Question d’un homme de lettres sur la musique. Est-ce en
France
ou en Italie que l’on aime le mieux la musique ?
es gens aisés ou riches cultiver cet art, au moins comme amateurs. En
France
, l’étude de la musique est si générale, que des a
instrumentale y est souvent négligée, je veux dire moins estimée. En
France
, le chant proprement dit, la symphonie, la partie
ne grave que rarement les partitions même des plus grands maitres. En
France
, on grave tout ; tout se conserve, et au bout de
de Piccini. Les ouvrages s’y succèdent et s’effacent tour à tour. En
France
on joue un opéra aussi long-tems que le public le
ve que les poëmes de leurs opéras, en exceptant le seul Métastase. En
France
, on pardonne à la musique d’être vraie, analogue
et de style différens, pour composer ce qu’on nomme un pasticcio. En
France
, on respecte assez le talent et le style de chaqu
l’on jase comme dans une place publique, ou dans un café bruyant. En
France
, on écoute tout avec attention, plaisir ou patien
J’ai réfléchi profondément, Monsieur, sur votre question : Est-ce en
France
ou en Italie que l’on aime le mieux la musique ?
t point trompé soi-même. Sans doute, votre prévention en faveur de la
France
, ne peut avoir qu’un motif louable, l’amour de la
iré qu’à Paris ; et que les paroles n’y sont pas plus négligées qu’en
France
, ou le plus bel opéra ne se soutient que par la p
ent par les cinq voyelles. Pauvres poëtes, comme on vous arrange ! En
France
, dites-vous, on grave tout ; tant pis, Monsieur ;
grave tout ; tant pis, Monsieur ; n’auriez-vous pas pu ajouter qu’en
France
on imprime tout : c’est encore une folie ; la sot
par les vendre à la livre. Il en est de même de l’imprimerie ; car en
France
on imprime tout, comme on grave tout. C’est bien
u’on imprimât tous ces opéras. Nous n’en donnons que deux ou trois en
France
par an ; on les grave. Reste à savoir, s’ils en m
s grave. Reste à savoir, s’ils en méritent la peine et la dépense. En
France
, dîtes-vous, on joue un opéra autant que le publi
Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de
France
, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 Les Tournois
usels, ces Fêtes guerrières et magnifiques avaient causé à la cour de
France
en l’année 1559 un événement trop tragique, pour
ontemporain les détails que je vais écrire. [Voir Fêtes de la Cour de
France
] « Le Lundi dix-huit Septembre 1581, le Duc de J
ne, Princesses et Dames tant richement vêtues, qu’il n’est mémoire en
France
d’avoir vu chose si somptueuse. Les habillements
tura remansit. Il change en vain ; il est le même. Ainsi la Cour de
France
troublée par la mauvaise politique de la Reine, d
rt d’Henri II jusqu’en l’année 1612 il n’y eut que quatre Tournois en
France
; le premier à Orléans en 1560 où Henri de Bourbo
avec l’Infante d’Espagne, et du Roi Philippe avec la seconde Fille de
France
. Le nombre des Mascarades et des Ballets qui fure
eur de ce ballet ; c’est un mensonge grossier. Nous datons de loin en
France
pour les vols Littéraires. 95. Journal d’Henri I
Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de
France
, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 On p
qu’en lui substituant un défaut contraire. [Voir Fêtes de la Cour de
France
] Aussi ne cessa-t-on d’être triste à la Cour de L
ne avait proposé au Cardinal de Savoie, qui était pour lors chargé en
France
des négociations de sa Cour, de donner au Roi une
ontagnards, pour divertir une Cour aussi polie que l’était la Cour de
France
. On dit au Cardinal de Savoie les propos courants
ns un genre, que les Français avaient gâté. [Voir Fêtes de la Cour de
France
] Le Cardinal de Richelieu portait dans tout ce qu
l le 7 Février 1641 : il eut pour titre La Prospérité des Armes de la
France
. On en publia le sujet avec cet avertissement amp
ttaquent et les forcent. La Fortune les suit, portant les Armes de la
France
, et fait la quatrième Entrée. Aussitôt, et sans a
matière) que le sujet de ce ballet est La Prospérité des Armes de la
France
, je cherche ce sujet dans les entrées des Tritons
ute leur haine, ils étaient forcés d’admirer. C’est faire beaucoup en
France
pour un Art, que de lui donner aux yeux de la mul
de la Comédie ; la Tragédie, que Pierre Corneille n’avait trouvée en
France
qu’à son berceau, s’élevait rapidement dans ses m
ontinuelles, qu’on avait véritablement envie de rendre éclatantes. La
France
sera toujours un terroir fertile en talents, lors
’Europe vêtue en Reine en sortit la première suivie de ses filles, la
France
, l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, et la Grèce. L
avait trois Pages caractérisés par les habits de leurs provinces. La
France
menait avec elle un Basque, un Bas-Breton, un Ara
rties isolées et sans choix du Ballet des prospérités des armes de la
France
, et on aura une idée juste des effets divers que
ar sa barbarie, fument encore. Les torrens de sang dont il innonda la
France
ne sont point taris ; le tems n’a pu effacer celu
reviens à mon sujet. Le but de toutes les fêtes qui fûrent données en
France
, depuis la mort de Louis XIV, fut toujours manqué
ur célébrer un événement qui fixera le bonheur et la prospérité et la
France
, tel que celui d’une paix générale, il faut alors
e triomphes, qui la donne. Il faut que les talens qui embellissent la
France
, y déployent à l’envi tous les trésors des arts q
