Dans tous les cas, cette visite de la reine d’Angleterre, qui n’est qu’un caprice de jeune femme, devient et sera un grand événement politique. Cette jeune reine s’est prise d’une très-vive amitié pour la princesse Clémentine, et de là son premier projet qu’elle a mûri dans sa petite tête et qui éclot aujourd’hui en dépit de toutes les diplomaties.
Comme il était jeune et sans fortune, Frémiet dut accepter les besognes qui s’offrirent d’abord à lui. […] Le jeune Frémiet fut trop heureux d’être l’un des sculpteurs qu’elle employait. […] murmure la jeune femme toute confuse, tout émue. […] Parmi nos jeunes romanciers, M. […] On eût dû le conserver l’armée, pour le montrer en exemple aux jeunes soldats.
— « C’était une jeune femme, dont me parlait mon ami — jeune ? […] et si jeune ! […] Est-ce qu’il prendra les rênes avec la fierté vigoureuse des jeunes années ? […] La victoire reste au plus jeune. […] Le plus jeune des deux !
Après son licenciement, il vint se réfugier avec ses jeunes fils, Henri et Victor, dans la ville de Heidelberg. […] « Je ne la ferai pas, répondit le jeune professeur ; reprenez la chaire que vous m’avez donnée. […] Quant aux hommes plus jeunes encore qui entourent, avec M. […] Villemain plus jeune encore ; M. de LaMennais, né en 1782, est dans sa trente-troisième année ; M. de Lamartine, né en 1790, a vingt-cinq ans, et M. […] Le plus âgé, M. de Lamartine, n’avait, on l’a vu, en 1815, que vingt-cinq ans ; le plus jeune, M.
Vous pourriez peut-être citer les vers que Hugo avait faits pour cette pauvre jeune femme au moment de son mariage et de sa sortie de la maison paternelle : Aime celui qui t’aime et sois heureuse en lui ; Adieu ! […] Cette jeune femme était en effet charmante, sensée, fine, discrète et au-dessus de son âge.
Son livre repose sur cette vue très juste que dans le relâchement actuel de tous les liens et de toutes les disciplines, l’affection de la femme, de la mère, est ce qui reste de plus puissant sur les jeunes âmes et de plus tendrement respecté. C’est donc autour de cette affection inspiratrice qu’il veut faire participer à une éducation commune les jeunes âmes de la famille.
Mais depuis cet ouvrage, une place lui est due parmi les meilleurs des jeunes poètes récents. […] On lira la pièce intitulée : À Francis Jammes, si parfaite, et à notre sens une des plus remarquables de la jeune poésie.
Indépendamment de son fils Jean, né d’une mère inconnue à Avignon, il parle dans ses lettres et dans ses sonnets d’une belle et jeune dame d’Italie dont les charmes rendaient malgré lui à son cœur des sentiments qu’il rougissait de rallumer. […] » Jean Visconti étant mort encore jeune pendant cette ambassade, Pétrarque fit l’oraison funèbre à ses funérailles. […] Il lève les yeux dans un moment de distraction ; son regard tombe, par hasard ou par prédestination, sur une jeune femme en robe de velours vert brodée d’or. Le visage à la fois modeste et céleste de cette jeune mariée l’éblouit jusqu’au vertige. […] Son amour devient génie par la constance de ce jeune poète à chercher dans deux langues qui luttaient alors, le latin et l’italien, les expressions, les rythmes, les images les plus capables d’honorer éternellement celle qu’il aime.
Le voyageur, sur le seuil de huttes à demi ruinées, à travers quelque chemin défoncé de la Morée, reconnaissait parfois, dans de pauvres jeunes femmes asservies à quelque tâche grossière, la stature et la beauté de ces filles de la Grèce retracées sur les bas-reliefs antiques, telles qu’elles avaient paré les fêtes des dieux. […] Sa vie d’ailleurs, comme sa libre philosophie, ne l’a pas jeté dès la jeunesse sur les mêmes traces que le jeune et ardent lévite de Nazianze. Il n’appartient pas au christianisme dès le berceau ; il n’est pas né du mariage d’un sectaire chrétien, devenu plus tard orthodoxe et pontife, et élevant son jeune fils sous l’aile d’une mère honorée comme sainte, à l’ombre d’une église qu’il gouverna quarante ans. […] « Conserve aussi ma sœur et le couple de ces jeunes enfants, et cache toute cette maison paisible sous l’abri tutélaire de ta main ! […] Telle est la lente extinction des anciennes croyances : lors même qu’une foi jeune et pure en consume les restes du souffle de sa flamme, elles s’agitent sous la cendre ; elles jettent des lueurs encore vives, que fait ressortir le temps nouveau qui les entoure.