r par montrer la vérité, qui, considérée en elle-même, est l’idée que
Dieu
a de toutes choses ; et le jugement qu’il en port
ce. J’ai dit que la vérité, considérée en elle-même, c’est l’idée que
Dieu
a de toutes choses, et le jugement qu’il en porte
nt qu’il en porte ; c’est pour cela que la vérité est éternelle comme
Dieu
même ; et parce qu’il ne peut se tromper, toutes
et se conduisant selon ces erreurs et ces idées opposées à celles de
Dieu
. Aussi, toutes les saintes Écritures nous donnent
nt être la seule règle de nos jugemens et de nos actions. David dit à
Dieu
, dans le psaume 118, v. 151 : Toutes vos voies s
Toutes vos voies sont vérité : Omnes viæ tuæ veritas. Les voies de
Dieu
sont celles par lesquelles il vient à nous, ou ce
nt précis par rapport auquel on s’en écarte, on est hors des voies de
Dieu
qui sont toutes vérité ; et se peut-il que ce qui
i sont toutes vérité ; et se peut-il que ce qui est hors des voies de
Dieu
ne soit pas mauvais, rien ne pouvant être bon dan
ns caractères de bonté qui se trouvent dans chaque être particulier ?
Dieu
a autrefois fait entendre du ciel une voix par la
(Jean. 14, 6.) Je suis la voie, la vérité et la vie. La vérité que
Dieu
nous enseigne dans les saintes Ecritures, qui son
ue J. C. a en vue, et qui ne peut être le diable ? C’est la parole de
Dieu
et sa loi : Quis est adversarius tuus ? Sermo le
s que des voyageurs ; Quæ est via ? Vita ista. Comment la parole de
Dieu
est-elle notre adversaire ? Elle l’est en ce qu’e
pidité désire et ce à quoi elle nous porte. Par exemple, la parole de
Dieu
dit : Vous ne commettrez point d’adultère, et vou
contre vous. Accordez-vous avec elle pendant que vous êtes en chemin.
Dieu
veut bien venir à votre secours pour vous accorde
r vous accorder ensemble : Adest Deus qui vos concordet. Et comment
Dieu
vous accordera-t-il ensemble ? C’est en vous pard
r, dit à Salomon son fils dans les derniers avis qu’il lui donna, que
Dieu
lui promettant de conserver le trône à ses descen
fidélité devoit consister, il dit : (3. Reg. 2,4.) Que la parole que
Dieu
lui avoit donnée étoit qu’il auroit toujours des
e aux affaires de sa maison, parce qu’il alloit bientôt mourir, fit à
Dieu
une prière, où, pour lui représenter les sentimen
e. Mais au contraire, beaucoup de chrétiens, bien loin de désirer que
Dieu
fasse luire à leur cœur la lumière de la vérité,
che de la lumière, afin qu’on connaisse que ses œuvres sont faites en
Dieu
. Saint Augustin, réfléchissant sur l’amour que
re à ses inclinations ? Par un terrible, mais très-juste châtiment de
Dieu
, on est traité selon les désirs déréglés de son c
y sont tombés. S. Grégoire Pape a parlé de ce terrible châtiment que
Dieu
exerce contre ceux à qui la vérité déplaît et qui
nt apôtre, et aimé la vérité afin d’être sauvés , c’est pour cela que
Dieu
leur enverra une séduction si efficace, qu’ils cr
infaillible docteur de la vérité. Un troisième moyen d’en recevoir de
Dieu
la connoissance, c’est de la lui demander souvent
paroles, voilà deux mots différens que le prophète emploie en priant
Dieu
de lui envoyer sa lumière et sa vérité ; mais ces
, n.° 4.) Hæc nomina duo, res una. Qu’est autre chose la lumière de
Dieu
, que la vérité de Dieu ? Et la vérité de Dieu est
uo, res una. Qu’est autre chose la lumière de Dieu, que la vérité de
Dieu
? Et la vérité de Dieu est-elle autre chose que l
tre chose la lumière de Dieu, que la vérité de Dieu ? Et la vérité de
Dieu
est-elle autre chose que la lumière de Dieu ? Qu
de Dieu ? Et la vérité de Dieu est-elle autre chose que la lumière de
Dieu
? Quid enim aliud lux Dei, nisi veritas Dei ? au
ésus-Christ : Heureux ceux qui ont le cœur pur, parce qu’ils verront
Dieu
! et le cœur est d’autant plus pur, qu’il s’éloi
ge du péché qui en fait l’impureté, et qu’il s’unit plus intimement à
Dieu
qui est la source de toute pureté. Un quatrième m
pes de la morale chrétienne, et plus attentifs à enseigner la voie de
Dieu
dans la vérité, sans avoir égard à la qualité des
que l’on doit pratiquer ? Combien une telle hypocrisie irrite-t-elle
Dieu
et est-elle capable de faire pleuvoir, pour me se
nt dans ses confessions d’une manière fort touchante en s’adressant à
Dieu
comme vérité éternelle : (Confess. l. 10, c. 26,
is dans cette vue et dans cette intention. J’ai eu soin de demander à
Dieu
qu’il voulût bien bénir mon travail ; et je conju
arche, ayant l’esprit et le cœur remplis des sentimens de la bonté de
Dieu
à son égard. Quiconque n’auroit point d’yeux ni d
contraire auroit assez de force d’esprit pour n’y être occupé que de
Dieu
, pourroit innocemment se trouver à la danse, qui
métaphysiques et dans la spéculation. C’est un grand péché de tenter
Dieu
; quiconque se jeteroit dans la mer ou dans une f
nque se jeteroit dans la mer ou dans une fournaise, sous prétexte que
Dieu
a conservé dans le fond des abîmes le prophète Jo
qué qu’elles s’introduisirent dans l’Egypte au temps que le peuple de
Dieu
y étoit en captivité, qu’on commença d’abord à da
état qu’on les considère, les saints n’ont jamais pu se persuader que
Dieu
en soit l’auteur, et ils ont conclu au contraire
pu être que l’ouvrage du démon : ce qui a fait dire à Tertullien, que
Dieu
a formé le monde, mais que c’est le diable qui en
seurs. Mais je m’engage insensiblement dans cette matière. Demandez à
Dieu
, Monsieur, qu’il me fasse oublier le monde et ce
le flatter, et qui, en l’assurant qu’ils lui parloient de la part de
Dieu
, qui ne les avoit pas envoyés, l’engagèrent dans
ce ; pendant qu’un très-petit nombre plus occupés du soin de plaire à
Dieu
et de sauver ceux dont ils sont chargés, que de p
ux hommes, enseignent , à l’exemple de leur divin Maître, la voie de
Dieu
dans la vérité, sans avoir égard à la condition d
ns avoir égard à la condition des personnes ? (Matth. c. 22, v. 16.)
