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1 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -
r par montrer la vérité, qui, considérée en elle-même, est l’idée que Dieu a de toutes choses ; et le jugement qu’il en port
ce. J’ai dit que la vérité, considérée en elle-même, c’est l’idée que Dieu a de toutes choses, et le jugement qu’il en porte
nt qu’il en porte ; c’est pour cela que la vérité est éternelle comme Dieu même ; et parce qu’il ne peut se tromper, toutes
et se conduisant selon ces erreurs et ces idées opposées à celles de Dieu . Aussi, toutes les saintes Écritures nous donnent
nt être la seule règle de nos jugemens et de nos actions. David dit à Dieu , dans le psaume 118, v. 151 : Toutes vos voies s
Toutes vos voies sont vérité : Omnes viæ tuæ veritas. Les voies de Dieu sont celles par lesquelles il vient à nous, ou ce
nt précis par rapport auquel on s’en écarte, on est hors des voies de Dieu qui sont toutes vérité ; et se peut-il que ce qui
i sont toutes vérité ; et se peut-il que ce qui est hors des voies de Dieu ne soit pas mauvais, rien ne pouvant être bon dan
ns caractères de bonté qui se trouvent dans chaque être particulier ? Dieu a autrefois fait entendre du ciel une voix par la
(Jean. 14, 6.) Je suis la voie, la vérité et la vie. La vérité que Dieu nous enseigne dans les saintes Ecritures, qui son
ue J. C. a en vue, et qui ne peut être le diable ? C’est la parole de Dieu et sa loi : Quis est adversarius tuus ? Sermo le
s que des voyageurs ; Quæ est via ? Vita ista. Comment la parole de Dieu est-elle notre adversaire ? Elle l’est en ce qu’e
pidité désire et ce à quoi elle nous porte. Par exemple, la parole de Dieu dit : Vous ne commettrez point d’adultère, et vou
contre vous. Accordez-vous avec elle pendant que vous êtes en chemin. Dieu veut bien venir à votre secours pour vous accorde
r vous accorder ensemble : Adest Deus qui vos concordet. Et comment Dieu vous accordera-t-il ensemble ? C’est en vous pard
r, dit à Salomon son fils dans les derniers avis qu’il lui donna, que Dieu lui promettant de conserver le trône à ses descen
fidélité devoit consister, il dit : (3. Reg. 2,4.) Que la parole que Dieu lui avoit donnée étoit qu’il auroit toujours des
e aux affaires de sa maison, parce qu’il alloit bientôt mourir, fit à Dieu une prière, où, pour lui représenter les sentimen
e. Mais au contraire, beaucoup de chrétiens, bien loin de désirer que Dieu fasse luire à leur cœur la lumière de la vérité,
che de la lumière, afin qu’on connaisse que ses œuvres sont faites en Dieu . Saint Augustin, réfléchissant sur l’amour que
re à ses inclinations ? Par un terrible, mais très-juste châtiment de Dieu , on est traité selon les désirs déréglés de son c
y sont tombés. S. Grégoire Pape a parlé de ce terrible châtiment que Dieu exerce contre ceux à qui la vérité déplaît et qui
nt apôtre, et aimé la vérité afin d’être sauvés , c’est pour cela que Dieu leur enverra une séduction si efficace, qu’ils cr
infaillible docteur de la vérité. Un troisième moyen d’en recevoir de Dieu la connoissance, c’est de la lui demander souvent
paroles, voilà deux mots différens que le prophète emploie en priant Dieu de lui envoyer sa lumière et sa vérité ; mais ces
, n.° 4.) Hæc nomina duo, res una. Qu’est autre chose la lumière de Dieu , que la vérité de Dieu ? Et la vérité de Dieu est
uo, res una. Qu’est autre chose la lumière de Dieu, que la vérité de Dieu  ? Et la vérité de Dieu est-elle autre chose que l
tre chose la lumière de Dieu, que la vérité de Dieu ? Et la vérité de Dieu est-elle autre chose que la lumière de Dieu ? Qu
de Dieu ? Et la vérité de Dieu est-elle autre chose que la lumière de Dieu  ? Quid enim aliud lux Dei, nisi veritas Dei ? au
ésus-Christ : Heureux ceux qui ont le cœur pur, parce qu’ils verront Dieu  ! et le cœur est d’autant plus pur, qu’il s’éloi
ge du péché qui en fait l’impureté, et qu’il s’unit plus intimement à Dieu qui est la source de toute pureté. Un quatrième m
pes de la morale chrétienne, et plus attentifs à enseigner la voie de Dieu dans la vérité, sans avoir égard à la qualité des
que l’on doit pratiquer ? Combien une telle hypocrisie irrite-t-elle Dieu et est-elle capable de faire pleuvoir, pour me se
nt dans ses confessions d’une manière fort touchante en s’adressant à Dieu comme vérité éternelle : (Confess. l. 10, c. 26,
is dans cette vue et dans cette intention. J’ai eu soin de demander à Dieu qu’il voulût bien bénir mon travail ; et je conju
arche, ayant l’esprit et le cœur remplis des sentimens de la bonté de Dieu à son égard. Quiconque n’auroit point d’yeux ni d
contraire auroit assez de force d’esprit pour n’y être occupé que de Dieu , pourroit innocemment se trouver à la danse, qui
métaphysiques et dans la spéculation. C’est un grand péché de tenter Dieu  ; quiconque se jeteroit dans la mer ou dans une f
nque se jeteroit dans la mer ou dans une fournaise, sous prétexte que Dieu a conservé dans le fond des abîmes le prophète Jo
qué qu’elles s’introduisirent dans l’Egypte au temps que le peuple de Dieu y étoit en captivité, qu’on commença d’abord à da
état qu’on les considère, les saints n’ont jamais pu se persuader que Dieu en soit l’auteur, et ils ont conclu au contraire
pu être que l’ouvrage du démon : ce qui a fait dire à Tertullien, que Dieu a formé le monde, mais que c’est le diable qui en
seurs. Mais je m’engage insensiblement dans cette matière. Demandez à Dieu , Monsieur, qu’il me fasse oublier le monde et ce
2 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VIII. Objections : Plusieurs directeurs permettent la Danse. » pp. 202-205
le flatter, et qui, en l’assurant qu’ils lui parloient de la part de Dieu , qui ne les avoit pas envoyés, l’engagèrent dans
ce ; pendant qu’un très-petit nombre plus occupés du soin de plaire à Dieu et de sauver ceux dont ils sont chargés, que de p
ux hommes, enseignent , à l’exemple de leur divin Maître, la voie de Dieu dans la vérité, sans avoir égard à la condition d
ns avoir égard à la condition des personnes  ? (Matth. c. 22, v. 16.) Dieu a permis par un très-juste jugement qu’Achab fût
consultoit pas dans une intention sincère de connoître la volonté de Dieu et de la suivre, mais avec un secret désir qu’on
qu’il vouloit ? C’est pour le punir de cette mauvaise disposition que Dieu permit au démon d’être un esprit menteur dans la
des enfans menteurs, des enfans qui ne veulent pas écouter la loi de Dieu  ; qui disent aux voyans : Ne voyez point, et à ce
’ont pas reçu et aimé la vérité pour être sauvés, c’est pour cela que Dieu leur enverra un esprit d’erreur si efficace qu’il
à trop haut prix : ils sont plus capables de rebuter que d’attirer à Dieu . N’est-ce pas là un langage à peu près semblable
3 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
ses en tous les temps, le sont particulièrement les jours consacrés à Dieu , et que la circonstance de ces jours est une circ
nt-elles défendues les jours particulièrement consacrés au service de Dieu  ? C’est afin que, s’abstenant des travaux et des
lus de loisir, plus de liberté d’esprit et de cœur pour s’appliquer à Dieu , aux exercices de piété, et à la grande affaire d
endre les jours de dimanches et de fêtes pour vaquer plus librement à Dieu  ; combien est-on criminel de leur substituer les
fêtes, c’est de réveiller et d’enflammer davantage en soi l’amour de Dieu et des biens célestes, en s’y occupant particuliè
our s’en purifier par de saints gémissemens, en s’en humiliant devant Dieu et lui en demandant pardon, du cœur plus encore q
s ces sentimens, quand on emploie une partie de ces jours consacrés à Dieu , à des danses, dont l’effet naturel et inévitable
qui ne la laisse plus assez maîtresse d’elle-même pour s’appliquer à Dieu , d’affoiblir et d’éteindre par là l’esprit de pri
fanes et toutes païennes ? Et cette profanation des jours consacrés à Dieu , n’est-elle pas une sorte de sacrilége ? Si quelq
e grande piété ? Les jours de dimanches et de fêtes étant consacrés à Dieu , comme une église, un autel, les habits et les va
la sainteté de ces jours, et avec ce qu’on y doit faire pour honorer Dieu  ? En tout ce qui a rapport à la Religion, si on y