, enfin que les calamités les plus effrayantes n’ont pu, enlever à la
France
cette troupe d’artistes célèbres, qui, dans les b
qui, font fleurir et prospérer l’agriculture, première richesse de la
France
, source intarissable du bonheur, de la sécurité e
e Bouffons. La Reine Catherine de Médicis porta ce genre à la Cour de
France
, et ne l’y fit servir qu’à une espèce de manège d
dant le cours de l’ambassade de Lazare Baïf son père, et de retour en
France
après sa mort, y fit pour la Musique les mêmes te
al Riari un Léon X ; et à Baïf un Louis XIV. [Voir Fête de la Cour de
France
] Pour qu’un bel établissement soit goûté, s’achèv
hapitre IX. Du Ballet Moderne Lors de l’Établissement de l’Opéra en
France
, on conserva le fond du grand Ballet dont on fit
on des grands Ballets. La disette des sujets était alors si grande en
France
, que notre Opéra fut exécuté pendant plus de dix
essemblé aux Opéras de Quinault. Ce genre appartient tout à fait à la
France
. Les Grecs, les Romains n’eurent aucun Spectacle
ns heureuses de se développer, si ces deux Arts avaient fait alors en
France
des progrès proportionnés à ceux de tous les autr
A Monseigneur le duc de Rets,pair de
France
,et capitaine des gardes du corps. MONSEIGNEUR
ualitez qui vous font estimer & aimer personnellement de toute la
France
. Dans le désir ardent que j’ai toujours eu de v
rofondément sentir sa misère ; mais je n’ai pas encore vu de fêtes en
France
, où la moralité fut unie au plaisir, où la décenc
s de toutes les parties de l’Europe, apportoient beaucoup d’argent en
France
; mais l’orgueil national étoit seul satisfait. R
e, il traceroit cette fête mémorable et unique, qui enchaînerait à la
France
l’admiration de toutes les nations. C’est à cette
déployer toutes leurs richesses, et de prouver à l’Europe, que si la
France
est la patrie des héros, elle est encore celle du
L’Électeur de Bavière, le Prince Emanuel de Portugal vinrent alors en
France
, et ils prirent le ton qu’ils trouvèrent établi.
son amour pour nos rois ou pour célébrer les événements glorieux à la
France
. Dans ces circonstances les Illuminations, les Fe
astes l’honorent. Lorsque les Suisses furent sur le point de venir en
France
, pendant le règne de Henri IV pour renouveler leu
l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 La Minorité de Louis XIV fut en
France
l’aurore du goût et des beaux Arts. Soit que l’es
enir prodiguer sa voix sur un théâtre, etc. [Voir Fêtes de la Cour de
France
] Je ne m’étendrai point sur les Fêtes trop connu
ues de ce Règne éclatant. On sait, dans les Royaumes voisins comme en
France
, qu’il est l’époque de la grandeur de cet État, d
’injure de Benserade par une autre. [Voir Ballet, Fêtes de la Cour de
France
] Les Poètes, les gens de Lettres, les Artistes ne
és mains de notre tres-cher & féal Chevalier Garde des Sceaux de
France
le sieur Fleuriau d’Armenonville, & qu’il en
ans celle de notre tres-cher & féal Chevalier Garde des Sceaux de
France
le sieur Fleuriau d’Armenonville ; le tout à pein
flatté, Comme on les tient, en cas de danse, Des mieux entendus de la
France
, Chacun d’eux, en ce beau Talent, Parut, tout à f
ent Ce rare Divertissement, Que Saint-Aignan, illustre Comte, Dont la
France
cent biens raconte, A très agréablement inventé P
qu’à la naissance des Opera. Lully, Italien de Nation, étant venu en
France
à l’âge de neuf ans ; y appris la Musique : &
en quelque façon sa Patrie, & fit si bien par ses travaux que la
France
triompha sans peine & pour toûjours de l’Ital
t des Airs caracterisez pour la Danse, il fit choix de tout ce que la
France
avoit de plus habiles Danseurs. Beauchamp qui éto
ur sa reputation, mais qui auroit encore pû augmenter la gloire de la
France
par les nouveaux ouvrages, qu’il étoit en état de
l-de-ville, le 8 Septembre 1745, après les mémorables victoires de la
France
. Le cérémonial de tous ces festins est toujours l
u-dessous et sur l’entablement du premier ordre, étaient les armes de
France
et de Navarre, soutenues par des génies aux deux
la fête de Bergonce de Botta ; et Catherine de Médicis en portant en
France
le germe des beaux-arts qu’elle avait vu renaître
e ; plusieurs autres princes étrangers, étaient accourus à la cour de
France
, qui était aussi magnifique que nombreuse. La rei
’Europe vêtue en reine en sortit la première suivie de ses filles, la
France
, l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, et la Grèce :
avait trois pages caractérisés par les habits de leurs provinces. La
France
menait avec elle un Basque, un Bas-Breton ; l’Esp
qui les causent. Voyez Fêtes de la Cour, de la Ville, des Princes de
France
, etc. Festins royaux, Illuminations [Article non
[Article non rédigé], etc. Feu d’Artifice.(B) Fêtes de la Cour de
France
Fêtes de la Cour de France. Les tournois et l
d’Artifice.(B) Fêtes de la Cour de France Fêtes de la Cour de
France
. Les tournois et les carrousels, ces fêtes guerri
ls, ces fêtes guerrières et magnifiques, avaient produit à la cour de
France
en l’année 1559 un événement trop tragique pour q
e, princesses, et dames tant richement vêtues, qu’il n’est mémoire en
France
d’avoir vu chose si somptueuse. Les habillements
historique, IIe partie, livre II, chap. 2, « Des Fêtes de la Cour de
France
, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »] Le triomph
