hie 7 dont vous voulez que je vous entretienne, Monsieur, est l’Art d’
écrire
la Danse à l’aide de différents signes, comme on
, est l’Art d’écrire la Danse à l’aide de différents signes, comme on
écrit
la Musique à l’aide de figures ou de caracteres d
régraphie. La Danse étoit simple & peu composée ; la maniere de l’
écrire
étoit par conséquent facile, & on apprenoit à
ur mêlange est immense ; il est donc très-difficile de les mettre par
écrit
& encore plus difficile de les déchiffrer. Ce
à ceux qui y sont répandus les moyens de penser, de réfléchir & d’
écrire
sur leur Art ; ils adresseroient à la Société des
s de ceux qui la composent. On s’est plaint de n’en voir sortir aucun
Ecrit
ni bon, ni mauvais, ni médiocre, ni satisfaisant,
il se dessine avec élégance, ses attitudes sont belles, ses pas bien
écrits
, il est brillant en l’air, il est vif & préci
lonnée & réveillée par les travaux qui leur seroient offerts ! On
écrit
tous les jours sur des matieres bien plus futiles
les chemins & de dessiner les pas ; que celui qui étoit en état d’
écrire
avec le plus de netteté eût expliqué tout ce que
Opéra chargé de Danses ; que de chemins différents ne faudroit-il pas
écrire
pour un Ballet nombreux ! ajoutez ensuite sur vin
compliqués à faire, & vous aurez, Monsieur, si vous le voulez, un
écrit
très-savant, mais chargé d’une si grande abondanc
mp; qui enchaînoient ces figures ; & il ne perdra pas son temps à
écrire
les pas, ni les attitudes diverses qui embellisso
ctionna l’ébauche ingénieuse de Thoinet Arbeau ; il trouva le moyen d’
écrire
les pas par des signes ausquels il attacha une si
ent le siècle présent. [2] Le très petit nombre d’ouvrages que l’on a
écrit
sur la danse, et le peu de valeur de quelques-uns
re les compositeurs ; il a prescrit des règles aux mimes ; il a aussi
écrit
sur l’art, proprement dit, de la danse ; mais ses
excellentes lettres de cet artiste célèbre, sur les ballets, ont été
écrites
particulièrement pour le compositeur, et ne devra
ui d’une bien grande utilité ; car notre art, depuis l’époque où il a
écrit
, est entièrement changé. [5] J’ose donc espérer q
i, sans être danseurs, parlent beaucoup de danse. » Je crois que les
écrits
de ces hommes, qui ont employé tant de veilles po
lacés par quelque bon traité théorique, sur le mécanisme de la danse,
écrit
par un Dauberval, un Gardel, un Vestris, ou par q
autre grand maître. « Je voudrais, dit le sage Montaigne, que chacun
écrivit
ce qu’il sait, et autant qu’il en sait. » 2. O
on de se laisser tromper. — Le désagrément d’avoir un secrétaire. — J’
écris
mes lettres moi-même. — Madame Louise Colet. — La
a maîtresse fait cela parce que je le fais. Finette a la réputation d’
écrire
des lettres charmantes. Elle ne sait pas signer s
eur. C’est que le professeur est généralement une femme instruite qui
écrit
des lettres poétiques et fait tout ce qui concern
a une centaine de clientes qui la payent douze francs par mois. Elle
écrit
quelque chose comme deux cents poulets par jour.
sse pour une femme à double face : la femme qui parle et la femme qui
écrit
. J’en ai vu qui pleuraient d’attendrissement sur
ble quand c’est une invitation à dîner pour le jour même. XII J’
écris
mes lettres moi-même. Outre que je suis une femme
le — chose que je ne me pardonne pas. J’avais une lettre importante à
écrire
, et vraiment je ne savais comment la tourner. Je
hie 1 dont vous voulez que je vous entretienne, Monsieur, est l’art d’
écrire
la danse à l’aide de différens signes, comme on é
r, est l’art d’écrire la danse à l’aide de différens signes, comme on
écrit
la musique à l’aide de figures ou de caractères d
Chorégraphie. La danse étoit simple et peu composée, la manière de l’
écrire
étoit par conséquent facile, et l’on apprenoit à
ur mélange est immense : il est donc très difficile de les mettre par
écrit
, et encore plus difficile de les déchiffrer, cet
t à ceux qui y sont répandus, les moyens de penser, de réflechir et d’
écrire
sur leur art ; ils adresseroient à la société des
s de ceux qui la composent. On s’est plaint de n’en voir sortir aucun
écrit
ni bon, ni mauvais, ni médiocre, ni satisfaisant,
il se dessine avec élégance ; ses attitudes sont belles, ses pas bien
écrits
; il est brillant en l’air, il est vif et précis
er les chemins et de dessiner les pas ; que celui qui étoit en état d’
écrire
avec plus de netteté, eût expliqué tout ce que le
e opéra chargé de danses. Que de chemins différens ne faudroit-il pas
écrire
pour un ballet nombreux ! ajoutez ensuite sur vin
s compliqués à faire ; et vous aurez, Monsieur, si vous le voulez, un
écrit
très-savant, mais chargé d’une si grande abondanc
es, et qui enchainoient ces figures ; et il ne perdra pas son temps à
écrire
les pas, ni les attitudes diverses, qui embelliss
ctionna l’ébauche ingénieuse de Thoynot Arbeau ; il trouva le moyen d’
écrire
les pas par des signes aux quels il attacha une s
ns d’argent. C’est de sa plume qu’il vécut si largement. A Berlin ses
écrits
politiques lui ouvrirent les portes des ambassade
de Metternich, multiplier les besognes lucratives. Les mémoires qu’il
écrivit
en 1811 à l’occasion de la réforme des finances a
rait croire les grosses sommes qu’il m’a coûtées, car il n’avait qu’à
écrire
sur un billet ce qu’il voulait avoir, et il l’obt
830, Louis-Philippe, qui l’avait connu personnellement autrefois, lui
écrivait
lui-même à diverses reprises comme à un homme loy
