Thiers (suite) Lundi 25 août 1862.
Ginguené se prend aussitôt pour le jeune homme d’une tendresse fondée sur l’estime, il l’appelle son fils, il l’adopte en quelque sorte ; et c’est là en effet la vraie place de Victorin, à la suite et à côté de ces écrivains estimables qui espéraient en lui un rejeton.
Si La Fayette eût attaqué franchement le club des jacobins, il n’eût pas éprouvé plus de résistance que ces jeunes gens exaltés, et il eût épargné au monde une longue suite d’horreurs. » Jusqu’à présent, on s’imaginait en France connaître passablement l’Assemblée constituante, l’esprit qui l’avait animée, et les partis divers qui s’y étaient combattus.
L’enthousiasme qu’inspire la gloire des armes, est le seul qui puisse devenir dangereux à la liberté ; mais cet enthousiasme même n’a de suites funestes que dans les pays où diverses causes ont détruit l’admiration méritée par les qualités morales ou les talents civils.
Le public va chercher au théâtre français actuel une suite d’odes bien pompeuses, et d’ailleurs exprimant avec force des sentiments généreux.
L’écrivain (suite) I Il est rare en France de rencontrer un grand écrivain qui soit populaire.
Une suite de faux-sens, de contresens et de non-sens.
Le théâtre des Gelosi (suite) Il ne faut point cependant, malgré la considération qui entourait quelques artistes éminents, s’exagérer la vertu des comédiens et des comédiennes de l’Italie.
Qu’il ne suffit pas d’avoir de bonnes intentions, mais qu’il faut à un souverain, fût-il démocrate, de la volonté, de l’esprit de suite et de l’adresse.