natura remansit ; Il change en vain, il est le même. Ainsi la cour de
France
, troublée par la mauvaise politique de la reine,
re III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de
France
, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »] Il
s XIII et le ministère du plus grand génie qui ait jamais gouverné la
France
, n’offrent rien sur cet article, qui mérite d’êtr
ne avait proposé au cardinal de Savoie, qui était pour lors chargé en
France
des négociations de sa cour, de donner au roi une
ontagnards, pour divertir une cour aussi polie que l’était la cour de
France
. On dit au cardinal de Savoie les propos courants
re III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de
France
, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »] Ce
Mais cette nuit et ses sombres nuages ne faisaient que préparer à la
France
ses plus beaux jours, et la minorité de Louis XIV
es de ce règne éclatant ; on sait dans les royaumes voisins, comme en
France
, qu’elles furent l’époque de la grandeur de cet é
règne florissant de Louis XIV. Voyez Fêtes des Princes de la Cour de
France
, etc. Elle s’est ainsi soutenue dans toutes les
ent à la cour l’homme aimable du siècle, aux Arts un protecteur, à la
France
un général. En attendant ces temps de trouble, où
belle, la plus élégante, la plus commode salle de spectacle, dont la
France
eût encore joui. Le théâtre était vaste ; le cadr
ement et avec dignité les chefs-d’œuvre immortels qui ont illustré la
France
, autant que l’étendue de son pouvoir, et plus, pe
la plus noble et de la plus puissante musique, assemblage nouveau en
France
de grandes images et de tableaux ridicules, ouvra
allet de La Félicité, allégorie ingénieuse de celle dont jouissait la
France
, parut ensuite sous l’administration de M. le duc
r hérité du secret de ce magistrat célèbre. Voyez Fêtes de la Cour de
France
. Bal de la ville de Paris, donné dans son hôtel l
servir, et le défendre. (B) Fêtes des grandes Villes du Royaume de
France
Fêtes des grandes Villes du Royaume de France
illes du Royaume de France Fêtes des grandes Villes du Royaume de
France
. C’est ici qu’on doit craindre les dangers d’une
montrer leur adresse et leur amour. On trouverait dans le cœur de la
France
, sous les yeux toujours ouverts de nos Parlements
ante pieds de hauteur, au-dessus duquel étaient accolées les armes de
France
et celles d’Espagne, soutenues par deux dauphins,
tendant de Guyenne prévoyant le passage de l’auguste princesse que la
France
attendait, fit au travers de ces landes aligner e
étendard de 27 pieds de hauteur sur 36 de largeur, avec les armes de
France
et d’Espagne. Les entre-pilastres au pourtour éta
ient les emblèmes suivants. Dans l’un, vers la campagne, on voyait la
France
tenant d’une main une fleur-de-lis, et de l’autre
e à l’antique, avec un diadème sur la tête et un écusson des armes de
France
à ses pieds. L’Espagne était à la gauche, en habi
rnelle ; dans l’exergue était écrit, Hispania, Gallia ; l’Espagne, la
France
. Dans l’autre, aussi vers la campagne, la ville d
ux lions, couronnée de tours, tenant dans sa main droite les armes de
France
, et dans sa gauche une tige de lis. Pour légende,
et bronze, richement orné de peintures et dorures, avec les armes de
France
et d’Espagne accompagnées de plusieurs trophées e
llies étaient d’une élégante proportion. Quatre écussons aux armes de
France
et d’Espagne étaient posés aux quatre clés des ci
le dossier étaient ornés dans leurs milieux des écussons des armes de
France
et d’Espagne, d’une magnifique broderie en or et
te de guirlandes de fleurs semblables, et on y avait mis les armes de
France
et d’Espagne, et de Monseigneur le Dauphin, celle
ronton et le tympan enrichi de sculpture, représentaient les armes de
France
et d’Espagne ornées de festons : le tout en génér
me de la gauche représentait deux amours qui soutenaient les armes de
France
et d’Espagne, avec ces mots, propagini imperii ga
20 pieds de hauteur, sur 30 pieds de largeur, où étaient les armes de
France
et d’Espagne. Cette colonne était feinte de marbr
n ; la poupe décorée sur toute la hauteur et la largeur, des armes de
France
et d’Espagne, avec une grande couronne en relief
ief ; les bouteilles étaient en forme de grands écussons aux armes de
France
, dont les trois fleurs-de-lis étaient d’or sur un
sait embellir les efforts de la richesse. (B) Fêtes des Princes de
France
Fêtes des Princes de France. Nos princes, dan
richesse. (B) Fêtes des Princes de France Fêtes des Princes de
France
. Nos princes, dans les circonstances du bonheur d
ux heures par la meute du Roi ; le comte de Toulouse, grand veneur de
France
, en habit uniforme, piquant à la tête. S. M. parc
ite à tous égards d’être mieux connue, et qui rappellera à la cour de
France
le souvenir d’une aimable princesse, qui en était
sandis, je meurs de faim ; on vit donc de l’air à la cour des rois de
France
? A ces deux originaux, en succédèrent quelques au
ents, des contrastes du feu artificiel : pourquoi, dans le sein de la
France
, ne pourrions-nous pas, en adoptant tout ce que c
diamètre, sur 70 de haut, en y comprenant les étendards aux armes de
France
et d’Espagne, qu’on y avait arborés à un petit mâ
l’honneur du très auguste et très heureux mariage de Louis dauphin de
France
, et de Marie-Thérèse infante d’Espagne.