entz lui-même dans de nombreuses lettres. Il y a d’abord celles qu’il
écrivit
à Fanny. Elles ne nous ont pas été conservées tou
fille, dont le vrai nom était Françoise, célébrait sa fête. Gentz lui
écrit
: « Je ne pouvais me décider à vous envoyer en
e contre laquelle je proteste de toutes mes forces, vous vouliez bien
écrire
de votre jolie main sur un petit bout de papier c
a folie. Il invite son jeune confident, qui est poète à ses heures, à
écrire
quelques variations sur l’histoire, contée par An
ne dissimule plus la force de sa passion. « J’ai déjeuné tendrement,
écrit
-il à la comtesse le 23 juin 1830, avec une person
l’ait vue longuement la veille, il ne peut résister au besoin de lui
écrire
; il lui dit : « Ma bien-aimée ! mon unique ! «
ets se succèdent. Gentz doit voir Fanny dans quelques heures ? Il lui
écrit
pour lui dire son impatience de la rejoindre. Il
dire son impatience de la rejoindre. Il vient de la quitter ? Il lui
écrit
pour la remercier de l’ivresse qu’elle lui a fait
iffonnage ; il la félicite du choix des vers ; il baise la main qui a
écrit
de si douces choses, en attendant l’heure où ses
là ce dont il est absolument convaincu. « Une chose est certaine, lui
écrit
-il le 3 juillet 1830, c’est que, au moment où je
t d’une fièvre brûlante. Même s’il arrivait à modérer ses sentiments,
écrivait
-il à la comtesse Fuchs, il lui en resterait bien
jour des adieux, à faire taire ses gémissements. Le même soir il lui
écrivait
encore pour la remercier : « Tu as mis aujourd’h
es et demie. Gentz saisit encore vite sa plume. « Toutes mes pensées,
écrit
-il, sont auprès de toi, chère Fanny ! Pourquoi fa
ul et de s’enfermer avec les chers souvenirs de sa bien-aimée. Il lui
écrit
: « … Me voici donc, assis à cette place, abreuv
e et je ne pense qu’à toi. » Il la remercie avec chaleur de lui avoir
écrit
; il lui en est d’autant plus reconnaissant qu’el
ffets par une lettre du 22 septembre 1830. « Vous serez étonnée, lui
écrivait
Gentz, peut-être même effrayée, si je vous dis qu
ue Rahel la vît au théâtre. Alors celle-ci fut éblouie. Ce fut alors,
écrivait
-elle à Gentz, « que Vénus tout entière sortit des
que. Rahel admirera sa précision d’anatomiste. « Oui, ma chère amie,
écrit
-il de Presbourg le 18 octobre 1830, il faut que j
à partir une quinzaine de jours plus tôt. « Je ne puis presque plus,
écrit
-il toujours dans la même lettre, supporter la tor
re à Rahel exprime la même certitude d’être aimé que celles que Gentz
écrit
, soit à la comtesse Fuchs, soit à Fanny elle-même
lamentait de cette absence qui se prolongeait. « Il est grand temps,
écrivait
-il le 6 novembre à Rahel, qu’elle revienne ! Si v
dès la première minute, éprouvée pour Fanny. « Il est des sympathies,
écrit
-elle, en français, il est des nœuds secrets… » El
» Elle raconte qu’elle a lieu d’être fière de sa sagacité. Elle avait
écrit
un mot à Fanny pour la féliciter d’une de ses toi
d il se retrouva en présence de la plus superbe fleur de jeunesse. Il
écrivait
à la comtesse Fuchs, le 15 décembre : « Hier j’ai
l n’est plus de force à supporter des plaisirs violents. « Hier soir,
écrit
-il un autre jour à la même, j’étais à demi-mort.
es nuages qui passent sur son âme assombrissent les billets qu’il lui
écrit
. La pensée de la mort le poursuit et se glisse da
vage » que Fanny lui a préparé la veille au soir. « Je désire savoir,
écrit
-il, le matin du 23 avril 1831, comment a dormi ma
e de cour. Il fait intervenir le ciel dans son aventure amoureuse. Il
écrit
à Rahel, le 8 juillet 1831 : « Ce bonheur inexpri
sentait au départ pour Berlin. « Dans l’année qui vient de s’écouler,
écrivait
-il le 8 juillet 1831 à Rahel, Fanny a fait des pr
dente à la même occasion revinrent plus aiguës. « Vous vous souvenez,
écrit
-il à Rahel le 13 novembre, des plaintes que m’arr
de sa villégiature à Kœnigswart. A ce moment-là, on s’en souvient, il
écrivait
à la comtesse Fuchs que, de cet éloignement, il e
te de ce qui s’est passé dans le cœur de Fanny. Les lettres qu’elle a
écrites
à son amant ont disparu. Celles de Gentz doivent
e Dr Véron, directeur de l’Opéra, voulut savoir à quoi s’en tenir. Il
écrit
, dans ses Mémoires d’un Bourgeois de Paris : « Le
ndit aussi d’avoir été dans l’intimité du duc. Sur une lettre qu’elle
écrivit
à cette amie, le 27 juin 1837, et qui est conserv
, 2te Auflage. Cette prétendue traduction de lettres que Gentz aurait
écrites
en français à Fanny Elssler est, dit Haym (Ersch
u prouver à de certaines personnes qu’au besoin elle savait parler et
écrire
. Sais-tu bien pourquoi j’ai fait ce livre ? — Non
ne m’accuse pas trop, cher lecteur : si je les avais écoulés j’aurais
écrit
des choses horribles. Ce que j’ai vu, par exemple
eux pas de menuet en avant en vous tenant la main Comme vous le voyez
écrit
ci dessous [en bas, verticalement de bas en haut]
ait un aussi en descendant, ainsi qu’il est démontré par cette Figure
écrite
, qui indique le chemin, & qui nomme les pas ;
tes à votre premier pas, de ce pas de Menuet de côté, ainsi qu’il est
écrit
; mais en faisant ce pas vous effacez l’un &
faut faire un pas de Menuet du côté droit en arriere, ainsi qu’il est
écrit
4. ce qui vous remet dans votre Figure principale
s divines Loix.126 Force Masques, non pas célestes, Mais, à ce qu’on
écrit
, très lestes, Venant illec montrer leur nez, Avec
t du dessous. Un petit Livre dont je tire Tout ce qu’ici je viens d’
écrire
Se tait des Décorations Dans ses belles Narration