Dieu
a permis par un très-juste jugement qu’Achab fût
consultoit pas dans une intention sincère de connoître la volonté de
Dieu
et de la suivre, mais avec un secret désir qu’on
qu’il vouloit ? C’est pour le punir de cette mauvaise disposition que
Dieu
permit au démon d’être un esprit menteur dans la
des enfans menteurs, des enfans qui ne veulent pas écouter la loi de
Dieu
; qui disent aux voyans : Ne voyez point, et à ce
’ont pas reçu et aimé la vérité pour être sauvés, c’est pour cela que
Dieu
leur enverra un esprit d’erreur si efficace qu’il
à trop haut prix : ils sont plus capables de rebuter que d’attirer à
Dieu
. N’est-ce pas là un langage à peu près semblable
ses en tous les temps, le sont particulièrement les jours consacrés à
Dieu
, et que la circonstance de ces jours est une circ
nt-elles défendues les jours particulièrement consacrés au service de
Dieu
? C’est afin que, s’abstenant des travaux et des
lus de loisir, plus de liberté d’esprit et de cœur pour s’appliquer à
Dieu
, aux exercices de piété, et à la grande affaire d
endre les jours de dimanches et de fêtes pour vaquer plus librement à
Dieu
; combien est-on criminel de leur substituer les
fêtes, c’est de réveiller et d’enflammer davantage en soi l’amour de
Dieu
et des biens célestes, en s’y occupant particuliè
our s’en purifier par de saints gémissemens, en s’en humiliant devant
Dieu
et lui en demandant pardon, du cœur plus encore q
s ces sentimens, quand on emploie une partie de ces jours consacrés à
Dieu
, à des danses, dont l’effet naturel et inévitable
qui ne la laisse plus assez maîtresse d’elle-même pour s’appliquer à
Dieu
, d’affoiblir et d’éteindre par là l’esprit de pri
fanes et toutes païennes ? Et cette profanation des jours consacrés à
Dieu
, n’est-elle pas une sorte de sacrilége ? Si quelq
e grande piété ? Les jours de dimanches et de fêtes étant consacrés à
Dieu
, comme une église, un autel, les habits et les va
la sainteté de ces jours, et avec ce qu’on y doit faire pour honorer
Dieu
? En tout ce qui a rapport à la Religion, si on y
. not. 3.) « L’observation du sabbat, c’est-à-dire du jour consacré à
Dieu
, nous regarde encore plus que les Juifs, parce qu
eux d’employer ce jour-là à leurs ouvrages de laine qu’à danser ! Que
Dieu
nous garde, mes Frères, de dire qu’ils observent
bat spirituellement, trouvant sa joie dans la méditation de la loi de
Dieu
, dans la considération et l’admiration de ses ouv
n vérité, dit-il, on pousse trop loin la licence. Les commandemens de
Dieu
, et en particulier celui qui regarde la sanctific
ondaine, l’esprit de recueillement et de componction que la parole de
Dieu
et ses louanges auront excité ? Disons donc que l
s, il ne reste plus qu’à désirer que tous ceux entre les mains de qui
Dieu
a mis son autorité, soit dans le for extérieur, s
u’on change les habits de son sexe pour prendre ceux de l’autre sexe.
Dieu
l’avoit défendu à son ancien peuple dans les term
homme un habit de femme ; car celui qui le fait est abominable devant
Dieu
. En effet, que de désordres et de scandales peuv
tôt : ce qui est un renversement de la nature, abominable aux yeux de
Dieu
. Qui s’attendroit, après une défense aussi expres
pportée, à trouver encore des chrétiens, qui, par un mépris marqué de
Dieu
et de ses volontés, vont directement contre ce qu
ux personnes qui l’ont reçu, pour attirer sur elles la bénédiction de
Dieu
. Et quel rapport y a-t-il entre ces prières qui o
iez, et quelque chose que vous fassiez, faites tout pour la gloire de
Dieu
? Et vous, au contraire, vous faites tout pour v
la troisième : Ce qui rend les danses encore plus abominables devant
Dieu
, est de les avoir introduites aux noces et solenn
nt qu’on y peut désirer : car le mariage est une sainte ordonnance de
Dieu
, pour réprimer la convoitise et toute impudicité.
ieu à l’impudicité, en quelque sorte, c’est renverser l’ordonnance de
Dieu
, la profaner, et en attirer des effets tout contr
en attirer des effets tout contraires. Or, telles sont les danses, et
Dieu
n’aura jamais pour agréable que l’on abuse des re
glise, afin que là leurs mariages fussent sanctifiés par la parole de
Dieu
et l’oraison, que leurs promesses fussent comme d
raison, que leurs promesses fussent comme déposées entre les mains de
Dieu
, que de sa bouche ils prissent les assurances de
x danses, voilà tous ces beaux commencemens renversés… On aura appelé
Dieu
pour être auteur de cette œuvre, et une heure apr
pour recevoir le diable et ses suggestions. N’est-ce pas se moquer de
Dieu
, et avoir appelé l’Eglise et les anges pour être
die et cet abus des choses saintes ? Et quelle sera la bénédiction de
Dieu
avec ce mépris ? Aux mystères des chrétiens, il n
veut avoir dans tout son cours. C’est ce qui se fait quand on appelle
Dieu
pour auteur de cet acte ; que l’on s’étudie à ne
avec plus de plaisir ? mais il faut devenir agréables, premièrement à
Dieu
, qui est là présent ; il faut aussi choisir des p
tiques du diable d’introduire là les danses, afin que l’ordonnance de
Dieu
fût violée, la sanctification du mariage changée
ent ensemble du milieu de nous, et que nous rendions l’institution de
Dieu
sainte en son entier, de peur qu’il ne se courrou
ose sacrée, pour mener la vertu, la modestie, la chasteté, l’honneur,
Dieu
même avec toutes ses grâces dans la maison des ép
âces dans la maison des époux. » Que répondront au jour du jugement à
Dieu
, tant de chrétiens qui connoissent si peu la sain
u la sainteté du mariage, et qui, y entrant sans aucune vue de servir
Dieu
et sans le moindre sentiment de piété, célèbrent
prétendre s’en servir pour les justifier, c’est faire de la parole de
Dieu
un abus manifeste et intolérable. Cependant, pour
e saint Paul : (Tim. c. 3, vv. 16 et 17.) Toute écriture inspirée de
Dieu
, est utile pour instruire, pour reprendre, pour c
corriger et conduire à la piété et à la justice, afin que l’homme de
Dieu
soit parfait et disposé à toutes sortes de bonnes
s, est-on éloigné de penser à chanter ainsi des hymnes à la gloire de
Dieu
! Et ce qu’on y entend chanter, peut-il servir à
on de Marie, que tant de femmes ne suivirent alors que pour glorifier
Dieu
à son exemple, à l’envi les unes des autres ! Est
et qu’elle les empêche de se répandre au-dehors. « Un homme touché de
Dieu
jusqu’au fond du cœur, dit un célèbre interprète
rand. Ce prince religieux, emporté par les saillies de son amour pour
Dieu
, et devenu distrait pour tout ce qui l’environne,
ité ; et il quitte les marques de la majesté royale en la présence de
Dieu
, devant qui tout doit s’anéantir et disparoître.
