Mais quand plus tard je m’occupai de ma réimpression de Paris, je les trouvai plus qu’insuffisants, et il fallut alors en ajouter quatre fois autant pour le moins. […] J’en ai pour garants les années qui vont s’amassant sur ma tête, et tout ce qui me reste encore à faire dans un autre genre, si toutefois j’en trouve la force et le moyen. […] On trouve peu d’exemples de telles inconséquences d’esprit et de cœur dans les lettrés de ce temps-là. […] Le soir, selon sa coutume, il but son chocolat, et le trouva bon. […] En effet, sur les huit heures, on s’aperçut qu’il était en danger, et quand on vous rappela près de lui, madame, vous le trouvâtes qui respirait à peine et à demi suffoqué.
Je trouve le vieillard assis au milieu des armes de ses pères. […] Sulindona vient et la trouve expirée. […] Oui, tu l’as trouvée comme je la dépeins, et cette Roscana fut mienne. […] » — « Je trouvai cette belle sur le sein de l’onde. […] Dans quelle grotte vous trouverai-je ?
Et cette évolution dans l’âme du maître trouve immédiatement sa manifestation artistique dans la conception du nouveau drame, de l’Anneau du Nibelung. […] En ce moment nous trouvons le parti groupé autour de M. […] Ici nous trouvons MM. de Fourcaud, Ernst et Benoit. […] On se tromperait si on croyait trouver à Bayreuth la manifestation parfaite de l’art qu’a rêvé le maître ; ce qu’on y trouve c’est l’indication très nette et merveilleusement éloquente de son intention. […] Mais je crois bien que l’on trouverait sans peine le moyen de rendre le Musée Œsterlein vraiment utile et précieux : il suffirait d’adjoindre à M.
C’est la meilleure définition que je puisse trouver. […] Nous ne pouvons pas non plus trouver une expression plus exacte et plus concise pour le définir. […] Nous n’en trouverons pas de semblables dans le satiriste français. […] On ne trouve rien de semblable dans la satire française. […] Où trouvera-t-on de pareilles délices d’oreille en français ?
On trouve la peine trop faible pour ses prétendus crimes ; un second jugement populaire le condamne à mourir par le feu ! […] » m’écriai-je en me réveillant, « j’ai trouvé mon poème ! […] Un secret une fois trouvé ne se cherche plus avec tant d’acharnement. […] Les premières traductions qu’on en donna en France, à la fin du dernier siècle, ne sont que des paraphrases enluminées ou affadies ; il est impossible d’y trouver trace de l’original : ce sont des dentelles sur le corps d’Hercule. […] Il n’a pas mission, quoi qu’on ait dit, de créer, d’introduire des idées dans le monde ; il y trouve tout ce qu’il faut de lumière pour les yeux ; mais il les trouve flottantes, nuageuses, en tourbillon et en désordre.
En quelque endroit qu’il porte ses armes, il trouve à son arrivée toutes choses prêtes à le couronner de gloire, et vous faites beaucoup plus pour lui que jamais le bonheur ne fit pour César, puisqu’il a vaincu souvent avant même que d’avoir vu… Résumant dans un tableau qui n’est pas trop emphatique cette politique armée qui se montre partout à la fois en divers pays, qui soutient des luttes et des alliances sans nombre, et où la supériorité de la pensée se fait toujours sentir dans l’exécution : J’en prendrais à témoin, s’écriait-il, et La Rochelle et Nancy…, si Perpignan n’en était un témoignage plus nouveau et pour le moins aussi glorieux. […] Veut-on trouver dans son Histoire le contrecoup même de la dédicace et de l’éloge adressé à Richelieu au sujet de la prise de Perpignan : qu’on ouvre le règne de Charles VIII ; Mézeray y montre ce roi assez souvent victorieux, mais peu politique, restituant à la maison d’Autriche une partie de l’Artois et la Franche-Comté : Ce ne fut pas, remarque-t-il, sans un grand étonnement des sages politiques que le roi restitua ces deux comtés : mais ce fut avec murmure et indignation de la France, et à la risée de toute l’Europe, qu’il rendit encore celle (la comté) de Roussillon au roi d’Aragon. […] Louis XI avait donné un grand avancement à ce dessein, et, s’il se fût trouvé de suite deux ou trois princes tels que lui (j’entends en conduite pour les affaires de dehors, non pas certes pour l’administration du peuple), ils l’auraient heureusement achevé. […] Il n’a point cru devoir distribuer son ouvrage par sections ni par chapitres ; il s’est contenté de le diviser par règnes : « J’ai cru que toutes ces découpures gâtaient l’étoffe, et que les pauses, au lieu d’accourcir le chemin, le faisaient trouver plus long. » On a vu ici une légère critique applicable à l’un des prédécesseurs de Mézeray, Scipion Dupleix, qui affectait force divisions dans l’histoire. […] En parlant ainsi, il exagérait un peu, et on trouverait dans la masse des notes historiques qu’il a laissées plus d’érudition qu’il n’en avoue.