is qu’il n’y a peut-être pas trois de ces mêmes Spectateurs en état d’
écrire
? Cette singularité, à laquelle on ne fait point
les approuve. Dans mon particulier je soumets tout ce que je viens d’
écrire
à la censure générale ; c’est à elle qu’il appart
le. On a peut-être oublié que toutes les belles choses que je viens d’
écrire
ont leur source dans le refus qu’ôse faire le sie
ire fortement persuadé qu’elle serait accueillie avec transport, j’ai
écrit
mon espèce de préface & ma Lettre à M. de Vol
ie du Libelle 10. Mais voilà qui est décidé ; je renoncé à la manie d’
écrire
. Assez de gens sans moi barbouilleront du papier
des Spectateurs rassemblés au Théâtre du sieur Nicolet. Plutôt que d’
écrire
de mauvais vers ou de pitoyable prose, il vaut en
XXIV comment m. claretie m’a décidée à
écrire
ce livre Un soir, pendant l’Exposition de 1900,
isite chez M. Claretie et signé de M. Claretie lui-même. « Mme Hanako
écrivait
-il, est à la ville une petite personne, délicieus
’étonne point qu’Alexandre Dumas fils ait pu me dire : — Elle devrait
écrire
ses impressions et ses mémoires. J’aurais voulu s
uve vis-à-vis de moi-même. Et puis cela me paraissait si formidable d’
écrire
un livre. Et un livre sur moi !… Un après-midi, j
dée de « Souvenirs » que son mari désirait, après Dumas fils, me voir
écrire
, on se mit à m’interroger et sur moi et sur mon a
à l’incident. Même, quelques jours plus tard, le 5 novembre 1907, il
écrivait
, dans le Temps, un long et toujours trop élogieux
n l’impression de mon travail de répétition. « J’ai eu, l’autre soir,
écrivait
-il, comme la vision d’un théâtre futur, quelque c
dans l’écritoire et à commencer ces « Mémoires », — ces « Mémoires »,
écrits
en anglais, et que le prince Bojidar Karageorgevi
ère objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. On a beau
écrire
et parler fortement contre les danses, on ne vien
conduit un pareil raisonnement ? Si on le suit, il ne faudra pas plus
écrire
ni parler contre les juremens, les ivrogneries, l
donc une conséquence très-fausse que de conclure qu’il est inutile d’
écrire
ou de parler contre les danses, parce que, quelqu
arler contre les danses, parce que, quelque chose qu’on dise ou qu’on
écrive
contre elles, on ne les abolira certainement pas,
Sa Majesté. De toutes les choses susdites, Par moi trop faiblement
écrites
, Je vis le fond et le tréfond, Grâces au généreux
ment : Mais pour en savoir davantage Que je n’en dis dans cet Ouvrage
Écrit
à la hâte et sans art, Voyez l’Imprimé de Balard,
Post-face. Au reste, le Grand-Sauteur ignore comment ce mot doit être
écrit
.
Robinet, lettres du samedi 20 juin 1671 […] En achevant ce mien
Ecrit
, J’aprens de Personne d’Esprit Ce qu’il faut, don
r début, et signe un traité par lequel l’administration s’engage, par
écrit
, à la payer 1,200 francs par an ; mais, en échang
fichus et les peignoirs que porte la Lorette de son choix. La Lorette
écrit
sur son livre de blanchissage : 2 chemises de fem
e. Le cachet à devises est devenu aussi un besoin général. La Lorette
écrit
-elle à son cordonnier pour obtenir un délai de pa
rofusion. La Lorette ne date jamais ses lettres du lieu où elles sont
écrites
. Si elle est dans une auberge à Dieppe, elle met
ondance : A bord du brick l’ Espérance… (ou autre nom). Si la Lorette
écrit
d’un sol élevé de deux millimètres au-dessus du n
sur les pensées de la nuit qu’elle va passer à la campagne ; et elle
écrit
par avance à son Arthur quelques phrases qui refl
correspondance. Un autre jour je t’excuserai d’être en retard pour m’
écrire
, parce qu’aujourd’hui, dit-il en montrant la lett
des mots qui dépassent la onzième lettre de l’alphabet ; son langage
écrit
est circonscrit dans les limites de la lettre a…
vigné a la série de mots depuis l… jusqu’à z. Il y a des Lorettes qui
écrivent
comme si elles devaient être lues exclusivement p
ement à son parrain, qu’elle regrette de ne pouvoir lui dire en prose
écrite
ce qu’elle éprouve en le voyant et même en ne le
rière de sa vie, il songe à la Vendômoise qui l’aimait si bien et qui
écrivait
si mal ; et, comme s’il éprouvait le besoin d’un
ogrès, il prend, comme la plus facile à lire, celle qui avait dû être
écrite
la dernière. A l’aide d’une loupe de marchand
resseux qui ne lisent pas les lettres sous prétexte qu’elles sont mal
écrites
. La Lorette collectionne les lettres qu’elle reço
ctor Hugo, d’Alfred de Vigny et de George Sand. C’est une Lorette qui
écrivait
à son Arthur : Viens de bonne heure, le mien est
lus sordide l’économie qu’elles font des lettres de l’alphabet. Elles
écrivent
J rai vous voir. Et si vous leur demandez pourquo
elles disent que c’est de trop et que ça ne change rien au mot. Elles
écrivent
aussi G dîné. J’ai eu sous les yeux un autographe
nt avec orgueil l’inscription, elle prouve à la donneuse d’avis qu’on
écrivait
cire par un c. Une Lorette mère disait en montran
t il y trouve sept manches de rasoirs sans lames, sur lesquels il y a
écrit
Semaine ; un rouleau de papier chimique contre le
titions tendant à porter culotte tient-il du prodige. Une Lorette
écrit
: Monsieur le préfet, Désirant donner des coups
ons de santé. Le lendemain une Lorette mieux inspirée que les autres
écrit
: Monsieur le préfet, Me trouvant pour le moment
et sans valeur qui se conserve encore dans le langage populaire, elle
écrit
immédiatement une lettre au procureur du roi et a
le nom que les Arthurs donnent au cabriolet dont le cocher est isolé.