emple de David ? Y est-on occupé, comme lui, de l’infinie grandeur de
Dieu
et de l’extrême bassesse de l’homme ? Quoi, au co
esse de l’homme ? Quoi, au contraire, de plus capable de faire perdre
Dieu
de vue, que les danses dont le moindre mal est un
pendant qu’on danse, il venoit à l’esprit qu’on est en la présence de
Dieu
, et si le sentiment de cette divine présence comm
on que de prétendre autoriser des danses où l’on ne pense nullement à
Dieu
, par l’exemple de David, dont la danse n’exprimoi
ouveau testament, dont le sujet est la réconciliation des hommes avec
Dieu
par Jésus-Christ ; et vous n’avez point dansé ,
et qui aime à boire. C’est avec raison, conclut saint Ambroise, que
Dieu
a rejeté le peuple juif, parce qu’il n’a point fa
iser ; et les saints, au contraire, se servent, pour s’élever jusqu’à
Dieu
et aux choses spirituelles, de ce qui paroît dans
. Le but de ces danses dont parle l’Ecriture étoit « de se réjouir en
Dieu
en lui rendant grâces ; ce que ne pouvoient faire
e des personnes si saintes, jouissant si saintement en la présence de
Dieu
, avec une sainte modestie et une gravité convenab
arie avec des tambours et autres instrumens, mais en donnant gloire à
Dieu
de la délivrance de son peuple ; car cela est exp
c avoient pour unique fin une affection véhémente de donner louange à
Dieu
avec le témoignage d’une joie sainte ; et celles-
e personnes touchées et émues d’une douce jouissance des bienfaits de
Dieu
; et ce sont ici des danses, après des banquets,
vient point du père, mais du monde. Si la concupiscence n’est pas de
Dieu
, tout ce qui la favorise, et plus encore tout ce
e fruit qui se peut tirer des meilleures choses dépend de la grâce de
Dieu
dont les jugemens sont impénétrables ; et la dépe
êcher de prendre tous les moyens extérieurs qu’il est dans l’ordre de
Dieu
que l’on prenne pour le pratiquer ou pour le proc
pourquoi vouloir mettre des bornes à la bonté et à la miséricorde de
Dieu
, et ne pas espérer que, par le secours de sa grâc
’est cette même espérance qui nous anime. D’ailleurs, nous savons que
Dieu
nous demande notre travail, et non le fruit de ce
er et d’arroser, ne sait pas si son travail réussira, parce que c’est
Dieu
qui donne l’accroissement à ce qui est planté et
uoique le peuple Juif résistât opiniâtrément à la voix des Prophètes,
Dieu
ne laisse pas de dire à Isaïe : Criez sans cesse
les et immuables, qui sont réservés dans le ciel pour ceux qui aiment
Dieu
. Si nous savons nous aimer nous-mêmes, ne nous me
ratiquées et des maux qu’on aura soufferts patiemment pour l’amour de
Dieu
, faudroit-il faire tant d’efforts pour nous persu
renoncer à des plaisirs qu’on ne peut guère se procurer sans offenser
Dieu
, et en particulier à celui des danses ; et ne nou
s. (Osée, c. 13, v. 9.) Au reste, le vrai moyen d’attirer les ames à
Dieu
n’est pas de violer les règles selon lesquelles l
r à les observer fidèlement ; parce que c’est à cette observation que
Dieu
attache sa bénédiction sur le ministère. Et en ef
les plus instruits des règles et les plus attentifs à les suivre, que
Dieu
les opère : ils ont à la vérité la douleur de se
exhortations sont soutenues par des prières fréquentes et ferventes ;
Dieu
leur donne aussi de temps en temps la consolation
danses publiques. C’est donc manquer tout à la fois à ce qu’on doit à
Dieu
, et aux princes dont la puissance est une image e
ent : (Matth. c. 22, v. 21.) Rendez à César ce qui est à César, et à
Dieu
ce qui est à Dieu. Réflexions. Sur les T
2, v. 21.) Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à
Dieu
. Réflexions. Sur les Textes que l’on vie
les lois des supérieurs qui sont justes et qui tendent à la gloire de
Dieu
et au bien des ames ? Les évêques assemblés dans
la vie spirituelle de la grâce, que nous pouvons, avec le secours de
Dieu
, ne perdre jamais, si nous le voulons ? C’est Die
avec le secours de Dieu, ne perdre jamais, si nous le voulons ? C’est
Dieu
même qui, comme on l’a fait voir, a révélé dans s
. Est-ce là rendre l’hommage que l’on doit à la vérité infaillible de
Dieu
, qui ne peut ni se tromper, ni nous tromper ? N’e
ne de leurs plus essentielles vertus, c’est le zèle pour la gloire de
Dieu
et pour le salut du prochain, en sorte qu’on puis
ardent, un zèle dévorant ; cependant toujours réglé par la sagesse de
Dieu
et conduit par son esprit, qu’il faut, pour l’obt
t voir, sans en être ému et sans la plus vive douleur, ce qui offense
Dieu
et ce qui perd les ames. Or, nous avons vu de com
e je brûle ? C’est comme si le saint apôtre disoit : Je ne puis voir
Dieu
offensé, et quelqu’un de mes frères se perdre en
danger ne l’empêcha pas d’y retourner à la première fête, doutant si
Dieu
ne lui avoit pas réservé cette occasion pour répa
scrétion du démon, et apprirent aux autres à craindre les jugemens de
Dieu
dans ceux de son Eglise. Leurs peines et leurs hu
tre ceux qui s’obstinent dans l’erreur ou dans de grands déréglemens.
Dieu
a visiblement autorisé ce jugement que saint Eloy
u’aux prières du saint évêque. L’exemple de ces malheureux frappés de
Dieu
, d’une manière éclatante, pour avoir résisté à le
des murmures et non de bonnes raisons, ne se rassurent pas sur ce que
Dieu
ne se déclare pas par des punitions sensibles, co
omme il en exerça autrefois contre ceux qui résistèrent à saint Eloy.
Dieu
est patient parce qu’il est éternel, et souvent i
rvirent à les faire rentrer en eux-mêmes ; au lieu que le silence que
Dieu
garde maintenant, pour l’ordinaire, à l’égard de
a représenté en son entier : mais le Seigneur vouloit du profit ; car
Dieu
est, pour ainsi dire, avare par rapport à notre s
nces des temps, des lieux et des personnes, en imitant la conduite de
Dieu
dont il est dit (Sagesse, c. 8, v. 1.) Qu’il att
à-dire, pour m’expliquer plus clairement, comment ils rendent au vrai
Dieu
le culte qui lui est dû, (car ce n’est que pour a
ci à une crainte bien plus forte ; car je craindrois et de déplaire à
Dieu
, et de manquer à l’amitié que vous avez voulu qui
enseignassent toujours, à l’exemple de leur divin Maître, la voie de
Dieu
dans la vérité ! Ayons soin de demander à Dieu de
vin Maître, la voie de Dieu dans la vérité ! Ayons soin de demander à
Dieu
des ministres ainsi remplis de la lumière et de l
corps ; mais en mettant votre plaisir dans la méditation de la loi de
Dieu
, et à admirer ses ouvrages dans la création du mo
s, tom. 2, pag. 123.) « Oubliant, dit ce saint docteur, la crainte de
Dieu
, et méprisant le feu de l’enfer, au lieu qu’elles
aîtresse d’elle-même, pour régler tous ses pas d’une manière digne de
Dieu
? Si ces jeunes personnes n’ont pas formellement
fin, dans les danses d’aujourd’hui, respecte-t-on plus la présence de
Dieu
et des Anges, qu’on ne faisoit dans celles dont s
e idée des mystères de Jésus-Christ, de l’étendue des commandemens de
Dieu
, des grâces attachées aux sacremens, des disposit
nt d’empressement à écouter ses instructions, auroit-il pu, après que
Dieu
l’eut touché, et ensuite élevé à l’épiscopat, n’ê
pas pour les abolir ! Et quelle consolation fut-ce pour lui, lorsque
Dieu
bénissant son ministère, il eut le bonheur d’y ré
temps que les princes infidèles persécutoient les adorateurs du vrai
Dieu
, le démon avoit la forme de lion, la fureur des p
ritables chrétiens. Lorsqu’on fabriqua ce veau d’or, Moïse étoit avec
Dieu
sur la montagne de Sinaï, pour recevoir de sa mai
s doit être, selon l’apôtre, (2. Cor. c. 3, 113,) de porter la loi de
Dieu
écrite dans leur cœur, nous ne pussions pas amoll
t en effet brisé par la force et l’onction de ses paroles, à laquelle
Dieu
joignit l’onction intérieure de sa grâce. Rien n’
me à Alippe du fruit de son discours. Il le finit en les menaçant que
Dieu
les frapperoit par la verge de fureur, s’il mépri
utes les paroles de ces saints livres sont véritables et inspirées de
Dieu
, comme elles le sont en effet, il est incontestab
ourd’hui serviteurs de Jésus-Christ, et demain apostats et ennemis de
Dieu
. Ne vous y trompez pas, mes frères, ne vous y tro
lon la parole de Jésus-Christ. (Matth. c. 6, v. 2.) On ne peut servir
Dieu
, et danser en quelque sorte avec le démon : Nemo
ons reçu de l’apôtre le commandement de tout faire pour la gloire de
Dieu
. (1 Cor. c. 10, v. 31.) Est-ce à quoi l’on fait
nnent point à des chrétiens, mais aux païens qui ne connoissent point
Dieu
: Iterùm dico, non sunt ista christianorum, sed
assemble jamais pour les danses, est-il dit dans ce concile, sans que
Dieu
y soit beaucoup et très-grièvement offensé : Ad
xercices de piété par lesquels les jours particulièrement consacrés à
Dieu
doivent être sanctifiés : Iis ipsis diebus fidel
le finit par dire « que ces maux sont certainement très-grands devant
Dieu
et devant l’Eglise : Hoc certè gravissimum est i
ent avec un peu de foi peut-on ne pas craindre de s’en charger devant
Dieu
, même sans commettre soi-même ces péchés, en pren
sseurs à cet égard, suffit seul pour les rendre très-criminels devant
Dieu
, combien plus le sont ceux qui ne rougissent pas
cret désir de plaire, quoique confus et sans aucun objet particulier.
