Troisième lettre.
A monsieur Juste Odoard, à Lyon.
Autremont, le…
Je ne vous pardonne pas, monsieur, je vous approuve. Je sais combien vous êtes attaché à votre mère adoptive, et je serais désolé de vous séparer d’elle avant de vous savoir parfaitement tranquille.
Croyez, monsieur, à mes sentiments tout dévoués.
Flaminien d’Autremont.