Il mourut à trente-cinq ans, en 1560. […] Il mourut en 1606.
Les compagnons du Béarnais se moquaient bien de la science ; Biron et Bellegarde n’avaient jamais étudié, et le dernier connétable de Montmorency, qui meurt en 1614, à en croire Saint-Evremond, ne savait pas lire289. […] En 1629, il part pour la Hollande, et réside à Leyde, à Utrecht, à Amsterdam, jusqu’à ce que, tourmenté par les théologiens de Leyde, il accepte les offres de la reine Christine : il se rend auprès d’elle en 1649, et meurt en Suède.
Joseph mourut avant que son fils fût arrivé à aucun rôle public. […] Le Gaulonite soutenait qu’il faut mourir plutôt que de donner à un autre qu’à Dieu le nom de « maître » ; Jésus laisse ce nom à qui veut le prendre, et réserve pour Dieu un titre plus doux.
Elle fut jouée : le public mourut d’ennui, et l’auteur de chagrin. » Voilà bien de l’esprit hors de propos. […] Elle mourut donc le 12 décembre 1758, en partie victime de sa sensibilité d’auteur.
Il mourut le 22 juillet (1832), anniversaire de la bataille de Salamanque, « jour deux fois funeste pour moi », dit le maréchal. […] La maladie dont il mourut, restée assez obscure, paraît avoir tenu aux organes de la circulation et du cœur.
Il mourut le 30 avril 1795, dans sa quatre-vingtième année : Mme de Choiseul lui survécut encore six ans, et ne mourut que sous le Consulat, en novembre 180130.
La névrose après avoir causé l’incapacité sociale du duc Jean, affiné son intelligence jusqu’à l’amincir, apparaît en lui plus ouvertement, le poursuit d’hallucinations, le force une première fois — dans l’épisode du voyage ébauché à Londres à tenter de rentrer dans la vie, l’anémie le mine et l’accable dans une prostration finale jusqu’à ce que la folie et la phtisie le menaçant — le duc Jean se résolve sur l’ordre de son médecin à revenir au monde pour mourir plus lentement. […] Ce livre avec lequel on pourra toujours restituer la physionomie exacte du Paris actuel, nous donne l’aspect intime de la rue le matin quand les cafés s’ouvrent sur le passage des ouvriers et des filles découchées la nuit au moment des rentrées tardives, le soir à l’heure discrète ou des messieurs bien mis enboitent le pas d’ouvrières en cheveux, au crépuscule, où déserte et morte, elle sèche d’une averse sous la flambée jaune du soleil couchant ; il nous donne les boutiques, les ateliers, le garni d’un peintre, les brasseries, les restaurants, l’appartement d’une fille, celui d’un employé, tout le dedans et le dehors de la capitale du monde moderne.
Prêt à mourir pour vous, prêt à tout entreprendre, J’ai prévenu votre ordre. […] Mais pourquoi la princesse avait-elle été condamnée à mourir sur un autel ?
même il s’échauffa tellement à cette besogne qu’il y prit une pleurésie dont il mourut, après six numéros d’agonie. […] Vous allez mourir !