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296. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 74-75

S’il n’a pas en partage la force & la solidité, il a du moins cette légéreté, cet agrément, qui le distinguent des Moralistes ennuyeux, sans le placer parmi les grands Moralistes.

297. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 208-209

L’Auteur auroit dû les entremêler de plus d’images, multiplier, plus qu’il n’a fait, les leçons générales, y placer avec choix des beautés accessoires ; par-là il auroit rendu son Ouvrage aussi agréable qu’il est utile.

298. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 120-121

Rollin n'empêcheront pas qu'il ne soit placé, par les justes appréciateurs du vrai mérite, au nombre de nos Littérateurs les plus estimables.

299. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 222-223

Nous le plaçons parmi les Auteurs François, parce qu’il a passé la plus grande partie de sa vie en France, & que tous ses Ecrits sont dans notre Langue.

300. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des pièces de théâtre — Préface de « La Esmeralda » (1836) »

Lui qui n’est rien, il rappellerait au besoin à ceux qui sont le plus haut placés que nul n’a droit de dédaigner, fût-ce au point de vue littéraire, une scène comme celle-ci.

301. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre premier. Beaux-arts. — Chapitre V. Sculpture. »

Cependant, il est à désirer que les sculpteurs bannissent à l’avenir de leurs compositions funèbres ces squelettes qu’ils ont placés au monument ; ce n’est point là le génie du christianisme, qui peint le trépas si beau pour le juste.

302. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Madame Vien » p. 173

J’aime mieux que l’oiseau ce petit massif de fleurs, de verdure et d’arbustes, placé sur le fond, quoique ce ne soit pas merveille.

303. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — T — Tellier, Jules (1863-1889) »

Anatole France Il laisse des vers, dont quelques-uns seront placés dans les anthologies, à côté de ceux de Frédéric Plessis, qu’il admirait.

304. (1894) Propos de littérature « Introduction » pp. 9-10

Enfin un genre de sport fut quelque temps très en faveur dans les bons coins de la presse littéraire, — peut-être l’est-il encore — il consistait à accoler invariablement ces deux noms jusqu’à donner l’illusion d’une sorte de meilhacalévy poétique, tandis qu’un contresport les plaçait alternativement au-dessus et au-dessous l’un de l’autre.

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