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1 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIII. » pp. 362-395
hie 7 dont vous voulez que je vous entretienne, Monsieur, est l’Art d’ écrire la Danse à l’aide de différents signes, comme on
, est l’Art d’écrire la Danse à l’aide de différents signes, comme on écrit la Musique à l’aide de figures ou de caracteres d
régraphie. La Danse étoit simple & peu composée ; la maniere de l’ écrire étoit par conséquent facile, & on apprenoit à
ur mêlange est immense ; il est donc très-difficile de les mettre par écrit & encore plus difficile de les déchiffrer. Ce
à ceux qui y sont répandus les moyens de penser, de réfléchir & d’ écrire sur leur Art ; ils adresseroient à la Société des
s de ceux qui la composent. On s’est plaint de n’en voir sortir aucun Ecrit ni bon, ni mauvais, ni médiocre, ni satisfaisant,
il se dessine avec élégance, ses attitudes sont belles, ses pas bien écrits , il est brillant en l’air, il est vif & préci
lonnée & réveillée par les travaux qui leur seroient offerts ! On écrit tous les jours sur des matieres bien plus futiles
les chemins & de dessiner les pas ; que celui qui étoit en état d’ écrire avec le plus de netteté eût expliqué tout ce que
Opéra chargé de Danses ; que de chemins différents ne faudroit-il pas écrire pour un Ballet nombreux ! ajoutez ensuite sur vin
compliqués à faire, & vous aurez, Monsieur, si vous le voulez, un écrit très-savant, mais chargé d’une si grande abondanc
mp; qui enchaînoient ces figures ; & il ne perdra pas son temps à écrire les pas, ni les attitudes diverses qui embellisso
ctionna l’ébauche ingénieuse de Thoinet Arbeau ; il trouva le moyen d’ écrire les pas par des signes ausquels il attacha une si
2 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
ent le siècle présent. [2] Le très petit nombre d’ouvrages que l’on a écrit sur la danse, et le peu de valeur de quelques-uns
re les compositeurs ; il a prescrit des règles aux mimes ; il a aussi écrit sur l’art, proprement dit, de la danse ; mais ses
excellentes lettres de cet artiste célèbre, sur les ballets, ont été écrites particulièrement pour le compositeur, et ne devra
ui d’une bien grande utilité ; car notre art, depuis l’époque où il a écrit , est entièrement changé. [5] J’ose donc espérer q
i, sans être danseurs, parlent beaucoup de danse. » Je crois que les écrits de ces hommes, qui ont employé tant de veilles po
lacés par quelque bon traité théorique, sur le mécanisme de la danse, écrit par un Dauberval, un Gardel, un Vestris, ou par q
autre grand maître. « Je voudrais, dit le sage Montaigne, que chacun écrivit ce qu’il sait, et autant qu’il en sait. » 2. O
3 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43
on de se laisser tromper. — Le désagrément d’avoir un secrétaire. — J’ écris mes lettres moi-même. — Madame Louise Colet. — La
a maîtresse fait cela parce que je le fais. Finette a la réputation d’ écrire des lettres charmantes. Elle ne sait pas signer s
eur. C’est que le professeur est généralement une femme instruite qui écrit des lettres poétiques et fait tout ce qui concern
a une centaine de clientes qui la payent douze francs par mois. Elle écrit quelque chose comme deux cents poulets par jour.
sse pour une femme à double face : la femme qui parle et la femme qui écrit . J’en ai vu qui pleuraient d’attendrissement sur
ble quand c’est une invitation à dîner pour le jour même. XII J’ écris mes lettres moi-même. Outre que je suis une femme
le — chose que je ne me pardonne pas. J’avais une lettre importante à écrire , et vraiment je ne savais comment la tourner. Je
4 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIII. » pp. 181-196
hie 1 dont vous voulez que je vous entretienne, Monsieur, est l’art d’ écrire la danse à l’aide de différens signes, comme on é
r, est l’art d’écrire la danse à l’aide de différens signes, comme on écrit la musique à l’aide de figures ou de caractères d
Chorégraphie. La danse étoit simple et peu composée, la manière de l’ écrire étoit par conséquent facile, et l’on apprenoit à
ur mélange est immense : il est donc très difficile de les mettre par écrit , et encore plus difficile de les déchiffrer, cet
t à ceux qui y sont répandus, les moyens de penser, de réflechir et d’ écrire sur leur art ; ils adresseroient à la société des
s de ceux qui la composent. On s’est plaint de n’en voir sortir aucun écrit ni bon, ni mauvais, ni médiocre, ni satisfaisant,
il se dessine avec élégance ; ses attitudes sont belles, ses pas bien écrits  ; il est brillant en l’air, il est vif et précis
er les chemins et de dessiner les pas ; que celui qui étoit en état d’ écrire avec plus de netteté, eût expliqué tout ce que le
e opéra chargé de danses. Que de chemins différens ne faudroit-il pas écrire pour un ballet nombreux ! ajoutez ensuite sur vin
s compliqués à faire ; et vous aurez, Monsieur, si vous le voulez, un écrit très-savant, mais chargé d’une si grande abondanc
es, et qui enchainoient ces figures ; et il ne perdra pas son temps à écrire les pas, ni les attitudes diverses, qui embelliss
ctionna l’ébauche ingénieuse de Thoynot Arbeau ; il trouva le moyen d’ écrire les pas par des signes aux quels il attacha une s
5 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96
ns d’argent. C’est de sa plume qu’il vécut si largement. A Berlin ses écrits politiques lui ouvrirent les portes des ambassade
de Metternich, multiplier les besognes lucratives. Les mémoires qu’il écrivit en 1811 à l’occasion de la réforme des finances a
rait croire les grosses sommes qu’il m’a coûtées, car il n’avait qu’à écrire sur un billet ce qu’il voulait avoir, et il l’obt
830, Louis-Philippe, qui l’avait connu personnellement autrefois, lui écrivait lui-même à diverses reprises comme à un homme loy
entz lui-même dans de nombreuses lettres. Il y a d’abord celles qu’il écrivit à Fanny. Elles ne nous ont pas été conservées tou
fille, dont le vrai nom était Françoise, célébrait sa fête. Gentz lui écrit  : « Je ne pouvais me décider à vous envoyer en
e contre laquelle je proteste de toutes mes forces, vous vouliez bien écrire de votre jolie main sur un petit bout de papier c
a folie. Il invite son jeune confident, qui est poète à ses heures, à écrire quelques variations sur l’histoire, contée par An
