent partout regretté ; Zina, Plunkett, au
92 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 8 janvier. Esquisse pour un portrait de Mlle Camille Bos. — les Ballets Léonidoff. — « l’automne » et les « chansons arabes ». »
uses Russes — et chez une seule Italienne, la légendaire Taglioni. En France , il faudrait citer, en s’en rapportant aux gravur
93 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194
nt six fois cette particule ha, sur le même ton que nous entonnons en France celles de la sol fa mi re ut ; & c’est peut-ê
94 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
ut, toujours à cause de M. Daly, rompre un traité pour une tournée en France . Telle est l’histoire de mes relations avec Hanak
95 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128
suscita cette feuille moribonde et en fit un des premiers journaux de France par l’importance politique et la valeur littérair
ordonnés, des foules émerveillées, d’en avoir fait un théâtre dont la France avait le droit d’être fière devant le monde entie
son von 1844. 40. Théophile Gautier, Histoire de l’art dramatique en France , t. I, p. 191-192. 41. Ch. de Boigne, Petits Mém
96 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
leur goût pour ces spectacles ; mais Louis XIV en embellit la cour de France . Les ballets, sous ce prince, reprirent tout leur
97 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
u’ils ne connoissent pas, aux dépens de ceux qui font la gloire de la France , et le triomphe de nos artistes ; j’ai pensé que
98 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
de la danse une conception bien différente de celle qui prévalait en France et en Italie. Dans la patrie d’Isaïe Tegner, il s
ueil très peu encourageant, si bien qu’elle ne tarda pas à quitter la France . L’Italie et l’Allemagne la consolèrent de la sév
udissements accoutumés. Elle poursuivit pendant de longues années, en France et à l’étranger, la carrière la plus glorieuse qu
99 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
afin que personne ne soupçonnât que l’héritier présomptif du trône de France et la reine de la danse avaient pu se trouver un
e de spectacle très goûté alors en Allemagne et peu répandu encore en France . Corinne, de Gérard, était représentée par Fanny,
128. Ils sont reproduits soit dans l’Histoire de l’Art dramatique en France , Paris, 7 vol., 1858-1859, soit dans les Portrait
ine, 15 août 1903. 132. Th. Gautier, Histoire de l’Art dramatique en France , t. I, p. 188-190. 133. Th. Gautier, Histoire de
t. I, p. 188-190. 133. Th. Gautier, Histoire de l’Art dramatique en France , t. I, p. 190. 134. Ch. de Boigne, Petits Mémoir
100 (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205
ts en fricassée ; il s’agit ici des poulets aux armes de la Banque de France  ; mais, quand elle est intelligente, elle ne déda
, qui d’ailleurs eut le mérite de comprendre Rossini, de le lier à la France par un traité en règle, et de donner à l’Opéra de
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