. not. 3.) « L’observation du sabbat, c’est-à-dire du jour consacré à Dieu , nous regarde encore plus que les Juifs, parce qu
eux d’employer ce jour-là à leurs ouvrages de laine qu’à danser ! Que Dieu nous garde, mes Frères, de dire qu’ils observent
bat spirituellement, trouvant sa joie dans la méditation de la loi de Dieu , dans la considération et l’admiration de ses ouv
n vérité, dit-il, on pousse trop loin la licence. Les commandemens de Dieu , et en particulier celui qui regarde la sanctific
ondaine, l’esprit de recueillement et de componction que la parole de Dieu et ses louanges auront excité ? Disons donc que l
s, il ne reste plus qu’à désirer que tous ceux entre les mains de qui Dieu a mis son autorité, soit dans le for extérieur, s
u’on change les habits de son sexe pour prendre ceux de l’autre sexe. Dieu l’avoit défendu à son ancien peuple dans les term
homme un habit de femme ; car celui qui le fait est abominable devant Dieu . En effet, que de désordres et de scandales peuv
tôt : ce qui est un renversement de la nature, abominable aux yeux de Dieu . Qui s’attendroit, après une défense aussi expres
pportée, à trouver encore des chrétiens, qui, par un mépris marqué de Dieu et de ses volontés, vont directement contre ce qu
4 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
ux personnes qui l’ont reçu, pour attirer sur elles la bénédiction de Dieu . Et quel rapport y a-t-il entre ces prières qui o
iez, et quelque chose que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu  ? Et vous, au contraire, vous faites tout pour v
la troisième : Ce qui rend les danses encore plus abominables devant Dieu , est de les avoir introduites aux noces et solenn
nt qu’on y peut désirer : car le mariage est une sainte ordonnance de Dieu , pour réprimer la convoitise et toute impudicité.
ieu à l’impudicité, en quelque sorte, c’est renverser l’ordonnance de Dieu , la profaner, et en attirer des effets tout contr
en attirer des effets tout contraires. Or, telles sont les danses, et Dieu n’aura jamais pour agréable que l’on abuse des re
glise, afin que là leurs mariages fussent sanctifiés par la parole de Dieu et l’oraison, que leurs promesses fussent comme d
raison, que leurs promesses fussent comme déposées entre les mains de Dieu , que de sa bouche ils prissent les assurances de
x danses, voilà tous ces beaux commencemens renversés… On aura appelé Dieu pour être auteur de cette œuvre, et une heure apr
pour recevoir le diable et ses suggestions. N’est-ce pas se moquer de Dieu , et avoir appelé l’Eglise et les anges pour être
die et cet abus des choses saintes ? Et quelle sera la bénédiction de Dieu avec ce mépris ? Aux mystères des chrétiens, il n
veut avoir dans tout son cours. C’est ce qui se fait quand on appelle Dieu pour auteur de cet acte ; que l’on s’étudie à ne
avec plus de plaisir ? mais il faut devenir agréables, premièrement à Dieu , qui est là présent ; il faut aussi choisir des p
tiques du diable d’introduire là les danses, afin que l’ordonnance de Dieu fût violée, la sanctification du mariage changée
ent ensemble du milieu de nous, et que nous rendions l’institution de Dieu sainte en son entier, de peur qu’il ne se courrou
ose sacrée, pour mener la vertu, la modestie, la chasteté, l’honneur, Dieu même avec toutes ses grâces dans la maison des ép
âces dans la maison des époux. » Que répondront au jour du jugement à Dieu , tant de chrétiens qui connoissent si peu la sain
u la sainteté du mariage, et qui, y entrant sans aucune vue de servir Dieu et sans le moindre sentiment de piété, célèbrent
5 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166
prétendre s’en servir pour les justifier, c’est faire de la parole de Dieu un abus manifeste et intolérable. Cependant, pour
e saint Paul : (Tim. c. 3, vv. 16 et 17.) Toute écriture inspirée de Dieu , est utile pour instruire, pour reprendre, pour c
corriger et conduire à la piété et à la justice, afin que l’homme de Dieu soit parfait et disposé à toutes sortes de bonnes
s, est-on éloigné de penser à chanter ainsi des hymnes à la gloire de Dieu  ! Et ce qu’on y entend chanter, peut-il servir à
on de Marie, que tant de femmes ne suivirent alors que pour glorifier Dieu à son exemple, à l’envi les unes des autres ! Est
et qu’elle les empêche de se répandre au-dehors. « Un homme touché de Dieu jusqu’au fond du cœur, dit un célèbre interprète
rand. Ce prince religieux, emporté par les saillies de son amour pour Dieu , et devenu distrait pour tout ce qui l’environne,
ité ; et il quitte les marques de la majesté royale en la présence de Dieu , devant qui tout doit s’anéantir et disparoître. 
emple de David ? Y est-on occupé, comme lui, de l’infinie grandeur de Dieu et de l’extrême bassesse de l’homme ? Quoi, au co
esse de l’homme ? Quoi, au contraire, de plus capable de faire perdre Dieu de vue, que les danses dont le moindre mal est un
pendant qu’on danse, il venoit à l’esprit qu’on est en la présence de Dieu , et si le sentiment de cette divine présence comm
on que de prétendre autoriser des danses où l’on ne pense nullement à Dieu , par l’exemple de David, dont la danse n’exprimoi
ouveau testament, dont le sujet est la réconciliation des hommes avec Dieu par Jésus-Christ ; et vous n’avez point dansé ,
et qui aime à boire. C’est avec raison, conclut saint Ambroise, que Dieu a rejeté le peuple juif, parce qu’il n’a point fa
iser ; et les saints, au contraire, se servent, pour s’élever jusqu’à Dieu et aux choses spirituelles, de ce qui paroît dans
. Le but de ces danses dont parle l’Ecriture étoit « de se réjouir en Dieu en lui rendant grâces ; ce que ne pouvoient faire
e des personnes si saintes, jouissant si saintement en la présence de Dieu , avec une sainte modestie et une gravité convenab
arie avec des tambours et autres instrumens, mais en donnant gloire à Dieu de la délivrance de son peuple ; car cela est exp
c avoient pour unique fin une affection véhémente de donner louange à Dieu avec le témoignage d’une joie sainte ; et celles-
e personnes touchées et émues d’une douce jouissance des bienfaits de Dieu  ; et ce sont ici des danses, après des banquets,
vient point du père, mais du monde. Si la concupiscence n’est pas de Dieu , tout ce qui la favorise, et plus encore tout ce
6 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
e fruit qui se peut tirer des meilleures choses dépend de la grâce de Dieu dont les jugemens sont impénétrables ; et la dépe
êcher de prendre tous les moyens extérieurs qu’il est dans l’ordre de Dieu que l’on prenne pour le pratiquer ou pour le proc
pourquoi vouloir mettre des bornes à la bonté et à la miséricorde de Dieu , et ne pas espérer que, par le secours de sa grâc
’est cette même espérance qui nous anime. D’ailleurs, nous savons que Dieu nous demande notre travail, et non le fruit de ce
er et d’arroser, ne sait pas si son travail réussira, parce que c’est Dieu qui donne l’accroissement à ce qui est planté et
uoique le peuple Juif résistât opiniâtrément à la voix des Prophètes, Dieu ne laisse pas de dire à Isaïe : Criez sans cesse
les et immuables, qui sont réservés dans le ciel pour ceux qui aiment Dieu . Si nous savons nous aimer nous-mêmes, ne nous me
ratiquées et des maux qu’on aura soufferts patiemment pour l’amour de Dieu , faudroit-il faire tant d’efforts pour nous persu
renoncer à des plaisirs qu’on ne peut guère se procurer sans offenser Dieu , et en particulier à celui des danses ; et ne nou
7 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IX. Objection : Si l’on défend les Danses, on abandonnera l’usage des sacremens. » pp. 206-207
s. (Osée, c. 13, v. 9.) Au reste, le vrai moyen d’attirer les ames à Dieu n’est pas de violer les règles selon lesquelles l
r à les observer fidèlement ; parce que c’est à cette observation que Dieu attache sa bénédiction sur le ministère. Et en ef
les plus instruits des règles et les plus attentifs à les suivre, que Dieu les opère : ils ont à la vérité la douleur de se
exhortations sont soutenues par des prières fréquentes et ferventes ; Dieu leur donne aussi de temps en temps la consolation