Dieu
qui vouloit apprendre aux filles de tous les sièc
e une passion sans mesure, et que Dina en fut la malheureuse victime.
Dieu
avoit protégé contre de pareils dangers Sara et R
ait aux danses ? On ne peut être chaste que par une grâce spéciale de
Dieu
, de qui vient la chasteté comme toutes les autres
grand moyen d’obtenir cette grâce, c’est de la demander instamment à
Dieu
. C’est ce que reconnoît Salomon par ces paroles d
8, v. 21.) Comme je savois que je ne pouvois avoir la continence, si
Dieu
ne me la donnoit, et c’étoit déjà un effet de la
ont aux danses, croient pouvoir par elles-mêmes et sans le secours de
Dieu
, conserver la chasteté, ou si, étant persuadées q
icorde, elles se préparent aux danses par des prières qu’elles font à
Dieu
d’échapper aux piéges qui sont tendus de toutes p
pour éviter ce malheur il leur vienne à la pensée de se recommander à
Dieu
pour être en garde contre tout ce qui peut attaqu
pour en demander la conservation, et quel effet auroient-elles devant
Dieu
? Ne seroit-ce pas plutôt l’insulter que le prier
périra, mais celui qui l’aime, (et on l’aime, quand on le recherche).
Dieu
veut bien nous aider dans les tentations qui nous
aux lauriers, avant d’abandonner l’Amour pour voler à la victoire, ce
Dieu
fait à Vénus les plus tendres adieux. Cette Déess
ts délicieux. Scène I. Les Nymphes jouent avec l’Amour. Le Petit
Dieu
veut se venger de la plus jeune d’entre elles ; i
énus ; elle l’engage à fuir et à se dérober à la fureur jalouse de ce
Dieu
. Il disparoît, et il est remplacé par l’Amour qui
mplacé par l’Amour qui tombe aux genoux de sa mère dans l’attirail du
Dieu
des combats. Cet accoutrement fait rire Vénus, ma
la jalousie lui trouble la cervelle. Mars, sans faire attention à ce
Dieu
, redouble ses empressemens pour Vénus ; Vulcain e
disent, mais qu’ils sont à la vérité, faisant profession de connoître
Dieu
, dit l’Apôtre, mais le reniant par leurs œuvres.
it posséder entièrement leurs cœurs, savoir : la connoissance du vrai
Dieu
, l’étude et la méditation des choses célestes, le
t un témoignage de vertu. Voilà la mesure de nos pas que la parole de
Dieu
nous recommande, non pas de garder mesure à rendr
s ses aises. Reste-t-il parmi ces gaîtés aucunes traces de crainte de
Dieu
, de guerre contre la concupiscence, de mortificat
Quant aux jeunes femmes et filles, ajoutent-ils, ce que la parole de
Dieu
leur ordonne, « pour conserver leur âge tendre en
s nous tromperons… Là-dessus se promettre l’assistance de la vertu de
Dieu
, quand on délaisse ses voies pour suivre le dange
notre prochain en peut être aidée, et si elles tendent à la gloire de
Dieu
. Notre vocation exige que nous fuyions le péché j
mions point au monde, mais que nous prenions pour règle la volonté de
Dieu
, pour bien ordonner toutes les parties de notre v
mi tant de vices et d’attraits au mal. Il n’y a rien de la volonté de
Dieu
en de telles insolences, qui sont autant de façon
e telles insolences, qui sont autant de façons profanes du monde ; et
Dieu
ne sauroit avoir en aucune action, le cœur plongé
ples de cœurs s’enivrant de plaisir… Pour ce qui regarde la gloire de
Dieu
, nous laissons à juger après toutes ces considéra
ns, ni à la charité et à l’édification du prochain, ni à la gloire de
Dieu
, que leur peut-il rester pour les dire bonnes ? »
urra-t-elle être dans tout son corps ? Quelle espérance aura-t-on que
Dieu
l’approuve, et veuille mêler ses bénédictions par
pas agir prudemment. Aux chrétiens bien sages, la crainte d’offenser
Dieu
, l’amour de la vertu, la garde de leur salut sont
chez nous ce que nous ne pouvons tenir et conserver avec la grâce de
Dieu
entière. Et, s’il nous prend donc envie de danser
he de nous attirer dans ses pièges et de nous perdre. Laissons ce que
Dieu
condamne, soyons prudens pour obtenir les progrès
se garantir. N’est-ce pas là faire tomber sur soi la malédiction que
Dieu
prononce par le prophète Isaïe, lorsqu’il dit : (
cœur, de louer ce qui ne mérite que des larmes, et d’approuver ce que
Dieu
condamne. » Cette réflexion si lumineuse ne peut
célébration de leurs fêtes, suivant la loi qu’ils en avoient reçue de
Dieu
: elle consistoit parmi eux à danser des danses c
x chants des Cantiques, des Hymnes & des Pseaumes à la louange de
Dieu
, composez par le Sacerdoce. C’est ce qui a fait d
lité avec laquelle nous devons aller, quand il s’agit de la gloire de
Dieu
. Le premier acte de Religion où les Hébreux emplo
l’air d’un Cantique contenu au 15 chapitre de l’Exode, pour remercier
Dieu
d’avoir délivré son peuple de la persécution des
aon au passage de la mer rouge ; ce ne fut pas le premier miracle que
Dieu
eût fait en leur faveur. Depuis ce tems-là ils in
e parmi les Israélites, plus elle a passé pour être criminelle devant
Dieu
, parce qu’elle étoit faite à l’imitation de celle
ort au culte de la Religion, par l’invocation que le Psalmiste fait à
Dieu
, & pour inviter son peuple à l’honorer par de
; organo. Le chapitre 31 des Prophéties de Jérémie, nous apprend que
Dieu
promet à son peuple, qu’après les peines de l’exi
eur captivité. La premiere étoit au mois de Mai, pour rendre graces à
Dieu
des fruits qu’il leur avoit donnez, dont ils lui
t en danses aux chants des Cantiques & des Hymnes à la louange de
Dieu
, avec des festins publics, & autres plaisirs
chantant des Pseaumes, des Hymnes & des Cantiques à la louange de
Dieu
; ce qui se confirme aussi par l’apologie que Ter
iques, danse tant que tu voudras, mais danse comme David pour honorer
Dieu
; & ne danse pas des danses dissolues, comme
rtout en Provence, aux Processions solemnelles ; quoiqu’il semble que
Dieu
même ait voulu réformer cet abus par une punition
ncrée, a crû que l’origine de la danse Sacrée étoit fondée sur ce que
Dieu
étoit regardé par les Grands-Prêtres comme un nom
es composées au chant des cantiques, & des hymnes à la louange de
Dieu
, ainsi que les premiers Chrétiens l’ont fait à le
Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à
Dieu
comme l’Auteur de la Nature. Pour servir de Su
rétendent que c’est sur les principes de cette Musique naturelle, que
Dieu
a créé l’Univers, & qu’il en a formé l’arrang
éxemples qui peuvent persuader que les Anges sont les Ambassadeurs de
Dieu
, desquels il se sert quelquefois pour nous annonc
& de la Musique céleste, qui passe pour être émanée de l’idée de
Dieu
, suivant le sentiment de S. Denis l’Aréopage, dan
monieux, orné d’une voix fléxible & sonore, composé de la main de
Dieu
, avec la matiere la plus pure des quatre élémens,
faisoit sur les principes de la Musique naturelle, fondez sur ce que
Dieu
a dit qu’il avoit réglé ses bornes ; du moins peu
ai vû & fait plusieurs fois l’expérience. Ainsi il a été facile à
Dieu
de donner aux Planetes un mouvement harmonieux, s
l’année, à l’occasion des danses qui ont coutume de s’y faire, et où
Dieu
se trouve offensé en plusieurs manières, nous déf
ir que ceux à qui la danse est en particulier une occasion d’offenser
Dieu
mortellement et de se damner, sont incapables d’a
rter à faire un bon usage des calamités publiques dont il avoit plu à
Dieu
de les visiter les années précédentes, et à se ré
rincipaux péchés qui ont pu allumer contre eux le feu de la colère de
Dieu
, pour les exhorter à y renoncer et à les faire ce
dit-il, comme on faisoit auparavant, les jours dédiés à la gloire de
Dieu
, par des œuvres serviles, par des jeux et des dan
s d’en rapporter suffit pour montrer à quoi le zèle pour la gloire de
Dieu
et pour le salut des ames, porte ceux qui en sont
qu’à des personnes ivres ou insensées ; et vous qui êtes un enfant de
Dieu
, et qui êtes éclairé de la lumière céleste de l’E
rmon du même cardinal, sur ces paroles de saint Luc : (c. 1, v. 26.)