Écrivez
à une Lorette : Je vous offre pour la vie un cœur
un cœur constant, L’épître court les chances de rester sans réponse.
Écrivez
: Je vous offre pour l’éternité une flamme vivace
faire que le facteur vous rapporte votre pétition sans réponse. Mais
écrivez
à la Lorette : J’ai l’honneur de mettre, pour la
tte opinion, je l’ai trouvée dans une lettre que le grand sculpteur a
écrite
à une de mes amies. Et ce n’est point par vanité
, pour moi, une femme de génie, avec toutes les ressources du talent,
écrivait
le 19 janvier 1908, le maître de Meudon. « Toutes
nnaissant. » Moins certes que je ne le suis moi-même à l’homme qui a
écrit
ces lignes. Mais je suis heureuse, surtout, d’avo
pport, on vous rendra la justice de dire, que vous pensez et que vous
écrivez
en bon français ; mais il est un amour devant le
très-peu de filles et même de garçons qui sachent lire la musique, l’
écrire
et chanter, ou jouer d’un instrument quelconque.
s copistes voyagent, correspondent entre eux, font des échanges, et n’
écrivent
que les Ariettes, les Duo, les grands Récitatifs
it fini sa variation. Elle dansait comme les rédacteurs du « Figaro »
écrivaient
à la même époque, il y a vingt ans ou même davant
… sur lequel on ne danse même pas. Prenez la toccata en fa que Bach a
écrite
pour orgue. Y a-t-il rien de plus beau, dites-le
pas danser ! Moi Ne dites donc pas cela ! Wagner a eu la faiblesse d’
écrire
les Meistersinger pour répondre à des phrases de
riez en quinze jours si vous le lisiez tel que ses auteurs de jadis l’
écrivaient
. Mais votre art comme leur écriture est devenu qu
Avant-propos. Lorsque je me proposai d’
écrire
sur un art, objet constant de mes études et de me
habitude d’analyser nos sentimens. A la représentation d’une pièce
écrite
, la sensibilité de chaque spectateur en reçoit un
e musique adoptée à chaque situation et à chaque sentiment. Au lieu d’
écrire
des pas sur des airs notés, comme on fait des cou
hir la barrière élevée par l’impossibilité, et sur la quelle il étoit
écrit
: tu n’iras pas plus loin. Je parlerai de ces o
t, Sans voir son Grand, et charmant Sire. Quelqu’un de là, vient de m’
écrire
, Que l’on y prit dernièrement, Le nouveau Diverti
ément, Jouir de ce contentement ; Dussè-je prendre des bezicles, J’en
écrirai
quelques articles : Mais si je ne le vois pas bie
yeux Des magnificences pareilles À ces surprenantes merveilles : Je n’
écris
point en étourdi ; Car, pour prouver ce que je di
notre Plume Omette la bonne coutume Qu’en ce temps elle a chacun an ;
Écrivons
donc comme GUSMAN, Tragédie en tout achevée, Fut
u mois nommé du nom d’Auguste, Dans ce Collège tant vanté Que tu vois
écrit
à côté, Les Ecoliers des Jésuites, Dont les Perso
Influence, Les prend illec comme en Cadence. Divine ALTESSE à qui j’
écris
, Vous savez tout ce que je dis ; Mais, comme ma L
Littérature. Je m’arrête & vous renvoie à la Lettre que je vous
écris
pour votre instruction, & qui suit immédiatem
L’étonnement augmente encore lorsqu’on considère que ceux qui en ont
écrit
avec tant d’enthousiasme, étaient l’élite des Gre
ns qu’il fût en état d’entendre ce qu’on lui donnerait à copier, ni d’
écrire
par lui-même des choses dignes d’être lues. Cet h
inion n’est pas soutenable, si on examine tout ce que les Anciens ont
écrit
de la Danse Pantomime. Elle a été déjà combattue
faut faire revivre. 13Si le temps avait épargné ce que Pylade avait
écrit
sur cet Art, il nous serait plus aisé de le ramen
nir à être un excellent Danseur Pantomime, qu’à apprendre à lire et à
écrire
les langues savantes. 17Si nous voulons donc pla
isirs, qu’il est difficile de les connaître, de les approfondir, d’en
écrire
, sans laisser échapper pour eux une sorte de cons
n me livrant à cet Ouvrage, et mon excuse sur la manière dont je l’ai
écrit
. J’ai traité assez sérieusement un sujet qu’on ne
eptes que je veux donner ici. Ce sont simplement des réflexions que j’
écris
, des vues que j’indique, des moyens que je propos
me des excès outrés et de mauvais goût. 4°. Que lorsque l’Abbé Du Bos
écrivait
on était très persuadé, ainsi que lui, en France,
a varier, à y mettre un feu qu’elle n’avait pas lorsque l’Abbé Du Bos
écrivait
: nous apercevons déjà le bon chemin ; nous nous
urs dans l’Alceste, qu’il donna à Vienne. Le poème de cet opéra étoit
écrit
en Italien. Il n’avoit pu rassembler qu’un petit
é envers moi ces sentimiens que je croyois éteints. Il ne m’avoit pas
écrit
depuis vingt ans, et à dater de cette époque, il
vingt ans, et à dater de cette époque, il savoit que je m’occupois à
écrire
sur mon art, à l’embellir par des productions nou
s entreprises de mon imagination. Au commencement de celte année il m
écrivit
; il m’annonça qu’il venoit de remettre pour l’in
ir pleinement du même privilège. Mais c’est assez parler, c’est assez
écrire
pour des hommes qui ne m’entendront peut-être pas
isé de devenir Auteur. Malgré le grand nombre de gens qui s’avisent d’
écrire
, les bons Ouvrages sont très-rares. La moindre pr
dre, dissoudre, éclipser tous les infiniment petits, à qui la manie d’
écrire
met la plume à la main. Le croira-t-on ? j’ai eu
tel fut le dommage Que causa cet humide Orage Que, selon ce qu’on en
écrit
(Dont l’EMPEREUR fut moult contrit). On mit de be
ui a quarante-quatre mille francs pour 1819… Si Viganò trouve l’art d’
écrire
les gestes et les groupes, je maintiens qu’en 186
admirablement les gestes humains4… » Parlant de la Vestale, Stendhal
écrit
le 15 juillet 1818 : « C’est aussi fort que le pl
théâtre dont le décorateur Sanquirico est un homme de génie, qu’il va
écrire
ses chefs-d’œuvre. À cette date, il ne connaît pl
audrait un gros ouvrage et il serait bien à souhaiter que quelqu’un l’
écrivît
un jour, pour étudier dans leurs détails les ball
ssaient sur un char au milieu des constellations au son de la musique
écrite
par Haydn pour peindre « la Création du monde ».
