Robinet, lettre du 6 mars 1666
[…]
Ceux qui donnent dans la Machine
Pourront aussi, je m’imagine,
Rencontrer leur compte au Marais ;
Il est vrai, c’est à plus grands frais,
Mais, quand il faut se satisfaire,
Le coût est un mal nécessaire,
Mais mal qui doit passer pour Bien
À qui de son or use bien.
D’ailleurs, de pareilles Machines,
Des Machines presque divines,
Et les Vers de Monsieur BOYER,
Digne d’un immortel Loyer,
Méritent bien, sans aucun doute,
Qu’on y courre, quoi qu’il en coûte.