Dieu
envoya l’ange Gabriel en une ville de Galilée app
dans toute occasion, pour attaquer et faire tomber les serviteurs de
Dieu
, qui sont les ennemis de ces esprits de malice. »
même saint continuant à parler contre les danses, traite d’ennemis de
Dieu
ceux qui les aiment ; et il ajoute qu’il n’est pa
garde comme tels, puisqu’ils agissent contre tous les commandemens de
Dieu
, et contre tous les sacremens. Il le prouve par l
voir avant de mourir, puisque par les danses on se sert pour offenser
Dieu
, de ses pieds qui ont été sanctifiés par les onct
r. » Si ceux qui aiment les danses se déclarent ainsi les ennemis de
Dieu
par les outrages qu’ils font par elles à tous les
sacremens, ils se déclarent en même temps les ennemis des saints que
Dieu
glorifie dans le ciel, en profanant leurs fêtes p
ables comme nous sommes de tant de péchés, que deviendrons-nous quand
Dieu
nous jugera, si ceux que nous pouvons avoir pour
, puisqu’en chantant de saints cantiques, on peut être par là élevé à
Dieu
et aux choses spirituelles ; mais dans les danses
s Fêtes qu’elle avait établies, pour leur rappeler les bienfaits d’un
Dieu
sauveur. La Danse avait été de tous les temps un
acerdoce de la Loi nouvelle formait des Danses sacrées à l’honneur du
Dieu
des Chrétiens. Chaque Mystère, chaque fête avait
nses. Les Prêtres, les Laïcs, tous les Fidèles dansaient pour honorer
Dieu
. Si l’on en croit même Scaliger, les premiers Évê
eigne quelle est la joie et l’agilité avec lesquelles on doit aller à
Dieu
; et lorsque ce Père reproche à l’Empereur Julien
élébrait dans le Ciel, la miséricorde, les bienfaits, et la gloire de
Dieu
. Cependant la Danse sacrée de l’Église, susceptib
Quatrième partie. La décoration représente le Palais de Pluton. Ce
Dieu
et Proserpine sont assis sur leur trône ; les Jug
enchanteurs de sa lyre : Pluton est ému et Proserpine attendrie ; le
Dieu
ordonne aux Juges de son empire de remettre Eurid
sera dans son empire. Orphée exprime sa reconnoissance, et la cour du
Dieu
des Enfers se livre à des danses que les chants d
us bel ornement de ses fêtes, paroît, et descend du Mont Rhodope : ce
Dieu
est dans un char traîné par des tigres ; une foul
troupe de jeunes Faunes : les Bacchantes, effrayées des regards de ce
Dieu
, reculent et n’osent plus lever les yeux. La terr
nt insensiblement, laisse voir l’Amour et Euridice. La présence de ce
Dieu
charmant ranime bientôt Orphée ; il ouvre ses yeu
? Et que deviendra en beaucoup d’occasions l’observation de la loi de
Dieu
, si la coutume (qui est très-souvent contraire) e
ultitude qui se porte à des actions qui passent ainsi en coutume. Or,
Dieu
disoit à son ancien peuple dans le livre de l’Exo
ant les chrétiens à ne pas suivre les coutumes contraires à la loi de
Dieu
, établit ce grand principe qu’il ne faudroit jama
nes, ni les priviléges des pays ne peuvent prescrire contre la loi de
Dieu
; car c’est quelqu’une de ces trois choses qui do
er de faire éclater son zèle contre le mépris très-réel qu’on fait de
Dieu
, quoiqu’on ne se l’avoue pas à soi-même, en préte
ngtemps qu’on auroit dû ôter. » Ce saint, repassant sous les yeux de
Dieu
ses égaremens passés, gémit en particulier sur ce
loit à Jérusalem au temple du Seigneur, où il adoroit le Seigneur son
Dieu
, en lui offrant fidèlement les prémices et les dî
(Tobie, c. 1, vv. 2 et suiv.) Cette coutume, si contraire à la loi de
Dieu
, ne faisoit donc aucune impression sur l’esprit e
jeune Tobie : pourquoi en feroit-elle sur nous ? Ne devons-nous pas à
Dieu
la même fidélité que ce saint homme ? Et nous est
rovidentiâ.) se plaignoit de ce que de son temps, après avoir reçu de
Dieu
quelque faveur publique, on alloit, en signe de r
Amour qui l’inspire ; c’est lui qui fait naître le courage ; c’est ce
Dieu
qui a suscité l’orage et soulevé les flots, c’est
blesse le doigt ; l’epine de cette rose est une flèche de l’Amour. Ce
Dieu
la console ; il ramasse la fleur échappée de la m
folâtrant les jeunes Athéniennes au bord de la mer. A l’aspect de ce
Dieu
, les barques des Corsaires s’engloutissent, et, p
danse autour de ce pavois, et on les conduit au temple de l’Amour. Ce
Dieu
qui avoit disparu, se montre avec tous les attrib
grands les artifices du diable pour susbstituer son culte à celui de
Dieu
et des saints. » Il en donne pour preuves qu’aux
es et d’assister à l’office divin et à la prédication de la parole de
Dieu
, mais où il a encore trouvé moyen d’introduire be
e tout ordre qu’en des jours qui sont destinés à apaiser la colère de
Dieu
, les fidèles se laissent détourner, par les artif
aux jeux un temps destiné â assister à l’office du soir, pour y louer
Dieu
d’un même cœur et d’une même bouche : Multò minù
donne ensuite la raison de cette défense. C’est, dit-il, de peur que
Dieu
ne se plaigne de la manière dont nous célébrons l
endant sept jours. C’est en se rappelant cette fête, que le Peuple de
Dieu
imagina dans le désert, la danse sacrilège autour
e fut nombreuse et solennelle, plus elle parut abominable aux yeux de
Dieu
, parce qu’elle était une imitation des danses imp
les Prêtres d’Osiris avaient pris originairement des Prêtres du vrai
Dieu
, une partie de leurs cérémonies ; le Peuple juif,
blée ? Quel doute qu’ils ne se rendent d’autant plus criminels devant
Dieu
, que leur exemple est plus capable de faire impre
i néglige de le faire, ne doit-il pas prendre pour lui ces paroles de
Dieu
dans la prophétie d’Ezéchiel ? (c. 33, v. 6.) Qu
demanderai son sang à la sentinelle. C’est là un langage figuré dont
Dieu
donne lui-même l’explication sur-le-champ, en ajo
ns ceux et celles qui refuseront de se rendre à ses avis ; de faire à
Dieu
de fréquentes et de ferventes prières pour obteni
t été surpris par la beauté d’une femme étrangère, ont été rejetés de
Dieu
; car l’entretien de ces femmes brûle comme un fe
’ont que trop souvent fait faire à la chasteté de funestes naufrages.