u composer un drame régulier, mais six vastes tableaux. « Sans doute,
écrit
Stendhal, il y a des parties absurdes dans Promét
igue passionnée bouleversa tous les assistants. « Alfieri dans Mirra,
écrit
Ferrario, Shakespeare dans Othello ne pourraient
phe à Viganò. Ce ballet lui avait coûté des peines infinies. Stendhal
écrivait
à de Mareste le 5 janvier 1818 : « On a été sur l
de nouveau l’enthousiasme. Les dernières scènes ennuyèrent. Stendhal
écrivait
de Milan à de Mareste le 2 novembre 1819 : « Deux
ec son mélange de surnaturel et de grotesque à la Hoffmann. « Viganò,
écrit
-il dans Rome, Naples et Florence 23, a avancé l’e
de suite, et quoique ces transports soient impossibles à exprimer par
écrit
, de peur du ridicule, on s’en souvient après de l
x pouvant convenir aux diverses situations de ses ballets. « Souvent,
écrit
Stendhal, lorsqu’il ne peut pas trouver un air qu
aient pas été plus habiles. Et pour mieux prouver au Lecteur Que je n’
écris
point en menteur, Sans qu’aucun m’en ait donné ch
oeuf, Des deux Demoiselles d’Elbeuf, Princesses d’illustre Famille, J’
écrivis
la Soeur pour la Fille ; Il est certain qu’icelle
lques lettres inédites de célébrités chorégraphiques On a beaucoup
écrit
sur la vie des artistes de la danse au xviiie si
ncourt ont réuni les éléments d’intéressantes biographies. Il reste à
écrire
d’après des documents authentiques la vie d’un Ga
Voici une lettre de Gardel, qui n’est pas datée, mais qui a dû être
écrite
sous le Consulat, lorsque Fourcroy exerçait les f
ona. Je suis bien contente de l’entendre… De Saint-Pétersbourg elle
écrit
quelques années plus tard une lettre intéressante
un traité qu’il donna en 1588, et qu’il intitula Orchestographie ; il
écrivait
au-dessous de chaque note de l’air les mouvemens
ctionna l’ébauche ingénieuse de Toinet, Arbeau ; il trouva le moyen d’
écrire
par des signes auxquels il attacha une significat
es hommes célébrés. Racine fit Athalie et les Plaideurs ; Montesquieu
écrivit
l’Esprit des loix, etle Temple de Gnide ; la plum
même dans les cafés, avant que Gluck eût mis la main à la plume pour
écrire
la première scène de ce nouvel ouvrage ; il rioit
de l’Académie nationale de musique et de chorégraphie, à qui j’avais
écrit
, d’Allemagne, pour lui proposer de danser sur son
e des Folies-Bergère, car je savais que mon agent, de son côté, avait
écrit
au directeur de ce grand music-hall. En route j’e
ne femme qui fait une imitation de mes danses alors que vous lui avez
écrit
, de Berlin, pour lui proposer de me voir ? Au lie
rcer à ce métier dégradant lui inspirait une mortelle terreur. Elle m’
écrivait
qu’elle voulait se sauver de là à tout prix, mais
e pièce qui devait être une comédie. Et c’est pour ce théâtre que fut
écrite
la « Poupée japonaise ». Ensuite le Little Palace
voyage il me fallut plus d’imagination et j’eus plus de mal que pour
écrire
une douzaine de pièces. Puis il me fallut, toujou
s pratiquer avec succès : il suffit de les avoir approfondis, pour en
écrire
avec fruit. Un Artiste entraîné par cette espèce
le choisit comme prétexte à ses danses certains de ces brefs épisodes
écrits
par les Six et accentués avec une vivacité sautil
tant des mieux imaginée Par une Âme rare et bien née, Cependant que j’
écris
ceci, Dans le Palais Royal, aussi, Lieu de respec
e Roumanie, je me décidai à ne pas laisser perdre cette occasion et j’
écrivis
à la Reine lui demandant de bien vouloir m’accord
pris ailleurs etc., etc. De moi, pas un mot. Pourtant, comme j’avais
écrit
à la Reine, pour la prier de venir, il me parut q
e parut que je devais m’excuser de mon apparente inconvenance. Je lui
écrivis
donc combien j’étais malheureuse de mon retard, d
directeur. Le même soir une de mes amies vint m’aviser qu’elle avait
écrit
la veille à la dame d’honneur de la Reine, qu’ell
lui est possible. Au comble de la surprise, je regardai mon amie et m’
écrirai
: — Mais alors, c’est pour cela qu’elle est venue
remier s’occupait à faire des recherches profondes sur son art, à les
écrire
, à les rendre utiles65. Le second soupait vraisem
uisse-t-il en pareille occasion, être toujours suivi ! 65. Il avait
écrit
un livre profond sur la Danse, que nous n’avons p
u’à sa mort, elle m’a accompagnée dans tous mes voyages. Tandis que j’
écrivais
ceci, quelques jours avant sa fin, je pouvais l’e
ures se succédèrent au point que jamais je n’entreprendrai la tâche d’
écrire
tout cela. Il me faut dire que lorsque ce premier
urtisans, De Compliments grands Artisans. […] Grande HÉROÏNE à qui j’
écris
, Vous savez tout ce que je dis, Car, en qualité d
par mon art, se lèvent en masses extasiées. J’ai même des témoignages
écrits
puisque je retrouve dans mes papiers ce billet si
cite ce fait c’est parce que, je le répète, il s’agit d’un témoignage
écrit
et qui, en outre, prouve bien l’impression profon