t dansés, Se trouvant, illec, d’assurance, Un des adroits Danseurs de
France
.20 19. La Mort des Enfants de Saül. 20. Le s
les aux Italiens pour l’invention ; Perrin en 1659 la mit en usage en
France
: mais l’on sçait aussi que les Italiens n’ont im
omposé en trois actes, comme nous l’avons vû quelquefois pratiquer en
France
depuis le régne de François premier. En 1582 il f
norité de Louis XIV. on fit un Balet de la prospérité des armes de la
France
, dans lequel le Roi devoit danser masqué avec tou
cle précédent ; sans parler de ceux qui se sont faits de nos jours en
France
depuis l’établissement de l’Opéra, dont ceux de l
viron l’an 1450, jusqu’en 1723. Balet des prosperitez des armes de la
France
. L’Autel de Lyon, consacré à Auguste. Les destiné
quinziéme siécle, la composition des Balets n’étoit guéres connue en
France
; il y avoit peu d’imagination en la plûpart de c
rt beaux, à l’imitation des Italiens : ce qui donna lieu à la Cour de
France
de danser dans quelques-uns, ce qu’on n’avoit poi
partie de sa Cour en 1654, en faveur de la prospérité des armes de la
France
. Celui des amours déguisez, qu’on appela par exce
d’Angleterre ; & attendu qu’elle avoit passé la mer pour venir en
France
, le sujet fut la naissance de Venus, par rapport
ouvrit, l’Europe en sortit vêtue en Reine avec cinq de ses filles, la
France
, l’Espagne, l’Allemagne, l’Italie & la Gréce,
& Archéloüs : chaque Princesse avoit trois Pages à sa suite ; la
France
, un Basque, un Bas-Breton & un Lorrain ; l’Es
Chapitre IV. État actuel de la Danse Théâtrale en
France
Le personnage le plus recommandable de la Chine
ement, Où Beauchamp, Danseur d’importance, L’un des plus dispos de la
France
, (Et l’incomparable, dit-on,) Représentant du Die
amp; les enseignemens, Dont Lauze a bien huré l’Angleterre & la
France
. Les Dames y verront parmi leurs pas diuers
Loret, lettre du 10 juillet 1661 […] Dans cette Noble Cour de
France
, Abondance en réjouissance, On prépare un Ballet
gens d’épée, Pour venger un objet digne de mille Autels, Et de qui la
France
est charmée ! Ah ! cruel Édit des Duels !
t venus, de si loin, Avecque Comédie et danse, Donner du plaisir à la
France
.
’honneur De l’honorer de leur présence, Avecque les plus Grands de la
France
. À moi, qui l’aime dessus tous, Il m’en coûta jus
la danse, IIe partie, livre I, chap. VI : « Des Ballets Moraux »]. En
France
, en Italie, en Angleterre, on a représenté une tr
omme mis à sa place, ou d’un homme oublié. Les ballets représentés en
France
jusqu’en l’année 1671, furent tous de ce grand ge
our. Les plus célèbres sont le Ballet des Prospérités des armes de la
France
, dansé peu de temps après la majorité de Louis XI
re III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de
France
, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »]. Ce
1643 jusqu’en l’année 1672 »] Lors de l’établissement de l’opéra en
France
, on conserva le fond du grand ballet : mais on en
on vient de parler. La danse figurée, ou la danse simple reprirent en
France
la place qu’elles avaient occupée sur les théâtre
remière fois des danseuses sur ce théâtre. Quinault qui avait créé en
France
l’opéra, qui en avait aperçu les principales beau
ourd’hui sur le théâtre lyrique. Ce genre appartient tout à fait à la
France
, et l’Italie n’a rien qui lui ressemble. On ne ve
es spectacles, forment un ensemble charmant, qui plaît également à la
France
et aux étrangers. Cependant parmi le grand nombre
uvre des beaux arts. Enfin après un long intervalle ils trouvèrent en
France
un azile constant et durable, et une continuité d
l’ambition de fixer les regards du Monarque devinrent universels. La
France
donna le ton à l’Europe, et son exemple enfanta p
blimité du génie avec autant, de discernement que de magnificence. La
France
devint le modèle des cours étrangères, et celle d
n’existe plus, l’inconstance et la frivolité ont été naturalisées en
France
. Depuis longtems on abbat de grands monuments et
mable ; il lui légua Colbert son intendant. Ce legs, en assurant à la
France
un accroissement de prospérité et de grandeur, pr
es, et sa proposition fut agréée. Il obtint encore celle d’attirer en
France
deux grands hommes capables d’étendre le cercle a
entière. Je suis, etc. (1). Ce Ministre qui faisoit honneur à la
France
, qui avoit rendu a son Roi des services signalés,
siteurs et que cet art étale ses chefs-d’œuvre par toute l’Italie. En
France
, excepté Paris et quelques grandes villes de nos
sans offenser les parties, c’est de convenir que la musique a fait en
France
des progrès inouis, et qu’on y aime autant cet ar
rtiments Qu’un Ballet de cette importance, Qu’un Ballet de la Cour de
France
, Et parfaitement éclairé, Doit avoir pour être ad
uillon, Et qui, dès sa plus tendre enfance, Charmait toute la Cour de
France
. La jeune Princesse d’Elbeuf, Pour qui, feu Mon
n des Balets qu’il nous a donnez depuis l’établissement de l’Opéra en
France
, & que le sieur Pecourt son éleve a continué
tinguer dans les occasions. Depuis que les Balets ont été rétablis en
France
, nos Rois, nos Reines & les grands Seigneurs
ls l’ayent emporté sur ceux que nous avons vûs depuis quarante ans en
France
, & sur les Danseurs & les Danseuses que n