8 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VII. Témoignage d’un célèbre Jurisconsulte contre les Danses. » pp. 94-98
danses publiques. C’est donc manquer tout à la fois à ce qu’on doit à Dieu , et aux princes dont la puissance est une image e
ent : (Matth. c. 22, v. 21.) Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Réflexions. Sur les T
2, v. 21.) Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu . Réflexions. Sur les Textes que l’on vie
les lois des supérieurs qui sont justes et qui tendent à la gloire de Dieu et au bien des ames ? Les évêques assemblés dans
la vie spirituelle de la grâce, que nous pouvons, avec le secours de Dieu , ne perdre jamais, si nous le voulons ? C’est Die
avec le secours de Dieu, ne perdre jamais, si nous le voulons ? C’est Dieu même qui, comme on l’a fait voir, a révélé dans s
. Est-ce là rendre l’hommage que l’on doit à la vérité infaillible de Dieu , qui ne peut ni se tromper, ni nous tromper ? N’e
9 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
ne de leurs plus essentielles vertus, c’est le zèle pour la gloire de Dieu et pour le salut du prochain, en sorte qu’on puis
ardent, un zèle dévorant ; cependant toujours réglé par la sagesse de Dieu et conduit par son esprit, qu’il faut, pour l’obt
t voir, sans en être ému et sans la plus vive douleur, ce qui offense Dieu et ce qui perd les ames. Or, nous avons vu de com
e je brûle ? C’est comme si le saint apôtre disoit : Je ne puis voir Dieu offensé, et quelqu’un de mes frères se perdre en
danger ne l’empêcha pas d’y retourner à la première fête, doutant si Dieu ne lui avoit pas réservé cette occasion pour répa
scrétion du démon, et apprirent aux autres à craindre les jugemens de Dieu dans ceux de son Eglise. Leurs peines et leurs hu
tre ceux qui s’obstinent dans l’erreur ou dans de grands déréglemens. Dieu a visiblement autorisé ce jugement que saint Eloy
u’aux prières du saint évêque. L’exemple de ces malheureux frappés de Dieu , d’une manière éclatante, pour avoir résisté à le
des murmures et non de bonnes raisons, ne se rassurent pas sur ce que Dieu ne se déclare pas par des punitions sensibles, co
omme il en exerça autrefois contre ceux qui résistèrent à saint Eloy. Dieu est patient parce qu’il est éternel, et souvent i
rvirent à les faire rentrer en eux-mêmes ; au lieu que le silence que Dieu garde maintenant, pour l’ordinaire, à l’égard de
a représenté en son entier : mais le Seigneur vouloit du profit ; car Dieu est, pour ainsi dire, avare par rapport à notre s
nces des temps, des lieux et des personnes, en imitant la conduite de Dieu dont il est dit (Sagesse, c. 8, v. 1.) Qu’il att
à-dire, pour m’expliquer plus clairement, comment ils rendent au vrai Dieu le culte qui lui est dû, (car ce n’est que pour a
ci à une crainte bien plus forte ; car je craindrois et de déplaire à Dieu , et de manquer à l’amitié que vous avez voulu qui
enseignassent toujours, à l’exemple de leur divin Maître, la voie de Dieu dans la vérité ! Ayons soin de demander à Dieu de
vin Maître, la voie de Dieu dans la vérité ! Ayons soin de demander à Dieu des ministres ainsi remplis de la lumière et de l
10 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
corps ; mais en mettant votre plaisir dans la méditation de la loi de Dieu , et à admirer ses ouvrages dans la création du mo
s, tom. 2, pag. 123.) « Oubliant, dit ce saint docteur, la crainte de Dieu , et méprisant le feu de l’enfer, au lieu qu’elles
aîtresse d’elle-même, pour régler tous ses pas d’une manière digne de Dieu  ? Si ces jeunes personnes n’ont pas formellement
fin, dans les danses d’aujourd’hui, respecte-t-on plus la présence de Dieu et des Anges, qu’on ne faisoit dans celles dont s
e idée des mystères de Jésus-Christ, de l’étendue des commandemens de Dieu , des grâces attachées aux sacremens, des disposit
nt d’empressement à écouter ses instructions, auroit-il pu, après que Dieu l’eut touché, et ensuite élevé à l’épiscopat, n’ê
pas pour les abolir ! Et quelle consolation fut-ce pour lui, lorsque Dieu bénissant son ministère, il eut le bonheur d’y ré
temps que les princes infidèles persécutoient les adorateurs du vrai Dieu , le démon avoit la forme de lion, la fureur des p
ritables chrétiens. Lorsqu’on fabriqua ce veau d’or, Moïse étoit avec Dieu sur la montagne de Sinaï, pour recevoir de sa mai
s doit être, selon l’apôtre, (2. Cor. c. 3, 113,) de porter la loi de Dieu écrite dans leur cœur, nous ne pussions pas amoll
t en effet brisé par la force et l’onction de ses paroles, à laquelle Dieu joignit l’onction intérieure de sa grâce. Rien n’
me à Alippe du fruit de son discours. Il le finit en les menaçant que Dieu les frapperoit par la verge de fureur, s’il mépri
utes les paroles de ces saints livres sont véritables et inspirées de Dieu , comme elles le sont en effet, il est incontestab
ourd’hui serviteurs de Jésus-Christ, et demain apostats et ennemis de Dieu . Ne vous y trompez pas, mes frères, ne vous y tro
lon la parole de Jésus-Christ. (Matth. c. 6, v. 2.) On ne peut servir Dieu , et danser en quelque sorte avec le démon : Nemo
ons reçu de l’apôtre le commandement de tout faire pour la gloire de Dieu . (1 Cor. c. 10, v. 31.) Est-ce à quoi l’on fait
nnent point à des chrétiens, mais aux païens qui ne connoissent point Dieu  : Iterùm dico, non sunt ista christianorum, sed
assemble jamais pour les danses, est-il dit dans ce concile, sans que Dieu y soit beaucoup et très-grièvement offensé : Ad
xercices de piété par lesquels les jours particulièrement consacrés à Dieu doivent être sanctifiés : Iis ipsis diebus fidel
le finit par dire « que ces maux sont certainement très-grands devant Dieu et devant l’Eglise : Hoc certè gravissimum est i
ent avec un peu de foi peut-on ne pas craindre de s’en charger devant Dieu , même sans commettre soi-même ces péchés, en pren
sseurs à cet égard, suffit seul pour les rendre très-criminels devant Dieu , combien plus le sont ceux qui ne rougissent pas
11 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
cret désir de plaire, quoique confus et sans aucun objet particulier. Dieu qui vouloit apprendre aux filles de tous les sièc
e une passion sans mesure, et que Dina en fut la malheureuse victime. Dieu avoit protégé contre de pareils dangers Sara et R
ait aux danses ? On ne peut être chaste que par une grâce spéciale de Dieu , de qui vient la chasteté comme toutes les autres
grand moyen d’obtenir cette grâce, c’est de la demander instamment à Dieu . C’est ce que reconnoît Salomon par ces paroles d
8, v. 21.) Comme je savois que je ne pouvois avoir la continence, si Dieu ne me la donnoit, et c’étoit déjà un effet de la
ont aux danses, croient pouvoir par elles-mêmes et sans le secours de Dieu , conserver la chasteté, ou si, étant persuadées q
icorde, elles se préparent aux danses par des prières qu’elles font à Dieu d’échapper aux piéges qui sont tendus de toutes p
pour éviter ce malheur il leur vienne à la pensée de se recommander à Dieu pour être en garde contre tout ce qui peut attaqu
pour en demander la conservation, et quel effet auroient-elles devant Dieu  ? Ne seroit-ce pas plutôt l’insulter que le prier
périra, mais celui qui l’aime, (et on l’aime, quand on le recherche). Dieu veut bien nous aider dans les tentations qui nous
12 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Amours de Vénus, ou les Filets de Vulcain. Petit ballet en action. » pp. 169-175
aux lauriers, avant d’abandonner l’Amour pour voler à la victoire, ce Dieu fait à Vénus les plus tendres adieux. Cette Déess
ts délicieux. Scène I. Les Nymphes jouent avec l’Amour. Le Petit Dieu veut se venger de la plus jeune d’entre elles ; i
énus ; elle l’engage à fuir et à se dérober à la fureur jalouse de ce Dieu . Il disparoît, et il est remplacé par l’Amour qui
mplacé par l’Amour qui tombe aux genoux de sa mère dans l’attirail du Dieu des combats. Cet accoutrement fait rire Vénus, ma
la jalousie lui trouble la cervelle. Mars, sans faire attention à ce Dieu , redouble ses empressemens pour Vénus ; Vulcain e
13 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93
disent, mais qu’ils sont à la vérité, faisant profession de connoître Dieu , dit l’Apôtre, mais le reniant par leurs œuvres. 