aire ma connaissance. Le père prit des informations à mon sujet, et m’
écrivit
pour me demander s’il pouvait m’amener sa fille,
faveur des masques, et de ceux qui les portoient. Julien Pollux, qui
écrivit
sous l’Empereur Adrien, dit affirmativement que l
de de son masque, sa ressemblance ; ce fut dans la comédie des nuées,
écrite
par Aristophane, que l’homme le plus instruit et
lui annonce le succès de sa Médée, s’éxprime ainsi : « Lorsque vous m’
écrivez
que le théâtre est plein, qu’on y danse ma pièce,
us beau livre sur l’Inde qu’il eût jamais lu. La mère de Gab avait dû
écrire
ce livre pendant son voyage là-bas, car peu de te
ssage de mes déclarations : « Il faut de l’ordre dans la pensée pour
écrire
, et on ne peut que sentir des rayons de lumière e
b à un point tel que, rentrée chez elle, cette gamine de quatorze ans
écrivit
, en mon honneur, les lignes suivantes : « Une om
uand nous parlons de l’impression que je lui produisis, alors qu’elle
écrivit
ces pages ingénument passionnées : — Je ne vous v
50
Nougaret, Pierre-Jean-Baptiste.
(1775)
La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales]
«
Traité du geste,
Contenant la maniere de représenter les Pièces de Théatre, à l’aîde des bras & des jambes, pour la commodité des Acteurs nazillans, begayans, gasconnans ; &c. &c. & offrant, en outre, une excellente Méthode aux gens mariés, pour se quereller dans leur ménage, sans faire de bruit. »
pp. 49-60
ire de bruit. L’estimable antipathie que j’ai pour les Drames mal
écrits
, & qui m’a fait desirer qu’on ressuscitât la
ouvelles, attendu que, pour l’ordinaire, elles ne font pas aussi-bien
écrites
que celles de Corneille, Molière, Racine, Voltair
p;c. &c. Cinquante &c. viendraient ici aussi-bien que dans un
écrit
qui a tant fait de bruit. « Mais (insistent mes
& tout l’univers ». Rappellez-vous encore ce que les Anciens ont
écrit
de Pylade & de Bathilde, les plus fameux Pant
ant le demi cercle : ainsi qu’il est exprimé par cette Figure où sont
écrits
ces mots, demi cercle que la jambe fait. J’ai déj
en Danse doit être un Extrait serré d’une excellente Pièce Dramatique
écrite
. La Danse, comme la Peinture, ne retrace à nos ye
tte. Ne faut-il plus rien afin que les vérités exposées dans ce petit
écrit
, soient favorablement reçues et suivies ? Elles d
hapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on
écrit
. Jésus-Christ dit (Jean, c. 3, v. 20.) que qu
ais commencer par donner la juste idée des danses contre lesquelles j’
écris
. Il s’agit des danses telles qu’elles se pratique
? 3.° Quelques curés ou confesseurs entre les mains desquels ce petit
écrit
pourra tomber, et qui ont été jusqu’à présent tro
on est immense et presque incalculable ; il est donc difficile de les
écrire
et plus encore de les déchiffrer. Cet art est d’a
dre à l’empressement de quelques personnes qui ont désiré d’avoir par
écrit
les principes d’un exercice qu’ils ne connaissaie
rps, 54. Musique, 34, 36. N Noverre, grand compositeur de ballets, a
écrit
dans l’Encyclopédie, 9, 34. O Observations physiq
e futur Ouvrage, Ô Quel malheur ? Ô quel dommage ! Maintenant que j’
écris
ceci (J’en ai, de deuil, le cœur transi) Devant l
laisirs extrêmes, Ils en pourront juger eux-mêmes : Mais présentement
écrivons
Autres choses, si nous pouvons. 29. sic 30. M
t bien la cadence. Pour éclaircir ce que je dis, En marge ici je vous
écris
Tous leurs noms que vous pourrez lire, Et je n’ai
que longtemps après leurs premiers succès que les Philosophes en ont
écrit
. Il fallait attendre que le temps eût réuni les d
t le résultat de mes réflexions a été que je vous ferois bailler. Mes
écrits
et mes observations sur l’opéra ne vous offriront
re première À Voltaire. J e ne prendrois pas la liberté de vous
écrire
, si le motif qui m’y détermine ne me servoit d’ex
la tournerai toujours à mon avantage, puisqu’elle m’a autorisé à vous
écrire
, et à vous assurer que mon admiration pour vos su
ommission des Altesses Royales à ma femme de chambre. Le lendemain, j’
écrivis
à la Princesse Marie pour la remercier et lui pro
t dallée de faïences bleues, recouvertes de lourds tapis orientaux. J’
écris
cela de mémoire, cinq ans après ma visite, mais j
qui m’apporta une grande photographie d’elle sur laquelle elle avait
écrit
: « Souvenir d’une soirée pendant laquelle vous
nnir des lieux et des paroisses où elles étoient en usage. Il a aussi
écrit
à tous ses curés plusieurs lettres circulaires po
ui auroient violé sur ce point ce qu’il ordonnoit. Parmi un nombre d’
écrits
pleins de piété et de maximes les plus solides, q
utes les décisions des bons théologiens moraux, (c’est-à-dire qui ont
écrit
sur les règles des mœurs) s’accordent à défendre
s et se sont efforcés d’en détourner, je ne dois pas omettre ce qu’en
écrit
en latin, François Pétrarque, italien de naissanc
torité de quelque homme du monde, en réputation par son esprit et ses
