Vidieu ou non, cette réponse est la nôtre ; et c’est mieux qu’une réponse : c’est la mise à l’écart d’une question impertinente posée contre l’Église, que tous ceux qui croient en elle n’ont pas le droit de discuter avec ceux-là qui n’y croient pas ! […] En termes absolus, ce n’est d’aucune manière une question que la question du divorce, et qui la pose n’est plus qu’un outlaw du catholicisme, de l’histoire et de la politique, et discuter avec les outlaws, c’est se mettre hors de la loi comme eux. […] Seulement, pour nous qui ne voulons pas la discuter et qui savons l’histoire ; pour nous qui avons appris, en la lisant, où se trouve la politique pour les peuples, demandons-nous si la France, à cette heure, était assez chrétienne, assez historique, assez politique pour repousser cette question du divorce, qui, de ce qu’elle est posée comme elle l’est, devait incontestablement triompher ! III Et si, par hypothèse improbable, elle n’avait pas triomphé telle que l’ont posée la proposition Naquet et le livre de M. Dumas, elle eut triomphé plus tard immanquablement, parce qu’elle est dans la logique de ce temps, et que les peuples sont gouvernés par la logique des principes qu’ils ont posés, — et s’ils lui échappent une fois, deux fois, ils sont toujours repris par elle !
Cela m’a tout l’air d’une question qui vient se poser et se fonder pour longtemps et sur laquelle on n’est pas près de s’entendre. […] Mais si la question qui se pose en France a son importance extrême, elle est bien désagréable par toutes les grossièretés qu’elle soulève de la part de notre parti prêtre et de ses écrivains, les plus injurieux de tous les insulteurs en un temps et dans un pays où il y en a tant. […] En un mot, cette opposition du clergé à l’Université n’est devenue importante et considérable que depuis que le clergé se pose en auxiliaire plutôt qu’en adversaire de la dynastie de Juillet. […] — Vous avez pu lire dans la Revue de Paris, de dimanche 24, un article de Janin sur madame de Girardin ; s’il s’est réconcilié avec Dumas, il garde une dent à la Presse qui s’est posée en organe d’inimitié contre lui.
Tel est le problème que nous nous sommes posé au chapitre précédent, § 4. […] Cela posé, dois-je m’attendre à ce qu’à l’instant β′, quand la seconde série de mouvements sera terminée, mon premier doigt éprouve une impression tactile attribuable à l’objet B ? […] À la question posée, on doit donc répondre oui. […] Cela posé, pour que Σ et Σ′ correspondent à un même point M = M′ du premier espace, il faut et il suffit que l’on ait Σ′ = Σ + σ. […] La question empirique peut se poser sous une autre forme.
Notre malade, fort bien du reste et ne se plaignant que de la faim, vit à son réveil une image gracieuse assise près de son lit, dans la pose du tireur d’épine (chevelure et épaules toutes semblables), mais dont la main droite était étendue vers le lit du patient ou de l’observateur (comme on voudra), et posée sur la couverture à 30 centimètres de ses yeux, c’est-à-dire tout près de sa figure et à portée des investigations les plus minutieuses du regard. […] Cependant, au bout de quelques minutes, la voyant toujours si bien posée et modelée, il se dit : “Si je pouvais la toucher ?”
Il avait beau n’être pas encore formulé : il se posait lui-même en droit, avant d’être posé en fait. […] Elle subit le problème tel qu’il est posé par le langage. […] Car un problème spéculatif est résolu dès qu’il est bien posé. […] Maintenant, le problème que cet homme se pose, le résolvons-nous ? […] Il ne le sera jamais, en effet, mais il ne devrait pas être posé.
La question, il l’avoue, est pleine de difficultés ; mais on doit reconnaître qu’il a eu le mérite de la bien poser. […] Telle est la formule de la corrélation de l’esprit avec les autres forces de la nature. » On peut se poser encore un autre problème, dit M. […] Il y a là une incompatibilité dont on se rend mieux compte en se demandant si les hommes d’une extrême sociabilité sont des penseurs profonds ou originaux, s’ils font de grandes découvertes ; ou bien si leur grandeur ne se borne pas aux sphères où la sensibilité joue un rôle — la poésie, l’éloquence, l’influence sociale. » Voilà bien des questions posées et qu’aujourd’hui nul assurément ne peut tenter de résoudre. […] Il verra que pour l’auteur « les actions les plus élevées de l’esprit ont essentiellement le même caractère que les actions réflexes, mais sont bien plus compliqués. » C’est là une grosse question posée en passant : à notre avis elle contient la question du rapport du physique et du moral dans sa totalité : mais ce n’est pas ici le lieu de l’aborder193.
Bref, chacun des deux physiciens posera encore le problème pour le système qui n’est pas le sien. […] Il posera qu’on a le choix entre le point de vue de Pierre et celui de Paul. […] La plus ancienne, celle du système privilégié en état de repos absolu, aboutirait bien à poser des Temps multiples et réels. […] Ceci posé, considérons deux systèmes S et S′ en mouvement par rapport l’un à l’autre. […] Il n’y a de difficulté, il ne se pose de problème que parce qu’on parle d’une Terre en mouvement.
Faliés l’a posée nettement au début de son livre, cette question de race, comme le lampadaire de l’Histoire, et cela donne une sensation charmante ! […] Et non seulement, après l’avoir soulevé, il n’est pas capable de l’appliquer aux faits qu’il raconte, mais il est bientôt inconséquent à ce principe, qu’il a posé : de l’influence du sang et de la race. […] Et voilà comme, de l’homme qui posait un principe d’histoire, il ne reste plus qu’un érudit, affaibli et affadi par le libéralisme du xixe siècle, et encore un érudit dont je me défie et que je renvoie aux érudits pour le peser ! […] Quant à la précision dont elles brillent, elles n’en ont pas plus que l’esprit de l’auteur, de ce triste cerveau, qui pose un principe d’histoire et le plante là quand il faut l’appliquer, et qui, en tout, n’a que des velléités et des envies de dire quelque chose… sans dire jamais rien. […] Il parle la langue qui est une friandise aux Inscriptions… Qu’il se moque donc bien de ma critique, et qu’il pose sa candidature !
Cette affirmation est impossible, c’est-à-dire que A et non-A ne peuvent pas être posés ensemble. […] Contrairement à Lamarck, il pose en principe que toute espèce est, par elle-même, plastique. […] La question, ainsi posée, est exclusivement scientifique. […] Il faut déterminer de plus près les conditions de cette dernière, et voir si ces conditions se rencontrent, soit dans les lois que posent les partisans de la conservation, soit dans celles que posent les partisans du transformisme. […] La tentative là moins hardie paraît être de poser des lois dites historiques.