ses & les danses Sacrées ne laisserent pas de reprendre racine en
France
: l’abus s’en trouva si considérable, que les Evê
cette coutume s’est depuis abolie. Limoges n’est pas le seul lieu en
France
où l’usage de la danse Sacrée subsiste encore, su
e regne de Charles V, l’an 1373, au rapport de Mezeray, qui dit qu’en
France
le peuple fut attaqué d’une passion maniaque ou p
plus grand en Flandres qu’ailleurs. Cette punition a bien anéanti en
France
les danses qui se faisoient les Dimanches & l
nos Rois pour la suppression des fêtes & des danses Baladoires en
France
. ARREST de la Cour de Parlement, portant que co
Ason altesse royaleMonseigneurle duc d'Orléans,petit-fils de
France
. MONSEIGNEUR, Le goût universel que Votre Alt
lle, Passerat, Baïf, Ronsard, Benserade, signalèrent leurs talents en
France
dans ce genre, qui n’est qu’un abrégé des grands
qui me regarde, personnellement, je puis dire que Rodin est, avec le
maître Anatole France
, un des hommes qui, en France, m’ont le plus impr
e que Rodin est, avec le maître Anatole France, un des hommes qui, en
France
, m’ont le plus impressionnée. Anatole France a bi
de Tiberio Fiorillo, le fameux Scaramouche. Fût-ce pour introduire en
France
la comédie improvisée à l’italienne ? Plutôt pour
tuer une discipline. Se connaître, se restreindre. Puis créer, car la
France
ayant, dans l’histoire donné à la danse son expre
, Plusieurs beaux yeux furent charmés. Maint Prince, Duc et Pair de
France
, Qui savent aussi bien la danse, Que le Métier de
et qui Peut passer, dans toute croyance, Pour un des beaux Objets de
France
. La jeune Madame de Foix, Dont chacun dit, à ha
ussie. Vous avez dansé au profit des intellectuels russes réfugiés en
France
. À cette tâche généreuse vous étiez appelée. Vous
pos, 5. B Bacchanale, 67, 95. Ballets, leur origine, quand connus en
France
, 7, 39. Bras, 57. C Cadence, 36. Canova, son gén
ait par-delà les monts dans le bas, ne saurait lui être impossible en
France
dans le noble ; puisqu’elle y est très supérieure
es de bas comique. Le bon goût semblait avoir banni des spectacles de
France
ces sortes de caractères, qui y étaient autrefois
e des mœurs. Recueil d’édits, ordonnances et déclarations des Rois de
France
. (B) Bocane Bocane, s. f. danse grave, ain
anse des brandons ; on exécutait cette danse dans plusieurs villes de
France
, le premier dimanche de carême, autour des feux q
rt brillante à quatre ; mademoiselle Lany est la première danseuse en
France
qui l’ait passé au théâtre à six. J’ai entendu da
s galante, qu’ils paraissaient faire partie de l’action théâtrale. En
France
, en Angleterre, en Italie, on a représenté, dans
s dansé, et qu’ils se sont le mieux battus. [Voir Fêtes de la Cour de
France
] 97. Mém. de Sully. Liv. 1. 98. L’Hiver de 1
o ? [Voir Entrechat] Ce discours ridicule qu’on a tenu constamment en
France
, depuis la mort de Lully, en l’appliquant success
e on aime et l’on honore, À savoir Monsieur de Créqui, Ambassadeur de
France
, et qui N’avait, à cause de l’absence, Vu ce Ball
s pour un moment que nous n’avons jamais ouï parler des Spectacles de
France
, d’Italie, de Rome et d’Athènes. Dépouillons tout
et le ton de dédain dont les critiques du dernier siècle ont écrit en
France
, des Ouvrages Lyriques de Quinault. Examinons, en
Europe, et qui ne doivent peut-être leur grande réputation120 qu’à la
France
, où on ne les représente jamais, ce Poète, dis-je
ns son histoire du Concile de Trente. On ne trouve point de régnes en
France
où les bals de cérémonie ayent été plus en vogue
autres la Pavanne d’Espagne, le Pazzemeno d’Italie, les Courantes de
France
, la Bourée, le Passepied, la Sissonne, &c. Ma
desseins, dans toutes les fêtes qu’elle imaginoit. C’est un usage en
France
, qu’à toutes les occasions des réjouissances publ
rs cramoisi, garnis de grandes crépines d’or, pour placer les Rois de
France
& d’Angleterre, avec la Reine, Madame de Bour
contre-danses nous vient d’un Maître à danser d’Angleterre, arrivé en
France
il y a douze ou quinze ans ; elles passent chez c
ien possible. Jules Perrot, Perrot-l’aérien, le plus grand sauteur de
France
, n’avait-il pas, avant d’aborder l’Opéra, été tro
en Espagne, en Portugal, & même encore dans quelques Provinces de
France
, malgré les défenses de l’Eglise & contre les
e, avec des preceptes pour leur usage, comme je les ai vû observer en
France
& dans les Cours Etrangeres. Et comme les Ins
dérivent presque tous du vice primitif. La Danse était au berceau en
France
lors de l’établissement de l’Opéra : l’habitude,
t point dans le principe déstiné pour l’opéra qui n’existoit point en
France
. Il fût cédé à Molière en 1660, et ce peintre de
t la joie de servir de trait d’union entre deux si claires étoiles de
France
. Peu de gens savent que Flammarion ne se contente
nature. Le panorama que l’on découvre de là est un des plus beaux de
France
. Le château, qui date d’avant les projets de Loui
irai Que tous ces Danseurs d’importance Sont la Fleur des Danseurs de
France
; Et jusques au petit Dupin, Pas guères plus gran
n. Ce ne fut qu’au ballet du Triomphe de l’Amour qu’on introduisit en
France
des danseuses dans les représentations en musique
cle s’est accrue ; depuis enfin que le ballet (genre tout entier à la
France
