Sa mère l’en abreuve, alors qu’il vient au jour... […] Sa mère s’évanouit en le voyant. […] Son père et sa mère ont le tort d’être vieux, d’avoir des idées de vieillards. […] Son héros perd sa mère et son père en bas âge, et c’est tout. […] En 1846, il écrivait à sa mère : « En passant par le souvenir, la vérité devient un poème, le paysage un tableau.
» Je ne la revis jamais, elle, ni ses frères, ni leur mère. […] Ta mère m’a fait le même effet la première fois. […] L’auteur est breton, il aime sa terre natale et il la chante pieusement, en parlant comme un enfant parle de sa mère. […] Dans « la Bonne Mère », que de choses dans ce refrain dit par une madame Cardinal à sa fille : « Tu devrais songer à ta mère ! […] Tu devrais songer à ta mère !
L’auteur est breton, il aime sa terre natale et il la chante pieusement, en parlant comme un enfant parle de sa mère.
. — Au bras qui le défend, Un nourrisson bégaye une note indécise ; Sa mère lui tendant le doux sein qu’il épuise, L’embrasse tout entier d’un regard triomphant ! […] Les deux femmes, alors se croisant sous l’abside, Échangent un coup d’œil aussitôt détourné ; Et — merveilleux retour qu’inspire la prière, — La jeune mère pleure en regardant la bière, La femme qui pleurait sourit au nouveau-né !
On va jusqu’à lui faire dire qu’étant jeune écolier à Rouen, sa mère, sœur de Pierre & de Thomas Corneille, le menoit, le dimanche, au prône, à la messe, à vêpres, au sermon ; mais que, dès cet âge, il n’en croyoit pas un mot. […] Elles se disputent l’héritage de leur mère.
Mme Sophie Gay, comme Mme Necker, qui certainement valait mieux qu’elle, sera tuée par sa fille, — une moins puissante matricide, il est vrai, que Mme de Staël, mais dont l’éclat de talent a été suffisant pour effacer entièrement sa mère. […] Sa fille, Mme de Girardin, qui, en faisant comme un homme, et même comme un homme médiocre, des romans et des tragédies, eut le tort d’emprisonner ses jambes de déesse dans cet affreux bas qui botta si hermétiquement celles de sa mère, Mme de Girardin a du moins jeté quelques cris passionnés du cœur dans quelques beaux vers et fait un vrai livre de femme par lequel elle vivra, parce que c’est un livre de femme, pur de tout bleuisme.
Il en était sorti, et les poètes qui ont fait cette phrase ont imbécilement menti quand ils ont dit « qu’il avait tué sa mère ». Il ne l’avait que blessée, Dans cette lutte tragique de la mère et du fils, Clytemnestre avait été plus forte qu’Oreste.
D’ailleurs, à défaut d’une idée, cette mère robuste d’une idée, c’est le même sentiment qui les a inspirés. […] Dans son livre d’aujourd’hui, il l’a mise bien bas, cette vieille mère, qui avait son orgueil et voulait régner comme Agrippine.
Parmi les effrayantes, mettez Le Drack, Le Trolle, Édouard, La Chasse du roi Arthur, La Tentation, et au compte des touchantes, Les Pains et les Roses, Le Forgeron des Pyrénées, L’Ange et la Mère. […] L’Ange et la Mère est exquis.