ne dissimule plus la force de sa passion. « J’ai déjeuné tendrement, écrit -il à la comtesse le 23 juin 1830, avec une person
l’ait vue longuement la veille, il ne peut résister au besoin de lui écrire  ; il lui dit : « Ma bien-aimée ! mon unique ! « 
ets se succèdent. Gentz doit voir Fanny dans quelques heures ? Il lui écrit pour lui dire son impatience de la rejoindre. Il
dire son impatience de la rejoindre. Il vient de la quitter ? Il lui écrit pour la remercier de l’ivresse qu’elle lui a fait
iffonnage ; il la félicite du choix des vers ; il baise la main qui a écrit de si douces choses, en attendant l’heure où ses
là ce dont il est absolument convaincu. « Une chose est certaine, lui écrit -il le 3 juillet 1830, c’est que, au moment où je
t d’une fièvre brûlante. Même s’il arrivait à modérer ses sentiments, écrivait -il à la comtesse Fuchs, il lui en resterait bien
jour des adieux, à faire taire ses gémissements. Le même soir il lui écrivait encore pour la remercier : « Tu as mis aujourd’h
es et demie. Gentz saisit encore vite sa plume. « Toutes mes pensées, écrit -il, sont auprès de toi, chère Fanny ! Pourquoi fa
ul et de s’enfermer avec les chers souvenirs de sa bien-aimée. Il lui écrit  : « … Me voici donc, assis à cette place, abreuv
e et je ne pense qu’à toi. » Il la remercie avec chaleur de lui avoir écrit  ; il lui en est d’autant plus reconnaissant qu’el
ffets par une lettre du 22 septembre 1830. « Vous serez étonnée, lui écrivait Gentz, peut-être même effrayée, si je vous dis qu
ue Rahel la vît au théâtre. Alors celle-ci fut éblouie. Ce fut alors, écrivait -elle à Gentz, « que Vénus tout entière sortit des
que. Rahel admirera sa précision d’anatomiste. « Oui, ma chère amie, écrit -il de Presbourg le 18 octobre 1830, il faut que j
à partir une quinzaine de jours plus tôt. « Je ne puis presque plus, écrit -il toujours dans la même lettre, supporter la tor
re à Rahel exprime la même certitude d’être aimé que celles que Gentz écrit , soit à la comtesse Fuchs, soit à Fanny elle-même
lamentait de cette absence qui se prolongeait. « Il est grand temps, écrivait -il le 6 novembre à Rahel, qu’elle revienne ! Si v
dès la première minute, éprouvée pour Fanny. « Il est des sympathies, écrit -elle, en français, il est des nœuds secrets… » El
» Elle raconte qu’elle a lieu d’être fière de sa sagacité. Elle avait écrit un mot à Fanny pour la féliciter d’une de ses toi
d il se retrouva en présence de la plus superbe fleur de jeunesse. Il écrivait à la comtesse Fuchs, le 15 décembre : « Hier j’ai
l n’est plus de force à supporter des plaisirs violents. « Hier soir, écrit -il un autre jour à la même, j’étais à demi-mort.
es nuages qui passent sur son âme assombrissent les billets qu’il lui écrit . La pensée de la mort le poursuit et se glisse da
vage » que Fanny lui a préparé la veille au soir. « Je désire savoir, écrit -il, le matin du 23 avril 1831, comment a dormi ma
e de cour. Il fait intervenir le ciel dans son aventure amoureuse. Il écrit à Rahel, le 8 juillet 1831 : « Ce bonheur inexpri
sentait au départ pour Berlin. « Dans l’année qui vient de s’écouler, écrivait -il le 8 juillet 1831 à Rahel, Fanny a fait des pr
dente à la même occasion revinrent plus aiguës. « Vous vous souvenez, écrit -il à Rahel le 13 novembre, des plaintes que m’arr
de sa villégiature à Kœnigswart. A ce moment-là, on s’en souvient, il écrivait à la comtesse Fuchs que, de cet éloignement, il e
te de ce qui s’est passé dans le cœur de Fanny. Les lettres qu’elle a écrites à son amant ont disparu. Celles de Gentz doivent
e Dr Véron, directeur de l’Opéra, voulut savoir à quoi s’en tenir. Il écrit , dans ses Mémoires d’un Bourgeois de Paris : « Le
ndit aussi d’avoir été dans l’intimité du duc. Sur une lettre qu’elle écrivit à cette amie, le 27 juin 1837, et qui est conserv
, 2te Auflage. Cette prétendue traduction de lettres que Gentz aurait écrites en français à Fanny Elssler est, dit Haym (Ersch
6 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre dernier. Au public » pp. 186-188
u prouver à de certaines personnes qu’au besoin elle savait parler et écrire . Sais-tu bien pourquoi j’ai fait ce livre ? — Non
ne m’accuse pas trop, cher lecteur : si je les avais écoulés j’aurais écrit des choses horribles. Ce que j’ai vu, par exemple
7 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXII. Du Menuet, & de la maniere de le danser régulierement. » pp. 84-91
eux pas de menuet en avant en vous tenant la main Comme vous le voyez écrit ci dessous [en bas, verticalement de bas en haut]
ait un aussi en descendant, ainsi qu’il est démontré par cette Figure écrite , qui indique le chemin, & qui nomme les pas ;
tes à votre premier pas, de ce pas de Menuet de côté, ainsi qu’il est écrit  ; mais en faisant ce pas vous effacez l’un &
faut faire un pas de Menuet du côté droit en arriere, ainsi qu’il est écrit 4. ce qui vous remet dans votre Figure principale
8 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 octobre : Monsieur de Pourceaugnac — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 octobre 1669 »
s divines Loix.126 Force Masques, non pas célestes, Mais, à ce qu’on écrit , très lestes, Venant illec montrer leur nez, Avec
t du dessous. Un petit Livre dont je tire Tout ce qu’ici je viens d’ écrire Se tait des Décorations Dans ses belles Narration
9 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Poste-face, Post-scriptum , ou. Réflexions sur l’incertitude des jugemens en matière de Littérature. » pp. 38-48
is qu’il n’y a peut-être pas trois de ces mêmes Spectateurs en état d’ écrire  ? Cette singularité, à laquelle on ne fait point
les approuve. Dans mon particulier je soumets tout ce que je viens d’ écrire à la censure générale ; c’est à elle qu’il appart
le. On a peut-être oublié que toutes les belles choses que je viens d’ écrire ont leur source dans le refus qu’ôse faire le sie
ire fortement persuadé qu’elle serait accueillie avec transport, j’ai écrit mon espèce de préface & ma Lettre à M. de Vol
ie du Libelle 10. Mais voilà qui est décidé ; je renoncé à la manie d’ écrire . Assez de gens sans moi barbouilleront du papier 
des Spectateurs rassemblés au Théâtre du sieur Nicolet. Plutôt que d’ écrire de mauvais vers ou de pitoyable prose, il vaut en