, le plus piquant, le plus vif, le plus varié de t
de leur genre, et n’atteignirent à presqu’aucune de leurs beautés. En
France
, lorsque Corneille et Molière créèrent la tragédi
’une variété agréable soutiendraient réellement? On parle beaucoup en
France
de l’opéra italien : croit-on le connaître ? Voye
ns d’avoir entendu dire que quelques personnes arrivées depuis peu en
France
, ayant vu des femmes danser, en furent si effrayé
r que je lui devais doublement dans cette soirée, et j’enviai pour la
France
la gloire de ressusciter un tel art. Mais elle me
er son École du Grünewald, et qu’elle songerait à la faire émigrer en
France
, à Paris. Ce serait tant mieux pour nous, mais ta
ons entourés de guirlandes de fleurs, et que dans plusieurs villes de
France
on plante le premier jour de Mai, au-devant des m
le n’a reparu à sa renaissance que faible et languissante. Devenue en
France
une partie essentielle d’un nouveau spectacle, qu
Phèdre à Paris est bien l’offrande du jongleur russe à Notre-Dame de
France
. Quant à moi, en exaltant l’effort de ce théâtre
n’est pas de même de plusieurs contre-danses que l’on a introduit en
France
depuis quelque temps, & qui ne sont pas du go
s forcent leurs voix pour le surprendre. On reviendra tôt ou tard, en
France
, de l’erreur des grandes voix ; mais il faut atte
que l’embellir, et qui quelquefois l’exagère, n’a pas encore porté en
France
la manie de forcer la voix humaine par delà les s
our en établir la qualité et en apprécier la valeur. Nos Musiciens en
France
n’ont consulté que la nature, et voici la divisio
me inutiles les concordants et les faussets. Nous n’admettons donc en
France
dans la composition de notre musique vocale, que
e et la moins lourde basse-taille que la nature eût encore offerte en
France
à l’art de nos Musiciens. Ce chanteur parcourait
bre, un jour, Des hautes Dames de la Cour : J’ai vu trente Ballets en
France
, Mais en ceux de plus d’importance, (Que je meure
ce prodige enfantin, dont toutes les convoitises se portaient vers la
France
, — cette France qui donne, quand il lui plaît, au
tin, dont toutes les convoitises se portaient vers la France, — cette
France
qui donne, quand il lui plaît, aux comédiens et a
rit, un visage. Boileau, Art poétique. L’origine des spectacles en
France
, et ce qu’on pourrait appeler la naissance des pi
s de charmes dans les résultats qu’elle doit produire ? Telle est, en
France
, l’histoire de l’opéra ; cette gloire de notre pa
t-dix ans, tout près de deux siècles, que l’opéra a été naturalisé en
France
, il a toujours été regardé comme le plus brillant
lles de Perruzzi. A cette époque, on faisait des ballets à la cour de
France
; on y mettait des récits et des dialogues en plu
ente-deux ans après la première représentation, en 1682, qu’on fit en
France
le premier pas vers ce qu’on a si pompeusement ap
parlement le 27 juin 1672. Tel fut le long enfantement de l’opéra en
France
. Comme théâtre, sa naissance est toute religieuse
’août dernier, ont si bien résumé cette brillante période de l’art en
France
, que nous croyons rendre un service véritable à n
y nomma des inspecteurs, et, en 1715, on voit le duc d’Antin, pair de
France
, chargé, pour le secrétaire d’état ayant le dépar
it été dirigée par des mains bien diverses depuis son introduction en
France
: tantôt administrée par la ville de Paris elle-m
ers, qui s’obstinent encore à croire que c’est là qu’il faut juger la
France
, nous eussions apparu comme un peuple en état de
rrompus. Quelle erreur funeste par exemple, si on en venait jamais en
France
, jusqu’à regarder les mœurs comme sans conséquenc
nt. Mais je découvre une cause qui me semble encore plus décisive. En
France
, nos relations commerciales sont un motif assez p
ible, & grand, Va, par telle persévérance Combler la Gloire de la
France
, Où ces rares Spectacles-ci, Ne s’étaient point v
e des Gaules, dont il étoit le Général. Mezeray, dans son Histoire de
France
, Tome IV. dit que le 29 Janvier 1393, la Duchesse
que l’usage des bals masquez pendant le Carnaval, est aussi ancien en
France
que l’établissement de la Monarchie, & que no
t ; nous ne connoissons plus celle du créateur de la bonne comédie en
France
. Fierville mort à l’âge de 106 ans, et qui fut co
s’échappèrent de ses yeux. Dans le premier voyage que Garrick fit en
France
, il vit — Mademoiselle Clairon à Lille. Elle chan
ême, et je le regarde comme le créateur de l’art de la déclamation en
France
. Le Kain ne me parloit de Garrick qu’avec l’entho
res insistait particulièrement sur les effets de lumière, inconnus en
France
jusqu’à ce jour. La Tempête, disait-il, exigeant
y avait Fanny Elssler, l’Allemande, dont le nom chez nous autres, la
France
de 1834, ira s’inscrire tout au bas de ces listes
e théâtre et pour découvrir dans la salle quelques étrangers venus de
France
; pour saluer à la fois du même regard Fanny et l
rs venus de France ; pour saluer à la fois du même regard Fanny et la
France
, ses deux amours ; depuis qu’elle était tombée de
en à faire à Vienne. A présent elle appartenait à son beau royaume de
France
et à ses loyaux et enthousiastes sujets de sa bon
re. La réforme wagnérienne, qui eut parmi ses premiers adversaires en
France
une danseuse, Mme Ferraris, le bannit de l’opéra.