Dieu
a permis que plusieurs justes s’y soient brisés,
distance entre nous et ce qui peut nous exposer au danger d’offenser
Dieu
, le péché étant le plus grand de tous les maux. L
rectement contre ce précepte, que d’employer à la danse des pieds que
Dieu
ne nous a donnés que pour marcher décemment et av
voir et nos besoins nous appellent ? Ne pourroit-on pas même dire que
Dieu
est comme foulé aux pieds des personnes qui danse
uvais désirs ; puisque ce sont ces excès qui font tomber la colère de
Dieu
sur les hommes rebelles à la vérité. Bien loin q
ou dans des occasions de réjouissance publique, pour rendre grâces à
Dieu
, l’honorer, et publier ses louanges. [Voir Traité
e la nation sainte célébrait quelque événement heureux, où le bras de
Dieu
s’était manifesté d’une manière éclatante, les Lé
s solennelle. C’est à l’imitation de cette dernière, que le peuple de
Dieu
imagina dans le désert la danse sacrilège autour
nombreuse, pompeuse, et solennelle, plus elle a été abominable devant
Dieu
, parce qu’elle était une imitation des danses imp
Egypte. Les prêtres d’Osiris avaient d’abord pris des prêtres du vrai
Dieu
une partie de leurs cérémonies, qu’ils avaient en
émonies, qu’ils avaient ensuite déguisées et corrompues. Le peuple de
Dieu
à son tour entraîné par le penchant de l’imitatio
s fêtes qu’elle avait établies, pour leur rappeler les bienfaits d’un
Dieu
sauveur. Les persécutions troublèrent plusieurs f
rdoce de la loi nouvelle formait des danses sacrées en l’honneur d’un
Dieu
mort sur une croix pour le salut de tous les homm
r d’un Dieu mort sur une croix pour le salut de tous les hommes, d’un
Dieu
ressuscité le troisième jour pour consommer le my
ses ; les prêtres, les laïcs, tous les fidèles dansaient pour honorer
Dieu
; si l’on en croit même le témoignage de Scaliger
es choses vaines ; les éclats de rire qui font oublier la présence de
Dieu
, et le compte qu’il faut rendre de ses moindres a
cteur… Parmi ces commotions dont je parle, qui peut élever son cœur à
Dieu
? Qui ose lui dire qu’il est là pour l’amour de l
ait le fonds de la vie humaine, depuis que l’homme a perdu le goût de
Dieu
? « Quelle que soit la sévérité qu’on verra dans
sieurs religieux et personnes de piété étoient à la même heure devant
Dieu
, chantant ses louanges, et contemplant ses divine
(Un des preux Héros de la Terre)26 Y parut en foudre de guerre, En
Dieu
triomphant et vainqueur ; Saint-Aignan, dont le b
Monsieur de Guise, Et qui dans ce splendide lieu, Représentait icelui
Dieu
. Illec, quatre antiques Monarques, Dès longtemps
très vraisemblable que les hommes chantèrent d’abord les bienfaits de
Dieu
, et ils dansèrent, quoique sans doute assez mal,
nt Sire : Qui, sans contrefaire ces Dieux, Est, par ma foi, bien plus
Dieu
qu’eux. Ailleurs, je reprendrai Carrière Sur ce
ux marins sort du sein de la mer ; Amphitrite est placée à côté de ce
Dieu
; ce char, ou cette conque marine, est environnée
beau au feu vif et brillant de celui de l’Amour. Les Prêtresses de ce
Dieu
font brûler des parfums. Les jeunes époux posent
s celles de Junon, et des mains de l’Amour dans celles de sa mère. Ce
Dieu
fatigué et sachant bien que toutes les Déesses ai
prétentions à la beauté, enlève la pomme et la présente à Jupiter. Ce
Dieu
voulant faire cesser une querelle qui trouble une
s, Tout rit aux sens et les enchante, Mais où pas un Serpent d’Amour,
Dieu
, comme on sait, suivant la Cour, Et qui ne tente
ûte, chaque journée, Le matin, & l’après dinée. Ainsi, donc, le
Dieu
des Jardins, Ne pousse que des soupirs vains Aupr
ets, qui sont transformez, Et tous, en Satires, formez. Ensuite, le
Dieu
, se patronne En la Nourrice de Pomone, Qui, sur E
u dans les occasions de réjouissances publiques, pour rendre grâces à
Dieu
, l’honorer, et publier ses louanges. On a encore
par les Livres Saints, ont regardé leur danse Sacrée comme un don de
Dieu
, au culte duquel ils l’ont employée, quoique suiv
ubliques ; quoique Philostrate en attribue l’invention à Comus, comme
Dieu
des Festins, desquels le Bal faisoit l’accompliss
Bacchantes en qualité de ses Prêtresses, sous prétexte de rendre à ce
Dieu
des honneurs convenables, instituerent, à ce que
re. La musique seule fait l’assemblée. Infini ou absolu, Amour enfin,
Dieu
sensible au cœur, voilà ce que l’art des sons pro
it point encore paru Et qui certes a beaucoup plu. Après, BACCHUS, le
Dieu
des Brindes, Se fit voir Triomphant aux Indes, Da
que le Prix N’est dû qu’aux seules FLEURS DE LYS. Après quoi, ce même
Dieu
chante, D’une manière bien charmante, Ainsi qu’av
e Duc de Chevreuse. 110. Le Duc et le Chevalier de Vendôme. 111. Le
Dieu
des Divertissements et de la Galanterie, représen
re, Et, par d’autres petits Amours, Lesquels volent à son secours, Ce
Dieu
des plaisirs, et des peines, Le fait, encor, char
Et le Berger, lors, éveillé, Qui, de la sorte, est enrôlé, Dessous le
Dieu
, par qui l’on aime, S’en plaint comme d’un mal ex
servir d’être pur aux yeux des hommes, si on ne l’est pas aux yeux de
Dieu
qui sonde les reins et les cœurs , (Ps. 7, v. 10
our vint jouer de l’Arc Parmi nos charmantes Chrétiennes, Avec qui ce
Dieu
fait des siennes. On visita la Grotte après, Da
ernier dans un appareil Assez conforme à la manière Que l’on peint ce
Dieu
de lumière : Mais, surtout, furent admirés De son
e Ballet que nul n’égale, Dont la dépense est si Royale, Monsieur que
Dieu
conserve, amen, Représente, en dansant, l’Hymen.
