Pareille à l’espérance en d’autres temps rêvée, Ta voix ouvre une vie où l’on vivra toujours ! […] Pareille à l’espérance en d’autres temps rêvée, Ta voix ouvre une vie où l’on vivra toujours !
Une pareille licence étoit affreuse. […] Mais sa dévotion, en pareilles circonstances, fut mal interprétée.
L’abbé Gravina a fait une pareille plainte pour la langue italienne dans son livre sur la tragédie. […] De pareilles injustices ne diminueront point la réputation de nos poëtes, puisque celles qu’on fait aux anciens ne diminuent point la leur, quoiqu’elles soient en bien plus grand nombre.
« Tout de bon, nous dit-on, on croit rêver en lisant des choses pareilles. […] Qu’un critique ne sache rien de tout cela, c’est ce qui me confond, et j’avoue, en effet, « qu’on croit rêver en lisant de pareilles choses » et que « la plume vous tombe des mains ».
Voilà ce que j’ai trouvé dans cette pièce et dans mille autres du même auteur ; et quand je trouverai des vers pareils à ceux-là, je me garderai bien de dire que je n’en veux plus. […] Mais je ne sais si vous pourrez forcer sa modestie ; et qui sait d’ailleurs si ses pareils ne trouveront pas qu’il se dégrade ?
Dans l’impossibilité de créer des romans comme Delphine et Corinne, qui sont des études superbes de passion et de société, on se rabat sur l’histoire et sur la critique ; et parce que Mme de Staël a jugé Gœthe et Schiller, et toute l’Allemagne intellectuelle de son époque, en l’inventant, il est vrai, plus qu’en la voyant telle qu’elle fut, l’auteur de Robert Emmet, qui n’a pas une pareille envergure de plume, se croit de la plus pieuse modestie filiale, en condescendant à un sujet moins vaste et moins ambitieux et en nous racontant Lord Byron. […] Galt a essayé, mais il n’y a dans sa Vie de Byron que le sérieux d’une conscience, en face d’un pareil sujet.
I Ne croirait-on pas, à un pareil titre, — Précieux et Précieuses 17, — que ce livre est un coup d’audace ? […] Avec un pareil titre, il n’y a pas de milieu, ce semble.
Et, en effet, c’est surtout lorsque l’on aime les monarchies qu’on souffre, en lisant de pareilles histoires, et que l’on comprend que Dieu qui, lui aussi, les aime, les châtie, et précisément de ce châtiment spirituel et antithétique qui un jour tua jusqu’à la politesse sous la grossièreté, chez une nation livrée aux plus ineptes révérences, et, correction d’un excès par un autre excès ! […] Seulement, et quoi qu’il en puisse être, en présence de faits pareils, ramassés avec une telle loyauté, on se demande le compte des pensées qui passèrent, durant toute sa vie, par l’esprit de l’homme qui ramassait ces faits et tellement s’en préoccupait ?
Eh bien, je vous laisse à penser l’effet que produisit, dans un temps de pareille littérature historique, l’histoire de Carlyle, de ce singulier humouriste anglais qui ne se gênait pas, qui se permettait tout en fait de sans-gêne britannique ; de Carlyle, le hoax anglais incarné, mais incarné dans le vrai, et qui ressemblait, par sa gaieté funèbre, en piochant les tombes de l’Histoire, au fossoyeur de Shakespeare. Cela fut presque un scandale, avec le bégueulisme littéraire du temps et l’endroit où pareille chose fut publiée… Ce fut, si je ne me trompe, et je ne crois point me tromper, dans la Revue des Deux-Mondes, cette pédante des pédantes, que se fit la première importation de Carlyle, si peu pédant, lui !