s séduisantes qui, après avoir été portées dans les beaux jours de la
France
à un haut degré de perfection, furent, dans des t
ation approchait, lorsqu’un effroyable événement remplit d’horreur la
France
entière et couvrit le bruit qu’on essayait de fai
’étaient atteints, mais on relevait quinze morts, dont un maréchal de
France
, Mortier, et une trentaine de blessés. La décharg
t du monde. Dans la deuxième semaine de janvier 1836 elle rentrait en
France
avec sa sœur. Le 20 janvier elle commença par une
i les impressions que le poète consigna dans son Journal du voyage en
France
et en Angleterre : « Enfin le ballet la Tempête
. La Russie essaya de l’attirer. Fanny résolut de passer son congé en
France
. Elle conclut un arrangement avec Solomé, directe
si poétiquement traduite par Alfred de Musset, ce malheur provoqua en
France
. C’est au milieu de cette espèce de deuil public
iècles ; ce grand vent d’Italie qui, chaud et parfumé, souffla sur la
France
au temps de Ronsard, l’apporta comme une graine d
espréaux ; mais les illuminations et les artifices furent toujours en
France
le fond principal des fêtes que l’on y donna. Il
s quatre admirer. Il représentait en sa danse, En l’une, la Maison de
France
; Puis Pluton, Mars et le Soleil, Le dernier dans
tous les jours que la nouveauté dans les productions des Arts que la
France
cultive, peut seule nous causer une certaine émot
sque l’Abbé Du Bos écrivait on était très persuadé, ainsi que lui, en
France
, que la Danse de notre Opéra était parvenue au po
goût. Le mot costume, que l’on doit aux Italiens, s’est naturalisé en
France
: il n’étoit employé jadis que pour la peinture,
mot, lorsqu’on apprendra qu’il n’y à plus d’ouvriers ni d’artisans en
France
, et que par un miracle de la folie, ils ont été t
arabes], pendant lesquelles on danse dans le chœur et dans la nef. En
France
même, au milieu du dernier siècle, on voyait enco
l salua en Kawakami le premier artisan de l’union littéraire entre la
France
et le Japon. Il félicité chaudement Kawakami d’av
, des Mores les Morisques, à Paris & plusieurs autres lieux de la
France
, nous auons la diuersité des Bransles & Coura
songe en évoquant pieusement la mémoire d’un grand Français ignoré en
France
. Du reste la reprise de sa Belle au bois dormant
Gautier considérait Perrot-l’aérien comme le dernier représentant en
France
de cette tradition. Un Lucien Petipa n’était plus
s, la confiance et la protection des hommes en place. On sait que la
France
est la patrie et le sol des arts et des talens en
enus Desportes et Bertaut. Enfin Malherbe vint, et, le premier, en
France
, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D’un
ers Chez nos dévots aïeux le théâtre abhorré Fut long-temps dans la
France
un plaisir ignoré. Des pélerins, dit-on, une trou
Chez nos dévots aïeux, le théâtre abhorré Fut long-temps, dans la
France
, un plaisir ignoré. Succédant aux tournois, la Da
enri-Quatre ont orné nos ballets. Ce roi si valeureux, si chéri de la
France
, Et son ami Sully se plaisaient à la Danse4 : On
ait se délasser du poids du diadême, Dans ces ballets brillans que la
France
admirait7, Entouré de sa cour, lui-même il figura
uie la critique du philosophe. Le comte de Chois…, depuis maréchal de
France
, fut un des amans de la célèbre Ninon. Il ne put
me un homme. 1. « La mort tragique de Henri ii ayant fait perdre en
France
le goût des tournois, les grands ballets, les mas
ntations, qu’on ne parlait que de lui. Recherches sur les Théâtres de
France
, tome 3, p. 30. – Histoire de l’Opéra, page 13.