écrits
, son sentiment pourroit être plus capable de fair
ngement de titre, ou autrement, sans la permission expresse & par
écrit
dudit sieur Exposant, ou de ceux qui auront droit
ue le lecteur ne jugera pas à la rigueur cette espèce d’ouvrage. J’ai
écrit
sans prétention, plus occupé de mon sujet que du
e le journaliste vante à ses lecteurs. « Correspondants et voyageurs,
écrit
-il le 20 juin, nous apprennent sur le talent de l
nqueur d’Austerlitz. La poésie chante la grande épopée. Victor Hugo a
écrit
l’ode A la Colonne et Napoléon II. Le courant nap
manifestation bonapartiste. « Une chose bien étrangère à la question,
écrivait
-il, dès le 2 juin, mais qui ne lui fera pas moins
entendre de plus belle ses trompettes. Le 12 juillet, Charles Maurice
écrit
: « Il est difficile d’être plus jolie, d’avoir d
teaux des environs de Paris ont déjà commandé des chevaux de poste »,
écrit
Charles Maurice le 1er septembre. Le 14, il dit q
que pour la sixième représentation, et le 15, jour de la première, il
écrit
encore : « On loue des loges et des stalles comme
e. Paris fut divisé en elssléristes et en taglionistes. Un énergumène
écrivait
sur les murs de l’Opéra ces mots : « La Sylphide
e. Ce que les auteurs de l’antiquité et les traducteurs infidèles ont
écrit
sur la déclamation, les masques, le costume, la m
ne voix douce et agréable ; car il n’est fait aucune mention dans les
écrits
des anciens des noms des femmes dont les talens a
, du bas de la montagne où vous êtes confiné, vous inondez l’Europe d’
écrits
célèbres, assaisonnés du sel de la fine plaisante
mp; seul capable de satisfaire cette vaste ambition, qui vous porte à
écrire
tant d’ouvrages si différens les uns des autres.
rt. Voilà quel est l’aveuglement & la malice du siècle. Dès qu’on
écrit
, on s’attire des envieux ; des critiques outrés &
L’on fera surement bientôt un in-folio de réflexions sur la manière d’
écrire
les ariettes. Un pareil Livre aurait la vogue ; i
ie le Lecteur de faire attention à cette méthode facile que je vais d’
écrire
; on n’y trouvera que les propres mouvemens que l
e des preuves littérales & artificielles, je veux dire simplement
écrites
par des anciens Poëtes & Musiciens, qui ne so
je ne rapporte les autres, que sur la garentie des Auteurs qui en ont
écrit
; pour faire voir autant qu’il est possible, que
de la soirée et des orgies qui s’y étaient déroulées. L’article était
écrit
avec un parti pris de scandale. Je me sentis furi
rès grande réputation, qui se trouvait parmi les invités et qui avait
écrit
, me dit-on, ce méchant article. J’ai eu ma revanc
rtoise et dont le signataire porte un nom à moi inconnu. Ce lecteur m’
écrit
pour me reprocher mon parti pris en faveur de la
é apprécié par moi avec une déférence facilement enthousiaste. Vous m’
écrivez
que vous voulez être éclectique, Monsieur (ou Mad
ets. Ces beaux traits qui annoblissent la Danse, méritent bien d’être
écrits
dans un corps d’histoire. Il n’est pas étonnant q
sur la comédie, n’avoit pas eu honte, quoique prêtre et religieux, d’
écrire
en faveur des spectacles ; et pour éluder l’autor
de tomber dans le mal qu’on semble vouloir éviter. Aussi, saint Paul
écrit
-il aux Thessaloniciens : (1. c. 5, v. 22.) Abste
s avoir lu Quintillien, Athenée, St. Augustin, et les auteurs qui ont
écrit
sur les théatres ; après avoir pesé à la balance
ée a imaginés en faveur des sourds muets. Tout ce que les anciens ont
écrit
sur les mimes, prouve que leurs gestes étoient de
Sabin, évêque de Plaisance, (Lett. 58, n.° 5, tom. 2, pag. 1013,) lui
écrit
que « rien n’est plus immodeste que de se donner
t être, selon l’apôtre, (2. Cor. c. 3, 113,) de porter la loi de Dieu
écrite
dans leur cœur, nous ne pussions pas amollir et b
rem le Syrien, un des plus illustres des anciens solitaires, dont les
écrits
ont été si célèbres et si estimés dans l’antiquit
faut dire que tout est plein d’erreur dans la loi, les prophètes, les
écrits
des apôtres et les évangiles. Mais si toutes les
s à me croire fou. Un jour, mes yeux tombèrent sur une lettre qu’elle
écrivait
à une de ses cousines et qu’elle laissa en brouil
en me disant qu’elle n’avait pas compté l’envoyer et qu’elle l’avait
écrite
uniquement pour se soulager et se distraire. Que
alors, en peu de mots, les malheurs dont j’étais frappé. Vous m’avez
écrit
pour me conseiller la résignation. J’étais tout r
nce ne résiste pas à deux années de cabriolet. La danseuse sait lire,
écrire
et compter… sur ses doigts. A la rigueur, elle eû
L’écriture, c’est du luxe. La danseuse reçoit des lettres : elle n’en
écrit
jamais. Elle ignore jusqu’à la forme du gouvernem
Avec cette différence, pourtant, que quelques-unes de ces demoiselles
écrivent
… aux gens aisés. J’en connais une, entre autres,
ouvrage, en parlant d’une figure, d’un groupe etc. on a crû devoir l’
écrire
comme s’il dérivoit de dessiner.
