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1381. (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section III. Des ressources qu’on trouve en soi. — Chapitre III. De l’étude. »

L’âme trouve de vastes consolations dans l’étude et la méditation des sciences et des idées.

1382. (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre V. Indices et germes d’un art nouveau — Chapitre I. Bernardin de Saint-Pierre »

Le malheur, c’est que le pauvre homme veut expliquer la nature sans être savant, et en se passant de la science.

1383. (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série « Grosclaude. »

C’est un ineffable mélange de la langue de la politique et de celle du journalisme, de l’administration et de la science, dans ce qu’elles ont de plus solennellement inepte.

1384. (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « Marcel Prévost et Paul Margueritte »

Et pourtant j’ai aujourd’hui cette impression qu’à aucune époque de notre littérature il ne s’est trouvé, dans les livres d’écrivains encore jeunes, tant de sérieux, d’intelligence, de sagesse, d’observation curieuse, une science déjà si avancée de la vie et des hommes, et tant de compassion, une vue si sereine et si indulgente de la destinée6.

1385. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Mistral, Frédéric (1830-1914) »

La grande gloire de ce siècle sera le lyrisme, fécond et fort, qui ferme l’anneau de la science et de l’art, de la tradition et de l’analyse, de la race et de l’individu, le lyrisme éperdu de leur Goethe, de notre Frédéric Mistral.

1386. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — V — Vigny, Alfred de (1797-1863) »

Comment l’affection, le mal sacré de l’art, la science successive de la vie, ont-elles, par degrés, amené en lui cette transformation, ou du moins cette alliance du poète au savant, de celui qui chante à celui qui analyse ?

1387. (1898) Le vers libre (préface de L’Archipel en fleurs) pp. 7-20

II Cependant, lorsque les Maîtres et les Aînés vous prêchent, selon une Science suffisante et en des termes gros de discipulat, résumés par ce vers qui doit être de Boileau, que : Pour savoir son métier, il faut l’avoir appris, lorsqu’ils vous engagent à piocher les auteurs, écoutez-les — sous bénéfice d’inventaire.

1388. (1899) Le monde attend son évangile. À propos de « Fécondité » (La Plume) pp. 700-702

Il est grand par sa poésie, grand par son talent de dialecticien et grand par sa science des nations, mais il est plus beau et plus pur mille fois parce qu’il a compris ce qu’attend le monde.

1389. (1865) Du sentiment de l’admiration

» dans la science, plus haut dans la vertu, plus haut dans l’amour de la patrie, plus haut dans l’amour de Dieu !

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