it posséder entièrement leurs cœurs, savoir : la connoissance du vrai Dieu , l’étude et la méditation des choses célestes, le
t un témoignage de vertu. Voilà la mesure de nos pas que la parole de Dieu nous recommande, non pas de garder mesure à rendr
s ses aises. Reste-t-il parmi ces gaîtés aucunes traces de crainte de Dieu , de guerre contre la concupiscence, de mortificat
Quant aux jeunes femmes et filles, ajoutent-ils, ce que la parole de Dieu leur ordonne, « pour conserver leur âge tendre en
s nous tromperons… Là-dessus se promettre l’assistance de la vertu de Dieu , quand on délaisse ses voies pour suivre le dange
notre prochain en peut être aidée, et si elles tendent à la gloire de Dieu . Notre vocation exige que nous fuyions le péché j
mions point au monde, mais que nous prenions pour règle la volonté de Dieu , pour bien ordonner toutes les parties de notre v
mi tant de vices et d’attraits au mal. Il n’y a rien de la volonté de Dieu en de telles insolences, qui sont autant de façon
e telles insolences, qui sont autant de façons profanes du monde ; et Dieu ne sauroit avoir en aucune action, le cœur plongé
ples de cœurs s’enivrant de plaisir… Pour ce qui regarde la gloire de Dieu , nous laissons à juger après toutes ces considéra
ns, ni à la charité et à l’édification du prochain, ni à la gloire de Dieu , que leur peut-il rester pour les dire bonnes ? »
urra-t-elle être dans tout son corps ? Quelle espérance aura-t-on que Dieu l’approuve, et veuille mêler ses bénédictions par
pas agir prudemment. Aux chrétiens bien sages, la crainte d’offenser Dieu , l’amour de la vertu, la garde de leur salut sont
chez nous ce que nous ne pouvons tenir et conserver avec la grâce de Dieu entière. Et, s’il nous prend donc envie de danser
he de nous attirer dans ses pièges et de nous perdre. Laissons ce que Dieu condamne, soyons prudens pour obtenir les progrès
se garantir. N’est-ce pas là faire tomber sur soi la malédiction que Dieu prononce par le prophète Isaïe, lorsqu’il dit : (
cœur, de louer ce qui ne mérite que des larmes, et d’approuver ce que Dieu condamne. » Cette réflexion si lumineuse ne peut
14 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
célébration de leurs fêtes, suivant la loi qu’ils en avoient reçue de Dieu  : elle consistoit parmi eux à danser des danses c
x chants des Cantiques, des Hymnes & des Pseaumes à la louange de Dieu , composez par le Sacerdoce. C’est ce qui a fait d
lité avec laquelle nous devons aller, quand il s’agit de la gloire de Dieu . Le premier acte de Religion où les Hébreux emplo
l’air d’un Cantique contenu au 15 chapitre de l’Exode, pour remercier Dieu d’avoir délivré son peuple de la persécution des
aon au passage de la mer rouge ; ce ne fut pas le premier miracle que Dieu eût fait en leur faveur. Depuis ce tems-là ils in
e parmi les Israélites, plus elle a passé pour être criminelle devant Dieu , parce qu’elle étoit faite à l’imitation de celle
ort au culte de la Religion, par l’invocation que le Psalmiste fait à Dieu , & pour inviter son peuple à l’honorer par de
; organo. Le chapitre 31 des Prophéties de Jérémie, nous apprend que Dieu promet à son peuple, qu’après les peines de l’exi
eur captivité. La premiere étoit au mois de Mai, pour rendre graces à Dieu des fruits qu’il leur avoit donnez, dont ils lui
t en danses aux chants des Cantiques & des Hymnes à la louange de Dieu , avec des festins publics, & autres plaisirs
chantant des Pseaumes, des Hymnes & des Cantiques à la louange de Dieu  ; ce qui se confirme aussi par l’apologie que Ter
iques, danse tant que tu voudras, mais danse comme David pour honorer Dieu  ; & ne danse pas des danses dissolues, comme
rtout en Provence, aux Processions solemnelles ; quoiqu’il semble que Dieu même ait voulu réformer cet abus par une punition
ncrée, a crû que l’origine de la danse Sacrée étoit fondée sur ce que Dieu étoit regardé par les Grands-Prêtres comme un nom
es composées au chant des cantiques, & des hymnes à la louange de Dieu , ainsi que les premiers Chrétiens l’ont fait à le
15 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194
Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. Pour servir de Su
rétendent que c’est sur les principes de cette Musique naturelle, que Dieu a créé l’Univers, & qu’il en a formé l’arrang
éxemples qui peuvent persuader que les Anges sont les Ambassadeurs de Dieu , desquels il se sert quelquefois pour nous annonc
& de la Musique céleste, qui passe pour être émanée de l’idée de Dieu , suivant le sentiment de S. Denis l’Aréopage, dan
monieux, orné d’une voix fléxible & sonore, composé de la main de Dieu , avec la matiere la plus pure des quatre élémens,
faisoit sur les principes de la Musique naturelle, fondez sur ce que Dieu a dit qu’il avoit réglé ses bornes ; du moins peu
ai vû & fait plusieurs fois l’expérience. Ainsi il a été facile à Dieu de donner aux Planetes un mouvement harmonieux, s
16 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
l’année, à l’occasion des danses qui ont coutume de s’y faire, et où Dieu se trouve offensé en plusieurs manières, nous déf
ir que ceux à qui la danse est en particulier une occasion d’offenser Dieu mortellement et de se damner, sont incapables d’a
rter à faire un bon usage des calamités publiques dont il avoit plu à Dieu de les visiter les années précédentes, et à se ré
rincipaux péchés qui ont pu allumer contre eux le feu de la colère de Dieu , pour les exhorter à y renoncer et à les faire ce
dit-il, comme on faisoit auparavant, les jours dédiés à la gloire de Dieu , par des œuvres serviles, par des jeux et des dan
s d’en rapporter suffit pour montrer à quoi le zèle pour la gloire de Dieu et pour le salut des ames, porte ceux qui en sont
qu’à des personnes ivres ou insensées ; et vous qui êtes un enfant de Dieu , et qui êtes éclairé de la lumière céleste de l’E
rmon du même cardinal, sur ces paroles de saint Luc : (c. 1, v. 26.) Dieu envoya l’ange Gabriel en une ville de Galilée app
dans toute occasion, pour attaquer et faire tomber les serviteurs de Dieu , qui sont les ennemis de ces esprits de malice. »
même saint continuant à parler contre les danses, traite d’ennemis de Dieu ceux qui les aiment ; et il ajoute qu’il n’est pa
garde comme tels, puisqu’ils agissent contre tous les commandemens de Dieu , et contre tous les sacremens. Il le prouve par l
voir avant de mourir, puisque par les danses on se sert pour offenser Dieu , de ses pieds qui ont été sanctifiés par les onct