10 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285
XXIV comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre Un soir, pendant l’Exposition de 1900,
isite chez M. Claretie et signé de M. Claretie lui-même. « Mme Hanako écrivait -il, est à la ville une petite personne, délicieus
’étonne point qu’Alexandre Dumas fils ait pu me dire : — Elle devrait écrire ses impressions et ses mémoires. J’aurais voulu s
uve vis-à-vis de moi-même. Et puis cela me paraissait si formidable d’ écrire un livre. Et un livre sur moi !… Un après-midi, j
dée de « Souvenirs » que son mari désirait, après Dumas fils, me voir écrire , on se mit à m’interroger et sur moi et sur mon a
à l’incident. Même, quelques jours plus tard, le 5 novembre 1907, il écrivait , dans le Temps, un long et toujours trop élogieux
n l’impression de mon travail de répétition. « J’ai eu, l’autre soir, écrivait -il, comme la vision d’un théâtre futur, quelque c
dans l’écritoire et à commencer ces « Mémoires », — ces « Mémoires », écrits en anglais, et que le prince Bojidar Karageorgevi
11 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214
ère objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. On a beau écrire et parler fortement contre les danses, on ne vien
conduit un pareil raisonnement ? Si on le suit, il ne faudra pas plus écrire ni parler contre les juremens, les ivrogneries, l
donc une conséquence très-fausse que de conclure qu’il est inutile d’ écrire ou de parler contre les danses, parce que, quelqu
arler contre les danses, parce que, quelque chose qu’on dise ou qu’on écrive contre elles, on ne les abolira certainement pas,
12 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 23 juillet : Le Ballet des Saisons — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 juillet 1661 »
Sa Majesté. De toutes les choses susdites, Par moi trop faiblement écrites , Je vis le fond et le tréfond, Grâces au généreux
ment : Mais pour en savoir davantage Que je n’en dis dans cet Ouvrage Écrit à la hâte et sans art, Voyez l’Imprimé de Balard,
13 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Table. » p. 
Post-face. Au reste, le Grand-Sauteur ignore comment ce mot doit être écrit .
14 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettres du samedi 20 juin 1671 »
Robinet, lettres du samedi 20 juin 1671 […] En achevant ce mien Ecrit , J’aprens de Personne d’Esprit Ce qu’il faut, don
15 (1841) Physiologie de la lorette pp. -127
r début, et signe un traité par lequel l’administration s’engage, par écrit , à la payer 1,200 francs par an ; mais, en échang
fichus et les peignoirs que porte la Lorette de son choix. La Lorette écrit sur son livre de blanchissage : 2 chemises de fem
e. Le cachet à devises est devenu aussi un besoin général. La Lorette écrit -elle à son cordonnier pour obtenir un délai de pa
rofusion. La Lorette ne date jamais ses lettres du lieu où elles sont écrites . Si elle est dans une auberge à Dieppe, elle met
ondance : A bord du brick l’ Espérance… (ou autre nom). Si la Lorette écrit d’un sol élevé de deux millimètres au-dessus du n
sur les pensées de la nuit qu’elle va passer à la campagne ; et elle écrit par avance à son Arthur quelques phrases qui refl
correspondance. Un autre jour je t’excuserai d’être en retard pour m’ écrire , parce qu’aujourd’hui, dit-il en montrant la lett
des mots qui dépassent la onzième lettre de l’alphabet ; son langage écrit est circonscrit dans les limites de la lettre a…
vigné a la série de mots depuis l… jusqu’à z. Il y a des Lorettes qui écrivent comme si elles devaient être lues exclusivement p
ement à son parrain, qu’elle regrette de ne pouvoir lui dire en prose écrite ce qu’elle éprouve en le voyant et même en ne le
rière de sa vie, il songe à la Vendômoise qui l’aimait si bien et qui écrivait si mal ; et, comme s’il éprouvait le besoin d’un
ogrès, il prend, comme la plus facile à lire, celle qui avait dû être écrite la dernière. A l’aide d’une loupe de marchand
resseux qui ne lisent pas les lettres sous prétexte qu’elles sont mal écrites . La Lorette collectionne les lettres qu’elle reço
ctor Hugo, d’Alfred de Vigny et de George Sand. C’est une Lorette qui écrivait à son Arthur : Viens de bonne heure, le mien est
lus sordide l’économie qu’elles font des lettres de l’alphabet. Elles écrivent J rai vous voir. Et si vous leur demandez pourquo
elles disent que c’est de trop et que ça ne change rien au mot. Elles écrivent aussi G dîné. J’ai eu sous les yeux un autographe
nt avec orgueil l’inscription, elle prouve à la donneuse d’avis qu’on écrivait cire par un c. Une Lorette mère disait en montran
t il y trouve sept manches de rasoirs sans lames, sur lesquels il y a écrit Semaine ; un rouleau de papier chimique contre le
titions tendant à porter culotte tient-il du prodige. Une Lorette écrit  : Monsieur le préfet, Désirant donner des coups
ons de santé. Le lendemain une Lorette mieux inspirée que les autres écrit  : Monsieur le préfet, Me trouvant pour le moment
et sans valeur qui se conserve encore dans le langage populaire, elle écrit immédiatement une lettre au procureur du roi et a
le nom que les Arthurs donnent au cabriolet dont le cocher est isolé. Écrivez à une Lorette : Je vous offre pour la vie un cœur
un cœur constant, L’épître court les chances de rester sans réponse. Écrivez  : Je vous offre pour l’éternité une flamme vivace
faire que le facteur vous rapporte votre pétition sans réponse. Mais écrivez à la Lorette : J’ai l’honneur de mettre, pour la
16 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123
tte opinion, je l’ai trouvée dans une lettre que le grand sculpteur a écrite à une de mes amies. Et ce n’est point par vanité
, pour moi, une femme de génie, avec toutes les ressources du talent, écrivait le 19 janvier 1908, le maître de Meudon. « Toutes
nnaissant. » Moins certes que je ne le suis moi-même à l’homme qui a écrit ces lignes. Mais je suis heureuse, surtout, d’avo
17 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
pport, on vous rendra la justice de dire, que vous pensez et que vous écrivez en bon français ; mais il est un amour devant le
très-peu de filles et même de garçons qui sachent lire la musique, l’ écrire et chanter, ou jouer d’un instrument quelconque.