ans mesure ; témoin les points d’orgue, les Caprices ad Libitum qui s’
écrivent
sans mesure. Tous les musiciens qui ont du goût,
ccentué selon le mouvement donné, ou il avoit sous les yeux une suite
écrite
de tous les accents du discours, des longues, des
la raison n’est guères capable de refroidir. Ils n’ont point de lois
écrites
, de règles constantes, de principes fixes. Ils se
mécanique et sans âme de pieds, de jambes, et de bras, je n’ai point
écrit
pour vous. On peut faire tout ce que vous avez fa
concevoir, Il faut, nécessairement, voir. Car l’on ne saurait bien d’
écrire
Ces Prodiges que l’on admire, Ces magnifiques Cha
se qui va représenter Sémiramis, sera jugée par le Public d’après cet
écrit
en connaissance de cause. Quant à moi, content de
é de compositeur de Tragédies Ballets « Qu’il faut avoir le courage d’
écrire
pour les âmes sensibles, sans nul égard pour cett
t à S. Jérôme & à St Antoine dans les deserts, confirmées par les
Ecrits
du premier, & par St Athanase dans la vie du
n 1686, ait appris au Public tout ce que son élégante plume auroit pû
écrire
sur ce sujet, puisqu’il ne parle pas des magnific
’expression & la situation que chacun d’eux devoit rendre étoient
écrites
. Cette précaution utile qui mettoit le Spectateur
e les premiers Peintres firent, au bas desquels ils étoient obligés d’
écrire
le nom des personnages qu’ils avoient voulu peind
de la chorégraphie officielle. « Qu’une danseuse, il y a trente ans,
écrit
Ch. de Boigne, ait pu faire dans la danse une rév
; le reste ne comptait guère. C’est pour Marie Taglioni que Meyerbeer
écrivit
le fameux ballet des nonnes de Robert le Diable.
on album à l’artiste pour qu’elle y laissât quelques lignes. Celle-ci
écrivit
un quatrain dont le premier vers était en alleman
ue Rahel Varnhagen porta sur Mlle Taglioni. La spirituelle Berlinoise
écrivait
, le 21 juin 1832, à Louis Robert une longue lettr
, c’est de danser à côté de la musique. « Elle n’en est pas pénétrée,
écrit
-elle en français, et voilà ce qui manque à ses me
ait leur dire ce qu’elle a vu ; elle marque la place où la main avait
écrit
, mais tout a disparu ; son accablement continuant
au Ballet, Et dansent chacune son Rôlet. Mais, comme il faut cesser d’
écrire
, Je ne saurais plus vous rien dire De ce charmant
161 De Monsieur, qui Guichard se nomme, Et, toute flaterie à part, D’
écrire
, en Vers, et Prose, a l’Art, Voire, de manière ga
r opéra, et le ton de dédain dont les critiques du dernier siècle ont
écrit
en France, des Ouvrages Lyriques de Quinault. Exa
ais qui en lisant l’Abbé Métastase ont publié les premiers dans leurs
Écrits
, tout ce que valaient les Poèmes de ce grand Poèt
outer à ce qu’on vient d’entendre de saint Jean Chrysostôme, ce qu’on
écrit
contre les danses qui se font aux noces, les mini
anière toute païenne, lorsque Jésus-Christ leur opposera ce qu’en ont
écrit
les docteurs protestans dont je viens de rapporte
prononcer sur les objets que ces arts lui présentent. Ce que je vais
écrire
, Monsieur, pourra servir de régulateur aux maître
l’on croit propres à l’action pantomime ; pour y réussir, on doit les
écrire
sur trois cahiers ; l’un sera historique, l’autre
urs des huit soirées. « J’ai déjà vu au théâtre mainte soirée animée,
écrivait
Heinrich Adami le 7 août dans l’Allgemeine Theate
es de haute littérature. Ils font également honneur à celui qui les a
écrits
et à celle qui les a inspirés128. Le premier de
r et de beaucoup d’os qu’on appelle Mlle Taglioni. » Le lendemain, il
écrivait
pour le Nouvelliste de Thiers le compte rendu de
e son article : « Revenu chez moi. Fait du feu. Fourré à l’ouvrage et
écrit
mon feuilleton sur Fanny la danseuse, avec cette
pard, par cette ignoble claque ; les colonnes sont pleines de lettres
écrites
par les morts. Le fait est qu’Auguste, homme de f
ty’s Theatre avaient traité Fanny avec rigueur. « Le public anglais,
écrivait
Chaudes-Aigues, aurait pu répondre plus courtoise
es littéraires à la charmante prêtresse de l’art. Il la priait de lui
écrire
de chez les sauvages, afin qu’il pût raconter ses
ce chevaleresque dévouement. « Oui, répondit-elle de Londres, je vous
écrirai
souvent, vous aurez souvent de mes nouvelles, car
saurait être suspecte. Je vais traduire ici une partie de ce qu’il a
écrit
sur ce genre de composition si fort estimé de son
. Ce n’est pas aussi, pour les personnes qui savent la démêler, que j’
écris
ce Chapitre. Je ne l’adresse pas non plus, à ces
ère du Théâtre Lyrique, que j’ose adresser le peu de mots que je vais
écrire
. Dans un Opéra, genre faiblement estimé, fort peu
» Madame Paul Montessu La sœur de Paul l’aérien. « C’est,
écrit
l’un de ses biographes, une sylphide qui voltige
t point parole d’évangile. Le public ne donna pas dedans.« Il rendit,
écrit
M. de Boigne, justice à deux ou trois admirables
mot anonyme, j’ai toujours soupçonné mademoiselle Duvernay de l’avoir
écrit
de sa blanche main. Tout fier de sa mission, M. G
la jeune étoile créa le Papillon, — trois actes dont Offenbach avait
écrit
la musique. Elle était alors la personnalité en v
vive. Et voyez l’étrange rapprochement ! Quand M. Feydeau commença à
écrire
Monsieur de Saint-Bertrand, il demanda justement
lus extrême besoin. Ce n’est point avec une plume foible que l’on ose
écrire
à l’homme qui dispose, a son gré, de celle du goû
le don précieux de les laisser tomber de sa plume sur tout ce qu’elle
écrit
. J’ose espérer, que l’homme, (ou le génie) qui a
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