r. » Si ceux qui aiment les danses se déclarent ainsi les ennemis de Dieu par les outrages qu’ils font par elles à tous les
sacremens, ils se déclarent en même temps les ennemis des saints que Dieu glorifie dans le ciel, en profanant leurs fêtes p
ables comme nous sommes de tant de péchés, que deviendrons-nous quand Dieu nous jugera, si ceux que nous pouvons avoir pour
, puisqu’en chantant de saints cantiques, on peut être par là élevé à Dieu et aux choses spirituelles ; mais dans les danses
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
s Fêtes qu’elle avait établies, pour leur rappeler les bienfaits d’un Dieu sauveur. La Danse avait été de tous les temps un
acerdoce de la Loi nouvelle formait des Danses sacrées à l’honneur du Dieu des Chrétiens. Chaque Mystère, chaque fête avait
nses. Les Prêtres, les Laïcs, tous les Fidèles dansaient pour honorer Dieu . Si l’on en croit même Scaliger, les premiers Évê
eigne quelle est la joie et l’agilité avec lesquelles on doit aller à Dieu  ; et lorsque ce Père reproche à l’Empereur Julien
élébrait dans le Ciel, la miséricorde, les bienfaits, et la gloire de Dieu . Cependant la Danse sacrée de l’Église, susceptib
18 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
Quatrième partie. La décoration représente le Palais de Pluton. Ce Dieu et Proserpine sont assis sur leur trône ; les Jug
enchanteurs de sa lyre : Pluton est ému et Proserpine attendrie ; le Dieu ordonne aux Juges de son empire de remettre Eurid
sera dans son empire. Orphée exprime sa reconnoissance, et la cour du Dieu des Enfers se livre à des danses que les chants d
us bel ornement de ses fêtes, paroît, et descend du Mont Rhodope : ce Dieu est dans un char traîné par des tigres ; une foul
troupe de jeunes Faunes : les Bacchantes, effrayées des regards de ce Dieu , reculent et n’osent plus lever les yeux. La terr
nt insensiblement, laisse voir l’Amour et Euridice. La présence de ce Dieu charmant ranime bientôt Orphée ; il ouvre ses yeu
19 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
? Et que deviendra en beaucoup d’occasions l’observation de la loi de Dieu , si la coutume (qui est très-souvent contraire) e
ultitude qui se porte à des actions qui passent ainsi en coutume. Or, Dieu disoit à son ancien peuple dans le livre de l’Exo
ant les chrétiens à ne pas suivre les coutumes contraires à la loi de Dieu , établit ce grand principe qu’il ne faudroit jama
nes, ni les priviléges des pays ne peuvent prescrire contre la loi de Dieu  ; car c’est quelqu’une de ces trois choses qui do
er de faire éclater son zèle contre le mépris très-réel qu’on fait de Dieu , quoiqu’on ne se l’avoue pas à soi-même, en préte
ngtemps qu’on auroit dû ôter. » Ce saint, repassant sous les yeux de Dieu ses égaremens passés, gémit en particulier sur ce
loit à Jérusalem au temple du Seigneur, où il adoroit le Seigneur son Dieu , en lui offrant fidèlement les prémices et les dî
(Tobie, c. 1, vv. 2 et suiv.) Cette coutume, si contraire à la loi de Dieu , ne faisoit donc aucune impression sur l’esprit e
jeune Tobie : pourquoi en feroit-elle sur nous ? Ne devons-nous pas à Dieu la même fidélité que ce saint homme ? Et nous est
rovidentiâ.) se plaignoit de ce que de son temps, après avoir reçu de Dieu quelque faveur publique, on alloit, en signe de r
20 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
Amour qui l’inspire ; c’est lui qui fait naître le courage ; c’est ce Dieu qui a suscité l’orage et soulevé les flots, c’est
blesse le doigt ; l’epine de cette rose est une flèche de l’Amour. Ce Dieu la console ; il ramasse la fleur échappée de la m
folâtrant les jeunes Athéniennes au bord de la mer. A l’aspect de ce Dieu , les barques des Corsaires s’engloutissent, et, p
danse autour de ce pavois, et on les conduit au temple de l’Amour. Ce Dieu qui avoit disparu, se montre avec tous les attrib
21 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IV. Jugement des Conciles contre les danses. » pp. 44-50
grands les artifices du diable pour susbstituer son culte à celui de Dieu et des saints. » Il en donne pour preuves qu’aux
es et d’assister à l’office divin et à la prédication de la parole de Dieu , mais où il a encore trouvé moyen d’introduire be
e tout ordre qu’en des jours qui sont destinés à apaiser la colère de Dieu , les fidèles se laissent détourner, par les artif
aux jeux un temps destiné â assister à l’office du soir, pour y louer Dieu d’un même cœur et d’une même bouche : Multò minù
donne ensuite la raison de cette défense. C’est, dit-il, de peur que Dieu ne se plaigne de la manière dont nous célébrons l
22 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
endant sept jours. C’est en se rappelant cette fête, que le Peuple de Dieu imagina dans le désert, la danse sacrilège autour
e fut nombreuse et solennelle, plus elle parut abominable aux yeux de Dieu , parce qu’elle était une imitation des danses imp
les Prêtres d’Osiris avaient pris originairement des Prêtres du vrai Dieu , une partie de leurs cérémonies ; le Peuple juif,
23 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XI. On doit non-seulement éviter les Danses, mais on doit même éviter, autant qu’on peut, d’être présent aux danses. » pp. 126-131
blée ? Quel doute qu’ils ne se rendent d’autant plus criminels devant Dieu , que leur exemple est plus capable de faire impre
i néglige de le faire, ne doit-il pas prendre pour lui ces paroles de Dieu dans la prophétie d’Ezéchiel ? (c. 33, v. 6.) Qu
demanderai son sang à la sentinelle. C’est là un langage figuré dont Dieu donne lui-même l’explication sur-le-champ, en ajo
ns ceux et celles qui refuseront de se rendre à ses avis ; de faire à Dieu de fréquentes et de ferventes prières pour obteni
24 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22
t été surpris par la beauté d’une femme étrangère, ont été rejetés de Dieu  ; car l’entretien de ces femmes brûle comme un fe
’ont que trop souvent fait faire à la chasteté de funestes naufrages. Dieu a permis que plusieurs justes s’y soient brisés,
distance entre nous et ce qui peut nous exposer au danger d’offenser Dieu , le péché étant le plus grand de tous les maux. L
rectement contre ce précepte, que d’employer à la danse des pieds que Dieu ne nous a donnés que pour marcher décemment et av
voir et nos besoins nous appellent ? Ne pourroit-on pas même dire que Dieu est comme foulé aux pieds des personnes qui danse
uvais désirs ; puisque ce sont ces excès qui font tomber la colère de Dieu sur les hommes rebelles à la vérité. Bien loin q
25 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