s copistes voyagent, correspondent entre eux, font des échanges, et n’ écrivent que les Ariettes, les Duo, les grands Récitatifs
18 (1910) Dialogue sur la danse pp. 7-17
it fini sa variation. Elle dansait comme les rédacteurs du « Figaro » écrivaient à la même époque, il y a vingt ans ou même davant
… sur lequel on ne danse même pas. Prenez la toccata en fa que Bach a écrite pour orgue. Y a-t-il rien de plus beau, dites-le 
pas danser ! Moi Ne dites donc pas cela ! Wagner a eu la faiblesse d’ écrire les Meistersinger pour répondre à des phrases de
riez en quinze jours si vous le lisiez tel que ses auteurs de jadis l’ écrivaient . Mais votre art comme leur écriture est devenu qu
19 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Avant-propos. » pp. -
Avant-propos. Lorsque je me proposai d’ écrire sur un art, objet constant de mes études et de me
habitude d’analyser nos sentimens.   A la représentation d’une pièce écrite , la sensibilité de chaque spectateur en reçoit un
e musique adoptée à chaque situation et à chaque sentiment. Au lieu d’ écrire des pas sur des airs notés, comme on fait des cou
hir la barrière élevée par l’impossibilité, et sur la quelle il étoit écrit  : tu n’iras pas plus loin.   Je parlerai de ces o
20 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 6 janvier : Divertissement royal — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 11 janvier 1670 »
t, Sans voir son Grand, et charmant Sire. Quelqu’un de là, vient de m’ écrire , Que l’on y prit dernièrement, Le nouveau Diverti
21 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 4 février 1662 »
ément, Jouir de ce contentement ; Dussè-je prendre des bezicles, J’en écrirai quelques articles : Mais si je ne le vois pas bie
22 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 7 février : Ercole Amante — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 18 février 1662 »
yeux Des magnificences pareilles À ces surprenantes merveilles : Je n’ écris point en étourdi ; Car, pour prouver ce que je di
23 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 3 août : Ballet du Temps accompagnant la tragédie de collège Gusmans — Lettre en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas — La Gravette de Mayolas, lettre du 8 août 1666 »
notre Plume Omette la bonne coutume Qu’en ce temps elle a chacun an ; Écrivons donc comme GUSMAN, Tragédie en tout achevée, Fut
24 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1662 — 22 août : Ballet, La Destinée de Monseigneur accompagnant la tragédie de collège Sigéric — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 26 août 1662 »
u mois nommé du nom d’Auguste, Dans ce Collège tant vanté Que tu vois écrit à côté, Les Ecoliers des Jésuites, Dont les Perso
25 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 26 décembre 1666 »
Influence, Les prend illec comme en Cadence. Divine ALTESSE à qui j’ écris , Vous savez tout ce que je dis ; Mais, comme ma L
26 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « A monsieur de Voltaire. » pp. -
Littérature. Je m’arrête & vous renvoie à la Lettre que je vous écris pour votre instruction, & qui suit immédiatem
27 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »
L’étonnement augmente encore lorsqu’on considère que ceux qui en ont écrit avec tant d’enthousiasme, étaient l’élite des Gre
ns qu’il fût en état d’entendre ce qu’on lui donnerait à copier, ni d’ écrire par lui-même des choses dignes d’être lues. Cet h
inion n’est pas soutenable, si on examine tout ce que les Anciens ont écrit de la Danse Pantomime. Elle a été déjà combattue
faut faire revivre. 13Si le temps avait épargné ce que Pylade avait écrit sur cet Art, il nous serait plus aisé de le ramen
nir à être un excellent Danseur Pantomime, qu’à apprendre à lire et à écrire les langues savantes. 17Si nous voulons donc pla
28 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »
isirs, qu’il est difficile de les connaître, de les approfondir, d’en écrire , sans laisser échapper pour eux une sorte de cons
n me livrant à cet Ouvrage, et mon excuse sur la manière dont je l’ai écrit . J’ai traité assez sérieusement un sujet qu’on ne
eptes que je veux donner ici. Ce sont simplement des réflexions que j’ écris , des vues que j’indique, des moyens que je propos
me des excès outrés et de mauvais goût. 4°. Que lorsque l’Abbé Du Bos écrivait on était très persuadé, ainsi que lui, en France,
a varier, à y mettre un feu qu’elle n’avait pas lorsque l’Abbé Du Bos écrivait  : nous apercevons déjà le bon chemin ; nous nous
29 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172
urs dans l’Alceste, qu’il donna à Vienne. Le poème de cet opéra étoit écrit en Italien. Il n’avoit pu rassembler qu’un petit
é envers moi ces sentimiens que je croyois éteints. Il ne m’avoit pas écrit depuis vingt ans, et à dater de cette époque, il
vingt ans, et à dater de cette époque, il savoit que je m’occupois à écrire sur mon art, à l’embellir par des productions nou
s entreprises de mon imagination. Au commencement de celte année il m écrivit  ; il m’annonça qu’il venoit de remettre pour l’in
ir pleinement du même privilège. Mais c’est assez parler, c’est assez écrire pour des hommes qui ne m’entendront peut-être pas
30 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Discours préliminaire, préface, avis au lecteur, ou tout ce qu'on voudra . » pp. -
isé de devenir Auteur. Malgré le grand nombre de gens qui s’avisent d’ écrire , les bons Ouvrages sont très-rares. La moindre pr
dre, dissoudre, éclipser tous les infiniment petits, à qui la manie d’ écrire met la plume à la main. Le croira-t-on ? j’ai eu
31 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1667 — Début Mars : Fête dans l’Empire germanique (carrousel) — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 10 mars 1667 »
tel fut le dommage Que causa cet humide Orage Que, selon ce qu’on en écrit (Dont l’EMPEREUR fut moult contrit). On mit de be
32 (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190
ui a quarante-quatre mille francs pour 1819… Si Viganò trouve l’art d’ écrire les gestes et les groupes, je maintiens qu’en 186
admirablement les gestes humains4… » Parlant de la Vestale, Stendhal écrit le 15 juillet 1818 : « C’est aussi fort que le pl
théâtre dont le décorateur Sanquirico est un homme de génie, qu’il va écrire ses chefs-d’œuvre. À cette date, il ne connaît pl
audrait un gros ouvrage et il serait bien à souhaiter que quelqu’un l’ écrivît un jour, pour étudier dans leurs détails les ball
ssaient sur un char au milieu des constellations au son de la musique écrite par Haydn pour peindre « la Création du monde ».