té au Louvre en 1656. Copie d’une liste des Danseurs de la Cour de
France
, dont j’ai le manuscrit original entre les mains,
au parlement le 30 mars 1662. Ce fut la deuxième Académie établie en
France
. La raison pour laquelle Louis xiv établit cette
ates sont tout à fait passées de modes en Italie, et elles suivent en
France
le même chemin. On leur a substitué les cantatill
gleterre, c’est l’Ecosse ; en Italie, c’est Venise. L’usage établi en
France
d’un commerce libre entre les femmes et les homme
hœurs qui se pratique assez souvent en Italie, n’est guère d’usage en
France
; on trouve qu’elle ne fait pas un bien grand eff
est actuellement affermé à M. Royer, maître à chanter des Enfants de
France
. C’est le plus beau concert de l’Europe, et il pe
un autre. L’art s’est depuis développé : les progrès qu’il a faits en
France
sont en proportion avec ceux qu’il a faits en Ita
M. Rameau a saisi le moment : il a porté l’exécution déjà préparée en
France
par le travail et l’expérience de plus de soixant
yale de Musique . (a) Bordeaux est, après Paris, la première ville de
France
ou s’exécutent de grands ballets. Son superbe thé
yent bien dégénéré depuis ces tems-là, ayant toujours été regardez en
France
comme un spectacle puérile & convenable à la
même qu’aujourd’hui tous les grands Seigneurs de l’Europe viennent en
France
pour se perfectionner dans les exercices convenab
e douloureuse du départ ! A l’Allemagne, patrie de ma naissance, à la
France
, ma patrie adoptive, je dois beaucoup : mais comm
départ coïncide avec le vôtre, je veux, belle Fanny, vous conduire en
France
sur mon navire. » « Ses manières, ses mouvements
se réunirent à l’hôtel Saint-Charles en un souper où le champagne de
France
émut joyeusement les cœurs. Dans la rue l’orchest
ans un hôtel de cette ville, Fanny fit la connaissance du ministre de
France
, M. de Bacourt. Celui-ci ayant demandé du lait av
si fin, si cultivé, de Paris ! Sa pensée revenait sans cesse vers la
France
, sa vraie patrie artistique. Un moment, grisée pa
téressants de la nature. Vest ris le père avoit obtenu de la cour de
France
la permission de passer trois mois de chaque anné
rès avoir élargi à l’infini le champ de la musique, où pénétraient en
France
les accents si frais, si vigoureux de Freyschütz.
. » Tels étaient, à peu près, les discours de tout le monde ; car, en
France
, on tient beaucoup à la dignité du corps de balle
val in Paris, 1842. 54. Th. Gautier, Histoire de l’Art dramatique en
France
, t. I, p. 282. 55. Th. Gautier, Histoire de l’Ar
achitique. L’éducation chorégraphique de la fillette eut donc lieu en
France
. Mais son premier début s’effectua à Vienne. On j
lerine avait accepté les hommages — intéressés — du fils d’un pair de
France
, le comte Gilbert des Voisins. La famille de celu
nt empressés de venir applaudir aux fugitifs aspects de celle dont la
France
ne se séparait qu’avec tant de dépit, d’efforts e
i, l’âme de la danse, La grâce unie à la beauté ; Cerrito qui dota la
France
D’un talent partout regretté ; Zina, Plunkett, au
uses Russes — et chez une seule Italienne, la légendaire Taglioni. En
France
, il faudrait citer, en s’en rapportant aux gravur
nt six fois cette particule ha, sur le même ton que nous entonnons en
France
celles de la sol fa mi re ut ; & c’est peut-ê
ut, toujours à cause de M. Daly, rompre un traité pour une tournée en
France
. Telle est l’histoire de mes relations avec Hanak
suscita cette feuille moribonde et en fit un des premiers journaux de
France
par l’importance politique et la valeur littérair
ordonnés, des foules émerveillées, d’en avoir fait un théâtre dont la
France
avait le droit d’être fière devant le monde entie
son von 1844. 40. Théophile Gautier, Histoire de l’art dramatique en
France
, t. I, p. 191-192. 41. Ch. de Boigne, Petits Mém
leur goût pour ces spectacles ; mais Louis XIV en embellit la cour de
France
. Les ballets, sous ce prince, reprirent tout leur
u’ils ne connoissent pas, aux dépens de ceux qui font la gloire de la
France
, et le triomphe de nos artistes ; j’ai pensé que
de la danse une conception bien différente de celle qui prévalait en
France
et en Italie. Dans la patrie d’Isaïe Tegner, il s
ueil très peu encourageant, si bien qu’elle ne tarda pas à quitter la
France
. L’Italie et l’Allemagne la consolèrent de la sév
udissements accoutumés. Elle poursuivit pendant de longues années, en
France
et à l’étranger, la carrière la plus glorieuse qu
afin que personne ne soupçonnât que l’héritier présomptif du trône de
France
et la reine de la danse avaient pu se trouver un
e de spectacle très goûté alors en Allemagne et peu répandu encore en
France
. Corinne, de Gérard, était représentée par Fanny,
128. Ils sont reproduits soit dans l’Histoire de l’Art dramatique en
France
, Paris, 7 vol., 1858-1859, soit dans les Portrait
ine, 15 août 1903. 132. Th. Gautier, Histoire de l’Art dramatique en
France
, t. I, p. 188-190. 133. Th. Gautier, Histoire de
t. I, p. 188-190. 133. Th. Gautier, Histoire de l’Art dramatique en
France
, t. I, p. 190. 134. Ch. de Boigne, Petits Mémoir
ts en fricassée ; il s’agit ici des poulets aux armes de la Banque de
France
; mais, quand elle est intelligente, elle ne déda
, qui d’ailleurs eut le mérite de comprendre Rossini, de le lier à la
France
par un traité en règle, et de donner à l’Opéra de
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