partout ton nom console mon oreille… …………………… Tu sais que dans le mien le ciel daigna l’écrire ; On ne peut m’appeler sans t’annoncer à moi, Car depuis mon baptême il m’enlace avec toi. […] … Et ne dites point : « Le gaillard était peut-être un inconnu, qui n’avait de talent qu’aux yeux de Marceline, ou dont le talent était ignoré des contemporains ; un obscur amateur dont l’histoire n’a pas gardé le souvenir. » Non, c’était un homme qui eut quelque notoriété en son temps, et dont le nom a été presque sûrement enregistré par les Bouillet, les Dezobry et les Vapereau ; témoin ces mauvais vers de sa triste maîtresse : Je le lisais partout, ce nom rempli de charmes… D’un éloge enchanteur toujours environné, À mes yeux éblouis il s’offrait couronné… … C’est bête, tout de même, de se donner tant de mal pour découvrir le mot d’une énigme qu’il importe si peu de débrouiller.
. — Concluons des trois traditions qui viennent d’être rapportées que, partout la société a commencé par la religion. […] Chez toutes les nations anciennes nous ne trouvons partout que clientèles et clients, mots qu’on ne peut entendre convenablement que par fiefs et vassaux.
Le bon chevalier aurait bien voulu entrer, au moins une fois, dans ce cloître pour lequel il avait conçu de si grands desseins, et il en exprima le désir à la mère Agnès qui lui répondit par un refus le plus agréablement tourné : Je vous remercie très humblement de votre unique et rare fruit (un de ses petits cadeaux journaliers), vous avez le privilège de donner tout ce que vous voulez et d’accorder tout ce qu’on vous demande ; et nous, au contraire, nous trouvons des impuissances partout.
Flaugergues donc, qui est partout déguisé en Flangergues (t.
Le vieux parti de Louis XIV, battu partout ailleurs, prit sa revanche là où il était encore maître.
Tel il fut au lycée, dans les concours ; tel, à l’École normale dans cette première génération qui datait de la fondation même : partout le plus en vue, le plus désigné, l’âme et la vie, le prince de la jeunesse pensante, le grand promoteur et agitateur dans l’ordre des idées.
Y a-t-il eu toutefois une telle époque où le génie homérique, indépendamment d’un Homère même, était dans l’air et circulait çà et là, à l’état de divine tempête, de façon que tout rhapsode pût en prendre sa part indifféremment, à peu près comme au xviiie siècle, en poésie, il y avait du Dorat un peu partout ?
Ce dernier caractère se retrouve partout dans la correspondance de Rancé ; même lorsqu’il prend la plume, je l’ai dit, il va sans cesse au but, il coupe court aux phrases.
Partout en Allemagne, on l’attend, on l’a cru voir passer dans chaque cavalier inconnu, les peuples prêts à saluer, comme toujours, l’homme du destin, les gouvernements attentifs à saisir le conquérant déchaîné.