» répondait le parterre. « Attendez donc, s’il vous plaît. » Sur quoi, le More allait, dans la coulisse, se munir de la vessie à sang de boeuf, qu’il devait écraser sur la poitrine d’Hédelmone au moment voulu.
Et savez-vous le rouge qu’on nous mettait, du rouge à 96 francs le pot, conservé par Mme Péan de Saint-Gilles et qui venait de Mme Martin, la femme du vernisseur du xviiie siècle et la mère du chanteur, et l’on nous recommandait de l’économiser, s’il vous plaît.
Je tournai un cap de roche grise où se plaisent les aigles, où se brise toujours le vent, même en temps calme ; il me cacha la maison, et je m’enfonçai dans d’autres gorges où le son même de sa cloche ne venait plus me frapper au cœur.
La propagande encyclopédique, menée par des hommes dont quelques-uns étaient des « savans » comme d’Alembert, et les autres, à commencer par Voltaire, Diderot et Rousseau, des littérateurs ou des philosophes plus ou moins informés de la « Science » de leur temps, se plaisait à opposer son évidence démonstrative aux conjectures, toujours incertaines, de l’histoire ou de la philosophie, de la morale même et de la théologie.
infanticide, s’il vous plaît !)
Il fait de son vers ce qui lui plaît.
Son Ventre de Paris est l’œuvre à présent la plus avancée (et vous pouvez l’entendre comme il vous plaira !)
« Quand ils rencontrent une femme bien faite, ils se frappent d’une certaine manière qui fait ruisseler le sang sur elle ; c’est là une fort grande honnêteté, et la dame reconnaissante les en remercie. » — Rien d’étonnant s’ils s’exposent aux cornes du taureau pour plaire à leurs maîtresses. […] « Puisque nous sommes en république, nous avons le droit de faire ce qui nous plaît ; il n’y aura plus de gendarmes. » — Je viens de lire la correspondance de vingt-cinq à trente préfets de 1814 à 1830 ; l’ignorance et la crédulité des populations rurales sont étonnantes. […] Les bonnes manières plaisent toujours, et l’on ne peut rencontrer d’hôte mieux élevé. […] Désormais, certaines proportions du corps humain, telle forme de poitrine, de hanches, de col et de tête, tel emmanchement de membres et de muscles, telle consistance de la pulpe charnue, telle texture et tel ton de l’épiderme leur plaisaient par-dessus tout ; à leurs yeux, c’était là l’homme véritable, le plus beau qu’on pût voir ou imaginer ; ils n’étaient pas tentés de chercher ailleurs. […] Pendant quatre ans, à Rome, il avait regardé et rêvé, disant « que les maîtres anciens ont tout pris et qu’après « eux il n’y a plus rien à faire. » Il peignait des portraits, des tableaux de genre qui ne lui plaisaient pas ; s’il produisait, c’était à contre-cœur et pour vivre.
Gabriel Séailles aime ces entretiens familiers où se plaît sa bonne humeur charmante. […] C’est par elle qu’il plaît à plus ou moins d’hommes et que son œuvre reste vivante pendant un temps plus ou moins long.