ans les Églogues, On s’entendait sur les douceurs Que produit le beau
Dieu
des Cœurs : Concluons que, sans lui, la Vie N’est
une foule d’adorateurs et d’avoir ravi l’Amour à son empire. Ici, ce
Dieu
devient suppliant, Psyché s’humilie et sollicite
résence ne fait que l’irriter d’avantage, elle reçoit l’hommage de ce
Dieu
avec le Dédain offensant du mépris, cependant la
s toute sa gloire ; non seulement il veut être témoin de l’union d’un
Dieu
qui lui est cher, mais il veut encore donner l’im
autel de l’Hymen ; elle y fait serment de n’aimer que l’Amour ; et ce
Dieu
, qui jure imprudemment de lui être fidèle, lui pr
nes qui liront ce traité doivent demander, et que je dois aussi prier
Dieu
de leur accorder afin qu’il leur profite. Esprit
s s’ennuyer, et cependant sans faire ni se permettre rien qui offense
Dieu
. M. Bossuet viendra encore ici à l’appui de cette
atées une seule fois par un mouvement qui lui paroissoit indigne d’un
Dieu
fait homme. Je ne m’en étonne pas ; car nos doule
dans la joie de la conscience, et dans la douce espérance de posséder
Dieu
. Nul récit, nulle musique, nul chant, (j’ajoute n
eurs écarts, pour tâcher de les ramener. J’espère, avec le secours de
Dieu
, que les réponses que je donnerai à chacune de ce
s de vaines excuses ni des défenses qui ne peuvent nous servir devant
Dieu
. Notre grande défense consiste à nous éloigner de
révère Dans la Cour de la Reine Mère, M’y fit entrer, m’y fit placer,
Dieu
l’en veuille récompenser : Enfin, par la bonté d’
anase dans la vie du second : je sçai bien que l’on répond à cela que
Dieu
pouvoit permettre ces sortes d’apparitions avant
i faire entendre que cette entreprise étoit apparemment désagréable à
Dieu
qui avoit réglé l’ordre de la nature dans le tems
les Philosophes qui se mêlent de vouloir pénétrer dans les secrets de
Dieu
par l’Etude de la Théologie sécrete, attribuent c
t accorder à la créature l’amour sublime et complet que nous devons à
Dieu
seul. Mon ami, tout cela est faux. Dieu ne nous p
et complet que nous devons à Dieu seul. Mon ami, tout cela est faux.
Dieu
ne nous permet pas seulement d’aimer, il nous le
n triste état de santé qui ne permet pas que nous nous absentions, et
Dieu
sait combien durera cette maladie, qui dure déjà
inte de moi toute sa vie. C’est tant pis pour moi, je n’accuse jamais
Dieu
, donc je crois que tout le mal qui nous arrive vi
es routes différentes ; il sera guidé par le flambeau de l’Amour ; ce
Dieu
applaudira malignement à la noirceur de son proje
sant le coeur du héros ; comme le lieu de la scène est embélli par ce
Dieu
, et que ce que la volupté a de plus séduisant s’y
se retourne du côté de son fils, elle semble le consulter : le petit
Dieu
applaudit à sa beauté, il se jette avec transport
peut être agitée, et il les rappelle toujours à celui du bonheur, ce
Dieu
satisfait et content de sa victoire, cherche à se
Monsieur, perd tout à la lecture ; vous ne voyez ni la Deêsse, ni le
Dieu
, ni leur suite, vous ne distinguez rien ; et dans
tent une forêt vaste et sombre ; les Nymphes qui n’ont point perdu le
Dieu
de vue, entrent précipitamment sur la scène ; mai
s touchées de leurs peines, engagent l’Amour à leur être propice : ce
Dieu
voltige autour d’eux, et d’un souffle léger il le
se retourne du côté de son fils, elle semble le consulter ; le petit
Dieu
applaudit à sa beauté, il se jette avec transport
eut être agitée & il les rappelle toujours à celui du bonheur. Ce
Dieu
satisfait & content de sa Victoire cherche à
Monsieur, perd tout à la lecture ; vous ne voyez ni la Déesse, ni le
Dieu
, ni leur suite. Vous ne distinguez rien, & da
t une forêt vaste & sombre ; les Nymphes qui n’ont point perdu le
Dieu
de vue entrent précipitamment sur la Scene ; mais
es touchées de leurs peines engagent l’Amour à leur être propice ; ce
Dieu
voltige autour d’eux & d’un souffle léger, il
ue la Nation sainte célébrait quelque événement heureux où le bras de
Dieu
s’était manifesté d’une manière éclatante, les Lé
it Ballet de notre Sire, Que je prétends bien de revoir, S’il plaît à
Dieu
, Lundi, le soir, Pour lorgner encor la Personne D
ntrer, dedans leur Cage, Ces Ennemis des Matelots, En faveur du grand
Dieu
des Flots, Qui désignait là, notre Sire, Non moin
uoiqu’il fasse le vœu dans le fond de son cœur de desobéir au nouveau
Dieu
dont il embrasse le culte, que la cérémonie est i
de la barbarie. Le bras se lève, le coup est prêt à tomber, lorsqu’un
Dieu
protecteur des amans arrête le bras du sacrificat
es Jeux et les Plaisirs le suivent ; et en attendant les ordres de ce
Dieu
, cette troupe légere se range en bataille. Les Mi
l et Clairville ne doutant point alors que leur libérateur ne soit un
Dieu
, se prosternent à ses pieds. Les sauvages irrités
sogyniens aux Nymphes, et donne à Dorval Zénéide, jeune Nymphe que ce
Dieu
a pris soin de former. Une marche de triomphe for
l’Amour ordonne des fêtes, et le divertissement général commence. Ce
Dieu
, Clairville et Constance, Dorval et Zenéide, les
uoiqu’il fasse le vœu dans le fond de son cœur de désobéir au nouveau
Dieu
dont il embrasse le culte, que la cérémonie est i
de la Barbarie. Le bras se leve, le coup est prêt à tomber, lorsqu’un
Dieu
protecteur des amants arrête le bras du Sacrifica
ux & les Plaisirs le suivent, & en attendant les ordres de ce
Dieu
, cette troupe légere se range en bataille. Les Mi
amp; Clairville ne doutant point alors que leur libérateur ne soit un
Dieu
, se prosternent à ses pieds. Les Sauvages irrités
yniens aux Nymphes, & donne à Dorval Zenéide, jeune Nymphe que ce
Dieu
a pris soin de former. Une marche de triomphe for
’Amour ordonne des fêtes & le divertissement général commence. Ce
Dieu
, Clairville & Constance, Dorval & Zénéide
our en meubler les corps de cinq êtres humains ; et quelle âme, juste
Dieu
! Rien ne rappelle dans ces fantoches l’insoucian
sa vie, il éviterait la mort si quelqu’un s’y devenoit à sa place. Ce
Dieu
jette un poignard au milieu de l’assemblée. Le nu
brillant du soleil(1) : Apollon est assis sur un trône éclatant ; ce
Dieu
veut se montrer dans toute sa gloire : les Astres
Homme, envers-moi, de coeur humain, Et mon ami, de longue main, (Que
Dieu
gard50. de toute infortune) M’y plaça sur une Tri
on. Quel est le lecteur qui prononceroit avec la même expression ; ah
Dieu
! quel malheur ! et ah Dieu ! quelle surprise ! n
prononceroit avec la même expression ; ah Dieu ! quel malheur ! et ah
Dieu
! quelle surprise ! nous n’avons qu’un signe excl
les lèvent mystérieusement le voile qui couvre son berceau ; ce petit
Dieu
est endormi. Une Nymphe prépare la palette et une
ne de feuillage. Apelles inspiré par l’Amour lui présente l’arc de ce
Dieu
, et une de ses flèches. Au bruit d’un air de chas
aler mes alliés. Allez messieurs, continua-t-il, il n’appartient qu’à
Dieu
de changer l’eau en vin. Feu M. Turgot aurait fa
ur : — A qui est cet enfant ? Et l’autre répliqua : — Pour l’amour de
Dieu
, qu’est-ce qu’il fait là ? C’est l’enfant de Lile
t une toile de Boucher, Pan et Syrinx, où, caché dans les roseaux, le
Dieu
