Il n’y comprit rien, et son transcendant dut trouver ma précision bien terre à terre. […] La lutte qui m’avait occupé tout entier avait été si ardente, que maintenant je trouvais tout étroit et mesquin. […] Après soixante ans de vie sérieuse, on a le droit de sourire, et où trouver une source de rire plus abondante, plus à portée, plus inoffensive qu’en soi-même ? […] Berthelot ; mais bientôt je trouvai de tous côtés des sourires et des encouragements. […] D’un autre côté, j’ai trouvé une bonté extrême dans la nature et dans la société.
Colonne trouva exactement, absolument, non seulement le mouvement général, mais les nuances du mouvement et de l’expression ; et ce final fut enlevé, d’un seul jet, superbement. […] Or, je défie qu’on trouve un mot de tout cela dans Tristan, à moins qu’on ne commence par l’y mettre soi-même. […] Au moment où elle désespère de trouver un chevalier qui prenne sa défense, on voit arriver Lohengrin, dans une barque dirigée par un cygne. […] Celui qui pouvait retrouver cette précieuse relique était assuré de la toute puissance et de l’immortalité. — Lohengrin, au lieu de ces dons, a trouvé le bonheur terrestre et l’amour. […] Gottfried de Strasbourg n’a pas germanisé le nom, il l’a trouvé tel dans Thomas le Trouvère, Isôt (dont il fait génitif Isolden).
Il cherchait des raisonnements, il a trouvé des effusions. […] On le trouvera dans Taine. « Taine, dit M. […] On cherche, et même quand on aura trouvé, si on trouve, on n’aura peut-être rien trouvé. […] Albalat est disposé à le trouver médiocre. […] Albalat trouve cela « bizarre pour un écrivain ».
Taine aurait trouvé son originalité. […] Seippel qui l’y trouve ? […] On y trouve la même ingéniosité que dans les livres de M. […] On voudra bien trouver naturel que je réponde ici à cet appel d’air. […] Ils trouveraient dès lors dans nos livres, et bien mieux encore que nous, ce que nous y trouvons nous-mêmes : une grande fabrique d’illusion.
C’est un texte où les moins habiles trouvent à parler quelques minutes. […] Un militaire et un financier y trouvent rarement des cruelles. […] Il y en a plusieurs autres qu’on pourra trouver supérieures. […] Mais je ne trouve rien à rétracter quant aux intentions. […] personne ne trouvera une heure à donner à la littérature facile et inutile ?
On lui trouva une place de secrétaire en province. […] L’affection vraie trouve son objet avant de le chercher. […] Il le trouve meurtrier et il l’a aux sources mêmes de son être. […] Ce qu’il fallait trouver, c’était la maison du berger. […] Ceci est plus rare ; mais on en trouve d’agréables exemples.
Pleins d’un amour sincère pour la patrie, ils sont prêts à faire pour elle de grands sacrifices : cependant la civilisation trouve souvent en eux des adversaires ; ils confondent ses abus avec ses bienfaits, et dans leur esprit l’idée du mal est indissolublement unie à celle du nouveau. » Cette absence de lien entre les opinions et les goûts, entre les actes et les sentiments, entre l’énergie des désirs et la justesse des vues, ce divorce trop habituel entre les convictions chrétiennes restantes et les sympathies de l’avenir, toute cette confusion morale attriste le jeune philosophe et lui semble un symptôme presque unique dans l’histoire. […] Le second volume nous montre cette démocratie et la souveraineté populaire qui en est l’âme, dans son influence continue et dans son esprit en dehors des lois écrites ; ici trouvent leur place les mœurs, les instincts, les passions politiques et publiques des gouvernés, des gouvernants ; ce qui résulte en bien et en mal de cette omnipotence de la majorité, les vices et les dangers qu’elle entraîne, en même temps que ce qui la tempère. […] Le grand nombre, l’extrême division, la courte durée des fonctions publiques dans la Commune, créent au sein de chacun de ces petits mondes un mouvement continu où trouvent à s’exercer, d’accord avec les relations ordinaires de la vie, le désir de l’estime, le goût du bruit et du pouvoir. […] Il faudrait remonter fort loin pour trouver parmi nous un livre de science et d’observation politique, qui ait à ce point éveillé et satisfait l’attention des penseurs. […] On peut le trouver parfois un peu didactique et théorique, et procédant par formes abstraites.
Ne serait-ce pas plutôt une forme ingénieuse toute trouvée pour un petit et joli livre de morale dans les nuances mondaines, un prétexte, un honnête prétexte pour esquisser, d’une plume qui ne manque ni de sagacité, ni de raison, ni même de grâce, quelques observations bien faites ? […] Qui n’est qu’une mère n’est qu’une sentimentalité sublime, et il faut plus que des sentiments et des instincts pour élever un homme ; il faut de ces toutes-puissantes notions que nous ne trouvons pas uniquement dans les divinations de nos cœurs. […] … C’est ce que la tradition catholique nous désigne sous le nom de vice originel, et ce qu’un examen approfondi trouve en nous et reconnaît avec la force d’une certitude. […] Ce détail minutieux et infini, qui doit embrasser la triple sphère de notre activité physique, intellectuelle et morale, le trouvons-nous abordé ou seulement indiqué dans ce petit volume ? […] Toutes les questions de l’éducation ne se seraient pas bornées, comme dans ces lettres, au maigre inventaire qu’on y trouve.
Quand il parut, il y a quelques mois, et qu’attiré par ce titre que je m’obstine à trouver très-piquant et plein de promesses, je lus cette platitude qui voulait avoir de la pointe, je me laissai aisément persuader qu’il ne fallait attacher sur chose de cet ordre la cocarde d’aucune critique. […] La plus haute société n’a point dédaigné de lire ce livre bas… On a respiré avec avidité cette petite infection comme une cassolette, et on a trouvé que cela sentait presque bon… Ah ! les nez charmants qui ont trouvé cela doivent avoir de fiers polypes ! […] Mais le grand observeur, dont un pareil sujet chaussait admirablement les facultés incomparables, mais cette tête qui pensait à tout ne pensa point précisément à ces Mémoires d’une femme de chambre, qui auraient si bien trouvé la place d’un chef-d’œuvre de plus parmi les chefs-d’œuvre de La Comédie humaine, et il nous a laissé, à nous qui vivons après lui, l’occasion de bénéficier, si nous pouvons, de cette distraction de son génie. […] Je dis, à propos de ce livre dans lequel je m’attendais à trouver des percées à fond sur les mœurs générales de l’époque actuelle, faites par la plume plus ou moins enragée (oui, j’allais jusque-là !