ou dans des occasions de réjouissance publique, pour rendre grâces à Dieu , l’honorer, et publier ses louanges. [Voir Traité
e la nation sainte célébrait quelque événement heureux, où le bras de Dieu s’était manifesté d’une manière éclatante, les Lé
s solennelle. C’est à l’imitation de cette dernière, que le peuple de Dieu imagina dans le désert la danse sacrilège autour
nombreuse, pompeuse, et solennelle, plus elle a été abominable devant Dieu , parce qu’elle était une imitation des danses imp
Egypte. Les prêtres d’Osiris avaient d’abord pris des prêtres du vrai Dieu une partie de leurs cérémonies, qu’ils avaient en
émonies, qu’ils avaient ensuite déguisées et corrompues. Le peuple de Dieu à son tour entraîné par le penchant de l’imitatio
s fêtes qu’elle avait établies, pour leur rappeler les bienfaits d’un Dieu sauveur. Les persécutions troublèrent plusieurs f
rdoce de la loi nouvelle formait des danses sacrées en l’honneur d’un Dieu mort sur une croix pour le salut de tous les homm
r d’un Dieu mort sur une croix pour le salut de tous les hommes, d’un Dieu ressuscité le troisième jour pour consommer le my
ses ; les prêtres, les laïcs, tous les fidèles dansaient pour honorer Dieu  ; si l’on en croit même le témoignage de Scaliger
26 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
es choses vaines ; les éclats de rire qui font oublier la présence de Dieu , et le compte qu’il faut rendre de ses moindres a
cteur… Parmi ces commotions dont je parle, qui peut élever son cœur à Dieu  ? Qui ose lui dire qu’il est là pour l’amour de l
ait le fonds de la vie humaine, depuis que l’homme a perdu le goût de Dieu  ? « Quelle que soit la sévérité qu’on verra dans
sieurs religieux et personnes de piété étoient à la même heure devant Dieu , chantant ses louanges, et contemplant ses divine
27 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 25 février 1662 »
(Un des preux Héros de la Terre)26 Y parut en foudre de guerre, En Dieu triomphant et vainqueur ; Saint-Aignan, dont le b
Monsieur de Guise, Et qui dans ce splendide lieu, Représentait icelui Dieu . Illec, quatre antiques Monarques, Dès longtemps
28 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre V. Premier emploi de la Danse »
très vraisemblable que les hommes chantèrent d’abord les bienfaits de Dieu , et ils dansèrent, quoique sans doute assez mal,
29 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 8 février 1670 »
nt Sire : Qui, sans contrefaire ces Dieux, Est, par ma foi, bien plus Dieu qu’eux. Ailleurs, je reprendrai Carrière Sur ce
30 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182
ux marins sort du sein de la mer ; Amphitrite est placée à côté de ce Dieu  ; ce char, ou cette conque marine, est environnée
beau au feu vif et brillant de celui de l’Amour. Les Prêtresses de ce Dieu font brûler des parfums. Les jeunes époux posent
s celles de Junon, et des mains de l’Amour dans celles de sa mère. Ce Dieu fatigué et sachant bien que toutes les Déesses ai
prétentions à la beauté, enlève la pomme et la présente à Jupiter. Ce Dieu voulant faire cesser une querelle qui trouble une
31 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — Avril (2ème moitié) : La Grotte de Versailles ou L’Églogue de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 28 avril 1668 »
s, Tout rit aux sens et les enchante, Mais où pas un Serpent d’Amour, Dieu , comme on sait, suivant la Cour, Et qui ne tente
32 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du samedi 18 avril 1671 »
ûte, chaque journée, Le matin, & l’après dinée. Ainsi, donc, le Dieu des Jardins, Ne pousse que des soupirs vains Aupr
ets, qui sont transformez, Et tous, en Satires, formez. Ensuite, le Dieu , se patronne En la Nourrice de Pomone, Qui, sur E
33 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VI. Définition, et Division de la Danse sacrée »
u dans les occasions de réjouissances publiques, pour rendre grâces à Dieu , l’honorer, et publier ses louanges. On a encore
34 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
par les Livres Saints, ont regardé leur danse Sacrée comme un don de Dieu , au culte duquel ils l’ont employée, quoique suiv
ubliques ; quoique Philostrate en attribue l’invention à Comus, comme Dieu des Festins, desquels le Bal faisoit l’accompliss
Bacchantes en qualité de ses Prêtresses, sous prétexte de rendre à ce Dieu des honneurs convenables, instituerent, à ce que
35 (1921) Danse et musique « Danse et musique, par André Suarès — XI » p. 141
re. La musique seule fait l’assemblée. Infini ou absolu, Amour enfin, Dieu sensible au cœur, voilà ce que l’art des sons pro
36 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 9 janvier : Le Triomphe de Bacchus dans les Indes ou Ballet de Créqui — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 16 janvier 1666 »
it point encore paru Et qui certes a beaucoup plu. Après, BACCHUS, le Dieu des Brindes, Se fit voir Triomphant aux Indes, Da
37 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 23 février 1669 »
que le Prix N’est dû qu’aux seules FLEURS DE LYS. Après quoi, ce même Dieu chante, D’une manière bien charmante, Ainsi qu’av
e Duc de Chevreuse. 110. Le Duc et le Chevalier de Vendôme. 111. Le Dieu des Divertissements et de la Galanterie, représen
38 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 novembre : Les Amours de Diane et d’Endimion — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 14 novembre 1671 »
re, Et, par d’autres petits Amours, Lesquels volent à son secours, Ce Dieu des plaisirs, et des peines, Le fait, encor, char
Et le Berger, lors, éveillé, Qui, de la sorte, est enrôlé, Dessous le Dieu , par qui l’on aime, S’en plaint comme d’un mal ex
39 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre IV. Objection : On danse en public. » pp. 175-176
servir d’être pur aux yeux des hommes, si on ne l’est pas aux yeux de Dieu qui sonde les reins et les cœurs , (Ps. 7, v. 10
40 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 11 août : Fête à Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 17 août 1669 »
our vint jouer de l’Arc Parmi nos charmantes Chrétiennes, Avec qui ce Dieu fait des siennes. On visita la Grotte après, Da
41 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 11 février 1662 »
ernier dans un appareil Assez conforme à la manière Que l’on peint ce Dieu de lumière : Mais, surtout, furent admirés De son
e Ballet que nul n’égale, Dont la dépense est si Royale, Monsieur que Dieu conserve, amen, Représente, en dansant, l’Hymen.