Deux ans après (juillet 1598), le président Groulard, mandé par le roi, le vint trouver à Saint-Germain, puis à Paris et à Montceaux, qui était la résidence favorite de Gabrielle. […] D’un esprit gentil et gracieux, elle avait surtout un naturel parfait, rien de savant ; le seul livre qu’on ait trouvé dans sa bibliothèque était son livre d’Heures71. […] Je ne trouve pas qu’on ait rendu assez de justice à ce témoignage parfaitement désintéressé de Sully. […] Sire, lui répond-il, que vous plaît-il d’entendre partant d’affirmatives et de négatives, desquelles je ne saurais conclure autre chose, sinon que vous désirez bien être marié, mais que vous ne trouvez point de femmes en terre qui vous soient propres ? […] Elle s’y trouva mal vers la fin de l’office, revint chez Zamet ; son mal augmentant, elle voulut sur l’heure quitter cette maison et être conduite au logis de sa tante, Mme de Sourdis, près du Louvre.
La littérature latine moderne pâlissait nécessairement en présence des chefs-d’œuvre de poésie française qui venaient d’éclore et qui illustraient le règne ; cette littérature et cette poésie latine, déjà de toutes parts en retraite, trouva néanmoins son dernier refuge et son emploi dans les livres d’Église. […] C’est absolument comme en architecture, lorsqu’on trouve à redire à de prétendues réparations, et à des reconstructions en style romain appliquées à des églises gothiques. […] C’est ainsi qu’en se promenant dans tout Paris, Santeul se voyait comme le roi dans sa bonne ville, et ne trouvait que des occasions de s’applaudir. […] On peut trouver qu’il y a dans ces paroles un excès de crainte et de tremblement qui est le défaut de cette école chrétienne austère ; mais, bien loin d’y voir un affaiblissement du christianisme, on y verrait plutôt un redoublement. […] » Or, cette prière qui est, je l’ose dire, plus forte et plus pénitente que Santeul, et qui a trouvé grâce auprès de ceux mêmes qui ont parlé de lui le moins favorablement, c’est M.
Je me trouve à présent la plus heureuse mère du monde, qu’ils me sont tous rendus, et il me semble qu’une pierre du cœur m’est ôtée. » À Potsdam, deux ans après, il se montre plein de sollicitude et d’angoisse pour le prince Henri qui a failli être victime d’un accident, de la chute d’un cadre qui lui est tombé sur la tête. […] Quant au détail militaire, sur lequel il n’entendait pas raillerie, Frédéric commence par appliquer avec son frère Henri, encore à ses débuts, la même règle sévère, inflexible, dont on a vu qu’il usait avec le prince Guillaume : Monsieur, lui écrit-il un jour (juillet 1749), j’ai trouvé à propos de mettre de la règle dans votre régiment, à cause qu’il se perdait. […] Frédéric, après la perte de la bataille de Kunersdorf contre les Russes, arriva à l’armée du prince et dérangea des plans qu’il jugeait insuffisants en définitive, et auxquels il estimait qu’il fallait apporter plus de nerf : Ne trouvez-vous pas, disait-il gaiement à son frère (10 novembre 1759), que j’arrive chez vous comme Pompée ? […] voilà ce qui mène à une vertu parfaite, et ce qu’on trouve aussi peu dans les chaumières que dans les palais. […] Frédéric lui écrivit : Si le bonheur favorise nos vues sur Dresde, nous aurons indubitablement la paix, ou cet hiver, ou ce printemps, et nous sortirons honorablement d’une conjoncture difficile et périlleuse où nous nous sommes trouvés souvent à deux pas de notre entière destruction.