guette deux nymphes voluptueusement enlacées. Il
térile, où croissent à peine quelques lauriers, & sur laquelle un
Dieu
misérable éblouït une troupe d’infortunés, qu’il
t gravés dans le souvenir des Athéniens. Ils firent du jeune Hymen un
Dieu
, qu’ils invoquèrent dans leurs Mariages. Les Poèt
l’agrément que le ballet apportait à l’opéra d’autrefois. Mais, pour
Dieu
! que la proscription ne soit pas impitoyable ! S
é Vénus, sa trop colère fille, De sa Machine qui fort brille : Et ce
Dieu
là, c’est du Croisy, Qui hautement, couronne ains
ne quitté cette mascarade, que Minerve parut sur un char brillant. Le
Dieu
de la guerre se met à ses cotés ; Vulcain se plac
lie solennellement la prêtresse. Le superbe Conquérant de l’Inde, le
Dieu
des richesses, l’Ambition, le Caprice cherchèrent
ébuts à Paris. — Marie Taglioni et Perrot dans Flore et Zéphire. — Le
Dieu
et la Bayadère. — Robert le Diable. — La Sylphide
s & si heureusement conuersé sur ceste montaigne tant renommée du
Dieu
des sciences, & qui ont si dignement traité c
mez par la danse astronomique : il conclut de-là qu’il devoit être un
Dieu
ou un homme divin. Les Interpretes de Sophocle, d
ne espece de phantôme. La fable de Priape nous apprend qu’il étoit un
Dieu
belliqueux & fameux Danseur, qui ayant reçû l
ut par rapport à celle des Juifs, qu’ils ont regardée comme un don de
Dieu
pour l’employer à son culte ; & ce qui a même
i IV. ayant lû le Mémoire, leur dit : Messieurs, il n’appartient qu’à
Dieu
de changer l’eau en vin ; cherchez quelque autre
i en 1684, Sa Majesté voulant venir à Notre-Dame pour rendre graces à
Dieu
de sa guérison, le Gouverneur de Paris & le P
onde clarté : Prêtres de Mars.Des Saliens sous les armes Les Danses,
Dieu
des allarmes, Plaisoient même à ta fierté. * D
lys et de roses. Sa Cadette, dont l’air charmant,33 Pourrait d’un
Dieu
faire un amant, Blanche et fraîche comme une Auro
nt vne multitude d’exemples, si la reuerence que ie porte au liure de
Dieu
, me permettoit le meslange des choses sainctes à
’y a rien de plus palpable que les plus authorisez parmy le peuple de
Dieu
, (poussez d’vne saincte allegresse) ont dansé, &a
urope que trois grands hommes, Lui, Frédéric et Voltaire, appelait le
Dieu
de la danse. 69. Les danses de caractère les pl
e que je n’oublierai jamais : — Lorsque nous trouvons une créature de
Dieu
, et que nous n’apercevons rien de bon en elle, la
luence, qui pourroit avoir quelque chose de plus qu’humain. Il y a un
Dieu
au-dedans de nous-mêmes, dit Ovide parlant des Po
ous voulons remonter au-delà du tems d’Aléxandre, nous trouverons que
Dieu
même rendit cet art honorable, en faisant part de
angage, lequel, s’il m’est permis de dire, à l’imitation de celui que
Dieu
donna aux Apôtres, se fait entendre de tous les p
d’une maniere bien plus étendue ; car on ne peut nier qu’elle n’imite
Dieu
dans sa toute-puissance, c’est-à-dire dans la cré
tamorphosé en Triton. Ce Plancus, dit l’historien, s’étoit déguisé en
Dieu
marin, et en marchant sur ses genoux avoit dansé
s. De la haine elles passoient avec rapidité à la tendresse, & ce
Dieu
les unissoit aux Paysans. Vous voyez, Monsieur, q
se nouvelle. Scribe et Auber se chargèrent de ce soin en composant le
Dieu
et la Bayadère, qui fut représenté pour la premiè
deur si suave, ta pudeur voluptueuse et chaste ! C’est bien ainsi que
Dieu
t’a émise de son sein. — Laisse à tes compagnes,
aume Tell. 78. Robert le Diable. 79. La Fille du Danube. 80. Le
Dieu
et la Bayadère. 81. Le Monde dramatique, t. IV,
urs, l’homme à la face et au ventre de Silène, Véron. *** La trêve de
Dieu
qu’avait déterminée l’éclatante révélation du tal
araître toutes deux le même soir, un dimanche, Marie Taglioni dans le
Dieu
et la Bayadère, Fanny Elssler dans la Tempête. «
omte Ory 6 584 — 7 déc. (un dimanche), 12e représentation avec Le
Dieu
et la Bayadère (75e, dansé par Marie Taglioni) 8
Est-elle longue à se déshabiller ! — Tout le monde est déjà parti ! —
Dieu
! que c’est ennuyeux d’avoir des actrices pour ma
. Dans ce même Poème à la fin du troisième Acte, lorsque l’inflexible
Dieu
de la guerre a dit : Un vain respect ne peut me
ns son désir de bien faire, il ne lui était pas échappé de demander à
Dieu
la grâce de réussir le lendemain ? Et comme elle
vous jure… — Ne jurez pas : je vous prendrais au mot. — Ciel ! grand
Dieu
! ai-je bien entendu ? De grâce, parlez ! — Vous
gréablement, à l’Opéra, dans la Muette, dans le Lac des Fées, dans le
Dieu
et la Bayadère, dans l’Orgie et dans ce pas de ci
les Pages du duc de Vendôme et qui semblait avoir recueilli, dans le
Dieu
et la Bayadère, l’héritage direct de mademoiselle
l’on célèbre les grandes Fêtes. Une partie du jour s’emploie à louer
Dieu
, et l’autre aux passe-temps honnêtes. Cet hiver d
en rupture d’épicerie. Sa mère a sa chaise capitonnée à l’église. Et
Dieu
sait ce qu’elle a brûlé de cierges pour que « la
la fille y danse, — depuis douze ans, — avec beaucoup de légèreté, et
Dieu
sait avec quelle chaleur, quel amour et quelle co
était très possible. Ensuite, et presque malgré moi, je murmurai : —
Dieu
, que c’est beau, et quelle vue merveilleuse on a
l’on célebre de grandes Fêtes ; une partie du jour s’emploie à louer
Dieu
, & l’autre aux passe-tems honnêtes. Cet hyver
ette belle Nymphe endormie. Mais Venus fit remarquer à Mercure que ce
Dieu
souterrain craignant que les Démons qui l’accompa
est caché par un voile sombre. Je ne veux pas le soulever. Que de moi
Dieu
dispose comme il lui plaira. La seule chose que j
une éternelle souffrance. « Car précieux sont les moments que seul un
Dieu
nous donne et nous enlève. Souvent un instant rap
a mise sur mon chemin. » Le 31 août suivant, il dit à Fanny : « C’est
Dieu
qui nous a menés l’un à l’autre ; lui seul peut n
es d’un virtuose habile à jongler avec les mots ? Quand il parlait de
Dieu
, du ciel, de la destinée, n’étaient-ce pas tout s
soupire : plongée dans ses réflexions elle n’écoule que son coeur. Le
Dieu
s’approche de plus près, il agite ses ailes ; l’a
être orné le sein de cette plume fatale, passe autour du cou du petit
Dieu
un ruban, et le mène en laisse en jouant avec lui
e publique, qui consistoit en festins & en danses, pour remercier
Dieu
& marquer leur joie de la levée du siége de B
it rendre aysé tout ce que tout le monde pense tenir de l’impossible.
Dieu
fauorisera mon intention de la grace que ie luy d
honie, que me veux-tu ? et de s’écrier : Hayden, où es-tu ? au nom du
Dieu
de l’harmonie dont tu es le favori, viens nous co
prophétise, qu’elle devine l’avenir, l’adjurant même de découvrir le
Dieu
, — ainsi le corps qui est là, veut atteindre à un
re surnaturel… Mais il en est de lui comme de l’âme, pour laquelle le
Dieu
, et la sagesse, et la profondeur qui lui sont dem
e au troisième où nous la voyons aujourd’hui. Enfin, en 1830, dans le
Dieu
et la Bayadère, la chrysalide se révéla si brusqu
retourner vers l’empire des morts ; Nourrit, converti par la voix de
Dieu
, par les prières d’Alice, devait, au contraire, r
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