u composer un drame régulier, mais six vastes tableaux. « Sans doute, écrit Stendhal, il y a des parties absurdes dans Promét
igue passionnée bouleversa tous les assistants. « Alfieri dans Mirra, écrit Ferrario, Shakespeare dans Othello ne pourraient
phe à Viganò. Ce ballet lui avait coûté des peines infinies. Stendhal écrivait à de Mareste le 5 janvier 1818 : « On a été sur l
de nouveau l’enthousiasme. Les dernières scènes ennuyèrent. Stendhal écrivait de Milan à de Mareste le 2 novembre 1819 : « Deux
ec son mélange de surnaturel et de grotesque à la Hoffmann. « Viganò, écrit -il dans Rome, Naples et Florence 23, a avancé l’e
de suite, et quoique ces transports soient impossibles à exprimer par écrit , de peur du ridicule, on s’en souvient après de l
x pouvant convenir aux diverses situations de ses ballets. « Souvent, écrit Stendhal, lorsqu’il ne peut pas trouver un air qu
33 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 février : Ballet accompagnant Stilicon de Thomas Corneille — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 février 1660 »
aient pas été plus habiles. Et pour mieux prouver au Lecteur Que je n’ écris point en menteur, Sans qu’aucun m’en ait donné ch
34 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 13 février : Le Ballet des Amours déguisés — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 23 février 1664 »
oeuf, Des deux Demoiselles d’Elbeuf, Princesses d’illustre Famille, J’ écrivis la Soeur pour la Fille ; Il est certain qu’icelle
35 (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226
lques lettres inédites de célébrités chorégraphiques On a beaucoup écrit sur la vie des artistes de la danse au xviiie  si
ncourt ont réuni les éléments d’intéressantes biographies. Il reste à écrire d’après des documents authentiques la vie d’un Ga
Voici une lettre de Gardel, qui n’est pas datée, mais qui a dû être écrite sous le Consulat, lorsque Fourcroy exerçait les f
ona. Je suis bien contente de l’entendre… De Saint-Pétersbourg elle écrit quelques années plus tard une lettre intéressante
36 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
un traité qu’il donna en 1588, et qu’il intitula Orchestographie ; il écrivait au-dessous de chaque note de l’air les mouvemens
ctionna l’ébauche ingénieuse de Toinet, Arbeau ; il trouva le moyen d’ écrire par des signes auxquels il attacha une significat
37 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre III. Sur le même sujet. » pp. 19-23
es hommes célébrés. Racine fit Athalie et les Plaideurs ; Montesquieu écrivit l’Esprit des loix, etle Temple de Gnide ; la plum
même dans les cafés, avant que Gluck eût mis la main à la plume pour écrire la première scène de ce nouvel ouvrage ; il rioit
38 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-
de l’Académie nationale de musique et de chorégraphie, à qui j’avais écrit , d’Allemagne, pour lui proposer de danser sur son
e des Folies-Bergère, car je savais que mon agent, de son côté, avait écrit au directeur de ce grand music-hall. En route j’e
ne femme qui fait une imitation de mes danses alors que vous lui avez écrit , de Berlin, pour lui proposer de me voir ? Au lie
39 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-
rcer à ce métier dégradant lui inspirait une mortelle terreur. Elle m’ écrivait qu’elle voulait se sauver de là à tout prix, mais
e pièce qui devait être une comédie. Et c’est pour ce théâtre que fut écrite la « Poupée japonaise ». Ensuite le Little Palace
voyage il me fallut plus d’imagination et j’eus plus de mal que pour écrire une douzaine de pièces. Puis il me fallut, toujou
40 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre I. De l’utilité de la Théorie dans tous les Arts. »
s pratiquer avec succès : il suffit de les avoir approfondis, pour en écrire avec fruit. Un Artiste entraîné par cette espèce
41 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 19 février. Danses de Mlle Svirskaya. »
le choisit comme prétexte à ses danses certains de ces brefs épisodes écrits par les Six et accentués avec une vivacité sautil
42 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 12 février : Réception faite à un Gentilhomme de Campagne — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 14 février 1665 »
tant des mieux imaginée Par une Âme rare et bien née, Cependant que j’ écris ceci, Dans le Palais Royal, aussi, Lieu de respec
43 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177
e Roumanie, je me décidai à ne pas laisser perdre cette occasion et j’ écrivis à la Reine lui demandant de bien vouloir m’accord
pris ailleurs etc., etc. De moi, pas un mot. Pourtant, comme j’avais écrit à la Reine, pour la prier de venir, il me parut q
e parut que je devais m’excuser de mon apparente inconvenance. Je lui écrivis donc combien j’étais malheureuse de mon retard, d
directeur. Le même soir une de mes amies vint m’aviser qu’elle avait écrit la veille à la dame d’honneur de la Reine, qu’ell
lui est possible. Au comble de la surprise, je regardai mon amie et m’ écrirai  : — Mais alors, c’est pour cela qu’elle est venue
44 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre II. Détails sur Pylade et Bathylle »
remier s’occupait à faire des recherches profondes sur son art, à les écrire , à les rendre utiles65. Le second soupait vraisem
uisse-t-il en pareille occasion, être toujours suivi ! 65. Il avait écrit un livre profond sur la Danse, que nous n’avons p
45 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21
u’à sa mort, elle m’a accompagnée dans tous mes voyages. Tandis que j’ écrivais ceci, quelques jours avant sa fin, je pouvais l’e
ures se succédèrent au point que jamais je n’entreprendrai la tâche d’ écrire tout cela. Il me faut dire que lorsque ce premier
46 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1666 — 2 décembre : Le Ballet des Muses — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 22 octobre 1667 »
urtisans, De Compliments grands Artisans.  […] Grande HÉROÏNE à qui j’ écris , Vous savez tout ce que je dis, Car, en qualité d
47 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145
par mon art, se lèvent en masses extasiées. J’ai même des témoignages écrits puisque je retrouve dans mes papiers ce billet si
