Au lieu de tenir toujours à l’unisson le mètre et la phrase, d’en faire coïncider le dessin et le développement, il pose le principe de la discordance : il multiplie l’enjambement, même l’enjambement d’une syllabe, de vers à vers, de strophe à strophe, à l’imitation des lyriques grecs, des chœurs de tragédie, des odes d’Horace.
Il en voulait aussi à l’empereur et à ses gens de tenir le pouvoir et l’argent, c.
Gabriel Mourey M. de Banville — cette perruque chauve — tient un cours de cuisine poétique.
Il faudrait considérer toutes les données du problème prochain ; or, on ne les tient pas.
Depuis quelque temps toutefois, une de ces explications semble prendre le dessus et on peut raisonnablement espérer que nous tenons la clef du mystère.
Il nous offrit des cigarettes du Levant dans un précieux étui qu’il tenait du duc de M…, timbré à ses armes et, finalement, parla de nous emmener tous souper dans un cabaret du boulevard.
Voici de quel ton il raille sa propre laideur : « Les uns disent que je suis cul-de-jatte ; les autres que je n’ai point de cuisses et que l’on me met sur une table dans un étui, où je cause comme une pie borgne ; et les autres, que mon chapeau tient à une corde qui passe dans une poulie et que je le hausse et le baisse pour saluer ceux qui me visitent… » Il proteste gaiement contre ces peintures de fantaisie ; mais, revues et corrigées par lui, elles ne le rendent pas beaucoup plus séduisant.
Sans doute une « analyse des phénomènes de l’esprit humain » doit s’en tenir aux faits ; mais la liberté, qu’on la considère comme vraie ou comme illusoire, est une question de fait aussi, et il n’est guère possible de la reléguer dans le domaine de la métaphysique.
Ce défaut de modération tient au reproche de partialité, hasardé certainement sans avoir examiné ce que c’est que partialité.