42 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 octobre : Monsieur de Pourceaugnac — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 octobre 1669 »
ans les Églogues, On s’entendait sur les douceurs Que produit le beau Dieu des Cœurs : Concluons que, sans lui, la Vie N’est
43 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Psyché et l’Amour. Ballet héroï-pantomime. » pp. 121-134
une foule d’adorateurs et d’avoir ravi l’Amour à son empire. Ici, ce Dieu devient suppliant, Psyché s’humilie et sollicite
résence ne fait que l’irriter d’avantage, elle reçoit l’hommage de ce Dieu avec le Dédain offensant du mépris, cependant la
s toute sa gloire ; non seulement il veut être témoin de l’union d’un Dieu qui lui est cher, mais il veut encore donner l’im
autel de l’Hymen ; elle y fait serment de n’aimer que l’Amour ; et ce Dieu , qui jure imprudemment de lui être fidèle, lui pr
44 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
nes qui liront ce traité doivent demander, et que je dois aussi prier Dieu de leur accorder afin qu’il leur profite. Esprit
45 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
s s’ennuyer, et cependant sans faire ni se permettre rien qui offense Dieu . M. Bossuet viendra encore ici à l’appui de cette
atées une seule fois par un mouvement qui lui paroissoit indigne d’un Dieu fait homme. Je ne m’en étonne pas ; car nos doule
dans la joie de la conscience, et dans la douce espérance de posséder Dieu . Nul récit, nulle musique, nul chant, (j’ajoute n
46 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre premier. Réponses aux objections qu’on fait pour affoiblir, et détruire même, s’il étoit possible, ce qui a été dit contre les Danses. » pp. 149-150
eurs écarts, pour tâcher de les ramener. J’espère, avec le secours de Dieu , que les réponses que je donnerai à chacune de ce
47 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre V. Objection : On n’a pas été tenté dans les Danses. » pp. 177-178
s de vaines excuses ni des défenses qui ne peuvent nous servir devant Dieu . Notre grande défense consiste à nous éloigner de
48 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 29 janvier : Le Mariage forcé — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 février 1664 »
révère Dans la Cour de la Reine Mère, M’y fit entrer, m’y fit placer, Dieu l’en veuille récompenser : Enfin, par la bonté d’
49 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211
anase dans la vie du second : je sçai bien que l’on répond à cela que Dieu pouvoit permettre ces sortes d’apparitions avant
i faire entendre que cette entreprise étoit apparemment désagréable à Dieu qui avoit réglé l’ordre de la nature dans le tems
les Philosophes qui se mêlent de vouloir pénétrer dans les secrets de Dieu par l’Etude de la Théologie sécrete, attribuent c
50 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
t accorder à la créature l’amour sublime et complet que nous devons à Dieu seul. Mon ami, tout cela est faux. Dieu ne nous p
et complet que nous devons à Dieu seul. Mon ami, tout cela est faux. Dieu ne nous permet pas seulement d’aimer, il nous le
n triste état de santé qui ne permet pas que nous nous absentions, et Dieu sait combien durera cette maladie, qui dure déjà
inte de moi toute sa vie. C’est tant pis pour moi, je n’accuse jamais Dieu , donc je crois que tout le mal qui nous arrive vi
51 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre première. À Voltaire. » pp. 2-7
es routes différentes ; il sera guidé par le flambeau de l’Amour ; ce Dieu applaudira malignement à la noirceur de son proje
sant le coeur du héros ; comme le lieu de la scène est embélli par ce Dieu , et que ce que la volupté a de plus séduisant s’y
52 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215
se retourne du côté de son fils, elle semble le consulter : le petit Dieu applaudit à sa beauté, il se jette avec transport
peut être agitée, et il les rappelle toujours à celui du bonheur, ce Dieu satisfait et content de sa victoire, cherche à se
Monsieur, perd tout à la lecture ; vous ne voyez ni la Deêsse, ni le Dieu , ni leur suite, vous ne distinguez rien ; et dans
tent une forêt vaste et sombre ; les Nymphes qui n’ont point perdu le Dieu de vue, entrent précipitamment sur la scène ; mai
s touchées de leurs peines, engagent l’Amour à leur être propice : ce Dieu voltige autour d’eux, et d’un souffle léger il le
53 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434
se retourne du côté de son fils, elle semble le consulter ; le petit Dieu applaudit à sa beauté, il se jette avec transport
eut être agitée & il les rappelle toujours à celui du bonheur. Ce Dieu satisfait & content de sa Victoire cherche à
Monsieur, perd tout à la lecture ; vous ne voyez ni la Déesse, ni le Dieu , ni leur suite. Vous ne distinguez rien, & da
t une forêt vaste & sombre ; les Nymphes qui n’ont point perdu le Dieu de vue entrent précipitamment sur la Scene ; mais
es touchées de leurs peines engagent l’Amour à leur être propice ; ce Dieu voltige autour d’eux & d’un souffle léger, il
54 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
ue la Nation sainte célébrait quelque événement heureux où le bras de Dieu s’était manifesté d’une manière éclatante, les Lé
55 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1663 — 8 janvier : Ballet des Arts — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 20 janvier 1663 »
it Ballet de notre Sire, Que je prétends bien de revoir, S’il plaît à Dieu , Lundi, le soir, Pour lorgner encor la Personne D
56 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 4 février : Divertissement royal, Les Amants magnifiques — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 février 1670 »
ntrer, dedans leur Cage, Ces Ennemis des Matelots, En faveur du grand Dieu des Flots, Qui désignait là, notre Sire, Non moin
57 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240
uoiqu’il fasse le vœu dans le fond de son cœur de desobéir au nouveau Dieu dont il embrasse le culte, que la cérémonie est i
de la barbarie. Le bras se lève, le coup est prêt à tomber, lorsqu’un Dieu protecteur des amans arrête le bras du sacrificat
es Jeux et les Plaisirs le suivent ; et en attendant les ordres de ce Dieu , cette troupe légere se range en bataille. Les Mi
l et Clairville ne doutant point alors que leur libérateur ne soit un Dieu , se prosternent à ses pieds. Les sauvages irrités
sogyniens aux Nymphes, et donne à Dorval Zénéide, jeune Nymphe que ce Dieu a pris soin de former. Une marche de triomphe for
l’Amour ordonne des fêtes, et le divertissement général commence. Ce Dieu , Clairville et Constance, Dorval et Zenéide, les
58 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484
uoiqu’il fasse le vœu dans le fond de son cœur de désobéir au nouveau Dieu dont il embrasse le culte, que la cérémonie est i
de la Barbarie. Le bras se leve, le coup est prêt à tomber, lorsqu’un Dieu protecteur des amants arrête le bras du Sacrifica
ux & les Plaisirs le suivent, & en attendant les ordres de ce Dieu , cette troupe légere se range en bataille. Les Mi
amp; Clairville ne doutant point alors que leur libérateur ne soit un Dieu , se prosternent à ses pieds. Les Sauvages irrités
yniens aux Nymphes, & donne à Dorval Zenéide, jeune Nymphe que ce Dieu a pris soin de former. Une marche de triomphe for
’Amour ordonne des fêtes & le divertissement général commence. Ce Dieu , Clairville & Constance, Dorval & Zénéide
59 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 24 mai. « Pétrouchka » et « Lâcheté » ou l’histoire vue par le ballet. »
our en meubler les corps de cinq êtres humains ; et quelle âme, juste Dieu  ! Rien ne rappelle dans ces fantoches l’insoucian
60 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
sa vie, il éviterait la mort si quelqu’un s’y devenoit à sa place. Ce Dieu jette un poignard au milieu de l’assemblée. Le nu
brillant du soleil(1) : Apollon est assis sur un trône éclatant ; ce Dieu veut se montrer dans toute sa gloire : les Astres
61 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 7 février 1665 »
Homme, envers-moi, de coeur humain, Et mon ami, de longue main, (Que Dieu gard50. de toute infortune) M’y plaça sur une Tri
62 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
on. Quel est le lecteur qui prononceroit avec la même expression ; ah Dieu  ! quel malheur ! et ah Dieu ! quelle surprise ! n
prononceroit avec la même expression ; ah Dieu ! quel malheur ! et ah Dieu  ! quelle surprise ! nous n’avons qu’un signe excl
63 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189
les lèvent mystérieusement le voile qui couvre son berceau ; ce petit Dieu est endormi. Une Nymphe prépare la palette et une
ne de feuillage. Apelles inspiré par l’Amour lui présente l’arc de ce Dieu , et une de ses flèches. Au bruit d’un air de chas
64 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
aler mes alliés. Allez messieurs, continua-t-il, il n’appartient qu’à Dieu de changer l’eau en vin. Feu M. Turgot aurait fa
65 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — I, mes débuts sur la scène de la vie » pp. 10-
ur : — A qui est cet enfant ? Et l’autre répliqua : — Pour l’amour de Dieu , qu’est-ce qu’il fait là ? C’est l’enfant de Lile
66 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 29 mai. Pétrouchka. L’Après-midi d’un faune. Soleil de nuit. »