cite ce fait c’est parce que, je le répète, il s’agit d’un témoignage écrit et qui, en outre, prouve bien l’impression profon
aire ma connaissance. Le père prit des informations à mon sujet, et m’ écrivit pour me demander s’il pouvait m’amener sa fille,
48 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96
faveur des masques, et de ceux qui les portoient. Julien Pollux, qui écrivit sous l’Empereur Adrien, dit affirmativement que l
de de son masque, sa ressemblance ; ce fut dans la comédie des nuées, écrite par Aristophane, que l’homme le plus instruit et
lui annonce le succès de sa Médée, s’éxprime ainsi : « Lorsque vous m’ écrivez que le théâtre est plein, qu’on y danse ma pièce,
49 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-
us beau livre sur l’Inde qu’il eût jamais lu. La mère de Gab avait dû écrire ce livre pendant son voyage là-bas, car peu de te
ssage de mes déclarations : « Il faut de l’ordre dans la pensée pour écrire , et on ne peut que sentir des rayons de lumière e
b à un point tel que, rentrée chez elle, cette gamine de quatorze ans écrivit , en mon honneur, les lignes suivantes : « Une om
uand nous parlons de l’impression que je lui produisis, alors qu’elle écrivit ces pages ingénument passionnées : — Je ne vous v
50 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] «  Traité du geste, Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. » pp. 49-60
ire de bruit. L’estimable antipathie que j’ai pour les Drames mal écrits , & qui m’a fait desirer qu’on ressuscitât la
ouvelles, attendu que, pour l’ordinaire, elles ne font pas aussi-bien écrites que celles de Corneille, Molière, Racine, Voltair
p;c. &c. Cinquante &c. viendraient ici aussi-bien que dans un écrit qui a tant fait de bruit. « Mais (insistent mes
& tout l’univers ». Rappellez-vous encore ce que les Anciens ont écrit de Pylade & de Bathilde, les plus fameux Pant
51 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XLI. Des ouvertures de Jambes. » pp. 187-189
ant le demi cercle : ainsi qu’il est exprimé par cette Figure où sont écrits ces mots, demi cercle que la jambe fait. J’ai déj
52 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre X. Des Actions principales en Danse »
en Danse doit être un Extrait serré d’une excellente Pièce Dramatique écrite . La Danse, comme la Peinture, ne retrace à nos ye
53 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Conclusion du traité contre les danses. » pp. 215-216
tte. Ne faut-il plus rien afin que les vérités exposées dans ce petit écrit , soient favorablement reçues et suivies ? Elles d
54 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10
hapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit . Jésus-Christ dit (Jean, c. 3, v. 20.) que qu
ais commencer par donner la juste idée des danses contre lesquelles j’ écris . Il s’agit des danses telles qu’elles se pratique
? 3.° Quelques curés ou confesseurs entre les mains desquels ce petit écrit pourra tomber, et qui ont été jusqu’à présent tro
55 (1797) Essai ou principes élémentaires de l'art de la danse, utiles aux personnes destinées à l'éducation de la jeunesse « [Conclusion] »
on est immense et presque incalculable ; il est donc difficile de les écrire et plus encore de les déchiffrer. Cet art est d’a
dre à l’empressement de quelques personnes qui ont désiré d’avoir par écrit les principes d’un exercice qu’ils ne connaissaie
56 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Table des principaux sujets traités par ordre alphabétique » pp. 121-124
rps, 54. Musique, 34, 36. N Noverre, grand compositeur de ballets, a écrit dans l’Encyclopédie, 9, 34. O Observations physiq
57 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1661 — 19 février : Ballet de l’Impatience — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 19 février 1661 »
e futur Ouvrage, Ô Quel malheur ? Ô quel dommage ! Maintenant que j’ écris ceci (J’en ai, de deuil, le cœur transi) Devant l
58 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 29 janvier : Le Mariage forcé — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 2 février 1664 »
laisirs extrêmes, Ils en pourront juger eux-mêmes : Mais présentement écrivons Autres choses, si nous pouvons. 29. sic 30. M
59 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 25 septembre : Ballet dansé par le roi à Villers-Cotterêts — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 4 octobre 1665 »
t bien la cadence. Pour éclaircir ce que je dis, En marge ici je vous écris Tous leurs noms que vous pourrez lire, Et je n’ai
60 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre II. Des moyens qui conduisent à la connaissance des Arts »
que longtemps après leurs premiers succès que les Philosophes en ont écrit . Il fallait attendre que le temps eût réuni les d
61 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre X. » pp. 64-66
t le résultat de mes réflexions a été que je vous ferois bailler. Mes écrits et mes observations sur l’opéra ne vous offriront
62 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre première. À Voltaire. » pp. 2-7
re première À Voltaire. J e ne prendrois pas la liberté de vous écrire , si le motif qui m’y détermine ne me servoit d’ex
la tournerai toujours à mon avantage, puisqu’elle m’a autorisé à vous écrire , et à vous assurer que mon admiration pour vos su
63 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIV, la princesse marie » pp. 146-
ommission des Altesses Royales à ma femme de chambre. Le lendemain, j’ écrivis à la Princesse Marie pour la remercier et lui pro
t dallée de faïences bleues, recouvertes de lourds tapis orientaux. J’ écris cela de mémoire, cinq ans après ma visite, mais j
qui m’apporta une grande photographie d’elle sur laquelle elle avait écrit  : « Souvenir d’une soirée pendant laquelle vous
64 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
nnir des lieux et des paroisses où elles étoient en usage. Il a aussi écrit à tous ses curés plusieurs lettres circulaires po
ui auroient violé sur ce point ce qu’il ordonnoit. Parmi un nombre d’ écrits pleins de piété et de maximes les plus solides, q
utes les décisions des bons théologiens moraux, (c’est-à-dire qui ont écrit sur les règles des mœurs) s’accordent à défendre
