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570. (1848) Études critiques (1844-1848) pp. 8-146

Ici, il peut venir un doute : ce roman a-t-il réellement paru au bas d’un journal quelconque ? […] Rien n’y paraît achevé ou réussi suivant les forces du poète ; on attend toujours quelque chose. […] Alfred de Musset nous paraît compter parmi les écrivains d’élite et s’il s’égare souvent, ses erreurs ne nous font pas oublier qu’il ne se trompe qu’en cherchant les bons endroits. […] Quelquefois elle se croit puissante et vise à paraître une Junon, quelquefois aussi, trop confiante dans la grâce de son babil, elle se hausse jusqu’à des propos qui deviennent précieux ou obscurs. […] Parmi ses plaintes, une surtout paraît lui tenir à cœur : elle est causée par la chanson de M. 

571. (1895) Les mercredis d’un critique, 1894 pp. 3-382

« Lorsque la brochure parut, M.  […] Comme elle paraît petite ! […] Elle ne parut pas s’en apercevoir. […] Ce plaisir nous a été donné en lisant un livre paru ces jours derniers. […] Le Hertel paraît très agité.

572. (1778) De la littérature et des littérateurs suivi d’un Nouvel examen sur la tragédie françoise pp. -158

Dès qu’il paroît un homme de génie, un Descartes, un Lock, &c. […] Ce langage (nous ne le dissimulons point) a paru singulier & téméraire. […] Fontenelle me paroît bien supérieur, en génie, au Poète Rousseau, même du côté de la langue. […] Le misanthrope m’a toujours paru fort inférieur au Tartuffe. […] Il me paroît avoir constamment tourné le dos à la vérité.

573. (1932) Les deux sources de la morale et de la religion « La religion statique »

L’expérience ne dit rien de semblable, et la sociologie ne nous paraît avoir aucune raison de le supposer. […] Ces considérations n’étaient nullement hypothétiques, comme certains ont paru le croire. […] C’est à peu près ce qu’elle me parut durer ; d’autres crurent l’intervalle plus long. […] Nous avons seulement voulu essayer à un problème très controversé la méthode qui nous paraît d’ordinaire la plus sûre. […] C’est ainsi qu’Osiris, la figure la plus riche du panthéon égyptien, paraît avoir été d’abord le dieu de la végétation.

574. (1929) Les livres du Temps. Deuxième série pp. 2-509

Il paraît que l’empereur Guillaume Il est un grand admirateur de M.  […] Joséphin Péladan : elle me paraît inexpugnable. […] Le comble de l’habileté est de paraître simple, sans être négligé. […] L’abus du vers blanc dans la prose me paraît une erreur. […] Mais ses raisonnements paraissent un peu arbitraires et scolastiques.

575. (1826) Mélanges littéraires pp. 1-457

Le jour ne paraît point encore. […] Aux uns il semblait d’une intelligence merveilleuse ; aux autres il paraissait insensé. […] Il paraît que Beattie était destiné à verser souvent des pleurs. […] Quelquefois encore, les distinctions de l’auteur paraissent trop ingénieuses, trop subtiles. […] La plupart me paraissent sans fondement : la médiocrité se console souvent par la calomnie.

576. (1898) Ceux qu’on lit : 1896 pp. 3-361

Il m’a paru, non pas plus gros, mais élargi. […] Il ne paraissait pas même cloué de respiration. […] Ils paraissaient croître à mesure. […] Henry Roujon vient de faire paraître. […] Le parasitisme me paraît la plus noble situation d’un homme libre.

577. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « M. de Fontanes »

De nouveaux juges ont paru et se sont plaints que le sang ne coulât point avec assez d’abondance et de promptitude. […] Il me paraît que vous aimez mieux monter au Capitole, et cette place est plus digne de vous. […] Ceci vous paraît fou. […] Il n’eût peut-être jamais été Grand-Maître, s’il eût paru poëte autant qu’il l’était. […] Comme c’était au matin et qu’il n’était ni coiffé ni poudré, sa tête parut plus dépouillée de cheveux, et on le lui dit : « Oh !

578. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Molière »

On le mit dans une pension, à ce qu’il paraît, d’où il suivit, comme externe, le collège de Clermont, depuis de Louis-le-Grand, dirigé par les jésuites. […] Il paraît que, dans les années qui suivirent, au lieu de continuer l’exercice de la charge paternelle, il alla étudier le droit à Orléans et s’y fit recevoir avocat. […] Dans les unes toujours on paroît se forcer ; Mais les autres, hélas ! […] Dix ou quinze ans plus tard seulement, au temps où paraissaient les Caractères, cela lui eût été moins facile. […] Cette ingénieuse correction, qui, une fois faite, paraît si nécessaire et si simple, est proposée par M. 

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