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827. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 365-366

Ces sortes de questions, nous le remarquerons ici, ne sauroient être agitées qu’avec de grands inconvéniens.

828. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 510

On connoît sa réponse à la question qu’on lui fit, relativement à ce dernier Ouvrage, pourquoi il y avoit tant de sorciers dans le Nord : C’est , répondit-il, que les biens de ces Magiciens sont confisqués, en partie, au profit de leurs Juges, lorsqu’on les condamne au dernier supplice.

829. (1874) Premiers lundis. Tome I « Espoir et vœu du mouvement littéraire et poétique après la Révolution de 1830. »

Seulement bien des questions se présentent : l’art aura-t-il gagné à ce changement de toutes choses, ne court-il pas risque de se diviser, de s’amaigrir en une multitude de courants et de canaux, dès qu’il se mêlera davantage à cette société tout industrielle et démocratique ? […] On saisira en quels termes nouveaux nous pensons que la question poétique et littéraire doit se poser pour l’artiste aussi bien que pour le critique.

830. (1875) Premiers lundis. Tome III « Instructions sur les recherches littéraires concernant le Moyen Âge »

Les questions se multiplient en avançant vers le xvie  siècle, et je n’énumère pas tout ce qu’on pourrait demander d’utile et de nouveau à cette époque véritablement savante, où la connaissance directe de l’Antiquité et l’essor du génie moderne redoublent d’émulation. […] Des chroniques romanesques, sermons ou autres écrits en prose latine ne sont pas du tout étrangers à l’histoire de notre littérature française, et peuvent servir à l’éclaircissement de questions intéressantes relatives au fond ou à la forme de certaines compositions, à la langue dans laquelle elles parurent d’abord, etc.

831. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Deuxième partie. Invention — Chapitre III. Du récit des faits. — Antécédents et conséquents. — Causes et effets »

Michelet réduit toute la question au bulletin de leur santé : cause véritable, je le veux bien, mais non pas cause unique ni même cause dominante. — L’eau, pour le poisson, est une condition de l’existence : ce n’est pas la cause. — La biche que tue Ascagne au VIIe livre de l’Énéide est l’occasion, non la cause de la guerre entre les Troyens et les Rutules. — Enfin on connaît les abus fameux qu’on a faits des causes finales : Pourquoi l’homme a-t-il un nez ? […] C’est par trop simplifier les questions, et, sans parler de Dieu, c’est par trop méconnaître l’infinie fécondité de la nature humaine, inépuisable source de phénomènes, subtile créatrice de merveilleux sans miracle, que de donner tous les fondateurs de religions et tous les prêtres pour des charlatans et pour des fous, tous les fidèles et dévots pour des dupes et pour des sots.

832. (1890) L’avenir de la science « Sommaire »

Questions capitales dépendant de recherches en apparence frivoles. […] Les questions d’être nous dépassent.

833. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XXII. Machinations des ennemis de Jésus. »

Ce qu’il y a de certain, c’est que dès lors un conseil fut assemblé par les chefs des prêtres 1019, et que dans ce conseil la question fut nettement posée : « Jésus et le judaïsme pouvaient-ils vivre ensemble ?  […] On continuait à l’appeler « grand-prêtre », quoiqu’il fût hors de charge 1022, et à le consulter sur toutes les questions graves.

834. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Querelles générales, ou querelles sur de grands sujets. — Troisième Partie. De la Poësie. — II. La versification, et la rime. » pp. 257-274

deux questions pour lesquelles il s’est élevé sur le Parnasse une double guerre civile, & que je traiterai dans un seul article à cause de leur rapport. Le Télémaque a fait renouveller la première question agitée, en 1663, par un écrivain obscur, nommé Pierre de Bresche, dans son ouvrage intitulé, le Mont-Parnasse.

835. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « VII »

La question est alors très simple et le contrôle facile. […] La question est d’importance.‌

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