s et se sont efforcés d’en détourner, je ne dois pas omettre ce qu’en écrit en latin, François Pétrarque, italien de naissanc
torité de quelque homme du monde, en réputation par son esprit et ses écrits , son sentiment pourroit être plus capable de fair
65 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Privilege du roy. » pp. -
ngement de titre, ou autrement, sans la permission expresse & par écrit dudit sieur Exposant, ou de ceux qui auront droit
66 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Avertissement. » pp. 33-34
ue le lecteur ne jugera pas à la rigueur cette espèce d’ouvrage. J’ai écrit sans prétention, plus occupé de mon sujet que du
67 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219
e le journaliste vante à ses lecteurs. « Correspondants et voyageurs, écrit -il le 20 juin, nous apprennent sur le talent de l
nqueur d’Austerlitz. La poésie chante la grande épopée. Victor Hugo a écrit l’ode A la Colonne et Napoléon II. Le courant nap
manifestation bonapartiste. « Une chose bien étrangère à la question, écrivait -il, dès le 2 juin, mais qui ne lui fera pas moins
entendre de plus belle ses trompettes. Le 12 juillet, Charles Maurice écrit  : « Il est difficile d’être plus jolie, d’avoir d
teaux des environs de Paris ont déjà commandé des chevaux de poste », écrit Charles Maurice le 1er septembre. Le 14, il dit q
que pour la sixième représentation, et le 15, jour de la première, il écrit encore : « On loue des loges et des stalles comme
e. Paris fut divisé en elssléristes et en taglionistes. Un énergumène écrivait sur les murs de l’Opéra ces mots : « La Sylphide
68 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87
e. Ce que les auteurs de l’antiquité et les traducteurs infidèles ont écrit sur la déclamation, les masques, le costume, la m
ne voix douce et agréable ; car il n’est fait aucune mention dans les écrits des anciens des noms des femmes dont les talens a
69 (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37
, du bas de la montagne où vous êtes confiné, vous inondez l’Europe d’ écrits célèbres, assaisonnés du sel de la fine plaisante
mp; seul capable de satisfaire cette vaste ambition, qui vous porte à écrire tant d’ouvrages si différens les uns des autres.
rt. Voilà quel est l’aveuglement & la malice du siècle. Dès qu’on écrit , on s’attire des envieux ; des critiques outrés &
L’on fera surement bientôt un in-folio de réflexions sur la manière d’ écrire les ariettes. Un pareil Livre aurait la vogue ; i
70 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre II. De la maniere de bien marcher. » pp. 4-8
ie le Lecteur de faire attention à cette méthode facile que je vais d’ écrire  ; on n’y trouvera que les propres mouvemens que l
71 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194
e des preuves littérales & artificielles, je veux dire simplement écrites par des anciens Poëtes & Musiciens, qui ne so
je ne rapporte les autres, que sur la garentie des Auteurs qui en ont écrit  ; pour faire voir autant qu’il est possible, que
72 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
de la soirée et des orgies qui s’y étaient déroulées. L’article était écrit avec un parti pris de scandale. Je me sentis furi
rès grande réputation, qui se trouvait parmi les invités et qui avait écrit , me dit-on, ce méchant article. J’ai eu ma revanc
73 (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »
rtoise et dont le signataire porte un nom à moi inconnu. Ce lecteur m’ écrit pour me reprocher mon parti pris en faveur de la
é apprécié par moi avec une déférence facilement enthousiaste. Vous m’ écrivez que vous voulez être éclectique, Monsieur (ou Mad
74 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Approbation. De M. l’Abbé Richard, Doyen des Chanoines de l’Eglise Royale & Collégiale de Ste Opportune à Paris, Prieur-Seigneur de l’Hôpital, &c. Censeur Royal. » pp. -
ets. Ces beaux traits qui annoblissent la Danse, méritent bien d’être écrits dans un corps d’histoire. Il n’est pas étonnant q
75 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174
sur la comédie, n’avoit pas eu honte, quoique prêtre et religieux, d’ écrire en faveur des spectacles ; et pour éluder l’autor
de tomber dans le mal qu’on semble vouloir éviter. Aussi, saint Paul écrit -il aux Thessaloniciens : (1. c. 5, v. 22.) Abste
76 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80
s avoir lu Quintillien, Athenée, St. Augustin, et les auteurs qui ont écrit sur les théatres ; après avoir pesé à la balance
ée a imaginés en faveur des sourds muets. Tout ce que les anciens ont écrit sur les mimes, prouve que leurs gestes étoient de
77 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
Sabin, évêque de Plaisance, (Lett. 58, n.° 5, tom. 2, pag. 1013,) lui écrit que « rien n’est plus immodeste que de se donner
t être, selon l’apôtre, (2. Cor. c. 3, 113,) de porter la loi de Dieu écrite dans leur cœur, nous ne pussions pas amollir et b
rem le Syrien, un des plus illustres des anciens solitaires, dont les écrits ont été si célèbres et si estimés dans l’antiquit
faut dire que tout est plein d’erreur dans la loi, les prophètes, les écrits des apôtres et les évangiles. Mais si toutes les
78 (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91
s à me croire fou. Un jour, mes yeux tombèrent sur une lettre qu’elle écrivait à une de ses cousines et qu’elle laissa en brouil
en me disant qu’elle n’avait pas compté l’envoyer et qu’elle l’avait écrite uniquement pour se soulager et se distraire. Que
alors, en peu de mots, les malheurs dont j’étais frappé. Vous m’avez écrit pour me conseiller la résignation. J’étais tout r
79 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287
nce ne résiste pas à deux années de cabriolet. La danseuse sait lire, écrire et compter… sur ses doigts. A la rigueur, elle eû
L’écriture, c’est du luxe. La danseuse reçoit des lettres : elle n’en écrit jamais. Elle ignore jusqu’à la forme du gouvernem
Avec cette différence, pourtant, que quelques-unes de ces demoiselles écrivent … aux gens aisés. J’en connais une, entre autres,
80 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Errata du tome I. » pp. 241-242
ouvrage, en parlant d’une figure, d’un groupe etc. on a crû devoir l’ écrire comme s’il dérivoit de dessiner.
