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492. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « APPENDICE. — M. SCRIBE, page 118. » pp. 494-496

Cette pièce de la Calomnie est très-commode, par cette dilatation en cinq actes, qui ne sont pas tous également remplis, pour étudier très à nu le procédé et, en propres termes, le mécanisme dramatique de M.

493. (1902) L’observation médicale chez les écrivains naturalistes « Introduction »

Il va nous suffire, pour justifier notre actuelle étude, de renverser presque symétriquement les termes.

494. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — T — Tailhède (Raymond de la) = La Tailhède, Raymond de (1867-1938) »

Une sylve du Pèlerin passionné le salue en ces termes : « Gentil esprit, l’honneur des muses bien parées… » Maurice Du Plessys lui voue un sonnet, dont ce premier vers : « La gloire t’a béni dès l’aube de tes ailes… » Ernest Raynaud, dans son récent Bocage, dit ses louanges plusieurs fois, et maint critique — Anatole France, par exemple — a écrit en son honneur.

495. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre XVI. Consultation pour un apprenti romancier » pp. 196-200

Tenez de suite qu’opposés ces termes sont vides de sens.

496. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Première partie. Plan général de l’histoire d’une littérature — Chapitre III. Les questions que l’historien doit se poser. » pp. 16-17

Mais il se réveille, reprend son élan, et tantôt lent, tantôt rapide, emporté à travers plaines et montagnes, entre des bords fleuris ou arides, toujours autre et toujours lui-même, il poursuit sa course jusqu’au terme lointain où il doit perdre son nom et son existence propre dans les flots de la mer immense.

497. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 192-197

Le Temps, d’un insensible cours, Nous porte au terme de nos jours : C’est à notre sage conduite, Sans murmurer de ce défaut, De nous consoler de sa fuite, En le ménageant comme il faut.

498. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 15, des personnages de scelerats qu’on peut introduire dans les tragedies » pp. 115-119

Les termes de ma proposition préviennent tout sujet de le soupçonner.

499. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 47, quels vers sont les plus propres à être mis en musique » pp. 479-483

Nous avons dit en parlant de la poësie du stile qu’elle devoit exprimer avec des termes simples les sentimens, mais qu’elle devoit nous présenter tous les autres objets dont elle parle sous des images et des peintures.

500. (1858) Du roman et du théâtre contemporains et de leur influence sur les mœurs (2e éd.)

C’est donc, en réalité, son bonheur ou son plaisir individuel qui est assigné à l’homme comme le terme unique de ses efforts et l’idéal de ses pensées. […] Ce mariage futur que Jacques ne faisait qu’annoncer en termes généraux, Horace nous le fait connaître d’une façon un peu plus claire. […] Les auteurs du drame nous le disent en propres termes dans leur préface : « Le monde l’a fait brigand… Pourquoi la société qui punit le vol sur le grand chemin, ne le punit-elle pas à la Bourse ? […] Ce qu’il avait dit pour un cas particulier, d’autres l’ont dit dans des termes absolus ; ce qu’il avait demandé pour les poètes, d’autres l’ont exigé pour tous. […] Le roman lui-même va nous le dire en termes non équivoques.

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