En effet, ta Divinité se plaît à abaisser ce qui s’élève.
On peut, si l’on se plaît à ces jeux d’esprit, supposer de cet x qu’il est l’identité des contraires ; on peut prétendre que le principe de contradiction est seulement valable pour nous ; et de fait, comme c’est toujours nous qui faisons la supposition, nous roulons dans un cercle dont il est impossible de sortir.
Mais qu’est-ce que cela auprès des terribles souffrances de ceux qui peuvent acheter des sangsues tant qu’il leur plaît !
Nous dînons, bien entendu, dans un cabinet, parce que Flaubert ne veut pas de bruit, ne tolère pas des individus à côté de lui, et qu’il lui plaît, pour manger, d’ôter son habit et ses bottines.
Ma muse, qui se plaît dans leurs routes perdues, Ne saurait plus marcher sur le pavé des rues !
Quelle contradiction et quelle folie ne serait-ce pas de se plaire à regarder les simples copies de ces êtres en admirant l’art ingénieux qui les a reproduits en peinture ou en sculpture et de ne point se passionner encore plus vivement pour la réalité de ces êtres que crée la nature et dont il nous est donné de pouvoir découvrir les causes !
Ce morceau, un de ces points de vue qui plaisent à la pensée du xixe siècle, lequel, comme tous les fatigués, aime à se retourner et à regarder de loin les longs espaces par lesquels il est venu jusqu’à cette borne du temps, dit éloquemment comment Audin aurait entendu l’histoire générale, s’il s’y était adonné.
On se plaît à mettre les qualités, sous forme de sensations, dans la conscience, tandis que les mouvements s’exécutent indépendamment de nous dans l’espace.
Notre but secret, notre but principal, pour ne pas dire l’unique, c’est de « plaire ».