81 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106
ans mesure ; témoin les points d’orgue, les Caprices ad Libitum qui s’ écrivent sans mesure. Tous les musiciens qui ont du goût,
ccentué selon le mouvement donné, ou il avoit sous les yeux une suite écrite de tous les accents du discours, des longues, des
82 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre III. Obstacles au Progrès de la Danse »
la raison n’est guères capable de refroidir. Ils n’ont point de lois écrites , de règles constantes, de principes fixes. Ils se
83 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse »
mécanique et sans âme de pieds, de jambes, et de bras, je n’ai point écrit pour vous. On peut faire tout ce que vous avez fa
84 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 mars : Pomone — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du samedi 18 avril 1671 »
concevoir, Il faut, nécessairement, voir. Car l’on ne saurait bien d’ écrire Ces Prodiges que l’on admire, Ces magnifiques Cha
85 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »
se qui va représenter Sémiramis, sera jugée par le Public d’après cet écrit en connaissance de cause. Quant à moi, content de
é de compositeur de Tragédies Ballets « Qu’il faut avoir le courage d’ écrire pour les âmes sensibles, sans nul égard pour cett
86 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211
t à S. Jérôme & à St Antoine dans les deserts, confirmées par les Ecrits du premier, & par St Athanase dans la vie du
n 1686, ait appris au Public tout ce que son élégante plume auroit pû écrire sur ce sujet, puisqu’il ne parle pas des magnific
87 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128
’expression & la situation que chacun d’eux devoit rendre étoient écrites . Cette précaution utile qui mettoit le Spectateur
e les premiers Peintres firent, au bas desquels ils étoient obligés d’ écrire le nom des personnages qu’ils avoient voulu peind
88 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187
de la chorégraphie officielle. « Qu’une danseuse, il y a trente ans, écrit Ch. de Boigne, ait pu faire dans la danse une rév
; le reste ne comptait guère. C’est pour Marie Taglioni que Meyerbeer écrivit le fameux ballet des nonnes de Robert le Diable.
on album à l’artiste pour qu’elle y laissât quelques lignes. Celle-ci écrivit un quatrain dont le premier vers était en alleman
ue Rahel Varnhagen porta sur Mlle Taglioni. La spirituelle Berlinoise écrivait , le 21 juin 1832, à Louis Robert une longue lettr
, c’est de danser à côté de la musique. « Elle n’en est pas pénétrée, écrit -elle en français, et voilà ce qui manque à ses me
89 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « Plan du Ballet »
ait leur dire ce qu’elle a vu ; elle marque la place où la main avait écrit , mais tout a disparu ; son accablement continuant
90 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 26 janvier : Ballet de la Naissance de Vénus — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 31 janvier 1665 »
au Ballet, Et dansent chacune son Rôlet. Mais, comme il faut cesser d’ écrire , Je ne saurais plus vous rien dire De ce charmant
91 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 novembre : Les Amours de Diane et d’Endimion — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 14 novembre 1671 »
161 De Monsieur, qui Guichard se nomme, Et, toute flaterie à part, D’ écrire , en Vers, et Prose, a l’Art, Voire, de manière ga
92 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
r opéra, et le ton de dédain dont les critiques du dernier siècle ont écrit en France, des Ouvrages Lyriques de Quinault. Exa
ais qui en lisant l’Abbé Métastase ont publié les premiers dans leurs Écrits , tout ce que valaient les Poèmes de ce grand Poèt
93 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125
outer à ce qu’on vient d’entendre de saint Jean Chrysostôme, ce qu’on écrit contre les danses qui se font aux noces, les mini
anière toute païenne, lorsque Jésus-Christ leur opposera ce qu’en ont écrit les docteurs protestans dont je viens de rapporte
94 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIII. » pp. 122-133
prononcer sur les objets que ces arts lui présentent. Ce que je vais écrire , Monsieur, pourra servir de régulateur aux maître
l’on croit propres à l’action pantomime ; pour y réussir, on doit les écrire sur trois cahiers ; l’un sera historique, l’autre
95 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319
urs des huit soirées. « J’ai déjà vu au théâtre mainte soirée animée, écrivait Heinrich Adami le 7 août dans l’Allgemeine Theate
es de haute littérature. Ils font également honneur à celui qui les a écrits et à celle qui les a inspirés128. Le premier de
r et de beaucoup d’os qu’on appelle Mlle Taglioni. » Le lendemain, il écrivait pour le Nouvelliste de Thiers le compte rendu de
e son article : « Revenu chez moi. Fait du feu. Fourré à l’ouvrage et écrit mon feuilleton sur Fanny la danseuse, avec cette
pard, par cette ignoble claque ; les colonnes sont pleines de lettres écrites par les morts. Le fait est qu’Auguste, homme de f
ty’s Theatre avaient traité Fanny avec rigueur. « Le public anglais, écrivait Chaudes-Aigues, aurait pu répondre plus courtoise
es littéraires à la charmante prêtresse de l’art. Il la priait de lui écrire de chez les sauvages, afin qu’il pût raconter ses
ce chevaleresque dévouement. « Oui, répondit-elle de Londres, je vous écrirai souvent, vous aurez souvent de mes nouvelles, car
96 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »
saurait être suspecte. Je vais traduire ici une partie de ce qu’il a écrit sur ce genre de composition si fort estimé de son
97 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre quatrième — Chapitre VIII. Preuve de la perfection réelle de la Danse ancienne. »
. Ce n’est pas aussi, pour les personnes qui savent la démêler, que j’ écris ce Chapitre. Je ne l’adresse pas non plus, à ces
98 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »
ère du Théâtre Lyrique, que j’ose adresser le peu de mots que je vais écrire . Dans un Opéra, genre faiblement estimé, fort peu
99 (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-
 » Madame Paul Montessu La sœur de Paul l’aérien. « C’est, écrit l’un de ses biographes, une sylphide qui voltige
t point parole d’évangile. Le public ne donna pas dedans.« Il rendit, écrit M. de Boigne, justice à deux ou trois admirables
mot anonyme, j’ai toujours soupçonné mademoiselle Duvernay de l’avoir écrit de sa blanche main. Tout fier de sa mission, M. G
la jeune étoile créa le Papillon, — trois actes dont Offenbach avait écrit la musique. Elle était alors la personnalité en v
vive. Et voyez l’étrange rapprochement ! Quand M. Feydeau commença à écrire Monsieur de Saint-Bertrand, il demanda justement
100 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212
lus extrême besoin. Ce n’est point avec une plume foible que l’on ose écrire à l’homme qui dispose, a son gré, de celle du goû
le don précieux de les laisser tomber de sa plume sur tout ce qu’elle écrit . J’ose espérer, que l’homme, (ou le génie) qui a
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