t une toile de Boucher, Pan et Syrinx, où, caché dans les roseaux, le Dieu guette deux nymphes voluptueusement enlacées. Il
67 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Discours préliminaire, préface, avis au lecteur, ou tout ce qu'on voudra . » pp. -
térile, où croissent à peine quelques lauriers, & sur laquelle un Dieu misérable éblouït une troupe d’infortunés, qu’il
68 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
t gravés dans le souvenir des Athéniens. Ils firent du jeune Hymen un Dieu , qu’ils invoquèrent dans leurs Mariages. Les Poèt
69 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
l’agrément que le ballet apportait à l’opéra d’autrefois. Mais, pour Dieu  ! que la proscription ne soit pas impitoyable ! S
70 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 17 janvier : Psyché — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er août 1671 »
é Vénus, sa trop colère fille, De sa Machine qui fort brille : Et ce Dieu là, c’est du Croisy, Qui hautement, couronne ains
71 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
ne quitté cette mascarade, que Minerve parut sur un char brillant. Le Dieu de la guerre se met à ses cotés ; Vulcain se plac
72 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
lie solennellement la prêtresse. Le superbe Conquérant de l’Inde, le Dieu des richesses, l’Ambition, le Caprice cherchèrent
73 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
ébuts à Paris. — Marie Taglioni et Perrot dans Flore et Zéphire. — Le Dieu et la Bayadère. — Robert le Diable. — La Sylphide
74 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Preface. » pp. 5-10
s & si heureusement conuersé sur ceste montaigne tant renommée du Dieu des sciences, & qui ont si dignement traité c
75 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
mez par la danse astronomique : il conclut de-là qu’il devoit être un Dieu ou un homme divin. Les Interpretes de Sophocle, d
ne espece de phantôme. La fable de Priape nous apprend qu’il étoit un Dieu belliqueux & fameux Danseur, qui ayant reçû l
ut par rapport à celle des Juifs, qu’ils ont regardée comme un don de Dieu pour l’employer à son culte ; & ce qui a même
76 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
i IV. ayant lû le Mémoire, leur dit : Messieurs, il n’appartient qu’à Dieu de changer l’eau en vin ; cherchez quelque autre
i en 1684, Sa Majesté voulant venir à Notre-Dame pour rendre graces à Dieu de sa guérison, le Gouverneur de Paris & le P
onde clarté : Prêtres de Mars.Des Saliens sous les armes Les Danses, Dieu des allarmes, Plaisoient même à ta fierté. *  D
77 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 16 février 1664 »
lys et de roses. Sa Cadette, dont l’air charmant,33 Pourrait d’un Dieu faire un amant, Blanche et fraîche comme une Auro
78 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Apologie de la danse. » pp. 11-24
nt vne multitude d’exemples, si la reuerence que ie porte au liure de Dieu , me permettoit le meslange des choses sainctes à
’y a rien de plus palpable que les plus authorisez parmy le peuple de Dieu , (poussez d’vne saincte allegresse) ont dansé, &a
79 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95
urope que trois grands hommes, Lui, Frédéric et Voltaire, appelait le Dieu de la danse. 69. Les danses de caractère les pl
80 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IX, alexandre dumas » pp. 98-
e que je n’oublierai jamais : — Lorsque nous trouvons une créature de Dieu , et que nous n’apercevons rien de bon en elle, la
81 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269
luence, qui pourroit avoir quelque chose de plus qu’humain. Il y a un Dieu au-dedans de nous-mêmes, dit Ovide parlant des Po
ous voulons remonter au-delà du tems d’Aléxandre, nous trouverons que Dieu même rendit cet art honorable, en faisant part de
angage, lequel, s’il m’est permis de dire, à l’imitation de celui que Dieu donna aux Apôtres, se fait entendre de tous les p
d’une maniere bien plus étendue ; car on ne peut nier qu’elle n’imite Dieu dans sa toute-puissance, c’est-à-dire dans la cré
82 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
tamorphosé en Triton. Ce Plancus, dit l’historien, s’étoit déguisé en Dieu marin, et en marchant sur ses genoux avoit dansé
83 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE III. » pp. 30-46
s. De la haine elles passoient avec rapidité à la tendresse, & ce Dieu les unissoit aux Paysans. Vous voyez, Monsieur, q
84 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
se nouvelle. Scribe et Auber se chargèrent de ce soin en composant le Dieu et la Bayadère, qui fut représenté pour la premiè
deur si suave, ta pudeur voluptueuse et chaste ! C’est bien ainsi que Dieu t’a émise de son sein. — Laisse à tes compagnes,
aume Tell. 78. Robert le Diable. 79. La Fille du Danube. 80. Le Dieu et la Bayadère. 81. Le Monde dramatique, t. IV,
85 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
urs, l’homme à la face et au ventre de Silène, Véron. *** La trêve de Dieu qu’avait déterminée l’éclatante révélation du tal
araître toutes deux le même soir, un dimanche, Marie Taglioni dans le Dieu et la Bayadère, Fanny Elssler dans la Tempête. « 
omte Ory 6 584 — 7 déc. (un dimanche), 12e représentation avec Le Dieu et la Bayadère (75e, dansé par Marie Taglioni) 8
86 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166
Est-elle longue à se déshabiller ! — Tout le monde est déjà parti ! —  Dieu  ! que c’est ennuyeux d’avoir des actrices pour ma
87 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »
. Dans ce même Poème à la fin du troisième Acte, lorsque l’inflexible Dieu de la guerre a dit : Un vain respect ne peut me
88 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203
ns son désir de bien faire, il ne lui était pas échappé de demander à Dieu la grâce de réussir le lendemain ? Et comme elle
89 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
vous jure… — Ne jurez pas : je vous prendrais au mot. — Ciel ! grand Dieu  ! ai-je bien entendu ? De grâce, parlez ! — Vous
gréablement, à l’Opéra, dans la Muette, dans le Lac des Fées, dans le Dieu et la Bayadère, dans l’Orgie et dans ce pas de ci
les Pages du duc de Vendôme et qui semblait avoir recueilli, dans le Dieu et la Bayadère, l’héritage direct de mademoiselle
90 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
l’on célèbre les grandes Fêtes. Une partie du jour s’emploie à louer Dieu , et l’autre aux passe-temps honnêtes. Cet hiver d
91 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269
en rupture d’épicerie. Sa mère a sa chaise capitonnée à l’église. Et Dieu sait ce qu’elle a brûlé de cierges pour que « la
la fille y danse, — depuis douze ans, — avec beaucoup de légèreté, et Dieu sait avec quelle chaleur, quel amour et quelle co
92 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
était très possible. Ensuite, et presque malgré moi, je murmurai : —  Dieu , que c’est beau, et quelle vue merveilleuse on a
93 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
l’on célebre de grandes Fêtes ; une partie du jour s’emploie à louer Dieu , & l’autre aux passe-tems honnêtes. Cet hyver
ette belle Nymphe endormie. Mais Venus fit remarquer à Mercure que ce Dieu souterrain craignant que les Démons qui l’accompa
94 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
est caché par un voile sombre. Je ne veux pas le soulever. Que de moi Dieu dispose comme il lui plaira. La seule chose que j
une éternelle souffrance. « Car précieux sont les moments que seul un Dieu nous donne et nous enlève. Souvent un instant rap
a mise sur mon chemin. » Le 31 août suivant, il dit à Fanny : « C’est Dieu qui nous a menés l’un à l’autre ; lui seul peut n
es d’un virtuose habile à jongler avec les mots ? Quand il parlait de Dieu , du ciel, de la destinée, n’étaient-ce pas tout s
95 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
soupire : plongée dans ses réflexions elle n’écoule que son coeur. Le Dieu s’approche de plus près, il agite ses ailes ; l’a
être orné le sein de cette plume fatale, passe autour du cou du petit Dieu un ruban, et le mène en laisse en jouant avec lui
96 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
e publique, qui consistoit en festins & en danses, pour remercier Dieu & marquer leur joie de la levée du siége de B
97 (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les dames. » pp. 53-69
it rendre aysé tout ce que tout le monde pense tenir de l’impossible. Dieu fauorisera mon intention de la grace que ie luy d
98 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71
honie, que me veux-tu ? et de s’écrier : Hayden, où es-tu ? au nom du Dieu de l’harmonie dont tu es le favori, viens nous co
99 (1921) L’âme et la danse pp. 99-128
prophétise, qu’elle devine l’avenir, l’adjurant même de découvrir le Dieu , — ainsi le corps qui est là, veut atteindre à un
re surnaturel… Mais il en est de lui comme de l’âme, pour laquelle le Dieu , et la sagesse, et la profondeur qui lui sont dem
100 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175
e au troisième où nous la voyons aujourd’hui. Enfin, en 1830, dans le Dieu et la Bayadère, la chrysalide se révéla si brusqu
retourner vers l’empire des morts ; Nourrit, converti par la voix de Dieu , par les prières d’Alice, devait, au contraire, r
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